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Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)

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 Evénement Divin #25 {75} : Tokyo sans Sushis [Fe]

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Anna D'Arendelle
Sasha Hale-Bowman
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Anna D'Arendelle
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »

Anna D'Arendelle

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HERE WE GO AGAIN

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| Conte : La Reine des Neiges
| Dans le monde des contes, je suis : : Anna

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| Cadavres : 804



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________________________________________ 2017-03-03, 20:19





Tokyo Sans Sushis

Remember who you are

Les coups de feux m'avaient alertés. Aussi, m'étais-je rapidement mise en quête de ceux qui manquaient. J'avais finit par tomber sur « Bibiche » et « Charlie » ainsi que Muerte. Apparemment ils avaient l'air d'aller bien, même si la blonde semblait avoir une blessure à la fesse et Bibiche avait l'air de voir si elle allait bien

- Qu'est qu'il s'est passé ? J'ai entendue des coups de feu

« Y'a eu un pépin, mais ça va. On n'a rien. Enfin à part sa fesse. Je crois...»

Je ne fit pas plus de commentaire sur le sujet. Me contentant de jeter un regard aux alentours. Il me semblait que Merry était à côté de moi tout à l'heure. Où était-elle passé ? Ce n'était pas le moment de se disperser. Avec ce qu'il se passait, resté groupé était encore la meilleur chose à faire. Bibiche jeta un regard en direction de Charlie avant de reprendre la parole :

« Elle a dû s'absenter. »

Sans doute voulait-il se montrer rassurant, mais cela n'avait pas tout a fait l'effet escompté sur moi. Au contraire, ça me donnait encore plus envie de m'inquiéter. Le seule truc qui me retenait c'était que ça servait à rien de se foutre la rate à l'envers toute seule dans son coin. Ça ferait pas avancer le truc bien au contraire. Alors, je prenais sur moi, et disons que je faisais au mieux pour pas montrer que je balisais quand même légèrement. Manifestement, c'était pas au goût de notre ami Muerte qui ne cessait de brandir sa croix en argent dans la direction de Charlie :

« C'est elle ! C'est elle ! C'est le démon ! Elle est là, elle est pas là. Elle est où ? »


O...kay lui, il lui manquait clairement une case. Voir, toute une barrette. C'était pas franchement nouveau ça à vrai dire. Il nous en avait déjà fait la démonstration tout à l'heure. En tout cas il avait l'air de bien gonfler Bibiche parce qu'il lui prit la croix des mains en l'étranglant par la même occasion ce qui lui fit pousser un petit cri

« Met la en veilleuse et arrête avec ça. »


« C'est ma mamma qui me l'a offerte le jour de mon baptême. »

Je lui aurait bien dit qu'on en avait absolument rien à faire de cette information, mais Bibiche m'entraînait à l'écart tandis-que je lui jetais un regard intrigué. Il avait découvert un truc particulier ? Je préférais attendre pour l'instant. Une fois à l'écart derrière une machine de Space Invaders il se frotta le menton l'air embarrassé. Manifestement, j'allais pas apprécier ce qu'il allait me dire :

« Il s'est passé un truc. Elle a disparue avec Charlie, mais Charlie est revenue elle. Et ce n'est pas tout. L'autre gars, Newt sait faire des choses. Et je pense qu'on en est tous capable... »

Ah ? Ben dans ce cas là, je devais être la seule qui n'avait pas la capacité de faire des trucs de dingue. Parce que je me sentais bah...Normale en fait. Je n'avais pas disparut d'un endroit pour réapparaître au même deux secondes plus tard. Je n'avais pas fait de trucs bizarre. Le seule truc que j'avais découvert c'est que je savais plutôt bien chanté, si je m'en donnais la peine.

- Hormis une mèche décoloré j'ai pas l'impression d'avoir quoi que ce soit de spécial

Bibiche regarda la dite mèche pendant quelques instants, avant d'avancer, sa main dans sa direction pour la toucher. Mon premier réflexe fût de la ramener derrière mon oreille. Ça avait quelque de naturel. Un peu comme si, j'avais l'habitude qu'on s'attarde un peu trop dessus, et que je ne souhaitais pas « l'exhiber » à la vu de tous. Est-ce que c'était naturel ou bien dût à un accident ? J'en savais rien. Mais c'était un réflexe, quelque chose qui me venait comme ça.

« J'en ai pas l'impression non plus. C'est ça qui m'inquiète, car ni toi, ni moi, on semble avoir quelque chose de spécial... »

Je lui jetais un regard soucieux. Cette histoire devenait de plus en plus bizarre, et me plaisait de moins en moins au fur et à mesure que le temps avançait. Je voulais retrouver ma mémoire et la raison pour laquelle j'étais à Tokyo pour me barrer vite fait et rentrer chez moi

- Donc en gros on serait quoi ? Les deux seules humains lambda au milieu de personnes avec des aptitudes surnaturelle ?

Bibiche sembla hésitant :

« Choisi au hasard par des gens bizarres ? Parce que si on est différent d'eux, je ne vois pas trop ce qu'on faisait avec eux la nuit dernière... A moins qu'ils voulaient juste s'amuser et qu'ils nous ont emmenés dans leur délire. »

Ouais...J'avais des doutes concernant cette partie de l'affirmation :

« Miller, ça te dit quelque chose ? »

Je fronçais les sourcils, cherchant à me souvenir de quelque chose. Ou tout du moins de voir si ça m'était familier. Sauf qu'encore une fois, c'était le blackout totale. Bibiche, lui regarda le sol pendant que j'essayais d'avoir ne serait-ce qu'un micro fragment de mémoire :

« Tu portais une magnifique robe bleu clair, avec des chaussures à talon. » Il va attendre un petit moment, puis te regarder dans les yeux et te dire : « On était au bord de plage. C'est tout ce qui m'est revenu... toi, moi, cette robe et une plage. »

Donc, apparemment on se connaissait. Ça faisait déjà une info en plus

- J'ai rien qui me viens. Je triturais nerveusement ma mèche blanche.
C'est frustrant. Tout ce que j'ai c'est un bout de papier avec ce qui semble être mon nom

« Quel bout de papier ? » Demanda-t-il

Je tendis ma main vers la sienne pour y placer le papier légèrement chiffonné que j'avais gardé dans ma main :

- Ça. Je l'ai eu en faisant un jeu vidéo

Il prit ce que je lui tendais, et l'observa pendant quelques instants en silence. Puis finit par me le rendre en souriant :

« Anna, c'est bien mieux que Nana. »

Oui je trouvais aussi. Nana ça allait bien cinq minutes. Et puis au moins, maintenant je savais comment je m’appelais. Plus besoin de surnom ridicule en attendant de retrouver ma mémoire qui d'ailleurs se faisait plus que largement désiré :

« Au moins on est fixé sur une chose. Si mon nom est Miller et le tiens Arendelle, ça signifie qu'on n'est pas ensemble. Ou du moins pas marié. Du coup je crois que je te dois des excuses. Quoi que ce soit qui s'est passé cette nuit, dans ce lit, j'en suis désolé. »

Ouais et moi j'étais désolée, de l'avoir prit pour un type avec une barrette de case en moins. Il avait l'air plutôt sympa au final. D'ailleurs il me rendit mon papier que je rangeais dans la poche de mon kimono et me tendit la main que je saisis :

« Enchanté Anna. Moi c'est Miller. »

Je lui rendis sa poignée de main en souriant, et me tournait pour voir le Moine de tout à l'heure arriver derrière nous. Il avait l'air toujours aussi zen, même s'il semblait tout de même légèrement affolé :

« Vous devez partir, ce ne serait pas bon pour l'émission si la police vous arrête. Mauvaise publicité. Très mauvaise. »

Miller, anciennement Bibiche le regarda avant de faire de même avec moi. Ça commençait doucement à bouillonner mais je fit un gros, très gros effort pour prendre sur moi même. J'avais peut-être ma mémoire, mais il y avait certains trucs qui n'étaient pas tombé dans l'oreille d'un sourd. Notamment, ce type là Hanouna. Qui avait parlé d'une pub, et qui semblait un peu trop bien informé à mon goût pour que ce soit totalement innocent. Je n'avais pas l'impression d'être quelqu'un de violent. Mais là, j'avais bien envie d'aller le trouver afin de lui péter les dents :

- Une petite minute, le maître de la zenitude. T'es en train de me dire, que tout ça c'est filmé ?

"Nous en parlerons une fois en sécurité. Les autres sont déjà retournés au camion. Vous devez m'accompagner."


J'étais un chouilla méfiante quand même. Mais je supposais qu'on avait pas d'autre choix. En attendant, j'espérais qu'il avait des explications et qu'elles étaient bonnes. Notamment sur qui était derrière tout ça :

« On va le suivre et on verra une fois avec les autres. Ça te va ? »


Je hochais la tête pour dire que j'étais d'accord et le Moine nous dit de courir derrière lui. Rapidement, on se mit en chemin afin de fuir l'arcade le plus vite. Lui devant nous, et Muerté derrière. D'ailleurs à chaque fois qu'il courrait on pouvait voir la robe du Moine se soulever pour voir ses baskets. Ça m'aurait bien fait rire, si on était pas aussi pressé. Au final, nous arrivâmes devant le camion de pompier.

"Les fils de chacaux ! ils ont crévés les peneu !" S'écria Muerté une fois arrivé au camion.

Je le laissais, s'énerver tout seule, parce que non seulement Merry était aux abonnés absents. Mais en plus, je me sentais vraiment pas bien du tout. J'avais un point de côté, et je commençais à voir légèrement flou. Ça faisait combien de temps que je n'avais pas mangé moi ? A bien y réfléchir je n'avais rien avalé ce matin, et la bouffe du bar était tellement infecte qu'elle m'avait rendu malade

« Anna ? »

Ma vision se troubla, et la dernière chose dont je me rappelle c'était que l'on essayait de me retenir.




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Anonymous



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________________________________________ 2017-03-04, 19:17

TOKYO SANS SUSHIS

- DES JUMEAUX AMNESIQUES — ET... PLEINS D'AMNESIQUES -

Il a une banane sur son casque ! Il rigole pas !

C'est le son des miaulement synchronisé des deux chats des jumeaux que tout le groupe (enfin ce qu'il en resté) était sorti précipitamment.

Si les jumeaux, malgré tout, adorait ce qu'il se passait actuellement (c'était fun !) ça se gachait de plus en plus. Déjà, il leur manquait maintenant une soeur. Y avait des mangeurs de chats, des criminels, des types encore plus louches, un moine étrange (bien que en fait, il était cool dans son style), Charlie qui avouait pas ses vues pour Newt (c'est frustant !).

Tout ça commençait à aller trop loin. Alors que tout le monde partit s'occuper de nouveaux trucs de criminels qui dépassaient complètement Derek et Duncan, eux restèrent ici.

Ca suffit, y a rien d'utile la dedans !
Ouais, faut qu'on avance sur cette histoire parce que c'est n'importe quoi.

Ils firent un tour sur eux même, alors que Fred finit par trouver une chose bien interessante.

La bas ! S'écria-t-il en pointant le fond de la salle d'arcade. Un point informatique !

S'élançant vers une rangée d'ordinateurs assez modernes et cool, ils prirent place devant le seul qui venait de se libérer.

Commençons par chercher qui nous sommes.
Ouais !

George tapa leurs noms sur Google, et lut le résultat.

Fred et George Weasley sont des frères jumeaux, fils d'Arthur et Molly Weasley. Après leurs études à Poudlard de 1989 à 1996, ils ouvrent leur boutique de farces et attrapes. Fred était batteur dans l'équipe de Quidditch de Gryffondor. Ils sont également membres de l'armée de Dumbledore et de l'Ordre du Phénix. Ils participent à la bataille de Poudlard le 2 mai 1998 durant laquelle Fred décède.

J'suis presque sur de pas être mort en 1998. Quelque soit l'année actuelle.
Ce sont donc pas nos vrais prénoms. Dommage !

Ils réfléchirent, se posant plusieurs questions.
N'y avaient-ils pas des indices qu'ils ont zappé ? N'y a-t-il pas un élément extérieur qui les aiderait à y voir clair ? Pourquoi la mort de Fred à l'air de les affecter ?

Je sais !

Il tapa sur le moteur de recherche "Cyril Hanouna". C'était l'homme-aspirateur que Nana avait appelé, le seul dont on connaissait l'identité complète.

Bingo !

Les recherches aboutissaient sur un seul homme, et le nombre de résultats montraient qu'il était connu.
Tombant sur la page Wikipédia de Cyril Hanouna (ils ne savaient pas pourquoi, mais le site Wikipédia semblait comme une évidence), ils apprirent que Hanouna est un animateur télé français, qui dirige Touche pas à mon Poste, une émission de divertissement qui cartonne partout en France.

Avec cette tête, c'est forcément une émission d'humour.

Ils allèrent dans la section Actualité de google pour trouver les derniers scoop en date de l'émission.

  • TPMP : Cyril Hanouna fait pleurer Enora Malagré
  • TPMP : Capucine Anav moquée par Cyril Hanouna
  • Capucine Anav, seins nus dans TPMP.


Les jumeaux, exaspérés, ne prenaient même plus la peine de commenter.

Regarde !

  • TPMP au Japon !


Fred ne se fit pas prier pour cliquer dessus.

L'équipe de TPMP a fait ses valises pour s'envoler au Japon. Le nouveau pari insensé de Cyril Hanouna est de piéger ses chroniqueurs (mais pas seulement !) dans une émission en les filmant 24H/24 dans les plus grands sites touristiques japonais, notamment la métropole de Tokyo. Hanouna va-t-il trop loin en s'attaquant à l'Empire du Soleil Levant ? A suivre en direct actuellement, en simultané en France et au Japon !

Regarder la diffusion en direct


Interloqués, Fred cliqua sur le lien, et la vidéo de la diffusion en direct s'ouvrit en plein écran. Ils découvrirent bien vite que Cyril Hanouna avait une voix encore plus horrible que sa tête était comique, dans un plateau qui ressemblait à celui qu'ils avaient vu sur les images, mais en plein air. Devant, Cyril Hanouna parlait au public, avec un tee-shirt "I love Tokyo" sous une veste de costard par dessus. La vidéo était sous-titrée japonnais.

<<< Mes chéris, nos américains adorés sont en train de vivre un moment difficile. Nous allons vous montrer les images avant de lancer la pub. On espère vraiment qu'ils vont s'en sortir. En tous cas, on les embrasse fort. >>>

L'image changea, pour montrer un camion de pompier aux pneus crevés avec Nana dans les vapes, dans les bras d'Emmet, avec Muerte, Charlie et Newt à côté. La qualité de l'image montrait que c'était une caméra cachée (ils s'y connaissaient apparemment sur la qualité d'image et de caméra).
Alors que la pub se lança, les jumeaux arrêtèrent la vidéo.

J'suis pas sur que ça soit légal tout ça.

Ils réfléchirent alors 30 secondes, avant que l'information ne leur vienne enfin.

OH PUTAIN ! MEURS PAS S'IL VOUS PLAIT !


Ils s'élancèrent à l'entrée de l'arcade, ouvrant à demi la porte, pour tenter de voir un truc, quand un bruit de sirène (la police ?!) s'approcha. Les jumeaux sortirent alors vite des lieux pour se cacher derrière une voiture, tentant de voir quelque chose à la situation, quand un homme vint leur adresser la parole.

Alors qu'ils ne comprenaient rien à ce qu'ils disaient (pourquoi parlaient-ils tous japonnais à Tokyo ?!), les jumeaux s'étaient retournés vers l'interlocuteur, pour voir un pompier baraqué.
Voyant que les Weasley ne comprenaient pas, il adopta pour l'anglais, avec un accent prononcé :

Vous connaître ces gens ?

Les jumeaux se levèrent un peu de leur cachette pour regarder la scène qu'ils avaient vu à la télé : tout le monde (à part Merry, absente), autour de Nana, inconsciente. Un autre pompier s'occupait de Nana, tandis que les rouquins se tournèrent vers le premier pompier, un regard méfiant.
Et s'il venait pour leur réprimander le vol du camion ? Devaient-ils dire la vérité ?

Pourquoi ? Qu'il y a t il ?

Vous ficher moi ?

Ils se retenaient de rire, c'était bien trop drôle, sa façon de s'exprimer !

Vous de sa famille. Vous me suivre.

Il avait surement remarqué la rousseur, ce qui ravit les jumeaux (en même temps, ça court pas les rues, des roux, ici).

Ainsi, content que le monsieur ait remarqué, ils le suivirent, distraits.

Ouais ! Même que nous 4 (y en a une autre) on est de la famille royale d'un pays de roux (la Roussie je crois, ça sonne bien) et qu'on a un château !

Alors qu'ils s'approchaient du camion, George revit Nana, toujours inconsciente.

Vous allez la sauver ? Parce que j'sens que j'aime pas la mort. Je me souviens pas très bien mais ça a pas l'air de nous plaire. Pis, c'est notre soeur !

Le pompier aida son collègue à porter Nana jusque dans le camion sur un brancard.

Nous la mettre dans le camion pour porter secours.

Une fois Nana dedans, le pompier continua, portant un regard lourd aux jumeaux.

Vous avoir volé camion ? Vous !

Ce fut d'abord des soupçons, mais ils virent dans son regard que ça se transforma en certitude. Mais devant d'abord s'occuper de Nana, il sortit un formulaire qu'il tendit à George.

Formulaire.
J'avais deviné. Mais...

Il était entièrement dessiné en lettres étranges japonaises. C'était certainement des infos sur la patiente que les proches devaient remplir, mais ils étaient pas avancés avec un tel papier.

Ils regardèrent tour à tour le formulaire et le pompier.

BON, tu trouves un moyen pour l'occuper avec son formulaire alien ! S'écria Fred avant de s'échapper pour courir dans la rue, tentant de trouver d'où était filmée la scène qu'ils avaient regardé, afin de trouver le caméraman. Il aurait surement des infos sur tout ce qu'il s'est passé !

Sauf que la caméra était pas simple à trouver. Elle devait être minuscule ! Peut-être au niveau du torse ? La scène était filmée de très près du camion. BIBICHE ! Non, il était juste bizarre lui.

Bah, c'était bizarre ! Le moine, Bibiche, Charlie, Newt, Muerte, autour de Nana. Personne d'autre !
La scène qu'ils avaient vu montrait pourtant bien Bibiche, Charlie, Newt, Muerte, autour de Nana et...

Oh. Bibiche, Charlie, Newt, Muerte, Nana étaient apparu sur l'écran. Eux seuls.

JE SAVAIS QUE TU ETAIS CHELOU TOI !

Il sauta véritablement sur le moine, qui était avec eux et qui comme par hasard n'était pas devant la caméra.

FAITES ATTENTION LES GENS IL NOUS FILME ! ON L'A VU ON EST EN DIRECT EN FRANCE !

Le moine poussa d'abord un cri de surprise, mais se ressaisit rapidement, en demandant calmement :

Lâchez-moi, s'il vous plaît. Ce n'est pas très poli de sauter ainsi sur votre guide. Je ne filme que selon la volonté de monsieur Hanouna.

Fred continua à hurler, en parlant dans son ventre (la caméra doit être quelque part là).

AU SECOURS, CES GENS NOUS ONT DROGUÉS POUR LEUR EMISSION CE N'EST PAS UNE BLAGUE, A L'AIIIIDE

Puis il s'adressa au moine.

TU VAS NOUS DIRE QUI ON N'EST ? ARRETE DE JOUER AU SAGE, FAUX MOINE !

Le moine resta serein, et ne fit rien d'autre que presser deux doigts dans son cou, et Fred s'écroula d'un coup par terre.

Il va bien. Il avait besoin de repos. L'hystérie n'est pas la solution, croyez-moi. Vous devez rester calme, explica-t-il simplement aux autres.
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Hope Bowman
« Nounours Rebelle ʕ•ᴥ•ʔ »

Hope Bowman

| Avatar : Karen Gillan

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“Il était une fois un lapin grognon et une princesse rebelle qui décida de lui rendre le sourire.”


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________________________________________ 2017-03-04, 22:54 « Nounours Rebelle ʕ•ᴥ•ʔ  »


« This voice inside is who you are... »

J'avais été téléportée dans des toilettes publiques par Charlie la mutante. Ou un truc du genre. J'essayais de m'en remettre, mais surtout, de rester zen alors que j'étais entourée par une foule de types japonais qui m'observaient d'un oeil appaté. Je me trouvais dans une salle qui sentait fortement la transpiration, non loin d'un ring sur lequel s'excitaient deux gars en surpoids inquiétant.

"Où est Charlie ?" balbutiai-je.

Je regardai de tous côtés dans l'espoir de l'apercevoir quelque part. Mais non, elle m'avait bel et bien plantée là ! L'espèce de sale... mutante ! Juste avant de partir, elle m'avait dit de me "démerder" et à présent, je savais qu'elle faisait partie de ces gens qui allient le geste à la parole.

Les japonais commençaient à se masser sérieusement autour de moi, à se rapprocher. Certains disaient déjà des mots roucoulants auxquels je ne comprenais rien, mais l'intonation suffisait. Je grimaçai et jouai des coudes pour me frayer un passage. Je n'en menais vraiment pas large. Certains mecs devenaient plus brutaux. Charlie... je t'en prie, reviens ! Ce n'était pas mon genre d'implorer, et de toutes façons, la fausse blonde ne m'aurait pas entendue. A quoi bon se ridiculiser ?

J'étais véritablement perdue. J'évoluai de plus en plus difficilement à travers la foule de testostérone qui s'impatientait. Mon instinct me disait que j'aurais pu les calmer en me juchant sur le ring pour danser, mais la raison l'emporta : ça n'était pas le plan du siècle. En plus, les deux sumos ne m'inspiraient pas confiance. Il me fallait continuer d'avancer coûte que coûte.

"Bas les pattes !" m'écriai-je en repoussant un gars plus entreprenant que les autres. "J'ai l'impression d'être au salon de l'agriculture ! Je suis pas une vache !"

Le japonais, qui ne comprenait rien, ricana et prononça quelque chose dans sa langue. D'autres enchaînèrent. Je me mordis les lèvres. Perdue, abandonnée... Je serrai les poings. Résolue, vaillante. Je me battrai jusqu'à la dernière minute s'il le fallait. Mon destin m'appartenait. Je fermai les yeux brièvement, essayant de me concentrer sur un fragment de souvenir, n'importe lequel. Quelque chose qui m'aiderait à tenir. Hélas, mon cerveau était aussi vide qu'une page blanche. Alors, je me répétai mentalement la seule phrase qui semblait émaner de ma mémoire effacée : "Destin... pour changer renoue les liens, répare le mal causé par l'orgueil." Puis je tentai de la comprendre. Etais-je trop arrogante ? Je devais corriger ça. Je murmurai dans un filet de voix assuré :

"Je suis humble. Je suis humble."

C'était un bon début, non ?

"Je suis humble. Je suis... ta gueule. Je suis humble." répétai-je en demandant avec une amabilité discutable au japonais le plus proche de se la fermer, car il me déconcentrait.

J'étais tellement désespérée que j'étais prête à me raccrocher à n'importe quel proverbe à la noix. On fait des choses stupides parfois pour tenter de sauver sa peau. Le type s'énerva et m'agrippa le bras. Je me raidis, voulus le dégager vite fait, mais à cet instant, un léger chuchotement familier caressa mon oreille. Je soulevai les paupières et entendis la foule émettre une exclamation surprise.

Une lueur bleutée flottait à un mètre de moi.

"C'est quoi cette loupiote surnaturelle ?"
fis-je, interloquée.

Ca venait de moi ? J'étais aussi une mutante ? J'en profitai pour repousser je type une seconde fois, avant d'observer plus en détails la lumière bleue. On aurait dit un petit fantôme, une sorte de flamme. Je m'approchai prudemment, sentant que cela ne pouvait pas me faire de mal. Les japonais étaient tous pétrifiés, fixant l'étrange phénomène. Au moins, ils n'avaient plus envie de me peloter. Dans un sens, il y avait de l'amélioration, même si ça n'allait pas durer. Je devais me dépêcher de décamper. Mais juste avant...

Je tendis la main pour toucher le feu bleuté. Il émit un gazouillis et se volatilisa avant même que je puisse l'effleurer. Surprise, je sursautai. Un autre apparut à une dizaine de mètres, juste devant la porte fermée.

"Kitsunebi ! Kitsunebi !" s'exclama un sumo d'une voix aiguë.

Brusquement, la panique gagna la foule. C'était bien des mecs : ça joue les gros durs mais ça braille dès qu'ils se mettent à avoir peur. Les plus hardis trouvèrent la force de dégainer leur I-Phone pour filmer le "Kitsunebi" d'une main tremblante ; quant aux autres, ils se rassemblèrent autour et sur le ring, craintifs. Une exclamation à mi-chemin entre le ricanement et le soulagement s'échappa de ma gorge. Sans demander mon reste, je m'élançai à la poursuite du fantôme bleuté. Comme je m'y attendais, il disparut avant que je l'atteigne. J'abaissai la poignée de la porte et la poussai, me retrouvant dans une rue peu empruntée et relativement étroite. Les immeubles étaient hauts et plutôt récents, ce qui me laissait espérer que j'étais encore dans les parages de l'arcade de jeux.

"Petit fantôme ? Où es-tu ?"
dis-je en faisant quelques pas dans la rue.

J'entendis un murmure incompréhensible sur ma gauche et pivotai dans cette direction, remarquant les contours bleutés d'un feu flottant dans l'air. Il était à peine visible dans la lumière du jour.

"A nous deux. Si j'ai bien compris, tu me montres le chemin ?"
demandai-je en m'avançant d'un pas déterminé.

Pour toute réponse, il se volatilisa alors qu'un autre se manifestait, puis encore un autre. J'avais l'impression d'être devenue le fromage dans Pacman, et de devoir bouffer tous les fantômes du coin. Les "Kitsunebi" me firent rejoindre une rue passante. Fort heureusement, mes petits feux bleus ne se faisaient pas trop remarquer en pleine lumière. D'ailleurs, je ne manquai pas d'en engueuler un qui apparut à l'ombre. Plusieurs passants se stoppèrent à ce moment-là, intrigués. Il fallut que je fonce sur le fantôme pour qu'il disparaisse avant qu'on ne se mette à trop m'observer. Puis j'écartai toute question avec un grand sourire.

"Nouveau jeu vidéo pas encore commercialisé !"
fis-je aux passants curieux, sans même savoir s'ils me comprenaient.

Puis je poursuivis ma route. Finalement, mes nouveaux potes chuchoteurs m'emmenèrent jusqu'à une cabine téléphonique vert criard, moche à souhait. Je fronçai les sourcils.

"Euh... J'ai pas d'argent. Et même si j'en avais, je saurais pas qui appeler. Je connais pas le numéro de Nana."

J'avais plutôt bien encaissé le fait d'avoir des espèces d'anges gardiens bleus et désincarnés, surtout qu'ils avaient fait flipper une bande de japonais en manque. Mais là, je ne comprenais pas ce qu'ils attendaient de moi.

"Tu m'as montrée le chemin jusqu'à ce machin, c'est sérieux, là ?"
fis-je, m'impatientant.

Brusquement, je me demandai s'il ne s'agissait pas d'une immense farce de plus, orchestrée par des faisceaux laser pour créer les fantômes bleutés. Leurs murmures n'étaient peut-être que des sons émis par des micros placés... placés où ? Je passai une main sur mon front, envahie par le début d'un profond malaise.

En guise de réponse à ma question, le "Kitsunebi" gazouilla d'une façon que je jugeai moqueuse et s'évanouit dans l'air, juste devant le téléphone. A cet instant, ce dernier se mit à sonner.

Je fis un bond en poussant un cri, si bien que quelques passants se retournèrent vers moi.

"C'est quoi ce délire ?"
fis-je, estomaquée.

Je fixai le téléphone vert comme s'il allait me sauter sauvagement au visage. Il continuait de sonner, me pressant de prendre l'appel.

"Vert... Matrix...?" balbutiai-je, me souvenant d'un film où les protagonistes retournaient dans le monde réel en répondant au téléphone.

Mue par cet instinct surréaliste, je me saisis du combiné et le plaquai contre mon oreille :

"Morpheus, sors-moi de là !"

Un ricanement bizarre et aigu me répondit.

"Ma chérie, kestufou ?"

C'était quoi comme langue, ça ? Je mis quelques secondes à comprendre, mais le type parlait tellement que j'avais un mal fou à coordonner mes idées.

"On a perdu ta trace. Normalement les balises qu'on vous a installées sont fiables, du coup je sais pas ce qui s'est passé... Heureusement, on t'a retrouvée ! On a fait sonner tous les téléphones du coin !"

Tout ce que je me disais, c'est que Morpheus avait une voix nettement moins sexy que dans les films de l'époque. Je me massai entre les yeux pendant que je l'écoutais, réalisant que ça devait être le fameux Hanouna qui avait appelé Nana. Je reconnaissais son rire à la con.

"Je te vois pas, là." reprit-il. "Faudrait que tu retournes au camion de pompiers, parce que je pense qu'ils vont pas tarder à se barrer. Ca a pas mal chauffé, là-bas."

C'était un public que j'entendais faire "Ouuuh" en fond sonore ? J'avais l'impression d'halluciner. Avant toute chose, il fallait que j'éclaircisse un point :

"Attends, je veux juste bien comprendre un truc : quelles balises ?"

"C'est dingue que vous ne vous souveniez de rien ! Faudra penser à faire un check up complet à la fin, d'accord ma chérie ?"

"Quelles balises ?"
répétai-je, la rage contenue teintant ma voix.

"Celles que vous avez accepter d'avaler hier soir !" répondit Hanouna d'un ton évident. "Mais pas de stress, vous les évacuerez de vous-mêmes !"

Il se mit de nouveau à rire comme un phoque. Je faillis raccrocher mais comme s'il se doutait que j'étais à bout, il précisa entre deux gloussements :

"A l'angle de la rue, tu les retrouveras ! Dépêche-toi, t'es la meilleure !"

Je laissai tomber le combiné et me précipitai vers la direction indiquée. Je détestais avoir l'impression d'être manipulée, mais avais-je vraiment le choix pour l'instant ? On verrait par la suite. Ce taré ne perdait rien pour attendre. On ne s'attaque pas impunément à Merry d'Arendelle !

En tous cas, il n'avait pas menti : à l'angle de la rue, je retrouvais le tumulte de la grande place avec la statue du chien, et le camion de pompiers garé non loin. L'agitation régnait. Je m'y rendis en vitesse, remarquant que Fred venait de tomber inerte sur le sol après une altercation avec le moine.

"Il va bien. Il avait besoin de repos. L'hystérie n'est pas la solution, croyez-moi. Vous devez rester calme."
je l'entendis dire.

Okay : moine chelou, à surveiller
, songeai-je.

Je lançai un regard à Bibiche, qui était en un seul morceau, Muerte -hélas, lui aussi- Newt, toujours aussi chou et dérouté, et George qui semblait désemparé. Remarquant qu'il manquait Nana, je baissai le doigt que j'avais levé en direction de Charlie.

"Toi et moi, on s'expliquera plus tard." fis-je en plissant des yeux. "En fait, t'as vu ? Je m'en suis sortie toute seule !"

Je haussai les épaules d'un air méprisant.

"Vous avez animé votre feu intérieur."
déclara le moine en posant un regard ému et impressionné sur moi.

J'esquissai une moue peu convaincue. Puis, comme je n'avais rien à perdre à demander une information, je le questionnai à tout hasard :

"Ca vous dit quelque chose 'kitsunebi'?"

"Le feu du renard." traduisit aussitôt le moine, m'observant avec un regard si respectueux que je sentis l'embrouille. "L'une des appellations des feux follets."

Etrangement, ce mot éveilla en moi un flot de sensations apaisantes et impalpables. Puis, les contours d'un visage flou. Des yeux bleu glacier, des cheveux noirs plutôt longs... Je considérai le moine d'un oeil méfiant malgré tout.

"Cool." commentai-je. "Bon et sinon, où est Nana ?"

"Les pompiers l'ont transportée à l'intérieur du camion. Elle a fait un malaise."

L'angoisse m'étreignit et je me mis à me mordiller les ongles.

"Les roux tombent comme des mouches ou quoi ?"
fis-je nerveusement.

J'avais très envie d'ouvrir la porte pour vérifier que tout allait bien, mais j'espérais que les pompiers étaient capables de s'occuper correctement de ma soeur. Il fallait leur laisser faire leur boulot. Je passai une main dans mes cheveux et laissai échapper un soupir. Quand est-ce que cette journée de dingue allait se terminer ?

"Au fait, si ça intéresse quelqu'un : Hanouna m'a appris qu'on a avalé des balises GPS de notre plein gré hier soir. Ca tente quelqu'un de se procurer des laxatifs histoire d'accélérer le processus ? Sérieux, je peux pas encaisser le fait que j'ai la télé qui me colle au..."

Je n'achevai pas ma phrase, me contentant de secouer la tête avant de m'appuyer contre le camion de pompiers.
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Sebastian Dust
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________________________________________ 2017-03-05, 23:01






Tokyo Sans Sushis

« I'll move my troops on the map. »


Voir une personne mal en point eu le don d’en rajouter une couche à son inquiétude. Certes ils étaient de nouveau à l’extérieur, sous l’air libre et pollué de Tokyo et ses hauts immeubles, mais ça n’allait visiblement pas en s’arrangeant. La population de curieux ou de passants pressés n’aidaient en rien à se sentir un peu à l’abri, Newt se sentant comme un rat de laboratoire à chaque fois qu’ils posaient les yeux sur lui. Forcément, quand on dépasse de deux têtes la moyenne nationale ça a de quoi attirer l’attention. Peut-être qu’ils lui demandaient s’il était basketteur ? Non. Vu la musculature qu’il possédait – hum – il était loin d’être un sportif de haut niveau ! Et puis la perspective de courir en driblant un ballon pour aller marquer des paniers ne lui paraissait absolument pas familière, c’était même un peu stupide au fond. Bon, à bien y réfléchir il ne devait même pas aimer le basket !

Ca lui tira un maigre sourire, réalisant que Charlie était réapparue avec Bibiche avant qu’ils ne perdent un troisième membre de leur équipe de choc : l’un des jumeaux fut mis K.O. par le moine qui s’était montré pourtant si sympathique jusqu’à présent. Sebastian déglutit, reculant d’un pas prudent pour se mettre hors de portée au cas où il serait emporté dans son élan. Il ne faudrait pas qu’un coup perdu lui fasse perdre conscience à son tour, la dernière fois qu’il avait fermé les yeux il s’était réveillé presque nu sur un bar et prisonnier d’une camisole de force… On allait faire attention à l’avenir ! Le gardien échangea un regard avec la jeune femme blonde, rassuré en un sens qu’elle aille bien et essayant de s’inspirer de son attitude pour paraître un peu plus sûr de lui.

Pas vraiment évident quand on vous annonce que vous avez sans doute avalé des balises GPS la veille et que vous êtes donc… Surveillés ?! Il baissa les yeux vers son torse, s’attardant sur Clyde qui roupillait dans sa carapace avant de regarder son tee-shirt. Il y avait un GPS là-dedans ? Vraiment ? Et si la voix s’activait pour leur dire qu’ils s’étaient trompés de direction ? Ou bien lui signalait un bouchon à dix kilomètres et lui proposait un itinéraire alternatif ? Il plaqua ses paumes sur son torse, espérant que ça ne faisait pas micro ou commande vocale au moins ! Qu’est-ce qu’il s’était passé la nuit précédente pour qu’il se retrouve avec quelque chose comme ça dans le bidon ?! Soit il avait abusé de l’alcool, soit il n’en avait pas bu assez, au choix.

« On est... Filmés et.. Surveillés ? On est des cr-criminels ? » Demanda-t-il, incertain.

Sauf que s’ils étaient des prisonniers évadés ou en délit de fuite, ils ne seraient pas là à discuter en toute liberté à côté d’un camion de pompiers… Ce qu’il pouvait être bête parfois. Sab ouvrit la bouche mais la referma très vite sans rien dire. Savait-on jamais qu’ils soient quand même sur écoute, il ne faudrait pas dire trop de choses compromettantes ou même parler en fait !

Merry roula des yeux avant de lui répondre d’un ton calme et patient :

« Non on n'est pas des criminels. Je pense plutôt qu'on est considéré comme des cobayes par une bande de ploucs qui s'ennuie trop ! En plus apparemment, on aurait avalé les balises de notre plein gré, tu te rends compte ? Je me vois pas manger n'importe quoi. On devait être sacrément déchiré hier soir ! »

C’était plus que certain… Même s’il avait l’impression d’avoir tous les morceaux de son corps jusqu’à présent. Il poussa un soupir désabusé, se demandant sincèrement à quoi tout ceci pouvait rimer. Il connaissait des poèmes en prose qui avaient plus de sens ! Un éclair de génie traversa soudain son esprit et il fouilla la poche de sa veste pour en sortir le petit biscuit chinois que le moine lui avait confié : celui de la jeune femme. Elle avait disparue puis avait retrouvé leur compagnie, elle avait donc sans doute frnachi une épreuve et réussi, non ? C’était une raison suffisante à ses yeux en tout cas. Il lui tendit donc le gâteau devant le nez. Merry se gratta la tête à ce geste avant de prendre le petit biscuit chinois d’un geste presque délicat.

« Bonne idée, j'ai faim en plus ! » Dit Merry avant de croquer dedans et… de grimacer. « Comment cha che fait qu'il y a du papier ? Aaah... en fait, j'ai saisi. »

Il pouffa discrètement de la voir parler la bouche pleine, constatant qu’elle mettait ses doigts entre ses dents pour récupérer la fameuse prédiction qui lui était destinée ! Mâchonnant le reste du gâteau, la rouquine lu à haute voix :

« Embrassée par le feu. »

Bon, elle aussi elle avait tirée un indice qui n’allait pas les aider des masses. C’était encore pire que d’écouter le père Fourras dans sa tour de Fort Boyard ! (si tant était que Sebastian connaisse cette émission, en fait…) Une nouvelle énigme mais toujours pas de solution, comme lui le confirma la’ir indécis de Merry quand elle leva les yeux vers lui.

« C'est pas le titre d'un épisode de Game of Thrones, ça ? »

Ca lui disait quelque chose mais… Mystère. Elle retourna le papier à la recherche de la suite, sans succès. Décidant sans doute de ne pas rester sur un semblant d’échec, la jeune femme s’en alla tapoter l’épaule du moine :

« Pourquoi y a pas un truc pour m'identifier ? »

« C'est une partie de votre identité. » Répondit-il, simplement.

Le visage de Merry se figea dans une telle expression qu’il cru qu’elle allait lui faire manger le bout de papier par les narines. Il cacha sa bouche derrière sa paume pour s’en amuser, se rendant compte qu’il appréciait de s’amuser de petites choses de ce genre sans méchanceté aucune. Cette fille avait un visage tellement expressif que ça devenait assez rapide de comprendre ceux à quoi elle pensait… Ou presque. Ca restait une femme et, par définition même, lui ne pourrait jamais les comprendre. Il avait pourtant l’étrange sensation – rassurante – que ce n’était pas tout à fait perdu. Comme si l’une d’elle lui avait accordé un peu de son jardin secret en échange du sien. Mais impossible de mettre le doigt dessus ni de comprendre d’où cela venait.

La rousse pivota vers lui, englouti le reste du biscuit chinois et poussa un soupir dépité. Elle n’en menait pas plus large qu’eux et toute cette histoire commençait sans doute à peser lourd sur la balance… Plus ils avançaient, moins ils avaient de réponses mais plus les interrogations s’accumulaient. C’était comme jouer à un Cluedo à l’envers. Merry passa un bras sous le sien et posa soudain sa tête contre son épaule, fixant le vide devant elle. Quelques secondes s’écoulèrent dans un silence religieux, à défaut des bruits incessants de la rue, avant qu’elle ne murmure :

« Moi aussi je fais des trucs bizarres. Comme Charlie. Mais en pas pareil. Y a... des fantômes bleus qui sont apparus dans la rue pour me guider. Ca s'appelle des kitsunebi, apparemment... Je sais pas ce que c'est exactement mais étrangement, ça me fiche pas la trouille. »

Il l’observa, attentif, en laissant à son tour un moment de répit. Puis un sourire doux s’esquissa sur son visage, comme si ce qu’elle avait à dire avait parfaitement du sens alors que ça paraissait insensé.

« Ils t'ont guidés en sé...curité» C'était plus une constatation qu'une question, au fond. « Ca devait être... Joli à voir. »

Rien que de l’imaginer… Des petits bons hommes pour lui indiquer la direction à prendre, c’était… Enfantin. Agréable.

« Ouais, ils étaient pas mal… pour des fantômes. » Approuva-t-elle.

« Est-ce que... Mr Hanou... Hanouna t'as dit ce... Ce qu'on devait faire ensuite ? »

La prénommée Anna avait l’air mal en point et il coula un regard vers le jumea roux que son frère essayait de ramener à la conscience en le secouant par le col. Pas sûr que ce soit la meilleure des manières… Merry haussa les épaules à sa question, se renfrognant un peu sur elle-même.

« Non. Pourtant il est du genre causant, mais plus pour raconter des conneries. Si tu veux des renseignements, faut caresser le moine dans le sens du poil. Peut-être qu'il sera magnanime avec toi. Moi, j'abandonne. »

Elle poussa un soupir lourd, lasse et fatiguée sans doute par ce qui leur arrivait. Newt la dévisageait toujours, attentif et étrangement attendri par l’attitude qu’elle avait… Ce n’était pas vraiment une forme de pitié, plutôt de l’attention bienveillante qui lui prit lorsqu’il posa sa main libre contre les cheveux de la jeune femme. Instinctivement, il appuya son front contre son crâne, comme si un câlin possédait l’immense faculté de soigner bien des blessures. C’était quelque chose d’agréable. De doux, un geste qu’on apprenait au plus jeune âge et qui nous poursuivait jusqu’à l’âge adulte avant qu’on ne devienne trop « mature » pour oser continuer. Les gens habitués au contact se montraient réservés et distants, c’était d’une tristesse sans nom.

Il en eut un pincement au cœur, s’accordant quelques instants avant de redresser la tête et de la lâcher doucement, se raclant la gorge en sentant une étrange chaleur envahir ses joues. Il allait falloir arrêter de rougir toutes les deux minutes ou quelqu’un allait lui faire une réflexion ! Merry avait l’air perdue, il avait juste voulu la rassurer un peu à sa manière même s’il n’en menait pas plus large qu’elle pour le coup. Ils étaient perdus dans une ville très loin de chez eux – sans doute possible – et tout ce qu’ils avaient… C’était un moine qui leur filait des gâteaux quand ils réussissaient des jeux. On se serait cru dans un remake bizarre d’une série policière.

Levant l’index à l’attention du dit moine, Newt attendit patiemment qu’il le remarque et lui donne l’autorisation de s’exprimer. Pourtant quand il ouvrit la bouche, aucun son n’en sorti vraiment ; celle-ci était de plus en plus douloureuse depuis les dernières minutes. Il devait se rendre à l’évidence, parler allait commencer à être vraiment compliqué… Déjà que sa voix ressemblait à un murmure rauque depuis le réveil, là elle refusait catégoriquement de coopérer. Il porta la main à sa gorge, se mordant l’intérieur de la joue de ne pas avoir de bonbon au miel ou quelque chose pour faire passer ça.

Le moine lui adressa un sourire attendri avant de tendre le bras dans sa direction :

« Posez votre question. Soyez concis : nous allons bientôt partir. »

A ces mots, Sebastian pencha la tête sur le côté en haussant un sourcil. Oh bah, c’était exactement le genre de réponses qu’il aurait voulu avoir même sans poser de question ! Sa bouche bougea pour former un « Où ? » inaudible, curieux de la réponse… Où est-ce qu'ils devaient se rendre de manière si importante qu'il décidait d'entrer en scène pour prendre les choses en mains ? Les moines étaient des guides, spirituels la plupart du temps - peut-être que celui-ci faisait aussi guide touristique ? Il n'y avait pas de petit métier après tout.

« Kyoto. Préparez-vous, là où on va, on n'a pas besoin de route. »

Il eut l’air un peu hésitant comme s’il ne croyait pas lui-même à sa dernière phrase. Ou bien qu’on lui avait demandé de la réciter ? En tout cas la réplique laissa Newt perplexe, trouvant un écho dans son esprit sans que ce soit très clair pour autant. Il avait la sensation que c’était un type un peu vieux qui disait une chose pareille, pas un moine en tout cas… Le concerné sortit ensuite des lunettes de soleil de sous sa robe orange – ça avait des poches ce genre de choses ? – et les enfila d’un air expert. D’accord, il était vraiment très moderne ce moine en fait.

Soudain, deux camionettes de télévision avec des logos japonais surgirent dans son champ de vision et vinrent se placer de part et d’autre de la rue pour bloquer la circulation. Sebastian se crispa en les voyant faire, sentant la main de Merry autour de son bras se resserrer tandis qu’un bruit sourd résonnait au dessus de leurs têtes. Levant les yeux, il ne découvrit rien de moins qu’un hélicoptère en train d’arriver dans leur direction ! Qu’est-ce que c’était que ça ? Qu’est-ce qu’il se passait ?

Il échangea un regard rempli d’incompréhension avec sa voisine, passant d’elle aux autres personnes. Toutes avaient le nez en l’air, ou presque, et il se mordit la lèvre inférieure. Peu rassuré. Encore moins lorsque les passants commencèrent à s’amasser autour d’eux, curieux, bientôt rejoins par des conducteurs qui quittaient leur véhicules – téléphones en main – pour être sûrs de ne rien manquer ! Pour la première fois, dans ses souvenirs, Newt se sentit comme l’un de ces animaux de zoo… L’ennui, c’est qu’eux au moins avaient une vitre pour les protéger de cette attention soudaine à leur encontre.

Fuir, finalement, n’était peut-être pas une si mauvaise option.


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« On est prisonnier
du Temps... ? »


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« Qu'importe, vue qu'on l'est
tous les deux... ! »


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| Dans le monde des contes, je suis : : Je viens du monde réel. ϟ

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________________________________________ 2017-03-06, 13:00



« Y'a qui d'autre qui doit débarquer ? »
« Tu vas chier sur moi ma chérie ? »




    Je sortis du Starbuck avec mon gobelet en main. J'avais peut-être légèrement déconnecté quand ils s'étaient mis à parler, préférant me rendre dans le bar juste à côté et grâce à ma célébrité, vue qu'on m'avait renconnu là bas aussi, j'avais eu le droit à un café. D'ailleurs, revenons sur cette scène mémorable...


    Précédemment, il y a 3 minutes, 42 secondes...

    Je disais donc qu'on était quelque minutes avant, juste après avoir empêché Anna de se casser la figure sur le sol, tête la première. Les pompiers avaient pris le relai et moi je m'étais dirigé vers l'enseigne Starbuck.

    « Je vais prendre un frapuccino cookie. »

    « 602.52 JPY. » précisa le japonais, tandis que je me demandais si il m'avait reconnu ou non.

    « Hanouna. »
    répondis-je comme si ça pouvait me permettre d'obtenir un café gratuit.

    « 602.52 JPY, Hanouna. »

    C'était pas gagné. J'avais tourné la tête, voyant une télé au loin, que j'avais indiqué au serveur.

    « Moi, télé vue par toi. Moi Hanouna émission. Moi célébrité. »

    « Moi pas aimer ta gueule. Ma femme kiffer toi. Toi 602.52 JPY. »

    « Toi raisonnable. » conclu-je, avant d'abandonner l'idée de prendre à boire, vue que je n'avais pas d'argent.

    « Tiens mon gars, je te donne le miens si tu me dédicaces un truc pour ma copine. »

    J'avais tourné la tête, voyant face à moi un type un peu plus grand que moi, hyper gros et avec des poils qui dépassaient d'un peu partout. Il n'avait rien de japonais, mais au moins lui me reconnaissait. Je lui avais adressé un petit sourire, avant de voir que sur son gobelet était noté "Nounours".

    « Ca me va. Tu as un bout de papier et un stylo ? »

    Il se contenta de me sourire, ce qui n'était pas très rassurant.


    Maintenant, là tout de suite...

    J'étais sorti du Starbuck avec mon gobelet "Nounours" en main. Plus jamais je rentrerai dans un lieu tel que celui-ci. Plus jamais j'accepterai un café gratuit. Jamais... jamais je raconterai ce qui venait de se passer, et ce que je venais de dédicacer pour la copine du mec. De toute façon... Personne autour aurait voulu savoir ce qui s'était passé là bas.

    Deux camionnettes venaient de débouler dans la rue, tandis que je rejoignais le groupe. Des gens quittaient leurs voitures pour voir ce qui se passait, tandis que les camionnettes bloquaient l'accès à la rue. Et voilà les japonais dans toute leur splendeur, vue qu'on se faisait mitraillait par des appareils photos. Ils en avaient tous dans leur voiture ? Ca devait être un accessoire obligatoire, comme chez nous pour le pneu de secours. Je suis sûr que dans leur coffre, c'était un appareil photo de secours.

    « On a le droit à quoi maintenant ? »
    demandai-je à Merry, tandis qu'elle pointait son doigt vers le Nord.

    Enfin, vers le ciel... Il y avait un hélicoptère qui descendait de plus en plus, à quelques mètres de nous, dans la rue. J'avais bu une gorgée de mon frapuccino.

    « T'aurais pu m'en amener un. » dit-il d'un ton acerbe.

    « J'aurai pas eu le courage de faire deux fois ce que j'ai dû faire pour l'obtenir. » répondis-je en secouant la tête, avant de lui tendre mon gobelet.

    Elle en bu une gorgée. Puis deux, puis trois... avant de me le rendre.

    « Merci. Grâce à toi il est moins lourd. » marmonnai-je.

    « Je peux le terminer si tu veux. » dit-elle d'un ton moqueur, tandis que j'en buvais une gorgée, avant de lui rendre.

    « Fais toi plaisir. »

    L'hélicoptère se posa sur la chaussée au moine. Enfin, là où se trouvait le moine, mais bien plus loin que lui. Ok, ma blague était pourrie. On se faisait balayer par le vent. Un type se pencha aux bords de l'hélicop, avec des lunettes de soleil style beau gosse. Il portait un costume sur mesure avec la chemise entrouverte. C'était qui lui ?

    « Allez mes petits sushis, on se dépêche ! »

    Pour faire quoi ? Monter à bord de ça ? La production avait de grands moyens... mais nous de petites envies.

    « Allez, on se bouge. Hop hop hop. »

    Merry semblait s'agiter, regardant autour d'elle en l'entendant prononcer Hop Hop Hop. Je ne comprenais pas pourquoi. Peut-être qu'on avait l'habitude de lui dire de se presser. Je savais que c'était un escargot cette fille et que cette dose survitaminé qu'elle donnait l'impression d'avoir là, c'était uniquement dû à la soirée.

    « Tu crois que si je vais vers lui, et que je lui met mon poing dans la gueule, il risque de mal le prendre ? »

    « Euh... oué, je pense... »

    Le gars arriva jusqu'à nous, tapant une nouvelle fois dans ses mains.

    « Allez, on arrive à la dernière partie. On est direct les mecs ! Y'a des chiffres qui tombent toutes les cinq minutes. »

    Il posa son doigt contre son oreille. Avant d'ajouter d'un ton roucoulant.

    « Non, non Cyril, t'en fais pas, je les ramène. »

    « Ah ben ça j'aime mieux. » dis-je avec un grand sourire à Merry, avant de m'approcher du mec.

    Une fois à sa hauteur, je lui avais souris à son tour, avant de lui prendre ce qu'il avait dans l'oreille. Il avait poussé un petit cri de femmelette... C'était pas très viril. Une fois essuyé et mise dans mon oreille, je pouvais converser avec ce fameux Hanouna.

    « On a ton hélico et l'asperge blonde. C'est quoi la suite du programme ? »

    « Emmet ? Emmet, c'est toi mon chéri ? Oh j'adore quand tu prends des initiatives comme ça. »

    Le mec à côté de moi grogna. Il était quoi ? Jaloux qu'on me complimente ? Et comment qu'il pouvait savoir ce qu'on se disait ? Il avait combien d'oreillettes sur lui ?

    « Allez, montez, promis, je vous raconte tout dès que vous êtes là. Ca va être ouffissime mes amours ! Et en attendant, on se regarde un extrait de notre prochain prime avec Gilles à la montagne ! Il descend de là haut à cheval ! »

    La voix s'était coupée et je me rendais déjà compte qu'il ne me parlait plus. Qu'est-ce qu'on pouvait faire d'autre que de les suivre ? Il y avait juste un petit hic.

    « On a une amie qui ne va pas fort. Faut attendre qu'elle récupère. Et après on ira voir ton pote. Et il aura intérêt à tout nous dire. »

    Le type cligna des yeux en réfléchissant.

    « Ok, pas de sushis. On reviendra la chercher avec l'hélico. On fait l'aller retour pour vous et on revient. »

    « Super. » dis-je en me tournant vers le groupe. « Le gars... »

    « Le gars il a un nom. C'est Matthieu. Matthieu Delormeau. Et pour toi c'est Matthieu Delormeau. » fit-il d'un ton pincé.

    J'avais levé les yeux au ciel.

    « Donc y'a Delormette qui va partir là bas chercher l'autre con avec ses réponses et nous on reste ici pour prendre soin d'Anna. »

    Je sentais que Matthieu, ça l'énervait. Il cherchait la bagarre ? J'étais pas sûr, même avec sa carrure, qu'il ferait le poids.

    « Il faut suivre le plan. »
    dit-il catégorique en me fixant intensément.

    J'avais simplement tourné la tête vers Merry. Pourquoi j'avais la sensation qu'elle était le maître du jeu ? Elle avait les bras croisés, observant aussi bien Matthieu que moi.

    « Allez-y, je reste avec Nana. »

    Je n'aimais pas ce plan. Mais si déjà je demandais l'avis de quelqu'un, c'était pas pour ne pas le suivre ensuite. J'avais du coup hoché la tête.

    « Ouais, écoute le cerveau. »

    Dommage... j'allais vraiment l'écouter. Mais je m'étais planté Matthieu, le toisant, et attendant qu'il face un pas en arrière, capitulant, avant de faire un signe aux autres de monter à bord. Tandis que chacun se déplaçait jusqu'à l'hélico, accompagné de la Delormette, je m'étais approché de Merry, jetant un oeil vers le camion de pompiers.

    « Tu prends soin de toi. Et d'elle. Pas de bêtises. »
    dis-je en retirant mon oreille et en lui tendons.

    « Tu veux que je fasse quoi avec ça ? J'ai pas envie de parler à l'autre débile. »

    « C'est juste au cas où. Je pense qu'on peut communiquer avec ça. Et j'ai l'intention de prendre la seconde de l'autre con. On pourra se parler au cas où. Je vais pas te laisser seule ici, sans garantie qu'on se retrouve. »

    Elle laissa échapper un petit sourire.

    « Mais on se retrouvera. J'ai mes petits fantômes au cas où. » dit-elle sûre d'elle, avant de me donner un petit coup à l'épaule. « Wouah, mais c'est dur ! » ajouta t'elle en secouant la main, un peu impressionnée.

    Je laissais échapper à mon tour un petit sourire.

    « Je te dois une douche. J'ai pas oublié. »

    Elle gloussa juste avant de buger, ne comprenant pas pourquoi elle avait gloussé. Ca me suffisait amplement. J'avais rejoins les autres à bord de l'hélico.

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We were happy and it was all ... a lie

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| Conte : Hercule
| Dans le monde des contes, je suis : : Panique (le démon vert)

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________________________________________ 2017-03-06, 21:39

Tokyo Sans Sushis
Qu'on me donne un primate sans cravate, un Zorro sans rien sur le dos.

"Toi et moi, on s'expliquera plus tard."Sasha ne pu s'empècher de lacher un petit rire devant cette menace, tout en observant le doigt pointé dans sa direction, elle avait presque envie de l'attraper et de le tordre, cette fille pensait vraiment qu'elle pouvait faire peur ? Non mais la grosse blague."Aww tu me menace c'est trop mignon, continue que je rigole encore plus."Plus l'aventure avançait plus elle comprenait certaine chose sur elle même, comme le fait qu'elle avait un sacré tempérament, qu'elle semblait rancunière et qu'elle n'avait pas peur de se battre contre la première venue, en plus de ça elle ne semblait pas complètement humaine si elle en croyait le manque de blessure et d'hémoglobine depuis qu'elle c'était fait tirée dessus, la douleur c'était estomper depuis belle lurette et elle se retrouvait juste avec un trou dans sa robe, elle devrait d'ailleurs pensée à trouver un moyen de fixer ce petit soucis.

"En fait, t'as vu ? Je m'en suis sortie toute seule !"Précisa la rouquine avant de hausser les épaules, la petite blonde frappa sarcastiquement des mains."Je suis fier de toi ma grande, Go you !"Elle roula des yeux avant de reporter son attention sur les pompiers qui s'occupait de Nana, malheureusement aucun n'était assez mignon pour qu'elle aille engager la conversation, du coup elle alla récupérer dans le camion de pompier qu'ils avaient volé la caisse où se trouvait son chat, elle ne savait pas ce qu'il allait se passer à présent, mais il était hors de question qu'elle laisse la boule de poil dérrière.

"Au fait, si ça intéresse quelqu'un : Hanouna m'a appris qu'on a avalé des balises GPS de notre plein gré hier soir. "Elle était revenue pile poile au bon moment apparemment, mais comment avait-elle pu accepter quoi que ce soit ? Ils les avaient tous drogués ? Ils avaient fait ça quand ils étaient tous bourré ? Ou alors elle était en fait spécialiste des idées à la con quand elle était pas amnésique, ce qui pouvait être une explication assez logique quand on y réfléchissais bien, si tout se passait bien dans les heures qui allaient suivre et qu'elle finissait pas retrouver la mémoire, elle allait se faire la promesse de ne plus jamais avoir d'idée à la con, parce qu'il y avait toujours des conséquences tout aussi conne dérrière.

"C'est quoi encore ce foutoir ?"Elle observait tour à tour les deux camions de télévision, les gens qui se rapprochaient rapidement dans leur direction et le gros hélicoptère qui descendait en altitude, quelques chose lui disaient qu'ils allaient peut être enfin avoir des réponses à leur questions très bientôt et que si sa n'étais pas le cas, elle se promettait de frappé le premier venue juste pour se défouler, y'en avait marre à la fin."Encore une tête à claque"Murmura-t-elle quand ses yeux se posèrent sur le blond à lunette de soleil qui se prenait pour un animateur de colonie de vacance, elle avait presque envie de lui enfoncer ses lunettes dans les narines mais elle se contenta juste de l'ignorer et de monter à bord, il fallait qu'elle calme son tempérament explosif, sinon tout le monde allait se prendre un coup.

"Bon les tourtereaux vous vous secouez les puces ?"Finalement Merry semblait bien apprécier Bibiche à en juger par le petit sourire qu'elle venait de lui faire, il lui fallait pas grande chose pour changer d'avis à celle la. Charlie s'installa sur l'un des sièges de l'hélicoptère, déposant la caisse de son chat à ses pieds pour pouvoir le surveiller de près, elle se redressa pour croiser le regard du moine qui l'observait d'un air anxieux, qu'est-ce qu'il lui arrivait à celui la ? Elle le fixa du regard suspicieuse avant qu'il n'attrape son paquet de biscuit pour ensuite lui en tendre un, il ne semblait pas vouloir se rapprocher d'elle, avait-il peur d'elle à ce point la ? Elle ne se rappelait pas l'avoir vue quand elle c'était fait tirer dessus, alors il y avait peut être une autre raison, savait-il pourquoi elle ne semblait pas complètement humaine ? Elle ne savait pas comment aborder le sujet et puis elle n'avait pas envie d'avoir ce genre de conversation avec les autres autours.

Se penchant dans la direction du moine, elle récupéra le gâteau tandis que le moine prit enfin la parole, son ton était des plus calme, même si elle pouvait voir à qu'elle point il était anxieux."Laisse grandir en toi un amour sans bornes de toutes les créatures. Ce sont les paroles de Bouddha. Méditez sur cette phrase pour apaiser votre cœur. Tellement d'ondes parasites en vous..." Il savait définitivement quelques chose le moine, c'était sur et certains à présent, il semblait craintif de sa réaction, comme si il avait peur qu'elle explose de colère à tout moment ou quelque chose comme ça.

Elle lui fit son plus jolie sourire."Je vais pas te bouffer...les moines c'est pas mon truc"Elle dit en plaisantant, hésitant quelques secondes après à lui demander ce qu'il avait voulu dire par "ondes qui parasitait en elle", mais elle était presque certaine qu'il ne répondrait pas ou alors pas complètement. Soupirant, elle cassa le gâteau en deux qu'elle avala rapidement avant d'ouvrir le bout de papier qui c'était trouvée dans sa nourriture."Il n'y a pas de Peine sans Panique !" Elle avait chuchoter la phrase écrite sur le papier, ça ne voulais rien dire et pourtant elle avait l'impression que c'était important, alors qu'elle rangeais le bout de papier dans sa chaussure, vue que sa robe n'avait pas de poche, elle sentit comme une vague de chaleur l'envahir, une sensation à la fois étrange et agréables qui disparue aussi vite qu'elle était venue.


Elle fut sortie de sa réfléxion par les deux pilotes japonais qui était en train de communiquer en Japonais, elle les regarda tour à tour pour tenter de comprendre si il y avait un problème, elle jeta un coup d'oeil dehors, son regard fut attirée par la ville qui était à présent en dessous d'eux."Jolie."Commenta-t-elle après avoir lâcher un petit sifflement impressionner."Très jolie."



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Hope Bowman
« Nounours Rebelle ʕ•ᴥ•ʔ »

Hope Bowman

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“Il était une fois un lapin grognon et une princesse rebelle qui décida de lui rendre le sourire.”


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________________________________________ 2017-03-07, 19:04 « Nounours Rebelle ʕ•ᴥ•ʔ  »


« This voice inside is who you are... »

L'hélicoptère avait décollé mais les camionnettes de télévision n'avaient pas bougé. La rue était toujours bloquée. Ils comptaient vraiment laisser comme ça jusqu'à ce qu'on revienne nous chercher ? C'était aberrant ! On était qui pour bénéficier d'un tel traitement de faveur ? La théorie de la famille royale se confirmait de plus en plus, en tous cas.

Alors que l'hélico prenait de la hauteur et disparaissait, je me mordis les lèvres, la main crispée autour du gobelet contenant jadis un frappuccino pas mauvais du tout. Baissant les yeux dessus, je remarquai qu'il y était noté "Nounours". Bibiche n'avait pas voulu me dire ce qu'il avait fait pour obtenir son café glacé, et je ne voulais pas le savoir.

Je levai les yeux vers les japonais qui se massaient autour du camion de pompiers tout en le mitraillant avec leurs appareils photos. Je regardai de nouveau le gobelet vide, hésitai un peu et le lançai dans la foule. Des gars se battirent pour le récupérer. Wouaho... vraiment frappés, ces japonais. D'un côté, c'était collector : il y avait mon ADN et celui de Bibiche dessus.

J'avais toujours l'oreillette dans le creux de mon autre main. L'ours bodybuildé m'avait conseillée de la porter afin de rester en contact. Je n'étais pas trop fan du concept car je me rappelais d'une série ou d'un film dans lequel les gens se faisaient griller le cerveau à cause de ces machins-là. A moins que ça ne soient des cache-oeils ? Bref, ça craignait.

Malgré tout, je repoussai mes craintes et plaçai l'oreillette autour de mon lobe. Pour l'instant, rien de suspect. Je restai quelques secondes immobile, le temps de vérifier si je n'avais pas mal au crâne, histoire d'anticiper les symptômes de surchauffe cérébrale. Puis, je me rendis compte que j'avais un peu trop délaissé quelqu'un qui essayait une fois de plus de se faire la malle.

"Muerte ! Tu t'en vas déjà ?"
fis-je d'un ton désinvolte tout en l'attrapant par le col de son blouson en cuir.

"Ah non, non non !" répliqua-t-il en levant les mains en l'air. "Yé vais noulle part ! Yé voulais jouste vérifier si Nana allait bien."

"Ouais, à d'autres." dis-je en plantant un regard noir dans le sien. "Va plutôt vérifier comment se porte mon matou."

Alors que je le lâchai, il resta pantois, clignant stupidement des yeux.

"Yé peux pas : yé souis allergique."
répondit-il finalement avec un sourire contrit.

"Ca c'est trop dommage." soupirai-je, faussement compatissante. "Tu veux peut-être un massage et une tequila sunrise ?"

"Bah j'avoue que ça mé ferait dou bien, yé des douleurs au niveau des cervicales et..."

"REMUE-TOI !"
m'écriai-je si bien qu'il sursauta.

Il déguerpit à l'avant du camion et ouvrit la portière pour s'occuper de mon chat. J'avais l'impression que j'étais habituée à donner des ordres. Tout de suite, je me sentis beaucoup mieux.

Quant à moi, je me tournai vers la double porte fermée menant à l'arrière du camion et toquai presque timidement. Elle s'ouvrit quelques secondes plus tard sur l'un des pompiers qui s'empressa de la refermer derrière lui. Je n'avais pas eu le temps de bien le détailler jusqu'à maintenant mais il était plutôt pas mal dans son genre. Même s'il avait tendance à faire la gueule, comme s'il était constipé. Le pauvre.

"Euh..." fis-je sans trop savoir comment amorcer la conversation.

Je tentai un sourire à la fois sympathique et adorable -ce qui devait donner une sacrée bonne grimace- qui ne servit à rien car le type resta de marbre, totalement frigidaire.

Parlait-il seulement anglais ?

"Vous famille ?"
demanda-t-il en désignant le camion d'un revers de pouce.

"Oui, c'est ma soeur !"
répondis-je en ouvrant de grands yeux inquiets. "Je... je voudrais savoir si elle va bien."

"Elle avoir antécédents ?" poursuivit-il sur le même ton haché, limite inquisiteur.

"Je ne sais pas."

"Elle faire de l'asthme ?"

"J'en sais rien."

J'étais pitoyable, et il s'en rendit compte car ses yeux en amande se plissèrent si fort que je ne discernai presque plus ses pupilles noires.

"Vous êtes vraiment de sa famille ou pas ?" insista-t-il.

Je fronçai les sourcils. Brusquement, il n'avait plus aucun accent de sushi.

"Bien sûr ! Je le sens dans mon coeur !" répliquai-je d'un ton enflammé tout en tapant plusieurs fois du poing contre ma poitrine. "Et vous, vous feriez pas semblant de mal parler anglais, par hasard ?"

"Kōka-teki ni." fit-il avant de masquer un sourire amusé.

"Coca... t'es qui ? Ni...?"
répétai-je, de plus en plus déroutée.

"Ca veut dire 'effectivement'." expliqua-t-il. "Je vous prie de m'excuser, je trouvais ça beaucoup trop marrant de vous prendre à votre propre jeu. Je ne suis pas fan des télé-réalités et encore moins des jeunes américaines qui s'amusent à voler des véhicules utilitaires."

Subitement, toute amabilité disparut de son visage en même temps que son sourire. Je lui jetai un regard noir. Super : j'étais tombée sur le seul japonais qui n'était pas fan de notre émission.

"Aha, je suis morte de rire. Sauf que Nana, c'est pas du chiqué : elle a perdu connaissance et je veux savoir pourquoi !"

"Est-ce qu'elle a un petit ami, une relation sérieuse ?"
demanda-t-il, très impliqué.

Je le considérai d'un air à la fois stupéfait et indigné. Eh ben, il ne perdait pas son temps, celui-là !

"Tu te fous de ma gueule ? Tu crois vraiment qu'une fille comme elle serait intéressée par un mini pompier japonais ?"

"Je suis plutôt grand, et je suis coréen par ma mère, et irlandais par mon père."
fit-il en levant le menton.

Ah... c'était pour ça qu'il avait un petit côté sexy quand on y regardait bien. Je battis des cils pour me ressaisir et voulus répliquer un truc bien senti, mais il fut plus rapide :

"De toutes façons, je ne disais pas ça en ce sens."

Tout ce que je souhaitais, c'était qu'il s'écarte de devant la porte afin d'aller voir ma soeur. Pourquoi m'empêchait-il d'y accéder ? L'angoisse montait crescendo. Que me cachait-il ?

Soudain, la porte s'ouvrit et son confrère apparut. Celui-là était le pur japonais de poche.

"Elle réveillée !" annonça-t-il. "Pas bon trop efforts pour femme enceinte."

"En... quoi ?"
m'étranglai-je.

Je titubai, envahie par une grande faiblesse inconnue. Le pompier japano-irlandais sexy se précipita vers moi mais je me reculai d'un pas en avançant la main.

"C'est bon. Ca va. Je vais pas m'évanouir."

Pourtant, le ton de ma voix était des plus incertains. Le regard dans le vide, j'assistai à un drôle de film en accéléré.

"Elle copain ?" demanda son collègue d'un ton enjoué.

"Elle a un... Aaron." balbutiai-je.

Tout venait de me revenir. Ma mémoire. Mon existence. Wouah... il y avait vraiment de sacrés trucs dont je n'étais pas fière. Il avait suffi d'un gros choc.

Je savais qui j'étais, je savais qui était Anna. Pour l'instant, je restai focalisé sur Aaron, mon coloc, que j'avais toujours cru assexué jusqu'à maintenant. De toute évidence, je m'étais trompée.

Je passai une main fébrile contre mon front et levai les yeux vers le pompier sexy, qui m'observait d'un oeil anxieux.

"Ca va, je suis pas enceinte, moi !"
marmonnai-je.

Au moins de ça, je pouvais en être sûre. A peu près. Je me souvenais de tout, hormis de la nuit dernière. Ironie du sort, quand tu nous tiens...

"Je veux lui parler." dis-je, catégorique, en écartant les deux pompiers d'opérette.

Juste avant d'entrer dans le camion, je jetai un coup d'oeil vers Muerte, et remarquai qu'il prenait des pauses dignes des Dieux du Stade devant les japonais qui le flashouillaient. Je roulai des yeux et précisai à l'adresse du pompier sexy :

"Gardez un oeil sur lui : c'est lui qui a volé votre camion."

C'était faux, mais au moins avec ça, j'avais la garantie qu'il allait le surveiller.

"Vous le lui avez dit, ou pas, qu'elle avait une brioche au four ?"
fis-je au pompier japonais pure souche.

Ce dernier regarda son collègue sans comprendre, qui lui traduisit ma question.

"Non, moi penser elle savoir." répondit-il, indécis.

"Super..."
soupirai-je avant de pousser la porte.

J'en avais de la chance d'annoncer une aussi bonne nouvelle à une amnésique. J'espérais qu'elle n'allait pas péter un boulon, car on n'avait vraiment pas besoin de ça.

Pourquoi, POURQUOI à cet instant, une musique immonde retentit dans mon oreillette ? Juste ce qu'il fallait pour m'énerver. D'un geste agacé, je l'arrachai de mon oreille et la rangeai dans ma pochette. Et toc.

Puis j'adressai un grand sourire figé à Anna qui était allongée sur un matelas de secours. Oh, misère...
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Anna D'Arendelle
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »

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HERE WE GO AGAIN

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________________________________________ 2017-03-08, 01:38





Tokyo Sans Sushis

Remember who you are

Tout m'était revenu, absolument tout. Qui j'étais, comment je m'appelais bref j'avais enfin retrouvé mon identité. Malheureusement en ce qui concernait les événements de la veille c'était le blackout totale. Je m'en voulais quand même un peu d'avoir fichu mon pied dans la figure d'Emmet. Même si quelque part, il l'avait quand même un peur mérité aussi. De toute façon, c'était pas le moment de penser à ça. Hope Bowman se trouvait droit devant moi soucieuse. Elle aussi avait récupéré sa mémoire ? Je suppose qu'il allait falloir que je vérifie ça :

- Si ça te met tellement la rate à l'envers d'avoir pensé qu'on était frangine, on a qu'a faire comme s'il ne s'était jamais rien passé. J'irais pas le crier sur tous les toits.

"Qu'est-ce que tu veux dire ?"
Rétorqua-t-elle d'un air suspicieux

Ah. Je serais la seule à l'avoir récupéré ? C'était peut-être mieux comme ça après tout. D'ailleurs elle sembla être occupé à ramasser une feuille et un stylo pour se mettre à dessiner un machin auquel je comprenais rien. Elle décida d'agrémenter le tout d'explication qui ne m’aidèrent pas franchement à y voir un peu plus clair :

"Autant commencer par le début pour que tu comprennes bien." dit-elle tout en dessinant, très concentrée et en s'asseyant juste à côté que je puisse bien voir. "Je sais pas quelle position tu préfères ? T'as l'air du genre routinier et Aaron c'est encore pire, alors on va dire que c'est le missionnaire, hein ?"

Heuuuu qu'est qu'elle était entrain de me faire là ? Et seconde question : est que je la stoppais maintenant dans son délire ou bien est-ce que je la laissais continuer ? Non parce que c'est pas que je commençais un tout petit peu à être blasé mais si quand même :

- Et si tu disais clairement ce que t'as à me dire au lieu d'essayer de jouer au pictionary ?
Lui demandais-je

Elle s'arrêta de dessiner pour se pencher vers moi tout en me fixant les yeux plissés. Quoi ? J'avais un bouton sur la figure ? J'avais dit un truc qu'il ne fallait pas ? C'est pas que je commençais à baliser mais encore une fois si clairement. J'étais pas une adepte de ce genre de situation. Donc soit elle me disait clairement ce qu'elle avait à me dire soit...Soit eh ben elle arrêtait de me fixer comme ça par pitié c'est tout ce que je demandais !

"T'as l'air différente. Tu me sembles différente. En même temps, c'est peut-être normal puisque tu..."


Elle laissa sa phrase en suspens et dévia son regard sur mon ventre. De quoi ? Qu'est qu'il avait mon ventre ? Ok j'avais rien avalé depuis ce matin mais c'est bon, suffisait que j'ingère autre chose que de la bouffe japonais et ça irait comme sur des roulettes. Pas besoin d'en faire toute une maladie. Et puis c'était quoi ce tic nerveux qui agitait sa bouche. Ce fût à mon tour de lui jeter un regard suspicieux

"Non, y a un truc qui cloche. Tu es différemment différente."


Elle abaissa son carnet, attendant sûrement que je lui dise ce qu'il se passait. Avec un soupire, je me décidais à lui apporter les éclaircissements demandés :

- Apparemment il y a un machin qui s'est débloqué. T'es pas assez blonde et socialement inadapté pour être ma sœur


Un peu trop rousse, et trop ancrée dans le monde moderne pour ce faire. J'adorais Elsa, mais si elle pouvait juste être un peu moins coincée. Je serais pas contre. Si un jour quelqu'un voulait bien lui apprendre la vie, j'allais vénérer cette personne jusqu'à la fin de ma vie -et accessoirement compatir à son malheur parce qu'elle allait devoir se taper une sacrée migraine- mais bref c'était pas le sujet de toute façon. Hope prit un air offusqué sans doute qu'elle pensait que je l'avais traité de blonde. Aussi allais-je me justifier et lui dire qu'elle avait mal compris mais elle écarquilla subitement les yeux comme si elle venait de réaliser :

"Attend... tu parles d'Elsa ? Tu te souviens de qui est ta soeur ?"

Je me contentais d'un simple hochement de tête alors qu'elle semblait d'un coup hyper contente. Manifestement, elle aussi avait retrouvé ses souvenirs :

"Je suis une super soeur, aussi ! Enfin, en tous cas, mes frères ne s'en sont jamais plaints." Précisa-t-elle d'un ton important

Ça je pouvais pas juger, donc je ne pouvais que la croire. Elle passa une main sur son front l'air soulagée avant de reprendre :

"Oh non mais t'imagine pas à quel point je flippais à l'idée de devoir t'annoncer que t'es enceinte ! Mais comme tu as retrouvé la mémoire, ça va. Tu le sais déjà !"


Elle rit un peu, largement plus détendue d'un coup. Tandis-que moi j'en menais pas large. Attends, comment ça j'étais enceinte ? Mais c'est pas possible je veux dire les choses avaient justement était faite de manière à ce que ça n'arrive pas. Et même j'avais pas eu de retard ni rien. Comme si ma vie était pas suffisamment sens dessus dessous en ce moment, il fallait en plus rajouter ça. Ah non mais sérieusement, j'étais maudite ou quoi ?

- Attends...QUOI ?
Lui demandais-je quand même histoire d'être sur. Non parce que si ça se trouve c'était pas ça, et j'étais en train de baliser pour rien

"Quoi, "quoi" ?"
Me dit-elle sans comprendre.

Je sais pas j'étais en train de la regarder comme si on venait de débarquer tout droit dans la quatrième dimension mais hormis ça tout allait hyper bien quoi. Hope me regarda quelques secondes avant de plaquer sa main sur sa bouche :

"Oh non la boulette ! Tu... tu savais pas ?" elle ne me laissa pas le temps d'en placer une que déjà elle s'avancer pour me serrer la main très fort "Mais t'en fais pas, hein ! Je serai là tout du long ! Je t'aiderai à pousser et tout ! Et je vous aiderai avec Aaron ! Enfin... c'est bien Aaron le père ? Me dis pas que tu l'as trompé ? Non, tu ferais pas ça ! Tu l'as pas fait, dis ? Avec lui, si, vu le résultat elle va baissa les yeux sur mon ventre mais... ça se sent que je suis en train de flipper, là ?"

Heu ouais un peu. Bon en même temps je pouvais trop rien dire, j'étais limite déconnecté. Intérieurement je balisais comme une malade. Clairement, Elsa et Jack allaient me faire une scène. Tant pis, j'avais toujours Melody, et Aster de mon côté. Je savais que si mon meilleur ami était trop gonflant, je pouvais toujours partir m'exiler chez mon boss. D'ailleurs, c'était pas vraiment « juste » mon boss à bien y réfléchir. Aster, c'était un peu une sorte de mentor, je savais qu'il me lâcherait pas. Et qu'il se contenterait sûrement de grommeler un « j'suis de ton côté rouquine ». Donc, là ça allait, je pouvais faire baisser la pression artérielle. Et essayer d'enrayer mon mouvement de panique tandis-que Hope me tapotait la main en essayant de se forcer à sourire :

- A moins que ça ne soit le fruit de l'immaculé conception, c'est bien Aaron le père. Et non, j'étais pas au courant, tout était normal il y a pas eu de...de signe indiquant ce machin. Et ouais c'est clairement toi celle des deux qui panique le plus. Je restais silencieuse un moment avant de reprendre en soupirant : Ça va être folklo quand je vais l'annoncer à Elsa. J'suis sûr qu'elle va me faire une syncope et qu'une fois remise elle va vouloir m'enfermer dans un couvent.

Comme si j'allais la laisser faire...J'avais quasi vingt six ans, un job et une vie bien à moi. A un moment, il allait falloir qu'elle arrête de croire que j'avais encore six ans et que je jouais aux poupées. Quoi qu'il en soit, Hope avait pas arrêté de me caresser la main tout en hochant la tête sans me lâcher des yeux. D'un coup j'avais l'impression d'être une mourante qui était en train de dicter ses dernières volontés à un membre de sa famille. On avait eu qu'un échange en trois ans de levé de malédiction toutes les deux et on pouvait pas franchement dire que ça c'était bien passé. C'est son ravalement de façade qui l'avait rendu comme ça ? Dans mes souvenirs elle était plus petite :

"Je peux être là le jour où tu lui annonceras, si tu veux. Je lui en colle une si jamais elle a une réaction excessive. Coup de boule, la reine des neiges !"

Elle mima un coup de boule dans le vide. J'étais pas sûr que ça soit une bonne idée, surtout quand on connaissait Elsa quoi

"Et je peux même devenir ta soeur à sa place ! Vraiment, je t'assure !"
me dit-elle en continuant de caresser ma main "En plus, j'aimerais bien être tata. De toutes façons, comme Aaron est mon coloc, c'est tout comme." rajouta-t-elle d'un ton convaincu :

Ça allait devenir vraiment chelou cette « famille » entre le père qui était un demi dieu, la tante de son côté qui était une sirène, le grand père qui était un dieu lourdingue, l'oncle qui était l'esprit de l'hiver, la tante qui était la reine d'un royaume sortie d'un disney doublé d'une déesse magique. Si en plus on ajoutait une autre princesse disney à l'équation, je crois qu'on pouvait remporter le titre haut la main.

- Merci mais heu j'aimerais autant éviter que tu ne finisse congelé. Elle flippe toujours avec ses pouvoirs alors on va éviter de lui donner une occasion de les utiliser. Et j'allais personnellement m'occuper d'Aaron pour pas avoir précisé qu'en plus de bosser ensemble ils étaient coloc avec Hope. En revanche si tu pouvais enfermer Aaron à double tour et emporter la clé avec, le jour où je l'annoncerais à mon coloc je t'en serais genre hyper reconnaissante. Parce que là c'est lui qui risque de finir congelé.

J'étais pas sûr que Jack serait ravis pour moi en l'apprenant. Et rien que de penser aux futurs disputes, me minait le morale. Pauvre bébé, il était même pas encore venue au monde que déjà son existence ne faisait pas l'unanimité. C'était pas juste d'ailleurs, ils devraient être heureux pour moi au lieu de vouloir à tout prix butter Aaron. J'avais bien vu la moue que Hope avait esquissé concernant Elsa mais franchement, mieux valait qu'elle s'en mêle pas pour ça, je parlais en connaissance de cause

"C'est qui ton coloc ?"
Me demanda-t-elle avec un sourire entendu "Parce que je pourrais l'occuper pour que ça passe crème, ça me pose aucun souci. Enfin... sauf s'il ressemble à Jesse Eisenberg, parce que faut pas déconner non plus."

Jack Frost ça te dit quelque chose ? Grand, blond. Se croit le type le plus irrésistible de la terre...

J'aurais aussi pu rajouter, qu'il avait pas tous ses neurones de connectés mais je l'avais suffisamment taclé pour la journée

"Un peu que je le connais ! Il est pote avec Louise et mon sablé ! J'en fais mon affaire. En plus, il est pas si moche une fois qu'on s'est habitué."

Elle leva sa main en mode « tope la » et si je retenais mon rire, c'était trop tentant pour ne pas le faire. Hope Bowman était plutôt sympa au final.

"En dehors de ça... t'es sûre que ça va aller ? Je veux dire... vous êtes pas ensemble depuis longtemps ni rien. Et... c'est pas mes oignons. Désolée."

Elle rentra la tête dans les épaules après m'avoir regardé d'un air soucieux puis s'intéressa à son dessin en fronçant les sourcils :

"Ça ressemblait vraiment à rien. On dirait deux chiens qui essayent de se mordre."

Ça ira. De toute façon au pire, je crois que Jack ne sera pas la seule à vouloir lui faire la tête au carré. J'hésiterais pas à lui expliquer clairement ma manière de penser si ça devait mal se passer. Et je crois que Mel aussi hésiterait pas à lui souffler dans les bronches.

J'étais pas sûr qu'Aaron lui ai parlé de Melody. Elle fronça les sourcils dès qu'elle entendit son nom mais sans relever. Je supposais donc que c'était un non. De toute façon un bruit qui ressemblait à celui d'un hélico dehors me fit froncer les sourcils à mon tour : c'était quoi ce truc ? Un pompier passa la tête par la porte et m'en appris un peu plus :

"Votre hélico est arrivé, mesdames."

Il laissa la porte entrouverte mais s'éloigna afin de nous laisser le temps. Hope se mordit la lèvre et prit un air rêveur :

"Je me ferais bien un japonais, moi..."

Elle tourna la tête vers moi et cru bon d'ajouter  :

"Je parlais d'un resto, bien sûr !"

Elle ouvrit de grands yeux innocent avant de se relever et de me tendre la main afin de m'aider à faire de même :

Bien sur. Je n'imaginais rien d'autre rétorquais-je un peu moqueuse tandis-que je me levais à mon tour

"Tu peux marcher ? Ça va pas... tomber tout seul si tu fais des efforts ? Quoique c'est pas suffisamment lourd pour l'instant, ça sera pas attiré par la gravité."

D'a...ccord j'avais l'impression d'être mieux renseigné qu'elle sur le sujet. C'était flippant

Ça va je peux marcher. On va juste éviter de courir. En revanche j'aimerais bien savoir quelle est cette histoire d'hélico

"Oh, rien de différent de d'habitude : Hanouna a envoyé un de ses potes nous chercher en hélico, mais comme tu étais dans les vapes, les autres sont partis et ils nous ont renvoyées un truc qui vole. Pour résumer. Et vaut mieux qu'on y aille parce qu'au moins on saura ce qui s'est passé la nuit dernière. A moins que tu te souviennes d'un truc ?"

Elle me fixa d'un air presque implorant. Mais je répondis par un hochement de tête négatif profondément désolée :

Non je me souviens de rien malheureusement. Rah j'ai jamais mon épée sur moi quand on en a besoin. Je suis sûr qu'en l'agitant sous le nez d'Hanouna on aurait de quoi lui faire passé l'envie de jouer au malin

"Et moi mon arc. La vie est mal faite." Approuva Hope d'un air dépité

Nous sortîmes du camion pour découvrir Muerte en train de signer le décolté d'une japonaise. Il était subitement devenu une star pendant qu'on était là dedans ? En tout cas il s'approcha de nous avec un grand sourire :

"Yé souis oune star ! Yé veux vénir avec vous !"

"T'as pas le choix, de toutes façons." Lui dit Hope d'un ton menaçant "Allez zou ! Dans l'hélico."

Il grimpa dedans, pendant que Hope chercha les cages des chats restant celle du sien et des jumeaux afin de les placer dedans et grimpa dedans à son tour. A l'intérieur se trouvait deux pilotes ainsi qu'une télé dans laquelle se trouvait je suppose Hanouna et sa voix désagréable me le confirma :

"Mes beautés, vous êtes là ! Oh Anna, félicitations ma chérie ! Si c'est un garçon, tu l'appelleras Cyril ?"

C'est ça et la marmotte elle met le chocolat dans le papier allu...

Bien suuuur rétorquais-je sarcastique au possible et j'avais même pour idée que vous soyez le parrain. Non mais sérieusement vous croyez quoi ? Que vous êtes le centre du monde ? Si c'est un garçon il y a déjà deux noms qui sont exclus d'office c'est "François" et "Cyril"

Oui parce qu'il était pas question de rendre hommage au père d'Aaron d'une quelconque façon que ce soit. D'ailleurs si ça trouvait, c'était une fille et on l'appellerait Rachel. Ça sonnait bien « Rachel Mcadams » je trouvais. Évidemment Hanouna se mit à nouveau à rire comme une otarie prenant ça pour LA blague de l'année

"T'as encore le temps de réfléchir, ma chérie. Attention au décollage !"

Cherche pas mec c'était tout réfléchit. L'hélico décolla au son d'une musique française à la con -à se demander si tous ceux qui étaient impliqué dans cette mascarade avaient des goûts de chiotte- pendant que j'espérais que notre calvaire prendrait bientôt fin




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________________________________________ 2017-03-08, 18:06

TOKYO SANS SUSHIS

- DES JUMEAUX AMNESIQUES — ET... PLEINS D'AMNESIQUES -

Il a une banane sur son casque ! Il rigole pas !

HEEEEEEEEEEEEE ! IL A TUE MON FRERE L'AUTRE NOUILLE EN TOGE !

La nouille en toge en question garda un calme parfait, marmonant des excuses totalement nulles et désappropriées.

Je ne te permets pas, la nouille ! T'es qu'un meurtrier ! Hurla-t-il bien qu'ayant totalement conscience que Fred était encore en vie. Mais ça ne justifiait pas ce comportement de malade mental, de grand psychopathe !

Merry revint, ce qui rassura grandement George : c'était la seule qui lui restait dans la fratrie impériale des nobles roux d'Amérique ! Bien que ce qu'elle venait dire n'avait rien de rassurant.
George se rendit compte du tordu de la situation : ils étaient les cobayes d'une émission filmée par la nouille-psychopathe en toge, dans laquelle ils ont certainement passé une nuit mouvementée et inquiétante pendant laquelle ils étaient pisté par des balises qu'ils avaient... avalé ?

C'est une atteinte aux droits de l'homme ! Je sais que les japonnais sont réputés pour êtres chelou mais là !

L'information sur l'étrangeté des japonnais lui était venue par automatisme : il avait clairement une opinion sur les coutumes japonaises mais ne s'en souvenait plus. Il avait d'ailleurs du mal à dire s'il les aimait ou non. Pour le moment, non, pas tellement.

Mais il fallait dire que... la nouille en toge eut beaucoup moins de mal à le convaincre, lorsque l’hélicoptère arriva. Il ne saurait dire s'il en avait déjà fait avant ou non, mais le simple fait d'en voir un lui faisait vachement plaisir. L'idée qu'il allait monter là-dedans lui plaisait beaucoup.

Il eut cependant un étrange pincement au coeur qui lui donna quelques interrogations quant à la personne qu'il est au fond : lorsque Merry annonça qu'elle restait avec Anna, et que George se rendit compte qu'il était à porter son frère à l'intérieur de l'hélicoptère, il se rendit compte qu'il passa d'une fratrie à quatre à... lui tout seul. Et être seul, sans frère ou soeur à ses côtés creusait un vide en lui qu'il n'arrivait pas à identifier : c'était certainement la première fois qu'il le ressentait. La première fois, donc, par déduction, qu'il se retrouve sans famille (du moins consciente), juste à ses côtés. Et il n'aimait pas ça.

Il était donc resté collé à la vitre de l'hélicoptère, en appréciant finalement que très peu le voyage, alors que la tête inconsciente de Fred était couchée sur son épaule, la bouche ouverte. A ce rythme, il allait se mettre à baver.

D'accord, la sensation de l'hélicoptère (ce truc volait vraiment !!) était vraiment géniale, et le paysage en contrebas (si minuscule !!) était époustouflant.
Mais il y avait ce blond qui avait un visage dérangeant qui gênait un peu George. Parfois, son regard méfiant se posa furtivement vers lui, se détournant aussitôt. Qu'est-ce qu'il était bizarre, lui !

DUNCAN !

Fred s'était relevé d'un bond, se cognant au passage sur le plafond avant de retomber assis, en hurlant ce prénom qui était à la fois familier et inconnu à George. George qui, sur le coup, avait senti son coeur faire un looping dans son sursaut, reprenant difficilement sa respiration après une telle peur.
Le plus effrayé était ce blond étrange qui avait poussé un cri aigu d'animal qu'on égorgeait.

Fred ? Ca va ?!! S'alarma-t-il.

Ce malade mental m'a redonné mes souvenirs ! BORDEL on vient littéralement du pays des merveilles ! S'écria-t-il, excité.

Les autres passagers le regardaient d'un air étrange. Il regarda son frère. Je m'appelle Duncan et je suis roux ! C'est génial nan ! Je me souviens juste que tu t'appelle Derek, qu'on a une seule soeur. Mais je pense pas que ça soit Merry ou Nana. Il avait finit cette phrase avec une pointe de déception, fortement partagée par son frère.

Le Derek en question (qui s'était bien fait à Georges tout de même, et qui appréciait ce prénom) le regarda en haussant les sourcils.

Tu te souviens de tout ?! Qu'est-ce qu'il s'est passé ?!

Duncan-Fred fronça les sourcils, reflechissant quelques instants.

Bah... aucune idée ! On vit à Storybrooke, c'est aux Etats-Unis. Aucune idée de comment on est arrivé là, et avec eux.

George haussa les épaules, comme s'il s'en fichait.

Donc on est frère ?!
Ouiiii !

Ils se tapèrent dans la main, bien heureux de cette première nouvelle.
A l'avant, les pilotes dirent un trucs incompréhensible.

On commence à descendre, regardez ! Traduisit Delormette.

George et Duncan-Fred regardèrent, voyant effectivement la ville se rapprocher.

ON EST DANS LES AIRS ?
OUI !
ON EST DANS UN HELICOPTERE ?
OUI ! ON EN A DEJA FAIT ?
JE CROIS PAS, ENFIN JE PENSE PAS, MAIS C'EST GENIAL !
C'EST TROP GENIAL !
POURQUOI Y A UN BLOND CHELOU DEVANT MOI ?
JE SAIS PAS !

Ce moment de joie passé, Duncan-Fred regarda les autres membres de l'équipage. Son regard s'arrêta sur Charlie.

J'crois qu'on est pas des rois. Désolé... lui fit-il, regrettant de ne pas pouvoir honorer l'invitation au château.

Un moment passa, durant lequel on regarda dehors.

Pays des Merveilles ? Fit finalement Georges.
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« On est prisonnier
du Temps... ? »


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« Qu'importe, vue qu'on l'est
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________________________________________ 2017-03-09, 11:44



« Y'a qui d'autre qui doit débarquer ? »
« Tu vas chier sur moi ma chérie ? »




    La ville qu'on survolait était moche. Trop remplie, trop pas intéressante. C'était du macadam à portée de vue. L'hélico se posa à plusieurs kilomètres de la cité, dans une clairière entourée de forêt. J'entrepris de descendre de l'engin. Je n'aimais pas trop me retrouver enfermé dans une caisse à des milliers de kilomètres du sol. Là, une fois dehors, ça allait beaucoup mieux. Et puis, on respirait l'air frais, ça aidait. Il faisait encore jour, mais la nuit commençait déjà à tomber. Je le sentais, parce que mon ventre gargouillait. Le McDo n'avait pas suffit à me rassasier.

    « Bienvenue à Kiyo...mi...zu...dera. » articula Delormette en louchant sur un papier qu'il avait sortit de la poche de son pantalon.

    L'artiste n'était pas capable de retenir un mot par coeur. Kiyomizudera. C'était pas compliqué.

    « Le Grand Temple de l'Eau. » précisa le moine d'un ton serein.

    Ca ne me rassurait pas pour autant. Chouette... on allait nous noyer pour le grand final. Face à nous se tenait un immense escalier bien éclairé. D'ailleurs les lumières tout autour de nous s'allumèrent. La nuit tombait réellement et vite par ici. Matthieu monta les marches deux à deux en nous narguant. Le moine le dépassait en courant d'avantage. C'était quoi ce délire ? Dommage que Merry n'était pas là pour voir ça. Je me sentais un peu seul sans elle et j'avais une folle envie de thon. Allez savoir pourquoi, mais j'avais envie d'en manger.

    « Bon euh... les loosers ont se magne ? On a un délai à respecter. » ajouta Delormeau en tapotant son oreillette.

    Je me contentais de le regarder sans sourciller. Il me tapait sur le système ce mec. Puis, je continuais à marcher tranquillement. C'était pas évident de monter des marches... Et c'était pas parce que j'en étais capable, que je devais me presser. Quelques minutes après, on arriva en haut. Le moine nous attendait les bras croisés dans ses manches d'un air bienveillant.

    « J'ai maintes fois suggéré la construction d'un escalator, mais mes frères n'ont pas approuvés ma requête. »

    « C'est pas comme si vous en aviez vraiment besoin. » lui répondis-je avec un petit sourire en regardant ses pieds.

    C'était un sportif de haut niveau. Il me répondit à mon sourire par un autre sourire. Je l'aimais bien ce gars. Bien moins pathétique que la tapette à côté de lui, qui semblait totalement essoufflé. Face à nous se tenait une sorte de temple rouge éclairé lui aussi. Puis, d'autres escaliers. C'était des accroc aux escaliers ces moines là. Sur la surface plane se dressait une grande tente rose fluo qui ne collait pas du tout au reste du décors. J'avais l'impression que c'était là où on allait se rendre.

    « Chouette... Y'a rien de mieux pour gâcher un aussi beau lieu que la présence d'imbéciles avec une caméra, et accroc aux horaires. »

    « Je trouve aussi. » me répondit le moine.

    De la tente sortit un gars style japonais avec des cheveux verts... il tenait dans sa main une paire de ciseaux qu'il tapotait d'un air agacé.

    « Tiens, Edward n'est pas content. »

    J'avais regardé un film avec un type qui possédait des ciseaux au lieu de mains. C'était pas mal la référence. J'étais fier de mon coup. En nous voyant, le coiffeur japonais entrouvris la bouche.

    « Qu'est-ce que je vais faire de ça ? » dit-il en nous observant.

    Il s'attarda sur moi, qui n'aurait jamais dû me mettre en tête de file et il me fit signe d'approcher. Je lui répondis avec un grand sourire, sans bouger.

    « Bon, ma choupette. Pour le brushing c'est râpé. T'as pas grand chose sur le caillou. On va essayer de faire quelque chose quand même. »

    « Même pas en rêve. » lui dis-je sans sourciller, et toujours en souriant.

    « T'as pas le choix, tu rentres là dedans. » me précisa Delormeau avec un sourire contracté. « Tout le monde vous attend, il faut passer par là. »

    Je m'étais tourné vers lui, m'approchant le plus possible du jeune homme, avant de poser une main à plat sur son torse. Je le sentis frémir, mais il soutint mon regard.

    « Tu devrais réellement arrêter de sous estimer les personnes que tu rencontre. » dis-je en jetant un coup d'oeil au moine.

    Si un moine était capable de le battre à la course, dans quoi je serai capable de le battre, moi ? J'avais retiré ma main, avant de lui faire une petite tape amicale sur la joue. Il contracta sa machoire. Je le sentais pas mal énervé.

    « T'as de la chance qu'on soit filmé, sinon je t'en aurai collé une. »

    Je lui souris une nouvelle fois, avant de regarder autour de nous. Puis, j'avais porté toute mon attention sur le jeune homme, croisant les bras contre mon torse et le toisant avec un grand sourire.

    « T'es un pro. Je suis sûr que tu peux nous trouver un coin non filmé. »

    Une main douce se posa sur mon épaule. Et une voix mélodieuse arriva jusqu'à mes oreilles.

    « Voyons les garçons, vous n'allez pas vous battre pour si peu. »

    Une jeune femme que j'avais déjà croisé dans notre hôtel, se tenait là, dans une tenue vraiment très sexy, si bien que j'en avais oublié la Delormette. Qui plus est, la jeune femme me souriait.

    « C'est lui qui a commencé. » dis-je amusé, avant de l'entendre rire à son tour.

    Elle caressa mon épaule, avant de retirer sa main, affichant toujours un grand sourire.

    « Vous ne comptez quand même pas assister à l'émission dans un tshirt de pompier ? »
    dit-elle d'un ton innocent.

    « Ca ne me dérange pas de le retirer. »

    Elle gloussa.

    « J'ai éventuellement des vêtements à me proposer. »

    « Mais depuis quand tu es costumière ??? » s'alarma Matthieu en mettant ses mains sur ses hanches à lui.

    Elle lui adressa un petit regard supérieur.

    « Je suis en mission pour Cyril. »

    Il secoua la tête, pas content du tout. Je me contentais de lever les yeux au ciel, avant de passer une main autour de la jeune femme, histoire d'emmerder encore plus l'autre. Puis j'avais approché la jeune femme de moi, tout en me penchant, pour lui murmurer quelque chose à l'oreille.

    « Tu pourrais dire à ton ami Cyril, de nous rejoindre ici au plus vite ? On l'attend. Et on ne bougera pas de là tant qu'il n'aura pas répondu à quelques questions... »


    « Euh... y'a un petit soucis, c'est que... Aaaaah... » gloussa t'elle, quand elle sentis mes doigts s'enfoncer un tout petit peu contre ses cotes.

    Je conservais toujours mon magnifique sourire. Elle fronça les sourcils et voulu se détacher de moi, mais je la maintenais contre moi. Je déposais un petit bisou sur sa joue.

    « S'il te plaît. »

    Elle n'allait pas résister à mon charme ?

    « Je peux rien faire, je suis désolée. »

    « Mais si. Dit au mec dans ton oreille de s'amener. Je suis sûr que tu peux lui dire ça. Il ne voudrait pas qu'on redescende l'escalier et qu'on reparte. » ajoutai-je en tapotant délicatement ses cotes et en la maintenant toujours contre moi.

    Quelqu'un me tapota l'épaule, bien moins délicatement que Capucine. J'avais lâché la jeune femme, afin de me tourner vers Delormette.

    « C'est pour toi. » grommela t'il en me tendant son oreillette.

    Sans hésiter, je lui pris des mains et me la mit dans l'oreille. Ce ne fut pas la voix grinçante d'Hanouna, mais celle perçante de Merry.

    « ALLOOO ! Y'A QUELQU'UN AU BOUT DE L'OREILLE ? »

    J'avais retiré l'oreillette deux secondes, avant de la remettre.

    « Putain, t'es obligée de gueuler comme ça ? »

    « Oh Emmet ! Enfin, je veux dire Bibiche. C'est Hope ! »

    « Hope ? Oh... Hope, ok... tu te souviens ? On a eu le même cas avec un des deux guignols dans l'hélico. »

    « Oui ! Anna aussi se souviens ! Il faut un choc physique ou émotionnel ! Le truc pas pratique c'est que je ne te connais pas en vrai. Enfin, vite fait. Du coup, je ne peux pas savoir ce qui pourrait te faire mal. »

    Elle ne me connaissait pas ? Chouette... Et tout portait à croire que les deux guignols non plus, ainsi qu'Anna. Je n'avais aucun lien avec Anna ? Ben dit donc... qu'est ce que je faisais ici ? Elle avait parlé d'un choc émotionnel ou physique ?

    « Attends, trente secondes. » lui dis-je avant de m'approcher de Delormette, qui recula d'un pas.

    « Qu'est-ce que tu fais là ? » s'alarma t'il.

    Surtout qu'il n'avait plus d'oreillette pour demander de l'aide.

    « Un choc physique... je te laisserai pas me cogner dessus, si je ne te donne pas une droite avant. Mais j'ai trop peur que tu t'étales et que tu ne sois plus capable de me frapper ensuite. » dis-je en serrant le poing.

    « Attends, y'a Anna qui me dit un truc... » voulu me couper Hope ou Merry, ou les deux... Mais c'était trop tard.

    Il fallait un choc ? Ok... Généralement ça pouvait produire un genre de choc. J'avais fait volte face, passant mes bras autour de Capucine, l'un pour la balancer sur le côté, l'autre pour la pencher en arrière et je l'avais embrassé tendrement, passionnément, langue comprise.

    « YOUHOUUUUUUUUUUUUUUUUUUU !!! » hurla un public au loin en applaudissant.

    « Quoi ? Melody quoi ? » entendis-je dans l'oreillette de la part de Hope.

    Mon baiser s'accentua et ma main se déplaça dans son dos. Je sentais tout mon corps en pleine ébullition. J'avais un mal fou à me retenir, mais c'était en ouvrant les yeux, que j'avais eu une petite absence, avant de ramener Capucine à une position normale et à retirer ma main qui était descendue bien bas dans son dos.

    « Eh ben... » dit-elle troublée, tout en se recoiffant et en ayant un mal fou à tenir debout.

    Matthieu eu un air jaloux... Jaloux de qui me demandai-je en le regardant m'observer ainsi, tout en se mordant les lèvres. J'étais resté stoïque quelques instants, retrouvant mes esprits, avant de passer ma langue sur mes lèvres et de poser ma main tout contre mon oreille, où se trouvait toujours Merry. C'était bizarre de penser ça comme ça.

    « Vous êtes où ? Anna va mieux ? »

    « Oui, on arrive, on est dans un hélico. »

    « Parfait. On vous attend sous une tente. Tu ne pourras pas la louper. C'est une totale faute de goût. » précisai-je.

    « Et tu te souviens maintenant ? » me demanda t'elle tandis que je retirai l'oreillette, afin de la rendre à Capucine.

    « Merci. » lui dis-je avec un petit sourire.

    C'était pour le baiser ? Pour le fait qu'elle m'avait empêchée par sa présence de casser la gueule à l'autre con ? Ou pour tout autre chose... ?
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