« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
“Tu ne devrais pas être dehors à une heure pareille! ”
Caressant toujours le chat qu’il avait dans les mains d’un mouvement mécanique, le regard de Hermès passa alternativement du pelage tigré de l’animal au visage d’Eriya. Finalement, après un instant de réflexion, il finit par dire : « C’est comme ça. Un nom, ça reflète qui on est, car en fonction de nos actes, il prend ou perd en valeur. »
Hermès fronça un peu des sourcils. Sa question était légitime. Lui, n’avait jamais eu d’enfants. Il n’avait eu qu’une créature, Pégase. Il ne pouvait donc pas réellement savoir la différence entre les deux. Le regard un peu pensif, le dieu messager continua de caresser l’animal. Elle était déjà empreinte d’une certaine sagesse alors qu’elle n’avait que quelques jours, c’était remarquable. « Je n’en sais rien. Je ne peux pas répondre à sa place sur le désir de conception quand il t’a faites. En revanche, ce que je sais, c’est qu’à présent tu es là, et que c’est un merveilleux cadeau. »
Lui faisant un léger clin d’oeil, Hermès continua à garder son chat prêt de lui. C’était dingue comme ces animaux avaient la capacité de vous calmer. Fermant les yeux à moitié et soupirant légèrement de satisfaction, il tressaillit légèrement quand il déclara que la Nature était mal faites. Echappant le chat, ce dernier s’enfuit en courant à l’extérieur du refuge. Hermès tourna la tête, mais il n’était pas du tout fâché. Après tout, Eriya était encore jeune. « Tu ne devrais pas dire cela, car je pense que c’est faux. Pourquoi penses-tu qu’elle est mal faites ? Justement, elle est parfaitement équilibré. S’il y a un bien, il faut un mal. »
Pensivement, son regard se porta vers l’extérieur, là où le chaton avait disparu. Hermès resta un long moment à fixer un endroit précis sans rien dire. En réalité, il ressentait l’aura apeuré de l’animal non loin. Tout en marchant calmement vers l’endroit, il indiqua à Eriya de le suivre. Finalement, s’accroupissant, Wallace le récupéra au milieu d’une motte de hautes herbes tout tremblant. Aussitôt que sa main passa sur le dos de l’animal, quelque chose sembla se produire et l’animal n’eut immédiatement plus peur. Ronronnant ce dernier s’assoupit dans ses mains. « Un chat, n’a que besoin d’amour. C’est très autonome. Tu n’as besoin que de lui ouvrir la porte de temps en temps. Normalement, c’est un excellent prédateur et chasseur, mais aujourd’hui, on se contente de lui fournir des croquettes. Je ne suis pas expert en chat en fait. Par contre ce sera à toi de t’en occuper. Les Gardes ne s’occuperont pas de son pelage. Tu le brosseras. Tu es sa maîtresse. »
Se relevant le chaton toujours dans le creux de ses mains, Wallace fut un peu surpris de la soudaine question sur la Mort. Fronçant les sourcils, il se contenta de regarder ailleurs simplement pour dire : « C’est comme ça. Chaque chose meurt un jour. C’est ainsi. On appelle ça « disparaître » ou « mourir » chez les mortels. C’est une règle élémentaire que toutes les créatures de ce monde ont. Les Dieux et leurs Créatures ne subissent pas les ravagent du Temps, mais nous pouvons aussi mourir, c’est juste plus dur que ce chaton. Tu auras le temps de tout apprendre par toi même. Quand à Olympe, je n’en sais rien. Je suppose qu’elle est l’oeuvre d’un Titan. Ou de la Nature elle même. Je n’en sais pas plus que toi. Il existe tout simplement. »
Finalement, sa main se détacha de celle du chaton, et l’instant suivant, elle se plongea avec douceur dans celle d’Eriya. L’instant suivant, ils venaient de se téléporter à nouveau à Storybrooke, au niveau de la grande place, là d’où ils étaient partis. « Je vais l’appeler Gribouille. C’est très simple et suffisant comme nom ! Tu veux l’appeler comment ? »
Le caressant, il se rendit compte que la peur du monde extérieur était encore présente. Le serrant contre lui, Hermès lui marmonna quelques paroles réconfortantes et il se calma l’instant suivant. Reportant son attention sur Eriya, il remarqua que son premier voyage dans le monde réel l’avait complètement perturbée. Soupirant, et lâchant sa main qu’il avait encore dans la sienne, il finit simplement par dire :
« Je crois que tu as eu un dur moment. Est-ce que tu veux rentré, ou veux tu visiter encore un autre lieu ? Tu poses beaucoup de questions, mais c’est normal. La vie est un apprentissage assez long. Mais les Créatures divines s’adaptent rapidement. Ce n’est qu’une question de temps avant que tu n’en saches plus que moi ! »
Et il se surprit à sourire à nouveau Eriya. Son coeur était plus léger devant autant d’insouciance. Pour la première fois depuis longtemps, il se sentait vraiment bien et heureux.
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Selon nos actes un nom prend ou perd de sa valeur. J'arrivais vraiment pas à voir comment un simple nom pouvait faire ça. Est-ce que quand les divins créaient une créature, ils avaient cette pression quand ils devaient nommé leur création ? Ou les autres qui avaient des enfants ? Comment ils faisaient ? Et comment nos actes changent un nom ? Je fis la moue en essayant de comprendre, mais j'y arrivais pas. Je comprenais pas le sens même de prendre de la valeur ou en perdre. Une prochaine fois, ça m'embrouillait beaucoup trop pour le moment.
Est-ce qu'un jour j'arriverai à comprendre l'envie de créer une créature ? D'ailleurs ses petits chatons pourquoi est-ce qu'ils étaient ici tout seul sans leur mère ? Ils n'avaient pas été créer comme moi, ils étaient venu au monde d'une autre façon, je ne saisissais pas encore toutes les nuances, mais ça je le savais. Dionysos et les gardiens m'avaient apprit des petites choses, mais les envies de création c'était vraiment compliqué, surtout si chacun avait une raison bien différente de le faire.
« Un merveilleux cadeau ? Comment ça c'est un cadeau ? »
Je penchais la tête sur le côté pour essayer de mieux comprendre. D'ailleurs comment incliner la tête pouvait aider à quoique se soit. Un réflexe sans doute. Lorsqu'on parla de la Nature, le petit chaton s'enfuit par la porte. Je regardais Hermès en panique ! Il était partie ?! Que faire ? Pourquoi il réagissait pas ? N'était-ce pas grave ? J'avais envie de partir à sa recherche sans pour autant savoir où... Mais lui ne bougeait pas.
« C'est triste qu'il y ait un mal, regarde ses animaux, enfermés, à attendre... Seul abandonné. Si elle était bien fait, ils n'auraient pas à souffrir de cela. C'est trop triste... Un monde sans mal... ça peut être bien non ? »
Mes yeux commencèrent à briller, c'était étrange comme sensation, c'était si humide. J'avais déjà ressentit cela auparavant, quand Dionysos me laissait seule, alors voir ses petits êtres qui vivaient cette même souffrance, j'avais terriblement mal pour eux... Je ne savais pas s'il pouvait comprendre, mais un monde où se sentiment n'existait pas, pour moi ça serait un monde merveilleux. La Nature était donc mal fait de posséder une telle chose et de la faire ressentir aux autres. Nous partîmes ensuite chercher ledit chaton partit, je remuais trop de mes quatre jambes d'inquiétude de toute façon. Il était là, cacher et mort de peur, pauvre petite chose, mais Hermès réussit à l'apaiser si rapidement... C'était magique. Parce qu'il était un Dieu ?
« D'amour ? C'est quoi l'amour ? La porte ? Mais je vis dehors, je n'ai pas de porte. Il va chasser des choses à Olympe ? C'est quoi des croquettes ? Il y en a chez nous ? Désolé je pose beaucoup de question... »
Je baissais la tête un peu gênée d'exposer ainsi mon ignorance. Il allait sans doute regretter de m'avoir confier un petit chat si mignon. Mais ça m rassurait un peu qu'il me dise qu'il n'était pas un expert, même s'il avait plus de savoir que j'en possédais.
« Oh oui ça sera si amusant ! Eux me brossant et moi brossant petit chat ! »
Le prenant dans mes bras, je regardais mon nouvel ami à poils en souriant, frottant mon nez contre son museau. Sauf que voilà, il aborda un sujet dont je n'avais pas connaissance : la fin de la vie. Un jour ce petit être allait disparaître, me quitter, quitter la vie. Je le serrai contre moi, regardant le Dieu avec effroi, espérant au fond de moi que tout ceci ne soit qu'un cruel mensonge.
« Mais c'est horrible ! Pourquoi est-ce qu'il devrait mourir ? Il n'a rien fait pour subir un tel sort ! Tu veux dire que … Toi ou Dionysos pouvaient mourir ?! »
L'idée me fit mal, encore plus mal que les sujets d'avant. La mort c'était si abstrait, j'avais du mal à comprendre, c'était horrible, disparaître, soudain ne plus être là avec les autres... Olympe pouvait bien être fait par n'importe qui, ce n'était plus important maintenant. Pourtant mon créateur m'en avait déjà parler avec son fils, mais je n'avais jamais réalisé... Je serrai très fort sa main dans la mienne pour me rassurer, je ne fis même pas attention tout de suite qu'on avait changer d'endroit. Une larme coula sur ma joue, j'en fus surprise. Que m'arrivait-il ?! Heureusement il me dit le nom de son chat, ce qui me permit de me calmer. J'observais alors le mien, le nom dont j'avais envie conjurerait-il vraiment le mauvais sort ? Ou est-ce que cette idée me ferait plus souffrir si au final cela ne changeait rien ?
« Je ne sais plus trop... »
En fait je n'avais pas non plus beaucoup d'idée de nom, surtout si ça prenait et perdait de la valeur. Quelles actions pourraient faire cette petite chose pour changer ainsi la valeur de son nom ? J'observais Hermès avec intérêt sur comment il s'y prenait avec le chat, je devrais faire pareille avec le mien, j'avais une grande responsabilité maintenant !
« Hum ? Euh... Et bien... Non on peut visiter encore peu, c'est pour cela que je suis venu ici après tout... Enfin si ça te dérange pas, tu veux rentrer toi ? Mais euh... Si on reste j'aimerai bien voir des endroits avec pas trop de monde si possible... »
Je lui fis un sourire avant de le suivre. J'espérais ne pas rencontrer beaucoup de monde, la remarque de tout à l'heure m'avait laissé un peu perplexe, j'avais pas envie d'en entendre de nouvelle du même genre. Je restais très proche de lui pour me rassurer, prenant de temps en temps mon petit chat dans les bras tendis qu'il jouait sur mes épaules ou mon dos.
« Dis moi, les créatures qui viennent ici, elles vivent où ? »
Moi je vivais dehors, était-ce la même chose pour toutes les autres créatures qui existaient ? Je me demandais beaucoup de chose sur les autres comme moi.
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Mais oui, bien sûr! Je compte moins que Vaiana ou Athéna!
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“Tu ne devrais pas être dehors à une heure pareille! ”
Hermès cligna plusieurs fois des yeux, les bras le long du corps. Le Temps lui avait fait oublié à quel point on pouvait vite oublier des choses. La sensation que l’on avait en arrivant dans ce monde par exemple. Par bien des aspects, elle lui rappelait souvent Pégase. Fronçant un peu les sourcils ; il finit simplement par dire : « Un cadeau, la Vie. C’est un don, le premier que l’on reçoit, et le plus important je pense... Enfin je crois. Ah, tout ce que je dis n’est pas une vérité exacte... »
C’était important ça. Il fallait aussi qu’elle apprenne que les gens pouvaient se tromper. Ca arrivait beaucoup à Hermès. Il n’était pas la Vérité. Et il en était parfois, d’ailleurs bien éloigné. Ca par contre, il avait la réponse. Tendant ses deux bras en avant, il les écarta en croix, pour finalement déclarer d’une voix assez sage. « Là, par contre je peux te répondre. Car notre monde est symétrique, et parfaitement équilibré. Le Bien, le Mal, la Vérité, le Mensonge, l’Ete, l’Hiver, la Vie, la Mort… C’est ainsi, et il nous faut l’accepter. Tu ne peux pas aller à contre-courant. »
Et ça c’était plutôt un bon conseil. Elliot était devenu Chronos, en mettant tout en œuvre pour aller contre ces fatalités. Et il était hors de question que cela se reproduise. Même si cela n’avait pas encore eut lieu, il savait qu’il déclencherait le Ragnarok à cause de cela. Ca commençait ainsi, avec un sentiment d’injustice. « Un chat, c’est un prédateur, derrière cet aspect mignon se cache un redoutable chasseur. Mais tu peux lui donner des croquettes, des petites boules d’aliments concentrés pour subvenir à ses besoins. »
Marquant une pause, sa question le heurta en plein visage. Hermès ouvrit la bouche, voulant répondre quelque chose, puis se ravisa. Réouvrant la bouche, il commença à déclarer : « L’amour c’est... »
Puis il la referma, marqua une très longue pause mais finit quand même par essayer de répondre. « L’amour, c’est compliqué. Il peut être multiple. Il peut être infinie et inconditionnel comme quelqu’un de ta famille. Par exemple, c’est ce que tu ressens pour Dionysos. Mais il peut être aussi, passionnel. C’est ce que tu ressens pour une autre personne, de manière totalement indéfinissable, insensé et assez étrange. Tu as envie de créer une relation plus profonde avec quelqu’un, quand tu ressens ce type d’amour… Je crois que je me suis pas trop mal débrouillé... »
Caressant sa barbe pensif, il estima assez fier de lui qu’il avait plutôt bien défini le sentiment. Il n’était pas expert en la matière, en général, pour ce genre de question, on se tournait vers Aphrodite. Mais même elle, n’arrivait pas définir ce qu’était l’amour. Beaucoup s’y été casser les dents, et d’autres chercher encore la réponse. « Mais ce n’est pas la seule définition. C’est vraiment complexe... Tu devrais demander à plusieurs personnes pour te donner un ordre d’idée ! »
Ca c’était une bonne idée ! Espérons seulement qu’elle ne se dirige pas par accident vers le premier pervers venu qui allait abuser de sa crédulité. Revenant au sujet de la mort, un léger sourire désolé apparut sur ses lèvres. Posant une main sur son épaule rassurante, Hermès déclara : « Oui, nous pouvons mourir. Mais crois moi, c’est extrêmement complexe de tuer un dieu ou une créature divine. Donc rassure toi, tu as de nombreuses années devant toi, et moi aussi. »
Normalement… Ce n’était pas comme le chat. Mais ça, Hermès ne préféra pas réaborder le sujet. C’était quelque chose d’assez sensible, et en parler le mettait généralement assez mal à l’aise. « Les créatures vivent généralement en ville. Comme les dieux. On essaie de vivre avec les gens de cette ville du mieux qu’on peut. Enfin, je suis un cas à part. Je n’ai pas vraiment de chez moi, mais bon. Peut être que je prendrais un jour un appartement qui sait ! Je suis assez nomade donc bon... »
Se rendant compte qu’il parlait un peu trop de lui, il s’ébroua le visage et le secoua de manière assez intempestive. Souriant légèrement en coin, Hermès lui saisit doucement la main. Prenant son chat, il le fit disparaître, ainsi que le sien. Puis, il téléporta ensuite Eriya… Sur la plage de Storybrooke. « Ne t’inquiète pas, ton chat est avec le miens, sur Olympe avec les gardes. C’est mieux, sinon on les aurait perdu. Voilà un endroit qui est un endroit où il y a peu de monde, surtout en cette période fraîche de l’année. C’est la Mer, je ne sais pas si tu connais. Il y a de la vie aussi à l’intérieur. Bien plus que sur la terre d’ailleurs… J’aime bien venir ici, c’est toujours très calme ! »
Les mains sur les hanches, Hermès regarda les alentours comme un petit enfant. D’ailleurs, de temps en temps, il en avait vraiment l’air. Son côté enfantin d’ailleurs, avait envie d’embêter un peu Eriya en la poussant dans le sable. Mais il se retint. Pour la simple et bonne raison que ce n’était pas bien d’embêter les nouveaux arrivants. « Des fois je viens là, pour penser un peu... On s’ennuie vite par contre. »
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Ainsi c'était le premier don qu'on avait... C'était assez logique... On ne pouvait pas en avoir d'autre avant puisqu'on n'était pas. Il m'avait donc fait un cadeau, celui de la vie... Égoïste ou pas, ça n'en restait pas moins un don que j'avais reçu, c'était fait, je n'y pouvais rien. Puis je penchais la tête sur le côté, il ne disait pas la vérité exacte ? Voulait-il me faire comprendre que parfois il mentait ? Cela m'intriguait beaucoup. Comment faire si ce qu'il me disait n'était pas toujours vrai ? Que croire ? J'étais perdue. Je pris ma tête dans mes mains, tortillant par la suite nerveusement mes cheveux. Et si tout était faux ? J'étais paniquée.
« Mais, mais si tu ne dis pas que la vérité, c'est que tu te trompes peut-être, comme tout ce que tu as dis avant. Alors peut-être qu'on peut aller à contre-courant mais que tu ne connais pas la façon de faire ? »
Je le regardais les yeux plein d'espoir, mais aussi inquiète, car il ne savait pas tout, et n'était pas la vérité comme je l'avais cru jusqu'à maintenant. Mais je ne voulais pas que d'innocentes créatures puissent ainsi mourir... Ce petit être que je venais d'avoir, dont je devais prendre soin, un jour il ne serait plus là... Plus jamais. Je ne savais pas dans combien de temps, je n'av ais pas la notion du temps, mais l'idée me donnait une sensation bizarre, c'était pas agréable.
« C'est quoi un chasseur ? Et des croquettes ? On en trouve où ? Les gardiens ils en ont à me donner pour que je lui en donne ? »
Oui, on me donne pour que je donne, tout va bien, tout est logique. De toute façon je n'avais aucune autre idée comme façon de faire, alors comme j'avais l'habitude d'être bien traité, je pensais qu'il était normal qu'ils m'aident avec le petit chat. Après tout je ne m'occupais déjà pas de moi-même.
Visiblement ma question sur l'amour était beaucoup plus compliqué, j'avais cru un instant qu'il allait me dire quelque chose, mais finalement rien du tout. C'était long. Il ne savait peut-être pas ? Mais du coup comment savoir ? Finalement il finit par me le dire, mais... C'était pas facile à comprendre !!!
« C'est quoi passionnel ? Comment on fait pour ressentir tout ça ? »
J'aimais donc Dionysos ? Possible, je comprenais pas très bien ce que c'était, quel genre de sensation on ressentait. Mais il disait des choses que je n'arrivais pas à comprendre. Créer une relation plus profonde ? Qu'est-ce que cela pouvait bien vouloir dire ? Comment ça pouvait être plus profond ? Profond que quoi d'abord ? Il avait l'air content de lui, il caressa ses poils sur le bas de son visage, mais moi j'étais perdu.
« D'accord je demanderai à tout ceux que je rencontre alors ! »
Je lui fis un grand sourire. Je poserai donc la question aux personnes qui croiseraient ma route, à force d'avoir plein de réponse, je finirai bien par me faire une idée de ce que c'est non ? Je poserai la question à Dionysos. Toute contente avant de réaliser une autre question.
« Tu as déjà eut ce genre d'amour ? »
Mon sourire n'avait pas disparut, j'étais curieuse de savoir. Je le regardais surprise, choquée concernant la mort des être divins.
« Je ne pensais pas à moi mais à toi et Dionysos, j'ai pas envie que vous puissiez ne plus être là un jour. »
D'ailleurs est-ce qu'une créature s'éteignait en même temps que son créateur ? Possible, mais je n'osais pas poser la question, je n'avais pas envie d'y penser pour le moment, c'était bien trop triste.
« Pourquoi tu n'as pas de chez toi ? C'est triste. »
Remarque je ne savais même pas si j'avais vraiment un chez moi. Mais au final ça me disait pas où et comment ils vivaient dans cette ville, juste qu'ils se mélangeaient aux gens. C'était bizarre d'être avec ceux qui sont censés vous vénérer. Puis soudain Hermès me prit la main et fit disparaître son chat et le mien, mais comment ?! Et d'un coup on était dans un nouvel endroit. Nos chats étaient en sécurités, c'était une bonne chose, et ici il n'y avait pas trop de monde.
« C'est magnifique. »
Je ne pouvais détacher mon regard de cet endroit, la Mer... C'était beau, de l'eau, une grande étendue d'eau à perte de vue. Je comprenais qu'il puisse aimer cet endroit et y venir souvent. La sensation sous mes sabots étaient nouvelles, cette matières qui au vent se collait au bas de mes jambes, d'un coup je m'élançais au galop sur la plage, puis d'un pas hésitant je m'approchais de l'eau qui avançait et reculait, et après quelque pas, j'y fonçais d'un seul coup, avançant le plus loin possible, éclaboussant tout sur mon passage, trempant mon pelage. C'était si amusant. Je regardais le Dieu en souriant.
« Allez viens ! C'est si amusant ! »
J'arrivais au galop vers lui, et je secoua ma queue pour l'arroser avant de continuer ma course autour de lui, cela faisait des dessins sur le sol, c'était drôle. Je m'arrêta d'un coup pour observer. C'était rigolo, je me jetais en petit saut sur les côtés, m'amusant à laisser des empruntes partout.
« J'adore cet endroit ! Merci de m'avoir emmener ici ! Il est parfait ! Je veux venir souvent ici !!! »
Est-ce que j'aurai le droit d'y revenir plus tard ? Je le fixais avec insistance, espérant que la réponse serait positive.
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Hermès
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“Tu ne devrais pas être dehors à une heure pareille! ”
Hermès ouvrit la bouche, puis la referma. Les mains dans les poches devant la mer, il fixa Eriya avec un regard étrangement calme. Finalement après un petit silence, il finit par répondre simplement : « Tu poses beaucoup de question. Il va falloir que tu apprennes aussi à en poser moins et à découvrir les choses par toi même… Comme pour les enfants. Et si tu me poses la question sur ce qu’est un enfant, tu en trouveras un tôt ou tard qui traîne ici. Ne t’inquiète pas, les Gardes ont tout. Ils t’expliqueront tout ça. »
Fixant l’horizon, ses pensées se perdirent un peu. Très lunaire, il n’écouta qu’à moitié ce que lui dit Eriya. Mais l’avantage d’être un dieu, c’était que la mémoire était beaucoup plus développée. Wallace pouvait revenir sur des sujets auxquels il n’avait pas répondu depuis plusieurs jours. C’était très perturbant. Finalement, la question d’Eriya lui revint en mémoire. « Tu découvriras ce que veut dire passionnel bien assez vite crois moi. Certaines choses n’ont pas besoin de mots pour être expliqué, c’est le cas de la passion. Et oui, j’ai déjà rencontré ce genre d’amour. »
Faisant disparaître ses chaussures pour être pieds nus, il profita de l’instant. Même s’il devait faire froid, il le ressentait bien moins que les mortels. Fronçant des sourcils quand elle lui demanda s’il avait un chez lui, Hermès baissa les yeux et se renferma plusieurs longues secondes. Une boule naquit dans sa gorge, puis, après plusieurs autres secondes de réflexion pour savoir ce qu’il allait dire, il finit simplement par déclarer : « Non, je n’ai plus de chez moi. Je ne viens pas de ce monde, c’est complexe et je n’ai pas beaucoup envie d’en parler. Mais considère simplement que mon mon est détruit et que j’erre dans celui là pour trouver ma place. C’est une bonne définition. Quand à notre disparition éventuelle... »
Là, un sourire en coin apparut sur les lèvres d’Hermès, relevant les yeux, rieurs, ce dernier regarda Eriya qui n’avait qu’une envie, courir sur la plage.
« Je te répète que c’est rare et extrêmement difficile. Nous avons plusieurs fois trompés la mort, et nous continuerons certainement encore quelques siècles de plus. »
Il ne parla pas du Ragnarok proche, ou tout pouvait mourir. Elle était bien trop fragile pour qu’on lui révèle si tôt cette vérité. De toute manière, elle l’apprendrait tôt ou tard. A Olympe, on ne parlait que de la fuite de sa sœur, Héra, avec Eulalie. Fronçant les sourcils quand elle se mit à courir vers les vagues, Hermès ricana. « Je ne crois pas que... »
Soudain, une lueur s’éveilla dans sa poitrine. Elle n’avait pas été réveillé depuis quelques années. L’enfance. De tous les dieux, Hermès était à l’origine l’un des plus immatures et des plus enfantins. Fixant la mer et observant Eriya jouer dans les vagues, l’envie de la rejoindre se fit sentir. Finalement, Hermès se mit à courir, et dans sa course, il fit disparaître ses vêtements, ne gardant qu’un short qui venait d’apparaître. Sautant dans l’eau d’un bond assez grand, il plongea assez loin pour ne pas se blesser. Remontant sa tête hors de l’eau, son regard brilla. « Tu devrais venir! Elle est super bonne ! »
C’était un mensonge pour lui jouer un tour ! En réalité, elle était glacé. L’espace d’un instant, Wallace oublia sa vie d’avant, son monde et tous ses problèmes. Cette créature divine avait pour avantage d’être tellement pure et naïve qu’on en oubliait presque parfois notre propre condition. François l’avait-il fait exprès ? Après tout, il était dans une passe assez difficile. C’était une probabilité qui resta dans un coin de la mémoire de Wallace. Se rapprochant d’Eriya, le dieu des vents s’arrêta à quelques mètres d’elle, et sans trembler et de manière convaincante, insista : « C’est pas une blague ! Le mieux pour en profiter un maximum, c’est de sauter loin et de ne pas y aller progressivement. Tu verras, ensuite une immense sensation de chaleur va parcourir ton corps ! Véridique ! »
Et oui. Il était aussi, un des dieux les plus farceurs.
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Après un moment de réflexion, cherchant quelque chose à dire, je finis par baisser la tête ne sachant quoi répondre. Il avait raison, je posais beaucoup de question, mais en même temps tout était nouveau ici ! Je n'y connaissais rien et j'avais envie de tout savoir ! C'était normal non ? Ou bien était-ce une bêtise que de chercher à découvrir son environnement ? Bon cette ville ne l'était pas, mon chez moi était Olympe et, certes je n'y connaissais pas encore tous les recoins, mais j'y étais née et j'avais vécu mes premiers jours de vie là bas choyé par les gardiens, alors forcément ici... C'était tout nouveau, encore plus que pour n'importe qui car j'étais née il y a peu. En plus il me comparait à quelque chose que je ne comprenais pas, impossible alors de savoir ce qui était comme moi selon lui... C'était pas juste.
Puis la suite n'était pas mieux : des choses qui n'ont pas besoin de mot pour être expliqué ? Comment ça ? Comment on faisait alors pour les comprendre ? Un peu comme la faim ou la soif ? Bien qu'à vrai dire, je ne les ressentais pas vraiment, au fond je n'étais même pas sur d'avoir ressentit ce besoin véritablement, je le faisais car il fallait le faire, étrange, je demanderai aux gardiens, car généralement c'était eux qui m'apportait à manger. Mais j'avais envie de connaître la passion moi maintenant ! Surtout qu'il l'avait connu ! J'avais encore plus envie de savoir, mais il m'avait dit de pas poser trop de question, alors il fallait que je n'en choisisse qu'une seule... Pas facile !
« Les créatures aussi peuvent vivre ça ? »
Car si ça ne s'expliquait pas avec des mots, j'avais besoin de savoir si un jour je pourrai le comprendre, et puis... Si je lui avais tout de suite demandé plus sur son amour, il ne m'aurait peut-être pas répondu et j'aurai perdu une question. Je frottais nerveusement un de mes sabots sur mon autre jambe dans l'attente de la réponse.
Son visage se ferma ensuite et il resta un instant silencieux, mais c'était différent des fois précédentes, avais-je dis quelque chose qui ne fallait pas ? Je penchais ma tête sur le côté, inquiète d'avoir fait quelque chose de mal et de l'avoir mit dans cet état. Dionysos aussi était parfois dans cet état, souvent quand il parlait de son fils. Avait-il eut un fils lui aussi ? Je ne connaissais pas toutes les émotions, les sentiments, ni … je ne connaissais pas grand chose en faite, mais ce qu'il me dit me fit beaucoup de peine, et je ressentis le besoin de le prendre contre moi.
« Pardon. »
Ce mot la, les gardiens me l'avaient bien appris ! Il fallait que je le dises souvent quand ils n'étaient pas content de moi, ce qui arrivait hélas bien souvent même si je ne savais pas toujours pourquoi, ils étaient bizarre les gardiens, ou peut-être qu'ils aimaient bien ce mot...
« Moi je sais que tu as ta place ici. Et je pense, et je ne veux pas que ça soit juste pour quelques siècles que vous trompiez la mort, mais jusqu'à la fin des temps. »
Bah oui quoi ? Autant que ça soit jusqu'au bout non ? Quitte à tromper la mort. D'ailleurs je ne savais même pas qu'on pouvait la tromper, mais je n'osais pas poser la question de comment faire... Une prochaine fois. Mais puisque je ne pouvais pas trop poser de question, j'en profitais pour courir sur la plage. De toute façon question ou pas, j'en avais trop envie ! La sensation était si agréable, le vent qui venait de la mer était si délicieux, et le sable mouillé qui éclaboussait était bien trop amusant pour ne pas résister. Je laissais mes empruntes de sabot sur le mon passage, ça m'amusait d'autant plus. Je pouvais dessiner comme j'en avais envie !
Hermès aussi finit par venir courir avec moi dans le sable et l'eau ! Je galopais sur le bord, arrosant partout, le bas de mes jambes mouillés mais qu'importe c'était si agréable, j'en ressentais une telle joie que je ne pouvais m'arrêter ! Il avait retirer ses vêtements, moi je n'en avais pas c'était beaucoup plus pratique. Étonnement il en avait gardé un, c'était étrange, l'avait-il oublié ? Bizarre. Moi j'étais nue, la couronne de fleur que j'avais sur la poitrine s'était rapidement envolé pour finir par orné la mer. Il me dit de le rejoindre dans l'eau. Je m'arrêtais dans ma course pour l'observer, je n'avais pas trempée tout mon corps, et c'était la première fois que je me baignerai dans une autre eau que celle de la Cascade d'Olympe, près de là où je vivais. J'hésitais, j'adorai être dans l'eau, mais celle-ci était différente, rien qu'à l'odeur on le sentait, je ne saurai dire pourquoi.
« D'accord, laisse moi prendre de l'élan alors. »
Car j'étais grande, et je ne connaissais pas la profondeur de cette eau. Je reculais alors assez pour galoper aussi vite que possible dans le sable mouillé, m'enfonçant un peu dans le début de l'eau avant de sauté haut et loin et venir plonger encore plus loin que lui dans cet étendue d'eau au goût étrange. Si la partie de mon corps à fourrure n'avait pas tout de suite ressentit le froid, mon buste lui oui ! C'était glacée, je ressortis la tête en battant frénétiquement mes quatre jambes et mes bras.
« Tu es un menteur ! C'est froid ! Pourquoi est-ce si froid ?! Je connais pas ! »
J'avais plongé trop loin finalement, car je n'avais pas pied, j'oubliais que mes sauts étaient exceptionnel, pratique pour fuir les gardiens, mais là non. Je luttais pour avoir de nouveau pied, cette nouvelle sensation était perturbante et gênait mes mouvements, je n'y étais pas habitué, et une fois que mes sabots touchèrent le sable au fond de la mer, je me remis à galoper de plus belle, sortant ensuite de l'eau, secouant me corps et ma chevelure près d'Hermès pour l'arrosé de l'eau froid.
« Tu as mentis ! Ce n'était pas du tout une sensation de chaleur ! Toutes les eaux ici sont-elles aussi froide ? Ça fait une sensation si étrange... Comment cela se fait-il ? Et pourquoi avoir mentit ? »
C'était la première fois que j'étais confronté aux mensonges, on m'avait déjà dis que c'était le fait de ne pas dire ce qui était vrai, mais pourquoi est-ce que les gens mentaient ? Je n'arrivais pas à comprendre, pourra-t-il peut-être me l'expliquer ?
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“Tu ne devrais pas être dehors à une heure pareille! ”
Hermès cligna légèrement des yeux quand elle lui demanda si les créatures pouvaient ressentir ça. A vrai dire… Il ne s’était pas véritablement poser la question, car il savait que de mémoire, elles n’avaient pas d’âme. En revanche, il avait déjà vu une créature en relation. Donc potentiellement, l’âme n’avait peut être rien à voir avec ça. Fronçant les sourcils, il répondit simplement :
« Je pense. »
C’était assez court, mais ça avait le mérite d’être clair. Souriant doucement devant la naïveté d’Eriya, concernant la Mort, Hermès s’avança vers elle et se contenta de dire avec sagesse : « Tu sais, la mort n’est pas une fatalité. C’est juste comme… Allez plus loin ! »
Puis, elle s’élança dans l’eau. Suivant sa promesse, elle plongea tête la première dans l’eau et fut immédiatement frigorifié. Son visage exprima la surprise, l’étonnement puis ce qui ressemblait à la colère. Grâce à lui, elle avait découvert trois émotions. Alors, Hermès fit apparaître ses ailes. Deux ailes immenses apparurent dans son dos, blanche comme neige. Deux autres paires d’ailes apparurent au niveau de ses chevilles. S’envolant, il avança vers Eriya au dessus de l’eau et se mit à ricaner comme un enfant trop fier d’avoir réussi à jouer un tour. Quand elle sortit, Hermès se mit assez haut pour éviter de se faire mouiller par ses cheveux. Ses vêtements réapparurent l’instant d’après. Battant des ailes pour éviter une vengeance et rester bien à distance, Hermès continua à rire, mais reprit aussitôt son sérieux : « J’ai menti pour que tu apprennes à ne pas faire confiance à n’importe qui. Dans ce monde, certaines personnes sont mal intentionnées. Ne me demande pas pourquoi, c’est très complexe. Certains ont vécu des souffrances et essaient de les faire vivre aux autres je pense... »
Pensif, il resta en vol stationnaire au dessus de l’eau. Finalement, au bout d’un moment, il la fixa et ses yeux allèrent sur sa poitrine. Ses joues rosirent légèrement et il détourna les yeux. « Tu devrais cacher ta poitrine. Dans ce monde, la coutume veut que les femmes ne la découvre que… Pour une autre personne qui lui est cher et avec qui elle veut partager un moment passionnel ! »
C’était une bonne définition. Finalement, Hermès atterrit à quelques pas d’elle, et fit disparaître ses ailes. Réfléchissant, il avança doucement. Peut être allait-elle se venger ? On n’était jamais trop prudent. « Je ne mens que rarement. C’était pour que tu comprennes le principe, en sécurité avec moi. Il vaut mieux que tu apprennes ce genre de chose avec quelqu’un de bienveillant, que de le découvrir seul… Bien. Et si on réfléchissait à un moyen de te donner une apparence qui me ressemble mh ? »
Hermès fit apparaître une immense couverture, qui se drapa autour du buste d’Eriya pour pas qu’elle n’est froid. Même si sa condition de créature divine faisait qu’elle le craignait moins que les autres, ce n’était pas une raison pour qu’elle n’est pas un minimum de confort. « Pégase peut prendre une apparence humaine. Ca doit fonctionner pareil. De mémoire, tu dois faire le vide dans ton esprit. Et visualiser l’apparence que tu veux avoir. Puis, une fois fait, je pense que ton corps changera de lui même. Ce qu’il faut, c’est simplement y croire. La Nature fera le reste. Après, tu ne peux avoir qu’une seule apparence humaine, donc je te conseille de te prendre plutôt… Mince. Tu auras plus de chance de fondre dans ce monde là. Ne me demande pas pourquoi, c’est comme ça, et j’y peux rien ! »
Cela faisait plusieurs fois qu’il ajoutait « Ne me demande pas pourquoi ». C’était devenu une récurrence avec Eriya. En même temps, c’était un peu normal. Lui même ne se rappelait pas de comment il avait découvert le monde il y a 5 millions d’années… Alors ce n’était pas si facile de conseiller quelqu’un. « Ah, et pense aussi à des vêtements. Ca serait pas mal… Je me répète je sais, mais ici, on ne se balade pas nu. Même Apollon reste habillé. Même si je sais que c’est plus fort que lui et qu’il veut montrer son corps à tout le monde, on le retient… »
Alors, les bras le long du corps, il attendit. Observant si Eriya y arriverait. Certainement, puisque c’était François qui l’avait conçu. Même s’il n’excellait pas comme Eris, c’était certainement du bon travail. D’ailleurs, à ce moment même, Hermès remarqua que sous certains angle, Eriya ressemblait de temps en temps à Aphrodite. L’avait-il fait exprès ? Ou était-ce involontaire ? Et par d’autres aspects, elle lui fit aussi penser à Pégase… Ces créatures étaient vraiment, impressionnantes.
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A sa réponse, je sautillais de joie ! J'avais qu'une hâte, gouter moi aussi à ses sentiments ! Ça avait l'air amusant et plaisant à ressentir ! Je voulais découvrir la passion, dommage qu'on ne puisse pas choisir quand ressentir se sentiments ! Bon il avait qu'il pensait seulement, mais ça voulait quand même dire qu'il y avait une chance non ? Je serai déçu sinon, où si jamais je ne le pouvais pas, est-ce que Dionysos pouvait faire en sorte que je sois capable de ressentir ce genre de chose ? Je lui demanderai.
« Allez plus loin ? Tu veux dire le royaume d'Hadès ? »
Mais nous nous ne pouvons pas, les créatures étaient différentes, il nous manquait quelque chose, quelque chose d'important... Je ne comprenais pas tout à cette histoire, mais je savais qu'il nous manquait quelque chose de très important, une fois qu'on était mort, nous, nous allons où ? Et les dieux ? Allaient-ils aussi aux royaumes d'Hadès ? Cela serait étrange... Mais d'un côté, je n'osais pas encore tout savoir, ça me faisait un peu... un peu peur je crois.
Enfin cela ne gâcha pas ma joie de galoper sur le rivage, faisait jaillir l'écume et le sable de mes sabots en une trainé étincelante sous les effets du soleil. Puis j'avais plongé à sa suite dans l'eau, écoutant ses conseils et voulant découvrir les effets qu'il me vantait, mais j'appris quelque chose de terrible : le mensonge. Il m'avait dupé, mentit, trahit. J'avais cru ses belles paroles, sa promesse d'une eau chaude et agréable, mais la partie dévêtue de mon corps ressentit du froid, supportable certes, mais ce n'était pas ce à quoi je m'étais attendu. Voyant ses ailes déployé et son air fier, je fis la moue avant de lui tirer la langue, n'ayant d'autre moyen de montrer mon mécontentement. Mon panel d'émotion et d'expression étant encore limité.
« Cela veut dire que des gens le font exprès de mentir pour faire du mal ? Mais c'est horrible ! Même si on vit des souffrances, ne devrait-on pas tout faire pour éviter que d'autre ne connaisse le même sort ? »
Je n'arrivais pas à comprendre... J'étais surement trop jeune, lorsque j'en rencontrerai peut-être comprendrais-je ? Bien qu'en y réfléchissant, je n'avais pas envie d'en rencontrer. Puis les joues d'Hermès rosirent. Pourquoi donc ? C'était étrange.
« Ma quoi ? Mais je suis toujours ainsi à Olympe, parfois les gardiens me font des couronnes de fleurs que je me met sur les épaules. Mais toi tu n'avais rien sur le poitrail, et puis en plus j'en ai deux. Pourquoi seul les femmes doivent le faire ? »
Parce que lui l'avait fait, mais il avait dit les femmes... Sauf que moi, j'étais pas une femme je suis une créature, une centaurette qui plus est. Je m'approchais de lui et touchais ses joues roses.
« Pourquoi ont-elles changé de couleur ? »
J'espérais que là, il ne me mentirait pas, car après tout j'avais bien vu qu'elles avaient changé de couleur. D'ailleurs il m'expliqua le mensonge, j'arrivais pas à comprendre quand même pourquoi il l'avait fait. Pou que je comprenne ? Mais c'était triste de faire ça à des gens qu'on connait non ? C'était blessant presque.
« Ce n'est pas très gentil quand même... Une apparence qui te ressemble ? Tu mens encore ? »
Je le fixais avec méfiance maintenant tout en tenant la couverture qu'il me mit dessus. C'était tout doux ! Je tournais autour de moi-même pour l'observer, c'était si agréable à porter ! C'était nouveau j'aimais beaucoup !
« Est-ce que je pourrai la garder avec moi ? Tu fais de la magie ? Tu peux tout faire apparaître ? »
Sinon la prochaine fois je demanderai à Dionysos de me ramener ce genre de chose lorsqu'il partirait de nouveau pour le monde des humains. Me voilà ensuite surprise, une apparence humaine ? Mais j'étais une centaurette moi ! Une partie de mon corps leur ressemblait déjà à part mes petites oreilles plus pointues.
« Ah oui ? Toutes les créatures peuvent prendre une apparence humaine ? Mais pourquoi alors qu'on en a une autre ? Mince ? C'est quoi mince ? Mais est-ce que Dionysos sera d'accord que j'essaie de changer la façon dont il m'a faite... »
Et puis pourquoi je devais pas lui demander pourquoi ? La prochaine fois je lui demanderai, mais il allait encore dire que je lui posais beaucoup de question... Pourtant une autre importante me venait en tête. Mais c'était pas ma faute !
« Mes jambes doivent ressembler aux tiennes ? »
Parce sinon je voyais pas d'autre jambes... Celles des gardiens ? De Dionysos ? Des gardiens de l'Olympe ? Visiblement je ne devais pas me louper, c'était étrange d'ailleurs qu'on ne puisse changer qu'une seule fois... Puis je penchais la tête intrigué, je devrais porter exactement la même tenue que lui ?
« Des vêtements ? Ce que tu portes ? Je dois porter la même chose, les fleurs ne suffisent pas ? Apollon aussi ? Ils sont vraiment tous ici... »
Même lui devait porter des vêtements et ne pas être nu, les gardiens m'avaient déjà parlé de lui et qu'il n'avait pas de vêtement comme moi, mais qu'ils préféraient que ça soit moi qui soit ainsi, je me demandais bien pourquoi...
« J'ai peur... Et si Dionsysos me grondait ? Et si je n'arrivais plus à redevenir moi après ? Si je restais coincée ? »
Plongeant mon regard au bord des larmes dans le sien, je m'inquiétais des conséquences d'une telle chose, c'était changeait une création d'un Dieu quand-même...
HRPG : Joyeux Noël
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Hermès
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“Tu ne devrais pas être dehors à une heure pareille! ”
Hermès l’observa un long moment. Comment lui répondre ? Elle avait marqué un point. Il ne savait pas où les créatures allaient quand elles mourraient. D’ailleurs, est ce qu’il y avait une vie après la mort pour elles ? A cette pensée, Hermès eut un haut le coeur. Pégase. Sa Pégase. Elle était morte, dans son monde, et celle de ce monde si l’avait remplacé. Mais c’était différent. « Entre autre, mais ce n’est qu’un passage. Et ce n’est pas son Royaume, faut arrêter de croire tout ce qu’il dit à celui là. »
Hadès avait la facheuse tendance à tout s’approprier. Son Olympe, Ses Enfers, son Tartare. Alors que tout cela existait bien avant lui. Enfin, dans son monde. Finalement après quelques secondes de réflexion, il répondit : « Parfois, un mensonge peut protéger et éviter mille douleurs. C’est relatif… »
C’était la vérité. Enfin, sur le mensonge. Mentir pouvait parfois protéger les autres. Il l’avait fait à de multiple reprise. Pourquoi ? Simplement parce que la Vérité était parfois bien trop douloureuse à entendre. Finalement, quand elle lui parla de sa poitrine, il éclata d’un rire cristallin, sa tête en arrière. Qu’est ce que c’était drôle parfois d’être aussi naïf et si… nouvelle. On ne voyait pas toutes les incohérences de la société quand nous étions dedans. « C’est une… Convention sociale de ce monde. Les femmes doivent se cacher la poitrine et ne la dévoiler qu’à ceux qu’elles autorisent. Ca les rends unique, et désirable. C’est complexe à vrai dire. Ca ne me dérange pas, mais je ne suis pas seul dans ce monde, et crois moi, certains en profite un peu trop. Tu devrais les cacher. »
Un sourire en coin apparut sur ses lèvres. Puis, elle toucha ses joues. Oui, il avait rougi. Avec le Temps, finalement il avait fini par ressembler aux hommes de ce monde. Certains réflexes étaient devenus des habitudes. Mais elle avait bien fait de lui rappeler sa condition primaire : un enfant des Titans et donc de la Nature elle même. Avec un sourire il attrapa sa main et l’enleva doucement. « Parce qu’au final, les dieux et les hommes deviennent semblables avec le Temps. Nous leur avons donnés nos maux, dont la timidité. »
Quand elle posa la question de la magie, Hermès fronça les sourcils. C’est vrai, il n’avait pas parlé de ce détail. Ricanant dans sa barbe naissante, il la fixa s’enrouler dans sa couverture. C’était assez beau à voir. En réalité, Dyonisos avait plutôt bien réussi cette créature. « Une apparence qui ressemble à tous, surtout. Les Hommes ont la fâcheuse tendance à haïr ceux qui ne leur ressemble pas et ce qu’il ne comprenne pas. C’est ainsi, je dis cela pour te protéger. Mais ici, tu peux aller librement comme bon te sembles, beaucoup ont des différences et elle est plutôt bien accepter… Seulement… La ville n’est pas tellement adapté à ceux qui ont des sabots. »
Avec un sourire, il désigna des transats étendus sur la plage. C’était mathématiques, rien n’était adapté à elle, et à son corps dans cette ville. Avec un énième sourire, il continua : « Non, ce n’est pas de la Magie. La Magie c’est bien différent. Ce sont juste nos pouvoirs qui le permettent. »
C’était… assez simple pour une définition de quelque chose d’assez complexe. Finalement il pencha la tête sur le côté, ressemblant étrangement à elle même dans cette position. Fronçant les sourcils après une longue réflexion, il se mit à rire : « Je me répète, c’est des conventions. Et avant que tu ne poses la question, une convention est quelque chose d’acquis et d’utiliser par tout le monde, c’est comme ça. Non, Dyonisos ne peut pas t’en vouloir de t’adapter, de découvrir le monde. Tu... »
Il marqua un temps d’arrêt. Allait-il lui dire ? Certains dieux ne considéraient pas les créatures de la même manière. Zeus s’en servait comme des objets, Hadès les considéraient comme des possessions. Lui, comme des amis. Chacun étaient différents, mais connaissant le Dyonisos de son monde, qui ne devait pas être si différent, il était plus de son côté alors il s’y risqua. « Tu es libre, tu peux faire ce que tu veux. Et non, ne t’inquiète pas, tu pourras retrouver ta forme véritable. Parce que tu as été créée comme ça, et que c’est ainsi. C’est ta Nature. Tu ne peux pas aller contreta propre nature, c’est la première règle ! Allez, essaie ! Visualise toi un corps, que tu aimerais prendre. On peut essayer si tu veux. Je l’ai appris à Pégase. Passer de la forme d’un cheval ailé à une jeune femme. C’est pas très compliqué. Visualise toi simplement une forme…féminine. »
HRPG : Joyeux noel à toi aussi! Et une bonne année! Désolé ca a été un peu... Mouvementé pour moi ces temps-ci xD je suis de retour à 100%! Désolé du délai, c'est rare en général, mais ca arrive xD
Eriya Casca
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L'idée de la mort qui ne m'avait jamais effleuré l'esprit m'inquiéta soudain, le fait que je sois différente des autres me sauta aux yeux encore plus. Nous on allait où quand on mourrait ? On était des créations, pas directement fait pas dame nature, mais par un dieu, du coup si on mourrait on n'allait où ? On devenait quoi ? Et les dieux ? Car un dieu au royaume d'Hadès ça faisait bizarre non ? Ils pouvaient déjà y aller de leur vivant... Donc mort ils devenaient quoi ? Car c'était un endroit pour les mortels.
« Ah bon ce n'est pas son royaume ? Pourtant il en est le dieu ? Mais s'il y a une vie après la mort pour les mortels... pour eux vivre ou mourir c'est la même chose... Pour nous c'est comment ? »
Je penchais ensuite la tête sur le côté en essayant de comprendre ce qu'il voulait me dire. Un mensonge c'était méchant alors comment cela pouvait protéger ? C'était contradictoire non ? J'avais du mal à comprendre... En tout cas là je voyais mal comment ça aurait pu me protéger, en plus il avait dit que des gens méchants mentaient... J'étais soudain perdu !
« Un mensonge pour protéger de mille douleurs ? C'est bizarre... »
Bien trop pour moi en tout cas ! Pourquoi ne pas faire les choses simplement hein ? Peut-être étais-je encore trop jeune pour tout comprendre au monde, je n'avais jamais mentis jusqu'à maintenant je ne savais même pas ce que c'était, mais est-ce que les gardiens m'avaient déjà mentit ? Ou Dionysos ? Je ne savais pas, sans doute ne le saurai-je jamais. Cela m'inquiétais.
Soudain il se mit à rire alors qu'on parlait de ma poitrine, est-ce que cela était drôle ? C'était ainsi qu'on m'avait faite... M'avait-on raté ? La dame au refuge aussi avait fait une remarque, pas sur cette partie du corps, mais quand même... Une convention sociale ? Les femmes doivent la cacher ? C'était étrange.
« Mais je ne suis pas une femme, je suis une créature ! Moi aussi je ne dois la montrer qu'à ceux que j'autorise pourquoi ? Et c'est qui que j'autorise ? Je l'ai déjà montrer à Dionysos, aux gardiens... Mais comment on peut en profiter ? Ils sont à moi et sur moi. »
Alors comment quelqu'un d'autre pouvait profiter de ma poitrine ? Elle était sur moi... Mais là ce qui m'intriguait c'était le rouge qui était apparut sur ses joues. C'était bizarre, je n'avais encore jamais vu cela, comment avait-il fait pour en changer la couleur ? Je touchais pour voir si cela était chaud mais non ce n'était pas brûlant malgré la couleur.
« La timidité c'est quoi ? Mais attend... Tu veux dire que... Les dieux vont devenir des hommes ?! »
Je le regardais avec effrois, comment les dieux pourraient-ils finir par devenir de simple homme ? Ce n'était pas possible, à moins que... Ce n'était les hommes qui se rapprochaient des dieux ? Non, cette idée était bien pire ! À vrai dire je ne connaissais pas les hommes, mais je ne voulais pas qu'ils soient pareils aux dieux ! Non, non et non ! Mais au fait... C'était quoi un maux ?
« Les Hommes haïssent ceux qui ne leur ressemble pas ? Je n'aime pas les Hommes... C'est méchant. Ils sont stupides. Est-ce qu'ils détestent ainsi les dieux ? Mais pourquoi ceux d'ici acceptent et pas les autres ? Donc quand tu dis que d'autres ont des différences, ils n'ont pas de sabot... Je suis la seule... »
Cela me peina un instant, mais d'un coup je me sentis un peu fier. Mais je n'aimais pas trop l'idée de ressembler à ces êtres inférieurs et visiblement stupides. Par contre c'était embêtant si avec mon corps je ne pouvais pas faire tout ce que je voulais en ville, est-ce que Dionysos m'avait fait ainsi pour éviter que j'y aille ? Il me désigna quelque chose sur la plage, et je le regardais en penchant la tête, de quoi est-ce qu'il parlait, je ne connaissais pas ses choses... Mais évitons de pauser trop de question, je ne voulais pas être grondé.
« Des pouvoirs, la magie ? Quel est la différence ? Pourquoi certains ont des pouvoirs et d'autre utilise la magie... Je me demande si cela revient au même... »
Est-ce que la magie pouvait égaler les pouvoirs des divins ? Non cela était impossible... Je ne pouvais concevoir que quelqu'un puisse égaler les dieux, encore moins un Homme. Lui aussi pencha la tête, ça me fit sourire.
« Donc si tout le monde à Olympe fait d'une certaine façon les choses, c'est une convention ? Oui ? »
Il n'avait pas terminé sa phrase, et au bout de quelques secondes, cela me fit à me provoquer une angoisse en moi, un sentiment nouveau qui me serra le cœur, par chance j'en avais qu'un malgré mon cœur, tandis que d'autre chose était en double. Est-ce que Dionysos pourrait se fâcher ? Être déçu ?
« Tu me le promet ? Ce n'est pas un mensonge comme tu l'as dis ? Hein tu sais pour éviter d'avoir mal, je veux pas de mensonge... C'est vrai tu as appris à Pégases ? Oh j'ai envie de la rencontrer ! »
Je le regardais avec des yeux pétillants, je voulais vraiment la rencontrer, elle était une créature et en plus elle savait se changer, donc elle venait souvent ici, peut-être qu'elle aurait des conseils intéressant, de créature à créature ?
« Comment ça une forme féminine ? »
Je savais que j'étais du type « femelle » car je n'avais pas le même haut du corps que Dionysos, Hermès ou encore les gardiens, et aussi parce que j'avais deux vagins, les gardiens m'avaient dit que c'était ce qui différencier les mâles des femelles, même si normalement les personnes n'en avaient qu'un seul.
« Est-ce que tu peux me montrer ? Je ne sais pas quoi faire de ma croupe, de mes vagins, ni si je garde l'articulation de mes jambes antérieurs ou postérieurs, mais si j'ai un corps plus petit, je ne vais pas être malade ? »
Car j'avais quand même deux corps, donc beaucoup plus puissant qu'un seul, un corps à moitié et un corps presque entier, donc j'allais perdre beaucoup ! Je n'étais même pas sûre de réussir à marcher si je n'avais que deux jambes à la place des quatre que j'avais... J'irai beaucoup moins vite...
HRPG : Merci beaucoup ! Meilleurs vœux pour cette année ! Pas de soucis, c'est ça c'est fête :) Eriya elle va adorer la petite sirène qui est deux parties aussi et qui prend un corps humain faut absolument lui montrer