« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver.
Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)


Partagez
 

 I want candy, pyjamas and fun ♥ SISTER

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
3 participants
Aller à la page : Précédent  1, 2
AuteurMessage


Phoebus Light
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »

Phoebus Light

| Avatar : Alexander Skarsgård

I want candy, pyjamas and fun ♥ SISTER - Page 2 AOCMOfYn_o

When you love someone but it goes to waste
what could it be worse ?


I want candy, pyjamas and fun ♥ SISTER - Page 2 P8m0


| Conte : Hercule
| Dans le monde des contes, je suis : : Apollon, dieu de la divination, des arts, de la lumière.

I want candy, pyjamas and fun ♥ SISTER - Page 2 Vox4

| Cadavres : 2540



I want candy, pyjamas and fun ♥ SISTER - Page 2 _



________________________________________ 2015-10-10, 22:03

Candy, Pyjamas and... Fun !


   
Ah... Artémis ! Il l'adorait, malgré qu'elle prenne la mouche un peu trop vite. C'était plutôt une bonne chose qu'ils arrivent encore à se moquer les uns des autres après tant de siècles, qu'elle puisse encore les surprendre en agissant d'une façon qui ne lui était pas usuelle. Si la routine commençait à s'installer même entre deux alors... c'était le début de la fin. Quand on vit éternellement, il faut bien trouver manière à se distraire de temps à autre sinon on finit par perdre la tête.

« J'en étais à flirter sans trop d'intérêt. Mais je pense avoir trouvé quelqu'un à ma mesure. »

Son regard se tourna doucement vers Aphrodite alors qu'il sentait contre sa peau les doigts de la déesse l’effleurer.

« Tu as dit que tu voulais m'atteindre. Qu'entendais-tu par là ? »

Il n'avait pas cillé alors qu'elle s'était rapprochée de lui, écartant le shooter vide devant lui pour en attraper un autre qu'il faisait tourner entre ses doigts. Elle faisait l'innocente à présent ? Quelque chose semblait comme changé chez elle, il n'arrivait pas à mettre la main sur ce petit détail qui le titillait. Il se contenta d'un sourire en coin, ne répondant pas à cette interrogation dont elle avait la réponse depuis le début. Ce n'était pas un secret. Si lui avait le don d'attirer la gente féminine... Elle était son équivalent pour ses hommes tout autour d'eux. Il n'était pas insensible, le dire serait mentir. Il avait, à une époque qui lui semblait si loin à présent, rêver bien des fois pouvoir à son tour faire tomber Aphrodite sous son charme. En vain. Pourquoi donc ce soir serait-il le soir ?

Apollon ne se retourna que lorsqu'elle reprit la parole, ne pouvant que rester surpris face à ce qui se produisait devant eux. Surprenante, c'était bien le mot. Il fixa la scène un instant avant de s'engager parmi la foule pour rejoindre les deux blondes qui, sans conteste, se mouvaient bien plus élégamment que les autres autour. Arrivé à hauteur de sa jumelle, il lui prit la main et elle comprit immédiatement sa demande silencieuse. Ils ne partageaient que rarement des moments ensemble, depuis son retour, les événements s'enchaînant sans vraiment leur laisser l'occasion d'être aussi insouciants que par le passé. Il commença lentement à la faire tourner sur elle-même, abordant un rythme bien plus sage qu'il savait qu'elle apprécierait, avant de finir par avoir envie de bouger un peu plus. Les valses n'étaient pas de son domaine, du moins par sur la piste, même s'il appréciait sans aucun doute les jouer pour les autres.

Il ne se souciait plus des humains les entourant même si les claquements de leurs mains admiratifs lui parvenaient aux oreilles. C'était grisant, de se sentir admirer de la sorte, acclamer, un peu comme avant. Cette pensée le fit frémir... Car même s'ils n'étaient plus que l'ombre de leur gloire passée, où ils se trouvaient à présent, ils pouvaient mettre chacun à leur pied. Cette constatation était... effrayante.

Parmi les nombreux individus en train de les fixer, avides, une jeune femme brune attira son regard. Plus éloignée, elle n'avait d'yeux que pour Artémis. Ce simple détail lui avait arraché un sourire, tandis qu'il s'approchait de son âme sœur pour la lui désigner.

« Tu as une touche, on dirait. »

Ce n'était que de la pure distraction. Une évasion. Loin des soucis qui pouvaient la hanter quotidiennement. Elle avait besoin d'air frais, de nouveauté, d'oublier l'instant d'une nuit.

« Allez Artété, une petite danse, ça ne va pas te tuer ! »

Il ne l'obligeait à rien, juste à se défaire l'espace d'une seconde de tout ce poids qu'elle mettait sur ses propres épaules. Il sentait qu'elle n'allait pas bien et, loin d'apprécier ce sentiment, il fallait qu'elle se lâche. Elle devait se douter qu'être à cet endroit en sa présence et en celle d'Aphrodite, ils ne la laisseraient pas rentrer de mauvaise humeur. Apollon ne fit que lever les yeux au ciel lorsqu'elle usa de ce "Apopo" significatif. Elle détestait être surnommée Artété, il le savait bien que ça l'agaçait, mais si c'était ce qu'il fallait pour la titiller et lui permettre de penser à autre chose, il n'hésiterait pas à en abuser.

Quoi qu'il en soit, elle avait cédé, peut-être à contre-cœur, il n'en savait trop rien. Il jetait quelque coups d’œils curieux dans sa direction tout en se remettant à se mouvoir alors qu'autour, les autres aussi finissaient par les rejoindre, voulant participer à la fête. Personne n'osait pour autant les approcher de trop près, sans doute intimidés. Mais Apollon stoppa bien vite sa danse lorsque, à quelques mètres de lui seulement, l'impensable se produisit. Elle avait du culot, celle-là ! Elle venait... Non, cette inconnue venait vraiment de poser ses lèvres sur celles de Diane ?

Immédiatement, sa main vint tapoter l'épaule d'Aphrodite pour qu'elle assiste aussi à la scène. Elle n'arriverait pas à le croire si elle ne le voyait pas de ses propres yeux. Sa réaction ne se fit pas attendre, son rire éclatant autour d'eux alors qu'elle s'appuyait sur lui pour tenir bien droite, avant de s'écarter quelque peu comme pour tenter de rejoindre leur soeur. Il tenta d'appeler Artémis alors qu'elle s'éloignait à vitesse grand V, sans résultat, sentant même à ce moment précis leur lien être mis en stand-by. Un juron lui échappa alors que, comme à chaque fois, ce fut comme un coup au cœur qu'elle lui portait en se dissimulant à lui.

« C'est une grande fille. Elle va s'en remettre. »

Il n'avait aucun doute à ce propos, elle n'aurait pas de mal à oublier cet "incident", même si la surprise devait l'avoir laissé sous le choc. Si cela s'était produit pour lui ou pour Aphrodite, sans aucun doute auraient-ils profité de la situation, mais Artémis était différente. Elle était pure et loin de tous ces déboires, c'est quelque chose qu'il respectait chez elle. Il n'imaginait pas à quel point elle devait être perturbée ! Sans compter que la jeune femme qui lui avait mit le grappin dessus passait tout juste devant eux, concombre dans les mains... ce n'était pas plus mal que Diane se soit enfuie.

Les choses n'allèrent pas en s'arrangeant alors qu'un esquimau dansait de la tektonik sur un air étrange, avec un... parapluie ? Non mais ils pétaient tous un câble passé minuit ou c'était juste la drogue qui leur faisait cet effet ? Il ignorait jusqu'où ça pouvait aller, n'étant pas sujet aux effets secondaires de ce substances. D'habitude, il trouvait dommage de ne pas pouvoir en profiter mais étant donné comment semblaient réagir ces personnes, il s'en estimait finalement heureux.

Apollon ne remarqua qu'à cet instant qu'Aphrodite était de nouveau face à lui et plus entreprenante que jamais, cette fois. Le premier bouton de sa chemise avait été subtilement ouvert et elle arborait à nouveau de ce regard enjôleur qui lui était propre et, il devait bien l'avouer... dur d'y résister.

« Je me rends compte qu'en cinq millions d'années, nous n'avons que peu passé de temps tous les deux. Je me dis qu'il est temps de rattraper cette erreur... »

Penchant légèrement la tête sur le côté, trouvant ce comportement des plus curieux, il ne rechigna pas cependant lorsque sa main se posa sur son torse. C'était une invitation ?

« Toi... moi... où tu veux. »

C'était une invitation.

Le ton ne trompait pas, les gestes non plus. Il ne put s'empêcher de frémir malgré lui. Il n'était qu'un homme, après tout ! Il se pinça les lèvres, se détournant de ce visage angélique qui le troublait.

Il resta un instant planté là, sans donner de réponse, sans la moindre indication sur son acceptation ou son refus... Il était juste là, réfléchissant dans tous les sens, avant de finir par fermer les yeux. Il avait chaud - très chaud - et il reprit son souffle - sans en avoir pour autant le moindre besoin, c'était pour la forme. Il fallait qu'il arrête de penser. Maintenant. Et... Tout irait mieux s'il arrêtait juste de penser.

Apollon plongea alors son regard azur dans celui d'Aphrodite. Ses lèvres s'étirèrent en un sourire charmeur et sa main alla se placer sur sa taille, alors qu'il se rapprochait d'elle pour effacer la courte distance qui les séparait, se collant à elle. L'autre se leva lentement, allant frôler la joue de la déesse. Ses doigts se mirent à glisser le long de sa mâchoire, passant sur son cou avant de descendre sur son épaule, pour se frayer un chemin à l'arrière de sa nuque. Il ignorait ce qu'il était vraiment en train de faire mais ce qui était certain, c'est qu'il le faisait.

Les battements de son cœur s'étaient accélérés de manière plutôt significative alors que, se délectant du contact de la peau d'Aphrodite contre la sienne, il avait baissé son visage vers le sien, le décor autour d'eux commençant déjà à se modifier.

La boîte de nuit avait laissé place à une chambre d'hôtel relativement luxueuse. Il n'avait pas des goûts si mauvais que ça, au final, il connaissait les bons endroits. La lumière était peut-être éteinte dans la pièce, qui n'était alors éclairée que par l'éclat de la lune et celui des lumières de la ville à travers les grandes baies vitrés, mais on pouvait deviner un mobilier confortable. Un grand lit à baldaquin capable d'en accueillir quatre comme lui, aux longs rideaux pourpres ouverts, se trouvait juste derrière Aphrodite. Peu importe ce qui se trouvait d'autre dans cette chambre, cette information lui suffisant amplement.

S'avançant, ce qui la forçait à se reculer, elle se retrouvait collée contre le bord du lit, le visage d'Apollon à quelques millimètres du sien. Il était hésitant. Cela pouvait se comprendre, depuis tant d'années ils n'avaient encore jamais été jusque là, tous les deux, par faute de circonstances certainement. Ses avances soudaines le déstabilisait bien malgré lui, alors qu'il n'attendait que cela, sans doute justement parce que... c'était soudain. Il aurait dû s'en inquiéter. Lui demander ce qui n'allait pas. S'asseoir à ses côtés pour en parler. Il n'en fit rien.

Il dépassa la limite et vint l'embrasser, doucement. Sa main contre la taille de la déesse resserrait sa prise, pris par la fougue, alors que le baiser ne s'en faisait que plus ardent. Elle ne semblait ni le repousser – ce qui aurait été le comble ! – ni ralentir la cadence. Il se laissait faire sous les gestes de la déesse, finissant par descendre ses mains plus bas pour la soulever, l'allongeant sur le lit. Il ne tarda pas à perdre sa chemise dans un coin, n'hésitant pas non plus à retirer sa robe à Aphrodite. Ce ne fut qu'une question de secondes avant qu'il n'en perdre le reste de son costume, les divinités n'ayant plus que leurs sous-vêtements comme uniques barrières. Il parcourait son corps de baisers, découvrant les courbes sur lesquelles fantasmaient tant d'individus dans le monde et qu'un nombre incalculable de femmes jalousaient.

Tout était parfait. Et tout aurait pu continuer à l'être – voir même être plus que parfait – si on oubliait qu'à l'instant où il comptait entamer un des moments les plus intéressants sous la taille d'Aphrodite... les lumières aveuglantes de la chambre s'allumèrent toutes en même temps, le bruit de la porte qui claque résonnant derrière eux.

Il se stoppa net, la respiration saccadée, devant agir en vitesse et efficacement surtout. Il n'avait pas réfléchi à ce tout petit détail. Cette possibilité que la chambre qu'il avait eu envie d'emprunter soit réservée pour la nuit. Non, il n'avait pas été frôlé par cette pensée une seule seconde... si ce n'est maintenant. Le dieu lâcha un juron étouffé alors que, Aphrodite collée contre lui, il les téléportait hors de la vue de cet individu par réflexe. Il en oublia même leurs habits au sol qui risquaient de paraître douteux mais dont l'inconnu pourrait facilement blâmer le personnel de l'hôtel.


Apollon aurait pu les amener n'importe où. N'importe où dans le monde, dans n'importe quelle autre chambre pour qu'ils continuent en paix, mais non. La première intuition de ce boulet de dieu, en situation de risque, est en général de prendre la première chose qui lui passe par la tête. La première chose étant l'endroit où se trouve Artémis. DANS UN KARAOKE. Ils étaient apparus là, face à elle, si peu vêtus et ne pouvant clairement pas dissimulés leur état.

« Merd... »

Diane s'était retournée vers eux et il s'était contenté de sourire bêtement, offrant la même expression à Aphrodite. Il se sentait con. Clairement con. Il n'avait plus l'habitude, c'était ça. Il ne savait plus comment faire. Il était con. Il aurait aimé se téléporter à nouveau dans un endroit un peu plus intime et faire comme si de rien ne s'était passé. Mais non, parce qu'il était con.

« On... Hum... On a été... On s'est fait agressé par un esquimau. »

Il avait tellement envie de mourir, là, maintenant, tout de suite.

   

   
   

made by pandora.

   
   

   


   
https://www.ouat-storybrooke-rpg.com/t14039-apollon-c-est-pas-une https://www.ouat-storybrooke-rpg.com/t14980-avez-vous-deja-vu-un-mec-grand https://www.ouat-storybrooke-rpg.com/t80967-moon_light


Diane Moon
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »

Diane Moon

| Avatar : Claire Holt + Mia Talerico pour Le Berceau de la vie

I want candy, pyjamas and fun ♥ SISTER - Page 2 Dmia

“I love you to the moon and back”


| Conte : Hercule
| Dans le monde des contes, je suis : : Artémis la déesse de la chasse et de la lune herself (même si je viens du monde réel)

| Cadavres : 9254



I want candy, pyjamas and fun ♥ SISTER - Page 2 _



________________________________________ 2015-10-14, 00:57

I Want candy, pyjamas and fun
La Vengeance est un plat qui se mange froid


C'était un véritable supplice, que dis-je, c'était même pire. J'ignorais, totalement, depuis combien de temps exactement, j'étais dans ce fichu karaoké. A écouter des gens, chanter tous plus faux, les uns que les autres. L'expression « saigner des oreilles » que je détestais pourtant en temps normal, prenait, tout ce sens, à l'heure actuel. La question, qui tournait, en boucle dans mon esprit en revanche, c'était « mais qu'est que je fais encore ici ? ». Apollon, et Aphrodite, n'avaient manifestement, pas du tout, l'intention, de me rejoindre. Je pouvais, donc, rentrer à la coloc, en toute sérénité. J'aurais peut-être même le temps, de faire une partie de Mario Kart avec Louise, si ça se trouvait.

Forte, de ces nouvelles, résolution, je délaissais, le cocktail, que j'avais demandé au serveur, et me levait, d'un bond, prête à m'en aller. Jusqu'à...Ce que je ne vois mon frère et ma sœur apparaître juste devant moi. Surprise, je papillonnais, des yeux un instants. Ils, étaient fous, de venir ici comme ça. Même moi, je m'étais téléportée à l'entrée, loin des regards indiscrets. Fort, heureusement, un coup d'oeil à la salle, m'apprit que ses occupants étaient bien tous, trop occupés, pour s'en être rendu compte. Et, ce n'est que maintenant, que je me rendis compte, de leurs tenues. Ils, n'avaient pas perdu de temps dite moi.

D'accord, c'était stupide, mais je me sentais, un peu blessée, et jalouse aussi, qu'Apollon ai préféré, chercher à faire...Des activités nocturnes dirons nous, avec Aphrodite. Plutôt, que de me rejoindre. Le problème, en ce moment, c'était que mes émotions partaient dans tous les sens. Entre le retour, de Poséidon, dont je n'avais parlé à personne, et tout ce qu'il c'était passé ces derniers mois. J'avais été un peu éprouvée. Aussi, avais-je tendance, à très souvent, prendre mal les choses. De plus, j'avais un très gros défaut : J'étais rarement prêteuse, quand il s'agissait de mon frère jumeau. Apo' avait toujours été « mon » frère « mon » jumeau « mon » double « mon » âme sœur. Bref, j'étais affreusement possessive, le concernant. Et, c'était un défaut, que nous avions, en commun. Même, si j'avais été impressionné, par sa capacité, à accepter Pitch.

Il, y avait de ça, et il y avait aussi, le fait que je ne voulais, pas qu'il ce passe quelque chose entre eux. Qu'il y ai quoi que ce soit, de ce genre avec Eris, ou avec Athena, je m'en moquais. Mais, pas Aphrodite. C'était très bête à nouveau, mais Aphrodite, était la seule réelle sœur que j'avais. Toutes les autres ou je me contentais, de les admirer de loin comme Hera. Ou, je ne les connaissait, absolument pas. Et puis...J'avais beau rapidement prendre la mouche, et ne pas forcément, apprécier, leur méthode à tous les deux pour me « décoincer », mais je trouvais, tout de même, que nous formions, un bon trio tous les trois. Et, je me surprenais, à avoir envie que cela continue. C'était également, en partie pour ça, que je n'avais pas envie, qu'il y ai eu quoi que ce soit comme aventure entre eux.

Je revins, cependant, rapidement, sur terre à la remarque de mon frère, qui sans le vouloir, raviva ma peine, que je dissimulais habilement depuis tout à l'heure, même via notre lien, elle était indétectable. L'un des atouts du don d'empathie :

- Attaqué par un esquimau ? Tu me prends pour une quiche ?
Demandais-je plus sèchement que je ne l'aurais voulut

Mes yeux, devaient très certainement, lancer des éclairs, aussi me détournais-je rapidement, pour me diriger vers l'un des serveurs, qui apportait très certainement, un verre à l'une des tables. Sauf, que le dit verre ne l'atteint jamais, puisque je m'en emparait, pour le descendre d'une traite sous les yeux médusés du pauvre homme. Voilà, qui était fait. Où en étais-je déjà ? Ah oui, mon frère et ma sœur. Je ne devais, pas me laisser emporter par mes émotions, je ne devais pas les écouter, parce que si je les écoutaient, je me mettrais à appeler Pitch, en larme pour lui raconter, qu'ils m'avaient laissé seule pour préférer d'autres activités. Ça, c'était le gros problème de l'empathie. On a tendance, à ressentir, les choses trop intensément. Même une toute petite contrariété, pouvait prendre des proportions titanesque -sans mauvais jeux de mots- généralement, je maîtrisais, cet aspect de ma personnalité à la perfection. Sauf, qu'en ce moment, j'en avais assez. Je voulais, hurler au monde mon ras le bol. J'avais envie de hurler à la figure des enfants de Poséidon, qu'ils n'étaient pas les plus à plaindre, que nous, nous n'avions jamais connus nos parents, et qu'on ne décidait pas d'en vouloir à la terre entière pour nos malheurs. Je voulais, aller trouver mon frère, et lui hurler à la figure, de se débrouiller, que leur remake de Game Of Thrones avec Arès, me tapait royalement sur le système. Et, je voulais, allé trouver Arès, et lui hurler de me laisser correctement, faire mon boulot de second, et qu'il me donne les informations, et de ne pas attendre que...qu'Hadès, vienne m'en informer, ou d'envoyer Apollon, faire une partie de poker, pour en avoir un minimum. Je voulais, faire tout ça, mais à la place, j'étais là, à me prendre la tête pour des stupidités, et à enchaîner les verres d'alcool alors, que je n'avais aucune chance de finir saoul.

Je pris une grande inspiration, pour informer Aphrodite et Apollon, que je partais, qu'ils pouvaient bien finir leur soirée comme ils voulaient, ça m'était égale, quand la voix de l'animateur, capta mon attention :

- Nous remercions, Hayley et Michael pour cette sublime interprétation de « Don't Go Breaking My Heart » avons-nous des volontaires ?


Je crois qu'en cet instant, la pire idée de toute ma vie, germa dans mon esprit. Non, vraiment, ne laissez jamais, votre d'empathie, dicter ce que vous devez faire. Je levais, la main, le plus haut, possible, pour être sur, que l'on me voit bien :

- Oui, mademoiselle au fond ?

- Oh non, pas moi, je suis une horrible chanteuse
dis-je d'une voix faussement dépitée, en revanche, ces deux là, sont extrêmement doué

C'était un horrible mensonge, je chantais très bien. Mais ils avait clairement, mérité cette petite « revanche » tous les deux. Et puis, ce n'était « que » Apollon et Aphrodite. Autrement dit, les deux personnes que je préférais chez les dieux. De toute façon, ils me devaient bien ça. J'avais passé, je ne sais combien de temps à endurer un supplice auditif, alors ça me ferait du bien, d'entendre des « pros » s'y atteler.



made by pandora.


https://www.ouat-storybrooke-rpg.com/t90026-she-was-like-the-moon-liens-d-artemis#1294193 https://www.ouat-storybrooke-rpg.com/t74833-artemis-can-t-fight-the-moonlight https://www.ouat-storybrooke-rpg.com/t80967-moon_light
 Page 2 sur 2
Aller à la page : Précédent  1, 2

I want candy, pyjamas and fun ♥ SISTER





Disney Asylum Rpg :: ➸ Le petit monde de Storybrooke :: ✐ Les Habitations