« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver.
Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)

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 Même jour même heure - Amelia

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Jack Sparrow
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Jack Sparrow

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Même jour même heure - Amelia Ia7b

Quoi? Un plan à trois avec deux rousses et un pirate c'est pas possible? Comment ça c'est dégueulasse de se taper la mère et la fille? Pas d'où je viens, pas chez les pirates... Pas... OK. OK. J'suis désolé. Mais... Avouez que c'est tentant non?

Même jour même heure - Amelia Bq22




| Conte : Pirates des Caraïbes
| Dans le monde des contes, je suis : : Le Capitaine, Jack Sparrow

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Même jour même heure - Amelia _



________________________________________ 2019-03-28, 17:37


o_O ca fait deux ans? Déjà?






Assis sur le toit d’un bâtiment, il ne savait lequel, Jack était en train de fixer les passant. Buvant du rhum, il les regardait et les fixer avec autant de fougue que ces derniers le regarder.

« Quoi ? Qu’est-ce que vous avez ? Z’avez jamais vu un Pirate ? »


Regard méchant. Le couple fit demi-tour et accéléra la cadence pour détaler. C’était pénible. Cela faisait maintenant deux ans qu’il était ici, et il ne s’était toujours pas acclimaté. Toujours vêtu de ses habits de Pirate, il aurait pu simplement, rentrer dans le rang, et vivre sa vie comme ceux qui arrivaient ici. Mais d’une, Jack détestait le changement. Il le détestait au plus au point. Cela ne devait pas être Jack Sparrow qui devait changer pour le Monde, mais le Monde qui devait changer pour Jack Sparrow. Levant l’index, il ricana tout seul comme tout bon fou qu’il était.

« Oh, j’devrais la noter celle là ! »


Cherchant dans son grand manteau, il ne trouva pas de plume, ni de parchemin. Et encore moins de stylo, comme ils utilisaient ici. Trouvant finalement réconfort dans sa bouteille de rhum, il s’allongea sur le toit, et mit son chapeau sur la tête tout en sifflotant un air connu de Pirate. Quelques gens passèrent encore, il entendit même des gens l’appelait. Mais lui, se contenta de grommeler :

« C’est ça… Dégagez d’la, tas d’chiens gâleux…. »


Finalement, il s’endormit. Se réveillant une ou deux heure plus tard, en sursaut, Jack regarda où il était. Sur les toits ? Avait-il encore trop bu ? Comment était-il arrivé ici d’ailleurs ? Fronçant les sourcils, il regarda à droite, puis à gauche. Puis à gauche, puis à droite. Rien. Se redressant, il s’étira tout en se massant le dos et en remettant son tricorne.

« Encore une sacré journée, pour le Capitaine Ja... »


Mais il n’eut pas le temps de finir sa phrase, que son pied se coinça dans deux tuiles neuves. C’était étrange.  Il était sur une partie du toit où les tuiles semblaient neuves par rapport aux autres. Il était déjà venu ici. Mais il ne rappelait pas comment. Essayant d’enlever sa botte, il commença à gesticuler dans tous les sens.

« Tonnerre de brest, c’est pas possible… Tu vas te libérer, maudite botte des enfers… Qui t’envoie, toit d’malheur ? Hadès ? Zeus ? Aphrodite ? Faut forcément que ce soit un dieu pour... »


Mais, soudain, le bois sous lequel il se trouvait commença à craquer. Ouvrant un œil, puis l’autre, de surprise, il sentit le plancher s’effrondrer.

« AAAAAAAH »


Chutant sur quelques mètres, sa chute fut amorti par… Un tas de pâtisserie. La farine et les ingrédients volatiles l’enveloppèrent et il se mit à tousser comme un chien. Gesticulant, il finit par se redresser en position assise. Mais c’était quoi le problème aujourd’hui.

« J’suis d’ja v’nu ici… »


Choppant le Rhum de cuisine mauvais servant à faire certainement des babas au rhum, il l’ouvrit la bouteille d’un geste sec. Fronçant les sourcils, il but une gorgée, puis deux. Finalement, il pivota, bien décider à partir, rhum à la main.
Mais il se trouva, à nouveau, nez à nez avec une pelle à tarte en argent.

« Oh putain, ca r’commence… Deux ans nous sépare ma jolie… T’as pas changé d’un pouce ! Toujours aussi ravissante ! »


Posant son tricorne, il s’inclina dans une révérence gracieuse face à Amelia Peters.




Amelia Peters
« La vie c'est pas de la tarte ! »

Amelia Peters

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Même jour même heure - Amelia _



________________________________________ 2019-03-28, 23:22 « La vie c'est pas de la tarte ! »

Les malédictions, le karma, le destin… On peut même appeler ça la poisse. De toute façon, l'effet est le même : rarement agréable, souvent agaçant et parfois dangereux.
Amelia Peters était pourtant une bonne personne : elle était souriante, toujours prête à aider son prochain, bienveillante, cherchait sans cesse à s'améliorer et, en plus, elle faisait de bons gâteaux, ce qui, de son point de vue, était un argument de poids.
Mais apparemment, ça ne suffisait pas.
La pâtissière était occupée à servir un client pendant que Cassie réorganisait la vitrine de la boutique quand un immense fracas en provenance de l'arrière boutique se fit entendre. Soudain crispée, Amelia ne se départit pourtant pas de son sourire face à Deborah Gust qui avait arqué un sourcil vraiment, très, très haut.
- Ne vous en faites pas, ça doit être le chat.
Amelia espérait être convaincante. Evidemment, elle échoua.
Deborah plissa les yeux et, attrapant sa commande, reprit :
- Ne me prenez pas pour moins maligne que j'en ai l'air. Si ça c'est le chat, j'aime Dyson Walters et Dieu sait que ça n'arrivera jamais. Mais c'est votre boutique, alors je m'en fiche de ce que c'est. Bonne journée. Ou bon courage, ça dépend de ce que ça sera.
Deborah s'était éloignée en parlant et la porte de la boutique se referma après ces quelques mots, sur son sourire narquois.
Amelia déglutit et attrapa Charlotte, sa pelle à tartes de combat, en la serrant de toutes ses forces. Si elle avait pu combattre un monstre en Chantilly, elle devait pouvoir gérer… autre chose. Ce qui ne l'empêcha pas d'inspirer un grand coup en se répétant mentalement que tout irait bien, qu'elle avait retrouvé ses griffes deux ans plus tôt et que tout irait bien. Oui, elle n'avait trouvé que deux arguments.
La pâtissière demanda à Cassie de continuer ce qu'elle faisait et de rester en boutique pendant qu'elle "allait voir" ce qui se passait en coulisses. Elle ouvrit d'abord la porte de seulement quelques centimètres mais, ne voyant rien, fut contrainte de l'ouvrir en grand.
Ce qu'elle vit alors ne lui plut pas. Pas du tout.
Amelia fit alors quelque chose qu'elle faisait rarement : elle fronça les sourcils, mécontente et pointa sa pelle à tartes sous le nez de Jack Sparrow, tâchant de garder son sang froid, ce qui impliquait de ne pas trop penser aux dégâts qu'il avait causés.
Encore.
- Oh détrompez vous, Jack Sparrow ! Je me souviens de vous, mon toit aussi et apparemment il va continuer de s'en rappeler, mais j'ai changé ! Cette fois vous ne m'aurez pas. C'est vous qui avez roulé dans la farine et je ne compte pas vous laissez m'y entrainer !
Sans attendre, Amelia attrapa à tâtons un tablier de cuisine et le balai qu'elle tendit au pirate.
- Déjà vous allez commencé par nettoyer toutes les saletés que vous venez de faire.
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Quoi? Un plan à trois avec deux rousses et un pirate c'est pas possible? Comment ça c'est dégueulasse de se taper la mère et la fille? Pas d'où je viens, pas chez les pirates... Pas... OK. OK. J'suis désolé. Mais... Avouez que c'est tentant non?

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Même jour même heure - Amelia _



________________________________________ 2019-03-30, 08:39


o_O ca fait deux ans? Déjà?






Jack se saisit du balai. Le serrant dans ses mains, il s’approcha d’elle de tel façon que ce dernier soit encore entre eux d’eux, et évitant ainsi de se coller à elle. Souriant de son sourire le plus charmeur, il enleva la pelle de devant son nez en la décalant de quelques centimètres. Poussant avec ses doigts couvert de bague, Jack déclara d’un ton sûr de lui.

« Ah. Oh. Je sais pas. C’est pas ma faute. Le toit est fragilisé. Là, j’y suis pour rien. C’est la faute à celui qui est passé par là la dernière fois. Certainement mon cousin, Jack Sparrow. Moi, je suis Jack Smith. Mais tu peux m’appeler Smithy. Ca m’dérange pas... »


Se décalant, le pirate se prit les pieds dans un sac de farine et tomba en avant, au milieu des denrées alimentaires. Souprant et grognant quelque peu, il se redressa, la bouteille de rhum intact dans ses mains.

« Ca c’est un miracle ma jolie ! Alors ! Toujours avec ton mari aimant ? Vivant le grand Amour avec un grand A ! T’as bonne mine tu sais… Enfin… Je dis ça, car c’est mon cousin qui m’l’a dit. L’autre Jack. Tu sais. Celui qu est passé par le toit. La première fois. Ca à l’air de rouler pour toi. Rouler rouler... »

Se relevant, il tituba un peu et but une gorgée. Parfait pour bien débuter la journée. Quelques gorgées de rhum à 8h du matin, y’avait que ça de vrai pour un pirate. Tournant sur lui même dans la petite réserve, ses sourcils se froncèrent et il se mit à ricaner.

« A croire que le Temps c’est circulaire ici… J’ai l’impression d’avoir vécu cette scène. Ca te le fait jamais ? Enfin je veux dire, mon cousin, Sparrow, semble l’avoir déjà vécu. C’est un goujat de la pire espèce. Heureusement, j’suis là pour relever le niveau de la famille. Tu veux de l’or ? Pour payer tout ça ? J’en ai plein. Mais faut que j’men aille pour aller l’chercher. Et j’irai voir Jack Sparrow. Pour lui dire que c’est d’sa faute. Tu sais quo ? J’reviens dans deux heures, pas une de plus, pas une de moins ! Avec le vrai coupable ! Et crois moi, c’est mon cousin ! J’peux tout lui dire ! Il va m’entendre le chameau ! Ahlala… Sacré Sparrow ! »


Il voulut sortir, mais au vu du regard de l’ancienne lionne, il recula de quelques pas, légèrement appeuré. En fait non, il n’avait pas peur. Mais il savait qu’il devait se sortir de ce mauvais pas. Son dos heurta le mur du fond et il fronça les sourcils en craquant des lèvres, feignant la crainte et la peur à la perfection.

« Tu veux m’violer ? C’est ça ! Tu m’as tendu un piège ! J’suis pur ! Et vierge ! J’ai jamais connu d’femme ! Laisse moi partir ! S’il te plaît ! J’me réserve pour le grand jour, avec le grand Amour ! Moi aussi ! Tu peux m’comprendre non ? Pas vraiment ? ET BAISSE CETTE PELLE A TARTE ! »


Jack tatona derrière lui. Finalement, sa main tomba sur un rouleau à pâtisserie, qu’il dressa devant elle, croisant le fer avec sa pelle, il la fixa dans les yeux en tournant autour d’elle.

« On n’t’a jamais appris que ce n’était pas très bon, de croiser le fer avec un pirate ma jolie ? Allez, pousse toi, rends toi à l’évidence, je te domine… Par ma verve et par mon arme… Si on joue à Rouleau-Pelle A tarte-Ciseau, c’est le rouleau qui gagne, c’est évident. Puis j’veux pas faire attendre les clients. Pour une pâtiss’rie, on est à l’heure de pointe nan ? »






Amelia Peters
« La vie c'est pas de la tarte ! »

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Même jour même heure - Amelia _



________________________________________ 2019-03-30, 20:53 « La vie c'est pas de la tarte ! »

Si Amelia avait laissé le pirate se relever et changer légèrement l'orientation de sa pelle à tartes (qu'elle ne comptait utiliser qu'en dernier recours), elle ne comptait pour autant pas se laisser faire ! Il en faudrait bien plus pour embobiner la pâtissière qui n'achetait pas cette histoire de cousin imaginaire. Non, elle était face à Jack Sparrow, celui qui avait déjà démoli son toit et qui, manifestement, avait décidé de recommencer pour une raison qui échappait à l'entendement.
- C'est pas parce que je fais des tartes que j'en suis une, alors il va falloir que vous arrêtiez de croire que vous allez me faire gober tout et n'importe quoi. VOUS êtes responsables de la casse, c'est aussi simple que ça. Que ça arrive une fois, soit, mais deux ? Vous savez, il y a des trottoirs un peu partout dans cette ville : c'est là-dessus qu'on est censé marcher, c'est en marchant là-dessus qu'on n'atterrit pas chez les personnes honnêtes dont les frais d'assurance vont augmenter à cause de vous !
Parce qu'elle était furieuse, Amelia avait parlé en gesticulant, c'est pourquoi le pirate avait manqué de se prendre un ou deux coups de pelle involontaire. De toute façon, il titubait déjà. Un coup de pelle n'aurait rien changé à son équilibre précaire. Amelia ne fut même pas surpris de le voir s'effondrait sur un sac de farine, juste dépitée. La seule consolation c'était qu'aucun bris de verre et aucune flaque n'étaient, pour le moment, à rajouter à tout ce désastre.
Ce bougre de pirate avait sacrément de la chance ! C'était sans doute ce qui agaçait le plus la pâtissière.
- Le miracle c'est que vous ne soyez pas dans le coma malgré tout ce que vous buvez, marmonna Amelia en croisant les bras sur sa poitrine.
Le coma. Wyatt. Le faux Smithy avait une bonne mémoire. Amelia ne se rappelait même pas d'avoir parlé de ça, deux ans plus tôt. La quadragénaire soupira. D'un ton plus audible, elle reprit :
- C'est plutôt l'amour avec un grand coma. Donc vous avez écouté et retenu ce que j'ai vraisemblablement dit la dernière fois ?
Elle était impressionnée, un peu. Elle aurait pu être touchée mais ça venait d'un pirate qui s'était déjà moquée qu'elle. Amelia ne voulait donc pas baisser la garde, par peur que le temps, comme il le disait si bien, soit réellement circulaire. Amelia se rappelait parfaitement comment les choses s'étaient terminées la dernière fois, c'est pourquoi elle ne comptait pas laisser le pirate s'en aller pour chercher de l'or qu'il n'avait probablement pas et un coupable qu'elle avait déjà sous les yeux, quoi qu'il en dise;
Jack Sparrow le comprit, heureusement. Un seul regard, l'un de ces regards noirs qu'Amelia ne lançait d'ordinaire pas, suffit. Il suffit aussi à ce que le pirate bien arrosé opère un changement de stratégie pour le moins surprenant. Amelia ouvrit des yeux ronds et serra davantage sa pelle à tartes de sorte à rester quand même sur ses gardes.
Elle aurait pu rire si Sparrow ne la faisait pas tourner en bourrique dès qu'il se croisait. Pourtant, de la patience, elle en avait à revendre.
Bien en avait pris à Amelia car le pirate était plein de ressources. Le rouleau à pâtisserie venait de se trouver une nouvelle fonction. Evidemment, l'ancienne lionne n'avait jamais fait d'escrime. Elle avait toujours trouvé ça très badass mais ne s'en imaginait pas capable. Sauf que, peut-être, il allait falloir s'y mettre.
Mais d'abord, elle voulait parlementer. Ou obtenir des pourparlers, comme disent les corsaires.
- J'ai pas prévu de vous violer, vous êtes absolument pas mon genre mais s'il faut que je me batte, je le ferais, toutes griffes dehors ! assura la pâtissière. Avec cette pelle à tartes j'ai déjà assommé une demi douzaine de Mexicains qui… Je sais plus ce qu'ils voulaient mais ils le voulaient, c'est pas important ! En tout cas, je suis prête. J'en ai marre qu'on me prenne pour une idiote et de toute façon si un pirate détruit mon arrière boutique je ne peux rien vendre.
Ca allait encore prendre des jours pour tout réparer et Jack Sparrow n'allait vraisemblablement jamais passer le balai. Amelia s'était déjà fait une raison là dessus. Elle ne voulait pas empirer la situation en engageant un vrai combat dans son arrière boutique mais pour le moment l'idée c'était qu'il ne sorte pas. Entre l'étagère et elle, il était pris en sandwich. C'était un bon début.
- Je sais très bien que vous ne me laisserez même pas un sou pour réparer ce que vous avez encore cassé. Mais passer le balai ça vous tuera pas. Mes griffes, par contre, s'il le faut je vous menace aussi avec.
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________________________________________ 2019-04-01, 12:37


o_O ca fait deux ans? Déjà?






Le rouleau en face de lui, Jack redressa ce dernier pour le pointer vers son nez et froncer les sourcils, tournant légèrement. Mais voyant qu’elle ne bougeait pas du tout, il dut admettre qu’elle n’était pas si cruche qu’on le disait, et qu’au final, elle bloquait la sortie. L’arme toujours dressé devant lui, il éclata brusquement de rire, à s’en faire pleurer.

« Ah ah ah.. hoho… J’en peux plus. Elle était vraiment bonne celle là. Une tarte… Ha..Haha... »


Se calmant légèrement, il essuya une larme, puis une autre. Reprenant tout son sérieux, Jack croisa le fer avec la jeune femme et écarta légèrement la pelle d’un petit coup précis.

« Allons. Allons. J’ai beaucoup de défauts, mais pas celui de perdre la mémoire, même quand ça m’arrange. J’suppose que ça s’est pas arrangé. C’est triste. Mais j’y peux rien, c’est comme ça… Alors me prenez pas pour un coupable alors que je n’en suis pas un ! »


Titubant légèrement, il vida ce qui restait de rhum, tenant toujours son adversaire en respect sans pour autant baisser sa garde. Fronçant les sourcils dans une grimace typiquement sparrowdienne, Jack ouvrit ses lèvres en un sourire curieux.

« Les assurances ? C’est quoi au juste ? C’est pas ce qui sert à faire du vélo ? Ou j’confonds avec un pédalier ? »


Posant son doigt sur son menton tout en réfléchissant, il s’ébroua brusquement. Finalement, il mit la main à sa ceinture, touchant dans un premier temps son pistolet, puis la décala avec lenteur pour se saisir d’une bourse bien remplie (d’or bien évidemment.Même jour même heure - Amelia 3392629739). La jetant à Amelia, Jack finit par poser le rouleau en le jetant dans le débarras. De toute façon, si ça tournait au vinaigre, il avait encore son sabre pour s’en sortir. Et là, il faudrait à son avis plus qu’une pelle à tarte pour l’arrêter.

« C’est d’l’or. Ici, ça vaut pas mal, à c’que j’ai cru comprendre. Ca d’vrait payer les dégâts. Et même vous racheter un magasin plus grand. Si vous investissez correctement. Nous les pirates, l’investissement, on connaît pas trop. On a tendance à dépenser notre argent dans le rhum et les femmes. Or, le rhum, visiblement ici, y’en a partout. Les filles faciles aussi. Donc ça m’sert pas à grand-chose. Prenez le, et estimez vous heureux que j’sois honnête aujourd’hui ! »


Mettant les mains sur les hanches, il la fixa en fronçant les sourcils, voulant rebondir sur un point important. Fixant ses doigts tout en faisant bouger les siens devant lui dans une mimique particulière.

« Les griffes ? Z’avez pas d’griffes. Vous êtes quoi au juste ? Un Chat-Garou ? Si c’est l’cas, alors j’peux rien pour vous. Les malédictions, c’est pas mon truc. J’passerai pas l’balai aussi. J’ai donné de l’or. J’suis libre de faire ce que j’veux. C’est la règle. Enfin, c’est la mienne ! »


Croisant subitement les bras, il fit une moue étrange. Un peu contrarié, Jack la toisa de haut en bas et finit par dire d’un ton assez dur, mais toujours avec son accent de pirate mélangeant les syllabes :

« Et j’vous fera dire qu’vous êtes pas non plus l’top des prix de beauté de la ville. J’suis p’t’être pas votre genre, mais quand on a pas vu le loup d’puis si longtemps, doit bien y avoir des trucs à faire non ? J’vous trouve bien difficile. Et la beauté, ça fait pas tout vous savez. Y’a l’charme. Et vous pouvez pas dire que j’en manque ! J’en suis l’incarnation. Dites la vérité. »


Il hocha la tête de manière affirmative, comme si ces paroles étaient une vérité indéniable. De toute façon, c’était, une vérité indéniable. Toujours les bras croisés, Jack poursuivit :

« J’vous fait du bien. Mais vous l’avouerez jamais hein. J’vous sors de votre quotidien, la famille, le mari dans l’coma, les pâtisseries. C’est un don du ciel qui tombe chez vous, et vous voulez pas l’accepter. Dites que j’sus beau, plein de charme, et qu’on peut s’envoyer en l’air un jour, et j’men vais. Promis. En passant l’balai même. Et si vous déposez une plainte pour harcèlement, alors là j’s’rai pas très content. J’ai découvert ça ici. Le harcèlement. Nouveau mot, pour désigner un truc qui existe déjà. Et j’suis pas un harceleur. J’suis un Don Juan. Quoi que… Lui aussi c’était un pervers. Mauvais exemple. »






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________________________________________ 2019-04-01, 23:37 « La vie c'est pas de la tarte ! »

Jack Sparrow prit Amelia de cours en appréciant son trait d'esprit aussi ostensiblement. D'un autre côté, c'était flatteur de voir que, des fois, on était pas tout seul à apprécier sa propre subtilité. La pâtissière aurait certes préféré qu'elle soit appréciée par quelqu'un d'autre qu'un pirate ivrogne sans foi ni loi mais force était de constater que Mick Jaegger avait raison : on peut pas toujours avoir ce qu'on veut !
Pour autant, la pâtissière ne devait pas se laisser distraire, encore moins par lui. Lionne échaudée craint l'eau froide : il ne la reprendrait pas de si tôt à baisser la gare, aussi bien littéralement que métaphoriquement. Amelia ne desserra pas son emprise sur sa pelle à tartes et clignait des yeux aussi rarement que possible afin de ne rien manquer des moindres mouvements du pirate.
Apparemment, Jack Sparrow faisait de même, malgré son état. Ou grâce à lui, c'était difficile de savoir en ce qui le concernait.
- Les assurances c'est ce merveilleux concept du monde moderne qui me protège financièrement des incidents causés par les pirates volants qui ont la bonne idée de toujours passer par mon toit alors qu'il y a une porte d'entrée qui ne demande qu'à être utilisée si on veut venir chez moi, lui expliqua Amelia sur la défensive, si bien qu'elle ne reprit pas son souffle une seule fois le temps d'énoncer cette phrase à rallonge.
Elle n'avait pas relevé la remarque concernant le pédalier car, en fait, elle n'avait vraiment pas compris comment on pouvait confondre les deux mots. Même en étant ivre.
Et armé, nota Amelia en suivant du regard la main qui se dirigeait vers sa ceinture, puis vers l'arme et enfin… vers une bourse en cuir qu'il jeta à ses pieds. Amelia cligna des yeux, perplexe et hésitante. Elle se ressaisit cependant bien vite : son regard, elle devait le garder sur le pirate sinon il allait s'enfuir. Encore. En fait, c'était presque comme la chasse du temps où elle était une lionne.
La surprise fit ensuite place à l'agacement : Amelia se doutait qu'un pirate n'allait pas lui lancer une bourse de bonbons. Si elle était étonnée par l'attention, le contenu de la bourse, elle l'avait deviné sans son aide !
Mais elle appréciait ce qui s'apparentait à de la générosité. Alors Amelia fit un pas en avant, étendit le pied pour atteindre à tâtons la bourse et l'envoyer, après quelques tentatives, dans ce qui, à présent et au vu des circonstances, était sa partie de la pièce. De fait, la bourse se retrouva hors d'atteinte pour le pirate sans qu'elle n'ait eu à baisser la garde.
- Merci. Je suppose, reprit Amelia, toujours méfiante. Mais si c'est encore une entourloupe je saurais m'en souvenir !
Tout en parlant, elle avait une nouvelle fois agité la pelle à tartes qui aurait pu éborgner Jack si Amelia n'avait pas de nouveau reculer. Elle espérait que la potentialité qu'elle soit un chat-garou effraie le pirate, au moins un peu, mais de préférence beaucoup. Ca lui donnait une sorte d'avantage - si les griffes voulaient bien sortir si jamais elle en avait besoin.
- Pt'être que je suis un chat-garou. Ou pt'être pas. Je vous conseille de pas me provoquer, j'aime pas faire mal aux gens mais si vraiment vous me forcez étant donné que vous m'exaspérez particulièrement j'invoquerais la légitime défense et je me laisserais pas faire.
Elle ne rebondit pas sur cette histoire de balai, hésitant toutefois à vérifier que c'était bien de l'or qu'il avait dans sa bourse. Juste au cas où. Ca serait pas comme si c'était la première fois qu'il essayait de la berner, que ce soit par des stratagèmes ou son soi-disant charme. Non pas qu'il soit répugnant : Amelia n'avait jamais trouvé personne laid. Mais de là à succomber au charme d'un pirate… Manifestement, il était un peu (énormément) blessé dans son amour-propre; C'était presque amusant, peut-être attendrissant.
- Je prétends pas être le premier prix de beauté, vous pouvez penser ce que vous voulez de moi, de ma façon de vivre ma vie et même de comment je m'envoie ou non en l'air. C'qui est sûr c'est que vous êtes l'incarnation d'un truc unique. C'est déjà pas mal, non ? Et de tout façon, qu'est-ce que ça peut bien vous faire que vous me plaisiez pas s'il y a tant de filles faciles que ça en ville ? Vous êtes pas venu pour me… comment ils disent les jeunes déjà ?... Pécho ! Me pécho, c'est ça. Bah vous êtes pas venu pour me pécho donc pourquoi en faire tout un fromage ? Et c'est très bien comme ça ! J'ai pas envie de m'envoyer en l'air avec le premier inconnu exotique et ivre qui croise ma route. Oui, vous êtes exotique, mais l'exotisme y a des gens à qui ça donne la tourista alors c'était pas forcément une bonne chose ! Vous êtes bien dans votre genre mais vous êtes pas le mien et je suis visiblement pas le vôtre mais vous savez quoi ? C'est pas grave ! ll en fait pour tous les goûts et on a pas besoin de coucher avec tout le monde pour mener une existence satisfaisante. Je dis pas que vous le faites littéralement, hein, mais vous avez dû le faire avec plus de gens que moi et de toute façon ça me regarde pas. Ma vie est bien plus enrichissante que vous ne semblez le croire, j'avais pas besoin d'un toit à moitié défoncé et de toute la prise de tête qui est en train de suivre parce que j'ai du boulot, figurez-vous ! Je fais pas que des pâtisseries. Y a des gens qui aiment bien avoir une vie rangée sans trop d'agitation.
Cette situation n'avait rien de réaliste. Et pourtant elle était réelle.
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________________________________________ 2019-04-05, 11:09


o_O ca fait deux ans? Déjà?






Jack s’avança, profitant de l’espace qui s’était créé pour arriver dans l’embrasure de la porte. Levant le nez dans un air un peu stupide et écarquillant les yeux visiblement vexé, il déclara d’une voix un peu alcoolisée :

« Y’a pas d’entourloupe. »


Croisant les bras, il se mit de côté. La super position qu’avait les gens quand ils boudaient. Ecartant d’ailleurs un peu ses narines dans un signe de protestation, il poursuivit :

« T’as pas foi dans les gens honnête comme moi. T’as d’la chance d’ailleurs d’être tomber sur l’pirate le plus honnête des caraïbes et de Storybrooke. Tu s’rais tombé sur un collègue, du genre Barbe Noire, t’aurais pas d’mandée ton reste, avec ta pelle à tarte. Une balle entre les deux yeux. Voilà s’que t’aurais eu. Mas j’suis civilisé. J’suis quelqu’un d’bien. Mais ça personne veut l’voir. C’est ton jour de chance ! »


Il s’était mit dans l’embrasure cette fois-ci, face à elle. Il était presque à la sortie. De toute manière, il avait envie de s’en aller. Elle n’était pas réceptive à ses charmes, et ça ne servait à rien d’insister et de poursuivre là dessus. En fait, si, finalement, il allait insister, et poursuivre là dessus. Car il n’était pas tellement rationnel.

« T’es pas un premier prix d’beauté. Moi non plus. Mais t’as du charme ! Comme moi ! Tu vois, on est fait pour s’entendre ! »


Il s’était avancé, doucement, pour n’être qu’à quelques centimètres d’elle. Un sourire charmeur et une odeur de vieux rhum, mélangé à l’odeur des embruns se fit sentir. Souriant, il déclara de sa voix suave comme dans les films. Parfaitement calculée :

« J’peux t’arracher à cette routine. Tu t’lèves le matin, tu poses les pieds par terre, en recommençant encore et encore le même schéma… T’es esclave de ta propre condition, dans une prison sans barreaux, et tu t’en rends pas compte… Faire des pâtisseries, jour après jour. Allez voir ton mari qui ne peut plus rien pour toi, jour après jour… Je peux t’offrir la mer, le vent qui frappe sur ton visage sans attache, sans obligations. La liberté, en somme ! »


Passant de l’autre côté d’elle en lui posant une main sur l’épaule, Jack se retrouva dos à la sortie.

« Penses-y ma chérie. Ta vie n’est pas si enrichissante qu’ça ! Quand t’en parles, tu n’dis que les défauts. P’t’être qu’on a pas le même point d’vu. P’t’être qu’on définie pas la liberté d’la même manière. Mais moi c’que j’vois, c’est quelqu’un qui lâche jamais prise. Qu’est toujours là pour les autres sans pensée à soit. Tu d’vrais y réfléchir. »

Jack la pointa du doigt d’un air un peu accusateur. Puis, il pointa directement sa poitrine en faisant un sourire niais.

« Et crois moi, t’es canon ma p’tite ! Si j’avais une paire d’obus comme ceux là, j’pass’rai pas mon temps à faire des gâteaux et à vérifier les constantes d’un gars dans l’coma. Faut savoir être égoiste, penser un peu à soit, un minimum. J’te d’mande pas d’venir comme moi. J’suis unique de toute façon. Non. J’te demande d’y penser. Faut qu’ça cogite là d’dans tu vois. J’pense que y’a deux cables qui demandent qu’à s’connecter. Parce qu’un jour, si j’reprends la métaphore, tu vas t’lever, et tu vas t’rendre compte que ce que te disait l’vieux pirate dans l’arrière boutique de ton magasin, ça avait du sens. Et tu s’ras passé à côté de quelqu’chose ! J’fais ça pour toi. Après, y s’ra trop tard. »


Lui faisant un clin d’oeil, il s’approcha et l’embrassa gentiment sur le front.

« Cette rencoeur t’as eu raison d’la faire sortir. Tonton Jack est là pour ça ! »






Amelia Peters
« La vie c'est pas de la tarte ! »

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________________________________________ 2019-04-06, 00:29 « La vie c'est pas de la tarte ! »

Amelia restait dubitative. Sa définition de "quelqu'un de bien" ne comprenait pas "être bourré avant midi" ce que Sparrow était visiblement, même s'il tenait bien l'alcool. C'était pas tellement la question, en fait. Quelqu'un de bien aurait aussi accepté de réparer, autrement que financièrement, ce qu'il venait de casser pour la deuxième fois (alors qu'un toit, déjà le casser une fois, faut le vouloir, sauf quand on s'appelle Katrina). Et puis la chance, la connaissait Amelia ! Ou plutôt, l'absence de chance : un mari dans le coma, une sœur désespérément célibataire et un nouveau toit à payer, elle n'appelait pas ça de la chance.
La pâtissière était outrée par la tournure de la situation et sentait poindre le mal de tête. Malheureusement, ses comprimés de Doliprane étaient près de la caisse. Au fond, elle avait presque envie de céder, non pas à ses avance (Amelia avait quand même des principes !) mais à accepter son départ et le ménage qui allait s'en suivre. Mais comme Sparrow était insistant et bavard, même si elle avait voulu jeter l'éponge (à défaut de jeter la pelle à tartes, ce que la dignité lui interdisait), il était bien décidé à lui tenir la jambe, toujours avec sa logique bien à lui.
La jeune femme arqua un sourcil, peut'être encore plus sceptique face à sa technique de drague qu'au reste.
- Vous faites des raccourcis dans vos raisonnements, observa-t-elle. Ca ne vous effleure pas l'esprit que je ne suis peut-être pas sensible à votre charme ? Et que si je me méfie de vous c'est parce que j'ai de solides raisons de le faire ?
Ca ne semblait pas l'arrêter puisque Jack Sparrow s'était approché d'elle vraiment près. Plus près qu'elle ne l'aurait voulu car elle profitait à présent de son haleine alcoolisée. Amelia tenait donc encore fermement Charlotte, quitte à faire blanchir ses jointures.
- Je pense à moi, assura Amelia en fronçant les sourcils à défaut de savoir réellement exprimer le dégoût avec son visage.
Elle n'appréciait pas d'être reluquée et jugée de la sorte. Surtout par Jack Sparrow. Qui l'avait de surcroît embrassée sur le front ! Il se prenait pour qui, son père ? La pâtissière en avait marre qu'on l'infantilise à longueur d'années comme si elle avait encore douze ans et que tout le monde savait mieux gérer sa vie qu'elle-même, l'intéressée en personne !
- Mais j'ai une famille. Vous n'avez pas d'enfant je me trompe ? Donc vous ne pouvez pas comprendre qu'à partir du moment où on en a, c'est eux qui passent en premier. Pourquoi vous ne voulez pas accepter que j'aime ma vie, au global ? Je n'ai pas envie de devenir comme vous, alors soyez rassuré, vous allez rester unique. Je le souhaite vivement, assura la pâtissière.
Un seul Sparrow, c'était déjà bien assez de soucis. Elle ne voulait pas imaginer le monde avec plusieurs exemplaires.
- Vous n'avez jamais aimé quelqu'un ou quelque chose - autre que le rhum - plus que tout ? Si c'était le cas vous sauriez que je ne vérifie pas des constantes - d'ailleurs, je comprends pas tous les chiffres sur les machines de l'hôpital - mais que je viens avec de l'espoir. Et que si demain Mary Poppins arrivait avec le remède miracle, si tant est qu'elle existe et soit en ville, j'accepterais volontiers d'essayer parce que je tiens à mon mari et je ferais tout pour lui ou ma famille.
Amelia marqua une pause puis planta son regard le plus déterminé dans celui du pirate :
- J'apprécierai que vous ne m'embrassiez pas sur le front. Je ne suis pas une petite fille qui a besoin de conseils de vie. Je suis même quelqu'un de très fun quand on ne vient pas détruire mon travail ! Un boute en train dévoué, voilà ce que je suis, pas une pâtissière folle qui a besoin de vos conseils. Et j'étais sur le Titanic une fois ! Sur Olympe. C'était pas le vrai mais c'était une très jolie réplique. Vous voyez, je vis plein de choses aussi.
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Quoi? Un plan à trois avec deux rousses et un pirate c'est pas possible? Comment ça c'est dégueulasse de se taper la mère et la fille? Pas d'où je viens, pas chez les pirates... Pas... OK. OK. J'suis désolé. Mais... Avouez que c'est tentant non?

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________________________________________ 2019-04-08, 17:50


o_O ca fait deux ans? Déjà?






Jack croisa les bras. Pêché d’orgueil oblige, il avait été poussé à bout. Fronçant les sourcils dans une expression fâchée, on aurait pu le trouver touchant, s’il n’avait pas encore vaciller sous les effets de l’alcool.

« Tu te méfies de moi ? Tu ne succombes pas à mes charmes ? Tu trouves que je fais des raccourcis dans mes raisonnements ? »


Il avait levé le nez. Il était profondément vexé par son attitude et ses remarques, c’était un fait. Mais il fallait qu’elle le sâche. D’ailleurs, quand Jack Sparrow était vexé, il fallait que le monde entier le sache.

« Je suis vexé. T’es contente de toi ? Non contente de te cantonner à une bourse d’or qui va payer plus que ta boutique, tu continues à me blesser. Alors oui, t’as raison. Tu penses à toi. Mais à moi tu y as pensé ? Si tout l’monde pense comme toi, ma légende se casse la gueule ! Et il lui reste quoi hein ? A Jack Sparrow, s’il n’a plus sa légende ? »


Quand elle lui demanda s’il avait des enfants, Jack se mit de profil et détourna la tête. Il avait certainement un ou deux bâtards qui devaient traîner dans les rues de Tortuga, la Havane ou Port Royal. C’était probable ; même certains. Mais chez eux, c’était pas comme ici. Ils avaient pas la contraception. D’ailleurs, c’était son argument.

« Ouais j’ai des enfants. Mais p’t’etre que parce que dans mon monde, on a pas ces merveilleux bouts en caoutchou qu’on met sur le zizi. Ca évite bien des problèmes, les parasites, comme les bébés par exemple, ou les maladies. Comme la syphilis. T’as déjà vu quelqu’un avec la syphilis ? Moi oui. Et clairement c’est pas trop l’genre de maladie que tu veux avoir au printemps. »


Il affirma plusieurs fois la tête pour se donner contenance. Il n’y avait rien de pire que la syphilis. Mais apparemment, depuis qu’il était ici, il avait appris qu’on en guérissait. Mais qui fallait quand même se protéger. A cause du SIDO. Non, du SIDU. Bref, un truc dans le genre, bien moins drôle que la maladie dont il parlait.

« Les miracles, ça n’existe pas. Ou alors, ça s’provoque ma p’tite. P’t’être que finalement, t’es bien aussi toute seule ? Peut être que c’est mieux comme ça nan ? »


C’était assez méchant. Mais en réalité, c’était parce qu’elle avait dit qu’on ne devait pas l’embrasser sur le front. Elle n’était pas sympathique. Il détestait se faire recaler. Aussi. C’était même ça sûrement, le problème du jour. Elle ne succombait pas du tout à ses charmes. Elle en était totalement hermétique. Personne ne lui résistait, en général. Qu’on soit fille ou garçon, il faisait éprouvé que du respect, de l’admiration partout où il allait. C’était comme ça qu’on forgeait sa légende ! Et là… Il passait pour un pervers, un alcoolique ! Bon, ok, c’était ce qu’il était aussi. Mais avec panache ! Un alcoolique de légende ! Un pervers mythique ! C’était pas rien ! Mais non, elle ne voyait que la moitié du verre vide. Alors que les autres, généralement le voyait totalement pleins. Il continua à bouder, finalement et déclara d’un ton calme :

« De toute façon, j’ai décidé que je partirais pas. S’il faut vivre ici jusqu’à ce que vous ayez de l’admiration pour moi je reste. Y’a du rhum, y’a des gâteaux. J’peux vivre ici pendant deux ans. Même si l’rhum est vraiment pas bon. On en parle d’ailleurs ? C’est quoi cette pisse de chèvre ? Vous l’mettez vraiment dans l’gâteau ? J’veux pas vous donner de leçon en terme de pâtisserie. J’me permettrai pas. J’suis pas comme ça. Mais j’suis sûr que j’fais des meilleurs gâteaux au final. Tout c’que j’touche, j’le réussis. Alors j’vais faire un gâteau. S’il est meilleur que l’votre, vous avez que j’ai du chien. S’il est moins bon, j’reste vivre ici en tant qu’esclave manuel et sexuel pour le restant d’ma vie. Ca vaut l’coup non ? J’ai déjà failli vendre mon âme à Hadès pour un bateau ; j’peux bien vendre mon corps à Amelia pour un gâteau. Ohohoh. Qu’est c’que j’suis drôle aujourd’hui. »








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________________________________________ 2019-04-08, 23:47 « La vie c'est pas de la tarte ! »

Le moins que l'on puisse dire, c'était qu'il n'était pas difficile de deviner les différentes émotions qu'éprouvait Jack Sparrow. Il était, à vrai dire, un véritable livre ouvert, un peu comme les jeunes enfants qui n'ont pas encore trop saisi le principe de subtilité mais qu'on trouve attendrissants, même quand ils boudent. Cela dit, Amelia peinait à se laisser attendrir. Elle ne sut même pas s'empêcher de rouler des yeux en l'écoutant alors même qu'elle était plutôt patiente comme personne.
Mais avec ce Capitaine, il n'était pas facile de le rester. Même une sainte aurait eu du mal, que dire alors d'une simple mortelle ?
Le fait est que Jack Sparrow était peut-être grandiloquent (il aurait fait un merveilleux acteur de théâtre sans doute), il tournait aussi en rond : un instant Amelia ne pensait pas assez à elle mais quand elle le faisait elle ne pensait pas assez à lui, c'est-à-dire à autrui. C'était à en devenir chèvre tout ça !
- Si vous avez tellement peur que votre légende se "casse la gueule", le cita Amelia, engagez un impresario ? ou un biographe ? Ca se fait. Généralement c'est plutôt les stars de cinéma qui le font mais je pense, et je suis sincère, que vous seriez un merveilleux acteur de théâtre. Surtout dans le registre tragique, là, vous seriez parfait, pour ce que j'en connais. Je n'ai aucun problème à ce que vous soyez une légende tant que vous ne me mettez pas des bâtons dans les roues ni des tuiles cassées dans l'arrière boutique.
C'était vrai. Amelia n'était pas une femme envieuse du succès des autres. Elle n'aspirait pas à la célébrité, seulement à une vie personnelle épanouie et à l'épanouissement de ses proches. Pendant un temps, elle n'avait même pas essayé de faire ses preuves jusqu'à ce qu'elle en ait marre qu'on la traite d'incapable maladroite. Mais du moment que les gens la respectaient, ou qu'elle ne savait pas qu'ils ne la respectaient pas, Amelia se contentait de ce qu'elle avait, sans se demander si le monde se souviendrait de sa légende ou pas. Il avait, de toute façon, fort à parier qu'elle ne marquerait que quelques personnes sur Terre et que son passage ne ferait pas de grande différence. C'était bien aussi comme ça.
Elle préféra ne pas faire remarquer que les enfants n'étaient pas, de son point de vue, des parasites car elle sentait que c'était s'engager sur un terrain glissant dont elle n'avait pas envie. Débattre avec un Jack Sparrow ivre de surcroît avait tout l'air d'une mauvaise idée. Quant aux IST... mieux valait ne pas imaginer à quoi ça pouvait ressembler. Quelqu'un avait déjà réussi à convaincre la naïve Amelia de googler "blue waffle" parce que "c'était drôle", apparemment, et ça lui avait suffi. Amplement.
Amelia essaya de ne pas y penser et laissa Jack poursuivre, sans se vexer de ce qu'il disait. Il était ivre et vexé, après tout. Ses propos ne comptaient pas autant que s'ils avaient été ceux d'un être proche. Par contre, qu'il cherche à s'imposer seulement pour obtenir ce qu'il voulait, ça, ça la fit réagir.
La pâtissière eut l'air outré, ce qui devait probablement le satisfaire. Une réaction, forte, qui plus est, c'était ce qu'il semblait vouloir et Amelia, sur ce coup, ne pouvait que lui donner ce dont il avait besoin. N'allez pas croire, ça l'embêtait !
La jeune femme inspira profondément pour canaliser ses émotions et reprendre d'une voix aussi posée que possible :
- Je fais des babas au rhum quand on m'en demande. J'aime pas ces gâteaux mais si le client en veut, le client en a. Sur commande. Je n'aime pas non plus le rhum et pour la pâtisserie il n'est nul besoin d'en avoir un meilleur. Désolée. Cela dit, dans un 9 Eier Kuche c'est plutôt bon. [ndlr : "poids de neuf œufs" en français, c'est un gâteau inventé par mon arrière-grand-mère, je pourrais pas t'en dire plus, en plus la recette est secrète mais donc oui ça existe - au moins dans ma famille]
Elle n'était vraiment pas persuadée que Jack Sparrow pâtissait mieux qu'elle et manqua de pouffer quand il prétendit le contraire. La situation était tellement grotesque ! Evidemment, Amelia ne comptait pas le mettra au défi de réussir tout ce qu'il touchait. C'était courir le risque qu'il fasse aussi sauter la cuisine et qu'elle n'était réellement plus de travail. Un risque, en somme, qu'elle ne voulait pas prendre.
C'était bien sûr sans compter sur la détermination de ce drôle d'oiseau qui se voulait capitaine - de quoi, telle était la question. Il allait vraiment la rendre chèvre !
- Vous avez même pas intérêt à toucher davantage ma cuisine. Touchez à rien, éventuellement au mauvais rhum si vous avez soif, je crois que vous n'êtes plus à gramme près mais à rien d'autre. De toute façon votre marché, que je n'accepte pas, précisa Amelia dans un regard noir, est caduc. Dans aucun cas le marché ne m'apporte ce que je souhaite. Je ne veux pas de vous comme esclave, enfin ! Ni manuel et encore moins sexuel ! Vous ne savez même pas pâtisser, à quoi vous pourriez manuellement me servir ? J'ai déjà une salariée, Cassie, bien payée, plus jeune, plus jolie et célibataire. Et on fonctionne très bien comme ça, je n'ai pas besoin de vous, Monsieur Sparrow. Encore moins de votre gâteau. Et encore, encore moins de votre âme. Tenez, vous voulez un gâteau ? Je vous en donne un, je garde la bourse, j'appelle l'assurance et basta.
En fin de compte, ça valait mieux qu'un Jack Sparrow barricadé dans l'arrière boutique.
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