« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Parfois on passe trop de temps à aider les autres qu'on oublie ses propres problèmes... × ft. Alexis &Axel
Alexis adorait son métier de botaniste et aussi aider les autres. Il passait donc beaucoup de temps dans sa boutique ou dans la forêt ou à aider les autres. C'était un peu sa raison de vivre dans cette étrange époque, loin de celle qu'il avait connu autrefois. Ici, tout était différent.
Une seule chose ne changeait pas: sa relation avec Obias Lice alias Obélix. C'était vraiment son âme sœur et ils allaient se marier, enfin. Mais bon, parfois, à force d'aider les autres, il en oubliait que tous les soucis de la préparation reposaient beaucoup sur lui. Il n'en voulait pas à Obias, bien sûr. Mais ça lui pesait et c'était peut-être pour ça qu'il aidait encore plus les autres.
Ce jour-là, il ne travaillait pas (une des bonnes choses quand on est son propre patron!) et avait donc décider d'aller se balader en ville. Et il ressassait un peu ce souci et d'autres (comme le fait de ne pas toujours se sentir à l'aise dans ce 21e siècle) en marchant, enfin, plutôt en errant en ville. Finalement, il s'assit sur un banc et se mit à pleurer... C'était plus fort que lui. lui, le guerrier, il pleurait!
Tout à coup, quelqu'un l'approcha et commença, sans raison, à lui faire des câlins. Enfin si il voulait sûrement le réconforter mais bon c'était un inconnu. Alexis dit, au milieu de deux sanglots:
-Excusez-vous, pourquoi me faites-vous des câlins...?
Cela ne la dérangeait pas, lui qui aidait beaucoup les autres, mais c'était déroutant quand un inconnu le faisait directement, sans rien dire de plus...
Parfois on passe trop de temps à aider les autres qu'on oublie ses propres problèmes... ft Alexis Rice
Non je ne vis pas dans le monde des bisounours, j'ai juste plusieurs corde à mon arc-en-ciel c'est tout
- Il était un petit hommeuh, pirouette cacahuèteuh, il était un petit hommeuh, qui avait une drôle de maison, qui avait une drôle de maison ♫♪
Olaf n’était pas le genre à chanter quand il n’était pas heureux. Alors aujourd’hui, il était heureux et il chantait … mais après tout, il n’était pas le genre d’être à être malheur… Bien sur, il avait des tonnes de choses dans sa tête.. Bien plus que ce que la plupart des gens pouvaient penser. Il avait la mort de deux entités sur les bras, la honte de cet acte …MAIS, il était heureux pour repousser le malheur. C’était aussi simple que ça. Aujourd’hui, l’automne commençait, et même s’il adorait l’été, l’automne, le printemps et l’hiver étaient aussi des saisons qu’il aimait.
Il se laissait guider par ses pas alors que l’horaire d’ouverture du glacier avec été diminué…après tout, manger des glaces ça se faisait beaucoup en été, peu en printemps et en automne et partiquement plus du tout en hiver… même si le glacier Jack Frost rester ouvert toute l’année… Olaf avait remarqué qu’il avait plus de temps pour faire du bénévolat…ou même pour faire des cadeaux. Il faisait toujours attention à ne pas trop dépenser plusieurs mois avant noel pour pouvoir faire un cadeau parfait à chaque personne qu’il aimait … et il aimait beaucoup de monde… Alors qu’il était en train de marcher donc, suivant papillon, odeur et déplacement du vent, il se retrouva à proximité d’un banc…
Sur lequel quelqu’un pleurait … Olaf n’était à nouveau pas le genre de personne à laisser une personne à pleurer ainsi sans rien faire … Il se demandait ce qu’il pouvait se passer dans le cœur de cet homme, mais il savait que peu était les personnes qui osaient pleurer en public. Alors ou l’homme était comme lui et pleurait quand il en ressentait le besoin, et donc Olaf devait lui faire un câlin … ou l’homme était comme les autres et pleurer était vraiment quand la digue, elle craque … et Olaf devait lui faire un câlin.
Dans une douceur infinie, Olaf s’assit à côté de l’homme et le prit dans ses bras. Il le laissa pleurer et le laissa choisir s’il voulait le serrer dans ses bras ou non. Quand il posa la question, un sourire naquit sur son visage.
- Parce que tu semblait en avoir besoin.
Dans un sourire plein d’amitié et de compassion, Olaf s’écarta doucement de l’homme pour regarder ses yeux embrumés. Olaf aussi avait les yeux rouges de quelqu’un qui ne tarderait pas à pleurer … parce que la souffrance des autres était la sienne, et qu’il ne voulait pas que les autres souffrent. Doucement, il sortit un mouchoir de sa poche et le tendit à l’homme.
- Il est propre. Je m’appelle Axel ! Et toi ? Tu as mal quelque part ? Tu veux que je t’amène à l’hôpital ? Tu re veux un câlin ? Moi ça me dérange pas si tu veux pleurer dans mes bras mais je te préviens je fais pas semblant de faire un câlin j’enlace les gens et je les lâche que quand ils se sentent mieux !
Parfois on passe trop de temps à aider les autres qu'on oublie ses propres problèmes... × ft. Alexis &Axel
Quelqu'un venait de s'approcher du banc sur lequel Alexi pleurait. Il pleurait parce qu'il craquait, c'était rare pour lui de pleurer et de craquer ainsi. Il était un guerrier Gaulois, que diable! L'autre l'avait serré dans ses bras pour lui faire un câlin. Un inconnu qui faisait rare sans rien dire, c'était si rare. Aussi il lui avait demandé pourquoi il lui faisait de câlins. Après tout, c'était peut-être un altruiste, qui sait...? L'autre sourit et répondit:
- Parce que tu semblait en avoir besoin.
Oh, ça se tenait, bien sûr. Bon, il le tutoyait mais, dans son état, ça ne dérangea même pas le guerrier Gaulois. un peu d'aide faisait du bien. Il laissa l'homme le prendre dans ses bras puis il le laissa s'écarter. Il regarda ses yeux embrumés. Lui-même semblait être prêt à pleurer. Il sortit un mouchoir et lui tendit à Alexis en disant:
- Il est propre. Je m’appelle Axel ! Et toi ? Tu as mal quelque part ? Tu veux que je t’amène à l’hôpital ? Tu re veux un câlin ? Moi ça me dérange pas si tu veux pleurer dans mes bras mais je te préviens je fais pas semblant de faire un câlin j’enlace les gens et je les lâche que quand ils se sentent mieux !
Un vrai altruiste, comme lui. Sauf que lui ne faisait pas de câlins spontanément, il aidait plus les autres en les rassurant... Bref, il était heureux dans son malheur d'être tombé sur lui. Alexis prit le mouchoir et essuya ses yeux tranquillement. Puis il répondit avec encore quelques trémolos dans la voix:
-Je m'appelle Alexis. Oh, non, ne t'inquiète pas, ce sont mes nerfs qui ont lâchés, je souffre plus psychologiquement, si tu vois ce que je veux dire. En tous les cas, je veux bien un autre câlin, en effet. Après, je te dirais ce qui me pèse, si ça ne te dérange pas.
Après tout, l'autre était venu spontanément vers lui. Cette fois, il pourrait peut-être se laisser aider au lieu d'être celui qui aidait les autres! D'ailleurs, sans le vouloir, il l'avait aussi tutoyé.
Parfois on passe trop de temps à aider les autres qu'on oublie ses propres problèmes... ft Alexis Rice
Non je ne vis pas dans le monde des bisounours, j'ai juste plusieurs corde à mon arc-en-ciel c'est tout
Axel faisait partit de ces gens qui ne demandaient rien à personne… Il ne demandait même pas à ce qu’on l’aime, même s’il préférait cela à la haine. Non. Il ne demandait rien, et c’était aussi pour ça qu’il était venu dans les bras de l’homme sans peur. Parce qu’il ne demandait rien en échange, son câlin était exactement ce que les gens tristes avaient besoin. D’un don sans contrepartie. Il laissait l’homme essuyait ses larmes dans un calme serein, alors qu’Axel n’avait pas perdu son sourire.
- Je suis ravi de te rencontrer Alexis.
Parce que malgré la situation des plus étranges, il était tout de même ravi de rencontrer une personne qu’il n’avait pas encore câliner dans cette ville… bien sur il n’avait pas câliner tout le monde, quoi qu’il en a eu envie et bien plus qu’une fois… mais il se souvenait de toutes les personnes qui avait été un jour entre ses bras, et l’homme n’en faisait pas parti, donc il était ravi.
- Je vois ce que tu veux dire, mais ça m’inquiète aussi, donc je vais faire ma tête d’inquiet.
Son visage ne perdit pas son sourire, mais ses sourcils se froncèrent. S’ils continuaient à vouloir s’embrasser ainsi, ils allaient se rejoindre pour en faire qu’un seul très grand… et ça ne serait pas très très beau… dans un sourire Axel rouvrit les bras pour prendre l’homme à l’intérieur. Le câlin n’avait absolument rien de viril, on aurait dit deux enfants qui s’enlacent. Mais Olaf n’en avait que faire de cela. Tant qu’il pouvait aider quelqu’un avec un peu de son amour. Ainsi dans ses bras, il répondu à sa question idiote.
- Je ne suis pas venu te faire un câlin pour te dire ensuite que tu n’as pas le droit de parler. Et tu peux parler de tout avec moi, je serais une tombe ! Pas littéralement, mais en tout cas rien de ce que tu me diras ne sera répété à quiconque. Sauf si tu me dit que tu aimes pas les glaces de chez Jack Frost, là le glacier sera un peu au courant vu que c’est moi, mais c’est une autre histoire…
Il disait cela sans avoir laisser l’homme partir de ses bras. Il était calme, et n’avait rien de prévu. Il avait tout le temps du monde … d’ailleurs, même s’il avait eu quelque chose à faire, il serait resté…. Certainement en tout cas … Son câlin était doux et calme, il avait plein de bonnes ondes… mais il laissait le loisir à l’homme de se soustraite de l’étreinte quand il le désire.
Parfois on passe trop de temps à aider les autres qu'on oublie ses propres problèmes... × ft. Alexis &Axel
Alexis avait pris le mouchoir et avait essuyé ses yeux avant de répondre avec quelques trémolos dans la voix. Puis il s'était présenté. Puis elle avait parlé de ce qui le faisait pleurer: ses nerfs qui lâchaient et il souffrait plus psychologiquement. Il voulait bien un autre câlin aussi. Et il lui parlerait aussi de ses soucis, si ça ne le dérangeait pas. Axel répondit:
- Je suis ravi de te rencontrer Alexis.
Idem pour lui, même malgré les circonstances. L'homme ajouta:
- Je vois ce que tu veux dire, mais ça m’inquiète aussi, donc je vais faire ma tête d’inquiet.
Cela fit sourire Alexis un peu mais juste un peu, il n'oubliait pas ses soucis, bien sûr. L'autre ne perdit pas son sourire mais fronça ses sourcils. Et il le reprit dans ses bras, dans un câlin d'enfant. Mais ça ne dérangeait pas le jeune Gaulois, il adorait les enfants et en était un lui-même parfois... Finalement, l'autre répondit:
- Je ne suis pas venu te faire un câlin pour te dire ensuite que tu n’as pas le droit de parler. Et tu peux parler de tout avec moi, je serais une tombe ! Pas littéralement, mais en tout cas rien de ce que tu me diras ne sera répété à quiconque. Sauf si tu me dit que tu aimes pas les glaces de chez Jack Frost, là le glacier sera un peu au courant vu que c’est moi, mais c’est une autre histoire…
Le tout en continuant son câlin. Alexis adorait les glaces en plus, il aurait bien aimé en avoir pour son futur mariage. Mais bon on verrait ça un autre jour, il connaissait à peine l'homme et son magasin de glaces... Alexis se retira des bras du jeune homme et dit:
-Ne t'inquiète pas, j'adore les glaces et je n'ai pas encore goûté celles de chez Jack Frost alors bah je ne peux pas en dire de mal...
Puis il se mit à parler de ses soucis ainsi:
-Disons que les soucis de la préparation de mon mariage repose beaucoup sur moi, même si j'en veux pas à mon fiancé. Et je crois que j'aide trop les autres, leurs soucis me pèsent et me font oublier les miens. Parce que je recherche aussi les membres de mon ancien village, je suis à fond dans mon travail... Bref, à part l'amour, pas grand chose ne va. Mais bon il y a pire que moi, non...?
Il laissa l'autre lui répondre sur ce qu'il en pensait...
Parfois on passe trop de temps à aider les autres qu'on oublie ses propres problèmes... ft Alexis Rice
Non je ne vis pas dans le monde des bisounours, j'ai juste plusieurs corde à mon arc-en-ciel c'est tout
Axel était patient. On pouvait le voir dans ses grands yeux ouverts, et à la manière qu’il avait de rester immobile. Il ne tapait pas des pieds, il ne touchait pas ses mains. Il ne jouait pas avec un quelconque fil qui sortait de son pull. Non. Il attendait tout simplement que l’homme aille mieux dans un grand sourire dont seul lui avait le secret. Peut être fallait il tout simplement être un ancien bonhomme de neige pour être adorable ?
Il savait que souvent on le trouvait immature, naïf ou même pathétique d’être ce qu’il état … mais il s’en fichait bien. Il n’était pas comme la plupart des gens pour qui les fantômes des deux passés ne coexistaient pas. Lui, il n’avait aucun fantôme. Il avait eu deux belles vies, sans soucis … et ça ne lui faisait rien de continuer à vivre. Certes, il avait des problèmes, des cauchemars, des insomnies, et il ne savait toujours pas s’il était un bonhomme de neige ou un humain… le sortilège de Regina avait changé cela. Il avait changé la neige en homme, mais il n’en restait pas moins Olaf … et il ne comptait pas devenir autre chose.
Alors qu’il avait un grand sourire, Olaf fit une tête d’outrée, mais totalement exagéré quand il appris que l’homme n’avait jamais gouté à une glace de Jack Frost. Le visage en forme de O, il plaqua ses deux mains sur son visage et sourit malgré lui.
- Jamais ? Jamais Jamais ? Mais, c’est pour cela que tu n’a jamais eu de câlin de moi ! Il faut que tu viennes manger une glace ! Je t’offre la première, et un refus me fera pleurer, alors on refuse pas.
Ses yeux se posèrent sur l’homme alors qu’il sourit à nouveau en montrant ses dents blanches, un refus sera refusé. Il avait l’habitude que les gens essaient de refuser ses propositions, alors il préférait prévenir maintenant directement que ce n’était pas possible de lui dire « non ».
- Un mariage ? Trop cool ! Quand ? Avec qui ? Tu peux pas demander de l’aide à ta famille pour t’aider à tout préparer ? Tu veux que je t’aide. Je sais … Plier les serviettes en cocottes ! Pour ce qui est des soucis des autres, tu dois tout simplement te dire que tu as fait ton maximum à chaque fois. On ne peut pas aider tout le monde, même si on essaie.
Est ce qu’il était en train de donner des conseils qu’il ne suivait pas lui même ? Oui Tout à. fait… mais c’était tout le monde comme ça … personne ne suivait ses propres conseils, parce qu’entre la théorie et la pratique … y a une bombe atomique.
- Pour ton ancien village et si tu mettais une annonce ? Si tu veux je peux mettre une petite pancarte à ma boutique. Bien sur je dois demander au patron avant, mais je ne pense pas qu’il puisse y avoir un souci… Plein de personnes viennent à la boutique, ça pourrait marcher ?
Il réfléchit un instant … les personnalités des gens étaient diverses et variés … Mais Olaf n’avait pas de doute que quelqu’un de ses clients puissent être un gaulois, ou alors l’ami d’un gaulois, bref, que le bouche à oreille ça peut marcher !
- Il y a pire dans la théorie encore une fois. Tu ne peux pas comparer ta souffrance avec celle d’un autre qui aurait une vie différente parce que ta souffrance est personnelle et qu’elle a la valeur que tu veux lui donner.
Lui, il ne dormait plus et ne mangeait plus bien depuis qu’il était revenu de l’île de Galuna où il a aidé à tué deux démons … deux démons qu’Olaf ne voulait pas tuer … Sa souffrance était différente, Mais Olaf ne se permettrait jamais de dire qu’elle est pire ou mieux que celle de l’homme et c’était avec son sourire encore qu’il lui exprimait cela.
Parfois on passe trop de temps à aider les autres qu'on oublie ses propres problèmes... × ft. Alexis &Axel
Alexis s'était retiré des bras de l'homme et avait dit de ne pas s'inquiéter. Il adorait les glaces mais il n'avait jamais goûté celles venues de chez Jack Frost donc il n'en dirait jamais de mal... L'autre fit une tête outrée avant de dire, plaquant ses deux mains sur lui:
- Jamais ? Jamais Jamais ? Mais, c’est pour cela que tu n’a jamais eu de câlin de moi ! Il faut que tu viennes manger une glace ! Je t’offre la première, et un refus me fera pleurer, alors on refuse pas.
Alexis ne refusait jamais rien de toute façon. Et une glace gratuite, même juste la première, il ne disait pas non! Surtout si, ensuite, il en voulait pour son mariage. Puis Alexis avait débité ses ennuis. Ca lui avait, étrangement, fait du bien. Il espérait que l'autre saurait quoi répondre, en tous les cas. L'autre finit par répondre:
- Un mariage ? Trop cool ! Quand ? Avec qui ? Tu peux pas demander de l’aide à ta famille pour t’aider à tout préparer ? Tu veux que je t’aide. Je sais … Plier les serviettes en cocottes ! Pour ce qui est des soucis des autres, tu dois tout simplement te dire que tu as fait ton maximum à chaque fois. On ne peut pas aider tout le monde, même si on essaie.
Parler de mariage, ça, ça lui ferait du bien. Parce qu'il avait toujours aimé Obélix, même dans l'autre monde. Et ce même s'il ne se l'était pas avoué tout de suite. Il eut un petit sourire avant de répondre:
-Dès que possible, bientôt, quoi! Je me marie avec mon petit-ami, Obélix alias Obias Lice dans ce monde... Ma famille...? Hélas, je ne sais pas où elle est ici. Je n'ai plus qu'Obias... Merci de ton aide sinon, je note. Et oui, tu as raison.
Oui, il avait raison. Mais bon, Alexis était comme ça, il devait toujours aider les autres. C'était dans sa nature, depuis, bah, toujours. C'était pas pour rien qu'il était un des meilleurs guerriers du village, non...? Mais bon, Axel avait raison: il ne pouvait que faire son maximum ou essayer. Axel demanda alors:
- Pour ton ancien village et si tu mettais une annonce ? Si tu veux je peux mettre une petite pancarte à ma boutique. Bien sur je dois demander au patron avant, mais je ne pense pas qu’il puisse y avoir un souci… Plein de personnes viennent à la boutique, ça pourrait marcher ?
Mais il était génial, cet Axel. Prêt à aider Alexis, un parfait inconnu. Bon, lui-même faisait ça mais il ne pensait pas que d'autres en ville le faisaient. Peut-être pourraient-ils devenir amis, plus tard, quand ils auraient appris à mieux se connaître. D'ailleurs, Alexis s'était déjà mis à le tutoyer. Sûrement un bon signe puis la suite, non...? Il répondit:
-Ah oui, j'adore cette idée. Demande à ton patron, il dira sûrement "oui"! Et si plein de personnes viennent, oui, ça marchera. Sûrement mieux que dans ma boutique où peu de personnes viennent...
Puis Axel ajouta:
- Il y a pire dans la théorie encore une fois. Tu ne peux pas comparer ta souffrance avec celle d’un autre qui aurait une vie différente parce que ta souffrance est personnelle et qu’elle a la valeur que tu veux lui donner.
Il avait dit cette expression comme ça. Mais, encore une fois, Axel avait raison. Décidément, ils étaient fait pour s'entendre. Du moins, le jeune Gaulois le pensait. Il finit par dire:
-Oui, tu as encore raison. Mais comment tu fais pour réussir à me cerner ainsi...? Ne réponds pas, tu dois être comme moi, aimer aider les autres... Tu m'as bien aidé, en tous les cas. Merci encore!
Alexis se sentait mieux mais il espérait que l'autre reste encore un peu à ses côtés, c'était important de se sentir entouré, rassuré, soutenu. Même pour lui qui aimait à aider les autres au point d'en oublier ses propres problèmes...
Parfois on passe trop de temps à aider les autres qu'on oublie ses propres problèmes... ft Alexis Rice
Non je ne vis pas dans le monde des bisounours, j'ai juste plusieurs corde à mon arc-en-ciel c'est tout
Axel sourit alors qu’il savait déjà qu’on lui ferait la morale s’il continuait d’offrir des glaces à tout va … Pour sa défense, il payait toujours ce qu’il offrait pour que Jack ne se sente pas berner … Quoi qu’Olaf se doute que son patron ne se sente ainsi un jour … mais il préférait prévenir que guérir et avec donc toujours un compte parfait à sa caisse. Olaf était le genre tête en l’air, mais il faisait toujours attention à ce qu’il faisait et à comment il le faisait pour ne pas déranger les autres … Jack était le seul à lui avoir donner un emploi stable … et c’était pour cela qu’Olaf avait pour lui un respect le plus total… Axel n’était pas vraiment au fait de ce que l’on pouvait trouver à Storybrook… récemment il avait rencontré une lionne, et encore un peu plus récemment une guilde complète de magicien … Le monde n’était pas normal … alors il ne savait pas du tout qui était Obélix.
- Je ne sais pas qui est Obélix … je suis désolé..
Il pencha la tête sur le côté alors que son sourire était franc et direct .. un peu comme une balle de fusil, sauf que l’impact était loin d’être douloureux …
- Je suis sur que tu la retrouveras ! Le monde et surtout SB est grand, mais tout le monde finit par retrouver ses proches un jour. Il ne faut pas perdre espoir.
Un sourire de plus dans ce monde de fou plus tard…. Olaf était en train de réfléchir à comment aider l’homme pour retrouver toute sa famille avant son mariage … cela serait tellement bien, que les amoureux se disent oui avec toute la famille, toute leurs familles pour les acclamer …Le petit coeur de chamallow d’Olaf espérait vraiment que cela arrive … du plus profond de son petit coeur de bonhomme de neige … Axel ignorait totalement que l’homme pensait qu’il était géniale … de toute manière, on aura beau lui dire il ne le croira pas … Les pensées de l’homme restaient donc où elles étaient, Olaf continuait à penser que ça serait génial et voulait mettre une pierre dans l’édifice de bonheur de quelqu’un d’autres.
- Tu as une boutique ? Une boutique de quoi ? C’est super ! Quoi que soit ton métier, je suis sur qu’il est génial, et il faudra que tu me donnes l’adresse… comme ça sur la pancarte je dirais d’aller voir ta boutique pour te trouver… D’ailleurs, faudrait me dire aussi le … conte ..; d’origine .. parce qu’en vrai comme ça je mettrais subtilement le dessin d’eux, peut être que ça accrochera un peu le regard … peut être … Il faut essayer. Et puis tu sais, il commence à faire froid, les gens ne veulent plus manger des glaces … je pense que les habitués viennent parce qu’ils m’apprécient .. ou j’aime à le croire mais c’est pas grave !
Olaf était en train de penser que les nouvelles glaces qui sont sortit, à la citrouille, pourrait apporter plus de clientèle que d’habitude … puis les cornets étaient noirs pour la journée d’Halloween… alors il pourrait faire une pancarte et avoir du monde … il l’espérait en tout cas .. Alors qu’Olaf allait lui répondre sur cette histoire de « tu m’as cerné » Olaf n’eut le temps de répondre, mais il reprit tout de même.
- Oui, j’aime tout le monde. Et aussi parce que j’ai vraiment envie de t’aider, alors je reste ouvert et compréhensif … je pense … je n’ai jamais chercher à comprendre pourquoi je faisais tel ou tel chose avant que tu me poses cette question … Et ce n’est rien, c’est quand tu veux, autant de fois que tu le veux ! Oh faudra que je te passe mon numéro de téléphone, mais j’avoue je ne l’utilise pas souvent, et je l’oublie … le mieux, c’est de venir directement au glacier ou même chez moi, je ferme jamais la porte !
Et à force de dire à tout le monde qu’il ne ferme pas la porte, il allait finir par se retrouver avec une mauvaise surprise …. Mais ce n’était pas grave pour le moment … Pas grave du tout … Gardant un grand sourire à ses lèvres, il resta à attendre voir si l'homme voulait faire quelque chose. Juste parler ici était suffisant pour lui... il adorait cela, et cela ne le déranger pas de rester toute la journée ni même la nuit. Il n'avait pas peur des ombres.
Parfois on passe trop de temps à aider les autres qu'on oublie ses propres problèmes... × ft. Alexis &Axel
Alexis avait réussi à répondre qu'il se mariait avec Obélix, Obias Lice dans ce monde. Mais il n'avait plus que lui, il ne savait pas où était sa famille. Il l'avait aussi remercié pour son aide et lui avait dit qu'il avait raison. Axel répondit:
- Je ne sais pas qui est Obélix … je suis désolé..
Pas grave, tout le monde ne pouvait pas avoir lu les BD qui parlaient d'eux ou vu les dessins animés ou les films dessus. Il ne lui en voulait donc pas. Il dit:
-Ce n'est pas grave, tu verras, je te parlerais de lui plus tard.
Puis l'homme avait proposé de mettre une annonce à sa boutique en demandant à son patron. Il y avait du monde qui venait chez lui. Alexis avait répondu qu'il adorait l'idée et que ça marcherait si les gens venaient chez lui, dans sa propre boutique, où il y avait peu de monde. L'homme dit, sur la famille et autre d'Astérix:
- Je suis sur que tu la retrouveras ! Le monde et surtout SB est grand, mais tout le monde finit par retrouver ses proches un jour. Il ne faut pas perdre espoir.
Puis il ajouta:
- Tu as une boutique ? Une boutique de quoi ? C’est super ! Quoi que soit ton métier, je suis sur qu’il est génial, et il faudra que tu me donnes l’adresse… comme ça sur la pancarte je dirais d’aller voir ta boutique pour te trouver… D’ailleurs, faudrait me dire aussi le … conte ..; d’origine .. parce qu’en vrai comme ça je mettrais subtilement le dessin d’eux, peut être que ça accrochera un peu le regard … peut être … Il faut essayer. Et puis tu sais, il commence à faire froid, les gens ne veulent plus manger des glaces … je pense que les habitués viennent parce qu’ils m’apprécient .. ou j’aime à le croire mais c’est pas grave !
Toujours aussi bavard. Mais ça ne dérangeait pas le jeune Gaulois. En contraire, même. Il aimait parler avec lui, ça lui faisait oublier ses soucis et il ne voulait plus pleurer. Il répondit:
-Je suis botaniste et j'ai une boutique avec des potions, des remèdes à base de plantes, etc. Je te donne l'adresse quand tu veux. Puis pour le conte c'est Astérix le Gaulois. Y'a des films, des dessins animés, des BD sur nous. D'ailleurs, Obélix, c'était le compagnon des aventures d'Astérix, c'est à dire moi. En gros, on était meilleurs amis puis plus. Désormais, on va se marier. Mais on chercher quand même nos familles et les membres du village. Et oui, je vois ça!
Puis ils avaient parlé des souffrances. Alexis avait dit que l'autre aidait beaucoup et tout. Il avait toujours raison, comment faisait-il....? Il ne devez pas répondre , pour Alexis, il était comme lui. Il était heureux aussi qu'il l'ait aidé et l'avait même remercié. Axel finit par répondre:
- Oui, j’aime tout le monde. Et aussi parce que j’ai vraiment envie de t’aider, alors je reste ouvert et compréhensif … je pense … je n’ai jamais chercher à comprendre pourquoi je faisais tel ou tel chose avant que tu me poses cette question … Et ce n’est rien, c’est quand tu veux, autant de fois que tu le veux ! Oh faudra que je te passe mon numéro de téléphone, mais j’avoue je ne l’utilise pas souvent, et je l’oublie … le mieux, c’est de venir directement au glacier ou même chez moi, je ferme jamais la porte !
Alexis se mit à rire avant de répondre:
-Oui, je vois le genre, je suis pareil. Bah écoute, je viendrais au glacier ou chez toi alors. Mais il me faudrait ton adresse alors!
Alexis était heureux de s'être fait un nouvel ami après s'être pensé au fond du trou...
Parfois on passe trop de temps à aider les autres qu'on oublie ses propres problèmes... ft Alexis Rice
Non je ne vis pas dans le monde des bisounours, j'ai juste plusieurs corde à mon arc-en-ciel c'est tout
Axel ne regardait ni la télévision, ni rien …il était le genre à ne pas lire les histoires … Surtout parce que cela l’endormait à une vitesse qui ne devrait pas être normal… Les histoires, il aimait quand on lui lisait .. ou alors quand il y avait beaucoup d’images … Encore plus les livres où l’on pouvait déplacer des morceaux pour y voir autre chose… De tout, c’était ça qu’Olaf aimait le plus. Il ignorait que cela s’appelle des livres pop-ups, il ignorait tout de la fabrication de ses ouvrages … mais il les aimait et c’était la seule chose qui comptait pour lui.
Olaf eu un grand sourire alors que l’homme lui dit qu’il lui parlera d’Obélix. Il était content, parce que lorsqu’on parlait de la personne que l’on aime, alors il n’y avait plus rien à craindre du monde … et Olaf trouvait que les personnes parlant d’amour étaient les plus belles qu’il puisse voir .. être auprès de ses personnes quand l’amour est présent … Il adorait cela, d’ailleurs, il se souvenait qu’Amélia aussi était comme ça … L’amour fait plein de petit cœur au dessus des têtes, et savoir qu’il aurait l’honneur d’être une des personnes pouvant écouter un amoureux parler de son amoureux, ça leur rendait bêtement heureux. Lui… l’amour il n’avait pas connu cela, et il se doute qu’un jour il puisse le connaître. Son cerveau ne semblait pas formater pour être en couple, et pourtant il avait essayé une fois.
Ne pouvant empêcher ses flots de paroles, Olaf savait pourtant écouter… mais la plupart du temps les gens qui avaient besoin de parler avait besoin de voir que l’autre n’était pas un quelconque psychiatre payait à dessiner sur son calepin… Olaf avait eu la mal chance de tombait sur un psy une fois … qui le trouvait un peu trop bizarre … Il n’était pas bizarre. Etrange tout au plus. Alors que l’homme lui répondit… Olaf eu les yeux tout rond.
Entre les sœurs MacKenzie, Eris et lui, il n’allait plus savoir chez qui se procurer des choses et d’autres…. Il fit un oui de la tête quand il lui proposa son adresse. Un « oui » très visible et faisant balancer ses cheveux d’une manière étrange. Alors qu’Alexis lui parla d’amour, Axel eu les yeux qui brille.
- Alors alors, tu étais son meilleur ami… Comment vous avez compris que vous étiez amoureux ? C’était dans le monde des contes ou ici ? C’est qui qui a demandé à l’autre de sortir en premier ? Et pour le mariage c’était comment ?
Les mains d’Olaf s’étaient jointes devant son visage alors qu’il voulait absolument tout savoir sur l’amour. Parce que l’amour était un sentiment tellement beau. Qu’il soit d’un mère à un fils, d’un amoureux à un autre, d’un ami, de deux sœurs voulant câliner un bonhomme de neige … tout l’amour était important … et cela ne pourrait jamais changer. Les étoiles dans ses yeux attestaient de la bienveillance de ses questions. Son ton n’était pas comme les policiers dans un film, mais bien comme un enfant qui demanderait pourquoi le rouge est rouge et pas bleu. Il sourit, pensant à sa nouvelle mise en place d’halloween pour le glacier … Des citrouilles, des chauve-souris, et tous les symboles d’Halloween, pour parler sans être observer, il valait mieux son appartement jamais fermer.
- Bien sur ! Je peux te les dire comme ça, mais je n’ai rien pour te les noter, tu serais les retenir ? Après on peut aller quelque part, ou chez toi, ou chez moi … ou n’importe où où l’on peut demander un stylo et un papier pour que je puisse te l’écrire.
Olaf savait que lui et sa mémoire … il ne retiendrait jamais les adresses qu’un presque inconnu lui donnerait dans un parc … Parce qu’il était beaucoup trop déconcentré pour ça, il verrait passer un papillon et il oublierait tout …