« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Notre charmant lion avait tout pour réussir, il avait un travail qui lui plaisait, ou il y mettait du coeur. Gajeel lui avait même offert un bureau avec une clé ! Donc, il avait un bureau pour lui tout seul. Le Lion était au sommet de sa forme, il faisait attention et il évoluait plutôt en bien. Sa mère pouvait en être fière, il n’avait pas envie de la décevoir, il voulait changer pour elle, mais aussi pour lui. Avec son nouveau travail, il n’avait pas beaucoup de temps libre à accorder pour sa famille, mais de temps en temps il essayait d’être la pour leur faire un coucou montrer qu’il était bien là. Et c’est à ce moment-là qu'il avait décidé d’aller voir sa tante préféré ! celle qui faisait les meilleurs patisserie du monde, pas que sa mère cuisinait mal hein ? Mais, Amelia, c’était tout un art qu’elle faisait.
Se retrouvant devant la devanture de la boutique, il entra un petit tintement signala sa présence de toute manière. Prenant de quoi manger, une délicieuse tartelette. Samuel avait remarqué une étrange boîte. Ca l’avait interpellé parce qu’il s’en approcha, elle était d’une couleur rose pâle toute mignonne, bon pas au goût de couleur du lion, mais c’était agréable au regard. Cette boite ressemblait à une petite boite aux lettres. Une feuille était posée sur le côté. Il la prit entre ses mains pour lire les explications.
Le but était de poser des questions de façon anonyme, voir écrire une lettre et que les personnes pourraient avoir une réponse à leur prochain passage. Cette réponse sera donc donné dans la corbeille d'à côté avec écrit dessus “réponses.” Le concept en soit était plutôt pas mal. Ca donnait envie au jeune lion de participer et puis comme c’était anonyme aucun souci non ? Aussi sec, il prit une feuille pour aller s'asseoir et écrire ses nombreuses questions données sans réponses.
Prenant place sur une table avec son gâteau, il sortit un stylo, oui Samuel a plein de stylo sur lui ça peut toujours être utile.
“ Bonjour,
Je vous remercie tout d’abord d’avoir permi de faire ce genre de boite anonyme, c’est plutôt sympa pour les personnes qui ont du mal à s’exprimer, c’est une chouette idée. J’ai décidé de me joindre aussi à cette cause, vue que je fais parti des personnes qui ont du mal à exprimer ce qu’il ressente. Et j’ai tendance à faire pas mal de gaffe que je regrette par la suite. Surtout en matière de demoiselle.
Voilà, il y a une fille qui me plaît depuis des années, enfin.. Que j’aime du moins, mais, quand il s'agit de sentiments, je n’arrive pas à lui faire comprendre ce que je ressens, je me retrouve bloqué et je suis incapable de fournir la moindre réponse ou alors.. j’envoie dans les fleurs sous la panique. Et ça m’a donc porter préjudice une fois avec cette personne. J’essai de faire bien de la reconquérir du mieux que je le peu mais, je m’y prendre peut-être mal ? Auriez-vous des conseils à me donner ?”
Il avait failli signer en bas de la page.. Anonyme Samuel.. Anonyme donc pour ne pas montrer que s’était lui, il mit simplement “LittleSunshine”. Il termina par un “merci” Le lion n’avait pas une mauvaise écriture, il écrivait même très bien. Il plia la petite lettre pour la mettre donc dans la boite au lettre en partant, il allait sûrement avoir une réponse le lendemain.
Dimanche 23 aout, 9h45
Le lendemain, le lion était donc revenu à la boutique de sa tante, mais visiblement, il n’y avait pas de réponse pour lui… Tout naturellement il était donc parti commandé un café avant de reprendre le travail. Puis il s’installa silencieusement, sa tante devait être occupée, il ne voulait pas la déranger...
Amelia Peters était une femme un peu originale, ce qui pouvait tout aussi bien plaire que déplaire. Après avoir affiché sur la vitrine de sa boutique la distribution de "free hugs" à qui en ferait la demande, une idée qu'elle avait eu quelques années plus tôt après avoir consolé longuement une certaine Sandy Ness, la pâtissière s'était dit que, étant énormément dans l'empathie et l'altruisme, elle pouvait faire plus et avait, de fait, mis en place un système de boite aux lettres anonymes pour ses clients, comme ça, s'ils avaient besoin de parler à quelqu'un qui n'appartenait pas forcément à leur entourage, d'obtenir un avis extérieur ou simplement de vider leur sac, ils pouvaient le faire. Amelia, elle, s'engageait à rédiger une réponse rapidement et à la déposer dans une enveloppe scellée adressée au pseudonyme avec lequel la personne avait signé son courrier. Il ne restait alors plus qu'à venir récupérer sa lettre en venant en boutique (Amelia étant très, très douée pour faire semblant de ne pas voir quand ce genre de moment arrivait) et ainsi, la jeune femme l'espérait, les personnes prenaient le chemin de la résolution de leurs soucis. De son point de vue, tout le monde était gagnant même si, en fait, c'était surtout ses clients qui l'étaient. Jusqu'à présent Amelia n'avait pas réellement reconnu les quelques personnes qui utilisaient son système, sans doute parce qu'elle ne connaissait pas les problèmes personnels de ses clients (bien que certaines dames âgées soient particulièrement bavardes et enclines à tout dévoiler, y compris leur varices si on les laissait faire) mais ceci ne dura pas. Un soir où avant de fermer boutique Amelia regardait si elle avait du courrier, elle découvrit une lettre dont elle identifia l'auteur après en avoir lu seulement trois mots et ce malgré le "bonjour" très neutre qui l'amorçait. Et pour cause ! L'auteur de cette lettre n'était autre que Samuel, son neveu un peu boulet mais adorable, fils unique de sa grande sœur April, qui lui avait écrit suffisamment de cartes d'anniversaire au cours de sa vie pour que sa tante auto-proclamée préférée reconnaisse son écriture au premier coup d'œil. Le contenu de la missive n'avait, quant à lui, que conforter Amelia dans sa déduction. Il était de notoriété commune que son neveu était un "boulet" gaffeur et qu'il n'était pas un pro de la drague. Tout la famille en plaisantait assez souvent non sans un réel attachement à ces traits de caractère. Il n'en fallut pas plus à la pâtissière pour être extrêmement flattée que son neveu vienne lui demander conseil, même s'il était probable qu'il ne se soit pas douté qu'elle pourrait reconnaitre son écriture. Samuel n'était pas du genre à anticiper ce genre de détails et sa tante aurait très bien pu faire comme si elle n'avait pas remarqué. Sauf que c'était très mal connaître Amelia que d'imaginer qu'elle ferait cela. Evidemment qu'elle allait intervenir auprès de "LittleSunshine" en personne. En tant que tante préférée (de tous ses neveux et nièces et toujours de façon auto-proclamée) elle se le devait bien. Amelia attendit donc de l'apercevoir à la table d'un café non loin de sa boutique, laissa les clés de la boutique (façon de parler) à son unique salariée Cassie Hamada, et fila, son tablier toujours autour de la taille, un grand sourire aux lèvres. Samuel avait l'air absorbé par la contemplation du monde alentours et ne sembla pas la voir approcher. Amelia en profita, naturellement, en vint se planter devant sa table en demandant gaiement : - Alors LittleSunshine, comment tu vas aujourd'hui ?
Samuel King
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Toujours plongé dans ses pensées, il n’avait pas vu arriver sa tatie préféré. En revanche, ce dernier s’était rapidement crispé en entendant son pseudo de la lettre ! Bien entendu, Samuel n’aurait pas pensée qu’elle reconnaîtrait son écriture pour le coup. Comment il pouvait être un abruti parfois, évidemment qu’elle avait reconnu son écriture ! tous les ans, il lui envoyait des cartes pour son anniversaire avec un cadeau et même pour noël et le nouvel an. Franchement pour le coup Sam tu as merdé ce dit-il intérieurement. Samuel aurait dû changer son écriture, pour le coup ce n’était pas la peine maintenant… c’était trop tard. Le mal était déjà fait. Tout ça ne dura que quelques seconde mais, son visage avait bien eu le temps de grimacer à l’entente de son pseudo. Little Sunshine Après quelques grimace, il porta son regard sur sa tante.
-Hmm.. démasqué c’est ça ? J’aurais du être plus vigilant et penser que mon écriture tu l’as connaissait.. Esquissant un faible sourire sur ses lèvres, c’était parti remise, il poussa de son pied l’autre chaise pour qu’elle puisse prendre place. Et bien, je dois dire que ça doit rouler… tu veux t’asseoir ?
Son regard bleu ne quittait pas celui de sa tante, il s’était détendu. Une nouvelle personne au courant pour ses soucis avec la belle Evie, il n’était plus à cela prêt de toute façon. Il ne devrait pas être si étonné de toute façon les ¾ de la famille était au courant sur le fait qu’il était fou amoureux d’Evie mais, qu’il n’était pas du tout doué pour le lui avouer. Pour cette raison qu’il avait demandé de l’aide à son cupidon de message, et qu’il était tombé sur sa tatie.
-La prochaine fois, je veillerais à écrire très mal. Comme ça tu ne me reconnaîtra pas.. et changement de pseudo aussi dit-il en riant de bon coeur. Désire tu un café ? ou peut-être un thé ? Je te l’offre.
Samuel ne doutait pas de la confidentialité de sa tante, ça resterait entre eux, il ne voulait pas que ça mère soit au ourant de tout, elle en savait bien assez et il ne désirait pas l’embeter avec ses proèblmes déjà qu’elle devait en avoir pas mal à gerer avec ses clients.
-Et toi.. comment te porte tu ?
Il croqua dans son gâteau qu’il avait acheté dans sa pâtisserie.
- Démasqué ! confirma Amelia avant de s'asseoir sur la chaise désignée par Samuel, un franc sourire lui barrant le visage. Mais c'est pas grave, ça restera entre nous, promit la pâtissière d'un air conspirateur. Amelia avait toujours adoré être le réceptacle des confidences de la jeune génération de sa famille, c'était à ses yeux une sacrée marque de confiance. Ses propres enfants ne s'y risquaient pas tellement, sans doute parce qu'elle était leur maman, mais neveux et nièces n'étaient pas en reste et savaient qu'elle pouvait être une oreille attentive et une conseillère impliquée. Trop impliquée, certes, mais impliquée quand même. - Si ça peut te rassurer, je ne t'ai pas reconnu à cause du surnom, confia Amelia, toujours très amusée par la situation (elle mourait même d'envie d'en parler à April mais jamais ô grand jamais elle ne le ferait, trahir ce genre de secret était hors de question pour l'ancienne lionne). Mais c'est mignon, si tu veux on peut le garder entre nous. En revanche, je dois t'avertir que si tu as besoin d'autres conseils à l'avenir et que tu écris très, très mal, ça sera peut-être efficace mais peut-être aussi que je n'arriverais pas à lire. Et donc ça ne t'aidera pas. Amelia lui adressa un clin d'œil avant de caler son dos dans le dossier de sa chaise. Elle feuilleta machinalement la carte laissée à disposition et reprit : - Si c'est toi qui offre je veux bien un diabolo à la fraise. Merci. Ahh... je me rappelle quand tu étais tout petit et que c'était moi qui faisais ce genre de proposition qu'on ne peut pas refuser. Vous grandissez si vite, vous les enfants. C'est pas très sympa pour vos parents, hein ! Amelia soupira. Elle lui avait fait les gros yeux mais tout le monde savait que quand elle les faisait c'était pour du faux. Amelia n'était jamais crédible dans ce rôle. Pendant son soupir, elle réfléchit à ce qu'elle pouvait bien raconter concernant sa vie. Samuel savait qu'oncle Michael n'était plus là et peut-être que la question visait à vérifier que sa tante s'en sortait. Amelia ne souhaitait pas s'appesantir sur ce sujet car elle n'avait pas traversé la rue pour parler de sa vie à elle mais bien de celle de son neveu qui avait toute la vie devant lui et qui avait besoin d'un peu d'aide pour la réussir sur le plan sentimental. - Je vais bien, finit-elle par répondre. J'ai plein de choses à faire, c'est très prenant d'avoir encore les enfants à la maison et la boutique... Et ta mère que j'aimerais bien recaser même si elle est pas tout à fait d'accord... mais aujourd'hui on va pas parler de maman. On va parler de ta lettre, non ? Parce que tu veux réellement de l'aide, je pense, pas vrai ?
Samuel King
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Samuel ne pu retenir son sourire, effectivement ça restera entre eux. Un petit secret entre tatie et neveu que demander de mieux ? Ca lui faisait plaisir d’être complice avec sa tante en ce moment c’était vrai qu’avec le travail, il n’accordait plus beaucoup de temps à sa famille. Il fallait qu’il remédie à tout cela. Ce fameux surnom, il aurait pu trouver un truc viril mais, il trouvait que petit soleil c’était pas plus mal. Dans sa vie passé après tout il était ce soleil.. ce petit soleil au sein de la famille royal. ça lui correspondait très bien du coup.
-Ne t’en fais pas j’en tiens pas rigueur. Oui on peut le garder entre nous, mais, je trouvais qu’il me correspondait plutôt bien. Effectivement, ce ne sera pas le meilleur moyen pour qu’on puisse me comprendre. Pour être franc maintenant si j’ai besoin de conseil je saurais ou toquer la prochaine fois.
Parce que du coup maintenant, autant toqué à la porte de sa tante maintenant qu’elle était au courant pour la lettre et de l’histoire entre Evie et lui.
-Ca marche je vais te le chercher après. Ahaha, oui je m’en rappelle diront nous que je savais y faire pour avoir ma boisson préféré quand je ne le renversait pas à côté ou sur mon voisin de table. dit-il en riant, il fallait l’avoué parfois il n'était pas très doué et les autres personnes en payait le prix. Oui… nous grandissons tous très vite… moi même je ne vois même pas le temps passer… C’est pas tout à fait faux, mais vous êtes toujours aussi jeune dans la tête. Vous êtes resplendissante maman et toi. D’ailleurs comment se porte mes cousins ?
Autant demander, un jour faudrait qu’il passe, Samuel devrait se faire un post-it << passer chez tatie>> Samuel était en train de parler sa tante. Il voulait être sur qu’elle se porte bien. Le jeune homme se retenait de grincé des dents. Certes, il ne l'empêcherait pas de refaire sa vie bien au contraire il en serait même heureux pour elle. En revanche, il voulait savoir qui c’était… sa pointure de chaussures, son métrage, ce qu’il fait, ou il habite, la couleur de ses cheveux, son casier judiciaire, son rituel de matin et le nombre de chien qu’il a eu.. certes les derniers détails sont peut-être insignifiant mais, pour Samuel ca pouvait-être important. Encore pire qu’un inspecteur… Et s’il faisait de la peine à maman il lui peterait les genoux..
Samuel n’était pas violent ou alors Gajeel déteignait sur lui ? C’était fort possible vu qu’il passait souvent du temps à la salle pour son boulot.
-Je suis rassuré que tu aille bien alors si tu as besoin, je suis là au cas ou. Oui je sais que lié les deux bouts n’est pas évident. Ahh pour maman ça ne sera pas une tâche facile tu sais ? Mais avant je lui ferais passer un test d’aptitude. dit-il en riant. Oui.. j’aimerais de l’aide, je ne sais pas trop comment m’y prendre.
Samuel avait été un enfant maladroit et cette maladresse avait continué à le suivre dans ses premières années d'adultes. Sauf que maintenant, en plus de devoir tenir correctement un verre de soda, il devait apprendre à décrypter ses sentiments ainsi que les filles et Amelia ne doutait pas que ce soit lui en demander beaucoup à la fois. Raison de plus, songeait-elle, pour l'aider du mieux qu'elle pouvait - surtout dans le domaine de l'amour qui passionnait Amelia comme personne. C'était probablement en partie pour cette raison qu'elle avait installé sa petite boite aux lettres. Dans son monde, les histoires d'amour devaient toujours bien se finir et elle ne laisserait rien ni personne en décider autrement pour Simba et Nala. On avait eu assez de malheurs sentimentaux dans la famille pour ne pas accorder de répit au moins aux trois prochaines générations. Minimum. Amelia laissa cette conclusion mentale de côté, trop occupée à rosir du compliment de son neveu. C'était toujours agréable de s'entendre dire qu'on était jolie, même si l'avis d'une personne de la famille pouvait être un peu biaisé. - Oh file flatteur ! feignit-elle de le réprimander. C'est pas totalement faux, en fait. J'essaye de rester dans l'air du temps. Parfois ça fonctionne et parfois... moins. On est vraiment obligé de comprendre quelque chose aux Revengers pour rester in ? s'enquit Amelia, vaguement préoccupée parce qu'elle tenait à conserver son statut de tata la plus cool de la famille mais ne comprenait rien aux franchises de superhéros (ndlr : du coup elle veut parler des Avengers, si besoin de préciser). Si c'est le cas, j'ai du souci à me faire mais si c'est optionnel... Je pense que ta tante Faith trouve parfois que je suis encore un peu trop jeune dans ma tête mais... on sait tous les deux que c'est elle la moins fun de toutes tes tantes, chuchota la pâtissière d'un air conspirateur. Amelia adorait toutes ses sœurs, les deux grandes comme la plus jeune. Faith et elle n'étaient pas toujours d'accord et ne menaient pas le même style de vie mais se soutenaient toujours et s'aimaient profondément bien que l'aînée des sœurs Bennett (ndlr : leur nom de jeunes filles) ne soit pas tellement du genre à le clamer haut et fort. - Enfin bref, pour te répondre réellement, Declan et Velma vont très bien. Ils continuent le bonhomme de chemin. C'est plus facile pour Velma de se projeter à long terme car elle adore étudier mais Declan s'en est très bien sorti l'année passée. Tu devrais passer les voir à la maison un de ces quatre. Ca leur ferait plaisir, ajouta Amelia. Il allait sans dire que cela ferait également plaisir à sa tante de le recevoir à la maison. Mais ça, Samuel le savait déjà alors pourquoi le lui répéter ? Répéter à Amelia que recaser April ne serait pas "une tâche facile" comme le disait Samuel était aussi relativement inutile - Amelia le savait parfaitement mais ça ne l'empêchait pas de continuer. Et un jour, elle en était persuadée, ça finirait par marcher ! - Je sais, oui, mais en tout cas je valide le test d'aptitudes. On le fera ensemble si tu veux. Cela dit, arrêtons de tourner autour du pot, jeune homme. Premièrement, ta tante préférée a soif donc je pense légitime que tu ailles me chercher ma boisson. Deuxièmement, à quel niveau tu ne sais pas comment t'y prendre avec Even ? On en est encore à avouer ses sentiments à l'autre ou ça a évolué ? Il faut que tu sois clair, net et précis dans l'exposition de ton problème et ça va peut-être impliquer quelques confidences mais ne t'en fais pas, je ne répèterai rien à personne, pas même sous la torture. Mais faudra pas qu'elle soit trop forte quand même.
Samuel King
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-Moi je trouve que tu moment que tu es bien dans ta peau, tu sera toujours parfaite et faut pas écouter ce que les autres peuvent dire de malhonnête, ce sont des jaloux. Tu seras toujours dans l’air du temps et j’en suis sur que tu peux lancer une mode. dit-il avec un charmant sourire et c’était vrai.
De toute façon Samuel savait pas mentir donc Amelia aurait tout de suite remarqué.
-Nan je ne pense pas qu’on est obligé de comprendre quoi que ce soit, des personnes n’y connaisse rien et ils sont dans le mouvement de la mode, mais si tu connais c’est toujours un plus. De l'expérience en plus. dit-il même s’il savait de quoi elle parlait. La jeunesse ses dans la tête tata et on sait tout les deux que t'es la plus cool de toute les tatas.
Comment ça c’était du favoritisme ? Bah oui totalement. Le jeune lion passait plus de temps avec Amelia qu’avec Faith. Et puis il adorait les pâtisserie de sa tatie Amelia. C’est toujours un plaisir de parler de la famille, les retrouvailles familial était toujours pour lui une manière de prendre des nouvelles de chacun.
-D’accord, c’est chouette qu’ils s’en sorte je suis fière d’eux. même si pour ma part je n’ai pas été friand des études. dit-il en grimaçant un peu mais retrouva un grand sourire. Oh j’en serais ravis alors, je te tiendrais au courant quand je pointerais le bout de mon nez pour venir les voir, pas que je vienne à l’improviste.
Pour revenir doucement au sujet de base, Sam serait ravi de passer les test d’aptitudes pour ce futur prétendant… il allait se faire une malin plaisir à le faire trimer. Sadique ? non il voulait qu’il soit persévérant bien sur.
-D’accord ça marche ! On le fera ensemble. dit-il avait un sourire complice. Puis se mordit la lèvre au fil de la conversation. D’accord je vais te chercher le verre je reviens.
Le jeune homme, s’était relevé de sa chaise pour aller chercher de quoi boire, parce que parler ça donnait quand même soif. Toujours très poli, il demanda des boissons pour lui et sa tante, puis reviens à sa place. N’oubliant pas de remercier la personne au comptoire. Reprenant donc sa place.
-Et pour revenir a Even.. non je ne lui ai pas encore dire ce que je ressentais. La dernière fois j’ai paniqué et je l’ai envoyé dans les fleurs. Alors qu’elle m’avait dit m’aimer. Aujourd’hui, je ne sais plus si elle ressent encore la même chose. Je l’a vois un peu moins avec ses études et mon travail. Mais… je compte l’inviter.
Samuel bu une gorgé de sa boisson avant de reprendre.
-Clair.. d’accord, je vais essayer de lui dire ce que je ressens et m'excuser pour ne pas lui avoir dit plus tôt. Mais, comment lui dire sans que je perde mes moyens et que je panique une nouvelle fois.
Samuel était vraiment adorable. Vraiment, vraiment adorable. Et Amelia ne manquerait pas de le faire savoir à April (et sans doute au reste de la famille) afin qu'on ne retienne pas seulement son côté maladroit. Parce qu'il avait aussi un cœur énorme et les quelques paroles qu'il venait d'avoir pour sa tante lui firent extrêmement de bien. C'était souvent elle qui s'épanchait en compliments, ne cherchant d'ailleurs pas spécialement à en avoir en retour, simplement à être gentil. Alors c'était agréable de temps en temps d'être dans la situation inverse afin de se rendre compte d'à quel point quelques mots pouvaient faire le plus grand bien. C'était, du point de vue de la pâtissière, le plus grand pouvoir qui existait. Elle en avait été témoin de nombreuses fois. Quelques paroles pouvaient faire beaucoup plus de dégâts que le plus aiguisé des couteaux. Et quelques autres étaient un remède encore plus efficace que tous les médicaments du monde - chocolat inclus. - Je verrai pour la mode. Mais je garde le conseil en tête, assura Amelia à son neveu. Merci pour tout ce que tu as dit. Ca me fait très plaisir. Tu es vraiment devenu quelqu'un de très bien. On a pas forcément besoin de faire de longues études pour devenir quelqu'un de bien ou prouver qu'on est intelligent, poursuivit la pâtissière afin de rebondir sur le parcours de Samuel comme il venait de le mentionner. Elle cherchait sans doute à le rassurer, des fois qu'il doute que ce soit le cas. Amelia était en plus bien placée pour en parler. Contrairement à Faith et April, respectivement rédactrice en cheffe d'un magazine et avocate spécialisée dans le droit de la famille, Amelia n'avait pas fait de longues études. Elle aimait apprendre mais elle ne s'était jamais imaginée derrière un bureau. Elle avait donc préféré perfectionner ses talents de pâtissière et apprendre à gérer une entreprise - dans laquelle elle avait investi quand elle avait la petite vingtaine, contractant un prêt colossal qu'elle avait fini de rembourser l'année dernière, les faux souvenirs et la boucle temporelle ne l'empêchant manifestement pas de devoir de l'argent à un banquier - ce qui ne demandait pas d'avoir un master et encore moins un doctorat. Pourtant, avec toute l'humilité qui la caractérisait, elle estimait avoir, à sa manière, prouvé ce qu'elle valait. Velma, naturellement, comptait bien le prouver en obtenant un doctorant mais Declan comme Samuel n'étaient pas vraiment faits pour rester des années sur les bancs de la fac. Et c'était très bien comme ça aussi. Amelia était fière de ses deux enfants et de son neveu de façon égale mais différente. - Je suis sûre que tu feras de grandes choses. Tu as le temps, de toute façon. Enfin... tu as le temps pour réaliser de grandes choses, pas pour passer à la maison. D'accord pour que ce ne soit pas à l'improviste, même si j'ai toujours de quoi recevoir, mais pas dans six ans, OK ? Amelia parlait d'un ton léger mais elle était à moitié sérieuse quand même. La famille, il n'y avait rien de plus important pour elle. Et d'ici un mois elle commencerait déjà à réfléchir au repas de Thanksgiving auquel tout le monde serait convié, de gré ou de force. Mais préférablement de gré, quand même. C'était plus sympa quand les gens avaient réellement envie de venir. La pâtissière continua d'y songer tandis que son neveu allait chercher les boissons, l'observant sans vraiment le voir, trop occupée à se projeter dans ce fameux futur repas de famille et a esquissé un plan de table et un début de menu. Naturellement Even et Samuel serait côté à côté pour faciliter leur rapprochement. Ca serait toujours ça de pris, songea la pâtissière quand Samuel apporta son diabolo à la fraise et relança la conversation. Comme elle s'y attendait, il n'avait toujours pas fait sa déclaration. Autant dire que cette love story avait encore un long chemin à faire. - Je comprends, c'est difficile de dévoiler ses sentiments. J'ai cru que j'allais mourir sur place le jour où j'ai essayé de dire à ton oncle que j'étais amoureuse de lui. J'étais rouge comme un homard et mon cœur battait à tout rompre. Ce qui me faisait le plus peur c'était qu'il me réponde quelque chose comme "merci mais je ne suis pas intéressé". J'avais l'impression que s'il disait ça j'en mourrais. Pendant un moment je pensais qu'il avait un faible pour ta tante Jillian qui était plus à l'aise avec les garçons que moi. J'ai commencé à en pincer pour lui quand j'avais 12 ans. Il était... parfait. Mais j'étais plus jeune, plus timide et surtout beaucoup moins cool que lui. Enfin bref, un jour, quand on a commencé à devenir un peu plus copain l'année de mes 18 ans, j'ai essayé de... disons d'amener le sujet sur le tapis. J'ai dit quelque chose de complètement incompréhensible et j'ai failli partir en courant mais il m'a attrapé par la main et il m'a embrassée... J'ai quand même cru que j'aillais mourir, cela dit. De bonheur. Amelia avait lové sa tête dans la paume de sa main et regardait au loin, l'air rêveur. Elle soupira en repensant à ce moment puis revint à l'instant présent. - Désolée, je sais pas pourquoi je te dis tout ça. Je suis pas certaine que ça va t'aider. Toutes les histoires sont uniques. Ce qui a marché pour moi ne marchera pas forcément pour tout le monde. Mais des fleurs c'était gentil de ta part. C'est un joli cadeau. Il me semble pas qu'elle soit allergique au pollen, en tout cas. C'est une très bonne idée de l'inviter, ça marquera quelque chose comme une deuxième étape. Et puis elle a dit qu'elle t'aimait, c'est très, très bon signe, ajouta Amelia sans mentionner toutefois que TOUTE la famille savait déjà que Samuel et Even s'aimaient depuis un moment. Tu devrais profiter de ta future invitation pour revenir subtilement sur le moment où elle t'a parlé de ses sentiments à elle et juste dire simplement que tu éprouves la même chose ? Y a pas toujours besoin d'un grand discours. C'est bien dans Roméo et Juliette mais on peut aussi faire simple. Ce qu'il faut c'est que tu sois naturel et spontané. Ne répète pas trop ce moment, dis les choses comme tu les ressens. Tu n'es pas du genre à lui chanter la sérénade en alexandrins et elle t'aime pour ce qui tu es. Essaye de l'inviter dans un lieu où tu te sens en confiance, ça t'enlèvera déjà une partie de la pression. Inspire un bon coup et dis les choses.
Samuel King
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Samuel avait la tata parfaite qui voyait ses qualités et les mentionnait à sa juste valeur auprès de sa mère et des autres membres de la famille. Il était pour sur assez maladroit quand, il perdait ses moyen ou était prit au dépourvu. Quand il savait ce qu'il avait à faire c'était bien. Mais sinon ça pouvait être une catastrophe, heureusement qu'on pouvait encore voir les autres qualités du lion. Le jeune lion ne cherchait pas de reconnaissance ou autre simplement être la pour les personnes qu'il aimait. SA lui faisait du bien de dire cela et de pouvoir se confier a quelqu'un en plus de sa psy. Samuel sourit au dire de sa tante C'est normal, je le pense sincèrement et ça me fait plaisir de te le dire. C'est vrai, il ne fallait pas de grande études pour accomplir des choses ou être intelligent. Oui, tu as raison, je te remercie Amelia, j'ai vraiment besoin d'entendre ses mots, ce n'est pas souvent que je les entend mais ça fait du bien. Le jeune lion avait choisit son destin et ce n'était pas celui des études, ce n'était pas fait pour lui.. il avait du mal en restant en place sur une chaise. C'était loin de lui ressembler sur cela il était un peu comme Amelia, il voulait suivre sa propre voix dans quelques choses qu'il aimait. Et visiblement, il avait trouver sa vois.. par le pur des hasards. Il aimait aider les personnes aussi et en tant que coach sportif et bras droit d'une salle de sport. Pourtant le tout sans un seul diplôme. Il était fière de son parcours. Fière de sa famille.
Il se retint de rire doucement Ne t'en fais pas, je compte laisser une trace de mon passage, j'ai encore le temps. Et ne t'en fais pas je laisserais un message avant de passer.. et si j'oubli je prendrais un joli bouquet de fleur pour me faire pardonner. Il sourit une nouvelle fois. Non je ne compte pas venir dans six ans promis, j'essaierais de passer la semaines prochaines
Quand il revint avec le verre de sa tante, ils reprirent leur conversations. Son parcours n'allait as être facile pour se déclarer à Evie sans paniquer du moins. Samuel était en train d'écouter sa tante parler de son oncle et de a déclaration. Il trouvait cela tellement tendre et romantique. Le fait que sa tante parle à coeur ouvert à son neveu, le jeune lion trouvait cela magique surtout se moment. C'est ce qu'il ressentait exactement, il avait peur qu'il soit trop tard et qu'elle ne répondent plus au sentiment qu'il éprouvait lui. Et qu'il n'avait jamais cesser d'éprouver, Samuel devait la vérité a Evie, même en l'aimant il avait paniqué. Voir sa tante d'humeur rêveuse, il l'a trouvait magnifique. Il était triste que son oncle de soit plus là pour la rendre heureuse. Oh non, ne t'excuse pas au contraire c'est exactement ce que je ressens quand Evie est la.. J'ai peur, qu'elle ne répondent plus au sentiment que j'ai du al à lui avouer. Il sourit encore une fois, il ne lui semblait pas non plus qu'Evie soit allergique au pollen, si c'était le cas, il ne voulait pas qu'elle pense à une tentative d'assassinat. Il ne se le pardonnerait pas. Elle avait raison chaque histoire était unique. Et c'était à lui et Even d'écrire la leur, sil y avait un quelconque avenir ensemble. Il était parfaitement conscience que TOUTE la famille était au courant pour leur histoire. Et le jour ou il se mettrait en couple ce sera à noté dans un calendrier comme un jour férié limite.
Elle avait raison il n'était pas du genre à pousser la sérénade avec une guitare ou autre, ce n'était pas lui. Amelia avait raison, il ne devait pas se prendre trop la tête et attendre le moment pour lui dire sans grand discours juste lui dire ce qu'il ressentait pour elle. Buvant une gorgée de son sirop pour éviter d'avoir la gorge sèche. Oui, c'est ce que je vais faire et puis, je ne suis pas sur d'être un assez bon chanteur pour pousser la sérénade.. et je ne sais pas jouer d'un instrument de musique donc ça l'aurait surement fait fuir. Il notait ce qu'il pouvait faire. Oui, je vais l'inviter et lui dire ce que je ressent pour elle, je n'aurais pas besoin d'un long discours, et tu me connais bien, je n'ai pas l'âme d'un poète non plus mais, je sais ce que je ressens pour elle et je ne manquerais pas lui porter de l'attention.
Il rit doucement avant de reprendre. Le jour ou j'y arriverais, il faudra le noté dans un calendrier et peut-être même faire un jour férié ? Je sais que dans la famille vous attendez que cela.
Faire du bien était l'une des principales motivations d'Amelia alors que son neveu dise clairement qu'elle avait atteint son but ne pouvait que lui faire très plaisir. Et c'était pour continuer sur cette voie qu'elle prenait à bras le corps la vie sentimentale de Samuel (et, de fait, cette d'Even) en charge afin de les aider à obtenir leur happy end. Pour le moment, elle avait surtout obtenu quelques confidences privilégiées et gagné un invité à manger. Amelia était toujours ravie quand ce genre de choses arrivaient. Elle adorait cuisiner et plus il y avait de monde pour qui cuisiner, plus elle était heureuse de cuisiner. Les banquets ne lui faisaient clairement pas peur, bien qu'elle prévoit de recevoir Samuel d'une façon un peu plus simple. Les fêtes de Noël étaient encore loin, ce serait seulement là qu'elle sortirait le grand jeu. Là, ce serait beaucoup plus impressionnant qu'un diabolo siroté en terrasse. Cela dit, Amelia le sirotait avec bonheur comme il avait été offert par Samuel. Elle espérait que lui partager son expérience d'amoureuse l'aiderait à faire un pas vers Even, même si c'était toujours un peu doux-amer de parler de son mari. Parfois elle espérait se réveiller un beau jour et découvrir que tout ce cauchemar n'existait pas réellement. Mais Amelia savait que c'était une pensée idiote. Elle avait vu le cercueil descendre six pieds sous terre et savait que la mort faisait partie de la vie, que c'était précisément ce qui lui donnait du sens. Elle aimait donc à croire que Michael avait eu une belle vie pleine de sens et préférait se concentrer sur les romances pour lesquelles elle pouvait encore quelque chose. - Ne t'en fais, dit-elle à son neveu en se voulant rassurante. Les vrais sentiments ne s'éteignent pas facilement. Ce qui ne veut pas dire qu'il faut faire mariner Even pendant encore dix ans, précisa cependant la pâtissière avant de rire. Je pense qu'il y a quelque chose de très sincère entre elle et toi et que tu as encore toutes tes chances, même si tu n'as pas été rapide pour déclarer ta flamme. Peut-être même que ça lui donnera l'impression que tu ne dis pas je t'aime à la légère, ce qui plait à pas mal de filles. En tout cas, à moi, ça m'a toujours plu, nuança Amelia, ne souhaitait pas énoncer des vérités universelles car s'il y avait un domaine qui n'en connaissait pas, c'était bien l'amour. Amelia but une nouvelle gorgée de son diabolo archi sucré (autrement dit comme elle les aimait) pendant que Samuel énonçait son plan d'action qui mettait en application - du moins en théorie - les conseils de sa tante. Peut-être que si tout fonctionnait et qu'un jour lui et Even avaient un bébé ils lui donneraient Amelia comme deuxième prénom, en hommage à la façon dont elle avait œuvré pour leur bonheur. Mais comme pour le moment ils en étaient loin, Amelia chassa cette idée, si amusante et flatteuse fut-elle, de son esprit, avant d'éclater d'un rire franc suite au commentaire, très réaliste, de Samuel sur l'implication générale de tout le clan dans sa vie sentimentale. - C'est vrai, admit Amelia. Vos sentiments sont tellement flagrants qu'on aimerait bien que vous officialisez tout ça. Mais rassure toi, pour le moment personne dans la famille n'a le pouvoir de rajouter un jour férié pour tout le monde alors, si personne ne devient président ou je sais pas quoi d'ici là, on se contentera d'une fête juste entre nous. Ca sera pas plus grandiose que ce qu'on fait à Noël, t'en fais pas, le rassura Amelia, sachant qu'elle obtiendrait sans doute l'effet inverse mais trouvant l'idée très amusante. Elle n'aurait sans doute pas pensé à un jour férié si Samuel n'en avait pas parlé mais maintenant que l'idée était lancée, la pâtissière allait définitivement la garder en tête. - Du coup, ça va aller ? Tu as l'air d'avoir pris quelques résolutions importantes. Mais tu as peut-être besoin de parler d'autre chose ? D'un autre conseil ? Tant qu'à faire, Amelia voulait être certaine d'apporter le maximum d'aide possible.