Akihiro Dawson « J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Martin Freeman d'amour
•Lucifer ça suffit !
• Mais ce n'est pas de ma faute si je rigole à cette nouvelle ! Toi ! Aki ! Te marier ! C'est juste drôle !
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• Bon Emy, je veux que ça soit toi qui s'occupe de mon mariage ! Mais tu me fais un truc grandiose okay ?
• Oui ... un truc grandiose ! Mais grandiose comment ? grandiose grand ou grandiose encore plus grand ?
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| Conte : Aggretsuko | Dans le monde des contes, je suis : : Retsuko, la panda rousse overbooké et metal-screamo
| Cadavres : 71
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________________________________________ 2020-01-20, 21:52 |
| Akihiro Dawson
« *insert scream metal here* » Fiche Technique.
Surnom(s) → Dawson, pour la majorité des gens, Aki pour ses proches Age → 45 ans.
Occupation / Emploi → Secrétaire Général d'Erebor Jewelry Compagny
Votre personnage est-il tiré d'un conte ? : D'Aggretsuko Si oui, lequel et qui est-il dedans ? : Retsuko, l'enfant féroce!
Vous.
Caractère → Akihiro est un homme totalement dédié à son travail. Ayant été élevé jusqu'à sa majorité au Japon, il a une vraie notion de l'importance du travail, qui le pousse à fournir sans cesse le meilleur de lui-même. Son petit perfectionnisme aide également, mais c'est surtout sa grande patience et son côté avenant qui le rende si performant. C'est un homme facile d'approche, mais intransigeant lorsqu'il s'agit des règles. C'est malheureusement aussi un défaut, le poussant à beaucoup plus travailler qu'il ne le devrait, faisant souvent les choses pour et à la place des autres pour s'assurer de leur qualité. Dans sa vie privée, Akihiro est plus 'volatile': ses passions sont souvent très créatives, loin de la rigueur qu'il injecte dans son travail. Il est également plus fleur bleue, s'attendrissant facilement.
Une Particularité ? → Akihiro chante du métal pour se détendre. La musique, pas la matière En général, ça surprend au début. De même que les quelques doigts d'honneur qui peuvent lui échapper lorsqu'il est de mauvaise humeur. Il est également extrêmement fan de la culture 'kawaii' et a beaucoup gardé de la culture asiatique, dans laquelle il a été élevé. Il a une forte notion de l'honneur et du labeur. Aki pense que sa vie à Storybrooke est simplement une réincarnation: pour lui, son avant-vie en tant que panda roux a été 'interrompue' par la malédiction, et que cette vie est simplement une nouvelle réincarnation. Il est donc plutôt zen sur le sujet, y comprit sur le fait d'avoir été une femelle auparavant, et aime en apprendre plus sur la précédente incarnation de ceux qui l'entoure. Il a une passion pour les tiges de bambous: il en possède environ 30. Il possède la capacité d'avoir des 'yeux paillettes': un grand regard innocent et illuminé qui lui échappe en général totalement, mais qui le rend adorable auprès des autres. Aki a le contact facile avec les animaux, même si il a légèrement peur des chiens de chasse, qui l'oppresse. Aki est un couche tôt et un lève tôt: son réveil sonne en général à 5h du matin. Une fois par mois, son nez saigne et son estomac est prit de crampes, lui rappelant son ancienne condition.
Votre Vie dans le monde des contes.
Retsuko était une panda roux pleine d’ambition. Depuis son plus jeune âge, elle savait qu’elle voulait ‘faire partie de quelque chose’. Elle voulait ‘en être’. Tant et si bien qu’elle s’investit dans toutes les activités que la vie lui proposa -et elles furent nombreuses ! Trésorière du club d’échec de son école, responsable des inscriptions du club de jardinage, vice-présidente du club de ping-pong, rien ne lui échappa ! Et à chaque fois, elle fut couverte d’éloge, qui la ravir au plus haut point ! Faire partie d’un tout était primordiale pour elle et lorsque, une fois ses études finies, elle décrocha un emploi de comptable au sein d’une grande compagnie, elle fut la plus heureuse des pandas !!!
Cela dura 6 mois.
Ensuite la désillusion fut dantesque. Non seulement, elle ne faisait pas partie d’un tout, mais ce ‘tout n’existait même pas en lui-même ! Monsieur Ton, son patron, abusait clairement de son autorité, ainsi que de la gentillesse un peu timide et maladroite de Retsuko. Arrogant, lunatique, sexiste, et condescendant, c’était un porc, dans tous les sens du terme ! Une vraie tête de cochon ! Retsuko était rapidement devenu son souffre-douleur, et il ne fut pas le seul… Cette mégère de Tsubone était encore pire ! Elle usait de son ancienneté pour manipuler la pauvre Retsuko et la faire culpabiliser ! Pire qu’un varan ! Résultat : Retsuko travaillait trois fois, six fois, MILLE FOIS plus qu’elle ne l’aurait du, récoltant même souvent le travail de certains de ses autres collègues sans scrupule !
C’était souvent le cas de Komyia, un lèche botte sans vergogne ou de Tsunoda, une espèce de pimbêche accro au selfie dont la capacité à toujours s’en sortir faisait vraiment envie à Retsuko… Elle aurait tellement aimé être aussi sans scrupule, et capable de manipuler les autres comme eux… Mais ce n’était pas dans son caractère, elle le savait, et parfois c’était même ce que lui reprochait ses amis. Elle était beaucoup trop prudente, et c’était un vrai problème… Enfin, du moins, ça l’était parfois. C’était surtout ce qui l’empêchait de claquer la porte au nez au Ton. Déjà parce qu’elle ne supportait que très peu l’échec. Et surtout… Parce qu’elle avait peur de ce qui pourrait arriver si elle se retrouvait sans revenu. Serait-elle obligée de retourner vivre chez ses parents ?! Brrrr… Le cauchemar ! Non ! Il fallait qu’elle trouve une autre solution !!
L’une des solutions les plus faciles à envisager…. Restait de se trouver un petit mari fort riche qui lui permettrait d’enfin faire ce qu’elle voulait de sa vie ! Bon bien sûr, dès qu’elle en parla, ses amis lui expliquèrent que cela n’était pas si facile que cela…. A commencer par Washimi et Gori, ses amies du club de yoga et collègues supérieures hiérarchiquement. Ces femelles avaient une classe à toute épreuve, et Retsuko les admirait follement ! Aussi, quand Washimi lui expliqua combien le mariage n’était pas aussi facile qu’il n’y paraissait, une boule naquit dans son ventre, de frustration et de tristesse. Pourquoi la vie n’était-elle pas plus facile ?! Tout ce qu’elle voulait c’était être heureuse ! Etait-ce si compliqué ?…
Heureusement pour elle, un havre de paix subsistait dans son existence : le Death Metal.
Le Death Metal était son échappatoire. Sa porte de sortie. Sa bouffée d’oxygène. Le seul moyen qu’elle avait de laisser sortir sa rage intérieure, et de respirer à nouveau. C’était si important pour elle, si précieux, qu’elle le cachait aux yeux du monde. Même aux yeux de ses proches. Surtout auprès de ses collègues, notamment Fenneko et Haida, ses collègues les plus proches. Déjà parce que Fenneko, toute géniale qu’elle fut, était une cynique accro aux réseaux sociaux, capable de trouver n’importe quelle info sur n’importe qui sans même être abonné à quoi que ce soit ! Imaginer un seul instant qu’elle pu savoir… Quant à Haida… Elle appréciait beaucoup Haida, mais elle ne se sentait pas prête à le laisser entrer dans son petit univers…
Seules Washimi et Gori étaient au courant, et ce n’était pas faute de leur avoir résister ! Mais… Finalement cela avait été une bonne idée. Washimi et Gori ne l’avaient pas du tout juger comme elle le craignait, elle avait même sembler plutôt… Impressionnées ! Du coup, le karaoké avec elle était devenu une petite habitude, quelque chose de bruyant mais apaisant… Puis un jour, une vieille connaissance à elle lui proposa une idée folle : quitter son travail pour ouvrir avec elle un magasin d’import ! LE RÊVE ! Elle allait enfin pouvoir dire adieu à Ton et à ce travail pourrie ! La chance lui souriait enfin !! Tant et si bien qu’elle se prit même au jeu de s’imaginer balancer sa démission à la figure de ce gros porc ! Mais la désillusion fut à nouveau abyssale. Le magasin serait virtuel. Les rentrées d’argent au départ, inexistante. C’était un projet fou. Tout bonnement fou. Et elle ne pouvait pas s’y risquer… Prudente. Trop prudente.
Malheureusement, elle avait omit un détail… Son ordinateur était relié à serveur de la boite…. Et toutes ses récentes recherches sur sa future démission avortée avait été retrouvé par le modérateur internet de sa boîte !!! Et Monsieur Ton y avait eut accès ! ET LES AVAIT LU!!! Il la convoqua donc… Et décida de la surnommé : Calendrier, ou la touriste, car ses jours étaient désormais comptés… Et lui et Tsubone comptaient bien profiter encore un peu de sa servitude ! Problème : elle ne comptait plus démissionné… Son calvaire était donc à durer illimité !
Epuisée, au bout du rouleau, persuadée d’être piégé dans une sorte de purgatoire infinie où sa seule perspective était la souffrance éternelle, Retsuko laissa tomber sa tête sur son clavier d’ordinateur, avant de regarder l’horloge digitale du bureau. Bientôt minuit. Et elle n’avait clairement pas finit… Soupirant, elle se mit à prier pour que quelque chose la délivre de son calvaire. Et une mystérieuse fumée violette envahit son bureau…
Votre Vie à Storybrooke.
Avant même de naître, le destin d’Akihiro le plaça sous le signe de l’originalité. Ses deux parents, anglais et danoise de leur origine, s’étaient rencontrer lors d’un séminaire holistique, lieu des plus original pour rencontrer son âme-sœur. Pourtant, il fut rapidement plus qu’évident qu’ils l’étaient, et malgré leur pays plus ou moins éloignés, ils tombèrent follement amoureux, et Mette déménagea bien vite pour rejoindre James, dans son Angleterre natale. Mais ni l’un ni l’autre n’étaient sédentaires. Le voyage et les autres cultures étaient leur grande passion, et bien vite, ils prirent le chemin du dépaysement, se lançant le défi de vivre dans tous les pays du monde. Mette était bibliothécaire, James homme à tout faire, si bien qu’ils parvinrent à vivre leur rêve plusieurs années, ne s‘arrêtant en général qu’un mois ou deux par pays. Mais bien vite, leur envie de découvrir autre chose que l’Europe les prit, et ils s’envolèrent tout deux vers l’Asie. Ils commencèrent par découvrir la Chine, puis la Thaïlande, faisant un séjour en Corée et ce fut lors de leur premier mois au Japon que Mette apprit la plus belle nouvelle de sa vie : elle était enceinte. Ni une ni deux, Mette et James décidèrent de s’installer au Japon, voyant en cette grossesse un signe du destin. Investissant leur économie dans une petite échoppe, ils louèrent également l’appartement du dessus pour y loger, leur échoppe devenant alors leur maison. Ils choisirent de donner à leur fils un prénom unique : Akihiro. Celui qui annonce le printemps. Alors qu’il naquit en automne. Original, vous dis-je ! Akihiro grandit donc dans la culture asiatique, bien que son physique d’européen le différencia grandement des enfants avec lesquels il grandit. Certains parents dirent même qu’il n’aurait pas du porter un tel nom, que c’était contre-nature, presque du vol de leur culture. Bien vite, Akihiro comprit qu’il était ‘étrange’. « Non, original » corrigea Mette, et continua à le corriger tout au long de sa vie. Aki’ était la prunelle des yeux de ses parents, et malgré leur revenu modeste, ils lui offrirent tout ce qu’un enfant était en droit de rêver avoir. Malgré cela, Akihiro grandit dans l’espoir de faire partie de quelque chose. Certes, il faisait partie de sa famille, et c’était la chose la plus importante à ses yeux, mais il aurait aimé faire partie d’un groupe. Il avait des amis, mais dès l’arrivée du secondaire, et encore plus au lycée, il fut la cible d’une sorte de rejet, ou d’une curiosité presque malsaine, qui l’empêcha de se sentir accepté. Aki se réfugia donc dans les livres et les études, devenant rapidement un élève brillant, ce qui attisa quelque peu la jalousie de ses camarades, qui le relayèrent au rang 'd'otaku européen'. Akihiro ne grandit cependant pas seul, entouré de quelques camarades, tout aussi ostracisés que lui. Aucune amitié indéfectible ne naquit de ces années de secondaire, mais il ne fut ni harcelé ni seul et c'était déjà beaucoup. Lorsqu'il termina le lycée, Mette et James lui donnèrent le choix. Déjà, celui de choisir le métier qui lui plairait, que celui-ci passe par une université, une école, ou un apprentissage, mais surtout le choix du lieu où il voudrait étudier. Pendant un temps, Akihiro hésita à poursuivre ses études à l'étranger, mais une angoisse sourdre le dissuada, pas encore prêt à quitter son foyer. Il opta donc pour des études de gestions, ayant toujours beaucoup aimé l'ordre et l'organisation. C'était d'ailleurs lui qui depuis des années gérait l'inventaire du magasin de ses parents. Rapidement, il s'intéressa également à la comptabilité, dans l'optique de pouvoir aider sa mère les week-ends, et surtout pour l'aider à mieux gérer leur économie, Mette étant le genre de femme à souvent offrir un 'petit produit bonus' à ses clients. Étonnamment, il trouva rapidement sa place dans ce monde, plus simple, où tout entrait dans un tableau Excel. Il fut rapidement engager, à la sortie de ses études -réussie avec mention- dans un petit cabinet d'avocat, en tant que stagiaire. Si le rythme était élevé, il prit rapidement le plie et fut engagé dès la fin de son stage. Il put ainsi, pendant plusieurs années, aider ses parents, partir en voyage avec eux, et dépenser enfin son propre argent. Ce fut aussi à cette période qu'il eut la confirmation qu'il aimait les hommes, chose qu'il avait toujours plus ou moins su. Cette confirmation fut loin du drame habituel qu'Ahikiro vit dans de nombreux drama, et il s'interrogea longtemps pour savoir si son statut d'européen lui avait facilité la tâche. Quand il l'annonça à ses parents, Mette et James hochèrent la tête, lui disant qu'ils étaient heureux si lui l'était, et que c'était le principal. Puis, du jour au lendemain, le cabinet pour lequel Akihiro travaillait depuis 5 ans ferma ses portes, suite à un procès perdu. Un choix se posa alors à Aki, et avant de le faire, il prit six mois pour visiter l'Europe, tantôt avec sa mère, tantôt avec son père, tantôt également tout seul. Il revint au Japon et annonça alors à ses parents qu'il allait partir à l'aventure: il avait trouver une annonce de poste en Allemagne, à laquelle il avait postuler lors de ses voyages, et il avait été engagé! Mette et James, extrêmement fiers de leur fils, l'aidèrent à trouver un logement, via leur très nombreuses connaissances faîtes lors de leur voyage de jeunesse, et en quelques semaines, Aki quitta la vie qu'il avait toujours connu pour faire un grand plongeon dans l'inconnu.... Et quel plat il fit. L'entreprise Erebor Jewelery Compagny était une grande entreprise familiale tenue par Josef Oakenshield, un homme aussi beau que lunatique. Si les premiers mois, Aki ne s'en rendit guère compte, il fut rapidement rattrapé par la réalité. Josef était un homme capable de vous demander un café en plein rush, et de vous dire au passage que votre chemise était 'dégueulasse'. Et bien évidement, impossible de répondre, sous peine de sanction. Très vite, Akihiro fut donc happé par la tornade qu'était Josef, qui prit un malin plaisir à voir ce 'gentil petit faux asiatique' être aussi dévoué. Heureusement cependant, Aki ne fut pas seul face à Josef, un autre employé prit très rapidement sa défense: Berthold. Berthold était la personne qui avait engagé Akihiro, et il devint rapidement un collègue sur lequel Aki pouvait compter. Ce fut même le seul pendant très longtemps, et sans lui, Akihiro aurait probablement démissionné, peu importe la honte qu'il en aurait ressenti. De nombreuses fois, il en parla à Berthold, et de nombreuses fois, Berthold le supplia de ne pas faire cela. Qu'il avait besoin de lui, que l'entreprise avait besoin de lui. Et Aki n'était pas du genre à abandonner, Berthold le savait bien. Akihiro resta donc, mais fut rapidement muter par Berthold au service comptabilité, où il fit la connaissance des autres membres de la grande famille d'Erebor & Cie. Même si il avait l'appui de Berthold, il ne fit pas l'unanimité, et Akihiro entra dans la période de sa vie qu'il détesta le plus. Et pour cause. Non seulement il était seul, n'ayant pas vraiment d'amis en Allemagne, mais en plus son boss et ses collègues ne l'appréciaient pas. Pire que cela, Akihiro se rendit très vite compte que la comptabilité de la société était... Etrange. Voir même fausse. Les relevés qu'il recevait étaient souvent incomplets, et des sommes d'argents très étranges apparaissaient brusquement sur des fiches, sans aucune raison ni justification. Si il n'en parla à personne, il tenta de mener une enquête interne, mais fut vite harcelé par certains de ses collègues, voir même par Josef lui même, qui le noya sous le travail, allant même jusqu'à clairement oublié le code du travail. Les semaines d'Aki ne se comptaient plus en heures de travail, mais en journée complète travaillée. Même Daphné, la fille de Josef, fut prise de compassion à son égard, le remerciant grandement du travail qu'il fournissait. C'était simple: en quelques années, il avait abattu plus de travail que la majorité des employés déjà en poste! Akihiro la remercia, même si il manqua de peu de lui expliquer que cette masse de travail abattue ne l'avait pas été par choix... Puis, en l'espace de quelques semaines, tout changea. Un accident de voiture bouleversa la vie de l'entreprise, emportant avec lui le fils, le père et le beau-fils de Josef, qui devint fou. Et quelques jours plus tard, le premier fils de Josef apparut. Si Aki en avait entendu parler, il ne l'avait encore jamais réellement vu. Il savait qu'il était militaire, et Berthold lui assura qu'il saura reprendre en main l'entreprise. Ce qu'il fit. En licenciant massivement les employés. Pendant plusieurs semaines, Aki pensa que lui aussi serait virer, mais contre toute attente, on lui proposa même une petite promotion, qui nécessitait un déménagement. Et pas des moindres puisque le siège social fut déplacé aux Etats-Unis! Il hésita longuement, demandant même pour la première fois conseil à ses parents, et après un énième débat avec Berthold, il accepta finalement la proposition, et entra au service de Ludwig Oakenshield. Si Ludwig était différent de son père, Aki du bien avouer qu'ils partageaient la même froideur, qui lui donna l'impression de subir une sorte de malédiction. Devait-il donc à jamais avoir affaire avec des individus donc les réponses se composaient majoritairement de demi-syllabe? Mais Aki s'acclimata mieux à la petite ville de Storybrooke qu'il ne le pensait, rendant sa vie un peu moins difficile. Il rencontra de nombreux amis, et pu même acheter son propre verger, où il tenta de faire pousser les boutures que sa mère lui envoyait. Berthold tenta même d'améliorer sa vie au travail en lui décernant chaque mois la médaille de l'employé du mois, ce qui fit doucement rire Akihiro. Cette fois, Aki se sentit légèrement mieux accepté dans cette ambiance... Familiale et paternaliste. Au bout de quelques mois, il obtint même une promotion, quittant la comptabilité pour devenir secrétaire, puis secrétaire général quelques années plus tard.
Votre vie après la malédiction.
Mais un jour, tout fut chambouler. Une fumée violette et épaisse recouvrit la ville et des souvenirs se mirent à jaillir de toute part. Le plus étrange pour Aki fut de se souvenir de lu en tant que femme, et d'être, un temps, légèrement perturbé par ce changement drastique. Mais il conclut bien vite que la 'magie' avait simplement du altérer les choses, et qu'il vivait désormais une nouvelle incarnation, car la précédente avait été stoppé brusquement, et qu'il en conservait donc les souvenirs. Etrange donc, mais au final, il apprit à le vivre plutôt simplement, s'autorisant de temps en temps des petits plaisirs plus 'féminins' que d'autres.
Le problème majeur vint plutôt de la violence avec laquelle Ludwig lui tomba dessus, dès que les souvenirs revinrent. Sans comprendre, Aki se retrouva plaqué au mur, son patron lui hurlant dessus des injures et des accusations auxquelles il ne comprit rien, le faisant, à sa grande honte, fondre en larmes au travail. Cette fois, ce fut la goutte d'eau de trop, et il rédigea sa lettre de démission, ne supportant plus les frasque de la famille Oakenshied. Il fallut l'intervention de Berthold, quelques jours de congés -les premiers depuis son recrutement, et quelques mots de la part de Daphné pour le convaincre de revenir au travail, et si pendant des semaines, il évita cordialement Ludwig, il se laissa convaincre de ne pas démissionner, conservant cependant sa lettre dans l'un de ses tiroirs.
Aki n'était pas du genre à abandonné. Et de toute façon, Berthold et Daphné ne l'auraient pas laissé faire, ayant déjà prévu de refuser sa démission. Aki demeura donc à la Erebor & Cie, et au fil du temps, il renoua une relation 'normale' avec Ludwig, ayant finit par avoir l'explication de son explosion de rage. Si cela ne l'excusait pas, cela l'expliquait, et Aki finit par totalement passé outre, et quelques années plus tard, il finit même par développer des sentiments plus profonds pour lui... |
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