« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Maxence Danet-Fauvel ♥
It seems like we lost touch
so hold me as the record skips Maybe you're just too good
Maybe I'll run away
Maybe I shouldn't stay Maybe I talk too much But baby I'll be there
It's been a little hard
But maybe all along I'm afraid
| Conte : Little Nightmares II | Dans le monde des contes, je suis : : Mono ♥
Silly n'aurait jamais pensé qu'autant de souvenirs referaient surface. Il ne pensait pas que la malédiction et toutes ces choses avaient cachés de nombreux secret sur son âge ou encore sur ses frère et sœurs. Pourquoi avait-il mal au cœur soudainement et cette envie de vomir ? Ce cauchemar était pourtant fini, ils étaient tous saint et sauf dans la maison de Harry. Calamity était là elle aussi avec son air passif sur le visage. Bien sûr que non elle ne se moquait pas de ce qui venait de se passer, il la connaissait trop pour savoir qu'elle était en train de penser ou de préparer quelque chose. Calamity était sur la défensive depuis un moment maintenant et Silly se demandait si cela n'allait pas aggraver les choses. Lui qui voulait juste être une famille soudé. Un soupir discret s'échappa de sa bouche quand il vit Soreth se diriger discrètement vers la sortie comme si de rien été. Il fuyait encore une fois. Et après c'était lui qui portait le prénom Silly ? Bien sûr qu'il était en colère contre lui, comment ne pourrait-il pas l'être ? Après tout ce qu'ils venaient tous de vivre, Soreth cherchait encore à s'isoler et à prendre la fuite.. Sauf que ce soir, Silly n'était pas d'humeur à courir après lui. Il se rendait juste compte que la personne dont il avait le plus besoin était là depuis le début.
Il resserra un peu plus sa mâchoire. Il avait envie de pleurer depuis qu'ils étaient revenues. Une sensation d'impuissance gagné son corps à chaque secondes qu'il passait dans cette maison avec les autres toons. Voir Dyson dans cet état ne l'aidait pas du tout. Mais même les grands-frères pleuraient parfois et doutaient d'eux même. Dans ces moments là, la seule chose de bien à faire était de rassurer Dyson. Sa fille, Kara s'en était chargé après Koleana et un petit sourire se dessina sur le visage du brun. Il avait réussi à bien élever sa fille c'est vrai. Il avait réussi à faire énormément de chose que lui en tant que Pluto aurait aimé faire. Aujourd'hui, il ne pouvait pas faire grand chose hormis un geste qu'il tenait vraiment à faire. Calamity prit enfin la parole et demanda gentiment à Silly de la suivre. L'ancien animal tourna son visage vers elle et il hocha vivement la tête avant de finalement s'avancer vers Dyson. Il voulait le faire avant de se séparer d'eux encore une fois. Il avait besoin de le faire. Silly échangea un petit regard avec Kara, lui souriant gentiment avant de finalement se blottir dans les bras de Dyson. Il respira un bon coup essayant de retenir ses larmes avant de se décoller un peu de son grand-frère. Il posa ses deux mains sur les épaules de Dyson avant de hocher la tête tout en souriant.
▬ « Merci pour tout Dyson. Je viendrai te voir plus souvent.. En attendant je dois y aller.. Je veux juste te dire que sans toi. On ne serait pas tous là sache-le. »
Il ne dit ni au revoir, ni à demain. Il préférait terminé sur cette phrase qui lui tenait beaucoup à cœur. Une phrase qu'il pensait depuis toujours avant de finalement se reculer pour se diriger vers Calamity qui prenait déjà la porte de sortie. Silly afficha une petite grimace alors que sa vue se brouillé légèrement. Il passa sa main sur ces yeux avant de remarquer qu'il portait.. Du maquillage ? Du crayon noir plus exactement. Il afficha une grimace avant d'essayer de tout enlever sous un geste de colère. Ce n'était pas son genre de s'emporter pour si peu. Mais ce soir rien n'allait. Un petit gémissement s'échappa de sa bouche alors que les larmes commençaient à couleur. Il se frottait les yeux comme si sa vie en dépendait. Silly fixait le dos de Calamity pendant un long moment. Il hésitait à prendre la parole. Il hésitait à lui parler, à montrer ses larmes parce qu'elle semblait perdu dans ses pensées. Mais les deux étaient comme ça. Quand quelqu'un allait mal, il se soutenait. Combien de fois Cal avait dormi avec lui parce qu'elle se sentait seule.. Silly parlait peut être plus que Calamity. Il posa sa main sur le dos de la jeune femme et elle se tourna vers Silly.
▬ « Cal'.. Pourquoi on se fait toujours abandonné toi et moi.. Tout le monde m'abandonne et j'arrive plus à.. Pardon, je veux pas pleurer. » Il renifla comme un enfant alors qu'il essayait d'essuyer ses larmes.
Calamity se tourne vers lui et fixe le jeune homme avec inquiétude. Ce n'était pas la première fois qu'il pleurait devant elle, c'est sur mais à chaque fois elle semblait inquiète. C'était dans ce genre de moment qu'il savait.. Il était entre de bonnes mains. Elle attrapa alors la main du brun avant de la serrer dans la sienne tandis qu'elle prit la parole.
▬ « Ca va aller tu vas voir.. Je suis là, moi. Et je t'abandonnerai pas. »
Elle était si sûr d'elle et c'était bien pour cela que Silly lui faisait confiance. Ce n'était pas elle le soucis, ce n'était et ce ne sera jamais elle de toute façon. Il se força alors à sourire avant de finalement hausser les épaules.
▬ « Je sais.. Mais j'aurais aimé que personne ne s'abandonne. J'aimerai trouver une solution pour tout le monde. Je veux juste qu'on redevienne une famille. » Elle afficha un petit sourire doux et réconfortant avant de baisser son regard. Il en était sur que Calamity voulait la même chose mais qu'elle savait que cela serait impossible. Comparés à notre cher Silly.
▬ « Je sais bien.. Mais c'est impossible. Soreth est bien trop égoïste pour ça à présent. »
De l'amertume dans sa voix comme à chaque fois qu'elle parlait de lui. Une moue se dessina sur le visage du chien mais il garda le silence un moment parce qu'elle avait raison au fond. Cela ne pouvait pas marché si Soreth ne faisait pas d'effort comme tout les autres.
▬ « Et on fait quoi maintenant ? Après tout ce qu'on vient d'apprendre.. »
Bien sûr que Silly était complètement perdu et ce n'était sûrement pas le seul. Calamity poussa un long soupir avant de finalement hausser les épaules. Revivre leurs vies comme si de rien été ? Ce n'était pas le genre de Silly et sûrement pas celui de Calamity non plus.
▬ «On rentre à la maison et on réfléchit à la meilleure façon de se sortir de tout ça ? Je crois qu'on ne nous dit pas tout. Bendy n'est peut-être pas aussi cruel qu'ils veulent bien le dire... Quand on voit Soreth en protecteur... » Le mépris se faisait facilement entendre dans sa voix alors qu'elle affichait une moue de dégoût. « C'est risible et injuste.. »
Silly fixa la jeune femme avant de déglutir. Elle devait vraiment être désespéré pour penser à quelqu'un comme Bendy. C'était un peu le Voldemort des toons après tout. Il n'entendait pas souvent son prénom. Il recula alors un peu et lâcha sans hésitation la main de son amie.
▬ « Bendy ? Mais.. Il est enfermé pour une bonne raison tu ne penses pas ? Je ne veux pas mettre les autres en danger.. » Il secoua négativement la tête pour montrer qu'il n'était pas d'accord avec elle. « Je sais pas si il peut nous aider, tu sais. »
Calamity réagit alors au quart de tour. Elle fronça les sourcils agacée par le comportement de Silly alors qu'elle serra les dents sûrement du à la frustration qu'elle ressentait actuellement. Elle semblait être déçu du comportement de son ami.
▬ « Il est enfermé par qui ? Dyson et Soreth ! Je ne veux pas mettre les autres en danger non plus crois moi. Mais je pense que c'est le seul capable de donner une bonne leçon à ces deux crétins qui se pensent au dessus de tout et tout le monde. » Elle inspira un bon coup pour essayé de se calmer avant de reprendre la parole. « Mais ce n'est pas grave... Si tu préfères les protéger eux plutôt que moi... C'est ton choix... » Elle lui jeta un regard déçu. « Mais je pensais que toi au moins tu me comprenais et que tu me soutenais. »
Silly haussa les sourcils quand il vit la réaction de son amie. Il comprit à ce moment là que cette décision était importante pour elle même si elle était.. dangereuse, très dangereuse. Il respira alors un bon coup avant d'afficher un petit sourire rassurant pour lui faire comprendre, qu'il ne voulait pas la décevoir.
▬ « Ce n'est pas de toi que je doute mais de Bendy. Mais Calamity tu sais très bien que je suis de ton côté. Je t'ai choisie depuis longtemps, tu le sais.. Et je reste fidèle à mon choix. » Il prit alors la main de cette dernière tandis que son pouce se mit à caresser le dos de la main de Calamity. Il hocha vivement la tête avant de faire signe de partir avec sa tête. « Rentrons à la maison et discutons d'un plan. D'accord ? »
Elle lui adressa un petit sourire rassuré. Bien sûr qu'il n'allait pas l'abandonner. Les deux quittèrent alors le terrain de Harry et main dans la main avec une idée plutôt sombre coincé dans un coin de leurs têtes.
▬ « Oui. Rentrons et discutons calmement d'un plan potable. » finit par dire Calamity en souriant grandement.
Dyson R. Parr
« Cours Dydy, cours ! »
| Crédits :Eilyam | Avatar : Tom Holland
| Métier : Aventurier, super-héros, en contrat de libraire chez Alexis et vendeur de chocolat chez Aster... et surfeur parfois
| Conte :Les Indestructibles | Dans le monde des contes, je suis :Dashiell Robert "Dash" Parr
La coalition se forme pour trouver à Aster son véritable amour
| Autres Personnalités :Icare J. Skellington - Léon Adonis - Ahsoka Tano
Plusieurs décennies avant la malédiction, Toonville, Monde des Contes
Oswald observait par la fenêtre l'horizon que l'océan dessinait au loin, avec une certaine fascination qui couvrait son ennui. On ne pouvait pas retirer une chose à ce Banquier, il avait vraiment la maison la mieux placée pour les plus belles vues. Par delà les mers, ce sera là sa prochaine destination. Tout était déjà prévu avec José Carrioca et Panchito Pistoles. Oswald parcourait le monde depuis... depuis trop longtemps sans doute pour compter les années, mais il voulait toujours en voir plus. Ces deux caballeros avaient réellement le sens du voyage. Le lapin avait tellement hâte de partir.
Quand est-ce qu'il partira ? Aucune idée... Voilà déjà quelques jours que le perroquet brésilien et le coq mexicain le pressaient pour partir. Le navire était prêt, la destination n'attendaient qu'eux. Mais Oswald était encore gêné par les affaires de mariage dans laquelle il s'était empêtré avec Hortensia, la fille du Banquier.
C'était... une bonne amie. Enfin. C'était. Il fut un temps. Puis il y a eu cette histoire de fiançailles qui était partie beaucoup trop loin.
On pourra faire le mariage sur la Grand Place ! Oui, ce serait parfait ! Tu as parlé à Horace ? Oswald ?
Il n'écoutait pas. Oswald ! Hein ? Quoi ? Tu m'écoute ? Horace ! Tu lui as parlé ? Je pensais que tu voulais qu'il soit ton témoin.
Non. Son père le voulait. Oswald adorait Horace, mais il n'avait pas pensé à tout ça. Il ne voulait pas penser à tout ça. Je te comprends pas Hortensia. Tu veux vraiment te marier ? C'est ton père qui a arrangé tout ça, tu ne peux pas vraiment m'aimer.
Elle haussa un sourcil. Pour une star tu es assez nul pour marquer le coup. Et alors ? Allons jusqu'au bout ! Mieux ce sera fait, plus on en sera heureux ! Non Hortensia ! Tout ça, n'est qu’hypocrisie. Tu es hypocrite. Tout le portrait de ton saleté de père. Oswald je ne te... ! Non ! J'ai raison, ton père est un homme exécrable et tu as tout de lui. Il nous a forcé à nous unir, je regrette tout ce que j'ai fait avec toi, je n'en peux plus de vivre comme ça ! Tu vas encore partir comme un lâche au lieu d'assumer tes responsabilités ? Je suis un toon d'enfant ! Depuis la naissance ! Je n'assume pas mes responsabilités en étant avec toi et ton insupportable famille ! Ça suffit... Je ne peux plus vivre comme ça. Je m'en vais. Et Toonville n'est pas prête de me revoir. Oswald... Et j'irai aussi loin que le monde me le permettra.
Et d'un dernier bond par la fenêtre, il s'en alla retrouver Carioca et Pistoles.
29 décembre 2017, Storybrooke
A l'époque, c'était différent. Il y a plusieurs siècles, quand Mugman, Cuphead, Mickey, Felix et moi étions frères. Nous vivions, tout simplement. Aujourd'hui, j'étais un adulte à côté de Cuphead, et si c'était sans doute l'un des enfants les plus forts qui puissent exister, j'avais tout de même des responsabilités envers lui. Soreth aussi. C'était notre frère... jumeau, après tout.
Et... par les esprits perdus de Wasteland ! Si retrouver mon frère et son énergie inépuisable était vraiment revigorant, qu'est-ce que c'était difficile de l'endormir ! Moi qui pensais que Lukas était un challenge depuis qu'il connaissait Lily Jones, Derek et Duncan, ce n'était qu'un maigre échauffement à côté de Simon. Il réussissait même à réveiller Paco, l'ancien toon paresseux, alors que c'était le plus dormeur de tous mes frères.
Lorsqu'on sonna à la porte, j'avais presque grincé des dents, de peur que ça ne réveille l'excitation de Simon d'un seul coup, ce qui ne fut pas le cas, fort heureusement. J'allais vers la porte doucement, sans faire de bruit, me méfiant de ce qui pouvait se trouver derrière à une heure aussi tardive. Un regard par le judas, et mon regard s'illumina d'un seul coup, et n'hésita pas une seconde de plus pour ouvrir la porte.
Je sortais, fermant la porte derrière moi, un grand sourire dessiné sur mon visage devant le brésilien qui se trouvait devant moi. José Carioca ! Oswald Lucky ! S'écria-t-il dans son éternel accent portugais. On s'était fait une étreinte amicale naturellement, avant qu'il ne reprenne. Ou Dyson Walters. J'avais bien entendu que tu avais changé pour devenir entièrement Oswald mais dis donc ! T'en a perdu des tour de bras ! Viens tester mes bras on verra si j'ai perdu ma force ! Fis-je en rigolant. Ca fait un bail ! T'as pas mal voyagé depuis que t'es arrivé dans ce monde y a un an et demi ! J'suis fait pour ça, fallait rattraper ces années à Wasteland. Son regard s'attrista légèrement. J'ai appris, pour Lily, l'année dernière... Toutes mes condoléances mon pote.
J'avais oublié que Carioca et Lily s'entendaient super bien à l'époque. Merci, répondis-je, gêné. Tu racontes quoi ? Pourquoi tu es revenu ?
Et à ma grande surprise, son visage se ferma, devenant soudainement très sérieux. Je ne suis plus en vacances depuis un moment, Lucky. Je suis à la recherche de quelqu'un, de dangereux, et...
José ne put jamais finir sa phrase, puisqu'un froid intense parcouru nos corps, tandis qu'une traînée noire venait de travers les airs dans la rue, s'éloignant aussitôt. J'haussais les sourcils. Et merde...
Carioca, tu as entendu parler de l'Equation de la Fin ces derniers jours ? Même à l'autre bout du monde les nouvelles vont vite chez nous. Pourquoi ? C'était Bendy ? J'en sais rien, normalement non. Tu as ton arme ?
Il sortit un revolver qui était coincé à son dos par son pantalon. Toujours.
Je pris un baton en métal qui ne quittait jamais mon entrée l'intérieur, avant de m'élancer à sa suite vers l'entité qui hantait les rues de la ville. Elle était rapide, mais assez lente pour qu'on puisse la poursuivre, peut-être la rattraper. Mais lorsqu'on était arrivé près de la forêt, la traîné s'arrêta soudainement et fonça vers le sol, pour laisser apparaître une silhouette humaine de dos recouverte d'une cape noire.
Par les esprits perdus de Wasteland, avions dit automatiquement en même temps. J'avais oublié depuis le temps que la majorité de mes tics de langage, je les tenais de lui.
Salut, vous deux.
La personne se retourna vers nous, et enleva sa capuche pour dévoiler son visage. Je ne la connaissais pas. Carioca en revanche...
Lucky, c'est elle, c'est... Tu es sacrément collant toi. J'ai toujours détesté les piafs. Encore plus les perroquets.
C'est une toon, elle connaissait la nature de José. Qui êtes-vous ?
Son sourire ne la quittait pas. Certains disent qu'on peut retrouver son véritable amour qu'importe le visage. Mais on ne s'est jamais aimé, donc je comprends.
Mon sang, et toute l'encre qui s'y trouvait, venaient de se glacer à l'intérieur de mes veines. Non... C'est elle que je pourchasse depuis un moment déjà. Hortensia. Lucky, ses pouvoirs sont trop grands. N'exagérons rien, ils le sont juste assez.
Elle avait fait un pas vers nous. Des pouvoirs ? Tu n'as pas de pouvoirs. Tu ne m'as jamais vraiment connu.
J'avais l'impression d'avoir un millier de migraines en même temps. Ca n'a aucun sens... Pourquoi tu es revenue ici ? D'où te vient cette magie ? Pitié, tu es le chef des armées de notre peuple, réfléchi un peu s'il te plait. Pourquoi serai-je revenue ? Pourquoi maintenant ? Mon coeur avait manqué un battement. L’Équation de la Fin...
Elle avait sourit. Profite bien de tes derniers instants avec Kara et Lucy. Ce sont mes filles.
Et elle disparut dans cette première volute de fumée noire que nous avions vu, me laissant là avec Carioca, effrayé, n'étant même pas certain de ce qu'il venait de se passer.
Bon sang, Carioca, c'est quoi cette histoire ?! La suite de l'équation, Lucky. Et crois moi, elle ne va pas te plaire.