« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Brenton Thwaites ♥
Je ne vois pas pourquoi je continue à vous faire confiance... A chaque fois c'est la même chose. Je veux vous aider dans vos expériences et ça me retombe toujours dessus.
| Conte : Danny Phantom/Gravity Falls | Dans le monde des contes, je suis : : Le garçon fantôme.
Partir d'ici, voilà tout ce qui comptait pour lui. Il voulait retourné à Storybrooke parce que étrangement cette ville lui manquait et pourtant.. Bellamy se souvenait très bien d'avoir promis à Sirrus de rentrer pour le soir pour continuer.. Leur séance de sport ? Le dragon savait pertinemment que son ami ne sera plus là à son retour.. Il comprenait il l'avait bien méritait. Il était juste fatigué de courir après quelque chose qu'il n'aura jamais. Bellamy n'était pas un grand battant et passer sa vie à courir après quelque chose de inaccessible le déprimé tout simplement. Il n'était pas fait pour l'amour voilà tout.. Et pourtant..Bellamy afficha un petit sourire en voyant la scène entre le prince Loki et sa promise. Il fallait l'avouer, c'était romantique. Très romantique. Il aimerait se réveiller un matin lui aussi et voir.. Mais attendez ? Il fallait qu'il se reprenne. Ce n'était pas le moment de rêvasser, il devait retourner à Storybrooke avant de poser ses conditions à Sirrus. Le reptile s'apprêtait à prendre le bras de Saoirse pour lui faire comprendre que le temps pressait mais le roi reprit la parole. Parole que Bellamy enregistra parfaitement, parole qui l'agaça complètement. Cela faisait un moment qu'il se retenait de ne pas exploser mais maintenant c'était trop tard. Il crispa sa mâchoire avant de se mettre devant la jeune femme tout en secouant négativement la tête.
« Mais dites donc, vous ne perdez pas le Nord mon gros ! C'est une femme enceinte alors un peu de tenue le chat de gouttière. Elle a sauvé votre fils et l'histoire s'arrête là. Je vais te faire bouffer des biscuits par les fesses tu vas voir ! Ça va te calmer le matou ! » Il s'arrêta juste devant le roi, le regardant de haut. « Je réponds pour elle, c'est un non. »
Le roi fixa alors Bellamy avec de grand yeux tandis qu'un lourd silence s'installa. Bellamy ne perdit pas sa colère pour autant. Il venait peut être de mettre un gros blanc, un gros malaise mais il comptait bien rentrer chez lui et avec Saoirse en plus de cela. Il préférait la voir avec Jay de la baignoire que ce maudit chat dégueulasse qui n'avait aucun respect pour les chats.
« Plait-il ? »
Le conseiller s'avança un peu, prudemment.
« Votre miajesté, je crains qu'il ne vienne de vous remettre à votre plache... »
« Ah.... AH ! » Il sembla atterrir. « Comment chela ?! Voyons, ch'est un excellent compromis ! Vous n'êtes pas obligés de reshter en échange, vous pouvez rentrez chez vous ! Cha dépendra de sha réponshe ! »
« Mais c'est du chantage ! »
De sa réponse ? Mon dieu seigneur, aidez Bellamy à ne pas faire un meurtre parce qu'il était à deux doigts de manger du chat en guise de casse croûte. Il se contenta d'afficher un petit sourire essayant de réfléchir un peu et de ne pas se laissait emporter par la colère. Comme si le dragon allait laisser Sasa derrière lui pour partir de cet endroit, jamais. Il préférait rester avec elle et se transformer en chat à son tour, tant pis. Bell posa alors doucement sa main sur celle de la blonde tout en secouant une nouvelle fois la tête.
« On trouvera une autre solution. Le mariage forcé c'est démodé alors changez un peu de coutume. Laissez nous partir sinon je vous jure que je vous transforme en pâté pour chien. »
Son regard se posa alors sur Loki, le prince. Il détailla le chat qui se trouvait à côté de sa bien aimé. Bellamy afficha un petit sourire avant de se concentrer une nouvelle fois sur le roi.
« L'amour ça ne se commande pas. Ça ne se choisit pas. Il nous tombe dessus. Un peu comme votre fils et Blanche. Suivez l'exemple de votre fils, c'est un type bien !.. Enfin un chat bien. »
Sasa serra fortement la main de Bellamy en le remerciant du regard avec un petit sourire encourageant. Le dragon ne penserait pas un jour que quelqu'un l'encouragerait de cette façon. Il ne pensait pas un jour faire partie des gentils et pourtant le voilà en train de défendre une pauvre femme enceinte qui n'avait rien demandé. Saoirse n'était pas n'importe qui, elle était sa petite sœur en quelque sorte. Le roi ouvrit la bouche mais ce fût Loki qui prit la parole.
« Chela suffit, père. Vous avez fait ashez de dégât comme cha. Laissez-les repartir d'où ils sont venus. »
« Et rendez à mes amis leurs apparence humaine ! »
« Vous êtes bien trop gourmands, après tout che que nous avons fait pour vous... »
Le roi posa une patte sur le cœur faisant clairement sa diva tandis que le conseiller derrière lui leva les yeux aux ciel. Bellamy se retint alors de rire, il semblait avoir trouvé son jumeau en chat. Ce félin avait l'air dépité de suivre les ordres d'un crétin, c'était tout à fait lui à l'époque. Il finit alors par croiser les bras contre son torse tout en tapotant du pied en signe d'agacement profond.
« Vous avez essayés de nous tuer alors je pense que mes amis méritent de retrouver leurs apparences et qu'on mérite de rentrer chez nous. On est.. » Il afficha une petit grimace hésitant encore à dire ce qu'il allait dire mais il n'avait pas le choix. « On est reconnaissant mais ce monde n'est pas le notre. Nous avons besoin de rentrer. »
Il aimerait vraiment que ses paroles changes tout. Qu'ils puissent tous rentrer chez eux et se reposer. Mais non, l'aventure n'était pas encore fini. Un rire brisa le silence et le reptile haussa un sourcils se demandant qui osait se moquer de lui. Il tourna doucement sa tête vers Mucha qui était en train de se bidonner.
« Je ne regrette pas d’être venu ! J’ai toujours adoré les humains qui ont du caractère ! » Il tenta de reprendre un peu contenance. « T'as des bonnes punchlines mon gars... Renaldo Moon est de votre côté les humains ! »
Mucha ne s'appelait pas Mucha en faite ? Bell ne comprenait rien de ce qui était en train de se passer. En tout cas le gros chat blanc semblait fier de dévoiler son identité au grand jour. Il s'était prit pour Irion Man ou quoi ? Le conseiller lui avait l'air surpris et sur le cul.
« Renaldo Moon ?! L’auteur du crime le plus atrohce de l’hishtoire ?! »
Renaldo hocha la tête tandis que Saoirse était complètement paumée, comme Bellamy. Il ne fallait pas dire, cette histoire n'avait aucun sens et le garagiste avait arrêté de réfléchir depuis un moment, il ne fallait pas trop lui en demander.
« Un jour un chat a shurgit de nulle part et a dévoré tous les poissons du lac avant de dishparaître ! Ch’est le plus grand criminel du shiècle !! Ch’est un monshtre ! »
Le conseiller montra alors les murs de la tour effondrée et dessus il y avait une mosaïque qui représentait Mucha en train de manger les fameux poissons du lac. Bellamy se tourna vers le gros chat blanc surpris tandis que le Baron lui semblait plutôt calme.
« Tu m’avais caché ce pashé de brigands… »
« Et maintenant.. ch’est tout le royaume que je vais dévorer ! »
Renaldo hérissa ses poils avant de se placer devant Bellamy et le reste du groupe. Ce n'était pas du cannibalisme ce que Mucha comptait faire ? Il ne comprenait vraiment rie à cette fichue histoire mais elle prenait une tournure plutôt désastreuse. Loki prit rapidement son épée en main et son bataillon fit un mur entre la petite équipe et le roi et sa cour.
« Gardes, emmenez sa miajesté en lieu sûr ! Attrapez che dangereux criminel ! »
La ''guerre'' commença et les yeux de Bellamy zigzaguer un peu partout ne sachant plus ou en donner de la tête. Il ne pensait même plus à l'évasion et pourtant c'était le moment rêvé. Il sentit la main de la jeune femme se poser sur la sienne. Sasa tira Bell vers les escaliers et le reptile comprit que c'était maintenant ou jamais. Il courut rapidement tout en gardant la main de Saoirse dans la sienne.
« J'ai rien compris de ce qu'il vient de se passer mais j'aime encore plus Mucha maintenant ! Enfin.. Renaldo mais je préfère Mucha pour ma part ! »
[U.C]
Jauge de malchance: 72%
Aguistin R. Marban
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Andrew Scott
| Conte : Folklore européen ۩๑ L'étrange Noël de Mr Jack | Dans le monde des contes, je suis : : Le Porte-Parole de Madame La Mort & sa personnification ☘ La muse d'Egdar Allan Poe ☘ Le porteur de poisse ☘
“La jeunesse constitue un extraordinaire élément d'optimisme car elle sent d'instinct que l'adversité n'est que temporaire et qu'une période continue de malchance est tout aussi improbable que le sentier tout droit et étroit de la vertu.” Charlie Chaplin
Aguistin & les Gens & Les Chats
Après que la sourde, qui finalement remonté un peu dans son estime soit venu le chercher, il avait fallu que le roi des cons, qui n’était pas lui, il s’insurgeait contre cette appellation, préférant largement être appelé le roi des emmerdeurs, les aient emmener droit dans un piège. Le roi des cons n’étant rien d’autre que le gros chat dégueulasse qu’il fallait vraiment transformer en carpette. Il n’avait cessé de le dire depuis le début de l’aventure, mais bien entendu on ne l’écoutait pas. Rien qu’en rentrant dans le labyrinthe, il avait du crier une bonne dizaines de fois qu’ils allaient tous mourir et que ce n’était qu’un piège. La vue des murs avaient renforcés son sentiment d’enfermement, et il se serait volontiers cogner la tête contre pour essayer de faire partir ses oreilles affreuses, qu’il n’arrêtait pas de tripoter tout en courant. Il avait applaudi quand Bellamy avait tout cassé, redonnant un infini espoir au pessimiste qu’il était, rigolant et se moquant quand les murs, apeurés s’ouvraient d’eux même. “Ça c’est les créatures de l’ombre ! T’es trop Badaaaas Gros !” Il avait sautillé avant de reprendre la course et de s’arrêter juste derrière Candice qui avait trouvé un chat terrifié et qui s’énervait sur lui. Au lieu de faire comme Saoirse, il l’avait plutôt harrengé encore plus, tous les chats étaient responsable de leurs malheurs. “Mais Whesh ! Si on le prend lui je veux aussi qu’on retrouve Emilien !” Leurs conversations furent coupés par le baron en pleine bataille, qui avait hurler de continuer. Aguistin avait même cru entendre un nique ta mère à la fin de sa phrase. Certes il tenait occupé les soldats mais parler pouvait se faire en toutes circonstances, ce n’était pas de sa faute si Candice avait été attiré par ce petit chat. Finalement, la menace de ne pas se retrouver en haut de la tour les calma tous, reprenant ainsi leur but d’origine. Ils couraient à en perdre haleine, arrivant enfin au lieu dit. Rapidement, ils s’engagèrent à la suite des chats, même si Aguistin ne pouvait s’empêcher de sentir le piège. Diable pourquoi continuaient ils à faire confiance à des chats ? D’accord le Baron les avait aidé, tout comme Mucha, mais quand même … Les marches semblaient immenses mais l’idée de partir de cet endroit était bien plus forte que la fatigue qu’il pouvait ressentir. Il aurait tout le temps de se reposer une fois rentrée vivant. La perspective de retrouver son plaid et surtout Tibérius étaient ses principales motivations depuis que le roi les pourchassaient. Enfin non, depuis le début à vrai dire, depuis que le mur avait essayé de le manger. Et décidément, les matériaux avaient quelque chose contre lui, car, forcément, la tour explosa. Si tomber dans le vide n’était pas un soucis, appréciant la sensation de l’air sur sa peau, lui rappelant avec nostalgie quand il était un oiseau c’est l'atterrissage qui fut plus compliqué, comme d’habitude. Il sentait les pierres écorchait son visage, déchirer les beaux vêtements qu’on lui avait passé ainsi que d’autres parties de sa peau au passage. Heureusement qu’il avait eu l’idée de reprendre sa saccoche aux chats, c’était elle qui avait amorti la chute. Il couina de douleurs en appuyant sur ses bras pour se relever tant ses muscles étaient endoloris. C’était sur qu’il allait être couvert de bleus. Il n’avait pas besoin de se regarder dans une glace pour savoir que son visage était striée de plaies, et qu’il n’y avait pas une partie de son corps qui ne lui faisait pas mal. Levant la tête, il attrapa en grimaçant la main de Saoirse. Se redressant, il essaya de se redonner une forme humaine, vérifiant quand même qu’aucuns de ses os ou de ses organes n’avaient décidé de voir comment était l'atmosphère du monde des chats. Ramassant sa sacoche dans un effort surhumain, il regarda à l’intérieur pour voir là aussi les dégâts. Tout était quasiment cassé, détruit, et les larmes lui montèrent dans les yeux en voyant l’état pitoyable de son téléphone. “Cha race là !”
On ne le laissa pas se remettre de ses émotions que le troupe du chat soleil apparu, presque désolé par ce qui s’était passé. La colère qui rongeait le blondinet était difficile à contenir dans ce tout petit corps, écoutant pour une fois au lieu de parler, sans doute parce qu’il avait bien trop mal pour articuler. Or plus le Roi était mielleux, connaissant ces techniques qu’il utilisait, même quand le fameux chat que Saoirse avait sauvé arriva, la moutarde lui montait vraiment au nez, lui piquant même les yeux. Les sauver ? C’était le pompom … il n’avait même pas le courage d’admettre qu’il était un tyran. Lui au moins, n’avait pas honte quand il disait qu’il trouvait ça drôle de pousser les gens au trépas. Toujours assumer les conséquences de ses gestes. Si Aguistin était un trouble fête, un emmerdeur professionnel, il reconnaissait volontiers quand il faisait quelque chose. Mais c’était sans doute parce qu’il n’avait pas le même prisme et la même notion du bien et du mal que les autres. De plus, il se fichait comme de sa première plume de qui allait épouser qui. Il n’en avait que cure parce que c’était des chats, et qu’il les exécrait encore plus qu’au début, voulant juste partir de là. Alors forcément, à un moment donné, il explosa, s’avançant assez menaçant vers le roi. “Chale bâtard ! On va te courcave ta gueule parche que t’as pas bien compris qui on était WHESH ! JE CHUI L’ANNONCHIATEUR DE LA MORT ! Y A UN DRAGON, UNE CHOURDE COGNEUSE, UN POICHON MORDEUR, UNE SORCHIERE ET UNE PRINCHESSE QUI FAIT DES NENUPHARS ELLE VA T'ÉTOUFFER AVEC !” Sa voix rauque partait dans les aigus et il se serait jeté à nouveau dans le groupe des chats si Bellamy ne l’avait pas arrêté, posant une main sur son épaule. “ET TU LAISSES CHACHA TRANQUILLE S’PECE DE PERVERS ! J’VAIS NIQUER TA MERE TU VAS VOIR !” Cette fois, la pression sur son bras fut plus forte, étant donné qu’elle l’entraîna vers l’arrière et Bellamy prit sa place devant la jeune femme. Toujours énervé, il l’écouta parler de lui mettre des biscuits dans le cul et il approuva grandement, faisant des gestes derrière la blonde. “WHESH JE RESTE PAS ICI TIB M’ATTEND ET QUAND IL VA VOIR CHA IL VA RAYER VOTRE TRUC DE MERDE DE LA CARTE” Il se stoppa quand Loki ordonna à son père de les renvoyer chez eux. Levant un sourcil, Aguistin le regarda intensément avant de tourner rapidement sa tête, dans un craquement. Mucha, s’avéra être un grand criminel. Un grand sourire barra son visage abîmé alors qu’il l’applaudit largement. Finalement, il y avait peut être des chats sauvables dans ce royaume. “Enfin quelqu’un de bien ici ! Bravo, j’aime cha !” Mucha fit une petite révérence avant qu’à nouveau, le roi ordonne à ses gardes de les attraper. Il n’avait vraiment rien compris. Comme s’ils allaient se laisser faire… Mais l’option courir pour monter aux escaliers avaient été choisi, ce qui n’était pas plus mal. Rentrant à nouveau dans la tour, il devait remercier en réalité le roi des cons, qui avait fait effondrer une partie, pouvant atteindre le sommet plus rapide. Alors qu’il suivait Bethany, il vit passer en vol plané Saoirse et Bellamy, jeté avec une force incommensurable par Mucha. Passant une petite porte, le groupe arriva enfin au sommet, sur une forme de plateforme. Un rire hystérique se fit entendre des escaliers. “Encore plus têtu que moi celui là …” Le roi venait à nouveau de lancer sa troupe de soldats. Le Baron, toujours présent, s’écria tout en regardant avec une certaine inquiétude vers en bas.
Le baron est avec nous mais on va entendre un rire hystérique provenir d'un peu plus bas : derrière les gardes, le roi nous sommes de nous arrêter ! “Filez par le haut !" De sa patte, il désigna une autre porte ouverte, en face de la plateforme avec encore des dernières marches, menant tout en haut, vu que visiblement ils n’étaient pas encore arrivés au véritable sommet. “Mucha s'occupe des derniers gardes qui osent l'affronter.” Il n’en fallait pas plus pour que tout le monde se précipite encore une fois dans les marches pour finir cette ascension périlleuse. Or ce n’était pas la même histoire. Le vent était beaucoup plus violent, et la hauteur, quasiment infini. Au fur et à mesure que les secondes passaient, les effets du royaume des chats commençaient à disparaître, et tout le monde reprenait sa taille d’origine. “Et maintenant ? On fait quoi ? On attend notre jet privé ?" Saoirse qui était à ses côtés, se pencha un peu pour voir le vide sidéral et devint encore plus blanche qu’elle ne l’était déjà. “Il y a trop de vent ! Je ne sais pas ce qu’on est sensé faire.” Aguistin, qui avait lui aussi retrouvé sa taille, attrapa la ceinture de son pantalon, pouvant clairement ressentir toute l’angoisse qu’elle avait. “Ces chats ... toujours à cause d'eux ... J'aurais bien dit de sauter mais je pense pas que mes pouvoirs sont revenus ..." Ce n’était pas parce qu’il voyait et sentait les angoisses de toutes les personnes présentes que tout marcherait, l’échec cuisant du passage dans les ombres le rappelant à l’ordre. “Si quelqu’un sait ce qu’il faut faire c’est le moment ! » Sasa rentra sa tête dans ses épaules, alors que le vent soufflait de plus en plus fort, le ciel prenant une jolie couleur rosé en même temps que le soleil montrait ses premiers rayons au loin. Sauter était définitivement la seule solution, et en réalité Aguistin se fichait de mourir et d’emporter les autres avec lui. Après tout, ils devaient bien mourir un jour ou l’autre, et pour son cas, il se trouvait néanmoins dans une zone plus ou moins magique, Madame la Mort ne l’abandonnerait pas comme ça. Malgré le bruit de l’air fouettant la tour, la voix du roi se fit entendre, tandis que Mucha arriva sur lui aussi sur le sommet. Saoirse, sans doute dans un geste désespéré, tandis la main vers Bethany, pour se rassurer. “On ne bouge pas pour le moment sinon l'un de nous vas y passer ... pas que je m'en fous mais quand même .. Bon Moon, on fait quoi ? Ça urge un peu là !" Aguistin lui donna une petite tape, avant de poser la question à Mucha. Sauter c’était bien beau, mais si jamais il fallait faire des invocations ou des gestes particuliers … qu’il ne fasse pas tout ça pour rien. “Hein ?” Mucha, bien trop dans sa bataille ne comprit pas la demande de l’ancien corbeau, et au moment où le Baron arriva, Saoirse perdit l’équilibre, à force de bouger. Et à qui s'agrippait elle depuis le début ? Tout se déroula comme un joli ruban. Saoirse emporta avec elle Aguistin qui fit tomber Candice et Bellamy qui tenait lui même Bethany dont la main était dans celle de Sabrina. Toute la petite équipe chuta à travers les nuages, se dissociant rapidement. Essayant de faire apparaître ses ailes, sans grand succès, Aguistin hurla de tout son saoul, insultant les chats sur les vingts générations suivantes. L'atterrissage, il devait se préparer mentalement à être une nouvelle fois dans la peau d’une crêpe. Il avait toujours un petit espoir de voir une tache d’ombre et de s’y glisser dedans, mais plus il chutait avec la vitesse et plus il se disait que son corps allait finir en puzzle, espérant aussi que si son âme venait à fuir de son corps, que Tibérius arrive à la rattraper. Or quelque chose le tira vers l’arrière, ralentissant considérablement sa chute alors qu’il commençait à entrapercevoir les lumières d’une ville. Levant la tête, son sourire se fit sincère, définissant clairement la joie.
"Je savais que tu étais encore là ! Ces chats de malheur ont dit que tu n'existais pas mais moi j'ai toujours cru en toi Émilien.” "N’existait pas ? Bah voyons ! Vous êtes juste à l’heure en plus !”. De son bec, il désigna le ciel où le soleil apparaît de plus en plus grand. Baissant la tête, il remarqua que les autres participants étaient récupérés par des nuages et des créatures en sable doré, longeant les bâtiments de Storybrook. "Vraiment une belle bande de bâtard ces chats ... Heureusement que tu es là !" Le corbeau s’approcha de ses camarades d’aventures, et Aguistin leva le pouce avant de s'époumoner. "Ça va ? Vous êtes tous entier ? Non parce que j'suis pas doué pour les montages à la Ikea !" Saoirse, posée sur le dos d’une grand raie leva elle aussi les pouces. "Ça va !!”. Storybrook était entièrement recouvert de sable doré, et au milieu de la place de l’horloge, qui se rapprochait considérablement, se trouvait Sebastian regardant ses voyageurs d’un air inquiet. Emilien le posa au sol en douceur, avant de rejoindre le Baron. “Vous voilà enfin shaints et shaufs ! Ch’est le plus important.” Le sable doré amena aussi le reste du groupe, là où ils étaient partis en début de soirée, et Sebastian se rapprocha d’eux, leur demandant par écrit si tout allait bien. "Après les sourds ... les muets ... J'ai pas la patience pour ça ! Et vu ma gueule j'pense que ça se voit que ça va pas !" Aguistin pointa du doigt la blonde, qui serait ravie de tout raconter à cet homme qu’il ne connaissait pas.. Lui préférant largement discuter avec le corbeau. "Dites, pourquoi les chats du royaume on dit que vous n'existiez pas ? Ça me perturbe ..." “ Peut être parce que je suis une gargouille.” ”Ils ne voient souvent que ce qu’ils veulent bien voir... vous l’avez échappé belle. Une minute de plush et vous deveniez un chat !"Mais une gargouille corbeau et ça c'est cool !" Il s'approcha de lui pour caresser doucement son plumage avant de se tourner vers le Baron. "J'aime pas les chats, je pense que vous l'avez compris, mais vous êtes différent ! Vous, je vous aime bien en vrai !" Il passa sa main sur sa tête, soupirant de soulagement en voyant les oreilles qui ont disparus. " ... je crois que je me serais suicidé mais genre vraiment ... Mais c'est quoi le délire de ce royaume ? En fait tous les chats sont des humains c'est ça ? Genre le kidnapping c'est illégal hein ! Enfin j'dis ça mais le père fouettard le faisait bien !" Il rigola à cette pensée. C’était vrai qu’ils savaient ce que le père de JB faisait, mais le tabou était de rigueur. Ils étaient au courant pour le kidnapping mais le reste faisait parti du secret qui l'entourait. Aguistin avait toujours pensé qu’il les mangeait, où les gardait au frais dans son manoir où cas où une famine viendrait à éclater. “ Les chats shont toujours un myshtere mais.... tenez vous loin de che royaume.” Le Baron grimpa sur le corbeau après cette phrase d’avertissement. “A plus !” “ Pas de soucis, j'ai toujours dit que les chats étaient des saloperie." Aguistin était triste de voir partir son ami corvidé. "Dit Emilien ! Tu pourras revenir de temps en temps ? Je te présenterai à Eustache ! C'est un corbeau aussi qui habite avec moi au cimetière ! Y a Peter c’est un axolotl mais il est moins bavard. Et puis Tibérius aussi ! " “Volontier !” Le grand oiseau s’inclina tandis que le Baron faisait des gestes d’aurevoir aux autres membres du groupe qui s’étaient rassemblés derrière Aguistin.
Jauge de poisse → 65% + la naturelle
b l a c k f i s h
Bethany V. Monroe
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Krysten Ritter
For years and years she tried to hide the
whiskey on her breath... She finally drank
her pain away a little at a time... But
she never could get drunk enough to
get him off her mind, until the night...
| Conte : Winnie l'Ourson | Dans le monde des contes, je suis : : Bourriquet
Courir, ce n’était pas exactement son truc. De manière générale, les activités physiques nécessitant un bon souffle et une certaine rapidité n’était pas son fort. Elle était une foutue peluche d’âne bleu, doublé d’une poivrote, autant dire que le sport n’était pas sa tasse de thé et qu’elle avait l’impression de cracher ses poumons à chaque inspiration, tant elle avait mal. Mais autant le dire, c’était pour la bonne cause. Non, parce qu’elle n’avait pas exactement prévu de crever comme ça ! Elle avait des plans, des projets, des idées, et crever n’en faisait pas partie avant de nooooombreuses années. Même si, à force de courir dans tous les sens, elle finit par se demander où est-ce qu’ils allaient comme ça, parce qu’elle avait juste l’impression qu’ils montaient de plus en plus haut et à moins que l’un d’entre eux ai un moyen de les faire voler ou redescendre en rappel, leur survie commençait à franchement sentir le moisi !
Une autre foulée et, en bonne dernière, elle finit par rattraper le reste du groupe qui… Regardait dans le vide. Putain mais c’était pas comme si elle ne l’avait pas dit ! Enfin, si, techniquement, puisque respirer lui coûtait déjà suffisamment de ses fonctions vitales pour ne pas en rajouter une couche en essayant, par a plus b, de prouver à tout le monde qu’ils allaient littéralement droit dans le mur, mais quand même ! C’était évident, et puis elle l’avait pensé tellement fort ! Y en avait au moins un qui aurait du l’entendre ! Pas possible d’être bouché comme ça…
Elle allait le leur faire remarquer, courbée en deux pour tenter de respirer un petit peu avant de crever quand, sans qu’elle ne sache ce qui était arrivé, elle vit Saoirse tout simplement… Tomber. Aussi simplement et bêtement que ça. Une vraie blague de blonde. Mais le pire, c’était que la blague n’était pas terminé, loin de là ! Non ! Parce qu’il avait fallut que, un à un, tous les membres de cette joyeuse tripoté de débiles se décident à attraper la chose la plus proche d’eux, à savoir, l’un des leur. Saoirse attrapa Auguistin, qui attrapa Candice, qui attrapa Bellamy, qui attrapa un pan de sa veste. Aucune raison donc d’épargner la petite blonde, qui avait d’ailleurs déjà prouver qu’elle pouvait lui sauver la vie en cas de situation désespérée ! Elle attrapa donc le bout de la manche de cardigan de Sabrina, serra bien fort, et l’emporta avec elle dans le vide, fermant très fort les yeux. Quitte à crever, elle préférait encore ne pas le voir venir.
Elle sentit le cri lui déchirer l’œsophage, ses mains se serrant en deux poings qu’elle porta à son visage et après une éternité de quelques secondes obscures, elle sentit son corps percuter une surface étrangement proche et molle. Elle mit cependant plusieurs secondes à rouvrir les yeux, tétanisée par la panique. Et lorsqu’elle le fit, ce fut pour voir une poudre dorée et mobile tournoyer tout autour d’elle, la faisant aussitôt refermer les yeux. Elle détestait voler. Elle détestait tout ce qui, de près ou de loin, la maintenant loin du sol. Alors rien à foutre de ce que c’était, ce machin brillant, mais elle n’allait pas rouvrir les yeux ! Encore une fois, quitte à crever, elle préférait ne pas le voir ni le savoir !
Son estomac se serra plusieurs fois, prise de violents vertiges à l’idée d’imaginer à combien de mètres du sol ils pouvaient se trouver, et après quelques secondes, elle cru percevoir une sorte de calme, de ‘plat’. Plus rien ne bougeait autour d’elle, et après quelques secondes, elle finit par rouvrir les yeux, constatant que deux paires d’yeux bleu la fixait avec un mélange de politesse, d’inquiétude et d’incompréhension. Aussitôt, elle dévisagea le mec, qui avait l’air de sortir direct d’un film basé sur Jane Austen, et qu’elle ne connaissait pas, et après quelques signes rapides, Saoirse lui apprit que c’était lui qui lui avait sauvé la vie, grâce à du sable magique. A la mention de cette fable, elle releva un sourcil, l’air de se demander si lui aussi il buvait trop mais d’un geste de la main, il fit apparaître puis disparaître une volute de sable doré, comme si il s’était agit d’une fumée de cigarette .
La réaction de Bethany fut très simple, elle se redressa pour passer ses bras autour des épaules du grand dadais, le serrant deux secondes contre elle. Elle n’était pas aussi tactile d’ordinaire, mais elle avait eue une journée difficile ! Il eue l’air aussi surpris qu’elle, acceptant de lui serrer la main quand elle la lui tendit, le remerciant de vive voix. Ce fut le moment que Saoirse choisit pour préciser que le monsieur était muet, ce qui surprit Beth, et, après quelques signes de base, elle finit même par lui sourire, ravie de rencontrer une autre personne comme elle. Entre ça, et le beau gosse, finalement, ce voyage de merde ne lui avait peut-être pas qu’apporter de mauvaises choses -bon, énormément de bleus, un amour propre bafoué, et une sainte horreur des chats désormais ! Le prochain qu’elle voyait traverser la route, elle le laissait se faire écraser !
En parlant du beau gosse. Acceptant la main que lui tendait Saoirse pour se relever, elle la coupant cela dit totalement dans sa phrase en détournant les yeux, avisant Bellamy non loin, en train d’aider Candice à se relever. Sans réfléchir, elle s’approcha de lui, passant ses bras autour de sa nuque avant l’embrasser à pleine bouche, sans préavis. Elle avait faillit mourir, il était canon, et il signait, oh. Elle avait aussi le droit à des compensations, et puis c’était ça ou la grande asperge et sincèrement, elle préférait les mecs baraqués. Leur baiser dura plus longtemps que ce que la décence pouvait autorisé mais pour être franche, elle s’en fichait, d’autant que Bellamy se révéla être un sacré embrasseur, mais quand elle finit par reculer, le fixant du regard quelques secondes comme pour graver son expression dans sa mémoire, elle lui sourit, avant de lui lancer un :
-Appelle-moi, légèrement suave, reculant de quelques pas, avant de se retourner, avec une petite grimace. Enfin, écris moi, mais t’as compris le principe, signa-t-elle rapidement, avant d’englober leur bande du regard. Bon sinon, j’offre la tournée au Comic Burger pour ceux qui sont intéressés!
Il fallait célébrer les petites victoires, et survivre à un royaume de chats sans dégât ce n’était pas une mince affaire ! Ça méritait plusieurs bières, une vodka, un cocktail et même un peu plus selon elle !
Danny Fenton
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Brenton Thwaites ♥
Je ne vois pas pourquoi je continue à vous faire confiance... A chaque fois c'est la même chose. Je veux vous aider dans vos expériences et ça me retombe toujours dessus.
| Conte : Danny Phantom/Gravity Falls | Dans le monde des contes, je suis : : Le garçon fantôme.
Il ne s'attendait pas à ce genre de contact de la part de Bethany. Il savait que le courant était bien passé entre les deux, même très bien mais il ne s'attendait vraiment pas à un baiser. Bellamy avait besoin de ce genre d'attention pour aller un peu mieux. Ce n'était pas la chute ou les chats armés qui l'avaient rendu comme ça mais le manque de tout ? Bell se sentait tout simplement vide à la fin de cette aventure heureusement pour lui Bethany l'avait embrassé. Il ne prenait pas ça comme un baiser de drague mais plus un baiser de survie. Il avait la net impression que la jeune femme en avait eut autant besoin que lui. Elle proposa un dîner ou plutôt petit déjeuné au Comics Burger mais il refusa. Il n'avait ni faim et il n'avait plus envie d'entendre Aguistin brailler sur le fait que les chats étaient des êtres abominables. Alors il se contenta de saluer tout le monde et de prendre Saoirse dans ses bras. Non il avait encore moins le moral qu'au début de cette mission. Bellamy voulait juste rentrer chez lui et se cacher sous sa couette. Cela l’étonnerait que Sirrus l'ait attendu. Cet homme ne suivait que ses propres règles et il savait que Sirrus ne supportait pas qu'on lui pose des lapins. Ironie de l'histoire quand on savait que ce dernier passait son temps à lui en poser dans la tronche. Il afficha un petit sourire se moquant de sa propre situation. Sa vie était vraiment triste.
Sur le chemin du retour il se posait des questions. Il avait toujours ce Jay de la baignoire qui le travaillait. Il aimerait savoir qui était cet homme exactement pour la jeune femme. Était-il bien pour elle aussi ? Elle avait tendance à croire au prince charmant, ouverture facile pour un homme aux mauvaises pensées. Il n'avait pas envie qu'une homme salisse l'innocence de son amie déjà qu'elle était enceinte. Bellamy pensa aussi qu'il avait oublié de demander le numéro de Bethany mais il ne s'en inquiéta pas plus longtemps vu que Saoirse avait sûrement son numéro et James aussi. Au final cette aventure ne lui avait pas valu la vie et il avait fait de nombreuses rencontres. La sorcière maladroite mais qui était quand même sur d'elle, ce gamin plus que bruyant mais marrant par moment et Bethany la grincheuse. Bellamy se mit à frissonner à cause du froid matinal qui venait se loger contre son visage. Il enfonça un peu plus son visage dans le col de sa veste tout en marchant vers son appartement.
Le reptile arriva enfin à destination, il entra silencieusement dans son appartement. Comme si il allait réveiller quelqu'un alors qu'il habitait encore seul à 40 ans. Un long soupir sortit de sa bouche tandis qu'il retira rapidement sa veste pour la poser sur le canapé. Il entendit Mister Bloopers, son chat, miauler. Enfin un chat qui était ravis de le revoir et qui ne risquait pas de lui poser des lapins. Le dragon afficha un petit sourire se baissant vers ce dernier pour lui embrasser tendrement le crâne avant de s'étirer. Bellamy fit rapidement le tour de son appartement vérifiant que son chat n'avait pas fait ses besoins partout mais aussi pour voir si Sirrus était bel et bien partit. Aucune trace de son ami. Il ne fût pas vraiment surpris, juste triste et déçu comme souvent. C'était un peu de sa faute en même temps. Il n'était pas revenu pour la soirée alors qu'il l'avait promis à ce dernier. Il se mordit nerveusement la lèvre inférieur fixant longuement son téléphone portable. Il hésita longuement avant de composer le numéro de Sirrus.
Bellamy était persuadé que Cheschire ne répondrait pas et pourtant il entendit le téléphone de ce dernier sonner dans son appartement. Étrange .. Bell fronça les sourcils et retira doucement son téléphone de son oreille avant de s'avancer doucement vers la salle de bain, il ouvrit la porte et vit le mobile de Sirrus sur le meuble de la salle de bain. Le dragon poussa un long soupir, il avait sûrement dû l'oublier. Il se contenta alors de fermer la porte derrière lui voulant prendre une douche mais son regard fût attiré par le miroir. Dessus il y avait marqué quelque chose : ''Je reviendrais quand tu seras nu.''
« Sans déconner. »
Bellamy poussa un long soupir. Il avait quitté le royaume des chats pour.. ça. Dire qu'il voulait un peu de réconfort. Agacé il retira ses vêtements. Si il venait pas tant pis, il se contenterait de prendre une bonne douche tout seul.
« Je l'ai mérité je sais. »
Apparemment Bellamy parla dans le vide vu qu'il n'eut aucune réponse et surtout qu'il ne voyait toujours pas Sirrus dans la salle de bain. Tant pis, il n'était vraiment pas d'humeur à jouer au chat et à la souris. Il voulait se laver parce qu'il avait couru dans tous les sens et dormir. Sa nuit n'avait pas été facile après tout, heureusement que son amour pour les chats n'étaient pas partie après cette longue nuit. Il se déshabilla alors rapidement et se faufila sous la douche chantonnant une chanson de son répertoire. Plusieurs dizaines de minutes après, il tira son rideau de douche prêt à sortir mais le dragon se figea sur place quand il vit Sirrus dans la salle de bain en train de secouer son téléphone devant le nez de Bellamy.
« J'ai oublié ça. »
Il leva les yeux au ciel ne sachant pas comment réagir sur le coup. Il était agacé par son comportement. Bellamy ne voulait plus jouer ce soir et pourtant c'était la spécialité de son ami. Il sortit alors de la douche enfilant rapidement une serviette autour de sa taille.
« Dis le clairement que tu m'en veux. Je suis pas d'humeur à jouer ce matin. Ces chats m'ont assez gavés pour deux mois au moins. »
« Des chats ? »
Sirrus ne bougea pas de sa place, il restait bien sagement prêt de la porte de la salle de bain. Il portait comme à son habitude un magnifique costume noir mais cette fois-ci, il n'avait pas sa veste dessus. Juste sa chemise blanche et son pantalon de costume. Bordel comment Bellamy pouvait lui faire la leçon alors que Sirrus était dans une tenue assez sexy il fallait le dire. Il claqua sa langue contre son palais afin de se réveiller. Il prit une autre serviette pour essuyer le haut de son corps avant de jeter un regard à la jointure de ses doigts encore en sang.
« Ils sont aussi joueur que toi les autres chats. Mais difficile à croire, ils ont des sentiments. »
« Les chats ? Des sentiments. Tu m'en diras tant... » lâcha t-il en ricanant avant de s'approcher de Bellamy, pour le jauger du regard tranquillement. « ... Sinon je pourrais effectivement être vexé que tu ne sois pas venu hier soir. Mais j'ai trouvé une... Jolie petite... Chatte à contenter en t'attendant. »
Il ne s'attendait pas à ce genre de réponse même de la part de Sirrus. Pas de suite, pas maintenant. Bellamy sentit son cœur lâcher puis la colère monter dans son corps. Il se mordit l'intérieur de la joue ne sachant pas comment réagir. Et pourtant la solution fût simple. Il leva son bras en direction de la sortie de la salle de bain.
« Barre toi. Si c'est pour me dire ça, barre toi. » Il se tourna vers Sirrus avant de donner un violent coup dans son torse pour le pousser contre le mur. « Retournes y. Baise qui tu veux, je veux plus jouer. Je suis fatigué, tu me fatigues ! » Il se mord violemment la lèvre. « Fais chier.. »
« Oh mais... Serait-ce de la jalousie que je vois poindre sous la fatigue ? T'aurais-je vexé ? Dois-je... Me faire pardonner ? »
Il respira un grand coup avant de basculer sa tête en arrière pour se détendre un peu mais c'était trop dur. Il attrapa le col de la chemise de Sirrus avant de le plaquer contre le mur.
« Je vais te simplifier les choses vu que ton cerveau fonctionne qu'à moitié. Je veux plus que ta queue, Sirrus. Plus. »
« Il fallait le dire plus tôt ! »
Sirrus n'attendit pas plus longtemps et il plaqua ses lèvres contre celles de Bellamy qui ne comprit rien pour le coup. Il ne s'attendait pas à ce genre de réaction de la part de son ami. Il ne s'attendait pas à ce genre de réponse non plus. Il ne savait pas comme réagir. Il se contentait juste d'embrasser Sirrus avant de reprendre doucement son souffle. Bell se décolla à contre cœur des lèvres de son partenaire.
« Sérieux ? Tu me fais marcher depuis tout ce temps. Imbécile de Cheshire. »
« Et quand on te fait marcher, Bellamy, tu cours direct dans le mur ! »
« Attends quoi ? » Il marqua un temps de pause repensant à la scène du labyrinthe. « Ne me dis pas que tu y étais ?! »
« De quoi tu parles ? »
Il observa le roux pendant un long moment et comprit qu'il était seulement en train de se faire des films. Pourquoi Sirrus serait allé au Royaume des chats ? Ce n'était pas parce qu'il en était un, qu'il devait obligatoirement y aller. Bellamy passa alors doucement sa main dans ses cheveux encore humide avant de secouer négativement la tête.
« Mon dieu, j'ai vraiment vu trop de chat pendant la nuit. Je crois que j'ai besoin de dormir. »
« Effectivement. Mais avant, on a des choses à rattraper toi et moi. »
Sirrus fit alors tomber la serviette de Bellamy d'un seul coup de main avant d'encrer son regard dans celui du reptile. Bell afficha un petit sourire en coin avant de venir se blottir contre son amant tout en frottant doucement le bout de son nez contre la nuque de Sirrus qui sentait extrêmement bon. Il ne fallait pas dire mais Sirrus était un homme qui prenait bien soin de son corps.
Je ne suis pas désordonnée. Je suis confrontée à l’organisation!
L’invitation au Comic’s Burger était des plus tentantes et, l’espace d’un instant, Saoirse se surprit à presque vouloir accepter ! Puis elle se souvint qu’il était encore très tôt et que commencer la journée dans un bar n’était pas franchement la meilleure idée… Sans compter qu’elle n’avait absolument pas dormi de la nuit, puisqu’il faisait de nouveau jour, et qu’elle devait travailler à la pâtisserie de Queenie ! Ah mince, c’était vrai ! Les chats lui avaient tellement retourné le cerveau qu’elle ne s’était même pas rendue compte de l’heure et… Et il ne fallait absolument pas qu’elle soit en retard où ça allait barder pour ses fesses ! Offrant un câlin à Bethany, un bisou à Candice, une étreinte à Bellamy et un dernier câlin pour Sabrina, elle salua Aguistin en lui ébouriffant les cheveux et se dépêcha de déguerpir dans la rue – malgré sa cheville douloureuse – pour atteindre la fameuse Pâtisserie Fantasia.
Se perdant une fois de route et revenant sur ses pas, elle fini par arriver face à la devanture au moment même où Mirajane ouvrait cette dernière pour laisser filtrer les premiers rayons de soleil à l’intérieur ! Si elle paru surprise de voir Saoirse, elle le fut encore plus en découvrant sa tête qui devait faire un peu peur à voir… Sans compter qu’avec toute cette histoire, elle était toujours habillée très bizarrement et emmitouflée dans la veste en cuir de Bellamy ! Bon, elle lui rendrait la prochaine fois, promis !
« Je ne suis pas en retard, n’est-ce pas ? » Demanda-t-elle, à bout de souffle.
« Non mais… Tu veux pas t’asseoir ? J’ai pas envie que tu accouches sur les marches avant que Queenie ne soit là ! »
Et elle s’écarta de l’entrée pour lui permettre de s’installer sur une chaise derrière le comptoir. Saoirse poussa un soupir salvateur en sentant son popotin calé et posa une main sur son ventre, se grattant ensuite la tête pour réajuster ses cheveux et ressembler un peu plus à quelque chose ! Lorsque Mirajane lui tendit un verre d’eau, elle la remercia avec timidité et finit par se demander si elle n’était pas un être vivant non identifié qu’il fallait sans doute interner… Peut-être que si elle faisait comme si de rien était, personne ne lui dirait rien et elle pourrait reprendre le travail avec les autres ? Elle pria pour cette proposition et lorsqu’elle put enfin se remettre debout, elle enfila un tablier et vint aider sa seconde patronne aux préparatifs : sortir les plaques, faire chauffer les cuisinières, rassembler les premiers aliments qui, trop froids, seraient immangeables et mater le petit livreur de fruits qui vint déposer les cagettes à l’arrière boutique avec sa casquette à l’envers. Mirajane lui confia que c’était la partie la plus sympathique de la matinée quand elle était d’ouverture !
Alors que la propriétaire apparaissait enfin, l’air toujours aussi agacée que la veille mais impeccablement classieuse, la princesse évita de lui demander ce qui avait pu la rendre aussi folle de rage… Elle lui adressa un sourire malgré ses cernes se dessinant sous ses yeux clairs et Mirajane précisa qu’elle était arrivée tellement en avance cette fois qu’elle avait commencé avant tous les autres ! Au moins, cela lui évita de passer pour une éternelle retardataire même si la fatigue commença à se faire sentir plutôt rapidement… Peut-être qu’elle pourrait prétexter une crise de narcolepsie et s’endormir là, comme ça, juste derrière le comptoir ? Ça avait l’air si simple comme idée. Si tentante…
Elle fut tirée de ses pensées par une odeur de brûlé et releva le nez, en même temps que les autres, pour tenter de découvrir d’où cela pouvait provenir. Queenie vérifia les fours uns à uns mais l’odeur ne semblait pas venir de la cuisine. Mais alors… Ah, lorsqu’un homme ouvrit la porte de la pâtisserie, elle devint plus forte et lui irrita le nez à l’en faire éternuer ! Vous avez déjà éternué avec un poids de deux kilos dans le ventre ? Non ? Bah ne le faites jamais.
Reniflant, elle reconnue le type de la veille : Livio.
« Vous devez sortir, mesdames ! » Les interpella-t-il, maintenant la porte vitrée ouverte à l’aide de sa main. Saoirse pu remarquer qu’il portait des tatouages sur l’avant-bras… « Un transformateur a prit feu dans le commerce d’à-côté, les pompiers sont en route mais il semble plus judicieux d’évacuer les lieux avant qu’ils ne soient là pour constater des dégâts. »
C’était drôlement gentil de sa part de les prévenir dis donc ! Tous les regards se tournèrent vers la cheffe de file qui, après quelques secondes de réflexion, congédia tout le monde et se dépêcha d’éteindre tous les appareils pour faire cesser le ronronnement tranquille de la pâtisserie. Laissant les autres filer devant elle, Saoirse ne put se résoudre à ne pas attendre sa patronne et elle ne consentit à prendre la main que Livio lui tendait que lorsqu’elle fut juste derrière elle, prête à verrouiller son commerce !
« Vous revoilà ? Vous avez une tête affreuse. »
Merci du compliment… Et toi tu as une jolie barbe. La princesse se contenta d’un sourire un peu timide, descendant les marches avant de sentir une main appuyer dans son dos pour la pousser en direction de la rue opposée. Elle tourna un instant la tête pour remarquer que sa patronne et l’homme barbu étaient en train de se dire quelque chose rapidement, mais elle ne capta pas leur conversation à cause des bruits alentours : brouhaha environnant, sirènes de police et de pompiers, cris et questions alors qu’une immense fumée noire s’échappait effectivement d’un bâtiment non loin du Fantasia ! Pourvu que ce ne soit pas un coup des chats, encore !
« On peut dire que vous commencez fort votre travail. »
Tournant le menton pour se détourner de sa contemplation, elle remarqua que Livio s’était arrêté à sa hauteur et semblait regarder la colonne de fumée comme s’il en avait déjà vu des centaines. Elle pencha la tête face à son attitude plutôt tranquille alors que le stress s’emparait de ses propres veines et qu’elle serrait les pans du manteau pour tenter de se réchauffer. Elle avait si sommeil… tellement sommeil… !
« Ca va aller ? »
« Je crois que j’ai besoin de m’allonger un peu… »
Elle chercha le trottoir pour s’y laisser tomber mais il l’en empêcha, en vrai gentleman qu’il était. Il y ressemblait en tout cas.
« Rentrez chez vous. Je doute que la pâtisserie ne rouvre avant plusieurs heures et vous avez l’air d’être passée sous un rouleau compresseur… Je m’y connais suffisamment pour en juger ainsi. »
Il avait un étrange petit sourire compatissant, comme s’il comprenait plus que ce qu’il voulait bien montrer. Mais dans le doute, Saoirse le trouva simplement gentil et sa proposition tomba pile au bon moment !
« Après un bon sommeil, vous aurez les idées plus claires. C’est ce que je fais quand j’ai besoin de retrouver un peu qui je suis et comment je veux être. »
S’excusa pataudement auprès de sa patronne, elle se mit en tête de rejoindre un endroit pour dormir au moins quelques heures et au chaud de préférence. Car si le royaume des chats était doux et ensoleillé, il n’était pas question de la même météo sur Storybrooke !
Ses pas, véritable pilotes automatique, la conduire jusqu’à l’étage d’un immeuble qui n’avait rien à voir avec son foyer. Et lorsqu’elle vit sa propre main appuyer sur une sonnette, Saoirse se demanda chez qui elle venait de se diriger d’une manière si spontanée que s’en était effrayant ! Mais elle avait tant besoin de dormir qu’elle ne percuta pas tout de suite et que son corps s’appuya mollement contre le cadran de la porte. Lorsqu’elle sonna une seconde fois, le battant s’ouvrit et le bois laissa la place à un torse chaud couvert d’un pull en laine vieillot. Qu’importait, il sentait bon comme pull.
Saoirse entendit vaguement une question provenir d’au-dessus de son crâne mais elle ne trouva pas la force d’y répondre. Se laissant aller contre cette personne, elle esquissa un sourire en manquant de s’endormir directement debout à l’entrée ! La porte se referma derrière elle, quelques pas encore et elle tomba sur le canapé dans une félicité relative. Plus de chats. Plus de bruits. Plus de mariage et autre divagations félines ! Juste elle, un canapé et… Et ce col qu’elle attrapa soudainement avant de poser ses lèvres contre celles de Jamie dans un baiser aussi tendre que chaste et spontané.
C’était quand même bien mieux que d’embrasser un vieux roi des chats rabougri ! Ce type avait raison : c'était là où elle voulait être. Ici et nul part ailleurs.
La princesse eut un rire, amusée, dormant déjà quasiment lorsque sa tête retomba contre l’un des coussins… et en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, une fleur de nénuphar révéla son éclat sur son épaule ; signe qu’elle venait de sombrer dans un profond sommeil réparateur.
Je ne chercherais pas encore une fois à vous résumer tout ce qu’il s’est passé parce que je suis certaine que vous n’en avez strictement rien à fiche et puis de toute façon, vous avez déjà trop lu dans les posts précédents alors je vais faire cours, on est revenu à Storybrooke.
FIN.
Quoi non ? De quoi c’est pas encore fini ? Je vous emmerde moi avec vos « c’est pas fini » et tout le tralala ? Non alors vous me foutez la paix d’accord ?! Oh la joueuse, tu vas te détendre là ?! Donne, je reprends les commandes.
….. …. … .. .
« SABRINA VICTORIA SPELLMAN ! » je me relève et regarde de la personne qui venait d’hurler mon nom. Une seule personne utilisait mon deuxième prénom. Je fais un sourire gêné en direction de Tante Zee. Elle s’approche à trop grande vitesse de nous, je respire longuement et avance vers elle pour m’éviter la « honte » de me faire réprimander par ma tante pour je ne sais quoi encore. Puis comment elle m’avait trouvé déjà hein ? Une fois à sa hauteur, je respire profondément et lui souris « Tante Zee, tu vas pas me croire… » « Là, je suis au summum mon petit ange, alors vas-y, dis moi où tu étais ?! » et ne croyez-pas qu’elle l’est dit avec une voix douce et calme hein, j’ai carrément cru qu’elle allait me sauter à la gorge, n’est pas sorcière Spellman qui veut, je vous prie de me croire.
« Bah en fait, en gros, y’a une copine à moi, la blonde là-bas qu’à sauver un chat qui allait se faire écraser et après on s’est retrouvé dans le royaume des chats et je me suis même presque entièrement transformée en chat et puis, j’ai jeter le sortilège de Gigantica mais ça à marcher qu’à moitié et puis… » Si le regard pouvait tuer, je crois que je serais déjà morte parce que je venais tout bonnement de me griller, je savais qu’elle ne tarderait pas à comprendre que j’avais son carnet parce que le sortilège de Gigantica, on ne le connaît pas au niveau d’apprentie dans lequel je me trouve « Sabrina… » elle soupire « Tu as pris mon carnet ? » je fais un sourire avant de fouiller dans ma poche et lui tend le carnet « Tiens Tantine, je suis désolée. » elle s’empare de son carnet et le range dans la poche de son manteau avant de me regarder « tu sais que je me suis inquiétée ? Et Hilda a enfin eu l’aimable générosité, après que je lui ai demandé une dizaine de fois de me dire que tu avais été à l’extérieur du lycée pour déjeuner. J’adore Harvey, je ne dis pas le contraire mais combien de foi je… » je fronce les sourcils « Tante Zee, parfois tu oublies que je suis plus une gamine. »
Je retourne vers les autres avant de me tourner vers Bethany « Le bar, ce sera une prochaine fois pour moi. Passez une bonne journée, je crois que pour ma part…je risque d’être privée de vie sociale pendant un moment avec la furie qui me sert de tante juste là-bas. A très vite. » et sans plus de cérémonies, je tourne les talons et me dirigent vers ma tante avant qu’on ne rentre à la maison funéraire. Pendant tout le chemin, nous n’avions pas parlé. J’aime ma tante, plus que tout au monde mais ça, je crois que je vous l’ai déjà dit non ? Parfois, elle m’exaspère et ce fut une fois comme celle-ci. Arrivées à la maison, je cours à l’intérieur du logement et salue Tante Hilda de la main avant de monter les marches à grande vitesse et me réfugie dans ma chambre avant de me laisser tomber sur mon lit.
« Cha va Chabrina ? Tu n’as pas l’air dans ton achiette. »
Oh non…pas toi Salem.
black pumpkin
Malchance : 63%
Aguistin R. Marban
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Andrew Scott
| Conte : Folklore européen ۩๑ L'étrange Noël de Mr Jack | Dans le monde des contes, je suis : : Le Porte-Parole de Madame La Mort & sa personnification ☘ La muse d'Egdar Allan Poe ☘ Le porteur de poisse ☘
“La jeunesse constitue un extraordinaire élément d'optimisme car elle sent d'instinct que l'adversité n'est que temporaire et qu'une période continue de malchance est tout aussi improbable que le sentier tout droit et étroit de la vertu.” Charlie Chaplin
Aguistin & les Gens & Les Chats
Son regard était toujours triste quand le corbeau parti avec le Baron. Si son lot quotidien était de se séparer, de dire aurevoir à des inconnus, en leur annonçant depuis la nuit des temps le moment de leurs trépas, il n’aimait pas le faire quand son coeur avait décidé de s’en mêler. Ce n’était pas pour rien que Madame la Mort lui avait strictement interdit de nouer quelconque relations avec les individus qu’ils cotoyaient. Parce qu’elle savait, que derrière l’animal sauvage et farouche, se cachait une créature attentionnel et attentionnée. Et Dolorès était la preuve de ce qu’elle avait avancé. Il s’était lié d’amitié, il n’avait pas supporté la perte et son caprice était arrivé à un point tel qu’elle avait agit. Même Tibérius s’en était mêlé, prenant le parti de son familier. Alors voir s’en aller au loin l’une des rares personnes qu’il avait vraiment apprécié dans cette aventure de dingue, et dont le ressenti était réciproque, lui fendait un peu plus le coeur qui ne l’avait déja. Soufflant, il leva juste la main en direction de Bethany. “J’aime bien Dyson mais j’ai vraiment pas envie de voir sa gueule. Même si prendre ses angoisses pourraient être un bon truc, trop la flemme. Et j’aime pas l’alcool, je préfère le lait !” Haussant les épaules il fit quelques pas sur le coté, checkant avec Candice qui allait partir de son côté. “La prochaine fois que tu vas chez Louis, t’me le dis !” Avant de se rappeler que son téléphone était en milles morceaux. Enfin, un espoir passa dans son regard et il fouilla rapidement dans sa sacoche. Non, tout était toujours bien cassés en milles morceaux, comme son corps, et d’ailleurs, les souris morts, écrasés, dont la boite en carton ne protégeait bien entendu rien du tout, étaient éclatées en petits morceaux, des bouts d’intestins se retrouvant sur son carnet de dessin par exemple. “Quand j’aurais un nouveau tel ! Passe au cimetière faut qu’on se matte Sex Education pour rigoler !” Il retapa dans sa main avant de sentir quelque chose dans ses cheveux. Sursautant, il regarda d’un drôle d’air la princesse avant de lui lever un pouce. Il fallait absolument qu’il essaye de la revoir, elle était tellement drôle et perchée, qu’il pourrait montrer à Tibérius qu’il avait trouvé son maître en la matière. En pensant au faucheur, ses yeux s’ouvrirent en grand, en sentant son lien télépathique le chatouiller. Oui, c’était vrai, ils étaient rentrés à la maison, à Storybrook … “Allez cassos les boloss ! On se verra certainement plus tard ! Le hasard aime bien jouer avec nous comme avec des pions d’échecs.” S’élançant sans même attendre une réponse, il sauta tête la première dans l’ombre que la fontaine que le soleil était entrain de dessiner, ressortant dans le salon de Tibérius.
Ayant trop tiré sur son corps durant toute l’aventure, son pouvoir fut quelque peu instable car il s’étala de tout son long, se cognant à la table basse au passage. De toute façon il avait tellement mal qu’il ne sentait plus la différence. Essayant de se relever, avec grande difficulté, son sourire se fit énorme quand il l’aperçut, quelques secondes après. Son cri résonna dans toute la pièce et il s’élança sur lui, puisant dans ses dernières réserves, alors que le sang s’était remis à couler de certaines plaies qu’il avait sur son front. “Par la Mort ! Tib’ ! J’ai cru que jamais je ne te reverrais !” Tibérius le toisa clairement, observant le moindre détail sur son corps, surpris aussi par son geste matinal. “Où étais tu passé ?!” Froid, comme à son habitude, Aguistin remarqua qu’au delà de son air mécontent, il y avait, une certaine forme d’inquiétude dans son regard polaire, ce qui n’était pas pour lui déplaire, au contraire. “Tu sais quand tu m’as viré de la morgue tout à l’heure ?” Il n’avait même plus la force en réalité de faire sa voix de reproche, tant la fatigue de la nuit s'abattait sur lui comme la guillotine sur son prisonnier. “Et que j’ai tout cassé ! Bah c’était pas moi ! Fin’ c’était pas ma poisse habituel ! En gros, y a une meuf que Livio connait ! Ça m’étonne pas de lui, il traîne qu’avec des gens chelous, elle a sauvé un chat ! Et ce putain de chat était un prince, et en gros pour nous remercier il nous a donné de la poisse .. genre comme le chat de Monsieur Satan !” Il fixait le visage du faucheur sérieusement, son oeil injecté de sang pulsant à son rythme cardiaque, rapidement. “Et après ils nous ont enlevé ! Le roi des chats est un dictateur et il voulait se la faire ! Il voulait se marier avec ! Regarde !” Tenant toujours le bras de Tib’, il se recula un peu pour lui montrer ses vêtements de cérémonie, totalement déchiqueté. “ ... Aguistin, moins vite.” S’il avait eu, une once d'inquiétude, elle avait été vite remplacé par de l’agacement, pour preuve, il se pinça l’arrête du nez “Hier. Je t’ai viré de la morgue, hier. » le reprend t il. « Tu as disparu toute la nuit. » A ses paroles, il se stoppa net, prenant une grande goulée d’air, gonflant ses joues, passant nerveusement et douloureusement ses mains dans ses cheveux décoiffés. “Je mens pas ! Ils ont commencé à me transformer en chat !” Cette fois ci, les larmes arrivèrent à passer la barrière de ses grands cils. Tib ne le croyait pas ? Que lui fallait il comme preuves supplémentaires ? Il devait tout lui expliquer, et il comprendrait ! Après tout, ça n’aurait pas été la première fois que le faucheur l’aurait retiré de la gueule d’un chat. “J’avais des oreilles toutes noires et une queue aussi ! Et je parlais chelou, genre je miaulais Tib, je miaulais “! Air neutre, il ne le lâcha pas du regard. Il aurait pu en rire, mais ce n’était pas le genre de la maison, préférant rester stoïque…
Seulement au bout de quelques secondes, qui avait l’air de paraître interminable pour le bichoco’ devant lui, il posa ses deux mains de chaque coté de sa tête, sur ses épaules. “Tu n’es plus un chat.” Sa voix essaye de le calmer, de l’apaiser, et sans surprise, cela marche assez, pendant quelques instants, Aguistin reste silencieux, yeux dans les yeux. “C’est fini. Tu es rentré.” Mais à l’idée que cela n’aurait été possible, son esprit dérangé le fait rechuter. Les mains dans ses cheveux il vérifia encore une fois que les oreilles étaient bien partis avant d’enlever sa saccoche pour la jeter au loin, de toute façon, tout était cassé dedans. “Ça a failli ne pas arriver ! Ils voulaient nous garder ! Pour toujours ! Alors moi j’ai dit que tu allais venir et que de toute façon je voulais pas rester en chat ! Sauf que nos pouvoirs marchaient pas, mais je l’ai pas dit. Et tu sais quoi ? Ils m’ont jeté d’une putain de tour ! Enfin ils ont fait exploser la tour alors qu’on était au je sais pas, dixième ou quinzième étage …” Il s’était détaché de Tibérius, enlevant petit à petit ces vêtements qu’il avait en horreur, dévoilant son corps véritablement martyrisé, les bleus n’ayant pas tardé à apparaître entre des plaques de sangs séchés. Le faucheur préféra ne rien dire, s’occupant plutôt d’aller lui chercher de quoi ne pas attraper froid, son plaid qui trainait sur le canapé, l’enroulant dedans comme un sushi alors qu’il continuait de parler, extériorisant tout le stress qu’il avait pu avoir. “Mais c’était un truc de tellement ouf. J’ai troooop de choses à te raconter ! J’ai une sourdingue qui m’a agressé juste après que je me sois fais emmuré vivant ! J’avais jamais testé bah j’aime pas trop ! Ça réveille ma claustrophobie ! Et donc l’autre pute là, alors que je surveille la copine à Livio, elle vient pas me taper ? Elle a cru que je voulais la violer … franchement ...une femme enceinte …D’accord je comprends, j’aurais pu prendre le bébé pour le donner à Park mais quand même ! Et après elle a pas compris la diversion que j'avais fait mais elle m'a quand même tendu la main mais elle est conne n'empêche !” Tibérius le regarda de son éternel air blasé avant de tourner les talons pour se rendre à la cuisine, l’heure du petit déjeuner ayant sonné. Or Aguistin ne l’entendait pas de cette oreille, une angoisse le prenant à la gorge. Et si jamais entre temps, un chat passait encore par là pour le ramener dans cet enfer ? “Aatttend moi !” Sa voix angoissée, cassée, était moins forte que tout à l’heure, et il ne put retenir un bâillement quand il contourna la table de la cuisine pour aller s'agripper à la ceinture de son pantalon habituel. “Puis personne m’a écouté ! Dès le départ j’ai dit que les chats c’étaient des enfoirés et qu’on allait avoir des ennuis ! Qu’ils étaient tous gentils avec nous au début mais qu’ils allaient nous tuer ! Personne m’a fait confiance c’était tous des cons !” Il posa sa tête sur son flanc en poussant un grand soupir. “Non y avait un corbeau ! Emilien ! J’ai pas trop compris le truc avec son âme, fin’ il a lui aussi une embrouille mais il était super cool ! Il a même accepté la proposition de passer à la maison pour rencontrer Eustache et Peter.” Il leva la tête vers lui, calquant ses pas sur les siens, ne se préoccupant pas des mouvements qu’il faisait pour préparer son café et son chocolat. “Et toi aussi ! En plus c’est lui qui m’a sauvé à la fin ! Parce qu’on est retombé de la tour mais là c’était plus cinquantes étages …” “Et tu es reparu, c’est le principal ! » Même si Tiberius ne parlait pas beaucoup, compensant la pipelette qu’était son familier, il enregistra tout soigneusement dans sa mémoire. « Les corbeaux sont toujours dignes de confiance. » Il tourna la tête vers lui, lançant un regard plus qu'appuyer. “Quand on sait leur en donner pour leur convoitise.” “Bien sur qu’on est digne de confiance ! Moi je ne te trahirais jamais !” Son sourire, aussi grand que ses muscles faciales lui permettait de faire, resta plaqué sur son visage. Oh non, il n’était pas un perfide félin. Jamais il n’aurait fait une chose pareille, que ce soit pour l’entourloupe ou le mariage. Même s’il ne comprenait pas la dernière phrase, n’ayant pas la foi de plus réfléchir que ça maintenant, il avait retenu l’essentiel de ce qu’il voulait entendre. Tibérius lui faisait confiance, ce qui voulait aussi dire qu’il le croyait et c’était le principal. L’odeur du chocolat chaud titilla ses narines et il consentit à le lâcher uniquement pour aller s'asseoir et boire son délicieux breuvage. “Dit ? Je peux dormir dans ton lit s’il te plait ? Parce que vu que t’es pas là ça ne sert à rien que je dormes dans le fauteuil pour te regarder !” Il eut quelques minutes de flottement, tandis que Tibérius finissait son café, cherchant dans le hall son veston, après tout il était l’heure d’aller travail. Le fixant, il consentit finalement à lâcher dans un souffle. « ... Dort où tu veux. » Il n’en fallait pas plus pour ravir Aguistin. Et la fin de sa phrase, qu’il avait prononcé presque dans sa barbe, lui fit se brûler la langue avec son chocolat. « Mais soit là quand je rentre. Je n’aime pas perdre le contact avec toi. » L’ancien corbeau hocha vivement de la tête, un sourire en coin non dissimulé. Lui non plus n’appréciait pas ne plus sentir ce lien, qu’il avait dans sa tête depuis des siècles. Cela faisait partie intégrante de son être, en plus de lui apporter la satisfaction de savoir où pouvait se trouver son faucheur. “Vouiii ! Découpe bien des cadavres !” Sur ce bonne journée plutôt originale, la porte claqua derrière Tibérius et le silence se fit pour quelques instants. “Bon allez ! Un peu de nettoyage corporel, et au dodo !” prononça Aguistin tout en mettant la tasse dans l’évier, il la nettoyer plus tard, s’il ne l'oubliait pas.
Jauge de poisse → 65% + la naturelle
b l a c k f i s h
Candice D. Brooke
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Emma Stone
Qu'est-ce qu'il me veut lui ? Tiens moi ça j'vais l'défoncer à la course
Quels pots d'colle ces exs...
| Conte : Mario | Dans le monde des contes, je suis : : La Princesse Daisy de Sarasaland
You're downhearted and confused, because baby, you've been startin' to lose. Losin' out on everything you might try to do. Bad luck, fella, 's got a hold on you. Losin' your money, 'bout to lose your home. Done lost your woman and everything's wrong. Law of average plainly states that chances go around. But if you wanna know the truth about it, I'll tell you what's pulling you down, yeah. You got bad luck, that's what you got, that's what you got, yes, sir !
MUSIC !
Candice fronça les sourcils, réfléchissant un instant, puis se dit qu'elle allait poser la question, juste pour être sûre. Des fois qu'elle puisse calmer Chris par avance. Avant que je parte les garçons, je dois demander, vous ne droguez pas James, hein ?
Derek et Duncan rougirent lorsque Candice mentionna le nom de James. Et en réalité, c'était la dixième fois qu'ils rougissaient depuis qu'elle était là, puisque James et sa petite sœur avaient été le sujet de leur conversation, sollicitée par Candice qui avaient besoin de s'assurer d'une chose. Car ce soir, elle comptait parler à Chris. Et à Cyan. Elle voulait leur dire quelque chose dont elle avait pris conscience en revenant du Royaume des Chats, et elle aimait bien assurer ses arrières. Etre certaine de tous les arguments qu'elle pourrait sortir aux réponses de son jumeau. Parce que ce qu'elle allait demander n'était pas rien, et il avait milles et une raisons de refuser, mais s'il le faisait... elle aurait de la peine, certainement. Tout comme Cyan. Et ses sœurs.
Jamais ! Ses amis (qui sont nos amis maintenant !) nous ont raconté ce que James aime manger, le jour de notre rencontre, alors on aime bien lui faire ce qu'il aime manger !
Candice souriait. C'était la première fois qu'elle était enthousiaste à l'idée d'un plan à trois romantique. C'était la première fois qu'elle envisageait une telle idée, d'ailleurs. Ils étaient si mignons ces deux là, depuis qu'ils avaient plein d'amour en tête ! Elle les appréciait depuis longtemps, les ayant rencontré durant sa relation avec Jefferson, mais plus les jours passaient, et plus elle avait envie de pincer leurs joues adorables comme une grand-mère plein de violente tendresse. C'est ce que je voulais entendre ! Bon, la version officielle, je vous rappelle : "Non Chris, Candice n'est pas venue nous demander ça, tu te fais des idées, tu vas avoir des cheveux blancs à force de te faire du soucis !". OK ? Vous vous souviendrez de cette phrase ? Parfait, vous êtes les meilleurs !
Satisfaite, elle put alors s'en aller, laissant les Tweedles dans leur atelier de construction. En passant par la porte, elle remarqua le courrier qui n'avait pas encore été ramassé, le prenant alors pour le déposer sur le buffet là où Jefferson pourrait le voir en rentrant. Elle haussa les sourcils lorsque ses yeux indiscrets avaient remarqué une lettre du MIT adressée officiellement à Messiers Derek et Duncan Hatters. Elle poussa un sifflement épatée. Vous devriez venir lire le courrier, je pense que ça vous plaira ! Leur cria-t-elle depuis l'autre pièce, avant de partir, cette fois pour de bon.
Elle avait texté la fratrie Brooke pour se réunir, parce qu'elle avait un truc important à dire. Malheureusement, elle avait essuyé plusieurs empêchements, ce qui faisait que sa tentative de réunion de famille se réduisait à un bien petit comité comparé à la réelle taille de la bande. Mais elle n'en perdait pas sa motivation, toute contente de retrouver Cyan et Chris. C'était la première fois qu'elle rentrerait depuis cette folle aventure ! Après le royaume des chats, elle avait accompagné Bethany au Comics Burger, où elle avait eu le temps de réfléchir à ce qui lui pesait sur le cœur, suite à quoi elle a trouvé les jumeaux pour s'assurer que tout soit réglé, pour ne rentrer que maintenant. Depuis le début de cette journée au casino de Louis-Raaja, Candice n'avait pas vu ses frères, son lit, sa maison, ou son restaurant !
L'aventure aurait pu durer plus longtemps, mais qu'importe, elle s'était trouvée loin, et il était bon d'être de retour chez soi, et de pouvoir sauter sans retenue sur les genoux de Chris qui râlerait certainement de recevoir tout le poids de sa sœur sans même qu'elle ait prévenu. La vile ne s'excusa même pas, elle qui avait l'habitude de cette taquinerie. Elle se contenta de lui faire un gros bisou sur la joue, et de tirer le bras de Cyan pour le pencher vers elle, faire de même et l'embrasser au même endroit.
Je pue certainement la transpiration et la litière pour chat, c'était une longue journée très particulière, mais je m'en fous parce que j'imagine que vous m'aimez à la folie comme je suis, dit-elle aux deux garçons en papillonnant du regard.
Cependant, elle prit la peine de s'asseoir correctement entre ses deux frères. Ce qui pouvait déjà être surprenant, puisque ça ne l'aurait pas dérangé pour le moins du monde de restée affalée sur le corps de son jumeau, qu'il aime ou pas. Mais elle avait quelque chose de sérieux à dire, ce n'était pas n'importe quoi !
J'étais dans un autre monde aujourd'hui. Enfin j'imagine. Bon, ça arrive à 6 personnes tous les 15 jours alors ça c'est pas le détail le plus ouf de ce que j'ai à dire. Y avait plein de chats, ce qui me fait penser que je n'ai même pas rendu à Bellamy son pchit magique, qu'il a toujours sur lui pour Chris (n'est-il pas mignon ?). D'ailleurs, vous saviez que la transformation en chat est ultra efficace contre l'allergie ? Je vais contacter quelques sorciers et faire breveter l'idée je pense. Bon je vous épargne les détails, ils parlaient en langage chat (qui consiste à mettre des -ch partout), ils avaient un prince en chaleur qui voulait épouser Saoirse, parce qu'elle a un prénom particulier je crois, j'ai plus les détails en tête. Tout ce que vous devez savoir, c'est que l'histoire se termine bien, Bethany nous a invité au Comics Burger, et me voilà. Elle passa ses bras autour des épaules de Cyan et Chris, comme pour leur rappeler à quel point ils avaient de la chance qu'elle soit de nouveau présente dans leurs existences.
Mais tout ça, ça m'a fait réfléchir... Le fait de sortir, de voyager, je veux dire. J'ai l'impression que... personne n'est heureux. J'ai l'habitude de ne pas réfléchir et de foncer dans la vie pour l'apprécier, alors je ne me préoccupe pas toujours de ce qui est mauvais, mais en fait c'est le cas ! Vous déjà, vous êtes vraiment content de vos vies de frustrés sexuellement ? Et même tout autour de moi, j'ai l'impression d'avoir que des amis tristes. A part Adèle et Arthur qui sont sur un nuage (enfin Arthur j'ai l'impression qu'il va matérialiser des atomes de stress mais sinon il a l'air d'aller). Mais sinon... y a des gens comme Dyson qui sont en déprime sévère et... Se rendant compte de ce qu'elle venait de dire, elle fit des gros yeux avant de les fermer, puis de glisser un regard désolé à Chris. Pardon, je voulais pas y penser, mais j'ai pensé à Arthur, qui se fait aider par Dyson contre le stress, alors on en parlait et... enfin oublie, c'est pas de lui que je veux parler. C'est pas le seul, tout le monde n'est pas pleinement satisfait. Theodore est persuadé que je m'énerve de jalousie contre Janet alors que pas du tout, je l'adore, j'aimerais l'adopter.
Elle pouvait continuer la liste, et donner le nom de tout ceux qu'elle ne voyait pas réellement heureux, mais elle commençait à s'éloigner du sujet. Elle s'éclaircit alors la gorge dans une toux bruyante avant de se recentrer. Ce que je veux dire, c'est que ce royaume des chats m'a fait réfléchir. Mon rêve, ça a toujours été de parcourir le monde, et j'en meurs d'envie avec vous. Alors allons-y, s'il vous plait. Je me doute que toute la fratrie ne dira pas oui mais j'aimerais tellement le faire avec vous... pas un voyage qui se termine en zombie, ou un autre avec des indigènes qui veulent me violer... Elle haussa les sourcils. En avait-elle parlé à Chris de cet épisode qu'elle a vécu avec Théodore ? Enfin nooon, ça j'ai surement du rêver, bafouilla-t-elle pour se reprendre. Un vrai voyage. Entre frères et soeurs. Avec des sourires, des routes, du ciel, des glaces, des plats typiques chelou et pas toujours bons mais qui font rire. J'en meurs d'envie. D'être heureuse partout, avec vous. Dites oui, s'il vous plaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiit ! Candice se tourna vers Chris pour le regarder dans les yeux. Et James et Athléa ne seront pas seuls ! Derek et Duncan qui sont majeurs et plein d'amour, sont d'accord pour rester avec eux ! Je ne leur ai paaaas du tout demandé hein ! Ils me l'ont dit comme ça par hasard dans la rue !
Elle soupira alors, pour reprendre son souffle, avant de mettre sa main dans celle de Chris, et sa tête sur l'épaule de Cyan. C'est juste que je me suis souvenue à quel point je vous aime, et à quel point j'ai envie qu'on soit tous heureux.
Et enfin, elle ricana un instant. Qui aurait cru que la guerre contre un bâtard de chat-toi me ferait réfléchir à ce point ?
Devant la maison, elle vit par la fenêtre la silhouette d'Arthur. Ce n'est qu'à cet instant qu'elle s'était souvenue de ce qu'elle lui avait promis il y a quelques jours ! C'était déjà aujourd'hui ! Elle se leva alors, pour faire signe par la fenêtre qu'elle viendrait dans quelques instants, avant de revenir vers ses frères. Elle leur confia, sur le ton de la confidence : Il a une surprise pour Adèle, je devais l'aider !
Candice fit de nouveau deux grands baisers sur le front de ses frères. Réfléchissez à ma question, je vous en supplie. C'est vraiment important pour moi. Oh et... elle sortit de sa poche ce que Bellamy lui avait confié contre l'allergie, pour le lancer dans les mains de Chris. Tu peux le rendre à Bellamy pour moi ? Tu es un amour !