« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
L'une des choses annexes qu'Amelia préférait à son rôle de commerçante, c'était qu'en étant au cœur de la vie de cette petite et drôle ville de Storybrooke, elle pouvait rencontrer un tas de personnes, parfois discuter avec et réellement apprendre à les connaitre, parfois simplement les observer, imaginant leur vie du fait de son imagination incroyablement fertile. Tous ces gens, après un certain temps, elle avait l'impression de les connaitre, même si ce n'était pas vraiment le cas. En tout cas, même s'ils se contentaient parfois de passer voire se disputer sur le trottoir en face de la vitrine (tout arrive, surtout dans les petites villes !), Amelia pouvait apprendre de nombreuses choses sur eux - et en déduire d'autres. Il y avait cette jolie jeune fille, par exemple. Elle passait régulièrement devant la boutique mais elle n'entrait jamais. Par contre, elle restait parfois de longs instants à saliver devant les pâtisseries exposées, destinées, justement, à inciter les gens à rentrer, discuter avec la tenancière et, en fin de compte, acheter quelque chose - puis revenir si l'essai était transformé, puis repartir, l'air un peu morne. Ce qui avait frappé le regard analytique de l'ancienne lionne c'était aussi le fait qu'elle ne changeait jamais de vêtements. Ca aurait bien sûr pu être une coïncidence étant donné que la jeune fille ne passait pas tous les jours, mais Amelia n'était pas dupe : ladite tenue était usée, peut-être parce que beaucoup aimée (Velma, sa fille, après tout, avait tenu, quand elle avait six ans, à porter sa salopette bleue dès qu'elle sortait de la machine et s'y était tenue pendant six mois), mais plus vraisemblablement parce que des soucis financiers durables étaient passés par là, ce qui, naturellement, touchait le grand cœur d'Amelia qui, si elle l'aurait pu, aurait soulagé la misère du monde au détriment de son propre bonheur. Alors bien sûr quand cette fois Amelia la vit rentrer dans sa boutique, elle était ravie, prête à dégainer la pelle à tartes et sortir le grand jeu ! Mais ce ne fut pas nécessaire : sa nouvelle cliente savait pertinemment ce qu'elle voulait et venait de faire un excellent choix. A la troisième personne, certes, c'était peu commun (même Deborah et son égo surdimensionné ne parlaient pas comme ça !) mais qu'importe ! Chacun ses manies, tel était le credo d'Amelia qui tâchait de ne juger personne. D'un pas énergique qui ne lui était pas inhabituel, Amelia contourna le comptoir pour aller chercher la pâtisserie désirée, entendant, dans son dos, le bruit de la menue monnaie qu'on déversait sur le comptoir. Elle allait revenir avec le gâteau entre les mains quand l'atmosphère et l'état d'esprit de Juvia changèrent. On aurait dit une douche froide de désespoir. Naturellement Amelia n'y fut pas insensible. Elle aurait voulu prendre Juvia dans ses bras et lui faire un gros câlin mais 1) elle avait les mains prises et aurait tâché sa tenue et 2) elle ne connaissait pas assez sa jeune cliente pour se le permettre, comme ça, sans préavis. Alors elle se contenta de poser la charlotte sur le comptoir, près de la montagne de petites pièces et lui adressa le plus bienveillant des sourires : - Oh mais il faut pas que Juvia se mette dans un état pareil, voyons ! s'écria-t-elle en comptant la monnaie éparpillée près du gâteau. Est-ce que Juvia a déjà entendu parler du café suspendu ? poursuivit la pâtissière, se disant que l'intéressée aimait peut-être que tout le monde parle d'elle à la troisième personne et que, si ce n'était pas le cas, elle le lui dirait. Bon je ne vends pas de café, en fait, du coup chez moi ça s'appelle une pâtissière suspendue mais le principe est le même : de temps en temps, des gens donnent plus que ce qu'ils doivent, alors je mets cet argent de côté pour… A cet instant, Amelia réfléchit avant de continuer sa phrase : elle savait que si elle parlait trop vite elle risquait de se montrait vexante et ce n'était absolument pas son but. Oh ça non ! - … Pour quand il manque un tout petit dollar à Juvia ma nouvelle cliente, conclut-elle avec un sourire radieux. Alors elle attrapa une vieille boite de caramel dans laquelle Amelia rangeait cet argent et en sortit deux dollars qu'elle rajouta à la somme sur son comptoir avant de retirer le dollar qui était à présent en trop. Elle avait presque l'impression de faire de la magie, c'était tellement chouette. - Et voilà, il reste même de la monnaie à Juvia !
Lorelei Clearwater
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« Juvia voulait juste que vous l'acceptiez comme un véritable membre de Fairy Tail... »
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Connaissez-vous l’expression d’ascenseur émotionnel ? Juvia elle la connaissait que trop bien. Étant donnée qu’elle le prenais au moins 3 fois par jour pour diverses raisons. Mais, ce coup-ci avait été plus précis et plus énorme encore que toutes les autres fois. La pauvre jeune fille, qui il faut peut être l’avouer maintenant, quasiment analphabète ou au moins, je sachant que difficilement, lire, écrire et compter, n’avait pas réussi à avoir assez d’argent pour se faire son petit bonheur. Oh bien sur il lui restais quelques pièces mais celle-ci étaient pour sa petite cagnotte pour Jefferson a qui elle devait tant. Et elle n’avait pas le coeur de prendre dedans. Elle avait donc du se rendre à l’évidence, elle n’était vraiment pas faite pour ressentir du bonheur depuis cette fichue malédiction. Déjà qu’avant dans son conte sa vie n’était pas des plus gaie mais là…. Entre sa vie dans la rue, sa dépendance aux médicaments, ses problèmes psychiatrique, son mal être et son manque d’affection. Sans parler son manque d’argent, cela commençait quand même a faire beaucoup pour la femme-enfant. Au dehors la pluie s’abattait violemment venant tremper l’étale d’en face.
Elle faisait donc demi-tour la mort dans l’âme, tellement déprimée qu’elle ne pris même pas l’argent sur le comptoir. Pourtant la voix de la femme raisonna dans la boutique, et, il fallait le dire dans le coeur de la fille pathétique. Juvia se tourna a trois quart, pour montrer son visage plein de grosses larmes à la commerçante, qui, il fallait le dire semblait avoir énormément d’empathie. C’était peut-être la première personne dans cette fichue ville qu’elle rencontrait. Enfin, il y avait bien Jefferson, mais là c’était différent, l’aura maternelle émanait de cette femme. Même Juvia qui n’avait jamais eu de maman, le ressentait.
« Lorelei et Juvia ne comprennent pas ou Madame la Gentille Commerçante Pâtissière veux en venir... » pour elle s’était tellement normal de parler ainsi, elle n’avait jamais appris autrement signe de son enfance sauvage, si elle avait été à l’école on ne l’aurait pas laisser faire. Et puis, personne n’avait pris le temps de lui apprendre à parler autrement. En plus, avec son dédoublement de personnalité chronique due notamment à la Malédiction (Merci Regina Mills ! ) elle parlait même à la troisième personne du pluriel en parlant d’elle-même. Certains dirons que ça ajoute à sa mignonnerie d’autre dirons que ça ajoute à sa débilité profonde, tout dépend de l’appréciation de chacun.
La belle femme, continua à parler, Juvia s’étant maintenant tournée complètement vers elle séchant un peu ses larmes, espérant comprendre ou elle voulait en venir. Elle, était en train de lui faire une sorte de cadeau, le premier depuis des années. Oui bon, le lecteur saura que s’était surtout un geste commerciale parce que Juvia avait quand même payer une grosse partie du petit gâteau, mais pour Juvia c’était un cadeau du ciel. Fébrilement elle repris le dollar que la femme lui tendait, le temps était redevenue clément et sec. Après avoir ramasser soigneusement le précieux sousdans son petit porte-monnaie miteux. Lorelei, regarda la femme avec plein de gratitude, et spontanément elle sauta par dessus le comptoir encore vachement athlétique depuis son conte. Et viens tout bonnement serrer la femme dans ses petits bras.
« Merci, merci, merci, merci !!! Merci beaucoup de fois, Juvia est si heureuse ! Vous êtes la femme la plus gentille de toutes les planètes! » Elle lui adressa son plus grand sourire « Dites n’importe quoi et Juvia se pliera en dix-sept pour vous l’apporter. » C’était peut être soudain pour l’autre femme mais s’était naturel quand on connaissait la jeune femme.
Sans plus de formes et d’étiquettes, la blonde délavée retourna de son coté du comptoir pour prendre son petit gâteau, son bien le plus précieux
« Merci encore une fois, Juvia et Lorelei vont le manger tout doucement au Foyer des sans-Abris elle repassera demain vous dire comment il était!Mais Juvia est sûre qu’il est parfait!Au fait, Juvia ne s’est pas présentée, Juvia et Lorelei Clearwater enchantée ! » Pour elle s’était tellement naturel de dire ses prénoms à la place du je qu’elle ne s’était jamais rendue compte que personne ne lui demandait son nom. Et que même la femme en face d’elle avait utiliser son prénom. Mais elle avait vu quelque part, certainement a la Télé quand elle y avait le droit à l’asile que les gens bien se présentaient.
️ Pando
Amelia Peters
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Il était possible que Juvia ait aussi une autre personnalité, sans doute à cause de la malédiction. Il y avait déjà peu de personnes qui parlaient d'elles à la troisième personne du singulier mais alors si on passait en plus au pluriel, là, la situation devenait parfaitement inédite ! Cependant, comme Amelia se parlait à elle-même elle n'aurait pas été en position de la juger. Pas vraiment, en tout cas. Juvia / Lorelei n'avai(en?)t pas l'air méchant et Amelia avait envie de rendre service et faire plaisir, ce qui, en fait, allait souvent de pair. Les larmes ne la mettaient pas mal à l'aise, mais lui serraient le cœur tellement fort qu'il fallait toujours qu'elle trouve une façon de les sécher au plus vite. Et elle réussit, mais ce à quoi la pâtissière ne s'attendait pas c'était à réussir à ce point. Et à ce que Juvia soit aussi rapide et souple pour franchir le comptoir sans rien casser et lui sauter dans les bras pour un câlin. Amelia était à peu près certaine que si c'était elle qui avait essayé, elle se serait cognée très fort contre le comptoir et casser une côte. Peut-être que Juvia avait été un fauve avant - pour bondir de la sorte, c'était plausible. Naturellement, Amelia l'enlaça aussi, peu perturbée par la bizarrerie du moment. Et puis, ce n'était pas comme si elle allait dire non à un câlin ! Sinon elle n'aurait pas affiché une pancarte qui stipulait leur gratuité à côté de la porte d'entrée. - Enchantée Juvia, moi c'est Amelia et je suis moins douée en contorsions à ce que je vois mais ça sera pas la peine de te plier en dix-sept pour me remercier, sourit Amelia quand tout le monde eut repris sa place habituelle dans ce genre de situation. Ton sourire c'est déjà une récompense laaaaaaaaaaaaargement suffisante, asura la pâtissière. Par contre j'aime bien la compagnie alors est-ce que tu n'aurais pas envie de manger ta pâtisserie ici pour me raconter comment ça se fait que Juvia et Lorelei dorment dans un centre pour sans abris ? Amelia trouvait sa cliente très jeune et trouvait, de fait, d'autant plus préoccupant qu'elle n'ait pas de chez elle. Evidemment, maintenant qu'elle avait en sa possession toutes les informations communiquées par les deux jeunes filles en une, Amelia se sentait concernée. Comme dans Titanic, maintenant qu'elle l'était elle ne pouvait pas prétendre le contraire mais elle était bien contente que, contrairement à Jack, cette implication ne signifiait pas devoir potentiellement sauter dans l'Atlantique nord. - Tu sais, je te ne te juge pas. Les malheurs ça arrive et malheureusement ça arrive souvent - pas toujours aux personnes qui cherchent à en avoir, d'ailleurs. Mais tu m'as l'air bien jeune pour en avoir autant. T'es sans doute aussi grande que ma fille, à peu près, alors…. Si je ne te posais pas la question alors que j'ai l'opportunité, ça ne serait pas correct.
Lorelei Clearwater
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« Juvia voulait juste que vous l'acceptiez comme un véritable membre de Fairy Tail... »
| Conte : Fairy Tail | Dans le monde des contes, je suis : : Juvia Lockser
Juvia eu un sourire de pur bonheur face au compliment de la belle dame devant elle. C'était si rare ces temps-ci, il y avait trop de brouillard dans sa vie qu'un peu de lumière apportée par une autre personne que le tenancier du foyer sans-abris, lui redonnais espoir en la vie. Cette femme lui faisait du bien, elle était l'image qu'elle se faisait d'une maman. En tout cas c'était ce que la TV disais !
« Juvia est ravie de rencontrer Mlle Amélia, Lorelei aussi mais Lorelei est plutôt grognonne donc ce sera Juvia qui parlera ! Entre Juvia et Amélia, Lorelei préfère le fruit de la passion ! » elle sourie amusée comme si c'était une réelle personne « Juvia était une fière mage avant, c'est pour ça qu'elle est douée pour les contorsions, il faut savoir se défendre et esquiver les coups adverse ! »
Finalement elle n'avait fait que de battre tout au long de ses deux vies. Juvia s'était battue physiquement pour être acceptée à Fairy Tail, à Phantom Lord et surtout pour survivre à certains adversaire particulièrement dangereux. Lorelei s'était battue mentalement pour être acceptée tantôt dans sa famille, tantôt dans l'asile et surtout pour survivre à certains docteur particulièrement méchant. Oui la lutte était son moyen de survivre. L'autre femme la sortie de ses pensées en lui parla du foyer. Juvia sourit doucement pas outrée plus que ça, elle s'installa à la table en question sortant son petit gâteau et de quoi le manger, une vieille fourchette usée par le temps et trouver dans un caniveau, qui avait été méticuleusement nettoyer.
« Juvia est née dans cette réalité en se souvenant de sa vie d'avant, donc les parents de Lorelei l'ont reniée et internée. Juvia n'a pas vu le jour pendant 5 ans il lui semble, quand la malédiction a été levée personne n'est venue la cherchée. C'est normal elle n'est pas utile, personne sauf Monsieur Jefferson au bout d'un petit moment, il lui a proposer de venir bosser pour lui et un toit. Mais, Juvia n'aime pas trop servir des thés et surtout elle aime bien aller étudier les personnes de son conte sans les approchés, donc Juvia n'a pas beaucoup de salaire. Alors, Juvia opte pour ce qu'elle peux pour ne pas vivre dans la rue. C'est dangereux, il n'y a pas la même population de nuit.... Et puis, Juvia ne peux pas embêter quelqu'un de gentil comme Jefferson, nan, elle ne le mérite pas. Alors Juvia vit au jour le jour. Votre fille doit être heureuse d'avoir une maman comme vous, vous êtes comme les mamans dans les films »
Oui, elle était pathétique mais elle ne s'en rendais même pas compte, elle déballais sa vie sans pensée que la personne en face puisse se moquer ou pire encore.... Non, elle était juste elle
️ Pando
Amelia Peters
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Amelia écouta Juvia avec attention, puisqu'apparemment c'était elle qui parlerait. Elle songea que ça devait être pratique parfois d'avoir plusieurs personnalités dans un seul corps. On affrontait peut-être mieux les situations de la vie. Cependant, Amelia était quand même rarement grognonne, c'était dans son caractère de positiver très, très (trop) souvent, alors sans doute que dans le cas de Juvia et Loreleil ça ne lui aurait pas trop servi. La pâtissière était ravie d'avoir proposé à sa jeune amie de lui raconter un peu ses soucis car déjà elle était persuadée que ça allait lui faire du bien mais aussi, à peine Juvia avait-elle commencé à parler, son auditrice avait-elle à parler qu'elle comprit que ce serait une sacrée histoire, pleine de magie et de suspense - comme elle les aimait en fait. Bien sûr, Amelia aurait préféré une histoire qui ne terminait pas dans la rue mais peut-être qu'on ne pouvait pas toujours tout avoir. Ou que Juvia et Lorelei devaient passer par cette épreuve pour accéder à une fin heureuse bien méritée par la suite en rencontrant Amelia leur adjuvante. Car elle avait déjà décidé d'être leur adjuvante, ça allait sans dire ! Et une adjuvante ne laissait pas ses poulains manger avec une vieille fourchette ! Sans mot dire pour ne pas l'interrompre dans son histoire, Amelia sortit une cuillère propre et la posa devant le gâteau de Juvia. Et vu ce qu'elle entendait, c'était la moindre des choses qu'elle pouvait faire pour aider Juvia ! Et Lorelei. - Eh bien je trouve que Juvia est très courageuse pour vivre autant de choses ! commenta-t-elle finalement à la fin du récit effectivement plein de rebondissements. En tout cas je suis très fière de Juvia même si, et ça je le dirais aussi à ma fille si elle faisait ça, c'est pas bien de sécher le travail. Amelia n'avait pas pour but de l'enfoncer mais si elle voyait en elle une maman, elle devait agir comme tel. Même dans les films, Amelia le savait très bien, les mamans faisaient ce genre de remarques. - Est-ce que Juvia aime faire des choses qui pourraient lui rapporter de l'argent et ne serait pas servir des thés ? demanda-t-elle ensuite. Peut-être que si Juvia trouvait un petit travail qui lui plait plus elle aurait plus d'argent et moins de soucis ? Peut-être que ce travail pourrait avoir des horaires décalées comme ça Juvia pourrait continuer de voir les personnes de son monde. Ou alors Juvia pourrait aller les voir et se présenter, non ? Qu'est-ce qui empêche Juvia de le faire ? Je trouve que Juvia est une personne agréable, qui compte et je ne vois pas pourquoi elle devrait être seule. Je n'ai pas envie de savoir que Juvia vit des situations potentiellement dangereuses. Je suis sûre que Juvia sait faire plein de choses et que Lorelei aussi donc qu'on peut trouver un truc sympa ! Même si Lorelei est grognon, je lui en tiens pas rigueur, t'as dû avoir une mauvaise journée. Ca arrive. Les mamans le savent.