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 Apocalypticodramatique [Tortue Amazonienne]

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________________________________________ 2018-12-20, 16:19


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« Monsieur le Maire, je vous dépose ici ? »


Michel-Ange observa son chauffeur d’un air surpris. Il avait encore du mal. Même s’il n’était pas encore en fonction, il était le Maire-Elu, c’était un passage important dans la vie d’un Maire. Observant son chauffeur, il hocha simplement la tête.

« Oui, merci Marcel. Revenez me chercher demain matin, pas avant ! »


Sortant avec classe dans son nouveau super manteau de la mort impeccable, Michel-Ange manqua la marche et s’étala dans la rue. Marcel sortit alors en courant, et dans tous ses états déclara à voix haute :

« On a failli perdre le Maire ! Vous allez bien ? »


S’ébrouant, il se massa la cuisse. Grommelant des remerciements, il regarda le chauffeur partir, puis dés qu’il fut au coin de la rue, il retira son manteau, sa chemise et sa veste pour remettre un t-shirt qu’il avait emporté dans son sac. S’étirant pour être beaucoup plus à l’aise, Michel-Ange se dirigea vers le hall. Rien n’avait changé ici, et pourtant cela faisait longtemps qu’il n’y avait pas mis les pieds. Depuis son élection, il avait passé son temps avec ses frères à la pizzeria, prenant conscience qu’il en aurait certainement moins. C’était maintenant au tour de ses colocataires d’en faire les frais. Armé d’un énorme pack de bière, il était prêt à rejoindre Théodore et Eulalie pour lancer un « True American » surprise. Même si Eulalie ne subissait pas l’alcool, elle était assez naïve pour se tromper. Arrivant dans l’ascenseur, il tourna ensuite vers la porte de son appartement. Devant cette dernière, un lézard bizarre attendait, comme pour rentrer. Il était donc encore ici, malgré sa dernière colère. S’accroupissant, Michel-Ange approcha sa tête de Godzilla avec prudence.

« Tu es vraiment téméraire toi tu sais ? »


Ricanant, il se redressa et ouvrit la porte. Tendant l’oreille, il entendit du bruit dans la chambre d’Eulalie. Peut être que Balthazar et elle était encore en train de faire des CHOSES. Fronçant les sourcils à cette idée, il se dirigea vers le frigo machinalement et mit les bières au frigo.

« PAPA EST RENTRE LES ENFANTS ! »


C’était le signal pour faire la fête. Mais personne ne vint. Peut être qu’elle boudait. Tendant son autre oreille, il remarqua que Théo n’était pas là. Parfait, il avait une idée. S’ouvrant une bière, il se dirigea vers le canapé et s’y étala en allumant la télé. Que c’était bon de pouvoir glander…

Alors que le nouveau Maire de Storybrooke n’est pas encore en fonction, certaines phrases n’ont pas échappé à nous autre journaliste. Pour une Ville propre sousentendrait donc que nous sommes sale ? La répon…


Mais Michel-Ange coupa la télé. Il n’avait pas spécialement envie d’entendre parler Mairie ce soir. Tenant toujours sa bière, sa tête se tourna aussi vite qu’un suricate vers la chambre d’Eulalie.

« J’AI DIT : PAPA EST RENTRE ! »


Toujours rien. Elle devait bouder. Il devait avoir raté quelques trucs. Est-ce qu’elle boudait parce qu’il ne lui avait pas parlé de se présenter à la Mairie, ou parce qu’il ne lui avait pas parlé de Honey. Eulalie n’était pas dupe. Elle avait certainement vu les images à la télévision. Son regard envers elle n’avait rien d’anodin et elle avait du le voir. C’était même sûrement pour ça qu’elle boudait.

« MOI QUI PENSAIT POUVOIR RACONTER DES SECRETS A MA MEILLEURE AMIE DE TOUTE MA MAIGRE VIE EN CARESSANT GODZILLA QUE J’AI ENFIN DECIDE D’ADOPTER A LA MAISON. J’EN SUIS D’AILLEURS TELLEMENT FAN QUE JE COMPTAIS LUI OFFRIR UN COPAIN POUR NOEL. GENRE UN CHIOT OU UN BEBE LOUP, J’HESITE ENCORE. »


Cette fois-ci et sans surprise, la porte s’ouvrit à la volée.


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________________________________________ 2018-12-25, 16:08


tu m'aimes plus c'est ça ?
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L'ennui que je subissais depuis plusieurs semaines commençait à me rendre folle. Pas littéralement, mais presque. J'avais testé des dizaines d'activités différentes sans qu'aucune ne me contente complètement. Le tricot avait mit ma patience à rude épreuve et je n'avais réussi qu'à créer l'équivalent d'une moitié de bonnet difforme pour Godzilla Junior. J'avais involontairement assassiné toute la famille de Sims dont j'avais mis des heures à créer une maison gigantesque dans un incendie, puisque j'avais oublié d'y mettre l'alarme. J'avais bien tenté de m'occuper en jouant du piano, avant d'en être lassée, puis en enchaînant les toiles de peinture, jusqu'à ne plus réussir à faire quoi que ce soit de correct... Mon dernier recours avait été, encore une fois, de dévaliser quelques magasins. Et j'avais au moins trouvé de quoi me divertir pendant une journée en m'y rendant.

« Eulalie, 134 points. Surt, zéro. » prononçais-je mollement, attrapant un BN dans le paquet que je gardais près de moi.

En cette période de fin d'année, les rayons de jouets du centre commercial était rempli de babioles diverses aux thématiques différentes. L'une d'elle m'avait instinctivement attirée... et énervée. Toute une allée avait été remplie par des produits dérivés Star Wars. Si j'appréciais les lego (et que je m'étais d'ailleurs procurée la réplique de Poudlard qui n'avait pas bougé de sa boîte depuis deux semaines) ou encore les peluches, je ne supportais pas cet étalage de représentations de Surt excessif et incompréhensible. Certes il ne s'agissait pas vraiment de lui mais d'un monsieur Ren, je crois, je ne m'étais pas intéressée aux derniers films de la saga. Mais il était la copie presque conforme du Guerrier que j'avais en horreur. Alors, j'avais subtilisé l'une des silhouettes cartonnées qu'ils s'étaient amusés à afficher pour la ramener à notre appartement et me défouler en toute tranquillité.

Sa tête penchait un peu sur le côté, le carton étant abîmé par les nombreuses fléchettes (134, pour être exact) que j'avais envoyé se planter dedans. Il ne tiendrait plus très longtemps si je continuais de m'acharner dessus à ce rythme, mais je retirais une certaine satisfaction à déverser ma haine envers cet individu d'une façon aussi puérile. Je ne répondis même pas aux appels de Michel-Ange qui avait daigné rentrer à alors qu'il ne se montrait presque plus dernièrement. Au moins, il n'était pas spectateur de ma déchéance actuelle et ne pouvait pas se moquer de ma faiblesse prononcée avec cette pieuvre logeant toujours dans ma tête. Mais, en tant que meilleur ami, il savait très bien quels mots prononcer pour m'attirer.

« Tu l'aimes vraiment c'est vrai ? » l'interrogeais-je, ma tête dépassant légèrement de l'embrasure de la porte de la ma chambre.

Godzilla avait été accepté sans difficulté par Théodore, mais Michel-Ange avait été bien moins convaincu par ce nouveau colocataire. Pourtant je l'adorais toujours autant, je ne cherchais pas à le remplacer, seulement à avoir une présence supplémentaire en l'absence de mes amis.

« Et on peut vraiment avoir un bébé loup ? »

J'avais fais un pas vers la cuisine, croisant mes bras en le dévisageant avec méfiance. Je ne le croyais absolument pas. Ce n'était qu'une technique pour m'amadouer et faire en sorte que je cesse de l'ignorer. Et ça fonctionnait à merveille. Je soupirais avant de le rejoindre sur le canapé et me penchais juste assez vers lui pour lui prendre sa bière avant d'en boire plusieurs gorgées.

« Je n'aurai pas le temps de m'occuper d'un loup en plus de Cléo et de Godzilla. Je vais me trouver un travail. » estimais-je alors soudainement, sans pour autant lui rendre sa bouteille. « Je retournerai peut-être à la police, l'année prochaine. Ou je ferai un tour du monde. De toute façon comme tu comptes prendre la place d'Hadès, tu ne sera plus jamais là, tu t'en fichera si je pars loin. »

Je ne comprenais pas vraiment ce qu'il faisait dernièrement, j'avais juste remarqué des affiches dans les rues, entendu des slogans et vu aux informations qu'une campagne était en cours pour une place à la Mairie. J'avais finis par comprendre que les gens n'avaient plus envie du dieu des Enfers comme maire, ou alors que c'était supposé changer tous les ans, je n'étais plus très sûre. Peu importait, je savais au moins que Michel-Ange essayait d'avoir le poste.

« Puis... tu t'en fiches déjà, tu es trop occupé. »

Je ne doutais pas qu'il avait été inquiet quand j'avais disparue sur Magrathéa, évidemment, mais je sentais que je perdais de son attention. Ce n'était pas vexant ni blessant, seulement perturbant. Je n'avais jamais eu à... partager Michel-Ange qu'avec Figue, et tout était très différent quand elle était encore là.

« Comment elle s'appelle ? »

Je marmonnais et m'enfonçais dans le canapé, gardant mes yeux baissés vers mon pyjama. J'avais remarqué qu'il était souvent en compagnie d'une jeune femme blonde en fauteuil. Il ne me l'avait pas présenté et je supposais que c'était parce qu'il voulait prendre son temps. Et si il voulait prendre son temps, c'était que ça avait de l'importance. Mais si c'était important, il aurait dû m'en parler avant, non ?

« Je veux tout savoir. » poursuivais-je, relevant ma tête vers lui et plantant mon regard dans le sien. « Ou pas tout, mais je veux en savoir le plus possible. »

Je préférais quand même qu'il évite les détails gênants si il y en avait.
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________________________________________ 2018-12-27, 10:20


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Tournant la tête avec la vivacité d’un rapace, ses petits yeux se plissèrent quand il vit ceux d’Eulalie dépasser de l’embrasure de la porte. Le poisson mordait si facilement à hameçon. Ricanant en buvant une gorgée de bière, il la laissa s’installer. Les pieds tendus vers la table basse, il zappa sur un téléfilm de Noël ou un petit garçon avait été oublié par ses parents. Fronçant les sourcils, et entendant qu’à moitié la télé gueulait « ON A OUBLIE KEVIN », Michel-Ange ricana un peu et finit par répondre :

« Non, le bébé loup, c’était une blague. On peut pas, c’est un animal sauvage. Mais un chiot, on peut. Genre un Husky. C’est comme un Loup, mais en un peu plus bête, et en moins sauvage. Hmmm, mais je sais pas si c’est une bonne idée. Le niveau de maturité de cet appartement n’est pas encore assez haut. »


Tendant sa main vers le mur du fond, il montra du doigt son « échelle de maturité » qu’il avait mise en place pour essayer de tirer cette coloc vers le haut. On était encore sur le niveau de maturité le plus bas, à savoir « Personne ne range l’appartement car le bien commun est à tous le monde et à personne à la fois. », juste au dessus, on pouvait lire « trouver un travail qu’on aime », « aider son prochain sans contrepartie » et tout en haut « Fonder une famille en tant qu’homme ou femme responsable ». Se grattant les quelques poils qui poussaient, il les montra à Eulalie.

« Tu as vu ? J’ai de la barbe. Je suis super mature. »


En fait, il n’avait que quelques poils ça et là. Mais lui, considérait ça comme une vraie barbe. D’ailleurs, c’était une vraie barbe. Observant instinctivement les cuisses et les fesses d’Eulalie quand elle s’assit à côté de lui, il détourna le regard super vite. Convoité même inconsciemment sa coloctatrice et amie, c’était très très mal. Lui balançant un plaid, il déclara d’un ton autoritaire.

« Mets un bas ! Est-ce que je balade en caleçon dans l’appartement ? NON. Y’a des règles à respecter ici… Et celle là en fait parti. »


Un, c’était pas vrai, la veille il s’était fait un smootie en slip kangourou. Deux, il désigna les règles dont la moitié avait été mangé par Godzilla Junior. « Ne pas toucher aux jouets de Théo » était devenu « Jouets à toucher Théo ». Qui avait fait ça ?

« Bien sûr que non, je ne m’en fiche pas. Et tu le sais très bien. Tout ce que tu veux, c’est que je dise que je tienne à toi et que jamais je t’abandonnerai. Voilà, je te le dis : je tiens beaucoup à toi et jamais je ne t’abandonnerai. Tu veux un mars ? »


Il avait trouvé deux mars à l’intérieur du canapé. Et comme il était partageur, Michel-Ange lui en avait tendu un d’un air détendu.

« Elle s’appelle Honey Lemon. Et oui, je crois que je suis amoureux. Mais tu vois, genre vraiment amoureux, pas comme avec les autres. C’est très bizarre, j’avais pas ressenti avant pour quelqu’un… Je crois d’ailleurs que c’est réciproque. Mais comme j’ai trop la trouille de me viander, ben j’ose pas faire le grand saut. Comment tu la su toi ? Quand tu es tombé amoureux de la Gravouille ? Que c’était lui que tu voulais et pas un autre ? »

Déballant le Mars, Godzilla Junior était immobile à côté de lui, sur l’accoudoir du canapé. Fronçant les sourcils, un duel de regard s’engagea. S’il comptait lui voler, cette histoire se terminerait dans le sang et la douleur.

« Tu bois de la bière toi maintenant ? D’ailleurs, tu me fais des reproches sur le fait que je me suis présenté à la mairie. Mais t’étais où toi pendant tout ce temps ? On a fait que se croiser. Et pour que ce genre de truc arrive, faut que les deux personnes soient super occupé ! Alors me fait pas de reproche sur des trucs dont tu es responsable. C’est aussi écrit dans les règles. »


Désignant le panneau en carton au fond de l’appartement, on pouvait effectivement y lire :

« Ne pas faire de reproche si l’autre n’est pas responsable. » juste en dessous de « Basile doit porter des chaussettes sinon il put des pieds. » et juste au dessus de « Apollon est le meilleur du monde. »
Tiens ? Qui avait rajouté ça ? Il ne reconnaissait pas du tout cette écriture parfaitement calligraphiée...


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________________________________________ 2018-12-30, 13:02


tu m'aimes plus c'est ça ?
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J'avais failli m'étouffer avec le mars que j'étais en train de manger et je faisais de mon mieux pour rester totalement impassible. C'était très gentil de sa part de me l'avoir offert et d'avoir dit toutes ces jolies choses, mais j'aimais beaucoup moins le reste de la tournure de cette conversation. Je m'étais enroulée dans le plaid qu'il m'avait donné, même si je considérais que j'étais correctement habillée. J'avais un peu froid cela dit, je risquais d'attraper la grippe si je ne faisais pas attention. Ou peut-être quelque chose d'encore pire. Mieux valait que je sois prudente.

« Je dois vérifier quelque chose. » annonçais-je en me penchant dans sa direction, ignorant volontairement toutes ses questions.

J'avais posé la bière sur la table basse pour attraper son visage d'une main et le forcer à le tourner vers moi. Mon regard planté dans le sien, je m'appliquais lentement à caresser l'une de ses joues, avant de faire de même avec l'autre.

« Hum. » lâchais-je avec une moue incertaine. « Ce n'est pas aussi... doux. Tu devrais mieux l'entretenir. »

Je me reculais finalement et récupérais la bouteille avant de m'enfoncer dans le fond du canapé. Si le niveau de maturité était à calculer en fonction de la pilosité faciale, le sien n'était pas encore très élevé. Il aurait dû demander des conseils à Balthazar. C'était son métier, après tout. Il était doué pour ça. C'était bien plus agréable de toucher son visage à lui. Je secouais la tête et enchaînais plusieurs gorgées de la boisson que je tenais pour ne pas y penser.

« Ce n'est pas comparable. » marmonnais-je en resserrant le plaid contre moi. « Balthazar est le premier humain que j'ai vraiment... connu. J'y suis liée, d'une certaine façon, et ce sera toujours le cas. C'est de l'attachement. Et c'est compliqué. Je dirais que tu dois suivre ton instinct. Mais je ne pense pas être la mieux placée concernant les sentiments, je ne les comprends pas encore très bien. »

Je préférais ne pas commencer de débat quant au fait que je n'étais pas ''amoureuse''. Je le saurai si c'était le cas. Théodore aussi l'insinuait parfois alors que Deborah utilisait le terme d'addiction, ce qui était très différent... Je n'avais pas envie de m'interroger maintenant. J'allais finir par avoir une migraine.

« Honey, c'est joli. C'est estival. Est-ce qu'elle aime les abeilles ? » l'interrogeais-je en penchant ma tête dans sa direction.

C'était important d'apprécier les animaux de mon point de vue, surtout cette espèce vitale pour la planète. Et puis c'était en rapport avec le miel. Ce serait logique qu'elle les adore. Tout comme il paraissait évident qu'entre un fraisier et une tarte aux citrons, elle choisirait la tarte. Sinon elle ne porterait pas un tel nom.

« Quand est-ce que tu me la présentes ? »

J'étais obligée de poser cette question. Parce que c'était important que je la vois pour me faire mon propre avis à son sujet, étant donné que Michel-Ange s'entourait parfois de mauvaises personnes sans s'en rendre compte. C'était mon rôle de le protéger.

« On devrait peut-être attendre un petit peu. Je ne suis pas au meilleur de ma forme ces derniers temps. » précisais-je malgré tout en me pinçant les lèvres. « Après les fêtes, ce sera très bien. »

Ce n'était qu'une mesure de sécurité. J'imaginais que cette jeune femme n'était pas dangereuse mais qu'il était préférable que je sois en pleine possession de mes capacités avant de me lancer dans de nouvelles rencontres. Ce ne serait pas me présenter sous mon meilleur jour que de me montrer ainsi.

« Je suis... je pense qu'on peut dire que je suis en hibernation temporaire. »

C'était une bonne manière de présenter les choses. Et c'était comme les ours. J'aimais beaucoup les ours. Pas autant que les poissons ou les lézards, mais ils étaient haut dans le classement. Il allait penser que c'était un ''truc d'amazone'', certainement, c'était très bien comme ça.

« C'est à cause de Magrathéa. Pas la fille, la planète. Ou les deux peut-être. »

Est-ce que je lui en avais déjà parlé ? Oui, j'avais rapidement évoqué les aliens même si je ne m'étais pas étalée sur l'effet de l'anneau sur ma personne pour qu'il ne se moque pas. J'avais surtout peur qu'il me juge ou me voit comme une incapable, en réalité. Je n'étais cependant pas certaine d'avoir déjà évoqué Gretta. Rapidement, sans doute. Ce n'était pas important.
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________________________________________ 2019-01-01, 11:57


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Sursautant quand elle lui caressa la joue, il hésita à lui tordre le poignée dans une prise de judo pour l’envoyer sur la table basse et commencer une petite bagarre. Mais ayant un peu mûri, il se contenta de se retirer comme un suricate et de la regarder d’un air mauvais :

« Tu rigoles là ? Je suis l’homme le plus beau du monde, et cette barbe est un don de la nature. »


Relevant les narines en signe de prétention, il tourna la tête. Finalement, le petit boudage cessa quand la conversation devint intéressante. C’était la première fois qu’ils parlaient de Balthazar sérieusement. Michel-Ange était passé par toutes les étapes. La colère, le déni, le mépris mais maintenant, il était dans l’acceptation. Hochant la tête, la tortue fit un signe négatif.

« Tu te débrouilles très bien. Tu évolues même plutôt bien je dirai. Ouais, votre relation est un peu compliqué. Même moi qui ait plusieurs années, je comprends pas toujours tout. En fait, je pense que c’est lui qui est compliqué. C’est lui qui rend toujours tout complexe en fait. Toi tu es bien plus simple que ça. Un plaid, un mars, une bière et un ami peuvent te suffire ! Que dis-je, un ami. Ton MEILLEUR ami. Ton unique ami même. »


C’était pas vrai, et heureusement que Théo n’était pas là. Mais il aimait bien l’avoir pour lui tout seul. Ricanant un peu il tourna sa tête vers elle et répondit d’un air détaché.

« Hmmm, j’avais jamais remarqué. Je pensais que c’était un prénom courant. Je lui ai jamais posé la question. Mon dieu, elle va me considérer comme un idiot. D’ailleurs, elle est super intelligente, j’ai l’impression d’être un babouin à côté d’elle qui fait des grimaces. Je sais pas si elle me gardera longtemps, étant donné qu’elle est toujours entouré de personnes bien plus intelligentes que moi. Pourtant je lis pour palier ce défaut tu vois. Enfin, je commence les livres. Le dernier a servi à caler mon lit, il était bancale. Après les fêtes ? Qu’est ce que t’as ? T’as une diarrhée ? On peut avoir la diarrhée quand on est une amazone ? C’est bizarre ça.  Faut faire attention à ce que tu manges aussi... »

Terminant sa bière, il la posa sur la table basse, mais elle tomba au milieu des autres déchets. Mais bon sang, qui nettoyait cet appartement ? Fronçant les sourcils, il voulut la ramasser, mais son bras s’arrêta à mi chemin et finalement, il se gratta le bide de feignantise.

« Trop loin… Margarita ? C’est ni une fille ni une planète. C’est un cocktail. Tu m’étonnes que tu es la diarrhée avec ça… Si tu en abuses trop, ça te comprime l’intestin. Une fois, même avec le mutagène, Raphaël et moi on en a tellement bu qu’on a été obligé de porter des protections Nanas pour assurer les livraisons du lendemain. Je te raconte pas ce qu’on s’était envoyé dans le cornet. Ca doit être pareil pour toi. Mais attend, t’es malade ? C’est peut être ça le problème ? Dans Dragon Ball, même si Sangoku est l’être le plus puissants des univers, il tombe malade à cause d’un virus. J’espère que c’est pas ton cas. »

Et, sans crier garde, ou même se permettre de lui demander l’autorisation, Michel-Ange lui posa la main sur le front. Puis, il lui saisit le poignet pour lui prendre le pouls. Finalement, il hocha la tête de droite à gauche et déclara d’un air professionnel.

[b]« Je ne sais pas prendre la température et le pouls, mais je dirai que c’est normal. Je demanderai à Honey. Peut être qu’elle sait un truc sur les amazones et les margaritas. C’est peut être ta kryptonite… C’est bizarre ça. Être née pour détruire un truc super puissant et finalement devenir faible face à une Margarita. Hm… Ton secret est bien gardé avec moi. Il n’y aura pas de margarita dans cet appartement, foi de Michmich ! »[/b]

Et, pour appuyer ses dire dans ce dialogue de sourd, il lui tapota l’épaule d’un air compatissant. Ces foutus cocktails étaient dévastateurs pour tout le monde de toute façon. La dernière fois, il avait essayé la Pina colada et il avait fini tout nu à faire l’hélico-zizi.


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________________________________________ 2019-01-05, 16:06


tu m'aimes plus c'est ça ?
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Il se trompait. Il n'était pas mon ''unique'' ami. Il était peut-être le meilleur, puisque celui que je connaissais depuis le plus longtemps, et celui dont je me sentais le plus proche à l'évidence. Mais dire qu'il était le seul était exagéré. Je savais qu'il ne le pensait pas littéralement, que ce n'était qu'une façon de parler, du moins je l'espérais sinon cela signifiait qu'il considérait que toutes les autres personnes de mon entourage ne valaient rien et ça n'aurait pas été très... gentil, venant de lui. Je m'interrogeais encore beaucoup trop, j'en avais conscience. Pour une simple tournure de phrase, j'étais capable de me poser des centaines de questions inutiles. Je m'épuisais.

« Tu ne ressembles pas du tout à un babouin. J'en ai déjà vu au zoo et tu es plus joli qu'eux, c'est un fait. » tentais-je maladroitement de le rassurer.

Je trouvais la comparaison qu'il faisait de lui-même avec cette espèce injustifiée et je jugeais nécessaire de le faire remarquer. Après tout, je supposais aussi que si elle avait ''choisit'' Michel-Ange, c'était que cette Honey n'avait rien d'une zoophile. J'avais vu un reportage à ce sujet. Tard, la nuit, comme je ne dormais pas. J'avais rapidement décidé de me contenter de regarder un dvd plutôt que de zapper les chaînes à la télévision. A certaines heures où peu de personnes étaient encore éveillées pour regarder ce qui était diffusé, on pouvait tomber sur des choses beaucoup trop dérangeantes et presque effrayantes.

J'allais me permettre de lui proposer de lui lire tous les livres que j'avais moi-même dans ma collection pour l'aider, mais le sujet dévia purement et simplement lorsqu'il émit ses propres suppositions sur mon état. La bouche ouverte, choquée qu'il puisse juger ainsi mon alimentation, je l'écoutais parler de cocktails, d'intestin et de protections sans vraiment comprendre où il venait en venir. Oui, il pouvait être question de boissons à Magrathéa, mais j'en étais restée le plus éloignée possible ! Je savais que ce n'était pas une bonne chose de les consommer. Je n'avais pas été écervelée au point d'en abuser ou même de m'en approcher.

« Je n'ai pas de virus. » marmonnais-je tout en me renfrognant.

Je n'étais pas assez rapide cependant pour l'empêcher de commencer à m'examiner à sa manière. Je savais qu'il n'avait aucune connaissance en médecine, à moins que cela fasse aussi partie des choses qu'il me cachait. Mais il confirma de lui-même qu'il n'avait aucune idée de ce qu'il était en train de faire. C'était assez plaisant, en réalité, qu'il s'inquiète aussi au sujet de ma santé. Sauf que c'était tout aussi dégradant. Je n'étais pas supposée être sujette à la moindre faiblesse physique. Cette conversation ne devrait même pas avoir lieu. Et il n'avait pas le droit de se permettre de tels propos.

« Je ne suis pas faible ! » m'emportais-je alors en me redressant du canapé.

Je lui offrais mon expression la plus contrariée. A défaut de pouvoir le mettre à terre pour lui prouver mes dires, je m'étais débarrassée du plaid pour le lancer dans sa direction. J'en fis de même avec le premier coussin qui se présenta à moi et, sans doute un peu trop sur les nerfs, j'attrapais la bière sur la table et la fit s'écraser au sol dans un bruit de verre brisé. Je restais figée quelques secondes à en observer les morceaux éparpillés avant de m'éloigner de deux pas, craignant soudainement de m'y blesser.

« Ne redis jamais ça. » articulais-je alors, complètement irritée, en relevant ma tête vers lui.

Je croisais les bras, adoptant une position qui laissait transparaître toute ma contrariété.

« Ce n'est pas les margarita le problème. C'est une pieuvre. » soupirais-je finalement en secouant la tête. « Même si je suis sensible à l'alcool en ce moment, à cause d'elle justement, je n'en consomme pas au point que ce soit problématique. Je suis extrêmement prudente. »

C'était assez étrange d'ailleurs, de ressentir les faibles effets que pouvaient procurer quelques verres alors que j'y étais habituellement insensible. Ce n'était pas le pire cependant. Je préférais cela aux éternuments que j'avais subi après être restée trop longtemps dans le froid. Ou au fait de somnoler lorsque je restais trop longtemps active et éveillée.

« Mais tu ne mérites même pas que je te raconte tout ça ! » poursuivais-je, sur le ton du reproche. « Ce n'est que passager. Ça ne va pas durer. D'ici la fin du mois, elle va partir d'elle-même et je récupérerai toutes mes capacités. Je dois juste faire attention à ce qu'il ne m'arrive rien de grave d'ici-là. Ce n'est pas pour ça que je suis faible ! »

Je détestais déjà être dans cet état. Que quelqu'un pour qui j'avais tant d'affection prononce donc avec tant de simplicité ces mots que je ne ne supportais pas me faisait m'énerver plus que de raison. C'était bien pour ça que je restais vague. Je n'avais pas envie d'être confrontée à mes limites. Et ma fierté en prenait un trop grand coup.

« Tu regrettera d'avoir dit ça quand je pourrai de nouveau te mettre à terre en moins de deux secondes. » grommelais-je en replaçant une mèche de mes cheveux d'un geste supposé me redonner de la contenance.

Je lui faisais au moins confiance pour n'en parler à personne. Il savait garder un secret... quand il était sobre du moins. Et il ne connaissait pas Elliot personnellement. Il ne risquait pas d'aller lui donner une telle information dont le dieu se servirait pour me ridiculiser. Quoi que Sandman devait déjà être au courant, non ? Ou tout le monde s'était mit d'accord pour ne pas envenimer la situation en le prévenant. La famille divine n'avait pas besoin de telles perturbations.

« Mais c'est pour ça que c'est mieux d'attendre... Je ne suis pas dans mon état normal et c'est préférable que cette Honey ne me voit comme ça. » énonçais-je enfin en baissant les yeux vers le sol.

J'aurai eu trop honte. La force ne faisait peut-être pas tout mais il s'agissait d'une part importante de ma personne. Je la voyais comme l'une des bases de ma création en réalité. Je n'étais pas... complète, lorsque j'en étais dénuée.

« Est-ce que tu trouves que j'ai grossi ? » le questionnais-je alors en me plaçant de profil, la tête penchée sur le côté.

Mon expression agacée se changea peu à peu en effarement alors que je posais ma main sur mon ventre, sous mon débardeur.

« Je ne change pas normalement. Peu importe ce que je mange. Mais tu as peut-être raison... Je devrai fais attention. Comment je vais faire si je prends du poids et qu'après je ne peux pas le perdre ? »

Ma colère était souvent suivie par l'angoisse dernièrement. Je passais d'une émotion à l'autre sans pouvoir le contrôler. C'était extrêmement perturbant et Basile disait que ça donnait l'impression que j'avais des problèmes d'hormones. Il mettait ça sur le compte de mon jeune âge et du fait que j'avais dû copier le comportement excessif du Gardien d'Olympe à force de trop le côtoyer pendant mes premières semaines de vie.

« Peut-être que je vais même avoir des rides. » me plaignais-je en posant sur lui un regard suppliant.

Ce n'était définitivement pas le meilleur moment pour me présenter à celle qu'il prétendait aimer. Qu'est-ce qu'elle penserait de moi en me voyant comme ça ?
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________________________________________ 2019-01-09, 09:54


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Michel-Ange sursauta quand elle s’était mise à crier qu’elle n’était pas faible. Il faut dire que ça n’arrivait pas souvent qu’elle se mette dans cet état là face à lui. Aussi, il glissa légèrement et sans discrétion à l’opposé du canapé, l’observant avec un certain niveau de dangerosité dans le regard. Ecoutant cependant tout ce qu’elle avait à dire, sa rancoeur envers elle pour s’être fâchée diminua. C’était donc ça le problème! Elle avait encore eu un problème divin ! Soupirant, Michel-Ange reglissa vers sa place d’origine et répondit d’un ton confiant :

« Oui. Tu pourras me mettre par terre autant de fois que tu veux. Par contre, jusqu’à ce que tout redevienne à la normale, tu es sous ma protection ! C’est moins bien que Basile, mais c’est déjà ça. Je suis assez balaise pour te protéger, et même me sacrifier pour toi tu vois. »


Il avait dit la dernière phrase sans vraiment trop réfléchir. Mais c’était vrai, de toute façon, alors pourquoi mentir. Michel-Ange avait toujours été entier avec ses amis, et toujours prêt à tout pour eux. Y compris donner sa vie s’il le fallait. Il n’avait pas peur de la mort.

« Mais non t’as pas grossi ! Puis si il existe un truc qui te fait perdre tes pouvoirs, il doit bien exister un « Comme j’aime » divin. Je connais un gars qui a essayé. Il a eu la diarrhée pendant 48h. Tu m’étonnes que tu perdes du poids… Plus sérieusement, le mieux c’est que tu restes ici, ou à Olympe. De toute manière, jusqu’à ma prise de fonction à la Mairie, et même après si c’est pas passé, c’est moi qui m’occupe de toi. »


Lui posant une main sur l’épaule, il osa pas taper trop fort de peur de la blessé. Bah oui, avant, il n’hésitait pas à lui mettre de bonne tatane étant donné sa condition d’amazone. Mais là, il se contenta d’une petite tape d’humain standard. Espérons qu’elle ne le prenne pas mal.

« Tu peux voir Honey comme ça. T’es très bien. C’est pas pour tes capacités que je suis ami avec toi, mais pour ton coeur et ton esprit, banane… Faut que tu arrêtes de tout recentré sur ta puissance, c’est pas normal tu sais. T’es une personne avant d’être une amazone, faudrait que tu te mettes ça dans la tête. »

C’était vrai. A son retour de Neverland, ils avaient eu un discussion rapide sur ce qui s’était passé. Il n’avait pas tout compris, sauf une chose : les Titans considéraient Eulalie comme un truc étrange avec une âme alors qu’elle n’aurait pas du en avoir. Lui, ne voyait que son amie, qui avait un coeur d’or. Haussant un sourcil à cette pensée, il poursuivit :

« Mais arrête un peu ! Tu vas pas avoir de ride ! Et puis, même si t’en as, ça ne fera que faire ressortir ton charme. Tu devrais pas t’en faire pour ce genre de truc tu sais. Quand on a pas conscience de sa propre mort, on fait n’importe quoi. Maintenant tu sais que ça peut arriver, alors agi en conséquence. C’est pas un mal tu sais, au moins tu penseras que si tu n’es plus là, je serai très triste. Alors, tu prendras tes décisions peut être différemment. Retiens bien ça : si un jour tu es à deux doigts d’une mort certaine, tiens au moins le coup pour moi ! Parce que je t’aime comme une véritable sœur. »


Et, cette fois-ci, le coup de poing sur l’épaule partit comme au bon vieux temps. Pour bien lui faire comprendre qu’elle serait toujours la même pour lui. Elle vacilla un peu sous le coup, mais tint bon. Lui faisant un clin d’oeil, il chercha la télécommande quand on sonna. Godzilla Junior tourna la tête , si ça avait été un chien, il aurait forcément aboyé. Se levant, Michel-Ange ouvrit, et la tête de son frère apparut :

« Yo Mich ! C’est toi qui a commandé les deux Pizzas Amazoniennes ? »


Avec un petit regard perfide, Michel-Ange se tourna vers Eulalie, trop content de voir que son plan fonctionnait à merveille. Hier, il avait changé la carte avec ses frères, et il avait insisté pour qu’on y mette une « Pizza Amazonienne » qui regroupait uniquement les ingrédients préférés de l’Amazone.

« Ooooh »
feignit-il  « De nouvelles pizzas sur la nouvelle superbe carte du restaurant ! On dirait que quelqu’un à tellement d’influence sur la vie de l’autre qu’il en créé une pizza entière ! »

Donatello se mit à rire et attendit que Michel-Ange prenne les pizzas.

« Rentre, tu vas bien resté un peu avec nous ! Le service doit être fini ! Puis elle a besoin d’un peu de présence. Deux tortues valent mieux qu’une ! »


Dony n’osa pas trop rentré, mais après tout… C’était le plus timide des quatre, et aussi le plus intelligent. C’est pour ça qu’il s’entendrait si bien avec Honey. Passant la porte, il s’installa dans le fauteuil en face du canapé.

« Ca va ? »
demanda Michel-Ange en donnant la pizza à Eulalie.

« Ca va ca va. Papa est super relou en ce moment depuis qu’il sait que t’as été élu. Il pense que tu vas t’éloigner de la famille. Mais je lui dit que c’est n’importe quoi. Léonard lui, n’a jamais été en mesure de penser par lui même alors il en pense pareil… Raphaël, quand à lui parle de moins en moins, mais c’est parce qu’il veut pas avouer que tu vas lui manquer au restaurant. Tu le connais… Moi je suis fier de toi Mickey ! Je l’ai toujours été de toute façon. »


Michel-Ange rosit un peu en attendant les paroles de son frère et commença à manger sa pizza sans répondre. Dony se tourna alors vers Eulalie :

« Et toi ? Tu fais quoi dans la vie ? Michel-Ange parle beaucoup de toi, et dit que t’es une excellente guerrière ! C’est vrai ça ? Faudra qu’on s’organise un p’tit randori un de ces quatre, surtout avec une jolie fille comme toi... »


La main de Michel-Ange jaillit comme un serpent et se saisit de l’avant bras de son frère à une vitesse ahurissante pour l’oeil nu. Donatello tourna la tête à la même vitesse. Visiblement lui aussi avait activé son mutagène.

« Ne fais pas le relou. C’est ma meilleure amie crétin. Tu l’as drague pas. D’ailleurs, elle a un mec. Moins beau que toi, mais visiblement bien plus intelligent ! Dire qu’on a toujours pensé que t’étais le plus malin. Pas pour la drague visiblement héhé... »


Personne ne faisait du mal à Eulalie. Que ce soit au coeur, au corps ou à l’âme.


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________________________________________ 2019-01-16, 23:10


tu m'aimes plus c'est ça ?
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Ce n'était pas le coup porté à mon épaule, que j'avais encaissé bien plus violemment que d'habitude, qui me figeait sur place alors que j'observais l'échange entre les deux frères. C'était davantage de me remémorer tout ce que Michel-Ange avait pu dire. Je me remettais difficilement de toutes ses déclarations. Je devais avouer être un peu vexée, aussi, qu'il puisse considérer (tout comme Basile) que j'avais en ce moment besoin d'une protection. Ce n'était pas dans ma nature de nécessiter que quelqu'un veille sur moi, du moins physiquement, et je ne me faisais toujours pas à cette position de faiblesse. Cela dit, la perspective que cette histoire soit bientôt loin derrière moi me permettait de prendre un léger recul. C'était plutôt... cette notion de sacrifice, qui me chamboulait légèrement, et... tout le reste. J'en oubliais complètement mes craintes quant aux grammes supplémentaires que je pouvais possiblement avoir prit.

« Tu ferai tout ça... pour moi ? » murmurais-je avec une moue aussi étonnée que touchée, en fixant les deux tortues. « Tu ne dis pas ça juste pour que j'arrête de crier ? »

C'était après tout une méthode dont il aurait pu faire usage. J'étais sensible aux compliments, il en avait pleinement conscience. Etant donné que je m'emportais de manière assez conséquente ces derniers temps, me flatter dans le simple but de me faire taire aurait été un stratagème que je n'aurai pas même pu lui reprocher. J'aurai agi de la même façon à sa place.

Indécise, je baissais les yeux vers la boîte de pizza qu'il m'avait tendu et je la posais sur la table basse. Amazonienne. Elle était à priori faite pour moi, littéralement, et cette attention parmi les autres rajoutait à ma confusion. Notre amitié me paraissait toujours excessive. Pas dans le mauvais sens du terme. Si les problèmes de compréhension était courant entre nous et pouvaient mener à des catastrophes, il savait tout aussi bien se montrer si adorable que je ne savais plus comment je devais le prendre, ou la manière dont je devais réagir.

Alors je fis la première chose qui me passait par l'esprit et, sans m'arrêter au fait que Donatello était également présent, je m'étais rapprochée d'eux pour aller serrer Michel-Ange dans mes bras aussi maladroitement que possible, tandis qu'il était toujours occupé à tenir son frère.

« Merci. » prononçais-je dans un marmonnement indistinct sans parvenir à m'écarter.

Je me sentais bizarre. Ce n'était pourtant pas la première fois qu'il témoignait de son amitié, loin de là, ce malgré tout l'agacement qu'il provoquait parfois et l'horrible façon dont je le traitais de temps à autre. C'était différent pourtant à ce moment précis.

Je me reculais en passant une main sur mes yeux, réalisant qu'ils étaient plus humides que d'habitude. Aussi étonnée que déboussolée, je restais un instant déconcertée avant qu'un hoquet ne m'échappe inconsciemment.

« Je... Je suis... »

Je peinais à trouver mes mots, ou plutôt à parvenir à les prononcer sans que ça n'augmente le rythme de mes sanglots. Quelque peu gênée, je relevais la tête vers Michel-Ange, sans comprendre ce qui m'arrivait.

« Je ne suis pas... pas triste, je... je le jure ! » me justifiais-je prestement.

C'était même l'opposé ! Pourquoi est-ce que j'étais en train de pleurer ? Ça ne se produisait pas souvent. Je me rappelais d'une fois, après avoir rencontré le Clown, la plus marquante encore à ce jour. Et si j'étais toujours étonnamment transparente quant aux émotions qui me traversaient, elles ne s'exprimaient que rarement de façon aussi visible.

Me pinçant les lèvres et plissant le nez, je réalisais que tenter de me retenir n'arrangeait rien. Je sentais un flot timide de larmes couler le long de mes joues, que j'essuyais rapidement à mesure qu'il se répandait. J'étais définitivement trop sensible. Je me rappelais avoir connaissance d'une semaine par mois qui, pour les individus de genre féminin, pouvait être relativement difficile à surmonter émotionnellement parlant. Je n'y étais pas sujette de manière générale, mais peut-être que la pieuvre jouait sur ma perception de... tout ?

« Pardon, je suis désolée, je n'arrive pas... pas à m'arrêter. »

J'étais parvenue à prendre place sur le canapé, me calant mollement à l'une des extrémités en ramenant le plaid vers moi pour m'en couvrir. Reniflant timidement, je fuyais leur regard tout en prenant une part de ma pizza pour me donner contenance.

« Merci. Pour la pi... la pi... » commençais-je, ma voix entrecoupée par mes pleurs, avant de finir par laisser tomber.

Ils avaient certainement comprit que je les remerciais pour la nourriture et je m'appliquais maintenant à manger aussi rapidement que je le pouvais la part que je tenais dans mes mains. L'idée de régime qui avait pu me traverser à un moment était loin derrière moi maintenant.

« Je n'ai pas de... mec. Et si l'allusion... si l'allusion concernait Balthazar, il est extrêmement attirant. Mais nous n'avons pas les mêmes critères avec Michel-Ange, je crois. Il préfère les blondes. »

Pourquoi est-ce que je racontais tout ça ? Je tentais de parler d'autre chose pour tenter de canaliser mon émotion, de l'étouffer. Faire la conversation, même si je parlais de façon discontinu et trop inhabile, restait une bonne tentative.

« Mais je veux bien me battre. Plus tard, par contre. Je suis en hibernation en ce moment. C'est compliqué. Je trouverai un travail plus tard. Je dois tenter d'améliorer ma relation avec un bateau aussi. Ça aussi c'est compliqué. Plus que les pizzas, je crois. C'est bien d'être livreur ? Je ne le ferai pas, parce que je voudrais toutes les manger au lieu de les amener aux clients, mais c'est... une bonne situation ? »

Si ma poitrine n'était plus en prise à d'horribles sursauts, des larmes continuaient toujours de m'échapper de temps en temps, entre deux inspirations. Je tentais d'en faire abstraction.

« Travailler avec sa famille, ça doit être agréable. Et personne ne devrait avoir peur pour Michel-Ange, parce qu'il est... Il est très doué et... Il ne laisse jamais tomber les gens qu'il aime. »

… Je repartais de plus belle, Godzilla Junior était venu se poser près de ma tête, certainement dans le but de me rassurer. Les mains tremblantes, je le prenais pour le poser contre moi, caressant ses écailles comme s'il s'agissait d'une fourrure. En vérité, c'était un peu douloureux. Pour une fois, avoir Moustache dans le coin aurait été une bonne chose, il restait plus doux. Même si je préférais mon lézard. De loin.

« Et moi non plus et... J'aime Michel-Ange comme un frère aussi... alors... Il ne craint rien du tout. »

Je me sentais idiote de dire une telle chose, émue aussi, et... énervée, parce qu'en l'état actuel des choses je n'aurai pas pu le défendre en réalité, mais la plupart du temps je restais la plus forte d'entre nous.

« Par extension... tu es un peu mon frère aussi, alors ? » interrogeais-je naïvement Donatello alors que mes yeux brillant se posait sur lui. « J'ai tellement... tellement de chance. »

Mes lèvres frémissaient tandis que je souriais. J'étais trop bien entourée. Que ce soit par eux, par Jules, par Ellie, par Théodore, par Deborah, par tellement de gens... Est-ce que je le méritais au moins ? Je n'avais rien fais pour.

« Honey... Honey aussi aura beaucoup de chance de devenir Madame Turtles. Parce qu'elle va devenir Madame Turtles non ? Un jour... Un jour... Et il y aura plein de bébés Turtles... »

Et j'étais en pleine crise, à n'en pas douter, je n'arrivais plus à me contrôler. Ce n'était peut-être pas à cause de la pieuvre, cela dit. C'était possible que ce soit l'alcool. Ou le mélange de deux.
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________________________________________ 2019-01-24, 12:57


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Donatello et Michel-Ange commencèrent à manger leurs pizzas et eurent la même réactions au même moment. Bouches ouvertes, il se fixèrent puis fixèrent Eulalie. Casser des bouches, c’était pas un problème pour eux. Livrer des pizzas non plus. Mais consoler une fille qui pleure…

« Fais là s’arrêter ! »
dit Dony en levant les bras au ciel paniqué.

« Je sais pas faire ! C’est la première fois qu’elle me fait ça ! »
paniqua Michel-Ange de plus belle.

Posant sa part de pizza et posant son poing sur les genoux, Michel-Ange plissa des yeux, concentré. Il commençait quand même à bien connaître Eulalie. Et il fallait dire qu’elle avait été là pour lui quand il avait été à sa place. Fronçant des sourcils, il chercha une solution. Elle le serra contre lui. Posant sa main dans ses cheveux en guise de câlin, Michel-Ange observa Donatello dans les yeux. Son visage était clairement paniqué, et Donatello leva les mains devant lui en signe de négation, comme s’il ne voulait absolument avoir rien à voir là dedans. Merci du soutiens. Quand elle se consola et tourna la tête, le visage de Michel-Ange redevint parfaitement normal, aussi rapidement qu’un acteur de Broadway.

« Oui. Balthazar est la personne qu’il te faut. »


Tournant la tête, il se mordit la lèvre. Il détestait mentir, mais il n’avait absolument pas envie de rentrer dans ce débat, et que ça se termine à nouveau en mélodrame semblable aux évangiles quand Moïse sépara la mer en deux. Ou Bruce Tout-Puissant séparant la soupe en deux, au choix.

« Je sais pas… Si c’est une bonne… Ou une mauvaise situation... »


Il était clairement paniqué et avançait à l’aveugle. Mais finalement, il répondit comme Michel-Ange aurait pu répondre. Après tout, ils avaient eu la même éducation.

« Mais il faut que tu saches ce qui est le mieux pour toi. Que tu te trouves un travail qui te plaise vraiment. Livreur de pizza, nous ça nous fait rire parce qu’on est sociable et qu’on aime bien discuter avec les clients… Mais si tu parles trop avec... »


Dans le dos d’Eulalie Michel-Ange se mit à battre des ailes pour faire « NON NON NON » avec les bras. Pas sur ce terrain là ! Pas maintenant ! Il ne fallait pas qu’il lui dise qu’elle parlait trop ! Il était complètement fou.

« Ce que veut dire Dony maladroitement, c’est qu’en fait, faut que tu partes de tes centres d’intérêt pour en faire un métier. On a pas trop besoin de travailler ici en fait ; c’est surtout le caractère social que ça procure. La Police ça te branche plus ? »


C’est vrai que depuis le départ de Figue, Eulalie dépérissait un peu. Elle était tout le temps fourrée à Olympe ou chez le barbier, à subir des problèmes qu’elle ne maîtrisait jamais. Il fallait qu’il lui dise.

« J’pense qu’il est temps que tu vives un peu pour toi. Que tu renvoies bouler ceux qui veulent t’imposer des choses… »


Et elle repartit au galop. Pleurant à chaude larme, tremblante. Annonçant qu’elle le considérait comme un frère. Donatello fronça les sourcils et déclara simplement :

« Bien sûr que tu fais parti de la famille. »


Pour la culture japonaise dans laquelle ils avaient été élevé, la famille c’était très important. Clignant des yeux pour le remercier, il passa son bras par dessus l’épaule d’Eulalie et la lui frotta énergiquement.

« Tu veux que je te chante « Warm Kitty Soft Kitty » comme quand Théo est malade ? Je peux faire ça aussi ! Faut vraiment que tu te ressaisisses. Oui. Oui, un jour il y aura plein de bébé Turtles et tu seras leur Marraine, à tous. Ca te va ? »


La prenant dans ses bras, il la serra un peu plus fort. Il détestait deux choses dans la vie, l’abandon, et les gens tristes. Fermant les yeux, il chercha une idée de génie pour la réconforter. Et il la trouva.

« Et si on cherchait un autre coloc ? Quelqu’un a qui on pourrirait la vie tous les jours ? Quelqu’un qu’on aime pas, qui est horrible et qu’on se ferait sentir très très mal ? On se moquerait de lui tout le temps parce qu’il est pas introduit dans notre groupe… Puis on l’accepterait et on en ferait un ami ! C’est un beau projet ! T’as une idée Lalie ? »


« On pourrait prendre Balthazar ! »
beugla Donatello sur de son avis et trop fier de lui.

Comment pouvait-on avoir un QI aussi élevé et être aussi con ?


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________________________________________ 2019-01-31, 19:29


un pour tous
et tous pour Eulalie... comment ça c'est pas ça ?


Je les mettais dans une position délicate. J'en avais parfaitement conscience et pourtant, je n'arrivais pas à m'arrêter. Ça en devenait presque insupportable. On me désignait souvent comme une enfant, ce que je prenais comme un reproche, mais je ne pouvais nier en avoir totalement l'air à cet instant. Malgré tout, le fait d'être dans les bras de Michel-Ange avait quelque chose d'apaisant et de rassurant. C'était sans doute l'une des curieuses et des plus mystérieuses facultés de l'amitié à mes yeux, cette façon dont le simple soutien physique qu'il procurait me suffisait pour regagner un peu de confiance.

Il avait raison. Je devais faire les choses pour moi. J'arrivais à être égoïste pourtant, mais j'éprouvais toujours des difficultés à me détacher des autres. De ce qu'ils pensaient, de ce qu'ils voulaient, de ce qu'ils attendaient. J'étais perdue. Complètement perdue. Tout se passait très bien avant, je n'arrivais pas à comprendre ce qui avait pu changer. J'apprenais. Je grandissais. Ça devait être ça le problème. Parfois je me demandais ce qui aurait été différent si je m'étais contentée de suivre ma tâche de créature sans me mêler au monde. Ça aurait été tellement plus facile. Mais ça n'aurait pas été une vie.

« Non. » marmonnais-je en gardant mon visage contre le torse de Michel-Ange. « Pas Balthazar. »

Dès que je prononçais son nom, mon cœur se serrait d'une étrange façon. Je soupirais et secouais légèrement la tête, mes mains crispées contre mon ami alors que je pivotais juste assez légèrement pour lancer un coup d'oeil à Donatello.

« J'ai déjà habité avec lui et ça ne s'est pas bien passé. Et je ne veux pas... le faire se sentir mal. En plus ils ne se supportent pas avec Michel-Ange. Ça se terminerait en meurtre. »

J'ignorais seulement lequel des deux finiraient par craquer en premier dans une telle configuration. Je supposais que la patience du barbier s'était développée avec le temps mais je savais également que Michel-Ange pouvait la mettre à rude épreuve. D'un autre côté, je me demandais si ce n'était pas moi qui finirait par commettre l'irréparable à force de subir une tension constante telle que celle-ci. Je secouais de nouveau la tête. La question ne se posait même pas, ça ne se produirait jamais. Et c'était très bien ainsi.

« En plus, Théodore n'aime pas particulièrement les gens. Il ne voudrait pas un autre colocataire. »

Je reniflais légèrement tout en restant collée à Michel-Ange. Même si je ne le prononçais pas, je ne voulais pas non plus que l'on modifie la chambre qu'avait occupée Figue pour y loger une autre personne. Je n'aimais pas aborder ce sujet encore sensible, même si le Temps avait permit d'apaiser un peu la douleur et la tristesse que cela avait pu causer.

« On est très bien tous les trois. Ça ne sert à rien de chercher à avoir de nouveaux copains. »

Je n'étais pas stupide au point de penser que ce serait le cas pour toujours. Après tout, j'avais déjà hésité à me rendre à New-York près d'Apple tout en sachant que je ne pourrai pas en être proche pour autant, ou encore j'ignorais si je ne devrais pas me mettre à voyager avec Argos... Rien n'était fixe. Ce ne serait pas ainsi éternellement. Mes amis aussi risquaient un jour de désirer autre chose.

« Tu vas habiter avec Honey ? Dans une autre maison ? » l'interrogeais-je timidement, en me doutant qu'il était peut-être trop tôt pour lui pour me répondre. « Je ne t'en voudrai pas si tu déménages. Tu sera toujours mon meilleur ami même si je ne te vois plus tous les jours. Et je pourrais quand même venir te réveiller tous les dimanche matin avec Godzilla Junior. »

J'anticipais sa potentielle culpabilité. Je n'aimais pas les changements, je devais bien l'admettre. Je savais d'avance que ça me pèserait quand ça se produirait. Mais je ne me leurrais pas pour autant. Il l'aimait, c'était une certitude, et elle comptait à ses yeux. Ce n'était pas pour ça que je ne signifiais plus rien pour lui. C'était différent. J'avais eu du mal jusqu'ici à saisir les nuances de l'attachement, mais c'était de plus en plus clair. Et j'étais sûre que j'adorerai cette Honey si elle avait réussi à le toucher lui.

« Pardon. Je ne voulais pas vous faire peur. » finissais-je par ajouter en me reculant finalement, un sourire désolé sur les lèvres, en passant une main sur mes yeux. « Vous avez tout fait... très bien. Et vous avez raison. Ce n'est pas fait pour moi le contact avec les gens. Je sais que je parle trop. Et que je n'ai pas de patience. »

Ce n'était clairement pas les qualités recuises pour un métier où le relationnel était au centre des échanges. En vérité, je ne me voyais pas faire autre chose que... ce pour quoi j'étais née. J'étais une guerrière, une combattante, j'avais besoin d'action, de mouvements, d'adrénaline. C'est pour ça que je perdais pieds.

« La police... c'est bien. Ils me reprendraient tu crois ? » interrogeais-je Michel-Ange avec une moue indécise. « Maintenant que Robyn... Robyn n'est plus shérif... »

Je sentais les larmes remonter à mes yeux. Ce n'était pas le moment. Je n'étais pas particulièrement proche de la jeune femme mais j'avais eu le temps d'apprendre à la connaître et ses gâteaux étaient les meilleurs que j'avais jamais eu l'occasion de goûter. Sa disparition m'avait fait un choc, à l'évidence. Et je m'en voulais. Et je ne supportais pas l'injustice de sa mort. Je retenais mes sanglots avant de me pincer les lèvres, fuyant les deux jeunes hommes du regard.

« Ce serait une bonne chose. Je suis douée pour protéger les gens. Je pourrai me renseigner. » murmurais-je pour moi-même. « Quand je n'aurai plus... la pieuvre dans ma tête. »

Pour l'instant, j'étais trop faible, ce n'était pas envisageable. J'éludais la question de la chanson qu'il avait posé plus tôt. J'aimais écouter les gens chanter, mais je n'étais pas tellement fan de cette mélodie concernant les chats. Ma relation avec cette espèce était encore trop conflictuelle pour que j'y trouve du réconfort. A la place, j'avais attrapé une part de pizza que je mangeais bien trop vite pour atténuer mon bouleversement.

« On pourrait sortir ? » demandais-je innocemment, presque gênée d'une telle demande. « Je ne prends pas beaucoup l'air en ce moment. J'ai peur d'attraper la grippe ou de me faire écraser par une voiture. »

Admettre ma faiblesse de la sorte me fit baisser la tête vers mon pyjama.

« Je vais me changer avant évidemment, je ne supporterai pas le froid et la neige comme ça. » énonçais-je distraitement. « Mais si vous êtes avec moi, je ne craindrais rien et ça me ferait du bien... je crois. Je serai plus... en sécurité. »

C'était dérangeant de s'appuyer sur les autres. Je n'aimais pas ça. Et en même temps, je ne pouvais nier que c'était tout autant réconfortant de savoir que je pouvais compter sur eux, pour importe mon état physique ou moral.

black pumpkin
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