« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Louise & Hippolyte & Lily & Ellie & Willson & Emma
Louise n'arrivait pas a comprendre ce qui c'était réellement passé. Qui était ce type qui était apparu ? Lorsque Lily avait rejoint Eliot, la jeune femme c'était éloignée, il vallait mieux les laisser seuls. Wilson leur apprit en suite qu'il s'agissait de Chronos, le ...titans ? Celui qui contrôlait le temps ? Mais qu'est ce qu'il faisait dans un lieu comme celui ci ? Pourquoi en voulait il a Elliot ? Et Wilson avait l'air vraiment en rogne. Il s'éloigna et trouva rapidement la sortie, rapidement suivit de Dionysos.
Ah celui la .. en entendant ce qu'il avait dit a Aaron, la jeune femme c'était retenue de le frapper et avait serrer la main du jeune homme de toutes ses forces. Comment osait il parler ainsi a son fils ? Il était malade ? Quel sale type ! en suite il avait voulu lui faire un calin, comme si de rien n'était. Aaron recula, entrainant Louise. Elle le comprenait, elle n'appréciait vraiment pas la désinvolture avec laquelle il traitait la situation. Indiana quitta la salle et le petit groupe suivit. Aaron entraina Louise, mais au moment de passer la porte, elle le lâcha en disant "J'arrive tout a l'heure j'ai oublié un truc." avant de le pousser vers la sortie. Elle était vraiment en rogne là. Rapidement, la princesse redescendit les marches et revint vers le premier rang. Elle appuya sa main sur l'estrade et grimpa dessus, observant la scène, jetant un regard derrière les rideaux, pour chercher un indice, quelque chose qui aurait pu leur échapper ... elle regarda la salle et se rendit rapidement compte qu'elle n'était pas la même que celle dans laquelle ils étaient initialement entrés.
Levant les yeux, elle aperçut Ellie un peu plus loin. Etrange ... elle allait garder un oeil sur elle. Aorès ce qui venait de se passer, il ne manquerait plus qu'elle disparaisse elle aussi. Jetant de fréquents coups d'oeil a la déesse ( si elle avait bien compris ) Louise porta son regard vers le siege de Surt, avant de le fixer longuement. D'un bond elle sauta de l'estrade et s'assit dans le siege. Et soudain .... rien ne se passa. rien de rien. Pas la moindre planète, comme tout a l'heure. Pestant mentalement contre l'univers et les krema, la princesse se releva et se observa Ellie un moment avant de se diriger vers elle. "Tu viens ? " lui demanda elle en désignant la sortie. Hors de question de la laisser seule ici.
Elles finirent par sortir, Louise laissant passer la jeune femme, et elles se retrouvèrent rapidement sous le soleil de la grèce. Les yeux plissés pour les protéger, Louise mit quelques secondes a s’habituer a la luminosité, puis s'approcha d'Aaron. Le pauvre avait vraiment l'air perturbé. Elle fouilla dans sa poche et lui tendit un Arlequin, avant de lui donne de petites tapes amicales dans le dos. Rapidement, Aaron rattrapa sa main, toujours en fixant son "père".
"Hey mais faut te détendre mon garçon !" fit celui ci avec un grand sourire. "C'est pas si grave que ca tu sais ?". La princesse vit rouge. Lachant la main du demis dieu, enne fut en deux pas devant Charles et lui envoya de toutes ses forces son poing dans la figure. "COMMENT VOUS POUVEZ DIRE UN TRUC PAREILLE ?" se mit elle a crier, folle de rage, tandis que lui posait une main sur sa joue blessée, il lâcha un "bordel" douloureux. . "Vous vous prenez pour qui ? Vous croyez que ca n'a pas été difficile pour lui ? que vous pouvez débarquer comme ca dans sa vie et qu'il va vous accueillir a bras ouverts ? Non mais sérieusement, C EST QUOI VOTRE PROBLEME ? Espèce de ... de ... de CRETIN !". Idinana fixa Louise en silence, avant de lâcher un "ok, je l'ai mérité." avec un petit sourire.
Sa main blessée contre elle, Louise recula, tremblante, hésitant entre le frapper a nouveau ou être juste désespéré. Mais ca fait hyper mal ! pensa elle en serrant les dents. Bon sang, ils ont la peau dure les deux ! je suis sure que je me suis peter un truc ... rhaa !
Soudain, une blonde plus tot jolie s'approcha, et commença a leur agité un trousseau de porte clé en forme de tour Eiffel sous le nez, essayant de leur vendre. Des tours Eiffel ? en Grece ? Mais ou va le monde ? se demanda Louise en essayant de remuer les doigts, provoquant une grimace de douleur. La prochaine fois, elle prendrait de sa super potion avant de le frapper tiens. Crétin.
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Aaron McAdams
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« J'avais bien dit qu'il
faisait froid... ! »
| Conte : Hercule ϟ | Dans le monde des contes, je suis : : ☣ Aaron ☣ un demi dieu. ϟ
"Laisse tomber Louise..." avais-je dit d'un ton tout tristounet en regardant mon père s'éloigner. Il n'étais pas prêt à être le père que je rêvais d'avoir. D'un côté, j'aurai préféré continuer à le croire mort.
Maman ne m'avait pas mentis. Il n'était réellement pas au courant de mon existence car il était mort avant ma venue au monde. Et même si elle ne m'avait pas dit la vérité concernant sa mort, pour moi il était véritablement mort avant ma naissance.
"Montre moi ta main."
J'avais pris la main de Loulou pour voir si il y avait des dégâts. Je sentais qu'elle avait mal, mais je ne pouvais pas y faire grand chose. Une jeune femme s'était approchée de nous et je l'avais faites s'éloigner de Louise avec des gestes de la main. Puis, j'avais reporté toute mon attention sur Loulou. J'avais levé sa main jusqu'à mes lèvres et j'y avais déposé un petit bisou dessus. Elle allait guérir plus vite.
C'était ce que me disait ma maman à chaque fois que je me blessais et ça marchait vraiment. Même si je savais que c'était parce que j'étais un demi dieu. Je guérissais bien plus vite qu'un humain ordinaire. Mais Louise étant tellement extraordinaire, elle guérira sans doute plus vite qu'un demi dieu ou que n'importe quel humain. Cette pensée m'avait fait sourire quand j'avais relâché sa main.
J'avais tourné la tête une dernière fois vers mon faux père, avant de regarder Ellie qui se tenait au loin. Puis, Hippolyte qui nous avait rejointe également. Il y avait aussi Emma et Wilson, un peu à l'écart. Lily avait retrouvée son homme. Je les aimais bien. Je n'avais pas spécialement envie de leur dire au revoir, mais je n'avais plus trop ma place parmi eux. J'avais reporté mon attention sur Louise.
"Ca va aller mieux pour ta main. C'est une question de temps. Et..."
J'avais hésité, puis j'avais penché mon visage vers le siens pour lui faire une petite bise sur la joue.
"Je t'écrirais ! Chaque jour ! Comme ça tu auras de la lecture ! Et c'est pas grave si tu ne me réponds pas, car je sais que tu n'auras pas ta main entièrement à disposition de suite. Mais je t'écrirais quand même."
Je lui avais pris sa main valide une dernière fois avant de sentir quelque chose de très dur et lourd venir m'entourer par derrière. o_O Il était resté quelques secondes à me serrer avant de s'éloigner à nouveau. Bon sang, c'était bizarre. On ressentait ça quand notre père nous serrait dans ses bras ? Je n'avais pas voulu me tourner pour le regarder, ni même pour vérifier que c'était bien lui. Mais j'avais sentis du vin et ça ne pouvait être que lui.
J'avais fait un petit sourire à Loulou, passant une main devant mes yeux avant de lui faire un petit coucou avec mes doigts et de m'éloigner... Je n'avais plus ma place ici, je le savais.
Emma Swan*
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| Conte : Once upon a time | Dans le monde des contes, je suis : : la fille de Blanche et Charmant
❝ Avec Ellie, Lily,Hippolyte,Wilson ,Emma et ...Indiana ? O.o ❞
"C'était Chronos."
Pas besoin de demander des précisions ,je savait très bien qui était Chronos,mais la question était: que faisait-il la ? pourquoi était-il la ? Que voulait-il a Elliot ? Trop de questions et pas assez de réponse ,je serrais les poings et fermait les yeux,sa me rappelait trop la première apocalypse qu'on avait subit,sa me rappelait le cavalier qui avait tenter de prendre contrôle de mon corps ,sa me rappelait aussi le moment ou j'avais faillis explosez tout en entraînant la ville avec moi,ma gorge se serrait et mon estomac se nouait,j'avais envie de vomir,mais je ne savait pas ou se trouvais la porte de sortie,alors je restais simplement la.
Je prenais une grande inspiration ,fermais les yeux et tentais de pensée a autre chose que le faite que j'était peut être mêler a quelque chose d'encore plus gros que je ne pensait et que sa ne me plairait pas forcément,je prenais une grosse inspiration,j'aurais voulue qu'on me tienne la main et qu'on me rassure,que quelqu'un me dise que tout allait bien se passer mais personne n'était la pour moi,Elliot avait déjà Lily et sa cousine et je ne préférais pas l'approcher les deux jeunes femme ne m’appréciais pas,alors je n'allais quand même pas m'avancer vers lui pour le prendre dans mes bras,Wilson parlait avec Ellie mais lui aussi ne semblait pas allez bien quand a Louise je ne la connaissait pas assez.Je restait donc a l'écart essayant de m'imaginer a Storybrooke mais surtout je ne pouvais m'empêcher de penser a certain chapelier,bizarrement sa présence avait souvent tendance a me calmer,je le visualisait a mes côtés me souriant et prenant un air qui se voulais badass ,me prenant la main avant de dire : "Et c'est ainsi que la mascotte mit le bras du papier d'alu dans le chocolat ! Ah ! La vilaine mascotte ! Qu'est-ce qu'elle ferait sans moi ?!"Ma panique s'évapora rapidement,un sourire s'affichant sur mes lèvres.
"Je crois que j'ai trouvé."
La sortie avait été enfin trouver,pas le temps de réfléchir,je suivait rapidement Wilson a l'extérieur ,accueillant la chaleur ambiante et la lumière avec joie,je regardais autour de moi,il n'y avais aucune menace apparente,nous étions enfin tranquille,enfin je l'espérait de tout cœur.Je reportait mon attention sur Dionysos qui était en train de masser les épaules de Wilson quand Louise s'avança vers le dieu pour lui coller son poing tout en se mettant a gueuler,je grimaçais au volume de sa voix,sa ne faisait pas du bien au oreille.Aaron se chargea de s'occuper de Louise et moi je regardais Dionysos,peut être que l’interroger m'aiderais a y voir plus clair,je me plantais devant lui ,la main sur la hanche.
"Vous savez pourquoi Chronos était la ? Voir même pourquoi il ma appeler la reine ?."Je demandais au dieu ,il porta son attention sur moi ,laissant tranquille son fils pour le moment.
"J'ai une tête à m'appeler Chronos ? Peut être que tu lui as tapé dans l'oeil. Bien qu'apparemment il est plus du genre à refiler ses Reines aux autres. Ou alors c'est à cause de tes cheveux. Ils sont blond comme les abeilles. T'as été une Reine dans une autre vie ?" Il me regardais de bas en haut ,me matant et j'arquais un sourcil ,pas vraiment amusée.Peut être que je devais essayer avec une autre question,je jetais un coup d'oeil vers Aaron.
"Pourquoi vous n'avez pas dit tout de suite que vous étiez le père d'Elliot et Aaron au lieu de jouer les guides ?."
"C'était bien plus amusant, non ? Et peut être aussi que j'aime la mise en scène..."
Je levais les yeux au ciel,il était donc incapable de répondre aux questions ? Est-ce que tout les dieux masculin était dans se genre la ? J'avais l'impression d'avoir Hadès en face de moi,apparemment le seul dieu mature était Arès surement suivit de près par Apollon mais je pouvais pas trop me prononcer ,je n'avais pas trop parler avec celui-la.
"Vous revenez avec nous a Storybrooke ? "Je demandais et sa en serait finit avec les questions.Je le vit jeter un coup d'oeil vers Elliot avant qu'il me regarde de nouveau."Je ne sais pas. Pourquoi vous avez de la place chez vous ?"Je poussais un soupire quand il me fit un clin d'oeil."Voyez sa avec Elliot c'est sa maison...et vous êtes tous pareil les dieux ou y'a juste vous et Hadès qui êtes immature ?."Je ne lui laissait pas vraiment le temps de me répondre ,m'éloignant rapidement de lui avant de m'avancer vers Wilson,je prenait mon sac,l'ouvrait et sortait un paquet de biscuit au chocolat (type prince de Lu) avant de lui en tendre deux."Pour le cookie de tout a l'heure."J'affichais un petit sourire.
(c) sweet.lips
Lily Olyphant
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« T'inquiètes Elliot, c'est
pour Halloween... un déguisement...
mais ça fait mal... »
| Conte : Dumbo ϟ | Dans le monde des contes, je suis : : ☣ Dumbo ☣ l'éléphant qui sait voler. ϟ
Comment ça se faisait que tout le monde avait le droit à un biscuit et pas moi ? Dyoni avait donné des cookies à Wilson et lui avait même fait un massage. Quand à Emma, elle avait sortie des biscuits au chocolat qu'elle avait tendue à Wilson. C'était réservé qu'aux garçons ces choses là ? Et bien sûr, Elliot n'avait pas de sucreries sur lui ! C'était dans ces moments là que Robyn me manquait vraiment, car elle avait toujours un véritable garde manger sur elle.
J'avais relâché la main de Elliot. Il devait aller un peu mieux. En tout cas je l'espérais, car je n'aimais pas le voir aller mal. J'aimais jamais voir personne aller mal. On vivait dans un monde difficile à vivre, mais on avait toujours de bons moments qu'on passait tous ensemble. On arrivait toujours à surmonter nos épreuves et au final, de nombreux sourires naissaient aux coins des lèvres. La vie était merveilleuse, pleine d'espoirs. Quand une lumière s'éteignait, quelqu'un d'autre en rallumait une pour nous. Je m'étais tournée pour chercher Ellie du regard et je l'avais vue au loin. Pourquoi elle s'était éloignée du groupe ? J'allais faire les pas qui me séparaient d'aller, quand j'avais entendu Dyoni répondre quelque chose à Emma, qui m'avait interpelle.
"Quel rapport avec Elliot ? C'est Lily qui vit avec lui ! Attendez... Oh bordel, le con ! Elliot vie avec combien de femmes ?"
Au moins quelqu'un qui comprenait ce que je ressentais. D'abord il avait vécu avec Camellia et encore, y'avait un autre mec avec eux à ce moment là, donc ça pouvait aller. Mais maintenant avec Emma et qui plus est : son ex ! Y'avait vraiment de quoi se poser des questions. Si Ellie n'était pas là pour me dire que tout allait bien, je l'aurai déjà tuée pendant son sommeil. Elliot bien évidemment et non Emma, vue que comme il dormait à côté de moi, ça aurait été plus simple. Quoi qu'il en soit, cette situation m'énervait au plus haut point. J'avais fait route jusqu'à Ellie. On était désormais bien éloigné du groupe.
"Tu as entendu ce que Dyonisos a dit ? Il est de mon avis ! Emma ne devrait pas vivre avec nous. C'est malsain ! Et tu sais à quel point j'adore les gens, mais là avec elle, ça ne passe pas ! Enfin, je ne vais pas te faire une scène ou quoi que ce soit, d'ailleurs, je vais me tenir tranquille, mais tu devrais en toucher deux mots à Elliot quand même. En plus, elle distribue des biscuits à tout le monde et j'en ai pas eu un seul. Je te l'ai déjà dit, elle ne m'aime pas et... Ellie ?"
Je m'étais tue, voyons qu'elle ne m'écoutait pas vraiment. Elle avait le regard perdu dans le vide et elle était... effrayante ! Pourquoi elle regardait la ville comme ça ? J'avais tournée la tête pour voir ce qu'elle regardait et la seule chose que ça m'inspirait c'est que c'était grand et loin, trop loin. J'avais hésité, puis j'avais haussée les épaules avant de porter toute mon attention sur la jeune femme.
"Tu sais, je peux m'y habituer. C'est une question de temps peut être. Après tout, Emma est pas si méchante que ça et elle doit avoir un bon fond. Mais c'est juste pas facile. Enfin c'est pas une raison pour en faire tout une scène. Je vais aller la voir et je vais lui dire que je l'aime bien ! Tiens, j'y vais de suite même."
Je sentais mon coeur s'accélérer à chacune de mes paroles. Il faisait chaud, non ? J'aimais pas le climat de la Grèce, je n'arrivais pas à m'y habituer. J'avais fait quelques pas en direction de Emma. Je voyais au loin que Dyonisos avait la tête tournée vers moi et vers Ellie. J'aimais pas son regard, ce qu'il dégageait en ce moment précis ! Sentant que Ellie ne me suivait pas, je m'étais tournée vers elle, me passant une main tremblante sur le front.
"Tu sais, je vais vraiment aller la voir pour lui dire que tout va bien, que ça ne me dérange pas qu'elle vive avec. J'ai jamais été contre qu'on vive à plusieurs. Surtout que maintenant j'ai trouvé mon équilibre. Il y a Emma... Cassandre, Elliot et toi. On est bien tous les cinq. Y'a même Astrid parfois et tu sais que je l'aime bien, elle est sympa cette petite puce. Et... Ellie?"
Je n'aimais pas la façon qu'elle avait de se comporter. Ce que cela pourrait signifier. Ce qu'elle allait surement me dire. Je n'aimais pas non plus que Dyonisos regarde dans notre direction. Ca faisait genre le père aimant qui protégeait ses enfants ou qui voulait voir quand ça aller déborder pour venir apporter son soutiens. Comme si j'avais besoin de lui ! Je m'en étais très bien passée avant qu'il entre dans ma tête et encore mieux depuis qu'il l'avait quitté. Ce grand vide en moi, c'était pas à cause de lui ! Je ne le supportais pas de toute façon ! Il m'agaçait, il m'énervait, il... Il était partit ! Ils finissaient tous par partir.
Elliot Sandman
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quand la moustache est fine...
| Conte : Intrigue Divine | Dans le monde des contes, je suis : : Le fils de Hadès et Aphrodite
Je pense que tout le monde se souviendrait de ce voyage en Grèce. J'espérais qu'Elliot ne m'en voulait pas trop de lui avoir imposé tout cela. Sans moi, il n'aurait jamais vécu ce calvaire. Nous n'aurions pas rencontré Chronos. A la place de cette épopée, nous aurions vécu tranquillement nos vies à Storybrooke. Nous aurions vu Cassandre grandir, Lily sourire...
Quelque part, cette cassure, c'était moi qui l'avais provoquée. Il était normal que je m'efface. J'aimais remuer le passé, déterrer les vieux souvenirs, mais Elliot n'était pas comme moi. Il aimait la stabilité. Il voulait protéger sa famille, préserver le faible équilibre qu'il avait réussi à construire. Je n'étais pas comme lui. J'en prenais conscience seulement maintenant. Il était tout ce que je n'étais pas. Bien sur, j'aurais aimé rester auprès de Lily et du bébé, continuer à faire semblant, à vivre dans leurs existences. Seulement voilà, j'en avais assez d’être considérée comme un parasite. Même si on ne me le disait pas, il fallait que je l'accepte : je n'avais pas ma place parmi eux. Je devais les laisser en paix. Il était temps que je crée ma propre existence.
J'étais donc volontairement restée en arrière, sur une petite colline dont l'herbe desséchée crissait sous mes pieds, et j'observais la ville au loin. Allais-je commencer par explorer cet endroit ? Ou un autre ?
Du coin de l'oeil, je vis Lily approcher. Aussitôt, mon coeur se serra. Je ramenai une mèche de cheveux noirs derrière mon oreille avant de croiser les bras et de continuer à fixer l'horizon. Je ne pouvais pas partir comme une voleuse. Le temps était venu de faire ses adieux. Je lui devais bien ça, après tout.
Elle parlait, me racontait ses petits problèmes, tandis que mon visage restait parfaitement impassible. Je souriais intérieurement, songeant qu'elle n'appréciait toujours pas Emma malgré tout ce qui s'était passé. Il faudrait du temps, comme pour le reste.
Elle fit mine de partir, mais constatant que je ne la suivais pas, elle rebroussa chemin. Je me tournai enfin vers elle. Je me mordis les lèvres en la voyant si nerveuse. Elle commençait à comprendre mais elle refusait. Je repoussai le torrent de larmes qui cherchait à s'échapper par mes yeux.
"Lily... Ce n'est pas un équilibre." déclarai-je doucement.
Je laissai le temps à mes paroles de se frayer un chemin dans son esprit. Je lisais dans son regard qu'elle n'acceptait toujours pas. Je serrai davantage mes bras autour de mon buste, mes ongles s'enfonçant dans ma chair, pour m’empêcher de l'étreindre.
"Il faut qu'on arrête de faire semblant. Tu es avec Elliot. Tu aimes Elliot. Vous avez eu un bébé ensemble. Je ne fais pas partie de l'équation. On a essayé de me trouver une place mais... ça n'est pas la mienne. Je m'en rends compte, maintenant."
Je haussai les épaules pour essayer de minimiser la chose. Je voyais Lily se noyer dans ses propres larmes. Elle ne sanglotait même pas. Elle tentait de les retenir, mais la voir pleurer fit rouler des gouttes d'eau sur mes joues.
"Arrête, ne... j'ai pris ma décision." dis-je vaillamment. "Je ne veux plus de tout ça. Je veux ma propre vie."
C'était à moitié vrai, mais il fallait que je me montre convaincante afin qu'elle soit moins triste. Elle devait croire que rien ne me ferait changer d'avis, que je me moquais du reste.
"J'ai besoin d'avoir ma propre vie. Elliot n'a pas à te partager. Vous vous aimez, vous devez être tous les deux. C'est mieux comme ça."
Je m'efforçai de regarder ailleurs sinon j'allais craquer pour de bon.
"Et puis... on se reverra. Je ne compte pas disparaitre pour toujours." dis-je avec l'ombre d'un sourire humide. "Je ne pourrais jamais rester loin de vous très longtemps."
Je reposai les yeux sur Lily et oubliant mes bonnes résolutions, je m'avançai vers elle pour la serrer très fort contre mon coeur. "Elliot t'aime puissance infinie. Ne l'oublie jamais." murmurai-je.
Il fallait que je parte, ça devenait bien trop dur. Je levai les yeux sur le groupe au loin et vis Dionysos nous fixer d'un air insistant. Je fronçai les sourcils avant de fermer les paupières, serrant plus fort Lily.
"Et je t'aime aussi."
Puis je disparus, me téléportant ailleurs. Il avait fallu que je coupe court. Je détestais les adieux, je me détestais pour lui avoir mentie. La vérité, c'est que je comptais ne pas revenir. Jamais. Et je ne laisserai pas à Elliot la possibilité de me retrouver.
Louise Hollen
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| Avatar : Rachel Mcadams
He had beautiful eyes. The kind you could get lost in.. and I guess I did.
| Conte : Les douze fréres / Les cygnes sauvages | Dans le monde des contes, je suis : : Elisa : la soeur
Louise & Hippolyte & Lily & Ellie & Willson & Emma
Emma prit les choses en mains, tendis qu'Aaron tentait de soigner Louise. Ah c'est fou ce que ca fait du bien penssa elle pendant que le jeune homme lui attrapait la main. Aie .. enfin, la prochaine fois, faut que je fasse autrement, j'en ai marre de me défoncer la main a chaque fois ... En entendant sa réponse a la question sur son identité, Louise se retourna d'un bond. "Plus marrant ?" Elle allait le tuer, c'était sur. C'était plus marrant de jouer avec les sentiments de sa famille ? Mais qu'est ce qu'il avait dans le crane cet abruti ? Et puis il ne répondait pas du tout aux questions A croire que c'était une manie chez les dieux. Pourquoi ils ne pouvaient pas répondre clairement ? C'était dans leurs gênes ou quoi ?
Elle sentit Aaron lui embrasser la main avant de la relâcher. Un truc magique. C'était chou, elle avait l'impression d'être une gamine de 5 ans. "Ca va aller mieux pour ta main. C'est une question de temps. Et..." Il déposa une rapide bise sur sa joue et lui promit de lui écrire. Elle allait lui demander comment il comptait faire avant de se rappeler les dossiers. Et soudain, Dionysos lui fit un câlin. Bon, ce n'est peut être pas un si sale type que ca. Pensa elle en le fixant d'un air mi-approbateur mi-exaspéré. Franchement, les divins avaient vraiment besoin d'un coach relationnel. Aaron passa une main devant ses yeux. Arf, les hommes. Ils avaient vraiment du mal, mais ca lui faisait vraiment plaisir de voir qu'il n'y était pas totalement insensible.
La jeune homme s'éloigna et Louise hésita une seconde avant de le rattraper. Elle l'étreignit quelques secondes et s'éloigna avec un sourire. "J’espère qu'on se reverra." Lui dit elle avant de le laisser partir. Revenant vers le groupe, elle remarqua que Ellie et Lily discutaient un peu plus loin, tendis que Wilson et Emma partageaient des gâteaux. C'est vrai que j'ai faim ... lâcha elle avant de prendre un arlequin. Bah, ce n'était pas grand chose mais c'était mieux que rien ...
Se tournant vers Dionysos, elle le fixa un moment avant de s'approcher de lui. Elle se demandait si il comprenait l'importance d'une famille. C'était vrai que vivre des décennies ne devait pas aider a créer des liens durables,mais quand même ! Pourquoi agissaient ils comme ca ? Pourquoi étaient ils si égoïstes ? "A quoi ca vous sert d'être immortels si c'est pour ne pas vous occuper de vos enfants ? Je veux dire, il n'y a rien de plus important que la famille, alors pourquoi vous faites ca ? " demanda elle. Ce n'était pas réellement un jugement mais une réel question. elle ne comprenait pas comment on pouvait abandonner sa famille, ca la dépassait totalement. Pour elle ca n'avait vraiment aucun sens.
Elle le fixa encore une seconde avant de se tourner vers les autres dieux. "Dites, c'est pas possible de retrouver son frere ? Entre dieux vous pouvez vous sentir il me semble non ?". Mais rapidement on lui expliqua que ce n'était pas possible. Pestant contre l'univers, elle se posa sur un vieux muret de pierres, refixant Indiana, cherchant des réponses dans ses yeux. "Pourquoi vous ne vouliez pas qu'on entre dans ce temple si vous en cherchiez l'entrée ? Je veux dire ... Vous l'avez dit dans le temple. Que vous vouliez entrer. Mais alors pourquoi vous ne vouliez pas au début ? Vous vous êtes presque battu avec votre frère pour ne pas qu'on y aille et après vous ne vouliez plus partir." Soit c'était un plan tordu pour les pousser a y aller, soit c'était que les frères avaient de drôles de relations. Dans les deux cas, elle voulait des réponses.
Tournant les yeux, elle aperçut soudain Lily seule au loin. "Euuuh ... ou est Ellie ?" demanda elle inquiète.
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François Sandman
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| Avatar : ➹ Bradley Cooper
"Alors Annachou, et les amours ? Ca fait un moment que tu ne me racontes plus rien sur ta vie sentimentale. Quoi ? Comment ça tu m'as jamais rien raconté ? Mais si je me souviens... Ah non, c'était pas toi."
"Je te jure Héra, j'ai pas touché à ta cave à vin personnelle. Tu me prends pour qui, sérieusement ?"
| Conte : ➹ Hercule | Dans le monde des contes, je suis : : ✲ Dyonisos, dieu de la vigne, du vin et de ses excès, de la folie et de la démesure. Rien que ça ! ^.^
"Rooh mais merde, y'en a pas d'autres !" m'étais-je énervé en me tournant vers Louise. J'avais fait passer le fait qu'elle m'avait gifflée, mais je n'allais pas continuer à faire passer ça longtemps si elle n'arrêtait pas de chercher la petite bête.
"Si j'aurai pas fait ce subterfuge, vous ne serez pas venu ici et le but était de vous faire venir ici. Mais on a eu ce qu'on voulait on peut rentrer !"
J'avais hésité avant de me tourner vers Elliot.
"Tu as beau m'en vouloir mon garçon, mais il fallait qu'on sache. Et maintenant qu'on est au courant pour les armes, les reines et qu'on sait quel est l'objectif de ce fou, ça va beaucoup mieux !"
J'avais fait un sourire confiant avant de me rendre compte que j'avais parlé des armes. Normalement je n'étais pas censé avoir entendu ça. Et merde !
"Avant que tu dises quoi que ce soit, faut que je t'avoue un truc... J'étais là. Enfin j'ai pu tout voir."
Il l'avait sans doute déjà compris, mais bon... C'était pas ma faute si j'étais un dieu et que je pouvais tout voir et en plus si ce Chronos ne voulait pas que je vois, il me l'aurait dit ! Enfin... Il savait que je verrai et il n'a rien fait. C'était lui le fautif et pas moi !
"Bon, je propose qu'on rentre à Storybrooke. Je me prendrai un hôtel à proximité. Sans doute à Portland, c'est une belle ville, j'ai adoré par le passé ! D'ailleurs, tenez vous la main, allez, on rentre..."
J'avais tendu la main pour qu'ils la prennent. On allait rentrer en ville. Et s'ils ne voulaient pas, on rentrerait tout de même. Puis, j'avais entendu Louise demander où était Ellie et j'avais soupiré.
"Ne t'inquiète pas pour elle, c'est une grande fille. Donne ta main."
Hippolyte Sherman
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| Avatar : Shelley Hennig
Arrête de t'en faire. Je suis là maintenant, ok ?
Tu m'as vraiment manqué Peg !
| Conte : Inventé | Dans le monde des contes, je suis : : la fille d'Arès.
Chronos. Depuis qu’Hippolyte avait entendu Wilson prononcé le nom de l’homme qui s’était tenu devant eux durant quelques minutes auparavant, elle n’arrivait pas à réagir. Elle était restée surprise, limite bouche bée face à cette révélation. Ce nom lui avait fait remonter tellement de souvenir. D’abord avec les cavaliers de l’apocalypse puis ensuite avec tout ce qui s’était passé dans la vie de la jeune femme depuis qu’elle avait fait plus ample connaissance avec sa famille. Enfin, elle faisait des découvertes chaque jour. Là, elle venait de faire la rencontre d’un de ses oncles, Dionysos. Alors qu’il était censé être mort. Hippolyte ne fit pas attention aux autres, ni même à Wilson qui pétait des câbles. Elle était restée en retrait, silencieuse. Elle commençait à en avoir marre de ces histoires familiales et elle avait du mal à faire le lien entre Chronos et Elliot, ainsi qu’Emma. Parfois, elle comprenait Diane et ses crises d’humeur à propos de cette famille qui n’y ressemblait pas. Lorsque Wilson trouva la porte de sortie, Hippolyte suivit sans broncher. Elle n’avait pas vraiment envie de rester dans cet endroit. Elle avait besoin de retrouver l’air frais. Enfin frais était un grand mot. Mais elle avait besoin de renouveler son oxygène, prendre un grand bol d’air. C’est pourquoi son pas fut plutôt rapide, comme la plupart du groupe. Au bout de quelques instants de marche, un courant d’air se fit sentir. Les voilà dehors. Hippolyte ne put s’empêcher de sourire en lâchant un grand soupire. Puis elle prit une grande inspiration. Oups. Elle avait oublié sa gorge. Ca ne devait pas être très joli à voir. D’ailleurs, elle avait envie de voir. Peut-être que quelqu’un avait un miroir de poche ? Hippolyte tourna la tête vers Lily. Elle était occupée avec Elliot. Hip n’avait pas envie de l’embêter. Son regard se déposa donc sur Louise qui était avec Aaron et Dionysos. Elle fut bouche bée, une seconde fois, lorsqu’elle vu Louise frapper le Dieu avec assez de violence. Hippolyte mit sa main devant la bouche pour éviter de gober des mouches. Puis elle reprit rapidement ses esprits. Louise ne lui faisait pas peur, même si elle semblait remontée. D’ailleurs, la demi-déesse ne savait pas trop la raison. Mais qu’importe ! Elle s’avança vers elle. A ce même moment Aaron s’éloigna rapidement de l’ensemble du groupe. Ça ressemblait à des adieux. Hippolyte plissa les yeux, en se tournant vers Louise. « Bah, il va où ? » Question bête. Il allait sans doute rejoindre Egéon. Dommage. Aaron était un cousin qu’Hippolyte commençait à apprécier. Le voir partir lui provoqua un petit pincement au cœur. Instinctivement, elle posa sa main sur l’épaule de Louise. Mais remarquant son geste, Hippolyte enleva sa main rapidement. Emma avait rejoint le groupe en interrogeant directement Dionysos, afin d’essayer d’avoir des réponses à ses questions. Si seulement cela pouvait être aussi simple. Hippolyte se mit en retrait. Tout le monde semblait avoir trouvé son équilibre en sortant de ce trou à rat. Emma et Wilson partageait un biscuit. Elliot et Lily étaient ensemble, avec Ellie. Louise avec Dionysos. Seul Hippolyte était seule. C’était mieux comme ça. Elle avait atteint un ras-le-bol général de toutes ses énigmes, de toutes ses découvertes. Elle avait parfois envie de retrouver sa vie d’avant Storybrooke, sa vie paisible à New-York. Et là, c’est ce dont elle avait envie. Elle n’arrivait pas à trouver sa véritable place dans cette ville, et encore moins dans cette famille divine. Elle était tiraillé entre les paroles d’Egéon appuyé par l’attitude de certains Dieux, puis l’amour qu’elle portait pour certains d’entre eux. Soudain elle entendit le mot clé sortir de la bouche de Louise. Elle parlait sérieusement famille avec un Dieu ? Rongé par la tristesse de ce mot qui ne signifiait pas grand-chose, Hippolyte ne put s’empêcher d’intervenir. En plus, elle arrivait à sentir qu’Indiana était remonté. Hippo mit sa main sur l’épaule de Louise. « Ils sont tous pareils. Nous, demi-dieux, nous ne sommes est que des pions pour eux. » A cet instant-là, Hippolyte eut réellement l’impression d’entendre Egéon parler à sa place. Pourtant c’était bel et bien elle qui avait parlé. Est-ce que le discours d’Egéon avait réussi à s’implanter en elle ?! La jeune femme adressa un regard plutôt froid à Dionysos. Elle ne pouvait que trop bien comprendre Aaron, pour l’avoir vécu elle aussi. Mais Hippolyte, ayant envie de rentrer à Storybrooke, prit la deuxième main de son oncle, en évitant soigneusement son regard cette fois-ci. Hippo ferma les yeux et à l’instant où elle les ouvrit, le décor avait changé. Ils étaient arrivés à Storybrooke. Bien que cela ne fasse pas encore un an qu’elle vivait à Storybrooke, elle reconnaissait les endroits importants de la ville. Et là, ça en était un ! Il s’agissait de la Tour de l’Horloge de la ville. Hippolyte leva la tête en ayant un léger sourire. Mais son sourire disparut assez rapidement lorsqu’elle entendit Dionysos s’adresser personnellement à elle. « Hippolyte, c’est ça ?... » La demi-déesse tourna la tête vers son oncle puis lui hocha simplement la tête en guise de réponse. Elle n’avait pas vraiment envie de discuter avec lui, après ce qu’elle venait de voir de la relation père/fils entre lui et Aaron. Mais Indiana ne semblait pas avoir les mêmes envies qu’Hippolyte. « Il s’y prend comment… ? » La jeune femme haussa un sourcil. De quoi parlait-il ? « …pour t’élever…ton père quoi. Il s’y prend comment pour t’élever ? » Hippolyte fronça brusquement les sourcils. S’il continuait avec ses questions, Hippolyte allait le transpercer avec sa lance. Et c’est avec un ton très sec qu’elle décida de lui répondre. « Il ne l’a jamais fait. Tout comme vous ne l’avez jamais fait avec Aaron. » Les dieux avaient vraiment des problèmes avec les relations paternelles. « Nous ne sommes que des marionnettes pour vous ? Uniquement utile pour le combat et se faire blesser par des puta*n de créatures ? » Instinctivement, la demi-déesse passa une main sur son cou et lui lança un regard plutôt noir. Dommage pour lui, Aphrodite n’était pas là. Elle n’avait aucune divinité sur qui se défouler, sauf lui !
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Wilson Wallander
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Ce massage qui venait de nul part l'avait... surprit. Il ne s'y attendait pas, il pensait juste qu'ils allaient tous se mettre à marcher sans savoir où aller, peut-être entrer dans une boutique ou deux, faire comme n'importe quels autres êtres humains en voyage : visiter, dépenser, s'amuser... Mais non. C'était impossible. Évidemment. Puisqu'ils venaient d'apprendre trop de choses, de vivre trop de choses, de subir trop de choses. Encore. Alors qu'Indiana continuait de lui parler, Wilson se détendit légèrement après ce qu'il venait de voir. Il devait avouer que le dieu avait un certain talent dans ses mains. Alors qu'il se laissait aller, rien qu'un peu, un tout petit peu, il sentit quelque chose d'humide rouler sur sa joue et, choqué de sa propre réaction, il passa rapidement sa main sur son visage, content d'être passé devant et de n'avoir personne pour le regarder à ce moment précis.
Le paquet de petits cookies apparut devant ses yeux et il s'en empara timidement, contrôlant sa respiration pour ne pas craquer. C'était difficile pour lui d'être face à la dure réalité de sa situation. Il avait juste eu envie de faire quelques recherches, pour en apprendre plus sur Cassandre, ce petit bébé qui n'avait elle non plus rien demander. Il avait été pris dans un engrenage bien trop bien huilé pour qu'il puisse à présent s'en sortir. Aucun retour en arrière possible. Tout ça à cause d'un foutu arc, quand même, si c'était pas triste. Et il ne pouvait même plus apprécier une escapade à l'étranger... Il avait envie de voyager, de voir quelques trucs intéressants, par-ci par-là, de faire comme tout le monde. D'envoyer une carte postale à EVE, d'acheter des souvenirs, de prendre des photos, de choper des coups de soleil... Si ça se trouve, en tant que dieu, il ne pouvait même pas avoir de coups de soleil.
Il attendit un instant, prostré, sans bouger, écoutant d'une oreille ce qui se déroulait derrière lui. Il crut comprendre qu'Aaron s'apprêtait à les quitter et ça le rendait triste. Tout le monde partait tout le temps. Personne ne voulait rester avec eux et faire comme si tout allait bien, faire comme si ce n'était qu'un mauvais cauchemar et juste essayer de relativiser. En général, c'était ce que lui faisait : positiver, remonter le moral, faire le robot mignon pour que tout le monde se remette à sourire. Sauf que là, il n'en avait pas la force. Aaron était gentil, il venait de rencontrer son père qui ne le connaissait pas... C'était perturbant. Sûrement. Il n'en savait rien, il n'avait pas de parents, il était un objet. Même en ayant intégré la grande fratrie divine... Il n'avait pas l'impression d'en savoir plus sur une famille. Les divins n'étaient pas une famille. Juste des êtres supérieurs qui continuaient leurs petites existences en se souciant uniquement de leur propre vie. Parfois de celle de Storybrooke aussi. Vaguement.
Emma était à côté de lui lorsqu'il tourna la tête et Wilson força un sourire pour ne pas paraître trop déprimé. Il se demandait si un jour ce poids qui pesait à l'intérieur de lui disparaîtrait un jour. S'il avait l'éternité devant lui... Il ne s'imaginait pas la vivre ainsi. Il ne tiendrait pas.
« Pour le cookie de tout a l'heure. »
Il ne cacha pas sa surprise lorsqu'elle lui tendit le gâteau et cette fois, c'était un sourire sincère qui ornait ses lèvres. Il ne la connaissait pas très bien, il n'avait pu la voir que lorsqu'elle avait brisé la malédiction, qu'ils essayaient de détruire le dôme et... aujourd'hui. C'était tellement dommage que tout ait tourné de la sorte... Ils auraient pu apprendre à mieux se connaître. Il le prit maladroitement, manquant de le faire tomber.
« Merci... Merci beaucoup. »
Il le serra un peu, évitant néanmoins de le mettre en miettes. Ce n'était qu'un simple gâteau, mais pour lui, ça avait une certaine importance. Il avait peur que toutes ses marques de gentillesse disparaissent avec le temps. Qu'Emma, la « reine » pour il ne savait quelles raisons, ne soit plus Emma. Qu'Aaron arrête un jour d'envoyer des lettres à Louise. Que Lily se dise qu'elle n'en pouvait plus de ses histoires et qu'elle quitte Elliot. Qu'Hippolyte recommence à le regarder avec de la haine comme avant. Il avait peur que toutes les bonnes choses qui existaient se terminent.
Lorsqu'il se retourna pour faire face au reste du groupe, sa peur prit une plus grande ampleur lorsqu'il réalisa que l'une d'elles se produisait à l'instant. Voyant Ellie serrer Lily dans ses bras, il sentit son cœur se serrer dans sa poitrine et, il ne savait comment, certainement grâce à son don, il sentit que ça n'allait pas. Sans pouvoir le définir avec exactitude, il avait l'impression que cette fille qui l'avait invité à cette expédition, il ne la reverrait pas... Pourquoi ?
Elle s'envola avant qu'il ait l'occasion de poser sa question. Ce n'était pas de la colère due à l'incompréhension qui l'animait alors, mais un profond désarroi. Ce voyage était beaucoup moins enivrait que prévu, beaucoup moins drôle. C'était tellement... tellement triste, en fait. Il déglutit avec peine, baissant la tête, remarquant alors qu'à côté de lui se tenait une blonde étrange qui était restée malgré que personne ne lui portait la moindre attention. Elle avait des portes clés dans la main. Des petites tours Eiffel. C'était stupide. Il n'était pas en France. Elle devait s'être trompé d'endroit... Pourtant, elle souriant bêtement, ne semblant pas comprendre ce qui se passait et faisant tourner devant elle tous ses portes clefs fièrement. Ouvrant le paquet de cookies que Dionysos lui avait donné, Wilson en sortit quelques uns et les tendit vers la jeune femme. Est-ce qu'elle parlait anglais au moins ?
« Je peux payer en gâteaux ? »
Elle avait l'air de ne pas faire de discrimination en monnaie d'échange. Elle lui donna plusieurs exemplaires avant de prendre l'un des cookies dans sa bouche en le remerciant, puis elle s'éloigna tranquillement. C'était vraiment, vraiment très bizarre. Il aurait aimé pouvoir être aussi insouciant qu'elle à l'instant.
A la place, il retourna vers le groupe et prit la première main qu'on lui tendait. Même pour rentrer chez lui, il n'utilisait pas un moyen conventionnel mais la téléportation... L'avion ça coûtait peut-être cher, mais il pouvait voir les nuages au moins.
En un clin d’œil, ils se retrouvèrent sur la place de Storybrooke, la tour de l'Horloge les surplombant de toute sa splendeur. Wilson poussa un soupir. Il était rentré chez lui, pourtant il n'était pas rassuré, loin de là. Il se rapprocha d'Elliot et Lily, un peu mal à l'aise.
« C'est pour vous. Et pour Cassandre. »
Il leur tendit alors plusieurs des portes clefs qui se balançaient dans ses mains et osa à peine les regarder. Il ne voulait pas les déranger et il avait l'impression d'être de trop. Il se mêlait de ce qui ne le regardait pas. Il avait tellement envie de leur dire pour leur fille... Mais il ne pouvait pas. Qui sait les conséquences que cela pourraient avoir par la suite... Il ne pouvait vraiment pas.
Louise était tout près et il alla la voir d'un pas hésitant. Peut-être qu'elle n'avait pas envie de parler après tout ce qui venait de se passer ? Peut-être qu'elle voulait juste rentrer maintenant qu'ils étaient de retour ? Il se trouvait face à elle. Sans rien dire. Il se pinça les lèvres et, ses mains remplis de gâteaux et de petites tours Eiffel, il la prit dans ses bras. Il ne la connaissait pas. Il l'avait rencontré juste quelques heures plus tôt. Mais il espérait au moins l'avoir aidé à se sentir mieux au moment où elle semblait incapable d'agir. Il ne força pas l'étreinte trop longtemps, il allait passer pour un psychopathe. Ce n'était vraiment pas le moment de ressembler à un taré. Et comme avec le couple, il lui tendit un porte clef. Avant de s'éloigner vers Hippolyte.
Elle avait l'air... il ne savait pas trop, vu son regard, techniquement, il l'aurait laissé tranquille et voir même aurait fui très loin pour ne rien risquer. Seulement, il voulait vraiment lui offrir son cadeau à elle aussi. Parce que des mots qu'il avait pu entendre de sa discussion avec Indiana... Un cadeau ça faisait toujours plaisir, non ? Ça lui remonterait le moral. Il n'osa pas lui faire face pour autant et tendit juste son bras dans sa direction en espérant qu'elle comprenne que c'était pour elle et qu'elle ne le rembarrait pas comme à son habitude.
C'est ensuite vers Dionysos qu'il se tourna, se raclant la gorge en lui donnant à son tour sa petite tour.
« Hum. Pour le massage. »
Franchement, c'était sans doute bizarre d'offrir un truc pareil à un dieu dans cette situation, mais ça aurait été encore plus bizarre qu'il ne lui offre rien à lui. Il ne voulait pas faire de favoritisme. Et c'est vrai que ce massage lui avait fait du bien. Il lui avait permit de se reprendre et pas d'être... sec et insupportable. Il n'aimait pas être méchant. Il voulait juste être gentil. Ne pas changer et continuer d'être gentil. Peu importe les circonstances. Mine de rien, Indiana l'avait aidé en ce sens. Il lui aurait bien fait un câlin mais... Non vraiment, il ne pouvait pas lui faire un câlin là. Pourtant il sentit qu'un câlin serait approprié. Ou un check ? Quelque chose dans le genre. Une petite tape dans le dos ? Wilson commença à faire des mouvements bizarres avec ses bras, comme s'il cherchait la position appropriée. Puis finalement il posa juste ses mains sur les épaules de la divinité, son regard plein de gêne, c'était tellement mal foutu comme câlin ce qu'il était en train de faire. Il resta planté là un moment avant de se rendre compte que franchement ça devait être bizarre. Alors il se rapprocha et lui donna quelques petites tapes dans le dos. Non franchement ça ressemblait à rien. Il s'écarta précipitamment en se rendant compte de la stupidité de son acte et se maudit intérieurement. D'habitude il était doué pour faire des câlins pourtant !
Pour oublier cet épisode honteux, il se tourna vers Emma. Et là... Ce n'était pas seulement le fait qu'elle lui ait donné un gâteau qui faisait qu'elle avait l'air différente à ses yeux. C'était autre chose. Était-ce une autre de ses peurs qui se manifestaient de nouveau ? Son regard devait sans doute exprimer son étonnement et son inquiétude plus qu'il ne le souhaitait. Alors qu'il avait eu envie de se rendre vers elle, il s'était arrêté, ne pouvait s'empêcher de la fixer. Qu'est-ce qui s'était passé pour que soudainement, elle ait ainsi changé ? Pourquoi... Pourquoi cette aura ? Et ce n'était pas la seule, non... Ce n'était pas la seule qui possédait cette énergie. Il pouvait le ressentir en écho. C'était là, quelque part, ni trop proche, ni trop loin, c'était présent. Il tourna la tête dans tous les sens, indécis, perdu face à cette nouveauté qu'il n'avait pas vu venir. Il y avait Emma et... et trois autres. Les même. Était-ce en lien avec ce qui venait de se passer dans le temples ? S'agissait-il du secret derrière ce mot « reine » ? Il passa une main dans ses cheveux, effaçant cette expression de curiosité de son visage qu'il remplaça par un petit sourire, ré-adoptant sa petite bouille mignonne qui lui allait si bien.
Il fallait qu'il arrête de penser à tout ça. Ce ne pouvait être qu'une coïncidence. Rien n'était en train de se passer. Rien n'était en train de changer chez Emma, c'était stupide. Ce « reine » n'avait aucun sens, c'était simplement Chronos qui avait beaucoup de problèmes psychologiques à régler. Tout irait bien.
Il lui tendit alors des portes clefs qu'il avait marchandé, à elle aussi, et même s'il tentait de se leurrer, il n'en restait pas moins inquiet. Il était content. Il avait pensé à tout le monde. Il avait eu envie de le faire... sans vraiment savoir pourquoi, parce qu'il n'était pas certain que ceux avec qui il était aient envie de se rappeler de ce voyage. Mais lui, oui. Pas les mauvais côtés. Il voulait juste se rappeler du fait qu'ils n'étaient pas seuls, chacun dans leur coin, à affronter ce qui leur était arrivé dessus. Ils avaient été ensemble. C'était le plus important.
Mure S. Ucciello
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| Avatar : Holland Roden
C’est pas bien
de pas partager. :boude:
| Conte : Mulan | Dans le monde des contes, je suis : : Mushu le Magnifique ! o(´^`)ノ
Mushu est dans la place ! Dieu Git dans quoi ? Et la marmotte elle met le chocolat dans le papier alu aussi non ? Disgrâce !
Qui avait osé ?! Qui ? Hein, qui avait—oh, oui, c’était elle. Pas sa faute quand on est un dragon avec des responsabilités de penser à tout. Donc c’est sur qu’un bout de ferraille ça passe inaperçu au moment de la malédiction. Evidemment après, il avait fallu le retrouver, et elle avait cherché. Que plus jamais on ne lui fasse remarquer que ses chaussures sont impraticables. Elle l’avait bien fait, parcourir la ville en long et en large, qu’ils arrêtent d’être des chochottes et tentent les talons aiguilles pour voir. Ça leur donnera du caractère. Elle sentait des frisons la parcourir de la tête aux pieds, elle le sentait elle y était presque… Elle monta les dernières marches jusqu’en haut de la tour. Cette fameuse tour de l’horloge en plein centre de la ville.
Evidemment que son gong allait se planquer à la vu de tous. C’était le sien quand même, il avait de qui tenir.
Elle poussa la porte au sommet dans un grand bruit (on sait ouvrir une porte ou on ne sait pas, ça vient avec le talent de savoir soigner ses entrées). Et elle était là… Magnifque, parfaite… énorme. De la délicatesse avec les choses enrobées, ça devient vite susceptible. La cloche de l’horloge. Il était là. Elle était là. Elle tendit la main avant de poser délicatement les doigts dessus…
*BONG*
« Noooooooooooooooon ! » Une explosion de magie la propulsa hors de la tour en un fragment de seconde. Elle était si près ! Elle était dans les airs et sentit sa vitesse diminuer, le vent ne semblait pas la retenir autant. Il se décida enfin à quitter la tour contenant son bien le plus précieux des yeux pour vérifier ce qu’il se passait. Ses griffes luisant dans les lueurs du soleil.
Ah.
Bah au moins il avait récupéré ses oreilles (c’était presque indécent comme elles lui manquaient). Il reprit de la vitesse et réalisa trop tard qu’il se rapprochait du sol à une vitesse vertigineuse. « Hey ! Une seconde ! Je sais voler ! Je sais voler ? » Il avait déjà volé ? Il devrait savoir voler c’était injuste, cette tarte de Dragon de Pierre lui il savait voler et pourtant il n’avait pas d’aile ! C’est quoi ce favoritis---
*boing* … *boing* … *boing*
Evidemment il fallait qu’il rebondisse.
On a pas idée d’avoir un corps élastique à son âge. Il avait la tête à l’envers et se remit droit en un instant avant de s’épousseter les écailles. Ses magnifiques oreilles ! Il voulu les vérifier pour s’assurer qu’elles étaient intactes avant de rencontrer une résistance. Des cheveux.
Ah.
Elle en profita pour se recoiffer. Le vent dans les cheveux c’est vraiment une notion surfaite. Avant de baisser les bras. Son tailleur n’avait pas survécu à la transformation, évidemment. Elle ne dirait pas qu’elle était petite, mais proportionnellement à son apparence humaine sa version dragon était plus… modérée. C’est ça, modérée. Donc elle était nue au milieu d’on ne sait où. Non seulement elle allait devoir récupérer ses vêtements éparpillés à travers Storybrooke, mais les affiches dont elle pensait ne plus avoir besoin se trouvaient toujours dans la poche de son manteau. Cette chasse commençait sérieusement à l’agacer. Elle n’appréciait pas ce qui lui résistait. Du tout.
D’un petit mouvement de la tête agacé, elle reporta son attention sur le lieu de son atterrissage. Du bitume. Elle avait de la chance de ne pas avoir atterrit avec sa peau délicate. Ses orteils manucurés clashaient violemment avec le sol foncé. Et des spectateurs qui la regardaient ahuris. Quoi ? Ils n’avaient jamais vus de rousse avant ? Elle haussa un sourcil avant de pencher la tête en avant pour les regarder à travers ses cils d'un air condescendant.
« Alors… Est-ce que quelqu’un va se décider à me donner une veste ? »