« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Encore une fois, Olaf ne comprit pas comment son nom pouvait faire comprendre à tout le monde qui il était …il fallait avoué qu’il ne comprenait pas la notoriété que pouvait avoir eu son « film »… Il n’était même pas sur de savoir qu’il était dans un film… Lui regarder rarement la télévision. Il n’avait pas le temps … Il prenait trop de temps à trouver des moyens de rendre heureux tout le monde … Donc il ne comprenait pas comment elle avait pu comprendre d’un coup qui il était et ce que cela impliquait …
- Je n’ai pas envie que votre nom me terrorise, moi ...
C’était donc si incroyable à comprendre ? Il n’avait pas envie. Ce n’était pas du tout son désir d’avoir un nom qui le terrorise. Il fit un grand sourire à la jeune femme. Il observa un instant la jeune femme… et il fit clairement un visage surpris.
- C’est … …
Il avait très très envie de revenir dans ses bras pour lui faire un nouveau câlin, et cela pouvait se voir à nouveau sur son visage. Il était un prompteur. On pouvait lire lettre par lettre « Je veux faire un câlin ». Il avait les yeux grand ouvert, avec à l’intérieur des paillettes d’amour… Cette femme avait beaucoup faire ce qu’elle pouvait pour se séparer de lui, elle ne pourrait y arriver aussi facilement.
- C’est la première fois qu’on dit que je ne suis pas simplet, ou idiot, ou débile, ou stupide ou … d’autres noms.
« Ne pas lui sauter dessus, ne pas lui sauter dessus, ne pas lui sauter dessus … » … Il ne fallait pas qu’il lui saute dessus pour lui faire un câlin…. Mais il en avait très envie … mais il ne fallait pas parce que ça se faisait pas et qu’elle avait déjà accepté un câlin, ce qui semblait être quelque chose d’assez énorme. Il se mit à réfléchir doucement. La main porter à son visage. Il la regarda s’approcher et fit un sourire. Il aurait pu lui ouvrir grand les bras si elle lui aurait laisser le temps … d’ailleurs, il était tout à fait prêt… mais il comprenait à son regard que ce n’était pas son désir… même s’il comprenait pas ce qu’elle essayait de faire en observant son nez à cette distance … il souriait.
- Je n’ai pas envie de vous contrarier non, j’ai envie d’être votre ami. Et je ne le deviendra vous pouvez me faire confiance, je serais toujours là pour vos câlins !
Il fit un geste de motivation avec ses petits bras. Laissant l’illusion, presque non illusoire, que l’homme tendait les bras vers la jeune femme.
- Mon monde était grand, celui ci l’est encore plus. Alors je m’y plais forcément, j’ai plus de monde à qui parler, à rencontrer, à aimer. Tout est nouveau et à voir. Je suis un employé oui, et je vois mal qui d’autres voudraient de moi en tant que vendeur. Vous savez, vous êtes la seule qui pense que je ne suis pas un idiot. Et Jack Frost l’a pensé aussi.
Il écarta clairement les bras quand elle fit un nouveau pas vers lui … quoi ? Elle s’approchait, il ne pouvait que vouloir la câliner non ? Il la regarda un instant.
- Beaucoup de chose me tourmente. Comment être assez fort pour être digne de vous ? Comment aider mes amis alors même qu’ils me repoussent ? Comment être à la hauteur d’Anna et d’Elsa alors que je ne suis plus leur bonhomme de neige ? Est ce que j’ai assez fait pour Jude ? Est ce que j’arriverais à atteindre durablement votre coeur et a y rester, même si je viens à disparaitre ? Tout me tourmente, mais je ne vais la laisser ce qui me tourmente m’empêcher de trouver d’autres amis !
Dans tout ce qu’il pensait. Il ne pensait pas du tout à la seule personne qu’il détestait. Parce qu’il ne voyait pas l’intérêt de pensée à lui.
- Ne vous en faites pas, je sais que vous êtes digne de confiance ! Mias je crois n’avoir aucun secret !
« Ne pas lui sauter dessus, ne pas lui sauter dessus, ne pas lui sauter dessus ». Il avait envie de lui faire un câlin …. Mais elle avait dit ne pas apprécié, alors il ne ferait rien Mais il avait vraiment très envie de lui faire un câlin…. Il sourit.
- La réciproque est vrai aussi vous savez, si vous voulez me confier quelque chose, je serais une véritable tombe, et si je peux apaiser votre coeur alors ça sera avec un grand plaisir. Si quelque chose vous tourmente, je suis votre bonhomme de neige.
Il était tout proche de la jeune femme. Mais cela ne lui faisait rien, il avait presque l'impression de lui faire un câlin et il savait qu'il ne pourrait pas en demander plus ... Même s'il continuait à se dire de ne pas sauter sur la jeune femme pour lui faire un câlin.
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Eris leva immédiatement une main, cette dernière à plat, devant le nez d’Axel pour lui faire signe de se reculer. Une flamme apparut même à l’intérieure de sa paume pour bien lui faire comprendre que s’il faisait un pas de plus, elle le ferait brûler sur le champs. Secouant la tête de gauche à droite de manière négative, Eris répondit :
« D’abord, il vous faut apprendre à vous contrôler, et aussi apprendre les manières et les codes sociaux de ce monde. Je pense que c’est ce qu’il vous manque. On ne fait pas de câlin aux inconnus, surtout quand ils sont méchants à la base. »
La flamme s’agrandit, puis disparut. Ne bougeant pas d’un pouce, elle mit ses mains sur les hanches, de manière assez intriguée. Ce petit bonhomme était vraiment intéressant. C’était la première fois qu’elle n’avait pas envie de tourmenter quelqu’un. Pourquoi ? Parce que son âme semblait si pure qu’il ne comprendrait pas. Et les âmes aussi pures, habituellement, elles ne les intéressaient pas. Non, ce qu’elle aimait, c’était les bonnes âmes, avec une tâche de noirceur. Elle adorait faire grandir les ténèbres dans le coeur de quelqu’un. Et là, en, l’occurrence avec Olaf, ça serait trop long et trop complexe.
« Vous ne serez pas mon ami. Je n’ai pas d’ami. Et non, ce n’est pas parce que vous pensez différemment des autres que vous êtes un imbécile. Bien au contraire. Ce sont eux, qui sont idiots de juger rapidement quelqu’un qui ne pense pas comme eux. »
Hochant la tête de manière affirmative en croisant les bras, elle toisa Axel d’un regard impérial et élégant. Levant finalement un de ces doigts fins, elle le posa sur la poitrine d’Axel pour le faire reculer de force. Un sourire aux lèvres, elle déclara :
« Leçon numéro une, dans ce monde, on se tient au minimum à une distance d’un bras des inconnus si vous voulez qu’ils vous apprécie un jour. C’est à eux de décider vous avez envie de rentrer dans ce cercle intime ou non. »
Et, aussitôt, avec un geste sec, elle tapa dans ses mains et un cercle de flamme apparut tout autour d’elle, à une distance d’un bras, laissant aucune possibilité à Axel de pénétrer à nouveau dans son cercle intime.
« Voilà qui devrait suffire à vous tenir à distance. Leçon numéro deux, aimer les autres ne suffit pas. Il faut être aimé en retour. Et c’est là, la chose la plus complexe. Se faire aimer. C’est uniquement à ces deux conditions qu’on devient ami. »
Un sourire se dessina sur ses lèvres alors qu’elle fixait le cercle de flamme. Elle aurait pu le brûler et faire passer pour un accident. La Maléfique en elle en eut grandement envie, mais quelque chose lui intima de rester honnête avec lui. Son coeur était trop pur, ça ne servait à rien de le tourmenter.
« Leçon numéro trois, les secrets, comme par exemple votre nom dans le monde des contes, est réservé à vos amis, donc ceux qui peuvent entrer dans ce cercle. Imaginez que je sois quelqu’un disons… Avec de mauvaises intentions. Je pourrai détruire votre entourage, pour vous faire souffrir, maintenant que je sais qui vous êtes. »
Un sourire mauvais resta sur ses lèvres. Bien sûr, elle n’était pas assez stupide pour s’attaquer à des personnes comme Anna et Elsa au grand jour, mais contrairement à Axel, qu’elle commençait un peu à apprécier, elle détestait les deux sœurs d’Arendelle.
« Donc on va faire un petit jeu. J’enlèverai ce cercle si vous arrivez à me convaincre de devenir votre ami. Je vous préviens, ce n’est pas chose aisé. Et si vous arrivez effectivement à me convaincre, alors on pourra peut être effectivement échangé un ou deux secrets. »
Lui faisant un clin d’oeil ravageur, elle ricana. Finalement, au lieu de le renvoyer balader, elle l’avait garder prêt de lui pour s’amuser. Ce qui était vraiment étrange, c’était que c’était uniquement dans sa nature de Fée qu’elle aimait s’amuser. Et étrangement, le fait que Axel soit quelqu’un de gentil au naturel l’avait peu à peu réveillé… Que faisait-elle ? Elle s’était promis de ne plus jamais sombrer dans la gentillesse...
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Olaf ne comprit pas tout ce qu’il venait de se passer… C’était la jeune femme qui s’était avancé dans son centre de … intimité … en premier … Pourquoi n’avait il pas le droit, lui, de s’approcher, quand elle elle l’avait fait … cette question resta en suspens dans sa tête, n’ayant pas compris que la jeune femme l’avait fait en espérant le mettre mal à l’aise … il l’observait simplement, n’ayant pas peur de la jeune femme, pas même une petite seconde. Si pour l’aider, il devait se jeter dans le feu … hum il y a de très forte chance pour qu’il le fasse. Olaf secoua doucement la tête en se mettant tout simplement en tailleur sur le sol.
On lui avait dit qu’il y avait une histoire de dominance sur le fait de « regarder quelqu’un de haut ». Olaf savait que la plupart des gens avaient cette idée en tête, mais il s’en fichait. Il ne s’empêcherait pas de savoir juste pour faire un combat de regard avec une jeune femme qui ne lui a rien demandé. Il sourit.
- Si je n’étais pas venu vous faire un câlin, alors que vous êtes une inconnue et qui était méchant à la base, alors je n’aurais jamais eu cette discussion. On a tous des codes sociaux différents, ce n’est pas parce que je suis devenu humain que je ne suis plus un bonhomme de neige qui aime faire de gros câlins. Alors quel code social je dois suivre pour continuer à vivre ?
Il se demandait souvent s’il ne devait pas changer ce qu’il était pour mieux vivre ici… mais changer signifier devenir égocentrique, nombrilisme, déprimant, déprimé, sombre et non accueillant, foi de bonhomme de neige, il ne deviendrait jamais tout cela. Il n’aimait pas les codes sociaux des humains, il ne les aimait déjà pas alors qu’il pensait être un humain… Mais il comprenait la jeune femme, il comprenait ce qu’elle lui disait, et il l’acceptait … même s’il n’en avait pas envie. Il voulait passer par dessus la leçon numéro 1 qu’elle venait de lui donner, mais il ne le pu pas, il voulait comprendre.
- Je suis désolé de ne pas avoir les bons codes, mais je ferais un effort pour être votre ami, ainsi je deviendrais le premier et je serais la personne la plus heureuse de la terre. Vous êtes une personne compréhensive. J’étais à une distance d’un bras, et vous avez avancez vers moi, si ce n’était pas pour un câlin alors je ne vois pas pourquoi … Désolé pour ça aussi...
Il laissa sa tête tomber vers le bas, il était coupable d’avoir mis en colère la jeune femme, et il le savait … Fin, il voyait les flammes comme un reflet de sa colère, et il se disait qu’il avait dû mal agir quelque part, même s’il ne comprenait pas du tout pourquoi, ni où, ni comment … Il avait écouté la seconde leçon, mais … les gens n’aimaient pas Olaf, mais il l’acceptait …On n’aime pas forcément un chat, mais on adore qu’il nous ronronne à l’oreille. Olaf était un peu ça pour la plupart des gens … Il donnerait tout pour les autres, mais personne ne donnerait pour lui …il se demandait si cela signifiait qu’il n’avait pas de réels amis … Il se posa la question, mais les soeurs MacKenzie apparurent devant ses prunelles. Non. Il avait des amis, et il le savait. Et même si au début, son amitié était à sens unique, il savait qu’il pourrait arriver à atteindre les personnes.
- Vous m’avez aussi donné votre véritable nom. Cela signifie que vous avez un peu confiance en moi non ? Donc je ne vois pas pourquoi j’aurais cacher ma véritable nature. Et puis … vous n’avez pas de mauvaises intentions. Je le sais.
Comment le savait il ? Parce qu’il le savait. Voilà. Une réponse très simple. Depuis le début de leur discussion, la jeune femme n’avait rien fait pour lui prouver qu’elle en avait. Elle lui avait dit son nom, en premier, elle était rentré dans son « cercle d’intimité » en premier. Elle lui donnait des leçons et lui expliquait ce que la plupart des êtres vivants n’avaient fait qu’effleurer avec Olaf. Non…. Et puis, il avait beau réfléchir encore et encore, il ne voyait pas comment la jeune femme pourrait lui faire du mal juste avec son prénom et encore moins faire du mal aux personnes qu’il aime …
- J’accepte votre jeu. Mais vous savez, je ne veux pas forcément vos secrets. Ils viendront avec la confiance, je veux que vous m’aimiez….
Il était toujours assis par terre en tailleur, il avait la main sur son menton et réfléchissait … la seule idée -stupide- qu’il avait sur le moment était vraiment une mauvaise idée … mais c’était la seule qu’il avait … mais elle était stupide. Il se releva et plongea le regard dans celui de la jeune femme.
- Je ne peux pas choisir pour vous de me considérer comme un ami, je n’ai pas ce pouvoir … mais je peux vous montrer à quel point j’ai envie d’être votre ami. Et ça qu’importe les conséquences ensuite. Je suis motivé. Mais j’ai qu’une idée stupide qui contredit ce que vous venez de me dire alors je ne suis pas sûr qu’elle vous plaira. Alors je vais vous la dire, et si vous voulez que je le prouve alors je le ferais.
Il sourit en regardant la jeune femme puis les flammes.
- Si je saute dans le feu pour vous atteindre, j’aurais le droit à une chance d’être votre ami, pour de vrai ? Le genre d’amitié dont vous parliez, à double sens ?
Le feu, ça fait mal, et il le savait, mais là tout de suite, il n’avait que cette idée. Il regardait la jeune femme droit dans les yeux. Il n’y avait plus de culpabilité ou de gêne, ou même de timidité -mais Olaf n’avait rien d’un être timide bien au contraire- Dans ses yeux, on pouvait voir qu’il le ferait si cela permettait de se rapprocher de la jeune femme… Et Olaf réalisa quelque chose, la jeune femme touchait une corde sensible quelque part en lui… il aimait tout le monde, voulait être ami avec tout le monde, mais il savait déjà que certaines personnes avaient plus facilement été gravé dans la roche dans son coeur que d’autres. La jeune femme avait sa place là. Il ne savait pas pourquoi, il ne savait pas comment, il ne savait même pas si c’était logique, mais la jeune femme avait tout fait pour qu’Olaf se sente proche d’elle, d’une manière qu’il ne pouvait expliquer.
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HRP : Mon Olaf intérieur aime le "Sombrer dans la gentillesse" l'expression, elle est trop chou
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| Conte : La Belle aux Bois Dormants | Dans le monde des contes, je suis : : Maléfique
“Je ne sais pas qui tu es, mais tu es sois fou, soit téméraire. ”
Les flammes dansaient toujours autour de Maléfique et un sourire mauvais apparut. Il n’était pas destiné à Olaf, mais au feu. Destructeur, ravageur, il pouvait aussi bien détruire que créer. Et elle aimait ça. Pourquoi? Parce qu’il lui faisait penser à Regina Mills. Le fixant à travers ce dernier, son intérêt se reporta à nouveau sur Olaf.
« Le véritable nom de quelque chose est la base de toute Magie. C’est avec lui que l’on lance des Malédictions. »
Un léger sourire se dessina. Chaque chose avait un nom, et c’était le plus important. Il était le reflet de l’âme, l’identité de quelqu’un. C’était une des choses les plus importantes. Même ceux qui n’avaient pas de nom s’en trouvaient toujours un, car il était un élément de langage essentiel pour son existence. D’ailleurs, c’est ce qu’Eris répondit à Olaf. « C’est l’élément de plus essentiel dans l’existence d’un être, puisqu’il le définit. »
Son sourire ne s’effaça pas quand il s’assit en tailleur, fixant les flammes. Dans ses yeux, elle pouvait voir qu’il avait envie de transgresser les règles établies pour la rejoindre. C’est bien. Elle avait planter une graine dans son esprit, et elle était en train de germer, tout doucement. Sans lâcher son sourire, elle garda les mains sur les hanches et répondit d’un ton élégant et malicieux à la fois : « L’amitié, l’amour, ça va dans les deux sens. Il faut que vous l’acceptiez, mon cher Axel. Le monde est ainsi fait. Avec des gens qui s’aiment, et d’autres qui ne s’aiment pas. Vous aurez toujours des personnes qui ne vous rende pas les sentiments que vous éprouvez. C’est ainsi que fonctionne les hommes. »
Elle leva son doigt et les flammes se firent plus grande. Bien évidemment, elle n’avait aucune intention de le brûler. S’il décidait de passer, elle couperait les flammes mais reculerait. Il n’était pas encore prêt. Il était, trop fougueux et impatient. C’était étrange, car il semblait assez calme en surface. Ce garçon avait un gros potentiel, il en était totalement convaincu. « Trop impatient. Et trop tôt pour sauter dans le feu. Mais oui, c’est possible. Enfin, l’amitié est quelque chose également de très relatif… Il ne vient pas en un jour. Le monde ne s’est pas fait en 24h, alors quelque chose d’aussi complexe que l’amitié, met un peu de Temps à pousser. Vous devriez réfléchir. »
Le voyant ainsi, elle le trouva mignon. C’était dingue comme cet être était étrange. Il était dénudé de toute chose mauvaise. Il était incapable de faire le moindre mal à quelqu’un. Peut être devrait-elle lui mentir ? Lui faire croire qu’elle le considérait comme un ami ? Après tout, ainsi elle pourrait savoir pourquoi cet homme était incapable d’être méchant et peut être en distiller une potion de Bonté Pure… C’était une idée. Mais s’il apprenait qu’elle s’était joué de lui ? Que deviendrait-il ? Serait-il ravagé ? En fait, ça lui importait peu. D’ailleurs, Maléfique se dit même intérieurement, que ça lui apprendrait la vie. Que les gens ne doivent pas faire confiance à n’importe qui. Quelque soit l’issu, il apprendrait. Car on apprenait de ces erreurs, et Maléfique estima que vu que tout le monde l’aimait pour sa fragilité, il devait être très bien protégé. « C’est comme tu veux. Mais je te rappelle que de convaincre quelqu’un qui ne croit pas en l’amitié et en la confiance réciproque n’est pas chose aisée. Qu’ai-je à y gagner ? Hm ? Les câlins, c’est bien la première fois, mais je pense qu’on s’en lasse. Qu’as tu à m’offrir en échange ? Tout à un prix. Y compris ma présence. »
Et voilà. On y arrivait enfin. Sa nature de fée s’en allait aussi vite qu’elle était venue, et c’était la sorcière qui parlait désormais. Son sourire s’était effacé et son regard se voulu perçant, noble et impressionnant. Les mains sur les hanches, elle fixa le bonhomme de neige qu’il avait été avec intensité. Allait-il fondre en tentant de passer à travers les flammes ? L’idée fut séduisante.
Axel Oswald
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| Conte : La reine des neiges | Dans le monde des contes, je suis : : Olaf
Axel avait ce qu’on pourrait communément appeler des bugs. C’était ses moments où il passait ses yeux sur de choses bien distinctes mais qui avait un lien … sauf que le lien avait un peu de mal à se faire entièrement dans sa tête. Il regardait les flammes puis la jeune femme… la jeune femme puis les flammes … une fois, puis deux, puis trois. Il savait que les flammes étaient créés par la jeune femme, mais il se demandait si elle pouvait en avoir un impact.
Et il ne savait toujours pas si l’idée de se jeter dans les flammes étaient la bonne idée ou bien si la jeune femme attendait autre chose de lui … peut être quelque chose de plus original ? Quelque chose qui lui permette de voir que la jeune femme compte vraiment à ses yeux … il réfléchissait alors que son regard s’attardait sur le visage de la jeune femme. Elle lui avait donné son nom. Lui avait elle donnait du pouvoir sur elle ? Olaf n’en était pas sur. Mais il ne voulait pas avoir du pouvoir sur elle, il voulait juste être son ami… Olaf sourit.
- Alors, quel est mon nom ? Est ce Olaf ou Axel ? Je pense que l’on peut avoir plusieurs noms. Nous ne sommes pas qu’une seule chose dans notre vie.
Par là, il voulait dire qu’il n’avait pas qu’un nom. Comme la jeune femme. Dame Eris était un nom au même titre que Fée Morgane. C’était une appellation, une manière de dire. Mais aucun des deux noms ne représente ce qu’est réellement la jeune femme.
- L’amour à sens unique… Je ne demanderais jamais à mes amis de me retourner ce que je leur donne. Je leur donne tout, s’ils ne désirent pas le faire, alors je ne leur en veux pas. Je serais là jusqu’au dernier moment, jusqu’aux moments où ils le désireront.
Olaf réfléchit. Il pourrait sauter dans les flammes, là tout de suite… mais il était sur que ce n’était pas ce que la jeune femme lui demandait… Elle voulait quelque chose d’autres … de différents … quelque chose qui prouve qu’Olaf ferait tout pour elle, mais pas qu’il le ferait sur un coup de tête. Il allait finir par faire un nouveau bug système. Cette fois, ses yeux se portaient sur la jeune femme, dans ses yeux, puis sur ses mains
- Pour le moment je dois juste prouver que je suis digne que vous me portiez de l’intérêt amical. Sauter dans le feu ne me fait pas peur, mais j’ai l’impression que vous voulez plus de moi… Je dois trouver, je dois trouver ce que vous voulez de moi, pour que vous ayez vraiment envie de m’ouvrir votre coeur.
Lui avait un coeur grand ouvert. Bon c’était un coeur qui avait déjà souffert, on n’est pas aussi gentil tout le temps sans devoir recoller des morceaux de temps en temps. Mais Olaf ne connait que peu la colère, il ne connait que peu la haine. Il connait la tristesse, mais jamais elle ne l’avait mit à terre. Il s’était toujours relevé. Plus ou moins difficilement … mais il ne savait pas quelque chose dans l’aura que cette femme dégageait lui donner envie d’être têtue. De ne pas la lâcher. Il devait trouver une idée…
Il regarda un instant les flammes volant comme pleins de petits bonhommes dansant au clair de lune. Olaf eu une idée. Une idée lumineuse… ou pas… mais une idée qui pourrait peut être prouver à la jeune femme qu’il méritait d’être son ami, et sans qu’elle le prenne pour un suicidaire qui se jette dans le feu à la moindre occasion.
- Bougez pas ! Je reviens ! Ne bougez pas. Promis je fais vite.
Et il se mit à courir dans le sens inverse. La boutique de Jack Frost n’étant pas très loin pendant un sprint. Olaf pour la première fois de sa vie ne vit pas les gens qui lui disait bonjour alors qu’il faisait de grande enjambé pour arriver à la boutique. Il ouvrit dans un mouvement rapidement et s’engouffra à l’intérieur pour aller dans une des salles qui se cachait au fond de la boutique. Il laissa tout ouvert pour quelques minutes.
L’exposition de la salle de repos à la lumière était bien meilleure que l’exposition de la lumière dans son appartement … D’ailleurs Olaf était si peu souvent dans son apparement qu’il en oubliait d’ouvrir les volets la plupart du temps. Il prit l’objet qu’il désirer et refit le chemin inverse avec le plus de précaution possible. Il arrive à nouveau dans la boutique de la jeune femme, en nage, il était en train de trouver son souffle alors qu’il avait le goût du sang qui monter dans sa gorge. Ok. Il savait courir, mais peut être aurait il pu penser à respirer pendant le chemin ?
Doucement, il poussa la chose qu’il était allé chercher dans la boutique alors qu’il finit au sol en reprenant son souffle. L’objet, si on pouvait appeler cela ainsi, était un bonsai. Un arbre tout ce qu’il y avait de plus simple. Un peu grand, un peu gros, avec un socle de granite qui entourer ses racines. Mais ce n’était pas ce qu’il y avait de plus incroyable dans cet objet. Le bonsai était en faite deux bonsaïs. L’un était blanc, avec des feuilles plus petites mais plus nombreuses. L’autre était un bonsai au tronc noir et aux feuilles, moins nombreuses, vert foncé. Les deux arbres étaient entre mêlés. Leurs troncs faisant des jolies courbes pour se séparer ensuite. Il l’approcha de la jeune femme.
- On ne se lasse jamais des câlins. Je me lasse jamais de personnes. La vie fait que certaines personnes s’éloignent de nous, mais … Mais qu’importe la personne aura été lié à nous. Je ne vais pas vous mentir Dame Eris, je n’ai pas grand chose à vous offrir…
Il montra d’une main les deux bonsaïs. Il se releva avec son souffle revenu, ou presque et prit la plante sur le sol.
- Je vous propose une expérimentation. Expérimenter l’amitié avec moi. Comme ces deux bonsaïs on a des racines très différentes. Comme ces deux bonsaïs on partira certainement vers des directions différentes. Mais on peut être lié, on peut être ami. Vous pouvez avoir confiance en moi, parce que moi j’ai confiance en vous.
Il fit un large sourire et avec son bonsaï fit un pas vers les flammes.
- Certaines choses n’ont pas de prix. Je ne pourrais jamais quantifier l’amitié que je vous porte, ou que je porte à d’autres personnes. Vous n’avez pas de prix. Vous êtes un sentiment, une envie, un être. Vous n’êtes pas qu’un nom.
Il fit un autre pas vers les flammes sans pour autant les toucher, et tranquillement, il tendit les bras dans les flammes pour lui tendre l’objet. C’était une représentation parfaite de leur amitié. Voilà ce qu’Olaf c’était dit quand il avait vu les flammes. Que le bonsaï pouvait être une représentation de leur amitié. Et qu’il allait prouver qu’il pouvait être digne de la femme qu’il avait en face de lui…
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“Je ne sais pas qui tu es, mais tu es sois fou, soit téméraire. ”
Maléfique le fixa dans les yeux, d’un regard étrangement profond. Il était extrêmement pertinent, au fond, et seul les purs imbéciles pouvaient voir en lui un individu idiot, alors que la réalité était bien tout autre. Fronçant des yeux, elle croisa les bras et leva le nez d’un air assez hautain pour déclarer d’un ton supérieur : « Je pense que nous n’avons qu’un seul nom véritable. Certes, la vie peut nous en donner plusieurs. Mais c’est la base de la magie ancienne. On appelle les choses par leurs noms… Pour les forcer à faire des choses. Enfin, c’était le cas dans mon monde, aujourd’hui, cette magie est bien… Diminuée. »
Les bras croisés, elle fixa les flammes avec intensité. Allait-il prendre une quelconque décision ? Ou resterait-il là, à l’observer de tout son long ? Et à déclarer que l’amitié était à sens unique… Un ricanement hautain s’échappa de sa bouche et elle porta gracieusement une de ses mains à ses lèvres comme pour faire semblant d’être choquée. « C’est vrai. Toutes les relations sont à sens unique... »
Bien évidemment, c’était de l’ironie à son état le plus pur. Fronçant encore un peu plus des sourcils et lui donnant un air de dragon, elle poursuivit : « Vous parliez du sens des noms, et bien voilà désormais le sens des mots. Relation, signifie étymologiquement avoir des échanges avec quelqu’un. L’amitié est une relation. Cela veut dire que vos échanges sont réciproque. Si vous êtes à sens unique, vous pouvez aller dans un mur… Mais étant donné votre trait de caractère depuis le début, je pense que ce n’est pas la première fois que ça vous arrive... »
Elle l’observa avec curiosité. Elle avait vu des êtres curieux, dans beaucoup de mondes différents, mais celui là paraissait quand même très particulier. Ouvrant la bouche, elle fut surprise de le voir partir, en lui donnant l’ordre de ne pas bouger. Fermant la bouche devant son culot, elle fit apparaître une manuel d’entretiens des plantes complexes dans ses mains et un tabouret. S’asseyant, elle commença sa lecture en attente qu’il revienne. « Tu penses réellement que j’ai la patience de t’attendre ? »
Elle était furieuse. Mais les flammes étaient toujours là, et elle était assise, jambe croisées. Fixant Olaf d’un air assez dur, elle le regarda amener les bonzai. Un sourire en coin apparut, et les flammes disparurent aussitôt. Se levant du tabouret avec grâce, elle se saisit du premier spécimen pour l’observer avec attention. « C’est toi qui en prend si soin ? »
Elle avait une voix beaucoup plus douce. Quelqu’un qui respectait la Nature avait toujours son respect. Même si c’était Maléfique. Posant ce dernier avec précaution, comme si cela avait été un trésor, elle l’observa encore un moment avant de se tourner vers Olaf. « Tu es malin. Non seulement tu es malin, mais en plus tu es très sage, comme le Roi Salomon. »
Elle marqua une pause, puis inspecta encore l’arbuste. « Très bien. J’accepte l’expérience. C’est une très belle métaphore. Et considère toi comme un chanceux d’avoir eux une discussion aussi longue avec moi en restant indèmne. C’est très rare. Peut être qu’effectivement, c’est un début d’amitié. »
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| Conte : La reine des neiges | Dans le monde des contes, je suis : : Olaf
Axel ne savait pas son nom véritable. Il avait peu de noms, mais il en avait déjà trois rien qu’en comptant sans réfléchir. Monsieur Oswald. Axel. Olaf. Qu’était donc son véritable nom alors ? Il se le demandait, mais cela n’avait peu d’importance pour lui. On pouvait le décrire et l’appeler comme on veut, il savait que l’on parle de lui et c’est suffisant … Mais alors … est ce que cela signifiait que la magie ancienne dont la jeune femme parlait pouvait l’atteindre sans qu’il le sache ? Mais comment quelque chose pourrait il l’atteindre s’il n’en avait pas conscience. Il n’avait pas besoin d’etre récepteur ? Sa tête était en feu alors qu’il lui tendait toujours la plante tranquillement. Olaf. C’était bien. Axel aussi … Il ne choisirait donc pas aujourd’hui.
Quand il vit les flammes disparaitre, il eu une tête digne d’un dessin anime. Il était sûr que son idée allait fonctionner, mais il était tout de même étonnement content … parce que la jeune femme aurait pu aussi lui dire qu’elle ne voulait de l’objet. Les plantes avaient des formes disgracieuses et ne faisaient pas de fleurs. C’était des petits arbres, rien de moins que cela. Mais c’était unique. Et Olaf avait compris que la jeune femme en face de lui était unique aussi. Alors il était content mais étonné que son message soit entendu aussi fortement. Un nouveau sourire naissant sur son visage d’adorable enfant. Il rougit aux paroles de la jeune femme.
- Je … l’ai trouvé. Et depuis j’essaie, mais … j’ai dû mal …
Il s’était même permis de s’acheter un livre sur les plantes où il y avait une seule et unique page sur ces petits arbres et avait fait strictement ce qu’on lui avait demandé… Il n’avait pas vraiment la main verte … comparer à la jeune femme, ses plantes poussaient en Chine à partir de la racine. Olaf la regarda poser l’objet. Des fois, il aimerait voir les auras des gens. Voir leur couleur, comme dans une série étrange qu’il avait vu dans ses faux souvenirs. Le garçon pouvait voir la couleur des auras. Et ainsi pouvait comprendre comment se sentait tout le monde … Ce pouvoir, comprendre les sentiments des autres, ça lui plairait ainsi il pourrait plus facilement les faire sourire … mais il savait aussi que c’était une intrusion méchante dans la vie privée des gens et il était content de n’avoir que sa petite tête pour comprendre.
- Je … je ne sais pas qui est le roi Salomon… mais si vous l’appréciez, alors je suis ravi d’être comme lui !
Il dit cela en faisant un petit signe du poing pour montrer son contentement. Pas de câlins. Pas encore. Mais sa phrase lui suffisait amplement. Il se promit intérieurement d’aller acheter un livre sur le Roi Salomon pour comprendre qui il était… Il allait avoir tout plein de livres à force de vouloir faire des recherches sur ce qu’on lui disait, mais il était tout de même très content. Il s’approcha d’elle en penchant la tête sur le côté. Gardant sa distance de sécurité, il vérifia même avec la distance de son bras, et se recula de quelques centimètres pour être à la distance dites.
- Je le sais déjà que je suis chanceux, mais ce n’est pas ce qui m’importe… Est ce que cela vous a fait plaisir de me rencontrer ? Qu’est ce que je peux faire pour débuter l’expérimentation ? Parce que j’avoue n’avoir jamais vu l’amitié comme une expérience, alors j’imagine qu’il y a un protocole, ou bien une manière de faire.
Il fit encore un sourire de sa tête penchée d’enfant. Il avait peut être l’âge légal d’un adulte et le physique d’un jeune homme … il n’en restait pas moins un enfant. Olaf n’avait pas vécu très longtemps en temps que bonhomme de neige. Mais c’était suffisant pour que ses souvenirs prennent le pas sur la plupart de ses faux souvenirs. Il réfléchit. Puis, il eu une nouvelle idée.
- Et si un jour, on faisait une sortie vous et moi ? J’ai entendu dur qu’il existait en France un parc de bamboo. Juste des bamboos à perte de vue, et qu’on pouvait se perdre dans un labyrinthe et apprendre pleins de chose. On pourrait en trouver un près d’ici ? Vous viendrais faire une journée découverte avec moi ?
Il pensait aux bamboos parce que … d’une manière très logique, elle aimait la nature et l’harmonie… A la télévision, le parc semblait vraiment beaux … alors cela pouvait être une idée… il n’allait pas lui proposer de faire une sortie dans un parc d’attraction pour leur première sortie d’amis … Il était sur que la jeune femme n’apprécierait pas tout de suite ce genre de lieu avec lui … pas tout de suite. Motivé à bloc, il continuait à sourire d’un air un peu benêt. Il avait réussi à avoir une nouvelle amie, et ça le mettrait de bonne humeur pour très longtemps.
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“Je ne sais pas qui tu es, mais tu es sois fou, soit téméraire. ”
Eris mit ses bras en avant, de manière préventive avant de subir un nouveau câlin. Fronçant les sourcils, elle pencha un peu la tête sur le côté comme le faisait les personnes qui avaient une véritable curiosité devant eux. « Le Roi Salomon était un roi réputé pour sa sagesse. Il a construis un Temple à son image. »
C’était plus ou moins ça. Mais lui expliquer tout le mystère qui résidait autour de ce roi pouvait paraître très long. Et aujourd’hui, Eris en avait eu bien assez. Elle n’avait qu’une envie, c’était retrouvé sa solitude. Finalement, après avoir préparé son petit discours dans sa tête, elle finit par déclarer d’une voix calme mais stricte.
« Je crois que ça suffit pour aujourd’hui. Nous planifierons cela plus tard, veux-tu ? J’ai besoin d’être seule. Je suis une solitaire de nature. Aussi, je vais disparaître une fois que j’aurai fini de parler. Ne me cherche pas, et reprends ta route. Si tu veux me voir, je serai ici aux horaires de la boutique. Mais surtout, ne vient jamais la nuit. »
Là, elle avait été très dure. Elle n’était pas la même la nuit que le jour. Si Olaf s’était pointé au milieu de la nuit… Elle savait ce qui se passerait. C’était bien mieux de le prévenir. « Hm. Alors, je te dis, à plus tard, Axel. »
Et, elle lui décocha un léger sourire avant de disparaître dans un épais nuage de fumée noire. L’instant suivant, elle était dans le jardin de chez Régina. Traversant l’allée à grands pas, d’une démarche déterminée, elle se dirigea vers la porte d’entrée. C’était forcément elle, qui l’avait envoyé. Ca ne pouvait être que Mills, qui lui faisait un coup pareil. Arrivant devant sa porte, elle frappa trois coups secs. « Ouvre. »
Et, avec une lenteur infinie, la porte s’ouvrit. Maléfique ouvrit sa bouche pour dire quelque chose, mais la vision de Régina lui empêcha de dire quoi que ce soit. C’était ça, l’amour ? Ridicule.
Axel Oswald
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Personnage abandonné
| Conte : La reine des neiges | Dans le monde des contes, je suis : : Olaf
Axel savait s’adapter aux gens bien plus que ce que les gens n’acceptaient de s’adapter à lui… La jeune femme qu’il avait en face de lui avait accepté son amitié, mais il savait déjà qu’il allait devoir se mettre au diapason pour ne pas que cela engendre un refus d’amitié à nouveau …Il fallait absolument qu’il comprenne le tout. Olaf sourit alors quand elle lui dit de partir, il n’y avait pas de soucis. Il s’était fait une amie, il ne pouvait pas l’embêter plus longtemps.
- D’accord, mais si tu as besoin de moi de nuit, comme je fais ? Et …
Elle avait déjà disparu … Il se mordit la lèvre … Il avait compris qu’elle était une solitaire, il n’avait pas eu besoin qu’elle lui dise … Mais elle avait aussi dit que c’était à lui de revenir vers elle… comment considérer le temps d’attente avant de revenir lui proposer de partir avec lui quelque part … Il remarqua un stylo et trouva une feuille. Il y note son numéro de téléphone, l’adresse de jack, son adresse … puisque de toute façon il ne fermait jamais la porte à clé sauf quand il est pas là, et rajouta un petit mot « Si tu as besoin de moi, même la nuit, je prendrais le risque alors n’hésite pas ». Il ignorait ce qu’il pouvait se passer la nuit, mais il préférait lui dire. Si besoin il était là. Il ignorait aussi que la jeune femme allait voir Regina pour se disputer, ou que l’amour trainait dans l’air … surtout qu’Olaf était le genre à adorer l’amour ! Il laissa le papier en évidence et ressortit…
Il partit dans la ville et trouva un livre … Le roi Salomon - biographie de Lauren Cohen. Il l’acheta et se promit de le lire un jour … sauf qu’il y avait pas beaucoup d’image et beaucoup de texte… il voulu le commencer le soir même mais s’endormit dessus comme un bébé.