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HRP:

Olaf ne comprenait pas les choses qui pouvaient atteindre les autres. Il ne comprenait pas la plupart des mots qui sont utilisés pour et contre lui… Et, alors même qu’il les utiliser. Il ne savait pas que la jeune femme avait pu s’arrêter sur sa « confession »… Il souriait juste tout simplement de toutes ses dents. Il regardait la jeune femme et doucement pencha la tête sur le côté. Il ne comprenait pas son histoire.

- On vient tous plus ou moins du monde des contes non ? Puis, je ne sais pas si Dame Régina a vraiment réfléchit sur nos vies… il y aurait eu d’autres manières bien plus douloureuse de se « venger » de mon happy end…

Il réfléchit un instant. Il avait toujours été simplet. Que cela soit quand il était Olaf ou quand il était Axel … il avait toujours été d’une idiotie innocente. On lui pardonnait plus souvent sa naïveté maintenant que le monde savait que des êtres comme des bonhommes de neige existaient …Si Dame Régina aurait voulu le faire souffrir, elle l'aurait rendu mauvais et méchant dans ce monde ... Et le levé de la malédiction aurait sonner la fin de sa vie ... Il sourit à la jeune femme et tout simplement envoya au placard les "si" du passé.

- Je dois être patient, je le sais … mais j’ai toujours envie de câliner tout le monde … et assez étrangement plus on me repousse, plus j’ai envie de rentrer dans le coeur de ses personnes, et de les faire aimer les câlins, ou au moins comprendre pourquoi j’ai envie d’en faire. J’ai envie de … de leur donner tout plein d’amour et de joie.

Il regarda la jeune femme en écartant les bras comme pour dire la taille de l’amour qu’il avait pour le monde… puis il écarta encore plus les bras comme pour dire que ses bras ne pouvaient pas contenir tout ce qu’il voulait donner. Dans son corps, il ne pouvait garder autant, et ne le devait pas. Il devait passer cette amour. Et il le passerait, à Dame Eris et à d’autres… D’ailleurs… Il regarda un instant Dame Amélia…. Il ne voulait pas que les deux femmes se rencontrent pour le moment, Dame Eris lui avait fait comprendre qu’elle n’appréciait pas. Il attendrait qu’elle l’aime plus, et peut être qu’il ferait un gros repas ou on pourra parler d’amour …. Il y croyait malgré ses maigres espoirs. Parce que l’espoir fait vivre.

- Je ne suis pas gentil mais honnête.

Il sourit. Il pouvait être gentil, bien sur. Il ne disait pas cette phrase dans le sens où il n’était jamais gentil… mais là, tout de suite il n’était pas gentil, mais honnête. La jeune femme était vraiment une incroyable découverte … Il est tellement heureux de s’être fait braquer…. Raison de plus pour faire un cadeau à Dame Anastasia ! Il sourit et haussa les épaules.

- Et tu sais, je m’en fiche moi si tu veux me faire un câlin les mains sales.

Il se souvenait qu’enfant, il trainait avec un petit qui avait souvent le visage sale. Personne ne voulait l’approcher pour ça … et même si Olaf savait que ce souvenir était faux, il chérissait ses amis d’enfance autant que les véritables. Cet enfant donc, était souvent exclus, et s’il n’avait pas disparu…; Olaf aurait continué à le câliner encore des années. Olaf réfléchit.

- Je pense que personne n’est foncièrement mauvais.

Il prit presque directement un chou pour le manger. Il faudrait qu’il se relave les mains, mais ce n’était pas grave. Le gout du choux était absolument parfait, alors son ventre était heureux d’être un peu rempli de bonne chose. A force de ne manger que des carottes…. Son ventre appréciait la nourriture, autre et bonne, encore plus que ce qu’Olaf pourrait l’exprimer. Il la laissait partir pour l’emporte-pièce… qui était un mot qu’Axel trouva rigolo. Un peu comme … Pamplemousse. Le genre de mot qui le faisait sourire même malgré lui … parce que c’était ainsi.

Olaf regarda l’objet et s’approcha de la jeune femme. Il ne préférait pas lui dire qu’il n’était pas sur de pas faire une catastrophe … se connaissant un peu quand il était distrait … Il écouta la jeune femme et ses explications… Il l’écouta et son sourire s’élargit.

- Je veux bien essayer….

Il essaya de mettre l’emporte-pièce sur la page et de faire comme la jeune femme le disait. Sauf que dès son premier coup, il n’appuya pas assez, ce qui laissa la pâte complète mais avec un dessin d’étoile dessus. Il sourit en essayant de remettre l’objet pile dans son encoche pour appuyer plus fort.

- J’aime bien les glaces. J’aime en faire des choses. Faire des maisons dans la glace, ou des bonhomme de neige. Ce n’est pas tant les manger qui me fait du bien, mais juste les faire et savoir qu’on remarquera le petit sourire que j’ai glissé dans la boule à la fraise. Puis … Je suis pas d’un naturel à manger, mais j’en ai besoin.

Il était grand et mince. C’était qu’il y avait une raison… Olaf oubliait souvent de manger jusqu’à ce que son ventre se mette à lui faire très mal et qu’il comprenne qu’il avait oublié depuis trop longtemps … et même plus … Cela pouvait lui arriver avec l’eau … d’avoir la gorge sèche et qu’il ne puisse pas boire à sa soif sans avoir l’impression désagréable de se noyer …. Ses fruits finissaient par vivre leur vie dans son petit potager, ou même dans son frigo. La dernière fois, ce sont ses oignons qui ont finit par avoir des tiges et des feuilles … et Olaf n’avait pas eu le coeur de les défaire …. Il posa les yeux sur la jeune femme et montra triomphalement la pâte coincé dans son emporte-pièce.

- J’ai réussi ! Et en parlant en plus.

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Il sourit à la jeune femme. Lui aussi était nul en vengeance, mais il avait juste réfléchit à ce qui l’aurait fait le plus souffrir à devenir…. Et être un méchant qui aurait fait du mal aux autres … ça aurait été le pire des scénarios pour lui … déjà que ne pas dire bonjour à quelqu’un dans la rue, il se sentait coupable … alors il n’allait pas en plus être pire … Cela l’aurait certainement détruit sans aucun doute…. Olaf dans sa grande naïveté ne pensa pas une seconde qu’il aurait pu continuer à vivre en sachant la vérité sur lui…. Mais quand il pensait à cela, il ne pensait pas à mourir … non… la mort était encore quelque chose d’abstrait. Il se disait seulement qu’il aurait … disparu … Voilà. Il sourit en continuant à faire ses petites étoiles.

- Ta soeur a de la chance de t’avoir, si je trouve un célibataire dans les parages, j’essayerais de te mettre en contact avec lui alors !

Un. Il avait décidé de l’aider, s’il le pouvait, dans son entreprise d’entremetteuse … deux. Tous les amis d’Olaf, ou presque, étaient des personnes biens … et il savait aussi lesquels ils ne pouvaient pas présenter encore et ceux qui mériter bien plus de bonheur.

- je connais bien ça. Même si des fois, je pense tellement à mon idée que j’oublie certaines choses. Par exemple, j’étais tellement focalisé sur le fait de faire un cadeau à Dame Anastasia … que j’ai complètement oublié de lui demander un endroit où je pourrais venir pour lui offrir.

Il fit un sourire. Il avait réalisé cela, mais ce n’était pas pour cela qu’il s’inquiétait. Il savait qu’il trouverait un moyen de retrouver la jeune femme, en appelant la police … ou bien en demandant à Dame Amélia juste en face de lui. Il avait tellement de solution que cela ne lui faisait pas peur. Il y arriverait … sans soucis. Il était content de ses petites étoiles parfaites … pas vraiment parfaites, mais elles l’étaient pour Olaf. Et c’était le plus important. Son sourire triomphale ne quittant pas ses lèvres. Il commença alors à prendre un couteau propre et à faire deux trous pour les yeux et un sourire. Ce sourire était assez simple, mais faisait encore plus sourire Olaf. Il regarda la jeune femme.

- Je te laisserais jamais acheter une glace chez moi ! Je te dois plusieurs choux et de l’aide inestimable, je ne te laisserais pas faire ça.

Bien sur, sans connaître Olaf, cette phrase aurait pu passer pour une espèce d’ultimatum … mais ce n’était pas le cas… C’était juste un fait, encore une fois… il ne laisserait pas la jeune femme payait …et il lui ferait bien plus qu’un sourire si d’avenir elle venait à pousser la porte de son glacier … S’il continuait Jack allait le tuer … mais il payait toujours les glaces qu’il offrait … même s’il ne le disait pas. C’était plus logique d’un coup le potager dans son appartement non? Olaf sourit en se mettant accroupi pour regarder les biscuits dans le four. C’était trop bien. Quand elle dit qu’ils pourraient les gouter son regard se fit un peu plus gourmand. C’était avec plaisir !

- Tu m’aime alors ? Je suis encore plus content. J’en faisais dans mes rêves avant, des bonhommes de sable, mais je n’ai jamais réussi à trouver le courage de m’approcher de la mer. L’eau me terrifie pour une raison que j’ignore … peut être parce que je coule à chaque fois que je suis dedans.

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Ce que la jeune femme ne se doutait pas, encore, c’est qu’Axel avait un peu de mal avec le concept de l’amour … oh bien sur il le comprenait … comme étant quelque chose de très très beau … mais il le voyait un peu comme quelque chose d’abstrait. Et il ne laisserait personne subir à nouveau cette abstraction comme l’avait subit Anna avec Hans… Il l’aimait pas vraiment lui, pour avoir fait souffrir son Anna. Pour lui avoir fait du mal …

Donc quand Olaf disait qu’il l’aiderait, elle sous estimait ce qu’il se passerait dans sa tête … et les critères qui devront être requis pour valoir l’amour avec le grand A d’une autre personne. Si Olaf commence à shipper deux personnes, c’est que ça transpire l’amour par tous les pores … Mais c’était une autre histoire.

Il sourit quand la jeune femme trouva la solution à son problème en un tour de main. Quand elle parla d’enfant, un petit pincement à son coeur se fit ressentir, mais Olaf envoya cette sensation au placard. Il la regarda avec un grand sourire.

- Tu es ma sauveuse !

Dit il avec le plus de conviction qu’il pouvait posséder dans son petit coeur. Il souriait. La jeune femme venait de lui donner la dernière donnée pour que son cadeau soit un succès à tous les coups … puis, maintenant qu’il savait les gouts que préféré Anastasia, il n’aurait plus qu’à rajouter la glace dedans et de lui apporter dans un sac fait exprès pour transporter la glace … et ABRACADABRA le cadeau serait une réussite. Il était content. Il essayait d’imaginer la surprise sur le visage d’Anastasia … puis laissa son imagination là où elle était … il n’avait pas besoin d’imaginer quand il savait qu’il allait lui faire la surprise… mais maintenant, il devait trouver une surprise pour Amélia aussi … ce qui était un peu plus compliqué ….

Olaf se dit même que la jeune femme devait être une mère extra. Lui n’en avait jamais eu, et ses souvenirs d’Olaf lui avaient fait comprendre le pourquoi du comment. Il lui sourit.

- Je ne doute pas de ton amour, mais y a aimer et aimer. J’aime tout le monde, mais toi je t’aime. Et c’est pas la même chose … C’est … différent.

Et là encore, il ne parlait pas de l’amour avec le grand A. Il parlait juste de l’amour qui diffère de quand une personne est juste une connaissance, et de quand elle commençait à s’implanter dans le coeur. Comme des lierres, elle grimpait le loin des parois, des murs, des cachettes, que possédait le coeur. Olaf avait l’impression d’avoir toujours de la place dans son coeur, parce qu’il était comme le Tardis. Son coeur était plus grand à l’intéreur qu’à l’extérieur…. Sinon, il prendrait trop de place.

- Un ami a déjà essayer de m’apprendre à nager, mais rien n’y a fit.

Aussi, il fallait dire que l’entraineur d’Happy avait tout fait pour qu’Axel ne s’approche plus de son « protégé »… Ce qu’Olaf n’avait absolument pas fait … jusqu’à ce que Jude décide de couper les ponts avec lui. Nouveau pique dans le coeur… nouvel insecticide qui faisait reculer les lierres de l’amour de la porte d’Happy.

- Je … A l’orphelinat, quand on allait à la plage, on finissait toujours par me pousser dans l’eau …alors j’avais pas envie de m’approcher du sable non plus. Je restais dans le bus.

Attacher. Jusqu’à ce qu’on lui propose même plus de venir, ce qui avait été l’idée la plus lumineuse qu’avait pu avoir les responsables de l’orphelinat à l’époque … Olaf et l’eau il flottait. Axel et l’eau il coulait. C’était mathématique …. Mais il savait que la jeune femme ne le jetterais pas dans l’eau … elle.

- je veux bien, à une condition.

Il sourit.

- Si tu réalise un de mes rêves, je veux que tu m’en dise un à toi, et que j’essaie de te le faire réaliser. N’importe quoi tant que je peux, je le ferais.

Il montra ses petits bras …Son corps d’humain était assez semblable à son corps de bonhomme de neige quand on y regardait de plus prêt. Deux yeux, des sourcils, un nez, une bouche. Une tête ronde, un buste, des pieds et un deux bras fins mais long… parfait pour faire des câlins !

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Axel avait sa petite tête d’heureux. Mais si, vous savez…celle qui fait quand il est juste bien. Qu’il fait pas trop chaud, parce qu’il avait une grande résistance au froid mais pas au chaud. Qu’il y avait du monde, mais pas trop… et que simplement le moment actuel pourrait durer des années sans que cela ne le dérange le moins du monde… Oui… Il allait très bien et il était heureux de partager ce moment avec la jeune femme.

Il observait son visage, et il sourit. Il aimait bien quand on lui disait l’aimer, cela lui mettait du baume au coeur. Son coeur était froid comme la glace, parce qu’il était un bonhomme de neige. Mais c’était aussi un gros lit douillet avec plein de place. C’était pour cela qu’il en avait fait des murs autour au fur et à mesure de sa vie d’humain. Des murs, certes, mais il laissait presque toujours la porte ouverte. Il sourit alors encore.

- Votre mari à beaucoup de chance alors.

Il sourit, inconscient de la réalité sur le mari de la jeune femme … Quand il va l’apprendre il s’en voudra de lui en avoir parler aussi ouvertement .. mais il ne changera pas d’avis, son mari avait beaucoup de chance d’avoir une femme comme ça qui l’aime. La pâtissière pouvait peut être l’ignorer, mais elle venait de se faire un « ami pour la vie ». Olaf savait qu’il n’aurait jamais le temps de se mêler de la vie de tout le monde… Il savait aussi que certains de ses amis étaient plus … froid que ce qu’il était à l’époque de son nez en carotte…. Mais la jeune femme pouvait l’appeler n’importe quand, pour lui demander n’importe quoi, il viendrait.

Et il savait déjà qu’elle n’abuserait pas de ce pouvoir qu’il lui donnait. Olaf haussa les épaules tranquillement.

- Je sais que tu ne me laisseras pas me noyer… A l’époque où j’ai essayé d’apprendre, avant la fin de la malédiction, je coulais toujours … et le maître nageur m’a demandé d’arrêter de nager dans la piscine parce que ma « bêtise » allait contaminer ses nageurs… Donc j’ai laissé tomber.

Mais Olaf n’avait jamais laissé tombé Jude. Inconscient, dans sa grande naïveté, que c’était en réalité ça que voulait l’entraineur. Il ne voulait plus qu’Axel s’approche de son « petit protégé ». Axel pouvait accepter de ne plus apprendre à nager et risquer de mourir à chaque fois qu’il passait prêt d’eau .. mais il n’aurait jamais accepter de laisser son nouvel ami. Il lui sourit.

- Je suis sur qu’avec toi je m’amuserais, il n’y a pas de soucis à se faire la dessus.

L était sur que, qu’importe l’activité, avec une femme aussi gentille et avenante à ses côtés, il pourrait être heureux et rire. Il ne se sentirait pas idiot, même si c’était rare qu’il se sente idiot … Il allait peut être juste ne pas apprécier si les autres osaient dire quoi que ce soit sur la jeune femme. La jeune femme ne méritait clairement pas qu’on la critique parce qu’elle était avec lui en train de faire un bonhomme de sable…

Puis la jeune femme lui dit son rêve … et la tête tout aussi expressif d’Olaf montrait clairement de l’incompréhension. Il regarda la jeune femme et réfléchit en fronçant les sourcils.

- Tu es loin d’être quelqu’un de niais et de stupide. Et tu m’aide peut être en cuisine, mais tu donnes surtout de l’amour. Ce que la plupart ne ferait pas … Si Dame Anastasia m’a envoyé vers toi, je suis sûr que c’est bien parce qu’elle ne pensait pas que tu était inutile, et qu’elle te porte dans son coeur non ?

Il réfléchit un peu en posant sa main contre son menton. Il comprenait ce que la jeune femme voulait lui dire en réalité … Lui aussi on le prenait pour quelqu’un de niais et de stupide… mais Olaf pensait que c’était le cas, mais il s’en fichait un peu … Cela lui passait à plusieurs kilomètres au dessus de la stratosphère … mais comment faire pour pas qu’elle, elle ne pense pour une personne naïve …. Déjà … elle ne devrait pas venir avec elle fait des bonhommes de sable.

- Je le ferais.

Fut les derniers mots qu’il trouva à dire. Posa à nouveau les yeux sur la jeune femme, il eu un sourire franc.

- Je pense que déjà beaucoup de personne t’estime, comme Dame Anastasia, ou même Dame Régina, si elle est ton amie, mais j’arriverais à le prouver aux autres. Cependant… je ne comprends pas ce que tu veux dire par «  mes capacités » hors de la cuisine. Je sais que tu donne de l’amour par et avec la nourriture, mais que veut tu donc montrer de plus ? Tu es déjà exceptionnelle et je te connais pas encore assez, mais je veux tout savoir pour réussir ma mission ! Tu sais dessiner ? Ou chanter ?

Quand la jeune femme disait « capacités » Olaf traduisait cela par savoir faire … et donc cuisiner, faire des glaces, chanter. Il ne comprenait pas ce qu’elle voulait dire de plus … mais en tout cas, il avait de la motivation à 240 % là en cet instant.

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Amélia sous-estimait le maître nageur …. C’était au dessus de tout. Ce maître nageur voulait éloigner Axel de Jude … pour le garder pour lui … imaginez la pire histoire que vous pouvez imaginer entre un enfant et un adulte, et vous aurez l’histoire de Jude. Cependant, Olaf l’ignorait encore. Que fera t il le moment venu ? C’était encore un mystère … et pour le moment, ça le restera.

- Il ne m’aimait pas. Je n’ai jamais su pourquoi…

Ce fut pire après qu’Axel et Jude soient devenus amis… mais déjà au départ, il ne voulait pas qu’Axel dérange ses nageurs. Peut être parce qu’il avait l’obligation contractuelle de sauver Axel s’il venait à se noyer ? Peut être … mais Axel avait toujours essayé d’apprendre à nager dans le petit bassin, ce qui était largeeeeement suffisant pour plusieurs millions d’années. Il sourit. Olaf haussa doucement les épaules.

- Je ne trouve pas que tu es agaçante moi. Ni tout le reste. Mais c’est parce qu’ils n’ont pas assez l’habitude. Ils manquent tous de grosses doses de câlins je pense …

Olaf était en train de réfléchir. Il savait qu’on le trouvait tout ça aussi … mais il s’en fichait, il continuait à ne pas vouloir modifier sa manière d’être et de vivre … mais comment faire pour que les autres comprennent que la jeune femme à ses côtés mérite d’être mieux traiter … Il avait envie de dire qu’il faudrait toquer à toutes les portes, une à une pour leur dire … mais il savait que cela risquerait de désservir ses propos plus qu’autre chose…. Il la regarda un instant …il comprenait. Lui aussi on le prenait pas au sérieux …

Il ne le savait pas encore, mais la guilde de Fairy Tail allait le prendre au sérieux, en le confondant avec une constellation … ce qui était peut être un mensonge … mais un mensonge fait avec toute la bonté du monde ne pouvait être un mensonge. Olaf réfléchit.

- Et si tu en parlait à ta soeur ? Peut être qu’elle t’expliquerait. Je sais que si on prends mon cas, une amie m’a déjà dit qu’elle préférait m’écarter des problèmes sérieux, mais ce n’était pas par vilénie, mais parce qu’elle ne voulait pas que le sérieux déteigne sur moi et que je perds ma bonne humeur. Elle m’a expliqué que c’était ma bonne humeur qui faisait ce que j’étais et qu’elle voulait me préserver. Peut être que, tes amis et ta famille voient ta lumière comme je la vois aussi, et ils t’écartent, non parce qu’ils ne te prennent pas au sérieux mais parce qu’ils veulent que tu continue à éclairer leur chemin ? Peut être. Je pense que c’est ce que je ferais aussi.

Il se redressa et d’un geste tout doux reprit la femme dans ses bras. Parce qu’il en avait envie.

- J’aurais envie de t’aider à garder toute cette joie, cette bonne humeur et j’aurais pas envie de la salir avec des problèmes. Et tu l’as dit toi même tu t’investi dans les problèmes des autres pour les régler, personne ne dirait « oui » pour te parler de leurs problèmes s’ils n’étaient pas sur que tu était la femme de la situation.

Il allait réaliser son rêve. C’est ce qu’il se disait. Mais pas en changeant l’esprit des autres sur ce que la jeune femme était, mais en prouvant à la jeune femme que déjà beaucoup de personnes la pensait méritante. Puis il l’aimait bien lui… il avait pas envie que des imbéciles la trouvant trop agaçante, envahissante ou même bavarde, ne viennent gâcher son coeur.

HRP:

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