« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver.
Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)

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 Evénement #102 : Chatperlipopette ! [Fe]

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Evénement #102 : Chatperlipopette ! [Fe]  - Page 3 _



________________________________________ 2018-12-20, 22:40


Shend me on my way !

Je ne suis pas désordonnée.
Je suis confrontée à l’organisation!


Ce qui est très, TRES pratique, quand vous êtes inconsciente… C’est que le temps pour vous passe relativement vite. Mais ce qui l’est beaucoup moins c’est le réveil. Saoirse avait toujours peur des réveils, parce qu’ils pouvaient être tellement variés qu’ils en devenaient imprévisibles et potentiellement dangereux. Les yeux encore clos, la jeune femme pria de toutes ses forces pour qu’elle ne soit ni dans une voiture avec une personne peu recommandable, ni dans un lit d’inconnu – ce qui n’arrivait pas si souvent que ça, HEUREUSEMENT – mais pourquoi pas sur le canapé de Bellamy ou encore celui de Jamie… Voir le lit de Bethany, mais en général elle était collé à elle comme un koala et donc elle l’aurait sentit au moment de reprendre conscience.

Bon, à la texture qu’elle percevait sous ses doigts ce n’était ni un matelas ni quoi que ce soit de mobilier. Cela n’empêchait pas d’être confortable et de dégager une douce et tendre odeur… Presque aurait-elle entendue les oiseaux chanter tant l’odeur de nature qui emplissait ses narines était persistante et présente. Poussant un soupir, Saoirse finit par ouvrir les paupières et tomba… Sur du noir, d’abord. Du mouillé. Elle pesta intérieurement en attrapant le nénuphar qui lui avait atterri sur la figure et le dégagea sur le côté, se rendant alors compte qu’un immense soleil régnait dans un ciel sans nuage. Du bleu à perte de vue. Du bleu cerclé d’un arc-en-ciel, un peu plus loin, comme un bleu de dessin-animé et une lumière douce. Tendre. Comme le léger vent qui passait dans les herbes où elle était désormais allongée.

Se redressant dans un sursaut, la princesse porta une main sur son ventre : bien, le matelot semblait toujours présent sous la marinière, rien n’a craindre. Elle le sentit bouger dans un léger sourire discret, se laissant aller à cet instant volé avant de papillonner du regard pour essayer de comprendre où elle se trouvait. Sur le sol, hormis les mètres d’herbe verte qui l’entouraient, il régnait une espèce de brume un peu lointaine l’empêchant de distinguer nettement le paysage. Qu’importait, les courants d’air semblaient être en train de la faire reculer progressivement…

Si bien qu’elle se rendit compte que son carré d’herbe n’était pas si vide que ça : au-delà des quelques nénuphars apparus, aux fleurs pastels mollement ouvertes, des pieds, des jambes, des bassins, des corps et des bras rappelaient curieusement un être humain qu’elle connaissait bien : Bellamy. Aussitôt, Saoirse se leva maladroitement et s’approcha pour se pencher au-dessus de lui – au possible – et tenter de le réveiller en lui secouant les épaules.

« Bellamy ? Bellamy ! C’est pas l’heure de dormir, debout ! » Interpella-t-elle, avant de se tourner vers la rouquine et de lui faire subir le même sort. « Candice ? Aguistin ?! »

Ils étaient tous là, elle les avait comptés sur sa main… Enfin, non, il en manquait ! Où étaient passées Sabrina et Bethany ? C’était pas bon ça, ! Enfin, elle se rappelait les avoir laissé un peu derrière quand ils avaient suivis le corbeau et… OH, Le corbeau ! Ils l’avaient suivis avec Aguistin et puis Agui s’était pris dans le mur et il… Est-ce que…

« Oh mon dieu ! Est-ce qu’on est au paradis ?! Mais j’avais pas prévu de mourir tout de suite, Aguistin a dit que ce n’était pas pour tout de suite ! »

« Ne dis pas de bêtises. » Claqua une voix en réponse.

Relevant le nez, cherchant de tous les côtés, elle fronça les sourcils.

« Je reconnais cette vois, c’est celle du gros chat blanc ! »

« Je ne shuis pas gros ! J’ai arrêté le shport, peut-être que che n’était pas une bonne idée, mais je ne shuis pas non plus gros ! »

Il avait l’air un peu en colère… c’est en tout cas ce qu’affichait sa tête lorsqu’elle apparu dans le champ de vision de la belle au bois dormant. Très haute. Très en colère. Très… Grosse. Mais quelque chose lui soufflait que si elle le répétait, il allait se vexer encore plus.

« Pourtant vous êtes très… Grand. Vous avez bu de la potion pour devenir un géant ? »

Elle venait de se lever pour comparer sa taille à la sienne : debout sur ses pattes arrières, Mucha la dépassait de plus de deux têtes sans trop de difficultés. Quand à sa largeur, on pouvait caser trois sasa pour parvenir à le remplir. Pourvu que personne ne lui souffle cette idée, elle n’avait pas envie de finir dans le ventre d’un chat… Même s’il était gentil. Déjà qu’elle savait ce que ça faisait d’avoir un être vivant dans son ventre, elle ne souhaitait ça à personne de prendre la place du petit têtard ! Ou alors peut-être que quelqu’un ici avait pour vocation de devenir un ver solitaire, mais c’était pas franchement glorieux comme objectif de vie. Pas sûr que ça passe sur le CV de Pole Emploi…

Mucha baissa les yeux vers elle, poussant un soupir un peu contrarié.

« Che n’est pas moi qui ait grandi, c’est vous qui avez rapetishé. »

Saoirse leva la main pour essayer de toucher ses oreilles et évaluer un peu la hauteur qu’il faisait… Elle tapota plusieurs fois le front du chat, puis le sien, et fini par poser ses poings sur ses hanches.

« Ah bon ? Mais pourquoi ? On n’était pas bien à notre taille normale ? »

« Ch’est parche-qu’on est arrivés au Royaume des Chats. »

Il désigna du menton – oui, les chats ont un menton – derrière la jeune femme la brume qui s’évaporait peu à peu. Alors que ses compagnons de route s’éveillaient à leur tour, Saoirse découvrit une vallée verdoyante au cœur de laquelle se trouvait un immense château avec une tour qui disparaissait très haut dans le ciel… L’arc-en-ciel semblait provenir directement de cette tour.

C’était magnifique et, un instant, elle eut un vertige.
Heureusement qu’il y avait Aguistin pour l’aider à se rattraper.

« Oh ! » En le reconnaissant, Saoirse l’attrapa dans ses bras pour le serrer. « STu n’as pas été mangé par le mur finalement !! »

Non, mais peut-être aurait-il mieux valut… Vu l’endroit où ils venaient d’atterrir.

« Et... C'est grave si on est là ? »

« Cha dépend, vous comptiez revenir en vie ?»

Saoirse écarquilla les yeux à cette réflexion, ses bras toujours passés autour du cou d'Aguistin. Elle tourna ses yeux vers Bellamy et Candice, l'air de douter très sincèrement de la véracité de cette réponse de la part de Mucha.

« Il plaisante... Hein ? »

Dites-lui qu'il plaisantait. Pitié.
....
Elle avait raté combien d'épisodes en dormant, au juste ?!


- Jauge de Malchance : 47% -
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Evénement #102 : Chatperlipopette ! [Fe]  - Page 3 _



________________________________________ 2018-12-22, 21:50


Chaaat va aller.
Brina et les autres...


Mais non mais c’est pas possible putain. Je regarde jamais assez, ça c’est clair parce que j’avais fait un début de post de fou et puis POUF, plus rien. Je me suis retenue de pleurer. Au final, je rédige un nouveau truc qui sera sans doute tout pourri mais je dois avouer que ma tête ne suit pas trop le mouvement alors il ne faut pas m’en vouloir. Bon je laisse la place à Sabrina. Je respire longuement alors que je cours avec les chats. Il fallait qu’on finisse vite cette aventure parce que je dois avouer que tout ça ne me disait rien qui vaille mais je crois que c’est ça le problème de Storybrooke, on sent pas un truc mais on fout le nez dedans quand même, cherchez pas à comprendre, même moi par moment, je ne comprends pas.

Mais alors que je courrais, voilà que ces fichus chats gris me courent entre les pattes et me font chuter jusqu’au sol. Je m’écorche le poignet et la joue mais je tiens à ajouter qu’au même moment, je tombe sur Bethany et l’emmène avec moi dans ma chute jusqu’au sol « Désolée. » maugréais-je pour moi plus que pour elle. C’était vraiment pas ma veine et j’avais comme la rude impression que ça ne faisait que commencer. Alors qu’on se relève, voilà que je vois les chats sauter dans un portail dans la flotte vu que nous sommes tombées non loin de la plage « Ah bah c’est pas de veine ça. » dis-je en me relevant avant d’aider Bethany a se relever. Emilien arrive vers nous, avec le baron sur le dos « Je dirais même plus : c’est une catastrophe ! » Non sans déconner ! « Rien de cassé mesdames ? » « Non Baron, je ne crois pas, enfin moi ça va en tout cas. » je tapote ma joue, espérant faire passer la légère douleur omniprésente mais comprends rapidement que je suis sur pied. Heureusement pour moi.

« Vous avez l’air d’aller…plutôt bien. » Bah ouais, si je le dis. « Vos amis sont partis en direction du royaume des chats. » Et nous ? On est censés attendre sagement ici en jouant à la marelle et en faisant des châteaux de sable ? « Sans rire…Et nous ? On fait quoi ? » « Il va falloir les retrouver » Ouais, c’était ça l’idée aussi. Le baron regarde le corbeau puis pose son regard sur moi « Vous savez voler ? » Hein ? Moi ? Bah pas à ma connaissance mais…le bouquin de Tante Zee a peut être la solution.à ce problème « Je… » je respire longuement « Peut être. » Ouais voilà, vaut mieux dire ça mais je m’attendais pas à ce que le corbeau me demande d’argumenter « Vraiment ? » et il penche la tête sur le coté en plus « Je ne suis qu’une apprentie sorcière mais…soit il me faut un balai ou soit j’utilise une icantation. » avec un balai, ce serait clairement plus simple mais on ne peut pas tout avoir.

« Je crains ne pas avoir de balai mais…une incantation ? » regardez, qu’est-ce-que je disais… le baron toujours jaugé sur le corbeau, à côté de Beth. « Oui, j’ai piqué le carnet de ma tante Zelda » et si elle s’en rend compte, elle me tue à coup de pelle mais ça, c’est un autre problème. Je sors le petit livre à la couverture rouge de ma poche et commence à le feuilleter. « Est-ce bien sécuritaire ? » eh oh, c’est pas parce que ces maudits chats nous foutent la pouasse que tout ce que je fais rate quand même ?! « Vous avez pas confiance en moi ? Je tente sur moi d’abord si ça vous arrange. » « Faites donc ! » Je respire longuement et tombe finalement sur une incantation pour voler dans les airs. J’espérais que ça fonctionnerait. Allez Brina, tu vas y arriver « Lacipum Micrift Scrampette Litch. » Mes pieds s’envolent du sol. Ça fonctionne ? Quelques secondes après, je retombe lourdement dans l’eau et pousse un hurlement féroce « NON D’UN SATAN EN CULOTTE DE MAMMOUTH BRULÉ VIF PAR LES FLAMMES DE L’ENFER, J’EN AI MA CLAQUE ! »

Le baron redresse son chapeau et le corbeau croasse « en voilà un langage pour une jeune femme. » « Je peux la comprendre, peut-être devrions nous trouver un autre moyen. » « Avec un balai, j’y serais arrivée. Je suis sûre que c’est ma tante qui a trafiquée les formules. » dis-je en sortant de l’eau avant de tenter de me sécher grâce à la magie. Ouais, fallait bien que je trouve une coupable non ? Même si je savais pertinemment que c’était juste cette fichue malchance.

black pumpkin


Malchance : 61%
Bethany : 59%


Bethany V. Monroe
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »

Bethany V. Monroe

| Avatar : Krysten Ritter

Evénement #102 : Chatperlipopette ! [Fe]  - Page 3 J6is
For years and years she tried to hide the 
whiskey on her breath... She finally drank 
her pain away a little at a time... But
she never could get drunk enough to 
get him off her mind, until the night...
Evénement #102 : Chatperlipopette ! [Fe]  - Page 3 Giphy


| Conte : Winnie l'Ourson
| Dans le monde des contes, je suis : : Bourriquet

| Cadavres : 66



Evénement #102 : Chatperlipopette ! [Fe]  - Page 3 _



________________________________________ 2018-12-23, 22:53

Evénement #102 : Chatperlipopette ! [Fe]  - Page 3 1544034977-chatpbeth2Evénement #102 : Chatperlipopette ! [Fe]  - Page 3 RLzN
Taux de malchance: 56%

Toute cette histoire commençait sérieusement à lui courir sur le haricot. Non seulement, ces abrutis de chats étaient responsable de la poisse qui l’avait suivi à la trace toute la sainte journée, mais en plus ces crétins les avaient littéralement kidnapper et emmener de force (ce qui, pour Beth, était deux choses très différentes) dans leur fichu pays où tout le monde avait un accent incompréhensible et où tout le monde était des chats ! C’était assez bizarre et illogique pour qu’elle continue à le souligner. Alors certes, elle, elle avait été une peluche vivant dans une forêt merveilleuse entourée d’autres petites peluches tout aussi pelucheuses qu’elle, mais quand même ! Dans ce monde là, ça restait bizarre…

Mains sur les hanches, elle tâchait d’essayer de comprendre ce que la petite blonde pouvait bien dire avec le chat qui était habillé très classe -elle n’avait pas vraiment saisi qu’il était de la noblesse, trop préoccupé par le fait que Saoirse ne se réveillait toujours pas, mais elle comprenait, par sa gestuelle, qu’il était un rang au-dessus des autres chats (et humains aussi, probablement), mais elle abandonna assez rapidement, finissant par attendre que l’un d’eux veuille bien se tourner vers elle et lui faire un petit résumé. Non parce que déjà lire sur les lèvres, de biais, c’était pas simple, mais avec leur foutu accent, c’était carrément mission impossible ! Autant dire que quand Sabrina se mit à léviter, Beth fit un demi bond, écarquillant grand les yeux en observant la jeune femme des pieds à la tête. Allons bon, c’était quoi ça encore ?! Depuis quand les petites blondes toute mignonne pouvaient léviter ? Bon, cela ne dura pas très longtemps, Sabrina se retrouvant rapidement les pieds dans l’eau, ce qui sembla la contrarier beaucoup, et ce fût l’instant où Bethany décida de complètement lâcher l’affaire.

-Sans moi, finit-elle par lâcher, levant les mains au ciel. Si vous me cherchez, je serais dans le premier bar du coin. Vous en faîtes pas, je trouverais le chemin, conclu-t-elle, leur tournant le dos pour empêcher la moindre tentative pour la retenir.

Après tout, ils avaient une petite blonde qui faisait de la magie, qui avait besoin d’elle ? Soupirant, elle s’éloigna du petit groupe, cherchant en réalité plus un moyen de retourner chez elle qu’un bar à proprement parler. Et puis, vu la tête qu’avait faîte Bellamy en buvant le thé que le chat-classe lui avait servit, elle préférait éviter de manger ou de boire quoi que ce soit ici. Avec sa chance, elle allait se retrouver avec des gâteaux de croquettes et des bols de lait de chatte. Non merci, très peu pour elle !  Bougonnant pour elle même, elle mit quelques secondes avant de réaliser que le chat-classe l’avait suivit, et lui faisait signe de s’arrêter.

-Vous ne souhaitez pas retrouver votre amie ? fit-il, quand elle s’arrêta de marcher, croisant les bras sur sa poitrine.

C’était vrai que Saoirse était toujours bloqué dans ce monde de chat stupide. Et Bellamy aussi. Et mine de rien, ça aurait été du gâchis, pour l’un comme pour l’autre. Elle comptait ses amis sur les doigts de la main, et ses crushs se faisaient aussi de plus en plus rare dans cette ville de fou...

-… Mouais. Et je suppose que vous avez un plan génial pour nous aider à la rejoindre?

-Il est possible d'y aller, confirma-t-il, faisant bouger son haut de forme, ce qui perturba un peu l’attention de Bethany, mais pour cela je vais avoir besoin de votre aide car il ne sera pas possible de retrouver vos amis sans de solides alliés comme vous.

-…. Et tu veux quoi en échange? répliqua-t-elle, soupçonneuse.

Rien n’était jamais gratuit en ce bas monde.

-En échange de quoi ?

-De ton aide. Personne fait rien sans rien.

-Il parait. Mais voyez vous je ne suis pas comme le commun des humains, fit-il doucement, et Bethany n’aurait pas été surprise de sentir son poitrail se traverser d’un petit ronronnement satisfait. Il me shemble nécheshaire que vos amis ne reshtent pas dans le Royaume des Chats. Ils finiraient par en devenir des habitants permanents sh'ils ne font pas attenchion.

-Bon ben on fait quoi alors? Comment on va les chercher? bougonna-t-elle, pas franchement super à l’aise avec l’idée de voir des gens qu’elle aimait bien se retrouver affublé d’un syndrôme de Stockholm nul.

Il eue l’air rassurer, semblant pousser un petit soupir de soulagement.

-A tout hasard, shauriez vous voler ?

Un jour, il faudrait qu’elle dise au monde entier qu’elle était une simple peluche dans une autre vie, et une humaine bancale et râté dans celle-ci, qu’on arrête de lui poser des questions à la con.

-…. Non, pas aux dernières nouvelles, soupira-t-elle, désabusée.

-Bien, nous ferons donc shans, dit-il, visiblement un peu contrarié malgré tout. .. Connaishez vous des oiseaux ou avez vous le mal de l'air ?

-Des noms d'oiseaux, oui, des oiseaux, non, soupira-t-elle, tellement désabusé que l’humour noir lui sembla terriblement adéquat.

Elle le vit tourner les yeux vers le corbeau, et aussitôt, Bethany se mit à secouer son index devant elle.

-Vous sous-entendez quoi là? Hors de questions que je me laisse trimballer par un corbeau qui parle!

Il y avait tout de même des limites à ce qu’elle pouvait considérer comme éventuellement possible au cour de sa vie ! Et désolée, mais un vol à dos d’oiseaux louches, ce n’était pas au programme ! Ni maintenant, ni jamais !

-Un corbeau, non, mais nous pourrions appeler de l'aide éventuellement. Nous avons le choix de pasher par la mer ou par le chiel...

-Et à pieds, c'est pas une option je suppose, maugréa-t-elle, roulant des yeux.

C’était bien sa veine à elle, qui n’aimait pas l’eau et avait le vertige…

-Bon.  Tu as l’air d’avoir une idée en tête. Fais nous gagner du temps et dis directement ce que tu veux faire.

-Je peux nous faire venir des oiseaux pour voler jusqu'au Royaume... Ou contacter un ami marin mais il est un peu lent d'eshprit. Dans les deux cas, nous devons retrouver un portails. Ils apparaissent généralement à quelques dizaines de mètres les uns des autres donc il est poshible qu'il y en est un vers l'ochéan. Choit shur l'eau. Shoit deshous. Choisishez votre préférenche

Sincèrement, Bethany commençait vraiment à avoir du mal à tout comprendre. Cet accent, c’était vraiment insupportable ! Pinçant les lèvres, elle eue une moue, avant de se retourner vers la petite blonde, la fixant du regard.

-Tu préfères quoi?

-L’air, pour sûr ! s’exclama la blonde, visiblement bien plus enthousiaste qu’elle à l’idée de se retrouver à plusieurs mètres du sol.

Ravalant ses râleries, elle hocha la tête, et le chat-classe fit une sorte de geste vers le ciel, appelant sans doute son psychopathe de copain pour qu’il appelle ses copains corbeaux louches. Franchement, toute cette histoire ne lui disait rien qui vaille et Bethany devint encore plus livide quand elle se rendit compte que, évidemment, il n’allait pas être possible pour eux de chevaucher des volatiles aussi petit… Mais que ces petites choses allaient tout simplement se glisser sous leur pieds et les soulever ! Rien que d’y songer, Bethany avait la nausée, pas la nausée vague et distinguée d’un léger malaise, non, la nausée qui vous prends aux tripes, les tords et les essore au point de vous demandez si vous évanouir ne serait pas plus classe et moins douloureux !

-Euh, finalement, est-ce que c’est possible de… Ouah!

Elle n’eut pas le temps de finir sa phrase qu’une nuée de petits oiseaux vint se faufiler sous ses pieds, la soulevant du sol. Son réflexe fut risqué, elle se crispa, serra les poings et surtout, ferma les yeux, ce qui, en l’occurrence, était autant nécessaire que franchement nul comme idée. Elle sentit l’air autour d’elle l’envelopper, se mouvoir, et glisser sur sa peau, changeant de température, et Beth comprit très vite que si elle n’ouvrait pas les yeux, elle allait perdre tout repère et paniquer. Ce qui la fit ouvrir les yeux. Et paniquer.

Bethany, l’efficacité prouvée.

Dès qu’elle ouvrit les yeux, Bethany perdit l’équilibre, partant en arrière et glissant des corbeaux qui l’avaient pourtant déjà porté sur quelques mètres ! Elle eue un cri, terrifiée et voir le monde basculé en arrière, et elle tomba de tout son long dans l’eau, se retrouvant vite aveuglée par l’eau, certes claire, mais pas vraiment prévu pour qu’elle puisse y voir nettement à travers. Paniquée, elle se débattit dans l’eau, se relevant comme elle put en crachotant toutes les insultes qu’elle connaissait ! Elle allait écorcher ce foutu chat et ses foutus potes corbeaux et les foutre sur une broche pour les rôtir et les bouffer, si ça continuait ! Excédée, trempée, et frigorifiée, du coup, Bethany releva les yeux vers le chat, les corbeaux, et la petite blonde, s’apprêtant à leur hurler encore plus d’injures, mais quelque chose l’en empêcha. Brusquement, elle sentit équivalent d’un sceau d’eau lui atterrir sur le crâne, remettant toutes ses mèches devant ses yeux, et provoquant un autre chapelet de jurons. D’un geste, elle se retourna, prête à noyer l’odieux débile qui avait oser faire ça, mais toutes ses injures se transformèrent soudain en pierres et tombèrent lourdement au fond de son estomac, dans un amas informe de terreur qui lui saisit le corps.

Derrière elle, sous la surface, une masse sombre et imposante approchant, dans une lenteur qui lui faisait penser à un monstre rampant pour sortir de l’ombre. Son corps réagit avant elle, la poussant à reculer aussi vite que possible mais une pierre se déroba sous son talon, la faisant partir en arrière, et disparaître encore une fois sous la surface. La panique lui glaça le sang en découvrant la forme trouble, mais distincte, d’une baleine sous l’eau, et elle tenta du mieux qu’elle pu de reculer, encore, et encore, jetant un regard terrifié vers le haut.

-C'est quoi ce truc?! Mais aidez moi putain!

Le baron dit quelque chose, mais Bethany ne le comprit pas, tentant encore de reculer, quand soudain, une sorte d’onde se déversa dans l’eau. La baleine s’approcha encore d’elle, un peu, avant de s’arrêter, et l’onde revint encore, chatouillant légèrement Bethany au creux de ses entrailles. Ses mains tremblaient encore, et pendant un long moment, elle fut incapable de détourner les yeux de cette… Chose, tant elle eue peur qu’elle ne l’avale toute entière.

-C’est quoi, ça? finit-elle par siffler, jetant un regard affolé au baron.

-Votre moyen de transport, visiblement.

-Quoi ?! Hors de question que je foute un pieds sur ce.. Truc! Vous êtes malade ou quoi?!

A nouveau, l’onde revint l’entourer, à croire que la baleine… Parlait ? Quelque chose comme ça, et Beth ne put s’empêcher de la considérer, avec une méfiance extrême. Allons bon, les baleines aussi parlaient maintenant ?! C’était quoi la prochaine, les brins d’herbes allaient se mettre à chanter, les fruits et les légumes aussi ?! Elle en frissonnait d’avance ! L’eau se mit à bouger autour d’elle, la crispant à nouveau et la baleine se mit tout doucement à tanguer sur le côté, sortant une nageoire de l’eau, avant de, très lentement, l’agiter vers elle et la petite blonde, puis vers elle même.

-Est-ce qu’il va falloir…? fit-elle, fixant le chat des yeux.

-Il va le falloir. Apparemment il est d'accord pour vous conduire.

Super, et en plus elle tombait sur une gentille baleine ! Elle aurait pas pu tomber sur une baleine-Bethany, qui les aurait laisser se démerder, non ?! Bon sang, c’était pas possible toute cette foutue histoire ! Elle avait intérêt à lui payer des bières à vie, la Saoirse, après tout ça ! Bellamy, ils s’arrangeraient autrement, mais c’était la dernière fois qu’elle lui sauvait les miches ! Avec une grimace, elle commença à avancer, passant ses mains à la surface de l’eau comme pour vérifier que rien ne risquait de lui sauter à la tronche, sursautant quand l’eau se mit à vibrer derrière elle, provoqué par le saut de Sabrina dans l’eau. Malgré elle, elle fusilla la petite blonde du regard, à cran, avant de continuer d’avancer, retenant à peine ses petits bruits de trouille à mesure qu’elle approchait de l’immense… Animal ? Est-ce que c’était toujours des animaux du coup, vu qu’ils parlaient, réfléchissaient, avaient même visiblement leur propre politique, et étaient doués d’une certaine forme de… D’intelligence ?

Soupirant de frustration et d’énervement, grommelant entre ses dents, Bethany finit par combler l’espace entre elle et la nageoire de la baleine, la tâtonnant plusieurs fois comme pour vérifier son existence concrète, avant de poser la main dessus, vite imiter par Sabrina, qui visiblement, pestait aussi un peu contre l’eau qui s’infiltrait partout dans ses vêtements. Bethany allait ouvrir la bouche, quand brusquement, la baleine fit un tour sur elle même, et elles disparurent sous la surface, dans un pur hurlement de terreur.
https://www.ouat-storybrooke-rpg.com/t80648-ca-pourrait-etre-pire


Aguistin R. Marban
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Aguistin R. Marban

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| Conte : Folklore européen ۩๑ L'étrange Noël de Mr Jack
| Dans le monde des contes, je suis : : Le Porte-Parole de Madame La Mort & sa personnification ☘ La muse d'Egdar Allan Poe ☘ Le porteur de poisse ☘

| Cadavres : 1958



Evénement #102 : Chatperlipopette ! [Fe]  - Page 3 _



________________________________________ 2018-12-24, 00:24

Chatperlipopette

“La jeunesse constitue un extraordinaire élément d'optimisme car elle sent d'instinct que l'adversité n'est que temporaire et qu'une période continue de malchance est tout aussi improbable que le sentier tout droit et étroit de la vertu.” Charlie Chaplin

Aguistin & les Gens & Les Chats



Aguistin était étonnement silencieux depuis que Bethany l’avait empoigné. Il avait murmuré des atrocités dans le col de son manteau qu’il avait récupéré au sol, avec sa sacoche quelques instants avant qu’elle ne débarque comme une furie, l’accusant des maux de la terre, bientôt elle annoncerait sans pression qu’il était le père du bébé. Puis ils avaient rencontré le Baron Allemand, au flegme qui n’avait fait qu’irriter un peu plus l’oiseau. Quand il avait proposé du thé, le jeune homme avait sentit que cela n’était pas une bonne idée d’accepter. Il avait été tenté de refuser, non … il allait refuser mais Candice lui avait donné un coup de coude dans les côtés pour qu’il accepte. La politesse soit disant … mais pourquoi faire ce genre de marque de respect quand on ne respecte pas les personnes qui vous invitent ? Alors le jeune homme avait accepté, en faisant un rictus moqueur et avait recraché aussi sec le liquide de sa bouche, au goût infecte, une sorte de mélange médicinal de fleurs séchés, d’eucalyptus et de smecta, avis au connaisseur. La pression montait petit à petit, pour preuve, les bouts de peau qu’il s’arrachait au niveau de pouce mais il ne disait toujours rien, sans doute le regard compatissant de Bellamy l’aidant à ne pas protester. Et là, le drame commença à se dérouler. Déja un chat avait osé le toucher, le mettant sur son dos pour le trimbaler on ne sait où. Il avait bien entendu crié, protesté mais les chats étaient trop rapides dans leur course qui ne dura pas longtemps finalement. Ensuite, Candice, cette traîtresse, lui avait lancé Mucha comme un ballon de rugby. Par pur réflexe, qui lui servait beaucoup, il l’avait rattrapé, mais laissé aussitôt tombé au sol, s’essuyant les mains sur son manteau comme s’il avait touché la peste, chose qu’il préférait par ailleurs, milles fois mieux tripoter. Et enfin, l’apocalypse était arrivée en apothéose, on l’avait poussé dans ce portail, et il s’était évanoui, pour changer. Le réveil était brutal. Lui qui pensait être sur le canapé de Tibérius, prêt à reprendre sa partie de Death Island, tomba mentalement de haut. Il n’était pas chez le faucheur, et en plus il avait rapetissé. Ses angoisses qui explosaient le taux normal le firent totalement déraillé, son côté instinctif reprenant le dessus, en voyant le chat, beaucoup plus gros que lui. Alors quand Saoirse, qui s’était enfin réveillée, posa innocemment sa question, il explosa. Un rire étrange résonna dans la vallée, entre le croassement et l’hystérie. Aguistin se tourna vers Sasa, pointa un doigt vers le gros chat pour le désigner et prononça la sentence d'une voix froide, d’outre tombe. “Bien sur que non il ne plaisante pas ! Les chats n’ont pas d’humour !” Et puis, il ouvrit les vannes, parce qu’il avait bien trop attendu, un miracle en vrai. “Puis t’façon vous savez quoi ? Allez … tous … vous … faire … enculer ! J’en ai ma claque merde ! Je l’avais dit ! Mais je l’avais dit qu’on allait tous mourir à cause de ces fils de pute !” Candice connaissait la tempête que pouvait être l’ancien oiseau, mais pour les autres, la première fois était sans doute d’une violence sans pareille, alors qu’il s’agitait de plus en plus, sa voix rauque oscillant entre l’aigue et le grave, ses traits n’ayant quasiment plus rien avoir avec le doux garçon mélancolique de la place de Storybrook et son aura devenant de plus en plus noire. “Vous avez pas voulu m’écouter ? Tant pis pour vous ! Vous allez crever dans d’atroces souffrances dont je me nourrirais ! Putain de Grand Dépandeur D’andouilles! ”

Saoirse, choquée par tant de violence dans la bouche d'Aguistin se fit mine de boucher ses oreilles délicates, détournant la tête. Quand elle pensa que c’était fini, elle le regarda avec des grands yeux rondes, ne comprenant pas ce qui était entrain de se passer chez le jeune homme ainsi que dans la vallée. Elle lança un regard inquiet vers Candice, qui n’y faisait même pas cas, tellement habitué par le tempérament colérique de son ami puis Bellamy et pour finir le chat. "Vous lui avez tapé sur la tête ? Parce qu'il était gentil tout à l'heure !” Aguistin, dont les oreilles traînaient souvent partout comme son être par ailleurs, houspilla. “ Taper ? Pire ! Ta copine l’alcoolique là … cette espèce de folle furieuse sourde comme un pot … m’a agressé … Alors franchement ça suffit la gentillesse … j’aurais du te laisser crever au milieu de cette place et me casser au lieu de rester à tes côtés … Elle a cru que j’allais te violer ou je ne sais quoi … Sérieusement … une femme enceinte … Sorry not Sorry mais c’est pas mon trip … Puis merde … trop de trucs pourris viennent d’arriver, j’ai été calme, j’ai pris sur moi mais là … ta question d’espingoin … c’est la goutte de lait qui fait déborder le pot !” Bien entendu, Saoirse prit la défense de son amie, pointant à son tour un doigt accusateur. "Alors déjà, Bethany est sourde mais ce n'est pas sa faute alors tu n'as pas le droit de lui le reprocher ! Ensuite évidemment que non tu n'allais rien me faire, merci de m'avoir aidé si je me suis endormie, j'ai tendance à le faire un peu partout et n'importe comment alors... C'était gentil. Elle est un peu brute mais au fond je sais qu'elle ne t'en voulait pas. Sûrement. Je ne sais pas où elle est mais j'en suis sûre." Parler vite et fort n’entraînaient qu’une chose, la respiration de bébé baleine, alors elle fit une pause, avant de reprendre. "Et puis, il n'y a aucun pingouin ici alors laisse les tranquille ! Il faut se calmer un peu au lieu de se mettre à insulter tout le monde, tu viens pas d'un disney toi c'est pas possible !" Aguistin se prit le visage dans la main en poussant un énorme soupir, faisant un drôle de bruit avec ses lèvres. “Et toi c'est clair que tu viens de là à la vue de ta connerie flagrante …C’est pas possible sérieux ... et sinon bien sur que non j'viens pas d'un disney et puis quoi encore ! ... Mon monde est dix milles fois meilleur vu que c'est celui d'Halloween Town ! Là où on se nourrie de la peur et des angoisses d’autrui en faisant les meilleurs fêtes de l'univers ! Genre jacuzzi de sang et orgie grandiose ! Tu demanderas à ton nouveau copain hein ! Livio est un pro dans l'game du dernier truc.” Agrippant la lanière de sa sacoche, il la serra fermement reprenant sa logorhé verbale qu'il n'avait jamais vraiment arrêté. “Puis pour l'autre tarée ...est ce que je lui ai reproché non ! Je me moque ! Pourquoi on pourrait pas se moquer des handicapés ? Tu fais parti de ces gens qui kiffent l’écriture inclusive et qui sont froissé dès qu’on fait une blagounette sur les handicapés où la Shoah ? Et bah putain … BREF ! Enfin non, elle mérite même pas la moquerie tellement que c’est une connasse ! C’est bien elle m’a traité de roi des cons mais elle, c’est l’impératrice des Grognasses ! T’façon en vrai je m’en branle j’la connais pas, et j’ai pas envie d’en savoir plus.” Dans une maturité sans précédent, Aguistin tira la langue avant de se retourner pour avancer dans la vallée. “Je vous emmerde et je rentre à ma maison !” Bien décidé à rentrer chez lui pour essayer d’améliorer sa fin de soirée qui partait totalement en cacahuète, il partit d’un pas décidé vers le bas de la vallée, mais ça, c’était avant que Mucha l’attrapa par le col pour le soulever, et le secouer légèrement. "Ola le garnement, tu comptes aller où comme cha ? Tu crois que tu peux te promener tranquillement ichi sans rien rishquer ? Le seul moyen de rentrer chez vous et droit devant nous." Les sirènes de la ville de Storybrook s’étaient sans doute calqué sur la voix dudit garnement tant la puissance et le son étaient en train de percer des tympans de toutes les personnes présentes ici, et à des kilomètres à la ronde. “Lâche moi sale chat putain ! Lâche moi ! Je le savais, je le savais ! J'vais t'crever les yeux !’ La peur se lisait clairement sur son visage, cette angoisse ancestrale de la chaîne alimentaire. “Rend moi ma taille que je me barre d’ici !” Mucha, blasé de sa réaction, le secouant encore une fois, faisant preuve néanmoins de ce sadisme si connu des chats. "Je ne vais pas te manger, je n'aime pas les bipèdes et encore moins les volatiles trop bavards." Roulant des yeux. il ne le cache pourtant pas tout de suite. "Je ne contrôle pas cette magie. C'est le Royaume qui fait chat. Pour retrouver votre taille il faut sortir d'ichi avant l'aube.” “C’est ça et moi j’suis Mylène Farmer …”

Se taisant pendant quelques secondes, croisant les bras sur sa poitrine, toujours tenu par le chat, Aguistin regarda la tour qui semblait immense. “Ok bah qu’est ce qu’on attend pour se barrer d’ici ? Si la princesse au nénuphar veut se marier à un chat c’est son problème … mais nous, on a rien demandé … alors y a pas une sortie de secours ?” “Non. DU moins pas à ma connaishanche mais...On peut eshayer de demander au village de chats un peu plus loin." De sa patte libre, Mucha montra les petites maisons en bas de la colline. S’agitant toujours, n’ayant pas perdu l’espoir de s’échapper d’ici, Aguistin essayait d'emmagasiner tous les informations possibles. “Sinon il faut faire quoi concrètement ? Parce que là, le langage sibyllin des félins me court sur le haricot … Balance la sauce et explique nous enfin tout en détail !” 'Il faut monter à la tour du palais. Tout en haut." Le chat, qui en avait soit marre de tenir une puce, soit peur de se prendre un coup dans le ventre, posa enfin, plutôt délicatement le garnement sur le sol. Immédiatement, il s’éloigna de lui, et de tout être humain tout en s’époussetant. Et pourquoi diable Emilien n’était plus là ? Des tonnes de questions qui se bousculaient dans sa tête mais qu’il priorisait. “Pour le mariage c’est ça ? Et c’est quoi les clauses du contrat ? Non parce que dans ce genre de truc pourri … y a toujours des petites lignes, comme quand t’achète un truc sur le site chinois, je me souviens plus son nom, pas cher et qui te promet mont et merveille ! C’pour ça que j’ai dit à Tib’ que c’était d’la merde ça … un vrai piège à con …” Et d’un murmure, il rajouta plus pour lui que pour les autres. "Parce que y a tellement plus de façon de prouver que tu tiens à quelqu'un que de signer un bout de papier face à un dieu en carton". Saoirse, débarqua comme une fleur, de sa voix fluette et joviale. "Attendez attendez.. Qui doit se marier en fait ? Je n'ai pas suivi..." Le chat et le corbeau eurent bizarrement le même regard à cet instant précis, avant que la belle blonde ne rajoute de l’eau à son moulin. "Quoi ? Attendez, vous ne parlez pas de moi quand même ?!" Forcément, Aguistin et son cynisme passa par là. "Mais même Tosia qui pourtant n'avait pas de cerveau était moins con que toi …là on a dépassé le cliché sur les blondes..." Se tournant vers la dudite blonde, il continua, empli d’une agressivité détonnante. "Toi ‘spece de nénuphar ! Juste je te rappelle que tout ce qui se passe c'est ta faute ... TA et UNIQUE faute ... Parce que tu as sauvé ce bâtard de chat .. Et que TU as accepté ce PUTAIN de mariage à la con en nous embarquant comme témoins de ce spectacle grotesque" Saoirse, perdue, la lèvre tremblante, fixé le jeune homme intensément. "De... De ma faute ?...Mais je... j'ai juste... J'ai juste sauvé un chat et... Et j'ai pas demandé à être là et... Et j'allais pas le laisser mourir sous les roues du camion et... Et pourquoi tu es méchant avec moi à la fin ?!" Bien entendu, tout ceci était trop pour la femme enceinte qu’elle était, foutues hormones, et les larmes arrivèrent rapidement, submergeant son visage. “Bien sur que si tu devais le laisser mourir ! Tout le monde meurt un jour où l'autre et quand tu intercedes ça fait des merdes ! Là c'est un chat ... imagine quand tu fais pareil avec un humain ... La colère de Madame la Mort c'est un truc de ouf … en fait j’suis même pas étonné de ce qui nous arrive mais moi j’ai rien fait ! J’ai toujours bien fait mon travail alors j’vois pas pourquoi j’aurais dû être puni ! Quand j’fais une bêtise allez à la limite mais là Merde ! Et j'suis pas méchant mais juste réaliste ! T'avais pas qu'à dire oui quand le chat a demandé voulez vous épouser le prince ? Donc oui c'est ta faute si on a que des emmerdements encore plus emmerdant que d'habitude ..."

Toujours les bras croisés, Aguistin se fichait comme de sa première chaussette que la jeune femme pleure, ce n’était clairement pas ça qui pourrait l’attendrir, bien au contraire. De plus, lui assumait les bêtises qu'il pouvait faire, la plupart du temps, alors il ne voyait pas pourquoi Saoirse changeait d’avis. C’était elle qui était partante pour ce voyage pourri, alors c’était quoi ce cinéma qu’elle faisait ? "Donc maintenant tu arrête de faire la fontaine, tu fait ton plus beau sourire ce qui n est pas difficile parce que t’es mignonne et tu vas choisir ta putain de robe de mariée... dommage que ta patronne ne soit pas là il paraît qu'elle kiffe ça... Enfin c'est River qui me l’a dit, il paraît qu’un jour elle a même volé une robe de marié, et après ça fait la morale halallaa ce foutage de gueule.” Tandis que la voix d’Aguistin se radoussisait un peu, Saoirse s’était tourner depuis un petit moment dans les bras de Bellamy pour pleurer et ne plus l'écouter. Entre deux sanglots, tout le monde pu entendre quand même un "mais j'ai jamais dis que je voulais me marier moi !" Mucha se rapprocha légèrement, la patte sous le menton. "Tu vas devenir une princheshe, cha devrait te faire plaisir non ?" "Mais je suis déjà une princesse !!!!!!" Elle pleurait toujours contre le torse de Bellamy qui écoutait la conversation, sans doute désemparé. Aguistin tira sur les mèches brunes qui clairsemaient sa chevelure blonde. Visiblement s’il ne l’aidait pas, il ne pourrait pas rentrer, et vivre pour toujours dans un royaume des chats était tout simplement inimaginable, surtout qu’il pouvait sentir son lien avec le faucheur diminué de plus en plus, l’angoissant encore plus, si c’était possible. Et puis, une autre chose le taraudait. Même si Sasa ne se souvenait pas d'avoir dit oui, elle était partie pour faire un mariage forcé, et ça, il ne pouvait pas l'accepter. Il avait bien fait un caprice à la Mort à cause de ça part rapport à Dolorès, le traumatisme que la jeune femme avait vécu des siècles auparavant, toujours incorporé dans son propre être. “Et qu’on ne vienne pas me dire haaaan les princesses sont pas en détresses #FeministPower hein !” Dos au groupe, il s’avança vers la tour, en haussant les épaules, n’écoutant pas les paroles des autres, ayant sa propre idée en tête. "C’bon là ! J’ai compris … Vu que Madame annule... Et que je suis spécialiste de l'annonce des mauvaises nouvelles je vais aller le dire moi même à son prince en papier mâché qu’elle le veut plus ! Puis il parait que j’suis spécialisé aussi dans le brisage de couple, enfin on me prête beaucoup de spécialisation que je n’ai pas..." Rigolant, il continua sa marche, décidé, qu’on le suive ou non. Il prit alors le chemin en pente, et forcément, sa poisse n’ayant pas agi depuis plus d’une dizaine de minutes s’activa au moment où son pied se posa dans un trou, emmêlé par une racine, la totale. Sauf qu’il n’avait pas pensé à une chose, sa taille. Alors il roula, tout en essayant de se relever mais sans succès, s’écorchant les genoux, les bras et le visage. Ce n’est que quand il cogna contre la première maison en périphérie que sa course dangereuse se stoppa. “Putain !” Les dents serrés, il resta allongé quelques minutes, comprimant la plaie sur son front, faites par les briques, qui s’était rouverte. “J’vous butterez tous si jamais j’reste ici ...que Madame la Mort m’en soit témoin … Ras la casquette de ce bled pourrave !”


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b l a c k f i s h


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For years and years she tried to hide the 
whiskey on her breath... She finally drank 
her pain away a little at a time... But
she never could get drunk enough to 
get him off her mind, until the night...
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________________________________________ 2018-12-26, 21:43

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Dès qu’elle fut attirée sous l’eau, Bethany n’eut plus que deux réflexes. Celui de s’agripper de toutes ses forces à la nageoire de la baleine, dans l’espoir fou de ne pas couler à pic, bien que le fait de lâcher cette fichue baleine lui aurait certainement permit de remonter à la surface, et celui d’ouvrir la bouche pour hurler. Ce qui eue l’effet agréable d’emplir sa bouche d’eau, de vider à moitié ses poumons et de remplir son corps d’une panique si pleine et entière qu’elle sentit rapidement ses mâchoires s’entrechoquer tant elle tremblait comme une feuille. Bethany n’aimait pas l’eau, mais pas au point de paniquer ainsi, non. Ce qui la tétanisait de panique, c’était le fait de ne plus rien voir. Pour elle, c’était comme mourir. Ses yeux étaient devenus ses oreilles, son seul sens capable de compenser son handicap. Fermer les yeux, c’était se mettre en danger. Ne pas bien voir, c’était se mettre en danger. Plonger sous la surface, c’était accepté de ne plus du tout être maîtresse de la situation. Et cela, Beth n’y était pas du tout préparée ni même d’accord !

Si elle n’avait pas été entourée d’eau, elle aurait sans doute réalisé qu’elle avait fondu en larmes et que toute trace de la fille forte et fière qu’elle était s’était fondu dans l’eau obscure et froide environnante. Putain, c’était la trouille qui l’avait vidé de toute chaleur où l’eau était littéralement glaciale ?! Il était où ce royaume des chats, au Canada ?! C’était pas possible putain, elle n’allait pas mourir comme ça ! Elle avait survécu à tout, au handicap, à sa mère, à Mike, à la vie, et elle allait mourir noyée par une foutue baleine au royaume des chats ?! C’était pas possible, c’était une foutue blague pas drôle ?! C’était…

Elle sentit une sorte de frôlement, quelque chose de bizarre, et soudain, une sorte de bulle de savon entoura sa tête, jusqu’à son cou, comme un casque de cosmonaute et l’air revint enfin dans ses poumons au bord de la syncope ! Le réflexe vint de lui-même, Bethany se mit à respirer de grosses bolées d’air, avant de chercher des yeux l’origine d’un tel miracle ! Près d’elle, à peine à une longueur de bras, la petite blonde leva le pouce, comme pour la rassurer et Bethany se rendit enfin compte que, oui, elle était en train de pleurer comme une madeleine. La gorge trop serrée pour parler, elle articula un ‘merci’ débordant de gratitude, ses doigts s’agrippant encore plus à la nageoire froide de la baleine. Si un jour on lui avait dit qu’elle devrait sa survie à une môme de lycée… Elle aurait probablement pu y croire, mais pas en de telles circonstances !

L’eau autour d’elle continua de s’assombrir, si bien que Beth mit un certain temps à réaliser que la petite blonde n’était pas la seule à l’accompagner sous l’eau, mais que le baron-chat et son corbeau de compagnie disposaient eux aussi d’une bulle d’air en guise de casque de survie. Pour être honnête, à ce stade, le cerveau de Bethany avait activé l’option ‘Abandon’ et elle se contenta de tenter de discerner les contours de ce vers quoi la baleine semblait vouloir les enfoncer. Mais tout ce qu’elle vit, ce fut des bancs de sable aux couleurs grisâtres, des rochers vaseux et quelques poissons chats absolument répugnant qui lui confirmèrent que les animaux marins étaient définitivement des monstres à part entière. Pourtant, ils ne semblèrent pas agressifs, l’un d’eux s’approchant même gentiment de Bethany au point de la frôler mais elle se crispa aussitôt, dégainant un coup de pied au poisson et s’agrippant plus encore à la baleine, qui continua sa route vers les tréfonds avec lourdeur et lenteur.

Tout ce petit trajet sur-réaliste et effrayant dura beaucoup trop longtemps aux yeux de Bethany mais quand elle réalisa qu’il touchait à sa fin, son cerveau cessa définitivement de fonctionner, comme lorsque, plus jeune, elle prenait du LSD et se retrouvait entière plongée dans de douces hallucinations dont elle ne questionnait ni la cohérence ni la logique. Quelque chose, devant eux, se mit à luire, comme un miroir sur lequel l’on aurait braquer plusieurs lampes, ce qui, déjà en soit, était extrêmement bizarre. Mais ce qui était encore plus bizarre c’était que cette chose se mettant à luire n’était en réalité pas une chose concrète. Non. Il s’agissait d’un espace abstrait. Dont les contours étaient des poissons chats. Qui nageaient. Doucement. En cercle. Et créant donc un espace luisant. Sous l’eau.

Autant dire qu’à ce stade, TOUT était potentiellement possible. Donc rien n’était surprenant.

Absolument PLUS RIEN.

Donc quand la baleine vrombit légèrement sous la paume de Bethany, et qu’elle commença à prendre de la vitesse, cela ne la fit qu’à peine réagir, fixant l’hallucination mentale qu’elle avait sous les yeux. De la même façon, elle ne montra pas grande réaction quand la baleine, dans un mouvement certes mou, mais légèrement plus rapide que tout ce qu’elle avait fait jusque là, fit une sorte de freinage (si tant est qu’on puisse freiner sous l’eau), se cabrant. Cela dit, elle eue une réaction tout à fait normale quand la baleine envoya sa nageoire vers l’avant, balançant les deux jeunes filles en direction du miroir lumineux.

Elle hurla de toutes ses forces, ses yeux se fermant par réflexe. Si elle devait mourir, elle préférait finalement ne pas le savoir. Son cri fit exploser la bulle d’air, provoquant chez elle une sorte d’arrêt cardiaque prolongé, tout son corps se crispant violemment tout en battant des pieds dans un réflexe de survie et tout à coup, la tête de Bethany émergea de l’eau, tout son corps se débattant brutalement contre l’hallucination qu’elle venait d’avoir. Ses pieds se mirent à bouger frénétiquement pour rester à la surface, ses mains agrippèrent la première chose à sa portée -une sorte de margelle- et toute son énergie se concentra sur la tâche unique de sortir de ce réservoir d’eau dans lequel elle se trouvait désormais.

Ce que Bethany réalisa bien plus tard, ce fut que le réservoir en questions était en fait une fontaine, et que, après s’être laisser tomber sur le bon vieux sol ferme et dur, et respirer de très longues bouffées d’air frais, elle se trouvait très probablement dans une sorte de village puisque, tout autour d’elle, de petites maisonnettes digne de la plus créative des petites filles modélistes formaient une sorte de centre-ville dense. D’ailleurs, de nombreux habitants dudit centre-ville lu jettèrent de petits regards, allant de la surprise polie à l’indignation. Il y en avait pour tous les goûts, des chats blanc, crème, roux, tâchetés, tigrés, bouffant, à poil ras,mais tous avec la même particularité : ils marchaient tous sur deux pattes. Comme des humains.

Mais après tout, elle venait de passer dans un miroir impalpable sous l’eau formé par des poissons-chats et était ressorti dans une fontaine.

Plus aucun sens vous dis-je.

Elle respira encore plusieurs fois avant de se redresser, plaquant ses cheveux en arrière avant de chercher la petite blonde des yeux, qui était en train de vider sa chaussure de l’eau qu’elle contenait et Bethany eue un geste qu’elle ne faisait pourtant pas souvent, encore moins avec une quasi inconnue : elle la prit dans ses bras. Maladroitement, gauchement, mais c’était vraiment sincère.

-Merci, articula-t-elle, d’une voix rauque.

La petite blonde eue l’air surprise, voir même un peu gênée, lui faisant visiblement signe que c’était pas grand-chose, mais Beth se jura que personne ne ferait de mal à cette jeune femme tant qu’elle serait dans les parages ! Du regard, elle fusilla d’ailleurs une chatte blanche à chapeau large qui les dévisageait, ce qui la fit accéléré le pas, avant d’aviser le baron-chat qui essorait son veston d’un air las et un peu contrarié.

-Vous, fit-elle, le désignant de l’indice, on peut savoir pourquoi vous avez essayer de nous tuer?

-Il y a plusieurs moyens de venir ichi, fit le chat, l’air contrit, et, malheureusement, chelui-chi à déchidé pour vous.

Bethany aurait aimé le saisir par la peau du cou et lui expliquer que la prochaine fois qu’il lui faisait un coup tordu de la sorte, elle le transformait en toque de fourrure, mais un petit nez humide frôla sa main et Bethany fit un bon, prête à envoyer son poing dans le décor. A sa droite, un joli petit chat blanc, au sommet du crâne tigré et pourvu d’une petite tâche noire au niveau de la mâchoire, l’observait avec de grands yeux.

-Non mais ça va pas ?! T’es malade ?! Qu’est-ce que tu veux?!

-Vous chentez teeeeeeellement bon miademoiselle ! miaula le chat, battant des paupières plusieurs fois, les yeux luisant d’une sorte d’excitation heureuse que Beth ne voyait désormais que dans les yeux des petits enfants lorsqu’on installait les vitrines de Noël. Une odeur de... de... De POICHON !

C’était bien sa veine ça aussi… Voilà qu’un chat, de sa taille, se mettait à la renifler comme une espèce de… Prédateur ? Vu sa tête, elle aurait presque dit d’admirateur, mais franchement, cela devenait sacrément gênant…

-Mais… je… Arrêtez! fit-elle, reculant de quelques pas pour lui retirer son bras, qu’il avait tendu devant elle pour le renifler.

-Miademoiselle, vous shentez shi bon.... Puis-je vous demander votre prénom?

-Non mais lâchez moi!

-Che me nomme Neville, et je chuis le second fils du Grand Shocrate, le prechtidigitateur! Voulez vous voir un tour de machie?

Il eue un sourire -ce qui était vraiment effrayant sur des babines de cette taille- et soudain, dans son champs de vision, Bethany aperçut une fleur, qu’il venait vraisemblablement de tirer de ses cheveux encore trempés. Il la lui tendit, la glissant entre ses doigts, avant de serrer sa main entre ses deux pattes pleine de coussinets.

-Miademoiselle, vous feriez une merveilleuse ashistante! C'est votre odeur naturelle? Vous dishtrairiez merveilleushement l’attention des shpectateurs, nous ferions un shublime duo !

Mais pourquoi, nom de Dieu, est-ce qu’elle avait la poisse à ce point ?!!
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Qu'est-ce qu'il me veut lui ? Tiens moi ça j'vais l'défoncer à la course

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Quels pots d'colle ces exs...


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________________________________________ 2018-12-27, 22:57



bad luck
You're downhearted and confused, because baby, you've been startin' to lose. Losin' out on everything you might try to do. Bad luck, fella, 's got a hold on you. Losin' your money, 'bout to lose your home. Done lost your woman and everything's wrong. Law of average plainly states that chances go around. But if you wanna know the truth about it, I'll tell you what's pulling you down, yeah. You got bad luck, that's what you got, that's what you got, yes, sir !
MUSIC !

Candice avait haussé les sourcils pour deux raisons. La première en était une plutôt bonne, puisqu'elle fut bien évidemment surprise de leur nouvel état, minuscule parmi les herbes et félins devenus bien plus imposants par rapport à eux. La deuxième raison fut la surprise de pouvoir encore être surprise à ce point, alors que la précédente surprise semblait déjà être la plus surprenante qu'on puisse faire.

Oh, et aussi parce que C'est quoi cette explication pourrie ? On a la taille d'Octavius et Jedediah, et tout ce que tu trouve pour nous l'expliquer c'est "C'est parce qu'on est au Royaume des chats" ? Tu as conscience que ça répond pas du tout à la question ? On a même pas une taille de chat, y avait plus de logique dans Alice au Pays des Merveilles. Elle s'était retourné vers Bellamy pour lui dire plus bas : Sans vouloir te vexer.

Elle avait également commencé à ouvrir la bouche, pour réagir à la question fort désagréable du chat qui les questionnait stupidement à propos de leur envie de rester en vie, mais elle fut interrompu par la furie d'Aguistin. Si dans un premier temps elle haussa (de nouveau) un sourcil, sous la surprise de ne pas l'avoir vu comme ça depuis un moment, elle n'eut cependant aucune crainte, au contraire, à rebondir sur sa méchanceté gratuite envers la pauvre future maman.

Hephephep ça on a pas le droit, rien ne justifie d'insulter - Les gens mignons - Les gens défavorisés du genre avec un prénom hyper douloureux - Les tortues - James (qui est une torture mais spécialement lui) - Les futurs mamans (à part celles qui boivent) - Chris à moins d'être sa soeur jumelle qui possède toutes les autorisations. Il se trouve que Saoirse correspond à trois de ces éléments listés. Elle posa les mains sur ses hanches, un rictus moqueur sur les lèvres. Mister n'a jamais peur de la mort, au point de s'en vanter devant tout le monde et de la provoquer, et d'un coup il s'affole devant des chats et des Cher-chat enceinte ? Elle oublia même de s'excuser auprès de Saoirse pour le jeu de mot bancal sur son prénom. T'es devenu sensible dis donc, c'est inquiétant.

En revanche, elle n'oublia pas de s'approcher de Bellamy, dans les bras duquel la princesse insultée s'en était allée pleurer. Elle posa une main amicale et douce sur son épaule. Faut pas faire attention à ce qu'il dit. Faut juste se souvenir que quand il est comme ça, il dit des trucs qui servent à rien, faut pas écouter, c'est pas hyper simple de laisser passer, c'est vrai, mais faut pas que ça t'atteigne, ma grande.

Mais concernant la seconde raison pour laquelle Saoirse pleurait... Candice était bien consciente que des simples mots réconfortants ne sauraient la consoler dans l'immédiat, puisque c'était la menace d'un mariage forcé qui planait sur elle.

Ca suffit Agui ! Haussa-t-elle la voix plus sérieusement cette fois-ci. Tu pète un bon coup, mais tu arrête d'être aussi chiant avec elle, c'est pas toi qu'on pousse au mariage je te signale et...

Tu vas devenir une princheshe, cha devrait te faire plaisir non ? Avait dit le chat à Saoirse dans leur propre échange.

Fire Candice is here.

Les sourcils froncés, une main sur la hanche droite, le pied gauche qui tape par terre, la barmaid aurait pu lancer des éclairs avec ses yeux rien qu'avec la colère qu'elle lançait au félin avec ses yeux uniquement. Il veut dire quoi l'allergie géante ? Que pour contenter une femme il suffit d'un mec riche, accessoirement prince, en mariage pour lui faire profiter ? Saoirse est une princesse ouais, et figure toi que ça veut pas dire que c'est qu'une pauvre fille faible et misérable qui profite d'un prince viril et probablement con, pédophile ou nécrophile (j'ai oublié de quel Disney elle venait). Nope, c'est une princesse, et elle pouvait être princesse, reine, barmaid, ou éboueuse mon p'tit gars, elle reste une femme, et quand une femme va t'arracher ta fourrure de petit sexiste, tu comprendras la force qui se dégage du mot femme.

Elle maitint son regard encore quelques secondes, silencieuse, pour continuer à l'intimider. Alors ton prince à la noix, il a qu'à se masturber devant je-ne-sais-quel-site pour adulte que vous pouvez avoir dans votre Royaume, s'il a tant besoin d'une donzelle pour croire que c'est un mec incroyablement viril. Et j'ai été bien gentille de pas relever la zoophilie de l'acte (parce que à Storybrooke y a eu pire, alors soit, je laisse couler).

Elle suivit d'ailleurs Aguistin du regard par la suite, avec un sourire fier de le voir également contre cette idée de mariage forcé. C'est pourquoi elle s'était retenue de rire quand il tomba tristement, s'approchant de lui pour le relever comme elle put avant de se retourner vers le chat une dernière fois. Ouais, c'est ce qu'on va faire tient. Lui dire en personne ce qu'il doit faire avec son intimité, puisqu'il n'y aura pas de mariage. Et vous avez pas vu de quel bois je me chauffe, je sais pas quel gout ça a la viande féline, mais je suis certaine que dans mon monde de tarés, je peux en trouver plein d'amateurs.

Candice entendit cependant Saoirse renifler, de quoi la détendre de sa colère lorsque la princesse la remercia silencieusement en venait lui faire un calin qu'elle lui rendit volontiers. C'est donc près d'elle que Candice resta, non loin de Bellamy, mais certainement pas à côté du chat géant pour s'épargner une allergie encore plus forte. La petite marche du groupe finit alors par conduire leur pas dans un nouveau village de félins anthropomorphes. La surprise n'était plus dirigée cette fois envers ce village atypique, puisque l'environnement semblait déjà familier, mais plutôt vers... Bethany et Sabrina, retrouvées auprès d'un chat qui leur faisait des tours de magie.

Ce qui est sûr, c'est que c'est pas le stress qui va nous tuer manifestement. Elle tourna un regard amusé vers Aguistin. Tu entends ? Tu peux te détendre.

Juste pour être sûre, elle utilisa la potion magique anti-allergie de Bellamy une nouvelle fois, avant de s'approcher doucement, le même sourire amusé sur les lèvres et les bras croisés. Votre approche amicale est originale, finit-elle par commenter. Et pas si mal d'ailleurs, de notre côté ça a surtout crié.

Elle parla alors précisément à Bethany. Quand tu auras un moment de libre dans ce nouvel agenda d'assistante de magie, je crois que Saoirse serait contente de te revoir, j'ai du la défendre contre un stressé et un chat sexiste, elle vit pas sa meilleure journée.

Comment ça?! Où elle est?! S'inquiéta-t-elle immédiatement.

Candice se contenta alors de s'écarter, pour qu'elle puisse la voir derrière elle, laissant Bethany se précipiter vers son amie qui s'étonna de la voir toute mouillée, et c'est vers le chat que la barmaid a sermoné plus tôt qu'elle se tourna finalement. Et maintenant ? La magie nous emmène au prince ? Je dois avouer que c'est marrant mais l'idée de devoir fuir un mariage ça coupe le fun dans ce qui est marrant.

Mais c'est le magichat qui répondit, intrigué. Un mariache?! Mais ch'est une chuper manière de devenir connu! Qui chont les mariés?!

Candice soupira, avant de répondre simplement : Sérieux ? Ca vous plait ? Bah super, les mariés c'est le prince, et vous même. Félicitations.

Moi ? Fit-il aussitôt, naturellement surpris.

Vous même. Le prince allait se suicider sous le chagrin quand le mariage a été annulé, alors l'ordre royal c'était de la marier avec le premier mignon qui adore les mariages. Bah c'est vous. Allez prévenir votre mère rapidement, elle va vouloir bien s'habiller pour l'évenement, et ça prend du temps.

Quoi? Mais je... Mais non! Mais ... Quelle surprise!

Ah bah c'est encore mieux quand c'est surprenant ! Quel romantique ce prince. Heureux ?

Bethany s'approcha de nouveau vers Candice, une fois qu'elle eut finit de faire ses reproches à Saoirse pour finir par la consoler. Bon, la sortie c'est où?!

Miademoiselle, vous, vous ne préférez pas vous marier, vous?! Je vous offre le spectacle de magie! La question tira un sourire à Candice.

Alors rentre toi ça dans le crâne: tu es un CHAT, pas moi. Alors lâche moi. Toi, fit-elle en pointant Candice du doigt, où on court?

D'abord, elle leva deux doigts vers elle, pour lui dire d'attendre deux secondes, avant de se tourner vers le magichat. Nooon elle peut pas, le prince a dit y a à peine 5 minutes qu'il veut se marier avec uniquement un chat qui a un pelage de la même couleur que le votre. Le destin, que voulez-vous, le destiiiin, fit-elle sur un ton mystérieux. Vous avez vraiment manqué cette annonce ? Pas de bol, mais rien de grave, il veut juste se marier et partir en lune de miel avec vous. Vous mangez du miel ?

Cette fois-ci, elle fit en sorte de s'adresser autant à ce Neville qu'à Bethany, pour répondre à la dernière tout en parlant avec le premier. On doit vous accompagner à votre mariage, histoire de parler au prince des derniers changements. Donc on doit alleeeeer... Elle continua à tenir la dernière note jusqu'à ce que quelqu'un veuille bien compléter sa phrase en lui disant où se tenait ce mariage ridicule.

... Mais c'est quoi cette histoire à la con?

Chut casse pas tout, j'attends qu'on complète ma phrase, mais l'autre chat me fait peut être la gueule depuis que je lui ai crié dessus.

Après moi che peux vous conduire mais ch’est comme vous voulez. Si vous reshtez ichi vous ne pourrez plus rentrer chez vous. N’esh-she pas Baron ? Parla enfin ce nul de Mucha qui eut un nouveau regard plein de reproches de la part de la barmaid.

C'était avant qu'il fallait parler, gros naze. Et tu parle tout seul, le Baron n'est même pas là. Elle s'en étonna d'ailleurs, se tournant vers Sabrina et Bethany. C'est vrai ça, vous l'avez paumé où ?

Mais, à défaut de Baron, ils virent le chat messager du début de cette aventure sans aucun sens. Vous voila miademoiselle !!!!!

Le messager du roi !

Alors que Bethany s'agrippait à son amie pour la protéger. Candice s'avança aussitôt. Pourquoi vous êtes aussi heureux de la voir ? Encore un nul qui pense au mariage ? Demandez à votre pote comment il a rougit quand je l'ai engueulé pour ça. Alors le messager, il serait prier de nous messager chez le prince pour qu'on lui dise qu'il va pas se marier ! Et surtout qu'il est tellement dégueulasse ce dictateur, à chercher des femmes de cette manière, que même son propre royaume veut pas de lui.

Oh ... mais je ne shuis que le meshager du roi ! Il va falloir lui dire vous même, venez !

En parlant ledit messager, un peu nul soit-dit en passant, désignait le château. Candice remarqua alors les chats-gardes armés autour de lui, qui ne l'impressionnaient pas du tout. Pour se préserver, elle sauver cependant son nez de nouveau avec le produit miracle.

Il est nul votre service. Et bah on vous suit, grouillez-vous. Et le chemin le plus rapide, on fait pas de dentelles.

Oh c'est quoi ce bordel? Vous nous voulez quoi? Intervint Bethany en s'approchant de Candice. Pourquoi ils sont armés?

La barmaid haussa les épaules. Ils se sentent nuls, ils ont besoin de ça pour se sentir fort auprès du prince pour qui ils bossent.

Et on fait quoi là, on les suit? Passivement? Sérieusement?

Oui. Tu as loupé tout le passage ou j'ai fais trembler Mucha en lui gueulant dessus à propos du mariage, parce que c'est un gros sexiste, suite à quoi on lui dit qu'on ira porter la nouvelle au prince : son mariage est annulé, et il n'a plus que sa patte pour son plaisir personnel.

Candice vit sur le visage de Bethany une moue appréciative. Bien. Tu remontes dans mon estime, dit-elle avec le pouce levé.

Ah bah je veux bien, je devrais même pas être en bas à la base ! Lui dit-elle avec un sourire et un clin d'oeil.



Jauge de malchance :
Candice 42%
Candice & the cats || Chatperlipopette !







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Evénement #102 : Chatperlipopette ! [Fe]  - Page 3 _



________________________________________ 2018-12-28, 23:09


Chaaat va aller.
Brina et les autres...


Après notre aventure sous-marine, sauvée de justesse par le seul sortilège que je réussisse assez bien à faire, nous nous retrouvons enfin tous ensembles. Me voilà complètement trempée. C’était pas le mieux mais au moins, on était en vie. La seconde d’après, Bethany se rue sur moi pour me faire un calin. Je me suis crispé sur le coup puis je me suis rapidement détendue.

« C’est rien. » lui dis-je avec un sourire.

Une fois à peu près potablement sèche, ce qui avouons le est loin d’être véritablement le cas, ce qui était certain c’est que j’allais sentir la sorcière mouillée mais bon, je lève le regard vers tout le monde. Pourquoi j’avais la rude impression que ça partait tout gentiment en couille ? Je pousse un profond soupir avant de croiser les bras sous ma poitrine.

« J’ai l’impression que c’est pas fini… »

Voilà que le messager m’attrape par le bras avant de me regarder, comme si il m’intéressait un tant soi peu vous savez.

« venez Miademoiselle ! Vous êtes aushi convié et shi la miariée ne convient pas vous pourrez tenter votre chanche ! »

Hein ? Mais quoi ? Il a fumé de la sardine non ?

« Mais euh…Je suis déjà promise à quelqu’un. »

Comme si ça se disait encore à notre époque ça…Mais bon, vu que ça parle de mariage et que je n’ai absolument aucune envie de me marier à un chat, fallait bien que je sous-entende que je suis plus ou moins promise à Harvey non ? Je souris au messager.

« Comment chat ? »


Et c’est qu’il semble intéressé en plus.

« Je suis promise à un jeune homme nommé Harvey Kinkle. » déclarais-je.

Et je tenais à Harvey, plus que tout. Déjà que ça avait pas été super simple de le faire accepter à mes tantines chéries. Tante Hilda ne fut pas contre mais Tante Zelda vit la complication de la chose sur le long terme mais elle avait fini par accepter la situation et à présent, tout allait bien et j’étais heureuse avec Harvey mais encore faudrait-il que pour le coup, je revienne entière de ce fichu pays du chat. D’ailleurs ne dis t’on que trop de chat, tue le chat ? Ah non on le dit pas mais je le pense quand même.

« Un bien drôle de nom ! Mais che jeune homme ne shera pas présent au miariage ? Vous voulez être miademoiselle d’honneur ? »


Non sans rire, il sera clairement pas au mariage vu qu’il est toujours à Storybrooke, faut réfléchir un peu. Je me demande si les chats réfléchissent un peu ? Ouais, Salem oui mais bon, c’est un cas à part mon chat à moi.

« Ah bah il est à Storybrooke donc ce serait un peu compliqué. Ah euh...depuis quand c'est prévu que je sois la demoiselle d'honneur de quelqu'un ? »

Bah oui, c’est stipulé où que je dois être la demoiselle d’honneur de quelqu’un ?

« Depuis que notre roi a annoncé le miariage de shon filsh ! Il faut toujours des miademoiselles d’honneur à shacrifier à la fête ! »

Pardon ?! Sous la surprise, mes pouvoirs perdent le contrôle ou peut-être bien à cause de cette chaloperie de malchance, le messager fait un bon vol plané de plusieurs mètres et…moi aussi. Pour le coup, je l’ai sentie la douleur quand mes fesses ont touchées le sol. Je me suis mordue jusqu’au sang, surtout que j’étais tombée le coccyx sur une pierre quoi. Juste histoire de. Je me relève, douloureusement avant de m’épousseter et lève le regard.

« Je suis vraiment désolée, c'est que...j'ai été surprise. D'habitude, tout se passe bien mais entre Storybrooke qui a baissée ma puissance magique et cette fichue malchance qui en ajoute une couche, ça part en chachauète. »

Le messager se fait relever par un garde, tout en cherchant d’où pouvait venir le « vent » qu’il venait de se prendre.

« Quel vent ! » « J'avoue que ça a été puissant pour le coup, je pensais pas pouvoir faire ça aussi fort. »

Pour sûr que les tantines seraient ravies mais pour le moment… J’espérais juste que je contrôlerais tout ça parce que vu la malchance fantastique qu’on se traine tous, ça risquait bien de pas aller en s’arrangeant tout ça.

« Ch’étais vous ?
- Vous êtes magichienne ? »

Non je suis magicienne, magichienne, je sais pas ce que c’est.

« Je suis moitié sorcière, moitié mortelle. »

Mais c’est que…Oh mais ça leur plaît ? Bah ça…

« Ooooh ! J’aime cha !! », ça c'est Neville « Vous pourriez le refaire à la court du roi ? »« Ça peut se faire oui. »

Et voilà que les gardes m’emmène avec les autres jusqu’au château.

black pumpkin


Malchance : 63%


Aguistin R. Marban
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »

Aguistin R. Marban

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| Conte : Folklore européen ۩๑ L'étrange Noël de Mr Jack
| Dans le monde des contes, je suis : : Le Porte-Parole de Madame La Mort & sa personnification ☘ La muse d'Egdar Allan Poe ☘ Le porteur de poisse ☘

| Cadavres : 1958



Evénement #102 : Chatperlipopette ! [Fe]  - Page 3 _



________________________________________ 2018-12-31, 01:36

Chatperlipopette

“La jeunesse constitue un extraordinaire élément d'optimisme car elle sent d'instinct que l'adversité n'est que temporaire et qu'une période continue de malchance est tout aussi improbable que le sentier tout droit et étroit de la vertu.” Charlie Chaplin

Aguistin & les Gens & Les Chats



Parfois, souvent, Aguistin regrettait certaines des ses actions, même s’il ne le disait pas, une petite part au fond de lui avait une forme de regret. Actuellement c’était d’avoir voulu réparer sa méchanceté totalement gratuite envers Saoirse et qu’il irait ainsi dire de vive voix au futur marié qu’il serait prochainement cocu, et que le mariage serait donc annulé par la force des choses. Déja parce qu’il aimait bien la façon dont il avait de dire les choses, qu’il pensait que cela aurait pu aussi être drôle de voir la tête du futur marié, mais en ce moment même, les gardes lui donnaient de l’urticaire. Ils avaient retrouvés le reste du groupe manquant, adressant ainsi un “je l’avais bien dit” à Bethany quand le chat parla de sacrifice. C’était clair comme de l’eau de roche qu’il y aurait un truc dans ce style à un moment donné, Aguistin le savait, il le sentait. Alors quand les gardes, armés jusqu’au dent, les avait encerclés, il ne l’avait pas forcément ramené, instinct de survie oblige. Il roumégeait dans son coin, parlant tout seul dans son écharpe en maudissant des générations et des générations de familles de chats. En parlant d’eux, tous les chats se stoppèrent sur le chemin, avant de partir comme un seul homme vers la droite, partant du sentier pour aller dans les hautes herbes. Seul le messager du roi resta à côté du groupe, qui ne comprenait pas ce qui se passait. Forcément, Aguistin qui n’était pas déja rassuré de base, recommença à s’agiter légèrement. "Non mais vous avez cru qu'on était dans Pokémon là ? J'rentre pas dans les hautes herbes y a toujours des trucs louches !" "C'est la pause litière." Le messager balança sa phrase avec un sourire, ne se départissant pas de sa bonne humeur alors que la conversation allait inévitablement prendre une tournure étrange. Aguistin recula légèrement, plissant le nez avec un air de dégoût profond. “Sans déconner … les chats sont tellement immondes … vous pensez que c’est le moment pour faire ça ?” Aguistin s’était tourné vers lui, le coeur au bord des lèvres devant cette infection qui commençait à monter des hautes herbes, lui qui, pourtant avait l’habitude des trucs putrides.“Vous faites que des cacas acides !” Bellamy était entrain de se pincer le nez, lui aussi visiblement dégoûté par cette pause impromptue. “En général on dit que c’est le reflet de leur personnalité !” Aguistin était enfin content d’avoir un léger soutien envers la race féline. "Vous préférez que chela arrive cher vos chaushettes ?" “Bande de pourriture intérieure… vous savez pas vous retenir ? C’est pas comme si on avait des trucs à faire …” L’agacement d’Aguistin se voyait vraiment sur son visage, qui se tournait pour trouver du soutien. “Emilien tu es d’accord quand même que les corbeaux sont quand même plus censé ?” Sa phrase tomba dans le vide et c’est à ce moment là qu’il se rendit compte qu’il n’était plus là. S’éloignant des hautes herbes, il commença à chercher son compatriote. "Où vous allez ?" prononça le messager d'un air un peu intrigué tandis qu'Aguistin cherchait du regard le corbeau. "Sh'est par là ! Regardez, les gardes shont là !"

Les gardes revinrent, avec une dignité sans pareille, comme si rien ne s'était passé, seul l'odeur pestilentielle les entourant comme preuve du crime, poussant avec les armes le groupes à reprendre la route. "Vous ne vous servez pas de litière chez vous ?" Aguistin qui marchait en crabe, essayant de ne pas se faire toucher par un des chats, laissant ainsi une distance de sécurité leva les yeux au ciel dans une superbe pokerface. “Bien sur que non ! Nous avons des toilettes hautes technologies !” Il avait dit sur un ton tellement condescendant qu’il en était lui même étonné. “Et quand je n’étais pas humain, les cieux étaient le meilleur des sanitaires et des salles de bains !” Le chat va le regarder bizarrement, fronçant les moustaches avant de se gratter la tête. "Vous êtes... un peu bizarres. Et un peu shales... Comment vous faites shans litière ? Même pas un petit grain ? Parche que sha m'a l'air compliqué..." “Sales ? Nous n’avons pas les mêmes valeurs ! Je ne suis pas plombier alors regardez sur internet comment fonctionne un toilette mais je peux vous assurez que niveau hygiène c’est top , genre y a beaucoup d’eau, de la pression, pas d’odeurs d’une propreté à en faire boire les chats dedans! Même à Halloween Town notre système d’égouts était très fonctionnel ! Avec tous les liquides qu’il y avait … C’était clair qu’il devait bien fonctionner.” Un rire mauvais s’échappa de ses lèvres avant qu’il ne reprenne normalement, sur un ton prétentieux. “Mais bon comme dit, les corbeaux n’ont pas besoins de ça, le vent est notre allié !” Et en parlant de corbeau, Aguistin qui pouvait avoir la durée de concentration équivalent à la survie d’une huître à un repas de Noel, revient sur le sujet qui l’inquiétait grandement. “Dites… parlez de pipi caca n’est pas un soucis mais il est ou Emilien ?” « Qui est émilien ? » sorti le chat alors que le château apparaît devant nous, à quelques minutes à peine encore. Le blondinet cligna des paupières plusieurs fois, totalement étonné de la question du chat. “Comment ça qui est Emilien ? C’est le beau corbeau qui était là, avec le baron au nom de nazi !” « Chamais entendu parler ! » secouant la tête. « Pourtant la cour de sa miajesté est bien fournie ! Vous verrez chela une fois changé ! » “Attendez vous avez jamais entendu parler des Nazi ou d’Emilien ?” La frayeur se lisait sur son visage. Pourquoi diable ce chat lui disait qu’il ne les connaissait pas … “Mais c’est trop chelou ça ! C'est lui qui nous as montré le raccourci dans les briques !” La mémoire d’Aguistin aussi imprégné de poisse que le reste du corps et de l’âme de l’ancien oiseau subissait aussi des oublis volontaires du à son manque d’attention mais parfois aussi involontaires comme actuellement. Sans doute pris trop dans ses angoisses, il n’avait pas fait attention à la time line de l’arrivée du messager, ne se rendant compte que trop tard de la disparition de son ami corbeau. Le chat répéta les même paroles, qu’il ne connaissait nullement les personnes qu’il citait, y compris les nazis. En temps normal Aguistin aurait fait une description, des personnes sympas aurait il dit ! Mais ce n’était pas le cas, tellement déprimé d’avoir perdu le seul véritable repère qu’il avait ici. “C’est quoi ce bordel sans déconner !” Il maugréa dans son manteau, rentrant ses poches profondément. Il marchait sans trop regarder où il allait, réfléchissant à ce qui avait bien pu arriver au corbeau. Il tripotait ce qu’il avait dans ses poches, devant bien faire sortir ce surplus constant d’énergie qu’il avait en lui. Sortant son antistress en forme de licorne, il se mit à le suçoter tranquillement, hochant la tête à ses propres pensées. Il sursauta quand il sentit la patte du chat se poser sur son épaule, le caresser doucement pour le réconforter. Aguistin fit un petit bond sur le côté, alors que le chat lui envoyait un regard désolé de ne pas connaître la réponse. S'avançant un peu rapidement, il arriva au niveau de Saoirse qui avait reprit sa respiration de bébé phoque. Sympathiquement, pour engager la conversation, ayant déja passé sur ce qu’il s’était passé, il lui dit tout sourire. “Alors prête à foutre un vent à ton futur-ex mari ?” “Lequel ?” Le regard du jeune homme était un mélange entre de l’exaspération, du désespoir et un petit je-ne-sais-quoi. “Sérieusement qu’on m’aide là !” “Compte pas sur moi !” “Whesh mais là c’est grave quand même elle ne sait pas avec qui elle va se marier ! Comme si elle allait se marier avec plusieurs chats en plus ! ” Une sorte de gloussement sorti de la bouche d’Aguistin alors que Bellamy avait un regard assez blasé. Heureusement le messager des chats annonça fièrement que la destination était finale, arrivant ainsi à la porte du château immense. Un peu émerveillé, il fallait bien l’avouer, lui rappelant son ancien travail quand il allait annoncer la mort à des aristos bien trop attaché à leur argent. Le petit groupe continua à suivre les chats, en silence, jusque dans l’immense hall d’entrée, cerclé de deux très grands escaliers. “Nous allons vous chaccompagner chusqu’aux lieux de préparation du miariage.” Aguistin lança un regard un peu inquiet en direction de Bellamy qui n’était lui non plus pas rassuré. Ils commencèrent à repartir derrière les gardes quand Mucha l’arrêta. “Non non ! Pour les Miessieurs c’est par ici ! Vous êtes séparés, nous allons vous changer car vous n’ashez pas le droit de voir la miaré !” “Ou pas !” Aguistin sentit la main de Bellamy sur son poignet alors qu’il se rapprochait de lui pour lui murmurer. “Allez viens, ne fais pas d’histoire ! Le temps qu’on mette au point un plan pour s’évader !” Le blondinet, assez sceptique sur cette phrase, préférant partir immédiatement, obtempéra finalement assez rapidement, se laissant entraîner dans une autre pièce immense, rempli de vêtements les plus somptueux les un que les autres. “On va vous déschabiller !” “WHAT THE FUCK !!!!!” Alors le voyage dimensionnel, oui pourquoi pas, l’emmurement, allez c’est sympa il n’avait jamais testé, mais se faire déshabiller par des chats, ça c’était trop, impossible pour lui. Se ruant sur la porte pour sortir, criant qu’il savait que c’était une mauvaise idée, il recula quand deux gardes se mirent devant la porte. “Il faut she faire beau pour le miariage ! Allez !” “J’ai comme une impression de déjà vu …” Aguistin se retourna lentement vers Bellamy, un sourcil levé, alors que ce dernier était torse nu. Son deuxième sourcil se leva, ses yeux balayant ce corps recouvert de suçon, une belle ligne allant de l’épaule gauche jusqu’a la hanche. “Alors ça …” Un sourire mesquin se dessina sur ce visage angélique, alors qu’il avait levé son index, le secouant énergiquement devant Bellamy. “C’est très intéressant !” “J’ai jamais dit que j’étais un enfant de coeur !” Il siffla légèrement, opinant de la tête. “Ah bah finalement va y avoir un truc de bien dans cette aventure !” Or pendant qu’Aguistin parlait encore et toujours, content de voir que la dépravation ne s’était pas encore perdue dans ce bas monde, des chats avaient commencés à l’entourer, posant leurs pattes sur lui pour le déshabiller. Hurlant à la Mort, littéralement, il essaya de les pousser. “Non mais je rechigne pas à me faire toucher en temps normal mais pas par des chats merde !” Bellamy qui avait commencé à enlever son pantalon, lança un petit regard coquinou au corbeau qui piaillait. “Méfie toi il a des doigts de fée !” Donnant un coup de pied à un chat, Aguistin crossa d’étonnement. “Hein ? Tu te tappes un chat ? C’bien de pratiquer la zoophilie faut varier les plaisirs de temps en temps !” “Mec je suis un dragon …” Les yeux du jeune homme s'écarquillèrent d’abord de stupeur et ensuite de joie, de découvrir qu’il n’était pas la seule créature du groupe. Poussant un chat qui était entrain de lui déboutonner aussi son pantalon, il se rua sur Bellamy, lui attrapant le bras pour le secouer, aussi heureux qu’un enfant découvrant une surprise extraordinaire. “Mais c’est super génial çaaaaaa !”


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Je ne vois pas pourquoi je continue à vous faire confiance... A chaque fois c'est la même chose. Je veux vous aider dans vos expériences et ça me retombe toujours dessus.

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| Dans le monde des contes, je suis : : Le garçon fantôme.

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________________________________________ 2019-01-02, 00:50

But I'm weak, and what's wrong with that?
☾ ☾ ☾ Les poissards & les chats !


Bellamy poussa un petit soupir quand ils rentrèrent dans le château des chats. Jolie pour un bâtiment construit pas des chats, enfin il ne le savait pas vraiment mais il s'en doutait. Il ne verrait plus Mister Blooper de la même façon après cette petite aventure et d'ailleurs il allait avoir une bonne discussion avec son chat. Il comprenait aussi pourquoi il avait du mal à garder Sirrus prêt de lui. Ou pourquoi il traînait avec une sorcière. Sirrus n'était pas un chat facile, il aimait avoir les choses en main et Bellamy lui aimait aussi contrôlé sa vie mais il n'avait pas le choix. Sirrus était différent, unique et pourtant il n'était pas à lui. C'était frustrant de toucher la chose dont vous avez le plus envie mais de savoir qu'elle n'était pas complètement à vous. Il n'était pas dupe, il savait que Sirrus couchait avec Moïra. Enfin tout ça pour dire, que sa vie était remplis de chat, de boules de poil, de croquette, des moustaches, des ronrons et des griffures. Les chats contrôlaient même sa vie ce n'était pas difficile à vrai dire. Bellamy n'avait pas son mot à dire, il subissait depuis le début. Depuis sa naissance. Que ce soit ici ou dans le monde des contes, il avait toujours subis les ordres des autres et il n'avait jamais le droit de donner son propre avis. Être un dragon pouvait être quelque chose de badass ou classe mais il n'était pas un dragon libre. Bellamy n'était qu'un pantin parmi tant d'autres. Il haïssait Wonderland, il haïssait les hommes, il haïssait le monde. Autant vous dire qu'un palais de chats, le désespéré au plus haut point.

Son désespoir grandit quand il comprit que les femmes et les hommes devaient se changer dans une pièce différente. Il allait se retrouver avec le gosse qui braillait et Bethany partait dans l'autre direction. Le reptile fixa longuement la blonde et son amie partir avec la sorcière. Une petite moue s'afficha sur le visage de Bell qui fit un grand signe de la main à Bethany pour attirer son attention. Elle se tourna vers lui et fixa directement ses mains. Il signa sa demande pour la jeune femme.

''Garde un œil sur Saoirse, s'il te plaît.''

''Compte sur moi et fais attention à toi. »


Il hocha finalement la tête avant de disparaître dans un long couloir munis de plusieurs portes, les chats voulaient les habiller pour le grand mariage. Bien sûr que Bellamy n'allait pas laissé les choses se faire. Déjà que Saoirse était enceinte d'un homme qu'elle ne connaissait pas ou plutôt d'un homme dont elle avait oubliée le visage. Il n'allait pas non plus se permettre cet écart là. Un bébé à gérer seule, il voulait bien mais un mariage avec un chat. C'était non. Son regard se posa sur Aguistin qui fusillait les chats du regard. Cet enfant était drôlement étrange et particulier. Il n'avait pas vraiment aimé comment il avait parlé aux filles mais lui expliquer les choses ne serviraient sûrement à rien, Aguistin avait l'air d'être plus que têtu alors il se contenterait juste de le mettre en garde et de lui faire comprendre que Saoirse était sous sa protection. Mais d'abord il laissa les chats le déshabiller et Aguistin râler sur les chats encore une fois. Il avait eut une discussion plutôt sexuelle avec lui, pour lui faire comprendre qu'il n'était pas que vieux en faite.

Une fois la chemise enfilé et le nœuds papillon accroché autour de son cou, il se tourna vers Aguistin qui était encore en boxer. Cela risquait d'être long d'habiller ce gamin et c'était peine perdue de le faire aussi d'ailleurs. Mais la scène était plutôt marrante. Bellamy pouffa en voyant les chat accrochés aux jambes de Aguistin avec la chemise blanche dans la bouche. Le dragon s'excusa auprès des chats et il se rapprocha doucement de son partenaire pour lui chuchoter doucement.

« Mets-y un peu du tiens. Enfile ce costume qu'on puisse sauver Sasa. »

« Je veux pas qu'ils me touchent ! On a dit chacun son kiff ! En plus je veux qu'ils me rendent mes fringues ! Je les aime ! »

« Non on dirait un clochard qui a trouvé des vêtements dans une poubelle. Si tu veux pas que les chats te le fassent, je le fais. Mais arrête de chouiner par pitié! »

« Mais Whesh va te faire enculer par ton chat et donne pas des conseils de mode ! T'as vu ta gueule ! Ils sont bien mes vêtements ok et je chouine pas du tout là ! Si tu veux je le fais vraiment tu vas moins rigoler ! » Aguistin croisa les bras sur sa poitrine avant de redonner un coup de pied violent à un chat ! « Un mariage putain ! J'ai juste pas envie quoi ! A la limite si tu me dis qu'on va à un enterrement ouais, là je mets un costard mais pas pour ça ! »

Bellamy fixa Aguistin pendant un long moment ne sachant pas comment réagir. Il savait que s'énerver serait débile. Il ne voulait pas rentrer dans le jeu de cette boule de nerf alors pour une fois, il préférait se comporter de façon adulte et intelligente. Le reptile se racla la gorge avant de laisser les chats lui enfiler sa veste de costume noir avant de finalement hausser les épaules.

« Habille toi en costume, c'est pour une trentaine de minutes, pas plus. Dis toi que c'est pour un enterrement alors. »

Poussant un grand soupir, Aguistin fini par déboutonner lui même sa chemise en croassant sur les chats, attrapant rapidement les vêtements qu'on lui tendait

« Bon ... mais on pourra tuer le mari s'il veut pas que Saoirse dise non ? »


Bellamy haussa les sourcils quand il vit tous les chats redresser la tête vers eux. Le dragon n'aimait pas se sentir observer de la sorte, surtout par des chats. Il fit signe à Aguistin de baisser le volume avant de taper sa main contre son front.

« Complètement débile ma parole. Habille toi et ferme là c'est tout. »


« On s'en fout, j'te signale qu'à un moment donné ça sera nous contre eux. Il y a pleins de choses que j'avais dit qui se sont passés alors au lieu de te monter le bourrichon direct faut aussi m'écouter ! » Il s'approcha un peu de Bellamy tout en mettant son pantalon, sautant d'une jambe à l'autre avant de lui murmurer. « On est dans un complot ! Les chats procèdent toujours comme ça ! Des grands sourires et hop tu finis en paté avant que tu aies le temps de dire un bonbon ou un sort ! »

Un soupir sortit de la bouche de Bellamy tandis qu'il poussa le visage de Augustin à l'aide de sa main. Vraiment, ce gosse le mettait mal à l'aise et il comptait limite sur les chats pour le sortir de cette discussion mais les chats ne faisaient rien. Ils terminaient d'habiller Bellamy et ils surveillaient Aguistin pour ne pas qu'il prenne la fuite. Le dragon passa sa main dans ses cheveux avant de venir refaire la cravate de son partenaire.

« Pensons à Saoirse, restons calme d'accord ? On verra pour les chats après. En attendant tu peux te concentrer pour Sasa ? Il faut faire attention, elle est enceinte. »


« Oh ça va elle est bien faite ma cravate j'ai plus l'habitude d'en porter que toi je pense ! »
Se reculant un peu, il la réarrangea lui même, vérifiant dans le miroir qu'il soit impeccable, comme à l'époque où il travaillait dans les pompes funèbres. « On est calme ! Puis ça va c'est pas ma faute si elle est enceinte ! Elle avait qu'à faire attention avant ... c'est quand même à cause d'elle qu'on est dans cette merde hein ! J'veux bien qu'elle soit une princesse innocente même si elle a plusieurs mari visiblement mais faut pas non plus pousser mémé dans le caveau. »

« Elle a pas plusieurs maris. Saoirse est quelqu'un de bien. Meilleure que nous tous réunis ici. Crois moi. Alors ne dis plus rien sur elle, pas devant moi en tout cas. C'est mon amie, comme une sœur pour moi. Alors tu t'en tiens au plan. Tu marches et tu la fermes. Tu auras tout le temps de gueuler après. »

« Et alors balek frère ! C'est pas mon soucis ... puis juste je te rappelle que le plan c'est de la marier visiblement et on est pas d'accord... Donc ça va là on se calme ! Et jamais je ne me la fermerez ! »

Aguistin haussa les épaules en levant les yeux au ciel comme s'il venait de dire une évidence tout en mettant sa veste de costard. Bellamy pouffa ne sachant pas quoi dire de plus, il voulait se faire comprendre c'est tout. Bellamy ne tenait pas à énormément de personne mais Saoirse, il la considérait comme sa petite sœur. Elle était ce petit rayon de lumière dont il avait besoin dans sa vie. Une princesse et une vraie. Si pur et si innocente alors pourquoi le monde entier voulait lui faire du mal ? Et pourquoi Aguistin parlait aussi mal d'elle. D'ailleurs en parlant de cette dernière, elle débarqua dans la pièce en trombe vêtu de sa robe blanche qui était à moitié attaché dans le dos. Les chats de la pièce regardaient Saoirse avec un air choqué.

« Miadame vous n'avez pas le droit d'être ici ! C'est la pièche des mâles. »

« J'en vois aucun ici ! Il n'y a que Bellamy et Aguistin. »

Le dragon afficha un petit sourire quand il vit la jeune femme, presque soulager. Il se rapprocha rapidement d'elle et se blottit à moitié contre la blonde. Elle s'agrippa au bras de Bellamy avant d'afficher une petite moue. Comment pouvait-il laisser la jeune femme dans ce merdier ? Sans rire, regardez la bouille de Saoirse. On ne pouvait que craquer.

« Bellamy, Bellamy ils m'ont mit une robe blanche mais je veux pas ! Et en plus elle ne me va pas! »


« Non mais de toute façon ça sert à rien de mettre la robe parce qu'on va dire à ton mari qu'il ne va pas rester vivant très longtemps et comme ça BIM plus de mariage et t'es tranquille pépère ! »

« Sans déconner Agui', ta gueule. »

Jauge de malchance: 72%


Bethany V. Monroe
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »

Bethany V. Monroe

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For years and years she tried to hide the 
whiskey on her breath... She finally drank 
her pain away a little at a time... But
she never could get drunk enough to 
get him off her mind, until the night...
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Evénement #102 : Chatperlipopette ! [Fe]  - Page 3 _



________________________________________ 2019-01-03, 18:33

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Taux de malchance: 59%

Bethany n’avait jamais été du genre à suivre bêtement les autres. Vraiment pas. Autant dire que pour elle, suivre tout simplement les soldats qui avaient décidés de les mener jusqu’au château eue quelque chose de vraiment frustrant. D’autant plus qu’elle ne comprit absolument pas la raison de leur soudaine pause dans les fourrés, que personne n’eut envie de lui expliquer ce qui la vexa fortement jusqu’à ce qu’elle finisse par sentir les relents acides et puants qu’exhalèrent les hautes herbes, tellement qu’elle en oublia sa vexation au profit d’une grimace dégoûtée. Sérieusement, ces animaux étaient franchement crados ! D’autant plus maintenant qu’ils avaient taille humaine ! Sérieusement, c’était à la fois immonde et très drôle à imaginer, ce que Beth fit une demi-seconde avant de secouer la tête, l’air franchement dégoûté. Candice eue pour elle une petite moue, l’air de compatir, avant de lui sourire, comme pour l’encourager, ce qui échappa à Bethany. Cette rouquine avait des airs d’institutrice, s’en était déprimant…. Elle avait l’impression qu’elle se faisait une obligation d’être douce, gentille, douce, agréable, douce, candide, douce, apaisante, douce, et infiniment douce. Truc que Bethany ne savait ni gérer ni comprendre. Elle n’avait pas cinq ans non plus ! Personne ne lui avait jamais prit la main pour l’aider alors ça n’allait pas commencer aujourd’hui !

Après quelques minutes, elle finit par entrer avec les autres dans le château, qui n’était en plus pas si beau que ça, et avant qu’elle ne comprenne qu’on les séparait en deux groupes, Bellamy lui fit signe qu’il voulait lui parler rapidement. Il y avait quelque chose de vraiment sympa chez ce grand brun -même en laissant de côté le fait qu’il était foutrement canon et bien fait pour un brun ! Elle allait devoir aller fouiner du côté de James pour obtenir plus d’information -comme son numéro de téléphone, ou son lieu de travail (on n’allait pas directement chercher les gens à leurs adresses, cela faisait trop désespérée. Elle préférait largement aller les chercher à leur lieu de travail, pour les inviter à boire un verre, c’était bien plus classe pour elle). Il lui demanda de veiller sur Saoirse, qui avait l’air aussi larguée qu’elle, et elle le lui promit, si lui faisait gaffe à lui. C’était con, mais le simple fait qu’il signe aussi fluidement avait créer une sorte de proximité entre eux deux. C’était comme rencontré un compatriote dans un pays où personne ne parlait votre langue. Ça devenait immédiatement votre meilleur pote. C’était un peu pareil pour le coup.

Rapidement, elle s’approcha de Saoirse, lui tapotant l’épaule pour la faire se retourner.

-Faut qu’on trouve un plan pour se barrer de là, signa-t-elle (hors de question que ces foutus chats l’entendent!)

Etrangement, le visage de la blonde perdit toute expression. Pire que cela, ses yeux s’écarquillèrent, un demi sourire soulevant ses lèvres avant de se figer dans une expression de surprise, tendant l’index vers elle.

-Tu.. Tu es un CHAT ?!! Comment tu as fait ? Bethany ?!

Hein ?

Soulevant un sourcil, Bethany observa la blonde, la jugeant silencieusement. Allons bon. Ils lui avaient fait boire quoi, à la femme enceinte ? Si ça se trouvait, leurs bouffes étaient incompatibles avec son état ! Ou alors c’était ce pervers de roi pouilleux qui l’avait drogué ! Quel enfoiré ! Bethany allait se retourner pour engueuler l’une des chattes présentes autour d’eux, qui avaient d’ailleurs commencer à trifouiller dans plusieurs malles, en sortant des dizaines de vêtements, principalement des robes, de toutes les couleurs, mais avant qu’elle ai pu le faire, Saoirse se rapprocha d’elle, tendant son index et son pouce vers elle.

-Tu as quelque chose sur le visage, là !

Elle referma ses doigts sur le vide, tirant légèrement dessus, et Bethany ressentit aussitôt une vive douleur au niveau de son nez, la faisant reculer et jurer avec violence.

-Putain !! Non mais t’es dingue, sha fait mial bordel ! T’as fais quoi?!

-Mais... J'ai juste touché ta moustache ! T'es… t'es trop mignonne !!!!

Les mous… Quoi ? Elle porta ses mains à ses joues, réalisant avec effroi qu’effectivement, de petites moustaches lui sortaient de la peau, et avant qu’elle ne puisse hurler, elle sentit les mains de Saoirse se refermer sur le sommet de son crâne, provoquant immédiatement chez elle un sentiment de profonde quiétude. Elle se surprit même à émettre une sorte de ronronnement, portant ses mains à sa bouche, ce qui sembla beaucoup plaire à Saoirse.

-Miais bordel! fit-elle, portant ses mains à sa tête, réalisant qu’au sommet de son crâne se trouvait désormais… Des oreilles de chats.

Sans qu’elle comprenne, au même moment, les filles tournèrent la tête vers la droite, où apparut une chatte portant un petit col qui devait probablement avoir un grade supérieur aux autres chattes.

-- Le Royaume des chats vous acchepte malgré votre récalchitranche à honorer shes coutumes… Miademoiselle ? Venez enfiler chette robe !

Bethany aurait vraiment voulu leur dire que c’était un scandale et qu’elle allait probablement tous les butter ou les épiler au scotch, voir les deux, mais avant qu’elle ne puisse faire quoi que ce soit, deux chattes vinrent prendre Saoirse par les coudes, la trainant dans une sorte de cabine d’essayage, une robe blanche poser sur l’avant-patte de l’une d’elle.

-C’est quoi ce bordel putain ! Vous êtes toush tarés putain ! Che ne shuis pas un chat et je ne veux pas devenir un chat bordel! se mit-elle à hurler, tentant de traverser la pièce vers Saoirse mais rapidement, on la traîna en arrière, malgré la véhémence de ses propos. Mais bordel lâchez moi! Vous me voulez quoi?!

On lui tendit une robe, et devant l’air absolument radieux des chattes qui se mirent à l’entourer, on devait probablement s’attendre à ce qu’elle l’enfile docilement et sans trop broncher. C’était fort mal la connaître. Dès que l’une d’elle l’approcha, elle saisit la première chose qui lui passa sous la main (une chaussure) et elle le balança en plein museau, provoquant un raffut qu’elle n’entendit pas. Elle allait fracasser une autre assistante quand Candice apparut dans son champs de vision, l’air aussi surprise qu’elle.

-Shi vous voulez me faire porter une robe vous pouvez vous gratter ! Ma mère a eshailler toute ma vie  et je n’ai jamais shéder!

-Mais Miademoiselle! insista l’une des assistantes, mais Bethany ne lui en laissa pas le loisir.

Elle saisit la robe qu’elle lui tendait et en déchira l’une des manches, comme elle l’avait beaucoup trop souvent fait lorsque sa mère la forçait à assister à des soirées de charités, quand elle était plus jeune. Plutôt être en pantalon que mal habillée apparemment….

-Voilà ! Démierdez vous ! Hors de question que je retire mes bottes et mon jeansh!

Il y eue une sorte de flottement, quelques secondes de tension, avant que soudain, Candice ne s’approche, l’air résolue à expliquer à ces petites créatures de quel bois elle se chauffait !

- Ecoute moi bien, Miadame du Moyen-Age. Vous avez encore une morale merdique de l'ancien temps, probablement à cause de votre merdeux de prince qui se croit permit d'épouser la première meuf dont il a envie. Une femme fait ce qu'elle veut, si un mec peut en faire tout autant. Vous forcez les mecs à mettre des décoltés sur leurs poils pubiens ? Si MISS ici présente ne veut pas mettre de robe, elle n'en mettra pas, et pour la peine, moi non plus. Je vous préviens, si vous insistez j'y vais en culotte, les seins nus.

Décidément, elle commençait à lui plaire cette petite.

-Voilà ! Tout comme elle a dit!

Elle allait continuer sur sa lancée quand, derrière les chattes, une silhouette blonde passa précipitamment, provoquant une sorte de frénésie toute autour d'elles, mais avant qu'elles ne puissent réagir, Beth attrapa la main de Candice pour la faire sortir de la cabine à sa suite, prête à suivre Saoirse... Sauf qu'une espèce de gros chat de gouttière fit irruption dans la pièce, la bouche grande ouverte comme si il était en train de rire.

-Ah, voilà mes petites chattes préférées !

- Et il veut quoi lui maintenant ? fit la rousse, faisant acquiescer Bethany.

-Je viens voir à quel point vous êtes miagnifiques ! Où shont vos robes ? Mon filsh apprécierait sûrement les robes ! fit-il, s'approchant de Bethany au point de lui toucher les oreilles, ce qui la dérangea fortement.

-Votre fils va finir la soirée déprimé et toujours aussi célibataire, alors on est pas à une robe prêt.

-....Quelle impolie, fit le roi, avant de se tourner vers son assistant, ce qui empêcha Bethany de bien lire sur ses babines.

-Je ne sais même pas si la futur mariée est née, c'est quand même con du coup.

-Lorshque mon filsh reviendra de shon déplachement, il vaudrait mieux qu'elle shoit là !

Il eue une moue légèrement colérique, avant de se retourner, provoquant tout autour de lui des réactions en chaîne aussi stupide qu'improbable aux yeux de Bethany, qui s'apprêtait à se lancé à sa poursuite pour lui rappeler que les mariages arrangés, c'était toujours interdit par la loi quand son assistant vint s'interposer, les observant toutes les deux.

-Mesdemoiselles, n'êtes vous pas heureuses d'être ichi ?

-C'est pas le problème, même shi ma réponshe est non! On marie pas les gens comme cha, ch'est pas légal! Et che ne veux pas être un chat bordel de merde

-Pourtant, il m'a shemblé avoir entendu un OUI de la part de la mairie. On me l'a même reporté et c'est che que tout le royaume penshe à l'heure actuelle.

-Oui bah ça se saurait si les chats c'était hyper intelligents. Déjà que les humains ça vole pas très haut, les chats on est dans le niveau de la tristesse!

Décidément cette petite avec du punch!
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