« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
J'avais ma capuche sur la tête, assis dans mon coin, le visage tourné vers le sol. Encore une fois je n'avais rien pu empêcher. Encore une fois quelqu'un avait été bléssé a cause de moi. Par ma faute. Et je n'avais rien pu faire pour empêcher ca. Rien. J'étais inutile, je ne reverrai jamais Aryana, jamais plus elle ne gouterai une de mes glaces, ne ferai disparaitre mes cheveux ...
J'étais en train de me morfondre quand le mouton sur pattes s'approcha. Quoi ? Il n'avait pas compris que ce n'était pas le moment ? Je n'étais pas d'humeur. Pourtant il ouvrit la bouche.
"Écoute... Elle n'est pas morte. C'est une déesse. Elle peut mourir, mais elle finie toujours par revenir. Demande à Hippolyte, elle te le confirmera. Quoi qu'il en soit, faut se serrer les coudes et tenter de démasquer le tueur avant le retour d'Aphrodite. Car au moins on sera sûr que la ceinture n'aura plus d'effets."
Je levais les yeux vers lui, stupéfai. Comment ca elle allait "revenir" ? Je fermais les yeux une seconde pour assimiler l'information. Il n'avait aucunes raisons de me mentir, il avait bien vu que je n'allais pas le tuer .... Je m'étais arrêter, je n'étais pas un tueur. Était il possible qu'il dise la vérité ? C'était vrai qu'elle avait des pouvoirs étranges .... Lorsque je rouvris les yeu, une main était tendue vers moi .
"Tu marches avec ?"
En soupirant, je tendis une main vers lui quand tout a coup, Aphrodite s'approcha de nous. Elle était vraiment vivante ? Elle me semblait en tous cas bien réelle ... Sa main sur la mienne aussi. Mais comment diable voulait elle que je sache qu'elle pouvait ressusciter bon sang ? Je n'étais pas devin aux dernières nouvelles !
"C'est le moins qu'on puisse dire ... " lâchais je en me relevant. Je me tournais vers Aaron, et passais une main dans les cheveux avant de lui déclarer avec un petit rire : "Désolé de t'avoir frapper. Je savais pas que c'était un passe temps de mourir pour certains... ".
Je lui mis une tape amicale sur l'épaule et suivit le groupe a l’extérieur. En appercevant le jardin je poussais un petit sifflement admiratif. Whaouh, certaines avaient vraiment un problème d'égo ... Pas le genre de fille que j'aimais fréquenter... Pas comme Anna. Elle était discrète, et pourtant ne se laissait pas marcher sur les pieds. Je contemplais son visage éclairé par le soleil qui fasait de jolis reflets dans ses cheveux ... Avec un sourire je pointais mon bâton vers le visage gravé dans le mur et commençais a dessiner des moustaches en glaces et de grosses lunettes a la Harry Potter. Na, ca lui apprendrai.
Je tournais les yeux vers Anna et lui fit un grand sourire. Elle était tellement intelligente ... tendis que l'autre était une tarée de première. Cette Yzma était vraiment pas fréquentable. Ma théorie se confirma quand un lama enragé nous attaqua. Mon aimée esquiva la première attaque avec grâce avant de demander une carotte. Oh. Fronçant les sourcils j'en fis apparaitre une en glace avant de regarder successivement Anna et le lama. Non, elle ne voulait certainement pas ca. Je jetais la statuette de glace par dessus mon épaule.
Hippolyte décida soudain de buter cette pauvre créature. J'étais totalement choqué. Non mais quelle ... quelle brute ! Elle aurait pas pu simplement l'assommer ? Apparemment non. Je la fixais un moment, les yeux ronds, en entendant sa phrase. Bon, ok, j'aurai pas aimé être a la place de la pauvre bête.... Elle pouvait se gratter pour que je lui passe de la glace si elle c'était fait mal ... Elle se releva et le fit un pas vers Anna en mode Tapproche-pas-s'pece-de-psychopathe. Non mais j'en avais marre qu'on la menace et le ton qu'elle avait employé avec elle m'avait mis sur mes gardes. Et non je ne devenais pas parano.
Tout a coup, un type apparut dans le jardin et je le regardais dubitatif. Fumer c'était mal, j’espérai qu'il ne montrai pas ce genre d'exemple a des enfants. Il se téléporta derrière Aaron et le prit en otage avant de se dédoubler ? Non mais c'était trop cool ! Bon, la prise d'otage ca l'étais beaucoup moins mais moi aussi je voulais un autre Jack ! Ca serait tellement cool ! On ferait des batailles a deux et j'aurai quelqu'un avec qui faire tomber les châteaux de cartes et surtout, on aurait une super poignée de main de la mort ! Mais bon, j'avais d'autres choses a gérer pour le moment. Du genre ...
Mais pourquoi tu parles a une statue ?
J'avais explosé de rire, c'était tellement hilarant que je sentais mes jambes faiblir et que je dus m'appuyer sur mon bâton pour ne pas m'écrouler. Non mais sérieusement l'amour le rendait tellement aveugle ? J'étais secoué par un fou rire incontrôlable. Il avait cru que la statue était une vrai fille. Non mais même un débutant en drague ne ferait pas une telle erreurs. Je du prendre sur moi pour m’arrêter, et essuyer les larmes qui perlaient a mes yeux avant de m'avancer vers lui. Je vis les doubles se tendres mais levais les mains en signe de paix.
Hey du calme, je viens en paix.
Je fis un autre pas avant de m’arrêter, tendis que les trois blonds avaient leurs yeux tournés vers moi.
Jack Frost, gardien de l'amusement et esprit de l'Hiver pour vous servir, fis je en m'inclinant, tout en retenant un rire. Bon, il faudrait peut être penser a acheter des lunettes parce que franchement, confondre une statue couleur avec une personne ... ca crain ! Regarde la, tu la trouve humaine toi ?
Je m'étais discrètement tendus et d'un coup, je fis un bond vers le ciel et tournais sur moi même en activant ma magie, avant d'envoyer des vagues de glaces sur les deux créatures qui se changèrent instantanément en glaçons. Je tombais entre elles, et levais les yeux, avant de sauter vers celle d'Hyppolyte pour la réduire en mille morceaux, avant de passer vers celle d'Aaron. Une seconde après, elle gisait, éclatée sur le sol.
Bon, ca, c'est fait, fis je en m'époussetant les mains. Je m'envolais et atterrie a coté de la statue d'Yzma. Non, sérieux tu l'as prise pour une humaine ? elle est un peu ... froide non ? D'un geste brusque, je fis apparaitre une épée en glace et tranchait la tête de la statue qui roula au sol.
Bon, ou est la vraie maintenant ? Fis je en balancant mon bout de glace un peu plus loin et en reculant.
Aaron McAdams
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« J'avais bien dit qu'il
faisait froid... ! »
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J'avais tenté de me sauver d'Hydranos, mais comme il m'avait pris à la gorge, c'était pas ce qu'il y avait de plus facile. Puis, un méli mélo de découpage de tête avait pris forme sous mes yeux. Ou sur ma gorge a dire vrai. Je sentais sa griffe qui appuyait sur la peau tendre de mon cou et menaçait a chaque instant de la déchirer. Puis Jack arriva et me sauva.
Il avait aussi sauvé Hippolyte, ce que j'avais trouvé très charmant de sa part. Car mieux valait sauver le couple entier qu'un seul morceau. Même si on n'était pas vraiment un couple, car tout ça c'était à cause de la ceinture. Je m'étais retrouvé à tripoter la chose qui me tenait, ou plutôt qui m'avait tenue. Elle était forte et robuste avec un léger soupçon de froid intense qui me congela jusqu'aux narines.
Elle tomba en milles morceaux et la voie jusqu'à la maison de Yzma Popochimalt était libre. Il ne restait plus qu'un Hydranos et il était occupé à draguer la statue de la vieille dame qui paraissait pourtant si jeune. Je m'étais risqué à faire quelques pas en direction de la maison et une fois devant la porte, je l'avais vue. Elle était là, magnifique, somptueuse, resplendissante...
"La ceinture !! On a gagné ! On a battu le boss final ! On a accouru dans la maison ! On a sauvé la Princesse et..." ... personne m'écoutait. Ils étaient tous occupés avec Hydranos à lui taper dessus avec tout ce qu'ils trouvaient à portée de leurs mains. Je m'étais tourné vers la ceintue, m'en approchant, pour tenter de la prendre.
Je me doutais bien qu'il y aurait une protection magique, divine ou autre, mais à dire vrai, ça avait été totalement facile de s'en emparer. Ce qui était bizarre, c'était sa forme. Je ne la voyais pas du tout comme ça. Une grande ceinture très "voyante", de couleur rose fluo avec des petits coeurs dessinés un peu de partout et des bonbons de routes les couleurs en guise de décoration. Il y avait aussi des petites lumières scintillantes qui entouraient une inscription "Aphrodite, déesse de l'Amour, service complet matin et soir sur simple demande. Demandez moi! N'ayez pas peur! Oh oui, demandez moi!". ...je ne l'avais pas demandée, mais je l'avais saisie en main. Elle était là, tenue fermement entre mes doigts. Je pouvais sentir toute sa puissance, tout ce qu'elle possédait, se déverser en moi. Mon dieu que c'était bon !
"Déesse Aphrodite ? J'ai trouvé la ceinture ! Regardez, on dirait qu'elle vous appelle. Je peux sentir toute sa chaleur, tout ce qu'elle dégage ! J'ai l'impression de posséder grâce à elle un énorme pouvoir !"
Qui impliquait sans doute de très grandes responsabilités. J'avais d'ailleurs jeté un coup d'oeil en direction de Hippolyte, qui semblait très bien s'en tirer en frappant avec sa chaussure, la tête de Hydranos. Le pauvre... Il devait souffrir, mais elle avait raison de lui faire payer ce qu'il nous avait fait. C'était son rôle de protéger les autres participants à l'aventure, de montrer à la grande bébête, que ce qu'elle avait fait était mal. Elle y mettait tout son coeur à l'ouvrage en lui tapant dessus. Pour faire notre devoir, il faut être persévérant et renoncer à ce qui nous tient le plus à cœur...
"Vas y Hippo ! Montre lui ! Tu ne dois pas avoir honte de ce que tu es..."
Elle avait un don inné pour lui taper dessus. Il fallait qu'elle l'utilise à son maximum ! Elle allait tous nous venger !
"Il y a un héros en chacun de nous ! Prenez vos chaussures ! Battez vous pour vos convictions !"
J'aurai bien voulu me déchausser, mais je ne pouvais pas lâcher la ceinture. Elle était comme collée à moi. Je l'avais tortillée dans tous les sens et un nuage de fumée s'en était dégagé. Ce qui avait eu pour effet de me faire éternuer. Cette fois ci, j'avais réussi à me dégager de son emprise et quand j'avais ouvert les yeux, je ne voyais plus rien.
J'avais frotté mes paupières plusieurs fois, mais sans succès. Puis, approchant mon index de mon oeil droit, j'en avais ôté ma lentille, de même avec l'oeil gauche. Une fois les yeux bien ouverts, je pouvais distinguer parfaitement Hydranos face à moi.
"Mais qu'est ce que..."
Mes mains devant mon visage, je les avais secoués, me rendant compte que pour la toute première fois de ma vie, je pouvais voir mes dix doigts gigoter. Je les voyais aussi d'habitude, mais pas directement avec mes yeux. Je n'aurai plus jamais besoin de porter des lentilles de contact ? J'avais tourné la tête vers Hippoylte. Je pouvais entendre sa respiration jusqu'ici, tout comme celle de Anna et les petites particules de glace qui émanaient de Jack me faisaient frisonner jusqu'ici. Que m'arrivait-il ?
Puis tout à coup, le pire se produisit et je vis Hydranos réussir à prendre le dessus sur les chaussures et pousser un cri de guerre avant de lever le poing en direction de Aryana. J'avais hurlé à mon tour et poussé également ce qui semblait être un cri de guerre, avant de mettre ma main en avant pour le stopper à distance - chose totalement impossible - quand tout à coup quelque chose partit de mon poignet en direction de Hydranos et lui scotcha le visage.
"Ah ben ça alors..."
J'étais resté la bouche grande ouverte en penchant ma tête pour voir cette sorte de toile qui sortait de mes mains. On dirait Spider Man ou un truc de ce genre là... J'avais baissé la tête en direction de la ceinture. Et si... Et si cette fumée m'avait transformée ou fait quelque chose ? Peut être qu'elle avait été créée à partir de venin d’araignées et que du coup j'étais devenu une sorte de Peter Parker ? J'aurai bien voulu un miroir pour avoir confirmation, à moins que le changement n'étais pas physique. Ma peau était toujours blanche, pas comme le Spider Man Ultimate, Miles Morales et des bras ne m'avaient pas poussés de partout. Dan Slott n'était pas celui qui avait écrit mon histoire ! Dommage, car j'avais beaucoup apprécié son travail de ces dernières années...
A dire vrai, j'avais la sensation d'être toujours Aaron. Mais avec quelque chose de plus. Un peu comme Batman qui était un guerrier en plus d'être un mec hyper riche et branché avec toutes les filles à ses pieds. Ce qui me faisait pas mal penser à Tony Stark, mais avec la technologie de pointe en plus. A bien regarder, les deux se ressemblaient beaucoup. Mais moi, je ne voulais pas être ce guerrier qui frappait les autres, qui cherchait à se venger de ce qu'on lui avait fait. Je voulais être un guerrier rusé d'un nouveau genre, qui ne s'attaque ni au corps, ni à l'esprit, mais au coeur. Car c'était l'attaque du coeur qui faisait le plus mal.
Je voulais être ce que je choisirais d'être. Il ne fallait pas suivre les traces des autres, être à moitié en vie, à moitié nous même. J'allais devenir Aaron, le 100% d'origine ! Un de bonne qualité, servis frais et capable de mettre une raclée à cette créature qui s'en prenait à mes nouveaux amis. J'avais fait un pas en avant, me mettant face à lui, les mains sur les hanches.
"Hydranos ? Je crois que tu es allé trop loin !"
Il ne m'écoutait pas, car il rouspétait vue que cette substance sur ses yeux l'empêchait de voir.
"Je disais que je crois que tu es allé trop loin ! Il va falloir te rendre et aucun mal te sera fait."
Mais il ne m'écoutait toujours pas...
"Tu peux arrêter de rouspéter ? J'essaye de te faire comprendre que..."
En fait, ce n'était pas la peine. Je m'étais approché de lui, j'avais tendu le poignet et de la toile s'en était échappée et avait commencée à l'asperger de tous les côtés. Il était totalement "entoilé". Mais Spider Man finissait toujours ses arrestations par un signe bien distinctif. Il accrochait ses victimes là où personne pouvait aller les décrocher et ça laissait le temps à la toile de se dissiper pour les faire tomber dans un dernier "aïe", avant que la police leur passe les menottes.
J'avais grimpé le long de la maison pour aller jusqu'au toit. J'avais tendu mon poignet une nouvelle fois et hissé Hydranos jusqu'en haut. Arrivé à mi hauteur, je m'étais stoppé et j'avais fait un noeud avec la toile pour qu'il reste suspendu là, puis j'étais redescendu et j'avais admiré mon travail.
"Enorme ! J'adore !" avais-je dit fièrement en tournant la tête vers Anna, puis Hippolyte, Aryana et pour finir avec Jack. Puis, je m'étais approché de lui et je l'avais regardé avec grande attention.
"Quand j'étais là haut, quand je croyais que j'allais mourir, car j'ai le vertige et je ne supporte pas la hauteur, je me suis aperçu que mes pensées allaient vers une seule personne et ce n'était pas celle que j'aurai imaginé..."
J'avais pris la main de Jack. Il était aussi froid que je l'avais imaginé.
"Tu sais Jack, je crois qu'on est partit sur de mauvaises bases. Je sais que tu crois aimer Anna et que je crois aimer Hippolyte, mais l'amour c'est pas ça. Il faut se rendre à l'évidence..."
J'avais fait un pas vers lui, l'attirant vers moi pour achever les pas qui nous séparaient l'un de l'autre et j'avais relâché sa main avant de passer un bras autour de lui.
"L'amour c'est avant tout l'amitié et je crois que je viens juste de comprendre ça. C'est bien plus important que n'importe quelle forme d'amour." avais-je dit en me reculant de lui et en lui tendant la main.
"Ami ?"
Ca faisait deux fois que je lui tendais la main la même journée et à chaque fois pour qu'on accomplisse quelque chose ensemble. Aujourd'hui, j'avais eu à de nombreuses occasions la possibilité de jouer les héros, de prendre en main ma vie, de saisir diverses opportunités. Et je crois que j'avais accomplis de grandes choses. Pas seulement pour moi, pas seulement pour ceux qui étaient avec moi, mais aussi pour mes amis. Aussi bien ceux qui étaient ici que les autres. Je sentais que cette aventure m'avait permis de faire le point, de me trouver et j'avais la sensation que le nouveau Aaron allait beaucoup plus me plaire que l'ancien.
Hippolyte était mon amie et la petite amie de Egéon. Ce n'était pas une aventure d'un soir, ni un grand amour, ni aucune éventualité de ce genre. Elle était avec mon meilleur ami, ce qui la rendait exceptionnelle, mais ça s'arrêtait là pour moi. Comme Anna. Elle devait se rendre compte qu'au delà de la ceinture il n'y avait rien. Elle était une fille incroyable, avec un fort tempérament. Elle n'était pas une fille faible, ni facile, ni amoureuse, ou du moins pas pour l'instant. Elle était juste Anna d'Arendelle, la fille qui avait survécu à cette aventure.
Quand à Aphrodite, elle était la déesse de l'Amour et une fois encore, elle avait prouvée que les dieux n'étaient pas ce que l'on croyait. Elle devait détruire sa ceinture une bonne fois pour toute et surtout... Elle devait changer de goûts vestimentaires. Personne devrait se promener au dehors avec une ceinture de ce genre. Et Jack... Oh Jack ! Un nouvel ami, un nouveau guerrier dans la "famille". Il allait accomplir de très grandes choses et je serai là pour lui tenir la main quand il en aura besoin !
On formait une équipe du tonnerre ! On dépotait ! Il ne me restait plus qu'une seule et unique chose à faire. J'avais rejoins la porte d'entrée de la maison, gravis les quelques marches et je les avais tous observés. Il était temps, il fallait le faire, ici et maintenant !
"AVENGERS RASSEMBLEMENT !"
C'était là que la toile avait cédée...
Aaron : 75%
Jack Overland
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Aaron s'approcha de nous quand les autres se mirent a taper Hydranos. Moi, je profitais allégrement du spectacle, adossé au mur, en riant a gorge déployée. Aaron passa a coté de moi et une seconde je me demandais pourquoi il ne restais pas avec nous a nous moquer de lui. Il pénétra dans la maison et en l'entendant appeler Aryana, je me retournais pour le voir attraper une hideuse ceinture rose Non mais c'était totalement affreux ! Je jetais un regard a Aphrodite en grimaçant
Non mais sérieux faut revoir tes gouts ! C'est totalement hideux ce truc ! Tu te prends pour une barbie ou quoi ?
Je lui fit un grand sourire narquois et suivit le demis dieux, les bras nonchalamment appuyés de chaque cotés de mon bâton. Vu ce qu'il commençait a dire ca faisait un peu flipper. Mais il était marrant comme gars. Quand il ne cramait pas mes potes bien entendu. Fallait le tenir éloigné des allumettes ce gars la. Je baissais les yeux vers mes pieds. Mouais, le combat avec chaussures c'était pas trop pour moi, je me baladais tout le temps pieds nus. Je refusais d'enfermer mes pieds dans des chaussures. Et puis c'était beaucoup plus cool comme ca.
Quand a mes convictions, j'en avais peu. Elles se limitaient surtout a - Pitch est méchant - Les glaces c'est cool - L'invisibilité c'est pas drôle
Pas de quoi remporter une élection par exemple. Aaron nous fit un trip bizarre avec la ceinture, et se mit a envoyer des trucs collants partout. Enfin surtout sur Hydranos a vrai dire. Je m'éloignais et me mis dans son dos en me retenant de rire a la vue de leurs têtes. On aurait dit qu'au lieu d'Aaron ils voyaient quelque chose de totalement différent. Allez savoir quoi, moi je ne voyais pas du tout. Déja, j'allais demander a Rebekah qui diable était Jonh Snow - je n'avais toujours aucune idée de qui il était et de ce qu'était Game of thrones, mais n'avais pas voulu passé pour un idiot au yeux d'Anna - Et en suite je me renseignerai sur ce .... truc.
Le brun se mit a envoyer ce qui me semblait être de la toile d’araignée dur le blond, jusqu’à le changer en une sorte de cocon. Puis il l'attrapa et se mit a grimper sur les murs comme un inceste.
"Non mais c'est trop cool ce truc !" m'écriais je en me tournant vers la ceinture qui était tombé au sol.
Du bout de mon bâton, je la touchais, méfiant, au cas ou elle exploserai. Ok c'était sympa de grimper au murs, mais je préférais ma glace. Comme rien ne se passa, je me penchais et l'attrapais avant de la retourner dans tous les sens pour l'observer. L'inscription dessus me sauta aux yeux et j'explosais de rire.
"Aryana c'est quoi ce truc ? Demandez moi! N'ayez pas peur! Oh oui, demandez moi!". lâchais je d'une petite voix aiguë qui était censée l'imité essayant de m'appuyer sur mon bâton tant le fou rire qui me prenait était fort. Très crédible la déesse comma ca. "Non mais tu porte ca ? "
Je m'approchais d'elle, lui fit mon regard-qui-fais-fondre, et profitais de son hésitaton - ou de la résistance qu'elle essayait d'avoir contre mes beaux yeux - pour rapidement la lui attacher autour de la taille, et reculais de quelques pas pour admirer mon œuvre. Je mis une main devant mes lèvres, me mordit les joues et finit par tomber au sol tant je riais. Mon dieu la dégaine qu'elle avait avec valait tous l'or du monde ! Ou tous les cheveux. En repensant a cet événement je me relevais d'un bond et cessais difficilement de dire. Je menais un minimum a ma chevelure.
Tout a coup, Aaron - qui avait finit son trip avec Hydranos - s'approcha de moi et se mit a me parler de tel manière que je mis un moment a comprendre qu'effectivement c'était bien a moi qu'il parlait. Mes yeux papillonnèrent un moment avant que les mots prennent un sens dans mon esprit. Et qu'il m'attrape la main.
"Euuuh ouais, c'est bien ?" répondis je peu sur de moi quand a l'attitude que je devais adopter sur le moment. Non mais il me faisait quoi la ? J'étais pas de ce bord la moi ! Comment je devais faire ?
Il me fit un calin. Genre un vrai calin. Sans vraiment réfléchir, je passais une main dans son dos et le lui tapotais doucement. J'avais l'habitude de ce genre de choses avec les filles, pas avec les mecs. Bon, je n'avais pas beaucoup d'amis garçons il fallait dire, donc je ne savais peut etre pas comment cela fonctionnait. Je dois dire qu'avoir été invisible pendant 300 ans n'aidait pas a connaitre les codes sociaux.
Je serrais sa main lorsqu'il me la tendis avec un grand sourire. Il avait raison, l'amitié était plus fort que tout. Lorsqu’on avait des amis on pouvait faire face au pires situations ( même les tasses qui frappent fort sur les tables ). Rien ne pouvait nous arrêter.
"Ouais, amis".
Il s'éloigna et je le suivit des yeux avant de porter le regard sur ma main. Waouh. C'était bizarre. J'aurai bien aimé avoir quelque chose a lui donner pour sceller notre amitié ( j'avais entendu des gamins faire pareille un jours ) mais je n'avais pour le moment rien sous la main. Zut. Tout a coup je vis Hydranos chuter vers l'endroit ou était Aaron, menaçant de l'écraser ! Mon nouvel ami ! Hors de question. Je tendis la main vers lui et créais soudain un toboggan en glace qui passait juste au dessus de sa tête dans lequel Hydranos tomba et glissa jusqu'au sol, avant d’atterrir la tete la première dans un tas de neige et d'y resté bloqué, ses pieds battant inutilement l'air. Je passais a coté d'Aaron en lui donnant une petite tape amicale sur l'épaule, rassuré qu'il n'ai rien, avant d'aller vers le tas de neige et de tirer Hydranos par les jambes pour le dégager.
Aryana Cloud-Sandman
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“ Vous ne pourrez jamais comprendre.
Tout ce que je fais, je le fais pour Elliot. ”
| Conte : Hercule | Dans le monde des contes, je suis : : Aphrodite
Après avoir assisté à la course effrenée d'Anna pour échapper au lama, ainsi qu'à l'exécution de ce dernier par Hippolyte, voilà que nous avions à faire au "grand" Hydranos. Décidément, cette journée était pleine de surprises... Je roulai des yeux, constatant qu'il était éperdument amoureux de cette Yzma. Désormais, je me promettais de me renseigner sur les habitants de Storybrooke, car mes lacunes avaient bien failli tuer les autres plus d'une fois. D'ailleurs, c'était reparti... Hydranos avait joué avec "subtilité" en menaçant Hippolyte et Aaron de son ongle empoisonné. Je levai les yeux au ciel, les mains sur les hanches.
"Hydranos, cesse ça tout de suite. Tu te prends pour qui ?"
Il se prenait pour le méga boss que l'on tue à la fin du jeu, pour utiliser les termes de mon fils. Ce comportement ne me surprenait pas vraiment venant de lui. En d'autres circonstances, je me serais moquée de cet envoûtement.
"Ce que tu ressens pour cette Yzma n'est pas réel. Enfin... après tout je n'en sais rien. Je peux juste t'assurer que tu le regretteras si tu t'en prends à eux."
Je tentais de le raisonner avant d'attaquer. J'écarquillai les yeux, stupéfaite, en voyant Hydranos draguer une statue d'Yzma. Jack éclata de rire et se moqua de lui sans vergogne. Ne pouvant me retenir, je ris à mon tour, plaquant une main sur ma bouche. "Ca y est, je viens de me souvenir de la raison pour laquelle j'aimais me servir de ma Ceinture." m'esclaffai-je.
Voir quelqu'un comme lui se couvrir de ridicule était tout simplement hilarant. Jack profita de son aveuglement pour attaquer ses doubles et les transformer en glace. Il les explosa rapidement avant de se poster tout près de la statue d'Yzma, faire apparaître une épée glacée et la décapiter. L'expression faciale d'Hydranos valait tour l'or du monde. Soit il allait hurler, soit il allait pleurer.
"Reste calme." lui dis-je en avançant prudemment les mains vers lui. "On va retrouver la vraie Yzma. Je te promets qu'on ne lui fera rien du tout."
C'est ça, compte là-dessus. L'important était qu'il le croit.
Subitement, Aaron trouva la Ceinture. Aussi facilement que ça. Je fronçai les sourcils et grimaçai d'horreur en découvrant le fameux objet... qui n'avait rien à voir avec celui que je connaissais. Hélas, il l'avait déjà touchée. Une substance volatile s'en échappa et entra dans ses narines. Aussitôt, des changements survinrent sur son organisme. Il produisait des jets de toile avec ses mains ! Stupéfaite, je le dévisageai.
Pendant ce temps, Hippolyte frappait Hydranos avec sa propre chaussure ? Une seule question me traversa l'esprit : POURQUOI ? Avait-il tenté de m'agresser et avait-elle pris ma défense ? Je ne cherchais plus à comprendre.
Je m'approchai d'Aaron qui n'avait plus l'air de contrôler grand-chose.
"Ce n'est pas ma Ceinture. Pourquoi tu l'as touchée, Aaron ?" fis-je, exaspérée.
Brusquement, il lança un jet de toile sur le visage d'Hydranos. Ce dernier se tordit dans tous les sens pour s'en défaire. Aaron se prit pour un justicier enroulant Hydranos dans de la toile et en grimpant le long de la maison pour le suspendre. "Il va vraiment détester..." songeai-je à voix haute.
La vengeance d'Hydranos allait être terrible. Malgré tout, je ne pouvais m'empêcher de savourer le spectacle. Pendant ce temps, Jack avait attrapé la fausse ceinture et se moquait de moi. Je lui lançai un regard noir, même si une part de moi le trouva particulièrement craquant avec son sourire goguenard. "Ce n'est PAS ma Ceinture ! Arrête !" fis-je sans beaucoup de conviction.
Ne me regarde pas comme ça... Pourquoi tu t'approches autant ? Sans prévenir, il s'était avancé jusqu'à moi pour me passer la fausse ceinture autour de la taille, sans cesser de sourire. Une sorte de chaleur s'était emparée de moi, mais je secouai la tête et glissai une main entre ma robe et la ceinture pour la briser en deux. Elle tomba sur le sol dans un cliquetis. Je la piétinai du bout de ma chaussure avant de lancer un regard noir à Jack. "Tu ne tiens pas tant que ça à tes cheveux, toi..." dis-je d'un ton que je voulais menaçant, alors que j'avais l'irrésistible envie de passer une main dans ses boucles blondes.
Visiblement, il ne se souvenait pas de la fois où je l'avais rendu chauve car il me tapait sur le système.
Heureusement, Aaron avait fini ses pirouettes et redescendit. Cependant, il se rapprocha un peu trop de Jack à mon goût. Je m'avançai vers eux, avant de me faire violence pour contrôler ma jalousie excessive. Cet amour n'est pas REEL, bon sang ! Ils se jurèrent amis pour la vie ou quelque chose du genre, ce qui était tout à fait approprié à un moment pareil, effectivement...
Puis Aaron se décala pour se poster juste devant la porte et hurler une phrase qui me rappela Elliot. C'est alors que la toile céda et qu'Hydranos chuta droit sur lui. Jack le sauveur fit apparaître un toboggan de glace. La créature termina sa glissade dans un tas de neige dans lequel elle resta bloquée, les jambes battant en l'air. Je me précipitai jusqu'à Jack qui venait de l'en sortir, et comme je l'avais prédit, Hydranos chercha à se venger. Ce qui est tout à fait légitime quand deux de ses doubles ont été explosé, qu'on s'est fait entoilé et abusé par un toboggan géant. Je pouvais le comprendre même si il était hors de question qu'il touche à un seul cheveu de Jack. Ils étaient ma propriété. NON ! Si. NON ! Si. Roooh...
Au moment où Hydranos attrapait Jack à la gorge pour l'étouffer ou pire encore, je fis apparaître mon Marteau et le levai vers lui. "Hydranos ?" chantonnai-je. "Tu sais ce qu'est une arme divine, non ? Alors si j'étais toi, j'apprendrais à pardonner. Tout de suite."
Mes trois derniers mots étaient légèrement plus catégoriques. Je lui fis comprendre d'un simple regard que ça ne me dérangeait absolument pas de le tuer. Bien entendu, j'aurais des comptes à régler avec Arès, mais ce ne serait pas la première fois. Ce n'était pas non plus comme si cette histoire entacherait notre relation déjà bien torturée.
Il fut bien obligé de relâcher Jack. Je réfléchis rapidement.
"Bon, je crois qu'on est tous à cran. Il faut qu'on trouve Yzma avant que..."
Un bruit de moteur vrombissant mais étouffé se fit entendre. Cela provenait sans doute de l'autre côté de la villa. Je n'étais pas certaine que tous l'ait entendu.
"Trouvé." conclus-je.
Je leur tendis ma main libre pour se téléporter une dernière fois, puis je lançai un regard cinglant à Hydranos, lui faisant comprendre de ne rien faire de stupide. "Je te ramène auprès d'Yzma." lui promis-je.
J'espérais qu'il allait se tenir tranquille. Je me concentrai et nous fis apparaître dans un garage spacieux dans lequel une dizaine de voitures différentes et très élégantes étaient alignées. Je me tournai vers celle dont le moteur était allumé, une Chevrolet Corvette rouge rubis. Au volant était installée une jeune femme rousse extrêmement mince qui poussa un cri strident en nous voyant. Vivement, elle détacha la main du volant pour appuyer sur un bouton sur le tableau de bord. Dans le même temps, je lâchai tout le monde pour me focaliser sur Hydranos et le maintenir contre le mur, le Marteau levé par-dessus sa tête. "Ne fais pas apparaître tes doubles, c'est un conseil." lui dis-je. "Je serai plus rapide à t'aplatir que toi à jouer au plus fort."
Aussitôt, j'entendis un gros bruit pétaradant dans mon dos. Je tournai la tête pour voir une multitude de parpaings en métal sortir du coffre de la décapotable et s'assembler tout autour de la voiture à une vitesse hallucinante. En moins de cinq secondes, la Chevrolet Corvette disparut dans un espèce de bunker en métal blindé. Yzma était à l'intérieur, son rire strident et triomphant nous parvenant de façon étouffée. Je sentis Hydranos remuer mais je rapprochai le Marteau vers son front, prête à l'effleurer. Ca risquait de lui faire très mal si je remuai ou s'il me forçait à bouger. L'ombre d'un sourire malicieux traversa mes traits.
"Essayez de la faire sortir de ce truc, je ne peux pas m'écarter de cet imbécile sinon il risque de vous tuer." expliquai-je avec agacement.
Je leur lançai un bref regard encourageant. Aaron, Hippolyte, Jack et Anna confrontés à un bunker qui renfermait une rousse complètement cinglée ainsi qu'une voiture. Logiquement, elle ne pouvait pas s'échapper. "Vous êtes plus forts qu'elle. Vous pouvez y arriver." leur dis-je. "C'est juste une folle qui s'emmure elle-même. Tout doux, Hydra."
J'avais murmuré mes derniers mots à la créature qui n'avait pas apprécié ma petite pique à l'encontre de sa "dulcinée".
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Anna D'Arendelle
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J'avais, envie d'envoyer boulé Hippolyte, j'en avais, vraiment plus qu'envie. Sauf, que je me retins, même, si j'étais énervée, même si j'en avais, marre, je devais, rester calme. Un, type peroxydé, surgit tout à coup, et se mit à prendre Hippolyte, et Aaron, en otage à l'aide, de double, avant de...draguer, la statu d'Yzma. C'était donc lui, le fameux Hydranos, et ben il était pas franchement, fut-fut, sans vouloir être méchante, et dire qu'il était carrément, débile.
Bien, évidemment, Jack, se moqua, de lui, il ne laissa, pas passer, une si belle occasion. Et, je pouvais, pas franchement, lui en vouloir, j'étais, un peu, dans le même état. Je , me retenais, à grand peine, le spectacle, était la hauteur du personnage fallait dire. Et, d'ailleurs, Aryana, sembla, elle aussi l'apprécier. C'est, sur que ridiculiser, les grands idiots, comme semblait, l'être Hydranos, pouvait, être un passe temps, assez attirant. Jack, en profita d'ailleurs, pour détruire, les clones, et décapité la statu d'Yzma. Nous, ravissant, encore d'une expression, bebête, du grand blond.
Pendant, qu'Aryana, essayait de calmer, Hydranos, Aaron, trouva la ceinture d'Aphrodite, sauf qu'à voir son expression, ce n'était pas du tout, sa ceinture. D'un côté, même, si je ne la portait, pas franchement, dans mon cœur, ça restait, la déesse de l'amour. Et, je l'imaginais, mal, avoir si mauvais goût, alors, qu'elle semblait, toujours très propre sur elle, limite, à faire la traque, au moindre, cheveux, qui dépasserait, de sa coiffure. Quoi qu'il en soit, fort de sa trouvaille, il la toucha, avant qu'un liquide visqueux, ne s'échappe de ses mains. Je, ne sais, pas qui avait mit, cette fausse ceinture, mais, apparemment, ça devait être un grand fan de Spiderman. Et, c'est d'ailleurs, ce pourquoi se prit, le demi dieu, puisqu'il envoya, un jet, de toile dans la figure d'Hydranos, qui d'après les dires,d'Aryana, hésiterais, pas à se venger.
Alors, pendant qu'Aaron, s'occupait, de la bestiole peroxydé, et que Jack, se moquait, royalement,d'Aryana. Moi, je me massais, les tempes, parce que ce n'était franchement, pas ma journée. Je saturais, réellement. Je voulais, qu'on trouve cette cinglée, d'Yzma, ainsi que la ceinture, et que chacun reparte de son côté, et n'ai plus de contacte, avec les autres.
Enfin, Aaron, avait finalement, finit de se prendre pour Spiderman, et redescendit, pour parler, amitié avec Jack, ah évidemment, dans ces cas là, il y a pas de « oh c'est vraiment le moment », de la part d'Hippolyte ou que sais-je d'autres. Je, décidais, de passé outre, de toute façon, quand la toile retenant Hydranos, céda, et que Jack s'en donna encore une fois, à cœur joie, pour bien le ridiculiser.
Quoi, qu'il en soit, la déesse intervint, pour essayer de calmer le jeu, et nous, téléporta tous, dans un garage, effectivement, on était tous à cran, et on avait tous envie que ça s'arrête. Sauf, qu'on n'étais, hélas pas au bout de nos peines. Puisqu'Yzma, poussa un cri strident, tout en appuyant, sur un bouton, et que finalement, elle se retrouva, dans un genre de bunker. Là, ça suffisait, je sentais, le sang, battre mes tempes, tandis que je serrais, la machoir, j'étais sacrément, énervée, comme je, ne l'avais, jamais été. Pas, à ce point.
Aryana, nous encouragea, à s'occuper du bunker, pendant que elle, maintenait, Hydranos hors de portée :
- Avec plaisir ! M'exclamais-je. Viens, Aaron, j'ai besoin de l'aide de quelqu'un ayant, plus de force, que moi.
Je lui expliquais, brièvement, ce que j'avais, l'intention, de faire, et donnait, un premier coup, avec mon épée, contre les portes blindés, qui se déformèrent, légèrement, sous l'impacte, puis laissais, Aaron, frapper, à son tour, réussissant, ainsi à former un trou, d'une certaine grandeur : - Venez nous aider, dis-je à Hippolyte et Jack, si on s'y met tous les quatre, on arrivera à faire sortir, cette cinglée de son trou.
Et j'avais, très envie de le faire, histoire de lui mettre mon épée sous la gorge. On, allait voir, qui faisait honte aux rousses, moi au moins, je me battais, je ne me cachais, pas derrière les autres, parce que j'étais, trop lâche.
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Jack Overland
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J'avais aidé Hydranos a sortir de la neige. J'avais été sympa, il aurai pu finir les dents dans le gravier, mais comme j'étais un brave type, j'avais amortis sa chute. Anna avait elle vu ca ? J'étais hilare, mais ce que je n'avais pas prévu c'était qu'il me prenne soudain a la gorge pour me faire payer ma petite blague. Je ne pouvais m’empêcher de sourire. Les gens manquaient cruellement d'humour ma parole !
Heureusement pour moi, il me libéra grace a Aphrodite Je dus me retenir de lui faire un clin d'oeil pour la remercie. J'en avais assez vu avec Anna merci bien. Nous nous rendîmes de l'autre coté de la maison dans un garage dans le quelle une femme rousse se trouvait, visiblement prête a se carapater.
"Hey c'est pas sympa de pas rester !" lâchais je jute avant de voir la voiture dans laquelle elle était se changer en bunker sur roues. "Mais c'est trop cool ce truc ! Je veux la même chez moi ! " J'avais grimpé dessus et donné un petit coup avec mon bâton pour voir si c'était solide ou non. Parce que franchement vu de l’extérieur ca avait vraiment la classe ! De la ou j'étais je voyais tout le monde. Aryana qui plaquait Hydranos contre un mur - a croire qu'elle voulait faire des choses interdites aux moins de 12 ans devant nous !- et Anna qui cherchait une solution pour ouvrir le bunker.
Je fis un petit bond sur le coté pour lui laisser, avec Aaron, le champ libre. Comme prévu elle attaqua le bunker.
"Vas y Anna !" Fis je quand elle frappa le tas de ferraille. Aaron agrandit le trou - il était vraiment plus fort que prévu celui la...- et j'allais l'en féliciter quand tout a coup la porte du garage s'ouvrit lentement et que le Bunker se mit a avancer vers la sortie. J'attrapais rapidement Anna par la taille et Aaron par le col pour les tirer en arrière afin qu'ils ne se fassent pas écraser, avant de suivre du regard le mini tank. Elle voulait s'échapper ? Elle rêvait !
Je lâchais mes amis prestement ( j'étais un gentleman moi, je ne voulais pas qu'Anna pense le contraire, même si la sentir contre moi m'avait fait sentir tout drôle ... ) et m'envolais pour aller me placer face au bunker qui sortait du garage.
"Vous en faites pas, je m'en occupe !" fis je avec un petit salut de la main.
J'entendais Yzma me bailler de dégager de sa route mais n'en eut cure. D'un geste brusque je frappais mon bâton sur le sol et gelait celui ci, créant ainsi des plaques de verglas. Le bunker, lourd, sembla hésiter un instant avant de glisser a une vitesse folle vers moi. J'attendis le dernier instant pour me décaler et le vit percuter avec violence un arbre un peu plus loin. Les mains au fond des poches, je regardais les autres.
Vous venez ou quoi ?
Aryana Cloud-Sandman
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“ Vous ne pourrez jamais comprendre.
Tout ce que je fais, je le fais pour Elliot. ”
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Aaron et Anna s'en donnaient à coeur joie contre le petit bunker. Ils avaient réussi à créer un trou, encore un coup ça serait bon. Cependant, la porte du garage coulissa et de petites roues apparurent sous le bunker qui se suréleva légèrement pour avancer vers la sortie. C'est alors que Jack surgit et se plaça devant le bunker pour lui bloquer la route. Yzma eut beau protester, il n'avait pas envie de la laisser s'en aller. Il assena un coup de bâton contre le sol qui gela instantanément. Le bunker resta statique avant de glisser sur les plaques de verglas, d'abord lentement puis de plus en plus vite. Jack s'écarta au dernier instant pour ne pas se faire écraser, et le bunker percuta un arbre du jardin. Le végétal émit un craquement mécontent mais resta droit et digne.
J'observai le spectacle depuis le garage, la tête penchée vers l'ouverture, tenant toujours Hydranos en respect.
Une fumée noirâtre s'échappait du bunker éventré qui ressemblait à une boîte à sardines géante et gondolée, désormais. Je plissai des yeux, me concentrant un instant avant de dire :
"La Ceinture est à l'intérieur. Je la perçois !"
"Gardez-la ! Je trouverai autre chose de bien mieux la prochaine fois !" caqueta une voix forte et méprisante, depuis le bunker.
Yzma. Apparemment, cette femme ne s'avouait jamais vaincue. Je laissai échapper un soupir, jetant un regard exaspéré à Hydranos qui n'en semblait que plus brûlant.
Une explosion puissante me sortit de mes pensées. Le choc fit trembler le sol et se répercuta en écho dans tous les environs. Médusée, je me penchai de nouveau vers la porte ouverte du garage et...
... ce que je vis me laissa sans voix. En cinq millions d'années, je croyais tout connaître, mais j'étais à la fois choquée et époustouflée d'être surprise par une espèce de folle qui ne reculait devant rien. Ma bouche s'entrouvrit d'étonnement tandis que mes yeux s'agrandissaient.
Dans un roulement digne d'un tonnerre ultra puissant, Yzma jaillit hors du bunker à la vitesse de l'éclair. En guise de véhicule, Elle était collée au fond de son siège de voiture, seulement retenue par une ceinture de sécurité. Pas de carrosserie, pas de protection, uniquement le siège. Elle monta en piqué vers les nuages dans un hurlement strident qui aurait eu de quoi réveiller mes frères morts, laissant une traînée enflammée dans son sillage.
"Un siège éjectable..."murmurai-je, stupéfiée.
En quelques secondes, elle disparut à travers un cumulus et son cri s'atténua. Elle devait être bien trop loin. L'intensité de sa montée équivalait celle d'une fusée. Jamais elle n'y survivrait. C'était insensé ! Elle était peut-être déjà en train de retomber dans l'Etat d'à côté !
Je secouai lentement la tête de gauche à droite, médusée par une telle stupidité. Hydranos répliqua quelque chose qui ne me donna qu'une envie : lui coller une tape au sommet du crâne. Hélas, il en faudrait plus pour le guérir de son amour inconditionnel.
"La Ceinture est toujours dans le bunker." appris-je aux autres. "Elle n'est pas partie avec, sans doute que ça ne l'amusait plus."
La mine sombre, j'attrapai Hydranos par le col de son tee-shirt et l'entraînai jusqu'au jardin pour rejoindre les autres, mon Marteau toujours en main au cas où.
L'éjection d'Yzma avait laissé un trou béant au milieu du bunker. Aaron, en parfait aventurier, s'y glissa et brandit la Ceinture quelques instants plus tard d'un air triomphant.
Je respirai mieux en voyant mon bien avec l'apparence qui convenait : une ceinture en argent, sertie de saphirs et de motifs discrets représentant des cygnes, des colombes, des moineaux, des tourterelles et même un dauphin. Je me souvins avec tendresse du jour où Héphaïstos l'avait sortie des flammes de sa forge pour me la montrer. C'était un présent, un gage de son amour éternel. Il l'avait créée pour que je ressente à quel point il m'aimait, mais la Ceinture, associée à mon don naturel, avait développé un pouvoir bien trop néfaste... Mon frère avait voulu dessiner d'autres animaux dans le métal brûlant, comme un lièvre et une tourterelle, mais je lui avais dit qu'elle était parfaite ainsi.
Je la pris des mains d'Aaron pour la tenir un instant, songeuse, passant mon pouce contre la rainure sur laquelle Héphaïstos avait buté lorsqu'il avait gravé le cou du cygne. "Difficile à dompter, le cygne. M'a toujours volé entre les doigts." avait-il dit tout en baissant les yeux sur ses mains noires et rugueuses.
Je les lui avais prises et serrées dans les miennes, puis je lui avais promis que jamais je ne tenterais de lui échapper. Tant de mensonges. Héphaïstos était un artiste avec une âme d'enfant, j'avais profité de sa candeur pour lui extraire tout son talent et me l'approprier. J'aurais aimé me racheter auprès de lui, mais je savais que jamais je ne pourrais le faire.
Dans un souffle, je pressai le saphir le plus à droite sur la Ceinture. Il s'enfonça légèrement et j'eus aussitôt l'impression de mieux respirer. Un regard à chacun m'apprit que tout était rentré dans l'ordre. Je jetai un coup d'oeil vers Jack et constatai avec soulagement que je n'éprouvais plus qu'une vague rancoeur envers lui, et plus aucune forme d'amour quelconque. Ce n'était pas trop tôt !
D'un geste, je fis disparaître ma Ceinture et la rangeai dans un lieu adéquat, de même pour mon Marteau, et me tournai vers Hydranos.
"Ca va mieux ? Tu n'as plus envie de nous démolir pour avoir touché à ta "dulcinée"?"
J'esquissai un sourire narquois, qui s'estompa bien vite en apercevant Hippolyte s'écrouler sur elle-même. Il est vrai qu'elle me semblait bien trop effacée, j'aurais dû me rendre compte que quelque chose n'allait pas. Elle était sous ma responsabilité. Je me précipitai vers elle, m'agenouillai et posai sa tête sur mes jambes repliées. Je tapotai ses joues pour la faire revenir à elle, mais son visage perdait déjà ses couleurs. Ses lèvres prirent peu à peu une teinte violacée. Une boule d'angoisse se forma dans mon ventre, car plus encore que son apparence, autre chose m'étreignait le coeur : je venais de sentir très nettement un pouvoir divin s'éteindre, comme une étoile qui se consume et... meurt.
Un détail attira mon attention sur sa nuque. Je la tournai délicatement et remarquai une petite piqûre sur sa peau.
"Ton venin." dis-je à Hydranos sans le regarder. "Il s'est répandu dans ses veines."
Cela devait dater du moment où Jack avait transformé les doubles de la créature en glace, mais trop tard. Une seconde trop tard. Hippolyte n'avait rien dit, peut-être qu'elle n'avait rien senti. "Porte-la auprès d'Arès. Il saura quoi faire." décidai-je en reposant doucement la tête de Hippolyte sur le sol.
Je n'étais pas certaine qu'il soit capable de résoudre le problème, mais je ne voyais pas d'autre solution. Je me relevai, fixant ma nièce inconsciente en me mordant les lèvres.
"Dis-lui que tout est de ma faute. Dis-lui..."
Je détournai mon regard pour observer les autres.
"Elle va bien, ne vous en faites pas pour elle. Elle va très bien. Sa vie n'est pas en danger." assurai-je avec un sourire confiant.
Elle va bien, oui mais... elle ne sera jamais plus la même.
"Elle est juste endormie. Son rythme cardiaque est normal. Elle va revenir à elle. Je veux qu'elle soit auprès de son père quand ça arrivera. Hydranos, tu peux faire ça pour moi, s'il te plaît ?"
Il allait de soi que j'aurais une dette envers lui. Quelle chance...
Je fermai brièvement les yeux avant de tendre les mains vers les autres.
"Nous n'avons plus rien à faire ici."
Je les téléportai ailleurs, dans mon salon, chez moi. Le matin même, j'avais commencé à le décorer en vue de la fête qui avait lieu le soir. Des banderoles pendaient lamentablement sur le sol, à moitié accrochées, des ballons dégonflés jonchaient le sol. Je pris une grande inspiration et tapai dans mes mains, le regard fermé. Aussitôt, la décoration fut merveilleuse. Une boule à facettes brillait au plafond et projetait des paillettes de lumière sur les murs. Les ballons multicolores étaient suspendus dans un filet, prêts à être lâchés. Différentes boissons et mignardises s'étalaient sur les différentes tables. Les canapés avaient été poussé contre les murs afin de laisser de la place. "Il est dix-neuf heures et j'ai envie de me changer les idées." déclarai-je par-dessous une mèche rebelle. "C'est normalement maintenant que ma fête commence."
Je les fixai simultanément, les mains dans le dos, avant de reculer d'un pas et d'ajouter, la tête penchée :
"Bien sûr, je comprendrais que vous préféreriez vous éloigner le plus vite possible de moi. Je peux très bien m'amuser toute seule, mais ça sera moins drôle."
Pour les inciter à rester, la chanson "Get this party started" de Pink retentit brusquement dans les haut-parleurs. J'ajoutai avec une once de légèreté -que j'espérais convaincante : "Et si pour une fois, au lieu de se sentir gêné, on riait de tout ça ? Promis, plus de Ceinture. Elle est en sûreté pour toujours."
En guise de réponse, Pink répliqua dans les haut-parleurs :
"I'm coming up so you better get this party started!"
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Anna D'Arendelle
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On, y était presque, un peu plus, et toute cette histoire prendrait fin, je pourrais, rentrer, tranquillement, chez moi, prendre un bol de glace, et du chocolat chaud, pour oublier toute cette histoire. Sauf, que j'aurais dût, me douter, que les choses, ne se passeraient, pas ainsi. Alors, qu'Yzma, annonçait, que l'on pouvait bien, garder la ceinture, et qu'elle trouverait autre, chose, je levais, les yeux au ciel. Elle, était vraiment bête ou elle le faisait exprès ? Je, me posais, vraiment, la question. Elle, devrait songer, à consulter, et surement, pas Aloysius Black, lui aussi dans le genre cinglé il était pas mal. Il, cachait, forcément, quelque chose, il était trop louche, pour être honnête. Mais, ce qui me laissa, totalement, médusé, fut lorsqu'Yzma, s’éjecta, du bunker. Je, la vis s'élever, dans les airs en poussant un cri strident : - Elle a vraiment un grain dis-je totalement, scotché
Je savait, ce qu'on disait sur ce genre de personne : ça ose tout, et c'est même à ça, qu'on les reconnaît, mais de là, à s'auto éjecter, pour nous échapper, il lui manquait, non pas une mais plusieurs cases. Quoi, qu'il en soit, j'allais, me tourner, vers Hippolyte, pour la remercier, de sa « précieuse » aide, lorsqu'Aaron, revint, avec la vrai ceinture cette fois-ci. Mais, voir son état, me glaça le sang. Elle, ne pouvait pas mourir, elle était coriace. Je, jetais, un regard angoissé, à la déesse, qui essayait, de nous rassurer, sauf que ça se voyait, qu'elle ne l'était pas vraiment, elle non plus. J'espérais, qu'Hippolyte, allait s'en sortir, j'espérais, que son père, saurait quoi faire, et qu'elle serait à nouveau en pleine forme. Quoi, qu'il en soit, un nœud se forma, rapidement, dans mon estomac. Je, n'avais, jamais, été réellement, amoureuse, mais, ça n'atténuait, en rien, la douleur, que je ressentais. On, m'avait à nouveau brisé, le cœur, même involontairement, même, si ce n'était, pas réel, ça ne changeait rien. Ça, ne voulait, signifier, qu'une chose : l'amour et moi ça fait deux. Je, n'étais, certainement, pas faite, pour ça. La preuve, étant, que lorsque, je tombais, amoureuse, même si c'était, dût à une ceinture, je finissais, immanquablement, toujours par me faire briser le cœur.
Mes, yeux me piquaient, aussi clignais-je, plusieurs, fois, pour que les larmes, qui manquaient, de monter, ne viennent pas. Hors, de question, c'était finit. J'avais, dit que je devais, arrêter, de m'en faire, pour ce genre de choses. Il, y avait, beaucoup, plus important, dans la vie, que d'être amoureuse, d'avoir quelqu'un. Je, devais, me concentrer, sur mon travail, pour m'améliorer, et je devais, également, renouer avec Elsa, lui dire, très clairement, qu'à un moment, c'était, stop. J'avais, pas envie, qu'elle me fuit, jusqu'à la fin des temps, juste à cause de son pouvoir. J'étais, solide, la preuve, même après tout ce qu'il venait, de m'arriver, je tenais, encore debout. Il, fallait, arrêter, de me considérer, comme une petite chose fragile.
A nouveau, nous changions, d'endroit, nous étions, manifestement chez Aryana. Un, bref coup d'oeil, à la décoration, me rappela, le début de mâtiné. Oui, c'est vrai, elle avait dit, qu'elle organisait, une fête, j'avais, encore le prospectus, froissé, dans mon sac à dos. D'ailleurs, parlant, de lui, il était, temps, d'y ranger, mon épée.
A nouveau, je l'enlevais, de mes épaules, et l'ouvrit, pour en sortir, le fourreau, de mon épée. Un, léger, sourire se dessina, sur mes traits, quelque chose, me disait, que ce n'était, pas la dernière fois, que je me servais, d'elle.
Avec, un geste, sec, je rentrais l'épée, et la remit dans mon sac. Tout, en observant, les autres, après, tout, une petite fête n'a jamais, tué personne. Prenant, une grande, inspiration, je me dirigeais, vers Jack et Aaron :
- On, a tous, été sous l'emprise, de cette ceinture, tous sans exception, dis-je en jetant, un coup d'oeil en coin à la déesse. Alors, oui, en y repensant, ça peut-être affreusement, gênant, mais, on va pas être gêné, toute notre vie. Rien, ne nous empêche, d'être amis, vous en pensez quoi ?
Je, leur tendit, la main, attendant, quelques secondes, avant, qu'ils ne se décident, à la serrer. Me tournant, cette fois-ci, vers Aryana, je croisais, mes bras sur la poitrine, avant de finalement, lâcher :
- On va dire, que c'est oublier
Je pouvais, exceptionnellement, lui pardonner, pour avoir, tenté de me tuer, on a qu'à mettre ça, sur le compte, de cette maudite ceinture. J'espérais, qu'elle l'enfermerait, à double tour, dans un coffre fort, ou je ne sais quoi, mais, ce truc, était trop dangereux :
Quoi qu'il en soit, avec la fête, les invités, commencèrent, à arriver, je préférais, rester, discuter, avec Jack, je ne connaissais, à première vu personne, je vis, juste qu'Aryana, semblait, taquiner, une femme blonde, qui venait d'arriver :
- Apollon, m'a forcée à venir répliqua d'ailleurs, cette dernière, à une remarque de celle qui organisait, la fête.
Ça, sentait, la mauvaise foi, à plein nez, mais, ce n'est certainement, pas moi, qui en ferait, le commentaire
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Anna : 70%
Jack Overland
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| Conte : Les 5 légendes | Dans le monde des contes, je suis : : Jack Frost
J'étais ... Fiere de moi. C'était le moins que je puisse dire. Je venais de mettre KO un méga Tank. Et cette Yzma me plaisais de plus en plus. Non, vraiment, qui n'aimerai pas une femme qui avait un siège éjectable dans sa voiture ? Elle était un génie !
J'avais reculé de quelques pas et levé les yeux vers le ciel. Pendant un instant j'avais eut envie de m’élancer a sa suite,mais quelque chose m'avait retenue. Anna.Je ne voulais pas qu'elle soit bléssée si je a laissais seule a nouveau. Par contre la prochaine fois que je la croisais, j'allais me faire un plaisir de lui demander ou elle avait eut un machin pareille. Je m'imaginais déja l'avoir installé sur la camionnette de Jeannot et le voir s'élever dans les aires en hurlant. Pas facile d'avoir le vertige que voulez vous.
Aaron sauta dans le bunker tendis que je me mettais a genoux sur le toi pour passer ma tête dans le trou et observer l’intérieur. Il en ressorti rapidement avec la ceinture qui était ... beaucoup moins drôle comme ca. Ou étaient passés les cœur roses et les paillettes kitch ? Moi j'appelai ca de la publicité mensongère.
Tout a coup, j'eus l'impression qu'on me retirais un poids des épaules et je vis le monde avec un oeil nouveau. Je jetais un coup d'oeil vers Anna et constatais avec soulagement que je ne pensais plus a la possible maison que nous aurions eut, nos enfants gambadants devant. Beurk. Je m'étirais un coup, histoire de voir comment se portaient les autres quand soudain, Hippolyte s'écroula sur elle même.En deux secondes je fus a ses cotés et fixais anxieusement son visage espérant y voir une quelconque amélioration.
Lorsqu'Aphro' annonça que c'était la cause du venin d'Hydranos, je frappais du poing ur le sol en me mordant la lèvre, dégouté. Je n'avais pas été assez rapide, j'avais échoué. Encore. Pourquoi étais je incapable de faire quelque chose correctement ? Pitch avait raison, je gâchais toujours tout. Je me relevais et fis quelques pas en arrière, laissant Hydranos emporter Hippolyte. Au moins ce n'était pas mortel.
Aryana nous téléporta a nouveau et nous atterimes dans ce qui semblait être sa demeure. En avisant la décoration, j'eus un sourire narquois, mais avant même d'avoir pu lui proposer de l'aider ( contre "rémunération" bien entendu" ) elle mit tout en place d'elle même. Et comment je faisais moi maintenant pour lui demander un truc en échange de mon aide ? La vie était injuste.
"Bien sûr, je comprendrais que vous préféreriez vous éloigner le plus vite possible de moi. Je peux très bien m'amuser toute seule, mais ça sera moins drôle."
Aie. Ca ca me faisais mal. Je soupirais tout en passant une main dans mes cheveux.
"Crois moi, c'est pas drôle du tout d'être tous seul. Mais bon puisque je sais que tu ne peux pas te passer de ma présence et que tu as confirmer que j'étais le meilleur glacier de la ville, j'accepte, dans mon immense générosité, de rester. Et qui ferait une fête sans le gardien de l'amusement ?"
Je m'étais avancé vers elle et lui avait ébouriffé le cheveux avant de prendre la fuite en reculant de quelques pas. J'avais tourné ma phrase en ridicule mais le message principale était la : je restais. Je n'étais pas doué pour consoler "sérieusement" les gens. Je préférais de loin les faire rire, les agacer, faire en sorte qu'ils oublient leurs malheurs passés et vivent le présent dans la joie.
Je me tournais en suite vers Anna et, en entendant son petit discours, ne pu m’empêcher de sourire. J'attrapais alors sa main et la tournais pour y déposer un léger baiser. On ne changeait pas les vielles habitudes, même si c'était en toute amitié.
"Je suis tout a fait d'accord, ce serait un réel plaisir de te revoir en d'autres circonstances." Je jetais un coup d'oeil a Aaron, avant d'ajouter "Vous n'aurez qu'a passer a la boutique tous les deux, je vous ferai un prix".
Les invités et squatteurs commencèrent a arriver et je partis chercher des boissons pour mes nouveaux amis. Rien que d'y penser me rendait heureux. Je revins vers eux et discutais avec Anna, tout en profitant de la fete. Il ne me fallut pas longtemps pour apprendre que la copine de Pitch était la. J'avais observer la blonde de loin,sans vouloir trop m'approcher, essaayant de voir si elle avait été lobotomisée par lui. Apparemment non. Ce qui ne m’empêchai pas de rester sur mes gardes.
Phoebus Light
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| Avatar : Alexander Skarsgård
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what could it be worse ?
| Conte : Hercule | Dans le monde des contes, je suis : : Apollon, dieu de la divination, des arts, de la lumière.
Il avait remarqué l'affiche en moins de temps qu'il n'en fallait pour le dire. Ses occupations à la mairie terminée, en début d'après-midi, il était tombé sur cette jolie feuille chiffonnée par le vent placardée sur une vite. Ses yeux s'étaient grands ouverts, un sourire un peu trop expressif s'était dessiné sur ses lèvres et il n'avait pas prit le temps de marcher, se téléportant directement à la maison.
« ARTEMIS ! »
Sa voix montait légèrement dans les aiguë quand il préparait quelque chose. L'excitation, certainement, on peut dire ça. Il n'avait pas attendu sa sœur au rez-de-chaussée, montant directement la rejoindre, peu importe si elle était occupée. Il s'agissait d'un état d'urgence. D'un cas extrêmement spécial. Cela ne pouvait pas attendre.
Pendant au moins vingt minutes – sans aucune exagération – il déballa un flot de paroles improbable. Aryana organisait une fête ce soir même. Depuis qu'il était revenu d'Olympe, il ne l'avait pas croisé, la voyant seulement de loin. Elle avait disparu au moment même où lui était arrivé, revenant peu de temps après pour disparaître à nouveau... Beaucoup trop de faits les avaient empêcher de pouvoir se revoir, rien que pour discuter, de tout ce qui avait pu se passer pendant toutes ses années. Il savait à quel point elles étaient proches, elle et Diane, bien qu'il ignore certainement beaucoup de choses concernant leur relation. Mais elle ne pouvait pas lui refuser ça. Le dieu de la divination était surtout rattachée à sa jumelle, sans contexte, tout comme à Arès récemment. Le reste de sa famille... Il ne les connaissait que trop peu. Étant donné les événements qui se présageaient dans un futur plus ou moins proches, il voulait au moins améliorer ceci avant qu'il ne soit trop tard. Il ne voulait avoir aucun regrets.
« S'il te plaît, viens avec moi ! Tu sais très bien que ce sera beaucoup moins amusant si tu ne m'accompagnes pas... »
Son regard en disait loin, avec ce petit rictus au coin de sa bouche, malicieux. Il fallait bien qu'elle vienne si elle voulait l'empêcher de faire des bêtises non ? Ce n'était qu'un prétexte qu'il lui offrait pour qu'elle ait une excuse à sa présence. Elle n'était pas du genre à assister à des... fêtes, en fait. Elle était plus isolée. Elle ferait une exception, cette fois, il en était persuadé en voyant son expression changée. Si elle semblait exaspérée de son comportement et le blâmer pour ses gamineries et son chantage implicite, il était sûr, au fond de lui, qu'elle était bien heureuse de revoir leur sœur dans des circonstances moins dramatiques qu'à l'habitude.
« Faut que je prépare un gâteau ! »
Il s'était rué dans la cuisine sans plus attendre. C'était étrange, venant de lui, de faire un petit cadeau comme ça, mais d'un côté il n'avait pas vu Aryana depuis... quoi, presque trente ans ? C'était un événement à marquer d'une pierre blanche, où en l'occurrence de jolies petites pâtisseries. Il fallait néanmoins remarquer le talent du dieu dans ce domaine qu'il n'a pour autant pas eu la chance de développer au maximum... Ces cupcakes étaient sublimes ! Un fabuleux petit goût de fraise, une présentation remarquable, la touche rose évidemment pour la déesse de l'amour, puis elle était la « reine » de la soirée donc la couronne était de mise en décoration. Sinon ça n'avait pas de sens... D'accord. Il avouait. Artémis l'avait grillé tout de suite de toute façon. Le plan de travail n'avait pas une seule tâche, le four était encore en un seul morceau et la vaisselle bien rangée. Il n'aurait pas réussit à le cacher très longtemps. Il avait juste lu la recette sur internet en essayant de la comprendre pendant une bonne demie-heure avant de se décider à abandonner et d'aller acheter le tout à la pâtisserie du coin.
Phoebus avait passé le reste du temps avant l'heure fatidique à faire les cents pas dans la maison, finissant par se calmer en s'entraînant sur Mario Kart. Mine de rien, ça défoulait bien. Alors pas la peine de préciser que lorsqu'Artémis avait annoncé qu'il était temps d'y aller, il avait simplement attrapé sa boîte de gâteaux, sa veste pour faire comme tout le monde, et s'était directement téléportée devant la porte de la maison d'Aryana. Impatient ce monsieur.
« Bonjouuuur ! »
Il avait posé son manteau directement à l'entrée sans même l'avoir porté, remarquant la présence de plusieurs personnes dont il ne connaissait pas l'identité. Il les détailla chacun un moment, son expression joyeuse et extasiée ne faisant que s'accroître au fil des secondes, allant poser ses cupcakes dans un coin libre. Il avait dessiné un jolie cœur sur le dessus. C'était beau. Tandis que Diane se dirigeait vers l'hôte de la soirée, le premier que lui remarqua, se fut Judah. Se glissant parmi les autres participants, il se fraya un chemin dans le dos de son frère, passant son bras sur son épaule en poussant un soupir de contentement.
« Ça faisait longtemps, Juju. »
Pas faute d'avoir essayé de le trouver dans sa fameuse boîte pourtant, à croire qu'il l'évitait. Maintenant qu'il l'avait sous la main, il allait vraiment pouvoir s'amuser.
« J'ai pas fais de fêtes depuis longtemps... à ce qu'on m'a dit, c'est différent maintenant. Plus le droit d'enlever ses vêtements – du moins pas directement, pas de vin à verser sur les jolis corps des invitées et pas d'orgie à la fin. C'est triste... mais j'aime bien ce style aussi. »
La décoration lui plaisait plutôt et l'ambiance qui régnait semblait joyeuse, c'était tout ce qu'il lui fallait. Il n'avait pas besoin de plus et puis... il était rouillé, depuis le temps, ne pas finir en orgie ça devait pas être si mal. Avec une dernière petite tape sur Hadès, le dieu s'éloigna lentement en direction du blond qui tenait plusieurs verres. Sans gêne, il lui en prit un avec un petit clin d’œil. Il ne connaissait absolument pas cette personne mais le remerciait intérieurement de lui avoir éviter de devoir aller se servir lui-même. Ne restait plus maintenant qu'à oublier cette capacité à résister à l'alcool naturelle – et assez ennuyeuse, à dire vrai – et faire comme s'il était... normal. Ce serait totalement psychologique, mais il ne finirait pas cette soirée sobre.
Il resta un moment planté là, commençant à boire tranquillement le contenu de son verre, en ne lâchant pas du regard l'inconnu. Il se voyait en peu en lui. Physiquement déjà, même s'il était plus petit. C'était difficile de faire sa taille, aussi, pas de sa faute.
« Je t'aime bien. »
Il prononça juste ses mots, avant de se détourner et de se rendre près de ses deux sœurs favorites. Il perçut clairement l'excuse d'Artémis qui lui fit lâcher un petit rire. Ce n'était pas un mensonge... mais pas non plus l'entière vérité.
« Je ne vous dérange pas mesdemoiselles ? »
Ses yeux se posèrent directement sur Aryana. Il se souvenait de cette apparence, elle n'avait pas beaucoup changé si ce n'est dans le style vestimentaire. Par contre... son visage, son regard... Elle avait vécu des choses. Il en connaissait certaines. Il n'aurait pas l'audace de prétendre tout comprendre, mais la voir ainsi ne faisait que confirmer ses envies. Il voulait soutenir sa famille, non plus observer en silence.
« Je te l'emprunte quelques petites minutes, d'accord ? »
Diane comprendrait, il le savait. Il ignorait quand est-ce qu'il pourrait recroiser Aryana, leur destin étant bien trop instable, alors il termina son verre d'une traite avant de le poser, prenant sa sœur par le bras. Même s'ils n'avaient jamais été très proches, Apollon l'appréciait énormément. Ils étaient liés, de base, sans le vouloir, par leur physique – les plus avantageux de la famille, qu'on ne se le cache pas – et leur fonction. Déesse de l'amour, Dieu de la beauté... on ne peut pas dire que ça ne se rejoint pas. L'amour, c'est beau, non ?
« Mine de rien, je dois bien avouer que tu m'as manqué, Aphrodite. »
Finissant par prendre sa main, il l'éloigna un peu du groupe tandis que la musique continuait à s'élever dans le grand salon. Il se permit d'ouvrir la baie vitrée – il devait bien dire que la maison de leur sœur était plutôt jolie. Il devrait demander une chambre d'ami, ici, au cas où Diane finisse par ne plus le supporter... ce qui arrivait régulièrement.
Sans prévenir, il attira Aryana au dehors, passant l'une de ses mains à sa taille et remontant l'autre qui tenait toujours sa main dans la sienne, commençant à la faire tourner sur elle-même. Pas la peine de préciser que le rythme ne s'y accordait absolument pas, mais il n'en avait que peu faire.
« J'ai amené des gâteaux. Comme cadeau. J'ai loupé beaucoup d'anniversaires, je voulais un peu me racheter. » Même si dans leur famille, les anniversaires n'étaient pas si marqués... trop nombreux. Mais le cadeau de Louise à Diane, il y a peu de temps, lui avait donné envie de faire de même. Après tout, il n'en aurait plus beaucoup. « La préparation de cette soirée n'a pas été trop rude ? » Avec ces capacités, certainement pas. Mais son instinct lui disait que tout ne s'était pas déroulé comme prévu... « Je peux te faire un autre cadeau... je pense. »
Soudainement, son expression se changea. Bien plus joueuse, plus mystérieuse. Si Diane le voyait à l'instant, elle claquerait immédiatement de la langue en venant lui mettre une claque avant même qu'il n'ait pu faire un pas. Sauf qu'elle n'était pas là... Tenant toujours Aphrodite par la main, il passa sa tête dans l'embrasure de la fenêtre, d'où il avait vu sur chacun. Son regard se fixa sur la chevelure frisée de Judah, alors que ses traits montrant qu'il était légèrement plus concentré. Sur une seule personne, c'était beaucoup plus simple, l'avantage de ce don était qu'il était adaptable aux divins. Il en avait déjà fait l'usage par le passé... pour des... raisons... pas encore très nettes. A cause de l'hydromel, on dira. La bonne excuse.
Il mit un certain temps à réussir son tour mais fut plutôt satisfait du résultat. Leur frère sembla perturbé, avant de se diriger vers le jardin, les rejoignant tous les deux, s'en pour autant s'arrêter à leur niveau. Non. Judah fit autre chose.
Il s'avança directement dans la piscine sans prendre le temps de s'arrêter ou de retirer ses vêtements. Son corps tomba dans l'eau directement, avant d'en ressortir en quelques secondes plus tard. Il n'utilisait que très rarement la capacité de faire désirer quoi que ce soit à quelqu'un, déjà parce que c'était fatiguant psychologiquement et que ça n'apportait que rarement de bonnes choses, de faire faire quelque chose à un individu contre son gré. Mais là, c'était différent, quand même, il s'agissait d'une soirée d'Aphrodite ! Puis voir Judah prendre un bain, ça ne pouvait être qu'intéressant, il en avait certainement besoin.
« J'adore faire ça ! »
Son sourire extatique ne cachait rien. Il s'était retenu de ne pas en faire usage sur tout le monde, déjà, c'était un gros effort de sa part, pourtant tous ses humains auraient été bien faciles à manier. Diane n'avait pas le droit de le frapper en plus, parce qu'il s'agissait d'Hadès, c'était un cas particulier.
Apollon se contenta de déposer un baiser sur le front d'Aphrodite avant de la lâcher, se mettant à courir en direction de la piscine à son tour, faisant un joli plongé. Parce que bon, il allait pas laisser le dieu des enfers tout seul, ce serait pas gentil. Alors qu'il était gentil, lui. Très gentil même.