« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Cela faisait moins de trois heures qu’il avait quitté la jeune femme russe et sa mini-elle. Trois petites heures que son cerveau, non content d’être un cerveau pouvant pensé à plusieurs choses à la fois, avait une fait une fixette sur ce que la jeune profileuse lui avait dit …
Pas loin de lui se trouvait une personne dont la mission était la même que la sienne. Pas loin de lui se trouvait quelqu’un qui pourrait apparement supporter toutes ses demandes de câlins… Quelqu’un qui verrait pas comme une agression qu’il demande un câlin. On pourrait croire que depuis le temps, notre Olaf avait l’habitude de se faire envoyer balader …
Malheureusement, Olaf était peut être un éternel optimiste, mais quand il se prenait des vents ainsi, cela atteignait toujours un peu son coeur. Bien sur, il ne le dirait jamais à personne. Il ne voulait pas déranger les gens … Même si pour lui, les câlins, ou même les démonstrations d’amour physique, étaient plus important que respirer. Il pouvait arrêter de respirer … il ne pourrait pas vivre seul. Il le savait.
Même s’il savait ne jamais être seul. Comme quand Elsa la construit pour le laisser dans la forêt, il avait des arbres, des animaux, des sensations, qui le faisait se sentir appartenant à quelque chose. Olaf ne pensait pas un jour être véritablement seul, alors il vivait dans son ignorance et sa naïveté …
Mais il savait aussi qu’il avait besoin de plus de câlin….Il se trouva alors devant la pâtisserie que Dame Anastasia lui avait parlé juste un peu avant. Sa charlotte toujours sur la tête, une fois mise, il oubliait sa présence. Il regarda rapidement à l’intérieur … mais il ne voyait que son reflet. Il ne vit même pas la pancarte dehors …
Il ouvrit la porte tranquillement et avança jusqu’à la première personne qu’il remarqué. Il ne savait pas si c’était Dame Amélia ou non… mais après tout, tant qu’à faire d’être bizarre. Il se planta devant la jeune femme et fit un large sourire.
- Bonjour, je m’appelle Axel, et je voudrais un gros câlin !
Il ne tendait pas les bras vers la jeune femme, puisqu’il y avait un comptoir entre eux, et pour avoir déjà essayé il savait que le comptoir l’empêcherait de faire un câlin efficace. Il sourit grandement, sur son visage on pouvait voir qu’il était une personne très gentille et … enfantin. Il n’était qu’un enfant. Rare était les personnes qui pouvaient voir l’adulte en lui. Il pouvait l’être mais il cachait cette partie de lui dans un coin de son cerveau. Il reprit doucement :
- Et j’aurais aussi besoin de votre aide, ainsi qu’une proposition à faire … Mais d’abord j’aimerais savoir si je peux avoir mon câlin. Dame Anastasia m’a dit que vous en faisiez et moi j’ai toujours rêvé que quelqu’un vienne vers moi et me demande juste un câlin. Alors je vous le demande … voilà …
Il se dit une petite seconde qu’il ferait mieux de se taire, avant de poser ses yeux sur la jeune femme. Un enfant, ou un animal, voilà ce qu’il pouvait représenter. On pouvait sentir que ce n’était pas une menace … Il fit juste un sourire en montrant ses dents blanches parfaites.
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Amelia Peters
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Quand on travaille dans le commerce (qu'elle le veuille ou non, Amelia tenait un commerce, et l'un de ceux qui marchait le mieux !), on a l'habitude de traiter avec tout un panel de personnes. Des très exigeantes (Deborah Gust en tête), aux casses pieds, en passant par les allergiques à beaucoup de choses, les demandes étranges (un gâteau aux vers de terre, on lui en avait vraiment demandé un !) ou les délais très courts. Mais malgré tout, Amelia continuait d'être surprise et ce, après une vingtaine d'années à faire ce travail. Elle trouvait cela à la fois dingue et fascinant. Excitant, aussi. Entre ça et ses idées qui ne cessaient de donner naissance à de nouveaux gâteaux, Amelia ne trouvait pas son métier ennuyeux - loin de là. Ce jour-là, une fois de plus, elle fut prise par surprise lorsqu'un grand jeune homme coiffé d'une charlotte qu'on trouvait souvent dans les métiers de bouche, se planta devant elle pour demander un câlin. Bien sûr, elle avait dessiné une pancarte un ou deux ans plus tôt, après avoir longuement consolé Sandy Ness mais en dehors d'elle, personne n'avait jamais semblé la remarquer. Jusqu'à ce jour-là. Naturellement, c'est avec un grand sourire bienveillant qu'Anastasia accueillit cette demande que pourtant beaucoup de gens auraient trouvé étrange - voire plus étrange que tout un tas de choses qui se passaient en ville et qui, pour le coup, étaient réellement étranges. Naturellement, Amelia arrêta ce qu'elle faisait derrière son comptoir (à savoir classer sa petite monnaie dans la caisse) pour contourner ledit comptoir et annoncer ce qui allait sans doute être une bonne nouvelle pour Axel : - Eh bien "Dame Anastasia" n'a pas menti. Y a même un panneau là-bas qui indique que c'est totalement gratuit. J'ai pas pensé à dire que c'était à volonté mais j'imagine que la gratuité l'implique un peu, non ? Quoi qu'il en soit… Amelia écarta les bras pour l'inviter à cette étreinte demandée : - Parons au plus pressé - le câlin - et ensuite vous me raconterez cette proposition.
Axel Oswald
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est ce que ça vous tenterez ? </div> <table><tr><td><img src="https://66.media.tumblr.com/359b7921cf031f39d9141e059b8e5b27/tumblr_inline_o1jcv28LUO1szaa83_250.gif" style="width:235px; border:1px solid Thistle;padding:3px"align="center"></td><td><img src="http://33.media.tumblr.com/530431f7ccbe935b4de7ee91e198017a/tumblr_ne0epxvMVe1r0t68go5_250.gif" style="width:235px; border:1px solid Thistle;padding:3px"align="center"></td></tr></table> <br><div style="width:300px; height: 10px; background-color:LightPink; border-right: 95px solid #DA70D6; border-left: 95px solid #DA70D6;"></div> <div style="width:470px; background-color:Thistle;color:#090809;font-family: calibri; font-size: 14px; text-align: justify;padding: 10px; letter-spacing: 0.2pt; word-spacing: -0.2pt; line-height: 1.1;"> L'histoire est a mettre ici </div> <div style="font-size:8px;text-align:center;color:#9E9B98">Codage par Libella sur [url=http://graphiorum.forumactif.com/]Graphiorum[/url]</div></DIV></center>[color=#DA70D6][/color]
Un petit partenariat
est ce que ça vous tenterez ?
Axel observait la jeune femme de son regard plein d’amour et de gentillesse… Et il voyait pour une fois une regard équivalent dans celui de la jeune femme. Peut être était il en train de rêver ? Peut être avait il tout simplement tellement envie de voir un regard plein de gentillesse qu’il le lisait dans les yeux de la pâtissière ? Peut être. Mais n’est pas Olaf n’importe qui, il préférait voir ce qui le rendait heureux, que d’assumer la réalité de la vie…
Même s’il pouvait réaliser la réalité de temps en temps… en réalité, toute la subtilité d’Olaf se résolvait dans ce simple fait. Il connait la réalité, et il connait ce qu’il voit. Quand ce qu’il voit n’est pas conforme à ce qu’il veut, alors il le change. Et ainsi, la vie est plus tranquille. Cependant, il reste conscient de la réalité. C’est un peu comme Axel. Sa vie en tant qu’Axel. La complexité de ce lien si étrange qu’il avait avec un homme qui est lui, mais sans l’être.
Mais arrêtons là de réfléchir intérieurement à tout ce qu’il se passe dans sa tête. Il attendait simplement de voir si Dame Anastasia avait dit vrai… et Olaf ne pensait pas une seule seconde qu’il puisse avoir un mensonge dans les paroles de la princesse. Quand elle lui dit qu’il avait raison, un nouveau sourire apparu sur son visage, plein de gaieté et d’amour. Il n’avait pas vu le panneau, mais il s’engouffra comme un ouragan -en rapidité parce que la sensation était plutôt celle d’une plume- dans les bras de la jeune femme.
Sans aucune honte, pas la moindre, il finit par serrer ses bras autour du corps de la jeune femme avec un sourire qui s’entendait encore dans sa respiration. Oui, il était trop heureux d’avoir eu un câlin, comme ça, pour le plaisir. Il sourit encore alors qu’il avait la tête au dessus de la tête de la jeune femme, aussi il était plus grand qu’elle…, et il souriait à en s’en décrocher la mâchoire.
- je suis troooooop heureux !! Merciiiii.
Et il ne défaisait pas le calin … dans un dessin animé, ou plus probable un manga animé, il aurait des coeurs qui lui sorte de la tête pour faire « pouf pouf » au dessus de leur tête à tous les deux. Il sourit encore, toujours serrer à elle dans un câlin qui pourrait mettre mal à l’aise certains -mais pas Olaf … et il pensait -peut être à tord- que la jeune femme ne proposerait pas de câlin si elle n’avait pas dans l’idée d’être à l’aise.
- Vous savez que personne ne me demande jamais de calin ? Parce que je suis un homme peut être, et que je suis grand … certainement personne m’ont dit ça … que j’étais aussi …hum… intimidant, même si je me vois pas comme quelqu’un qui intimide …
Avec ses cinquante kilos tout mouillé et sa tête d’ange tombé du lit …. Il ne pourrait même pas intimidé une méduse ….
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Amelia Peters
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Amelia réalisa, non sans un peu de surprise, qu'Axel était apparemment très pressé de recevoir un câlin. Elle n'était pas certaine d'avoir connu quelqu'un rapide que lui pour s'engouffrer dans les bras d'une personne mais elle ne trouva pas ça étrange, juste mignon. Axel était, en taille, beaucoup plus grand que la pâtissière (il faut qu'Amelia était vraiment très petite), mais il avait en cet instant l'air d'un enfant affectueux ce qui le rendait particulièrement attachant. Amelia, en tout cas, avait déjà décidé de l'aimer. - Si vous êtes heureux, alors je le suis aussi, affirma la pâtissière. Et c'était d'autant plus vrai que le bonheur d'Axel semblait communicatif. Mais peut-être que la proximité jouait aussi. La vie d'Amelia n'était évidemment pas toute rose mais elle ne se considérait pas comme malheureuse comme les pierres de façon générale, sans doute parce qu'elle était extrêmement positive. Mais en cet instant elle l'était probablement encore plus que d'habitude. - Vous savez je pense que ce n'est pas uniquement une question de tête ou de taille. Même si je trouve votre tête tout à fait sympathique et que votre taille grande ne dérange pas ma taille petite… Tant que vous ne repartez pas avec un lumbago ou un tour de dos ! précisa Amelia. Je n'ai rien contre les personnes grandes, elles me sont utiles au supermarché quand je n'arrive pas à attraper une boite. Je crois en fait que beaucoup de gens sont mal à l'aise avec les câlins gratuits faits à des inconnus parce que c'est quand même un peu intime comme expérience. Ca rapproche littéralement. Il y a des gens qui ne sont pas tactiles, par exemple. Ou ceux qui n'aiment pas l'être avec des inconnus. Et c'est pas bien de les juger pour ça, ils sont ce qu'ils sont. Mais je me demandais… Pourquoi les gens devraient vous demander des câlins spontanément ? C'était votre travail dans la vie d'avant ou c'est juste que vous aimez ça énormément et que vous l'avez publiquement fait savoir ?
Axel Oswald
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Axel était tout à fait heureux. Tout simplement heureux. Complètement heureux. Parce qu’il était en train d’avoir un câlin, et que l’on pouvait dire tout ce que l’on voulait sur ce simple fait … avoir un câlin était l’acte le plus doux de la Terre. Olaf ne voulait pas en perdre une mini-seconde. C’était trop lui en demander. Il ne pourrait jamais résister à des bras tendus vers lui, à un sourire -ou non, mais dans notre cas le coeur y était- et à la douce impression que pour une fois, on n’allait pas le prendre pour un dérangé.
Cela lui arrivait souvent qu’on le trouve étrange, simplet, niais… d’autres fois, plus douloureuse pour notre cher Olaf, on le prenait pour un dérange, un danger même, ce qui n’était pas le cas quand on prenait le temps de parler avec le jeune homme … rien qu’une petite seconde. Quand la jeune femme lui dit LA phrase, il eu encore plus envie de sourire.
Elle pouvait le sentir, son sourire nouvellement revenue. Parce que d’habitude, c’était lui qui disait cela « si tu es heureux alors je le suis ». Mais là … Ce n’était pas le cas … alors il était juste trop content d’avoir un câlin. La jeune femme était donc une des personnes qu’il allait aimé dans cette ville… Il avait fallu 5 ans à Olaf pour se décider à sortir de sa coquille.
Bien sur, il faisait toujours des câlins, mais depuis quelques temps, ils parlaient plus « de lui ». De son ancien lui, créant alors une nouvelle relation avec les gens. Il n’est plus seulement le bisounours, maintenant, il a des amis.
- Je ne me ferais pas de mal, puis, je peux bien avoir un peu mal au dos, si c’est pour un câlin, ça me dérange pas … ni pour dix.
Il se recula un instant de la jeune femme, laissant pourtant toujours un contact entre son bras et sa main pour lui rappeler qu’il était tout à fait heureux. Il jugeait sa taille d’un coup d’oeil. Mais c’était la suite de sa phrase qui l’avait le plus attirer à parler. Il réfléchit un instant. Il n’avait plus rien à cacher, mais la jeune femme posait une question qui porter sur la nature même d’Olaf.
- Avant … je n’étais que ça. J’étais pas vraiment un personnage utile pour les autres et je ne pouvais que câliner les gens. Mais j’adore ça, hein, ça me mets toujours de bonne humeur et j’ai envie de faire encore plus de câlin à tout le monde. Puis, il y a eu Storybrooke, et j’étais un humain très tactile encore … et maintenant je suis pire, parce que j’ai envie de donner tout plein de bonheur à tout le monde de la seule manière que je connaisse …
Il sourit.
- C’est pour ça qu’un jour j’ai envie que quelqu’un vienne me voir, et me demande un câlin, parce que cela signifie que j’aurais réussi à l’atteindre. Que j’aurais vraiment fait ce pourquoi je suis créer.
Olaf avait été défini par Anna et Elsa. Un bonhomme de neige plein de coeur qui veut faire de gros câlins, naïf et candide. Optimiste et positif. Axel avait réussi assez étrangement à garder ce côté là de son caractère … mais en apprenant aussi des réalités qui l’avait forcé forger différemment. Axel avait connu la peine, les larmes, le désespoir, là Olaf l’avait toujours ignorer … si on voulait se plaindre à quelqu’un il fallait aller voir Jude.
- Je sais que ce n’est pas logique, et que je ne suis pas censé être que ce que pourquoi je suis né, mais j’ai vraiment envie de continuer à être moi, et pour ça je dois réussir à faire en sorte que tout le monde soit heureux. Vous comprenez ?
Il pencha doucement la tête sur le côté. Il ressemblait à un oiseau nouvellement né. Des grands yeux ouverts sur le monde, mais une simplicité d’esprit qui peut déconcerté parfois … souvent. Et avec qu’une seule envie : Partager son bonheur continuelle avec le maximum de personne.
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Amelia Peters
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Amelia avait toujours jugé que les câlins étaient parmi les démonstrations d'affection les plus tendres et les plus centrales. Mais elle avait aussi toujours eu conscience que tout le monde n'était pas à l'aise avec cette pratique, quand d'autres considéraient que c'était surtout un très bon moyen de cacher son visage dans les moments de tristesse. Et la pâtissière, bien que de nature très ouverte, démonstrative et affectueuse (n'avait-elle, après tout, pas littéralement gavé ses enfants de câlins ?) respectait qu'on puisse ne pas aimer ou ne pas adhérer au principe. De fait, elle ne pouvait que respecter aussi l'attitude inverse qui voulait qu'Axel soit visiblement accro aux câlins. Jusqu'alors elle n'avait jamais envisagé que ce soit possible. Et d'autres sans doute ne l'avait pas imaginé non plus ou ne pouvaient pas le concevoir. Il était même possible qu'en cet instant, des badauds les observent d'un regard curieux et se demandent quelle secte s'était encore implantée en ville. Cette idée n'effrayait pas Amelia, pas plus que la proximité prolongée avec un autre homme que son mari. Elle avait toujours cru en l'amitié homme - femme, déjà parce qu'à l'adolescence elle avait plu à peu de monde mais aussi parce qu'elle trouvait idiot de tout sexualiser. Amelia savait pertinemment que rien de plus qu'un câlin était en train de se produire. Jaserait qui voudrait, elle n'était pas de ceux qui raffolent des commérages de toute façon. Et bien que sa pancarte ne soit pas énormément lue, elle était bien là. Sans aller jusqu'à vendre son corps, Amelia fournissait avant tout la "prestation" qu'elle promettait. Cela se voyait et s'entendait qu'il en allait de même pour Axel et Amelia ne pouvait que lui sourire car sa joie était communicative. - Eh bien moi avant j'étais une lionne qui ne servait pas à grande et puis Storybrooke, les faux souvenirs… Mine de rien, pour certains c'est une amélioration, cette drôle de ville. Moi j'ai trouvé quoi faire de ma vie sans n'être plus que l'empotée de service… Si tu aimes tant transmettre du bonheur peut-être que tu pourrais faire du social pour ramener la joie chez les gens, observa la pâtissière. C'est aussi une façon d'accomplir ce pour quoi tu penses avoir été créé. Moi… Je ne sais pas si j'ai été créée dans un but mais je me suis trouvée un but néanmoins. Amelia avait un peu réfléchi au but ou à la destinée qui aurait pu être prévue pour elle mais rien à faire, elle ne voyait pas. Elle n'était pas l'une de ces héroïnes de télévision dont une prophétie ou une légende prédisait la vie. Sa légende, c'était à elle de l'écrire si elle le souhaitait et Amelia aimait à croire que tout le monde en était capable aussi. - Et je suis de ton avis : il faut toujours rester fidèle à soi-même, quoi que puissent en dire les rageux. Ceux qui critiquent et jugent sont bien souvent ceux qui jalousent… Ou alors j'ai rien compris au monde et ça serait triste car j'ai plus de quarante ans… Bref, ce que je veux dire c'est que je te soutiens ! Et sinon, afin de parer à quelque chose d'important : est-ce qu'on accompagnerait pas ce câlin d'une pâtisserie ?
Axel Oswald
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Axel était un être patient… mais sur le moment, il était heureux… est ce que je me rabâche ? Peut être, certainement même, mais ce n’était pas l’important… l’important était le fait qu’il n’y avait aucune vilénie dans son petit coeur, tout le monde était beau en ce moment même, tout le monde était pure, et pour le dire au bas mots, tout le monde était parfaitement comme il devrait l’être toujours, et pour tout le monde. heureux. Alors il pouvait patienter avant que la discussion n'évolue, cela ne le dérangeait pas.
Pour ce qui était des commérages, si la jeune femme semblait y penser, Olaf n’en avait pas la moindre idée. Pas même l’ombre du début de l’idée. Olaf ne pensait jamais à quelque chose comme ça. Il faisait des câlins … comme un enfant. Il ne comprenait pas comment on pouvait faire d’autres sortes de câlins … Oh bien sur, on l’avait déjà chambrer sur le fait qu’il faudrait qu’il regarde un « porno » pour comprendre convenablement, mais Olaf avait bien vite éviter le sujet. Il ne voulait pas avoir cette … contrainte qu’avait beaucoup de personne. Lui il voulait juste profiter de chaque étreinte.
- Je pense que vous ne serviez pas à rien. Vous n’avez pas pu être aussi gentille juste à cause de Storybrook. Je vous aurais aimé en lionne, j’en suis sur. Et j’essaie de donner de la joie à tout le monde. Avec mes glaces. Je fais des sourires sur les glaces que j’apporte, mais ça ne suffit pas. J’essaie de parler à tout le monde, de communiquer, je n’attaque pas tout le monde de câlin, même si je l’aurais désiré… Mais j’essaie de transmettre tout ce que je peux. J’ai assez de joie pour tous les habitants de Storybrook. Et on m’a dit que vous aussi vous vouliez rendre tout le monde heureux, alors j’ai décidé de venir vous voir, parce que je voulais vous rencontrer. Et Dame Anastasia avait raison, vous m’avez rendu très heureux.
Etait il le genre de personne à parler et ensuite penser ? Oui… Mais on lui pardonnait sa manière d’être parce qu’il était toujours très gentil, aimable, il ne voulait pas blesser quiconque avec ses propos. Il voulait juste que le plus de personne possible entends, et comprenne, ce qu’il se passe dans son petit cerveau de glace. Il rit doucement.
- Je vous aime Dame Amélia.
Bien sur, ce n’était pas un je t’aime amoureux … d’ailleurs, Olaf ne comprenait toujours pas pourquoi on disait « J’aime les fraises » pour dire qu’on les aime, et « j’adore les fraises » pour dire qu’on les aime plus plus plus … et pourtant, les gens disaient « Jet’aime » en amour et « je t’adore » pour l’amitié. Olaf repoussa sa pensée, de toutes manières, il ne trouvera pas la réponse et donc c’était mieux s’il s’occupait d’autres choses … comme de la proposition de la jeune femme, qui fut accueillit par des yeux pleins d’étoiles.
- D’accord, mais … Je n’ai pas d’argent sur moi, alors je vous rembourserais la prochaine fois, d’accord ?
Il ne voulait pas qu’elle lui offre, mais il acceptait les échanges lui, alors peut être que la jeune femme acceptera. Il n’y avait aucune envie de la voler, et si la jeune femme refuse qu’il paie la prochaine fois, il trouverait un moyen autre pour se faire … comme des câlins … ou d’autres choses, qu’il trouvera plus tard.
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Amelia Peters
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Amelia avait la fâcheuse tendance à parler un peu vite et trop franchement car elle parlait avec le cœur, pas tellement avec la tête - mais avec la bouche, cela va sans dire ! Après avoir révélé qu'elle avait été une lionne, elle s'était demandée si cela n'allait pas effrayer Axel, ce qui ne fut pourtant pas le cas. Il accepta la nouvelle comme s'ils parlaient de la météo et, même pour Storybrooke, elle trouva cela décontenançant. Mais plaisant. C'était beaucoup, une aussi grande ouverte d'esprit ! Rare, aussi. Malheureusement, les lions trop gentils, c'était comme les lions végétariens : pas spécialement viable. La piètre chasseuse d'avant n'aurait sans doute pu survivre sans le reste de la tribu. - Je crois que tu as plus de joie en toi que je n'en ai en moins. Tu as l'air d'en avoir pour la planète entière, observa Amelia. Je ne serais même pas étonnée si tu m'avais dit que tu étais l'émotion joie en personne. En tout cas, glacier c'est un excellent métier pour apporter de la joie ! Quand je déprime, je mange souvent de la glace en regardant Love Actually. C'est très réconfortant. Mais je mange aussi de la glace quand je suis heureuse à l'origine, précisa-t-elle rapidement. En été, surtout. Je crois que le sucre rend heureux la plupart des gens donc nous avons bien choisi notre métier et Anastasia a bien fait de nous mettre en relation ! C'est une chic fille. Badass, super maman, princesse, en plus ! Waouh ! Amelia était rarement jalouse et ne l'était pas d'Anastasia. Elle était plutôt admirative car elle savait que même en ayant retrouvé ses griffes, jamais elle n'aurait pu lui arriver à la cheville. Si Amelia maniait la pelle à tartes comme personne, ce n'était pas suffisant pour faire d'elle une super flic. Discrète comme elle l'était, ce choix de carrière aurait surtout pu la tuer. Et c'était hors de question, surtout depuis que son mari était dans le coma et que les enfants, même s'ils étaient grands à présent, ne pouvaient compter que sur elle. Toute à ces considérations, Amelia fut bien surprise par ce je t'aime si sincère qui s'échappa de la bouche d'Axel. Comme elle était douée avec les sentiments humains et l'empathie, Amelia comprit que sa déclaration n'avait rien de romantique mais cela ne la rendait pas moins déstabilisante. C'était pas tout le monde qui exprimait ses sentiments sans filtre comme ça ! Mais son expression étonnée fit bientôt place à un sourire bienveillant. - Je t'aime aussi, Axel. Toi, t'es vraiment un gentil. Un vrai bisounours. En fait je voulais t'offrir la pâtisserie parce que ça me prend souvent de faire ça. Je sais que ce n'est absolument pas rentable, d'ailleurs, je ne le fais pas si souvent que ça, précisa la pâtissière, mais je sais que ça gêne les gens des fois, alors si tu veux me rembourser, tu me rembourseras ! En attendant, les pâtisseries sont sous tes yeux, tu n'as plus qu'à faire ton choix ! Je peux te laisser un peu de temps, je sais que des fois c'est pas évident. En tout cas, des fois c'est pas évident pour moi.
Axel Oswald
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Axel avait une … échelle dans sa tête. C’était peut être tout simple, mais il avait une espèce de jauge … d’amour… Oh bien sur, certaines personnes étaient dans un groupe plus important que les autres. Anna et Elsa par exemple, elles avaient une des places les plus importantes dans son coeur … mais ensuite, il y avait beaucoup d’autres personnes qui se retrouvaient dans son coeur. La jeune femme avait de bonne chance d’entrer dans son coeur parmis les personnes pures à protéger à tout prix.
Il sourit encore à la jeune femme. Il ne savait pas si on pouvait comptabilisé l’amour qu’il avait dans son coeur … mais si la jeune femme disait la vérité, alors il était heureux. Il était vraiment heureux. Parce que cela voulait dire que sa mission, il pourrait la mettre à bien. Il pourrait donner son amour à tout le monde, s’il en avait assez pour tout le monde. Il sourit encore, un grand sourire plein d’amour.
- je crois que vous avez aussi beaucoup d’amour.
Il réfléchit quelques secondes.
- Cela fait la deuxième fois que l’on me parle de l’émotion joie, je veux la rencontrer. Mais je ne suis pas joie. Je ne comprends pas pourquoi les gens mangent des glaces quand ils dépriment, ce qui est sur, c’est ça m’arrange, je peux alors leur donner plus de joie encore ou de bonheur. J’aime parler avec les gens, même si souvent je ne comprends pas leurs problèmes…. Et oui Dame Anastasia est tout ça. C’est pour ça que je suis venue aussi… même si sans cela, je serais aussi venu.
Il observait doucement les différentes sucreries qui étaient proposés par la jeune femme. Tout lui donner envie de se transformer en Kurby. Une bouboule rose très petite, mais qui peut avaler des kilos et des kilos de nourriture… en un instant…
- Je le fais aussi offrir des glaces, je comprends
Sauf que lui, il remboursait Jack Frost avec son propre salaire … ce qui lui donne un tout petit salaire à la fin … mais ça pouvait se comprendre une fois que l’on connaissait le phénomène … puis, il avait eu un je t’aime, alors il était trop content pour penser à ses petites mésaventures économiques. Il regarda les pâtisseries et il sourit.
- Je voudrais bien celle que tu préfère, celle qui te fais sourire quand tu l’as mange, tu vois ? Juste pour te connaître un peu plus.
Parce qu’il n’y avait pas à dire, on pouvait apprendre des choses rien qu’en sachant ce qu’était leur plat préféré. Il sourit.
- Et ensuite, je vous demanderais votre aide pour donner un peu d’amour avec moi.
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Propriétaire de La Pelle à Tartes : La vie, c'est pas du gâteau mais la pâtisserie, si !
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Amelia n'était pas du genre à se vanter (sauf peut-être en cuisine où elle pensait être en droit de réclamer la première place) mais oui, elle pensait avoir beaucoup d'amour à revendre, et sous plein de formes. On lui avait déjà dit, tout comme on lui avait déjà dit que, du coup, elle avait l'air un peu niaise et devait se faire pas mal pigeonner - ce qui arrivait, on ne va pas se mentir. Mais comme nous venons de préciser qu'elle n'aimait pas se vanter et que chez elle c'est véridique, contrairement à ce que prétend Deborah Gust quand elle parle d'elle, Amelia n'en fit rien et se contenta d'un sourire ravi, qui en disait sans doute déjà bien assez. - Moi aussi on m'a déjà parlé de la joie. Plutôt de Joie, corrigea Amelia en faisant appel à ses souvenirs. C'était une jeune fille qui s'appelle Sandy qui m'en a parlé. Elle m'a dit qu'elle était morte et après… on a fait un câlin, ou alors c'était avant… Pendant ? Bref, ce jour-là j'ai décidé de mettre ma pancarte de câlins gratuits parce que ça avait l'air de lui faire du bien. Mais… du coup cette Joie, je suis pas sûre que vous pourrez la rencontrer, grimaça la pâtissière, désolée comme à chaque fois qu'elle annonçait une mauvaise nouvelle. Contrairement à Axel, Amelia avait une plutôt bonne compréhension des soucis des autres et adorait les aider - surtout quand on lui faisait explicitement comprendre qu'on ne voulait pas de son aide. Elle ne pensait pas qu'Anastasia ait besoin d'aide, ça n'avait pas l'air d'être ce qui amenait Axel ce jour-là, mais elle pressentait qu'il avait une idée derrière la tête et était assez curieuse d'en savoir plus. Pour l'heure, cependant, Amelia se contentait de servir à son client sa pâtisserie préférée et il se trouva que c'était une décision compliquée à prendre pour elle ! Car ce choix dépendait d'un tas de facteurs : la saison, la météo, l'humeur de l'intéressée, l'occasion et encore une demi douzaine de paramètres. Pourtant, après une petite hésitation, la jeune femme partit à l'arrière-boutique et cherchait une demi douzaine de choux à la crème qu'elle avait fait en trop pour une pièce montée dont elle avait reçu commande pour la mairie. - D'habitude j'en fais que sur commande parce que des choux à la crème c'est meilleur sur une pièce montée mais ceux-là c'est du rab et c'est vraiment, vraiment quelque chose que j'adore, précisa Amelia avec un sourire gourmand. Tout en parlant elle les disposa dans une boite au cas où Axel voudrait les manger plus tard. Quand elle la lui remit, elle ajouta : - Bonne dégustation ! Si tu veux déguster tout de suite et que tu as besoin de couverts, tu n'as qu'à demander, j'en ai à l'arrière aussi. Sinon j'écoute ta mission, annonça-t-elle d'un air concerné. A ses mots, Amelia se redressa pour effectuer un salut militaire avant de reprendre une position plus habituelle.