« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
| | | Debetith, Meredah...ouais non en fait. Faut juste qu'on parle. ✗ Debbie | |
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Meredith P. Newton « J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
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________________________________________ 2020-06-08, 14:31 |
| faut juste qu'on parle... meredith & deborah
J’aurais peut être dû le dire à Bert depuis longtemps. Peut être que j’aurais dû lui parler de Nina mais je l’aimais tellement que j’avais suivi le conseil de mon oncle et je lui avais caché son existence pour le protéger de ma sale tarée de tante. Les histoires de famille, je vous jure… Je souris à la rouquine avant de finalement reprendre la parole.
« Effectivement, je me vois mal y aller de cette manière là Deborah. » ironisais-je.
Oui, je ne me voyais clairement pas arriver vers Bert et lui balancer du tac au tac qu’on a effectivement une fille qui a été enlevée bébé par une dégénérée sociopathe de ma famille qui a voulu se servir d’elle pour mettre la main sur mes pouvoirs avant qu’elle ne décide de se sacrifier pour me sauver. Ouais, de l’amusement, moi je vous le dis. Non, fallait quand même que je le préserve un minimum mon cher et tendre. Je lève le regard vers Deborah avec un sourire avant de reprendre la parole à sa suite.
« C’est vrai, la politesse est la base de tout. » énonçais-je à la jeune femme. Après tout, je n’étais pas n’importe quelle Nanny et si je commençais à ne pas l’utiliser, eh bien, on était clairement pas sortie de l’auberge comme on dit « oui, je pense que ça devrait le faire, je tairais peut être juste le fait que la dégénérée sociopathe qui a enlevé Nina quand elle était bébé s’avère être de ma famille parce que sinon y’a deux conclusions probables, soit Bert me tue, soit…il me tue aussi donc…ouais, je vais y aller en douceur mais tout en franchise. Ça devrait le faire ouais. » énonçais-je confiante avant de reprendre « oh tu sais que j’ai commencé à lire les livres de Pamela Travers ? C’est à elle que je dois à l’origine mon existence…c’est un peu bizarre dit comme ça mais je dois avouer que je suis finalement un joli mix entre la Mary Poppins de ses livres et celle qu’a dépeint Disney. J’ai souvenir d’avoir vu le Disney quand j’étais Meredith mais je ne l’ai jamais revu depuis la rupture de la malédiction et je pense que c’est sans doute mieux. Ça me ferait bizarre je pense… » avouais-je.
Le repas terminé, je termine ma boisson avant de lever le regard vers Deborah.
« Ça te manque ta vie d’avant ? » demandais-je à la jeune femme.
FICHE PAR STILLNOTGINGER. |
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________________________________________ 2020-06-08, 22:37
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| J'arquai un sourcil. Le raisonnement de Meredith était le pire des sophismes que j'avais entendus depuis longtemps. Ou alors c'était la preuve qu'elle forniquait qu'avec des hommes stupides, auquel cas, je me demandais si j'avais envie de rester son amie. Oh, bien sûr, je ne prenais pas mal le fait de devoir, une fois de plus, étaler ma science et mon savoir pour apprendre quelque chose à quelqu'un qui pense déjà tout savoir. Non, ça c'est jouissif. Sans doute une de mes plus chères passions. J'aurais presque remonté mes manches histoire de lui faire comprendre que ça allait être du sérieux ce qui s'apprêtait à sortir de ma bouche. Sauf que tout ce que je dis est toujours du sérieux, alors à quoi bon l'indiquer par des pancartes fluos ? - Soit… commentai-je lentement pour parfaire mon effet tout en ajoutant la troisième possibilité, celle qui faisait de Bert un homme bien en dépit de son prénom nul, c'est un homme avec plus de deux neurones qui se battent en duel dans son crâne et qui a même appris à les connecter de sorte qu'il sait très bien qu'on ne choisit pas sa famille et que tu n'y es pour rien s'il y a des tarés dans la tienne. Perso c'est ce que je ferais, si j'étais dans ta situation vraiment pas enviable, ajoutai-je. Mais tu peux très bien avoir choisi de te reproduire avec un imbécile, je ne juge pas. S'il est bon au lit ça a dû être une expérience exaltante. Par contre, ça en dirait long sur la fausseté de ta réputation alors on va faire genre que ta réputation est fondée et partir du principe que ce Berk - j'avais naturellement fait exprès d'écorcher son nom en appuyant bien dessus - te connait voire qu'il a foi en toi. De toute façon tu n'es qu'à peu près parfaite en tous points, faut bien une imperfection. Un petit mensonge de temps en temps, y a pire. Au moins c'était la sienne, de fille. Parfois je regrettais de ne pas avoir d'applaudissements préenregistrés dans mon sac à main ou une foule de courtisans qui me suivaient et buvaient mes paroles. Car je trouvais cette démonstration parfaite en tous points. Mais manifestement Meredith préférait parler de littéralement. Je me retins de rouler des yeux uniquement parce que je venais de démolir ses conclusions avec brio et l'écoutai me raconter sa vie passionnante. - J'ai pas lu, commentai-je un peu abruptement. Mais je suis persuadée que c'est passionnant. Si le cœur m'en dit ou que je fais une insolation qui me fais perdre le sens des priorités je le lirais peut-être à mes boulets familiers, j'suis sûre qu'ils aimeront. Personnellement, je me fiche pas mal de savoir qui de Disney, Charles Perrault ou je sais pas qui peut bien avoir raison quant à qui je suis. Ou ce que je suis, me concernant, nuançai-je. Je sais ce que je vaux et je ne me fie qu'à l'opinion que j'ai de moi. Après un bon film - ou un bon livre - ça peut divertir. Je n'avais pas bien saisi pourquoi Meredith avait soudain voulu me parler de tout ça. Je n'ai pas la tête de quelqu'un qui a un abonnement à la bibliothèque (ça c'est Sandy) ou qui va dans un club de lecture. J'aime lire, OK, c'est chouette. Mais parler bouquins, là, maintenant ? Quelle drôle d'idée cette transition ! Par chance, j'eus rapidement la réponse qui s'avéra être une question semi-philosophique. C'était donc ça. Le besoin irrépressible de sortir les violons, les mouchoirs, les larmes et tout le reste. Exactement ce qui me fait vibrer dans la vie. Note à moi-même : il faudrait que je lui présente Sandy. C'est elle qui aime bien parler de ce qu'on ressent, parce que soi-disant que ça va mieux après. Sauf que ça ne résout rien. Je ne suis plus totalement Dégoût. Je suis devenue Deborah. Que ça me plaise ou non, c'est comme ça, point final. De toute façon à quoi bon être Dégoût sans Riley (et Joie - quand elle est supportable) ? Ca n'aurait de toute façon pas de sens. - Je vais de l'avant, dis-je finalement après avoir, quand même réfléchi à la question (surtout à ce que j'allais dire et ce que j'allais dire). Ce qui est fait est fait. Ce que nous sommes devenues ne peut que partiellement être modifié. A quoi bon pleurer sur ce qui n'est plus et ne sera jamais plus ? Ca sert à rien si tu veux mon avis. Je continue de faire et être ce que j'étais avant aussi bien que je peux avec les moyens du bord. Parce qu'il n'y a que ça à faire. Si ça te manque d'être une nounou, y a des tas de gens qui se reproduisent en ville, tu trouveras facilement du taf. Moi je ne vais pas attendre une opportunité - les opportunités, je les crée. Mais j'imagine que si tu poses la question c'est que ton concernant la réponse est oui, au moins partiellement ? |
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________________________________________ 2020-06-29, 10:54 |
| faut juste qu'on parle... meredith & deborah
Un petit rire m’échappe bien malgré moi à l’affirmation de Deborah avant que je ne tente rapidement de reprendre mon sérieux.
« Je te confirme que c’est bien un homme avec plus de deux neurones… » commençais-je avec un léger sourire avant de reprendre la parole « concrètement, tu as raison, je pense qu’il me connait et qu’il sera capable de comprendre que y’a pas que des gens biens au sein de ma famille. Et ma réputation est bien fondée. » ajoutais-je en la jouant « practically perfect » avant de reprendre la parole « et oui je te confirme, Nina était bien sa fille. » avouais-je avec un petit rire « je te passerais les détails concernant sa perfection au lit hein, je pense que ça vaut mieux. » ajoutais-je, les yeux rieurs.
Pour sûr que c’était une expérience assez exaltante et que je devais être sacrément fertile étant donné que j’étais bien trop rapidement tombée enceinte. Bref là n’est pas la question. Il fallait désormais que je lui parle de Nina et de son existence. Je vins rapidement à expliquer à la rousse que je m’étais mise à lire les histoires qu’avaient écrit Pamela Travers, les histoires qui racontent ma propre vie.
« Je dois avouer que… dans un sens, je suis d’accord avec toi. » énonçais-je, simplement.
Par la suite, je vins à lui demander si elle regrettait sa vie d’avant. Après tout, certaines personnes sont dans ce cas là, moi y compris, je dois bien avouer que parfois être uniquement Mary Poppins me manquent. Un petit rire m’échappe.
« Je suis bien prise avec mon boulot de conservatrice et mon bénévolat à l’orphelinat. » énonçais-je à la jeune femme avec un sourire avant de reprendre la parole « mais oui, ma vie d’avant me manque un peu beaucoup on va dire. J’étais plus ou moins libre avant et puis, je crois que je me sentais moins humaine qu’aujourd’hui. Après tout, je suis magique, à peu de choses près parfaite en tout point, j’ai toujours dit que je ne pouvais pas être touché par les émotions qui pouvaient me traverser mais faut croire qu’à Storybrooke, je suis bien plus humaine que Mary Poppins…enfin après, je t’avoue que c’est une chance que je ne suive plus le vent parce que s’il fallait que je parte à chaque fois que le vent tourne, avec le climat qui foire, j’aurais pas fini… » soupirais-je « mais tu as raison, il faut s’adapter et je vais bien finir par y arriver trente ans après. » énonçais-je avec un soupir.
FICHE PAR STILLNOTGINGER. hj: je te laisse répondre et après je concluerais |
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________________________________________ 2020-07-02, 19:18
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| Oui, concrètement, j'ai toujours raison. J'aime bien quand les gens le rappellent mais dans l'absolu ça n'est nécessaire que pour mon égo. Qui, aux dires de certains, n'a pas besoin de l'être mais qui méritait de l'être étant donné la perfection de mon raisonnement, auquel je pensais encore quand Meredith évoqua les prouesses techniques de Bert. J'espérais (vaguement) pour elle que ses exploits n'étaient pas au niveau de son prénom (c'est-à-dire lamentables) sinon il faudrait quelqu'un pour la plaindre et je ne suis pas ce genre de personne. Ca valait effectivement mieux qu'elle n'épilogue pas, surtout parce que j'en fichais un peu. Je préférais quand Meredith disait que j'avais raison. Ca, c'est le genre de discours dont je ne me lasse pas, peu importe sur quoi on admet que j'ai raison pourvu qu'on le fasse (puisque c'est toujours le cas). Mais parler des autres parfois ça me demande de sacrés efforts de concentration. La plupart sont quand même moins intéressants que moi. C'est pour cela que j'étais restée aussi silencieuse jusqu'à ce que Meredith ne ramène sur le devant de la scène mon sujet préféré : moi. Même si je parle avec parcimonie de mon passé, estimant que seuls de rares privilégiés méritent d'en connaitre tous les secrets. Meredith en fait partie, la petite veinarde, sans doute parce que j'aime bien quand on s'asticote pour savoir laquelle de nous est la plus parfaite. De mon point de vue la réponse est évidente mais que voulez vous, elle pense le contraire… Toujours est-il qu'après avoir parlé de moi, je l'invitais à parler d'elle, le sujet ayant, une fois n'est pas coutume, éveillé un véritable intérêt de ma part. Mary Poppins avait-elle le blues ? pouvait-elle nous faire une déprime à la rentrée scolaire ? Avouez que présenté comme ça, ça donnait envie de savoir ! Je ne fus pas déçue, notamment parce que sa petite digression sur les émotions s'avéra être du pain béni pour moi que j'accueillis avec un sourire très, très satisfait. Puis j'étalai ma science, naturellement : - Les gens qui disent ne pas être touchés par les émotions sont, d'après mon expérience, les premiers à l'être. Les émotions, c'est pour tout le monde, y compris les licornes et pourtant on fait pas plus magique qu'elles, sans vouloir te vexer, ajoutai-je presque sans ironie. Je souris quelques instants plus tard, sincèrement amusée par son trait d'esprit. Comme quoi, des fois, oui, elle approchait de la perfection. Là, en tout cas, elle n'avait pas manqué son créneau. Chez moi, ce genre de petits moments fait gagner de nombreux points d'estime que je n'accorde pas à tout le monde ni à tour de bras. Et ponctuer le tout d'un "tu as raison" (ça faisait au moins trois en autant de minutes !) était vraiment bien vu de sa part. - Si tu t'adaptes pas au bout de trente ans, c'est mal barré pour finir par y arriver, hein. Enfin, je voudrais pas te décourager. La volonté c'est bien. Mais faut vivre avec son temps, j'ai envie de dire, pour filer ta métaphore, Evelyne Dhéliat. Et puis le bénévolat à l'orphelinat c'est presque pareil que ce que tu faisais avant, non ? Ca reste des gosses qui ont besoin d'un cadre. Y a juste pas de parents dans l'équation mais tu peux les emmener se balader dans un dessin ou danser sur les cheminées quand même. Ou c'est un souci d'autorisation parentale ? demandai-je, pas peu fière de ma boutade.
HJ : Ok pas de souci et désolée pour l'attente, j'ai été super prise irl. |
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________________________________________ 2020-07-08, 11:59 |
| faut juste qu'on parle... meredith & deborah
« Je suis totalement d’accord tu sais. » énonçais-je avec un petit rire.
Je savais pertinemment être à peu de choses près parfaite en tout point, rien ne changeait le fait que Deborah avait raison, je pouvais être totalement touchée par les émotions, comme toute personne ordinaire, même si je ne l’étais que très peu. Passant machinalement ma main dans ma chevelure blonde, je paye mes consommations avant de regarder la jeune femme avec un léger sourire.
« Oui c’est pas totalement faux. Concrètement, si on y réfléchis quand j’ai emmené les Banks, y’avait pas besoin d’autorisation parentale étonnement. » énonçais-je avec un petit rire « et puis après tout, je suis Mary Poppins, je n’ai besoin de l’approbation de quiconque pour faire quelque chose… » énonçais-je avec un clin d’oeil.
Une fois tout payé, nous quittons les lieux ensembles avant de nous séparer, partant chacune de notre côté.
FICHE PAR STILLNOTGINGER. SUJET TERMINÉ |
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