« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Je descendis de la Jeep et fis voler un nuage de poussière lorsque mes chaussures en toile se posèrent sur le sol sec. J'enveloppai le paysage d'un regard songeur. C'était d'une beauté à couper le souffle. Le Parthénon se dressait, monument aux quarante-six colonnes, contre le ciel bleu azur dépourvu de nuages. Je chaussai mes lunettes noires et enfonçai mon chapeau en paille sur ma tête pour éviter qu'une rafale de vent ne l'emporte. Cependant, la brise était aussi légère qu'une caresse. Le climat était vraiment agréable. Je m'avançai vers le monument, observant les ruines alentour avec grand intérêt. C'était peut-être idiot, mais j'avais la sensation de marcher dans les pas de mes ancêtres. Mes parents, mes oncles et tantes avaient foulé ce sol, il y a fort longtemps. Quelle allure cela avait-il alors ?
Je rejoignis Hippolyte pour lui dire, avec un sourire extatique qui dévoilait mes dents prononcées :
"Tu te rends compte que nos parents ont foulé ce sol il y a des milliers d'années ? Tu arrives à imaginer à quoi cela ressemblait ? Moi pas, mais j'aime bien y penser."
Je décochai un nouveau regard rêveur vers le monument avant d'observer ma cousine. Elle avait l'air surpris que je réagisse ainsi. Je penchai la tête légèrement, mes cheveux frôlant mes joues. Tout le monde semblait toujours étonné que je ne sois pas comme Elliot. Lui n'en aurait rien eu à faire des vieilles pierres. Je n'y pouvais rien si j'avais besoin d'en parler, de marcher dans ces ruines, de puiser dans le passé. J'avais l'impression que c'était important, presque vital.
Entre-temps, Indiana Jones avait commencé à étaler sa science du Parthénon, aussi je me détachais quelque peu de ma cousine pour prêter une oreille plus attentive à ses paroles. Tout ce qu'il venait de dire, je l'avais appris dans les livres, mais il fallait bien commencer par quelque chose. Il prit la tête de la marche. Je le suivais de près, avec Lily qui me tenait la main. J'aimais bien lorsqu'elle le faisait.
Elle s'éloigna brusquement de moi pour parler avec Hippolyte. Quant à Indiana Jones, de son vrai nom "Charlie", il venait de disparaitre à l'intérieur du temple. Je marchai activement dans ses pas, impatiente de pénétrer à l'intérieur.
Et la visite commença, dans l'ombre bienvenue du temple. J'enlevai mon chapeau dont la paille me grattait un peu et le posai dans un coin, à l'entrée. Puis je fis glisser mes lunettes noires de mon nez à mon crane pour mieux voir. Louise et Emma étaient déjà parties dans leur coin. Le Parthénon était plutôt vaste, alors autant couvrir beaucoup de terrain en même temps. Je plissai des yeux sur la remarque de Charles. Oui, je savais que j'étais le fruit d'une relation incestueuse, pas besoin de le souligner de cette façon ! Et puis comment pouvait-il le savoir ? Je n'avais pas l'impression que j'avais fait étalage de ma vie dans les mails que je lui avais envoyés... Bizarre.
Je décidai de m'éloigner pour explorer à mon tour. Je me dirigeai vers le fronton ouest, découvrant des sculptures murales représentant la querelle entre Athéna et Poséidon pour l'honneur et l'attribution de la ville d'Athènes -ce n'était pas difficile de savoir qui avait gagné. J'esquissai un petit sourire en songeant au girl power qui était déjà d'actualité dans la Grèce Antique. La déesse était dépeinte tenant l'olivier et le dieu de la mer son trident, prêt à fendre la terre. De chaque coté se tenait un groupe de chevaux attelés à des chars ainsi que toute une foule de personnages légendaires. Le décor était si somptueux qu'il s'étendait jusqu'aux extrémités du fronton.
Je dégainai mon téléphone et pris plusieurs clichés. Ensuite, je sortis mon carnet de mon sac, dégainai mon crayon de papier et griffonnai quelques notes à la hâte. Puis, constatant que Lily m'avait rejointe, je déclarai en désignant Poséidon :
"Il n'avait pas l'air commode, celui-là. C'est cool que ça soit Artémis qui ait le trident."
Je remarquai subitement Wilson qui déambulait sans but avec l'air d'un oiseau tombé du nid. Je m'approchai de lui et tentai un sourire pour le rassurer. Je le perturbais. Qu'avait-il dit, un peu avant ? Il pensait que je n'existais pas vraiment. Enfin tout du moins, jusqu'à maintenant, il croyait que notre périple n'avait été qu'un rêve. Je me le demandais aussi, parfois. Pourtant, je savais que j'étais réelle, vivante. C'était une certitude, même si ça ne plaisait à personne. "Tu... tu aurais préféré que je n'existe pas ?" demandai-je timidement. "Je sais que ma présence met tout le monde mal à l'aise. Je n'y peux rien si je suis là... D'ailleurs, c'est surtout pour ça que je tenais à venir en Grèce : pour venir en aide à Elliot. Connaitre les fondements de notre histoire nous aidera à savoir qui on est vraiment. Vu la crise d'identité qu'on se tape, il vaut mieux qu'on le découvre vite !"
Mon sourire s'accentua et je jetai un coup d'oeil à Lily en remarquant qu'elle nous avait rejointe.
"Ne t'en fais pas Will, aucun leprechaun ne va surgir pour nous passer la bague au doigt ! Je ne ferais rien qui pourrait t'embarrasser."
Puis, j'ajoutai à l'adresse de Lily :
"C'est une longue histoire."
Je reposai les yeux sur Wilson. Je ne pus m’empêcher de penser qu'il était vraiment mignon quand il rougissait.
Hippolyte Sherman
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| Avatar : Shelley Hennig
Arrête de t'en faire. Je suis là maintenant, ok ?
Tu m'as vraiment manqué Peg !
| Conte : Inventé | Dans le monde des contes, je suis : : la fille d'Arès.
Le voyage en jeep ne fut pas très long. Hippolyte en avait profité pour observer Wilson et Emma, discrètement. Puis elle s’était concentrée sur le paysage qui défilait. Voyager était une excellente expérience. Cela lui permettait de voir de nouvelles coutumes, de nouveaux paysages. C’était formidable et cela permettait de s’évader, de changer d’air et donc de mettre les problèmes de côté. Ils arrivèrent alors à la première étape du circuit touristique : Le Parthénon. C’était une bâtisse très connu de la Grèce Antique, construit pour Athéna. C’était magnifique. Il s’agissait de ruine, de vestiges mais il restait des endroits très bien conservés. Et Ellie semblait enthousiaste à l’idée d’entrer dans ce monument rempli d’histoire. Elle semblait avoir besoin d’en savoir plus sur ces ancêtres. La demi-déesse aussi d’ailleurs. Il falait qu’elle se fasse une opinion d’eux une bonne fois pour toute. Il fallait qu’elle enlève ses doutes sur sa famille. Fichu Egéon. Pourquoi avait-il fallu qu’il fasse ça à la jeune femme ? Hip sourit à sa cousine. C’était étrange de la voir ainsi. Elle avait du mal à se dire qu’il s’agissait tout simplement d’Elliot. Surtout qu’Elliot n’aurait pas été aussi excité par ce monument. Les deux étaient très différents, ce qui était hyper bizarre puisqu’ils étaient la même personne. « C’est impressionnant en effet. Je me demande comment étaient leur vie avant que tout cela ne devienne que des ruines. J’espère qu’on en saura plus sur eux grâce à ce voyage. » Puis Hippolyte écouta attentivement le guide qui étalait ses connaissances sur le sujet. « ...construit pour la déesse Athéna, ce qui est surprenant, car Parthénon, ça signifie ‘jeune fille, vierge’. En grosso modo, c'est la demeure des filles vierges et Athéna avait strictement rien à voir avec ce genre là ! Vous voyez ce que je veux dire ? D'un coté, il parait qu'elle avait un corps de rêves et des frères qui en avaient un tout aussi beau. Ça aurait fait le régal de n'importe quelle dame. » Il s’était retourné vers Hippolyte en disant cela. Euh pourquoi ? Qu’est ce qu’elle avait fait ? Il était au courant qu’elle avait couru après Dolos ? Non mais cette époque était révolue depuis longtemps. Ou alors savait-il qu’elle connaissait Athéna et qu’elle savait parfaitement qu’elle n’était pas du tout une vierge. Peut-être savait-il qu’elle était une demi-déesse ? Non. Impossible. Ce n’était pas marqué sur son front…à moins qu’il soit lui-même une créature de la mythologie. Cependant c’était une chose qu’Hippolyte n’espérait pas ! Puis soudain, la jeune femme senti qu’on glissait quelque chose dans sa main. Elle tourna la tête puis baissa la tête afin de regarder sa main qui était maintenant en total contact avec la main de Lily. Hippolyte n’était pas habitué à ce genre de contact, mais c’était Lily alors cela ne la dérangeait pas. L’étudiante en histoire lui fit un léger sourire qui s’agrandit au fur et à mesure de ce qu’elle disait. Aller en France était une excellente idée. Paris était la plus belle ville du monde, d’après une grande majorité de personnes. « Je suis toute à fait d’accord. Nous sommes de grandes aventurières. On dépassera bientôt Indiana Jones si on continue. En tout cas, la France, c’est une idée qu’il faut garder en tête. » Oui, quelques jours en France serait sans doute génial. Après Lily, Hippolyte arrivait plus facilement à mettre ses problèmes et ses interrogations de côté. Mais elle y arrivait d’autant plus qu’elle s’éloignait de Storybrooke, ville de tous ses problèmes…avec Londres maintenant ! Hippolyte suivit le guide, tandis qu’Emma et Louise étaient parties découvrir plus en détail des parties du Parthénon. Le regard de la demi-déesse se posa sur la frise qu’Indiana était en train de montrer. Il y avait des nymphes. Elles avaient l’air magnifique. Ceci lui fit penser à Erythie qui avait malheureusement disparue. En pensant à elle, Hippolyte eut un petit pincement au cœur. Et lorsqu’Indiana parla d’Aphrodite, Hip posa rapidement le regard sur Ellie puis se reconcentra sur la frise en croisant les bras. « La plus belle création de l’univers…Mon cul ouais. » avait-elle murmuré pour elle-même, bien que sa remarque était quand même audible. Oui. Elle en voulait toujours à sa tante. Elle ne l’aimait pas du tout, et cela risquait d’être très dur pour Hip d’avoir un avis différent sur elle. Les traits de visage d’Hippolyte fut encore plus dur lorsqu’il parla des Harpies. Bah dis donc, il semblait les connaître, comme s’ils les avaient déjà vus. En tout cas-là, elle ne pouvait qu’être d’accord avec lui. Elles étaient dangereuses, des créatures enragés et difficilement dégommable à moins d’avoir une arme divine. Bref, Hippolyte sorti de ses pensées et remarqua alors qu’elle était seule avec le guide. Tout le monde était parti à droite, à gauche pour observer les différentes frises, les différentes sculptures. Lily, Wilson et Ellie étaient ensemble. Et Hippolyte n’arrivait pas à retrouver Emma et Louise. Tant pis. La fille d’Arès décida d’aller dans un côté où personne n’était encore allé pour observer plus en détail l’architecture. Elle s’arrêta face à une frise qui dépeignait des personnes sur des chevaux. Immédiatement, Hippolyte pensa à ce qu’Indiana lui avait dit sur son prénom. Délier les chevaux. La jeune femme ne comprenait pas trop ce que cela signifiait mais cette frise lui faisait penser à ça. D’après l’écriteau à côté, il s’agissait de la Frise des Panathénées. Hippo sorti un livre de son sac, c’était une encyclopédie sur la mythologie grecque. Il y avait tout et n’importe quoi dans ce bouquin. Il y aurait certainement un passage sur les Panathénées. L’étudiante ouvrit son livre puis alla vers le lexique pour chercher quelle page correspondait à ce sujet. Une fois fait, Hippolyte feuilleta le livre et s’arrêta à la page indiqué. « Les Panathénées étaient une fête annuelle organisées en l’honneur d’Athéna, déesse protectrice de la cité d’Athènes. La frise dépeint pas moins de 300 personnes différentes. » Hippolyte suivit la frise pour l’observer en détail. Elle était très très longue ! D’après le livre, elle mesurait 160 mètres. C’était énorme. Hippolyte s’arrêta face à une partie de la frise. Il y avait un matériau différent du marbre sur une petite partie. La jeune femme plissa les yeux, essayant de voir de quoi il s’agissait. Elle fit les yeux ronds lorsqu’elle comprit qu’il s’agissait d’une lance en métal, enfin d’une représentation d’une lance en métal. Est-ce qu’il s’agissait de la lance qu’Arès lui avait léguée ? C’était bizarre. Hippolyte se retourna, remarquant qu’elle s’était quand même pas mal éloigner du groupe ! Aussi. Elle décida de revenir vers le guide…
love.disaster
Wilson Wallander
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| Avatar : George Blagden
| Conte : Wall-E | Dans le monde des contes, je suis : : Wall-E
Il devait avouer que c'était très joli comme endroit. Assez vieux, certes, mais beau à regarder. Lorsqu'ils entrèrent tous à la suite d'Indiana... ou de Charles... Charlie... à la suite du monsieur qui les avait emmené ici, chacun commença à s'intéresser à ce qui les entourait. Wilson lui, restait planté là, les mains accrochées aux lanières de son sac à dos, son regard passant sur chaque fresque, chaque morceau de pierre, chaque recoin qu'il croisait. Même s'il n'avait pas été fabriqué ainsi, il avait toujours été curieux de tout, un collectionneur, pourtant, dans ce lieu divin – pas seulement par croyance mais réellement, ça il le savait maintenant – il se sentait mal à l'aise. Il tremblait légèrement et regretta de ne pas avoir encouragé davantage Eve à l'accompagner. Il avait été tellement excité à l'idée de découvrir de nouvelles choses, de poursuivre ses recherches... Et le voilà tout penaud, enseveli sous trop de possibilités. Peut-être qu'au fond, il avait le mal de Storybrooke.
Il se retourna dans la direction d'Emma mais remarqua bien vite qu'elle était occupée avec un carnet. Lâchant un soupir, il s'écarta à son tour, se disant qu'il fallait mieux faire comme les autres, traînant ses pieds jusqu'à l'une des colonnes. Discrètement, il en profita pour observer Lily qui était avec Ellie. Son cœur se serra lorsqu'il repensa aux mots de Cassandre et il préféré penser à autre chose, baissant les yeux, tentant de trouver une occupation. C'était poussiéreux. Ça lui rappelait la Terre d'où il venait, toute sale et détruire, une ruine... comme ici. Sauf que c'était pas seulement un bâtiment mais toute la planète. Un sourire nostalgique se forma sur ses lèvres et il se pencha pour parcourir du bout des doigts les particules qui parcouraient le sol.
« Ça brille... »
Il se parlait tout seul, ça le rassurait, on fait avec ce qu'on a que voulez-vous. Dans un sens, même si ça montrait que le lieu n'était pas très entretenu – d'un côté, mieux valait laisser l'endroit en l'état et ne pas risquer de l'abîmer – ça lui donnait du charme. Il se demandait combien de personnes avaient pu passer ici, en visite, les yeux grands ouverts et pleine de magie et de questions face à la civilisation maintenant révolue qui avait construit l'édifice. En l'honneur des dieux. Des dieux qu'il connaissait et avec qui il avait même discuter... Ici, c'était donc pour Athéna. Celle qui avait participé à la fin d'Eris et d'Hermès. Pas seulement incestueuse apparemment mais aussi fratricide. Cette famille, c'était vraiment n'importe quoi, il se demandait comment ils arrivaient à gérer et... à survivre. Il lança un coup d'oeil à Hippolyte. En tant que fille d'Arès, il se demandait à quoi pouvait ressembler sa vie. Les seules fois où il l'avait croisé, ils s'entraînaient juste. Il ne connaissait rien d'elle. C'était peut-être mieux comme ça d'un côté...
Wilson se demandait néanmoins si, connaissant les dieux, le peuple de cette époque avait aussi connaissance des titans. De Chronos. De son histoire... Sa destinée ? Il grimaça rien qu'en y pensant, se redressant et époussetant ses mains sur son pantalon. Il ne venait pas pour ça, il venait pour en connaître plus sur le dieu de la Renaissance. Plus particulièrement sur sa progéniture. En parlant de ça, Ellie s'était dangereusement rapprochée.
« Tu... tu aurais préféré que je n'existe pas ? »
Quoi ? Pourquoi elle demandait ça maintenant, d'un coup ? Il se sentait stupide. Il l'avait rendu triste ? Ce n'était pas son but... Écoutant la suite de ce qu'elle avait à dire, il ne prononça pas un mot, essayant de faire le lien. Elle avait quelque chose à voir avec Elliot apparemment, ça il l'avait deviné. La nature exacte n'était pas encore très claire pour autant... Une 'crise d'identité' ? Ils étaient... un peu comme deux personnes en formant une seule ? C'était vraiment très perturbant.
« Ne t'en fais pas Will, aucun leprechaun ne va surgir pour nous passer la bague au doigt ! Je ne ferais rien qui pourrait t'embarrasser. »
Cette réplique le fit rire doucement. Ce court instant dans le monde d'Ellie – parce qu'il devait s'agir de sa création, certainement, tout comme Elliot avait pu faire des zombies au Laser Game – s'était révélé complètement... En fait, franchement, ça ne ressemblait à rien. Et même s'ils ne s'étaient pas mariés, il se rappelait maintenant qu'elle l'avait bel et bien embrassé. Elle avait même fait remarqué que ça avait été... ah oui, « bizarre ». Mais il avait sans doute préféré oublié ce moment pour ne pas se sentir totalement nul. Parce que « bizarre », après un premier baiser, c'est pas l'adjectif qu'on espère. Oh, il ne devait en parler à personne aussi, ça il l'avait retenu. Bien qu'il ne pensait pas un jour la revoir...
« Tant qu'on ne recroise pas de chèvres, ça me va. »
C'était sorti tout seul, alors qu'il avait un grand sourire, tentant ainsi de lui faire comprendre qu'il était loin de regretter qu'elle soit réelle. Au contraire. Il était même plutôt content, son cerveau n'était pas aussi tordu qu'il le pensait. Puis elle recherchait les origines d'Elliot, était sans doute plus douée que lui dans le domaine, alors elle ne pourrait que l'aider. En plus, elle était gentille.
Wilson préférait éviter Lily du regard. Déjà parce que bon, si c'était bien le double de son petit ami qui se trouvait là, la situation était très embarrassante. Puis il ignorait comment agir avec elle. Il la revoyait complètement inconsciente, lui la posant sur un cheval juste pour donner son bébé en sacrifice. Magnifique.
« Oh elle est jolie la statue ! »
Non. Ce n'était pas suspect. Pas du tout. Lily n'allait se rendre compte de rien. Passant à côté d'elle – en prenant ses distances – il se rapprocha, la main sous le menton, l'air très intéressé. Quand, sans l'avoir vu auparavant, il remarqua le post-it posé dessus. Ça par contre, ça sortait de l'ordinaire. Quelqu'un avait oublié sa liste de courses ?
Retourne-toi.
Ce n'était pas signé, pas daté, même pas de petit dessin pour accompagner la phrase. C'était décevant. Mais Wilson se retourna néanmoins, parce que c'était un réflexe. Un homme avec un long manteau, qu'il n'avait pas remarqué jusque là, se trouvait adossé au mur avec un grand chapeau. Il devait cuire là-dedans. Il lui faisait un signe. Quoi ? C'était lui qui avait écrit le mot ? Il voulait donner son chapeau à Wilson comme Indiana l'avait fait avec Louise ?
Poussé par la curiosité – lui qui n'avait rien trouvé d'intéressant autre part – il se rapprocha à petits pas. Non vraiment, ça le mettait mal à l'aise de le voir sous cette couche de vêtement, il faisait vraiment chaud. Il sortit alors sa bouteille d'eau pour la tendre au monsieur qui l'ignora totalement.
« Le Théâtre de Dionysos est magnifique en cette période de l'année... » « D'accord. »
Cette conversation était passionnante. Et l'homme restait là, sans rien ajouter d'autre, alors que Wilson s'attendait à la révélation de l'année. Il devait avouer être légèrement déçu et ça se voyait à sa tête – vous savez, cette mine de chien battu.
« Vous voulez un cookie ? » « Laisse le tranquille ! Dégage ! » « Mais je veux juste partager mes cookies ! »
Se retournant brusquement sur le côté, le petit robot se rendit compte que ce n'était pas à lui que s'adressait Indiana/Charles/Charlie mais à l'inconnu qui venait de lui parler du théâtre. Will fut alors rassuré, parce que sur le coup, il avait sursauté. Le ton adopté par leur guide avait été loin d'être amical, c'était tout l'opposé. Lui qui s'était pourtant montré si sympathique... Peut-être que c'était juste son ennemi de toujours, le monsieur au long manteau ?
Au milieu, Wilson les observait tour à tour, sa bouteille d'eau dans les mains, l'autre dans son sac, fouillant dans sa boîte de gâteaux. Lentement, il en sortit un qu'il mit devant les yeux des deux gars face à lui, tentant un petit sourire pour calmer Indie qui l'intimidait un peu, sur le coup.
François Sandman
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"Alors Annachou, et les amours ? Ca fait un moment que tu ne me racontes plus rien sur ta vie sentimentale. Quoi ? Comment ça tu m'as jamais rien raconté ? Mais si je me souviens... Ah non, c'était pas toi."
"Je te jure Héra, j'ai pas touché à ta cave à vin personnelle. Tu me prends pour qui, sérieusement ?"
| Conte : ➹ Hercule | Dans le monde des contes, je suis : : ✲ Dyonisos, dieu de la vigne, du vin et de ses excès, de la folie et de la démesure. Rien que ça ! ^.^
Bienvenue dans Dieu Git dans les Détails ! Et aussi dans les vieilles pierres poussiéreuses !
"Laisse le tranquille ! Dégage !"
Je m'étais approché de Max la menace et j'avais posé ma main sur son bras. Je ne voulais pas de lui ici. Il n'était pas question qu'il prenne les choses en main ou quoi que ce soit d'autres. Mais la jeune femme qui se tenait à proximité de moi, avait demandée de quoi parlait l'homme.
"De rien du tout ! Faut pas l'écouter, il raconte n'importe quoi ! C'est un vieux débris qui passe son temps à faire la tournée des bars et à effrayer les touristes. Maintenant tu t'en vas !"
Je l'avais tiré vers moi, le bousculant un peu beaucoup et je l'avais poussé en direction de la sortie. Un gardien s'était approché pour voir si tout allait bien.
"Ça va ! Mais lui, il n'est pas à sa place ici. Il dérange les touristes !"
Ça semblait convenir au gardien qui avait pris Max par le bras pour le faire sortir. Mais ce dernier s'était contenté de relever la tête, laissant voir son visage et il avait fait un regard de killer au type qui gardait ces lieux.
"Max, tu restes calme. C'est clair ? Tu te contentes de partir. Désolé, monsieur l'agent, mais il n'aime pas qu'on le touche."
Je m'étais approché, car je sentais que Max allait s'énerver. La jeune femme, Lily, avait dit quelque chose que j'aurai préféré ne pas entendre, car ça allait conduire à des explications. Mais je n'avais plus trop le choix, maintenant qu'elle avait vue le visage de Max...
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« T'inquiètes Elliot, c'est
pour Halloween... un déguisement...
mais ça fait mal... »
| Conte : Dumbo ϟ | Dans le monde des contes, je suis : : ☣ Dumbo ☣ l'éléphant qui sait voler. ϟ
Je savais que poser la question à Ellie ne m’avancerait pas à grand chose. De toute façon, elle était déjà partie vers une autre découverte. Quand à moi, j'étais restée là. Je l'avais déjà suivie comme un petit chien depuis notre arrivée dans le Parthénon et je ne voulais pas devenir aussi collante que Elliot l'était. Je ne comprenais vraiment pas ce qui lui arrivait en ce moment, à toujours vouloir me surprotéger.
J'avais fait quelques pas en direction de la statue que regardait Wilson. J'allais lui poser la question de pourquoi il avait rougis, pensant que personne l'avait vue et surtout, pourquoi il m'évitait du regard depuis notre départ? Mais une fois pratiquement arrivé à sa hauteur, j'avais sentie mes fesses vibrer. Ou plus précisément, l'une de mes fesses. La gauche si on voulait vraiment être au maximum précis. Elle avait vibrée une fois, puis deux fois et au bout de la troisième fois, au lieu de me dandiner, j'avais glissé ma main gauche dans ma poche et j'en avais sortit mon portable.
C'était un texto de la part de Robyn. Depuis notre départ, c'était le premier. Mais cette nuit, elle m'en avait envoyée une bonne centaine. A chaque fois pour des petits détails concernant le futur mariage. J'en avais très envie et j'étais très heureuse qu'elle soit autant dans le coup, mais ça commençait à être un peu saoulant d'avoir des messages pour pratiquement rien. Comme là par exemple. Elle avait notée si je voulais un ordre précis pour les bonbons de table. Déjà, je ne savais pas que ça existait les bonbons de table et ensuite, c'était quoi les ordres possibles ?
En voyant Hippolyte faire chemin vers nous, je m'étais avancée vers elle et je lui avais montrée le portable, juste avant de faire une grimace. Je ne savais pas quoi répondre à Robyn.
"Tu as déjà entendu parler de bonbons de table ? Et tu as parlé à Robyn ces derniers jours ? Tu ne trouves pas qu'elle prend ce mariage un peu trop à cœur ? Je pensais que ça serait une bonne chose de l'avoir en témoin et je le souhaite toujours, mais j'ai pas envie de cette robe en forme de meringue qu'elle m'a conseillée ou de tous ces bonbons de partout et surtout pas de cette marre de chocolat. Elle va nous servir à quoi ?"
Je me sentais un peu partir en vrille. Ça devenait un peu trop difficile à gérer. J'avais jetée un coup d’œil vers Ellie et mon regard s'était posé sur Wilson qui discutait avec un homme au chapeau, juste avant que notre guide se mette à lui rouspéter dessus. Qu'est ce qui leur prenait à eux ? J'avais donné mon portable à Hippolyte avant de m'avancer en direction du guide.
"Attendez... De quoi il parle ? Il a dit Dyonisos, c'est ça ?"
J'étais persuadée qu'il avait parlé de Dyonisos. Je ne voulais pas que Ellie entende ça, car sinon ça allait sans doute nous faire remettre sur le tapis une histoire que j'essayais plus que tout d'oublier. Pendant un long moment, j'avais eu le beau père d'Elliot dans ma tête... Dyonisos. C'était pas une période facile et ça l'était encore moins quand il avait quittée ma tête pour toujours et ce monde par la même occasion. Un homme était mort à l'intérieur de moi et c'était véritablement flippant. Je n'avais pas pu en parler à qui que ce soit, car rien que d'en parler ça me faisait flipper. Je ne voulais pas que Elliot s'en rende compte. Donc si on pouvait éviter de mettre Dyonisos sur le tapis, ça serait pas plus mal.
"Quoi ?" m'étais-je exclamée en voyant le visage de l'homme au chapeau.
"C'est votre jumeau ?"
Ils se ressemblaient comme deux gouttes d'eau. Même si l'un des deux était plus crasseux que l'autre. Je m'étais avancée pour mieux voir. Oh oui, j'en étais certaine, c'était le même.
"Pourquoi vous parlez comme ça à votre frère ?"
J'avais fusillée du regard Indiana Jones. On ne devait pas parler ainsi aux membres de sa famille et les traiter comme des chiens. Le gardien aussi semblait perturbait par le fait qu'il s'agissait de deux frères.
"Et pourquoi il a parlé de Dyonisos ? Y'a quoi là bas ?"
"Il n'y a rien. C'est qu'un vieux théâtre. Il en reste que des ruines et c'est poussiéreux."
"Un guide qui n'aime pas la poussière ? Laissez moi en rire ! C'est tout ce à quoi on a le droit ? Tout le monde sait très bien que c'est dans les vieilles pierres poussiéreuses qu'on trouve les détails qui peuvent changer le cours de notre vie !"
J'en faisais peut-être un peu trop là...
"Je veux aller sur place !"
"Non."
"Si !"
"Pas question."
"Vous allez nous y conduire !"
"Jamais."
C'était à mon tour de lui faire mon regard de killeuse.
"Votre frère se fait la malle !"
Il avait jeté un regard vers son frère qui disparaissait au loin, puis il m'avait regardé en secouant la tête. Il ne trouvait pas que c'était une bonne idée de se rendre là bas et j'étais entièrement d'accord avec lui. o_O Mais il fallait y aller, juste pour voir pourquoi on ne devrait pas se rendre là bas... o_O O_o
"Bien ! Vous passez devant... S'il vous plaît."
Il ne s'était pas fait prié et il avait ouvert la marche. J'avais laissée échapper un petit sourire triomphant. Puis, je m'étais tournée vers le groupe qui nous avait rejoint et j'avais posée mon dévolu sur Wilson. On avait des choses à se dire tous les deux. Je m'étais dirigée vers lui et je lui avais tendue la main.
"Je ne sais pas s'il y a des chèvres où on va, mais il y aura surement d'autres statues. Alors viens ! On monte à l'arrière tous les deux, ça nous laissera le temps de parler."
Je lui avais fait un petit sourire confiant, attendant qu'il me rejoigne.
Elliot Sandman
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quand la moustache est fine...
| Conte : Intrigue Divine | Dans le monde des contes, je suis : : Le fils de Hadès et Aphrodite
Je repensai à la remarque de Hippolyte concernant ma mère. C'était plutot étrange qu'elle ne soit pas du même avis que la majorité des gens. J'avais cru comprendre qu'elles avaient eu un différend à Londres, mais je n'en savais pas plus. J'en étais étonnée car ma mère se montrait toujours très gentille avec tout le monde, exceptés les vendeurs de fruits et légumes.
Je me replongeai dans le moment présent en entendant Wilson s'extasier sur une statue. Le pauvre, il tentait de cacher son embarras en s'intéressant exagérément à la chose la moins merveilleuse de tout le Parthénon.
Puis surgit un homme vêtu tout de noir, avec un chapeau qui plongeait son visage dans l'ombre. Il mentionna le théâtre de Dionysos. Je fronçai les sourcils à l'évocation du nom de mon beau-père défunt. J'eus l'impression que mon coeur venait de se liquéfier dans mes chaussures. Interdite, je regardai Lily qui prenait les choses en mains. Quand elle voulait, elle ne lâchait pas l'affaire.
Je dévisageai l'homme au chapeau qui ressemblait trait pour trait à Indiana. Apparemment, on assistait à une querelle de frères. Je connaissais ça. Sauf que je n'étais pas vraiment la soeur d'Elliot. En fait, ces deux-là ne savaient pas la chance qu'ils avaient, à être juste des jumeaux qui se chamaillent. Au moins, ils savaient d'où ils venaient et ne partageaient pas les mêmes émotions. Lily insista tant et si bien qu'Indiana capitula et accepta de nous conduire au théâtre de Dionysos. Un frémissement me parcourut. J'ignorais ce qu'on allait y découvrir, mais l'idée d'en connaitre plus sur François me fascinait. Peut-être allait-on déterrer de vieux souvenirs ? Il me restait si peu de lui. Juste des pensées. Le bruit de la fraise dans son cabinet de dentiste. L'odeur du vin lors de ses soirées dégustation entre amis, à la maison...
J'eus un pincement au coeur en me rendant compte que ses souvenirs n'étaient pas les miens, mais ceux d'Elliot. Je les lui empruntais, je les lui volais, alors que je n'étais pas là à ce moment-là. Ou peut-être que si. Comment savoir ? Avais-je toujours été quelque part en lui ?
Je restai un peu en arrière, tandis que le groupe s'éloignait vers la Jeep. J'espérais infiniment que toutes ces questions auraient enfin des réponses. J'en avais besoin. Je voulais savoir qui j'étais, d'où je venais.
Je sortis du Parthénon et retrouvai la chaleur étouffante. Soudain, un toussotement me fit m’arrêter. Avait-on oublié quelqu'un ? Je me retournai, avisant les ruines, quand un "Psssit !" attira mon attention sur un jeune homme, très mal caché derrière un buisson à moitié desséché.
"Aaron ?" fis-je, déconcertée.
Oui, c'était bel et bien l'homme qui nous avait accompagnés lorsque nous avions fait les boutiques à Londres. Il me fit signe d'approcher. Je fis une petite moue et enjambai les décombres pour le rejoindre.
"Tu crois que c'est le moment ?" me demanda-t-il, les yeux agrandis par l'espoir. "Le moment de quoi ?" demandai-je sans comprendre. "Bah tu vois, j'ai pris ça pour Loulou..."
Un froissement de papier plastique se fit entendre, puis il me montra un paquet d'Arlequins qu'il sortit de son sac à dos avant de le ranger rapidement, comme s'il craignait qu'on le lui vole.
"J'ai fait exprès le voyage pour lui donner. J'avais peur qu'elle en manque... Tu crois que c'est le bon moment pour lui donner ? Ca fait romantique avec le soleil et les ruines, non ?"
Je l'observai d'un oeil critique, avec son tee-shirt qui portait des auréoles vraiment "ravissantes" et son visage en sueur. Oui, effectivement, c'était furieusement romantique. J'esquissai un gentil sourire et proposai tout en éludant méthodiquement sa question :
"Tu peux venir avec nous, si tu veux."
Aussitôt, ses yeux s'agrandirent d'anxiété.
"Nan ! Ca le ferait pas ! Je suis ici incognito ! Je peux pas trainer avec vous ! Faut pas qu'Egéon l'apprenne, ça serait pas cool !"
"Ok ok, alors tu vas... faire quoi ?"
"C'est tranquille, je continuerai de vous suivre comme je l'ai fait jusqu'à maintenant !" dit-il avec un grand sourire. "Et c'est énorme le Théâtre de Dionysos ! Je pourrais faire une scène de Shakespeare à Loulou, t'en penses quoi ?" "Tu fais ce que tu veux." soupirai-je, songeant qu'il avait une drôle de notion de l'incognito.
Il passa une serviette de bain sur son visage mouillé et la rangea dans son sac. Après quoi, il plaqua son index sur sa bouche pour mimer un "chut !" et courus à l'opposé de nous. Sans doute voulait-il arriver avant au théâtre pour préparer son monologue dramatique. Je clignai des yeux et secouai la tête avant de retourner à la Jeep. "Louise, prépare-toi mentalement, je crois que tu vas en avoir plein la vue." dis-je tout en montant dans la voiture.
J'étais tout de même anxieuse à l'idée que l'ami d'Egéon se promène dans les parages. Il n'avait pas l'air dangereux, mais après ce qu'il s'était passé à Londres, j'avais la sensation qu'une menace planait dans l'air.
Emma Swan*
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| Conte : Once upon a time | Dans le monde des contes, je suis : : la fille de Blanche et Charmant
❝ Avec Ellie, Lily,Hippolyte,Wilson ,Emma et ...Indiana ? O.o ❞
Je m'apprêtais a rejoindre Wilson quand mon portable sonna pour me signaler un texto,je le sortait de ma poche,regardais le message en souriant avant d'y répondre puis je le rangeais.Je m'avançais pour retourner a l'endroit ou nous étions avant que je me décide a explorer un peut.
" Laisse le tranquille ! Dégage ! "
Je revenais pile au bon moment apparemment,je m'avançais lentement vers Wilson ,Indiana et le dernier type,prête a intervenir si jamais sa tournais au vinaigre,après tout se n'était pas parce que je n'était pas en service que je ne gardais pas mes réflexes de shérif ,bon je n'avais aucune menotte ,ni mon arme de service et Indiana avait l'air costaud mais avec assez de volonté je pourrais tenter de le maîtriser,tenter étant le mot clé dans cette phrase.Puis Lily intervint en parlent de Dionysos,le fameux dieu des vignes et du vin, je m'avançais a mon tour pour me placer près de Wilson tout en suivant la conversation,me demandant pourquoi on parlait de ce dieu la.
"C'est votre jumeau ?"
Je fronçais les sourcils avant que mon regard ne se pose sur le type a chapeau qui en effet ressemblait comme deux goutte d'eau a notre guide,il avait une drôle de façon de traiter sa famille celui la,mais tout le monde ne s'entendais pas parfaitement bien avec sa famille,moi même j'avais du mal avec la mienne mais il est vrai que je ne leur parlais pas comme cela,il devait il y avoir une histoire la dessous et personnellement j'avais pas spécialement envie de savoir,sa ne me regardais pas .
J'observais Lily qui continuais de parler avec "Indiana",elle ne lâchais pas l'affaire,comme un chien avec un os,moi même j'aurais surement déjà lâcher l'affaire mais le fait que le guide n'avais pas l'air très chaud pour nous emmener au théâtre de Dionysos faisait que moi aussi je voulais savoir quel en était la raison,alors je la laissait argumenter et elle finit par avoir se qu'elle voulais.
Les autres était tous présent donc nous pouvions a présent nous en allez,je montais a mon tour dans la jeep,déposant mon sac a mes pieds puis la jeep démarra et nous étions en route vers le fameux théâtre,je sortais de nouveau mon carnet pour noter deux trois détail puis je me mis a lire la partie sur le théâtre de Dionysos,tout en écoutant d'une oreille distraite les conversations des autres.
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Louise Hollen
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He had beautiful eyes. The kind you could get lost in.. and I guess I did.
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Louise & Hippolyte & Lily & Ellie & Willson & Emma
Mais c'est quoi cette manie qu'ont les gens de ne pas répondre clairement a mes questions ? J'en pause pas de si compliquées quand même … Se demanda Louise en revenant vers le groupe. Au moins, Wikipedia ne la laissait jamais tomber lui. La jeune femme rajusta son chapeau Et revint tranquillement vers le groupe, avant de remarquer qu'un nouvel individu se tenait parmi eux. Ce qui n'était pas au goût de Charles apparemment. Il se mit a lui parler avec violence, et le traîna de force dehors. En l'entendant hausser le ton, la princesse ne put se retenir de se crisper, extrêmement mal a l'aise. Sa gorge se serra, ses mains se mirent a trembler et son cœur s’accéléra.
Elle détestait quand les hommes criaient ca lui faisait une peur bleu. Tout ca a cause d'un certain époux. Et il fallait dire que ca ne c'était pas arranger depuis qu'elle avait eut a faire a Nathanaël, là, elle avait trouvé le courage de lui faire face uniquement grâce a Peggy. Mais là .. seule, face a une dispute dont elle ne comprenait pas la portée, elle se sentait fragile et n'avait qu'une envie : se rouler en boule dans un coin en serrant une peluche, et attendre que sa passe.
Mais elle n'avait ni oreiller, ni couverture a disposition, aussi se contenta elle de reculer lentement, en se maîtrisant du mieux qu'elle pouvait. Elle n'allait pas non plus se mettre a pleurer devant tout le monde !
Le pire fut quand elle se rendit a son tour compte que Charles était le frère de ce type qu'il maltraitait, ce Max. Un coup de poing ne l'aurait pas autant sonné. Comment peut il faire ca a son frère ?! La famille c'est ce qu'il y a de plus important au monde ! Il n'a pas le droit de le traiter comme ca … La jeune femme sentait la colère, l’incompréhension et la tristesse se mêler en elle. Comment Charles pouvait il faire ca ? C'était totalement injuste ! Il n'avait pas le droit de traiter son frère comme ca, il n'avait rien fait de mal !
Mais rapidement, Max se carapata. Ce fut en suite Lily qui prit les choses en mains, et exigea que le petit groupe se mette en route pour le théâtre de Dionysos. Charles n'avait vraiment pas l'air content quand ils grimpèrent dans la jeep. Lily et Wilson s’installèrent a l’arrière, puis Emma grimpa, suivit de Louise. Ils attendirent un peut, puis Ellie les rejoignit et dit a la jeune femme en grimpant. "Louise, prépare-toi mentalement, je crois que tu vas en avoir plein la vue." La princesse se tourna vers elle, sortant de la bulle dans laquelle elle c'était enfermée . « Pardon ? De quoi tu parles ? » Mais rien a faire, la déesse se contenta de garder un sourire énigmatique sur le visage. Bah, je verrai bien, pensa la jeune femme en haussant les épaules.
Le voyage fut rapide, et la jeune femme se mura dans le silence, encore marquée par la dispute. Ils arrivèrent au théâtre de Dionysos et descendirent de voiture. Les théâtre datait du Veme siècle et avait été bâtit en l'honneur de Dionysos, dieu du vin, du théâtre et des excès. La jeune femme c'était mise a errer entre les gradins de pierre, essayant d'imaginer la foule qui se trouvait là auparavant, quand soudain il y eut du mouvement au centre. La jeune femme plissa les yeux, voyant un homme qui s’avançait sur la sène. Et soudain, elle le reconnut. Aaron ? Mais qu'est ce qu'il fiche ici ? Le jeune homme lui fit un grand geste de la main et avant quelle ait pu dire quoi que ce soit, se mit a déclamer : Ô ma douce amie ! prenez mes paroles dans le sens que leur donne mon innocence. Dans l’entretien des amants, l’amour est l’interprète; j’entends que mon cœur est uni au vôtre, en sorte que nous pouvons des deux cœurs n’en faire qu’un; que nos deux âmes se sont enchaînées par un serment, en sorte que ce n’est qu’une foi dans deux âmes. Ne me refusez donc pas une place à vos côtés, pour me reposer ; car en me couchant ainsi je ne ments point. Oh. Shakespeare, les songes d'une nuit d'été, le moment ou Lysandre demande a Heléne de dormir a ses cotés. Sa pièce favorite. Elle eut un sourire amusé, avant de se mettre a rire. Et avant qu'il ai pu répondre, elle se prit au jeu. D'un bond elle grimpa sur un banc en pierre et se mit a déclamer d'une voix forte : Est-ce que je vous sollicite? est-ce que je vous abuse par de douces paroles, ou plutôt ne vous ai-je pas dit la vérité nue, je ne vous aime point, je ne puis vous aimer ?
Il eut l'air … étonné qu'elle réponde. Il ne devait pas s'y attendre. Mais un sourire vint finalement sur ses lèvres. Il repris, grimpant les marches vers elle. Ah! pourquoi rebutez-vous celui qui vous aime tant ? Gardez ces rigueurs pour votre plus cruel ennemi. Ô Louise ! déesse, nymphe accomplie et divine! À quoi, ma bien-aimée, pourrais-je comparer tes yeux? Le cristal même est trouble. Ô quel charme sur tes lèvres vermeilles comme deux cerises mûres! Comme elles appellent les baisers! Quand tu lèves la main, la neige pure et gla-cée des sommets de Taurus, caressée par le vent d’orient, paraît noire comme le corbeau. Oh! permets que je baise cette mer-veille de blancheur éblouissante, ce sceau de la félicité.
La jeune femme leva les yeux au ciel, amusée bien qu'ennuyée par tant d'étalage. Il ne savait vraiment pas s’arrêter. Elle attendit quelques instants qu'il se rapproche et répliqua. "Charmant, ma foi ! N’avez-vous aucune modestie, aucune pudeur, aucune nuance de décence? Quoi! Voulez vous arracher à ma langue patiente des réponses de colère? "Ils s'envoyaient les répliques, et Louise devait avouer qu'elle s'amusait. "Je suis confondue et ne sais que dire " "Alors ne dis plus rien et restons en la. Bonjour Aaron, comment vas tu ?" Ajouta elle avec un sourire en descendant de son banc pour se mettre a sa hauteur." Et qu'est ce que tu fais ici ? C'est Egeon qui t’envoie ? Je te le dis tout de suite, je n'ai aucune arme divine sur moi."Au moins, ce petit jeux lui avait rendu sa gaité. Jusqu’à ce que le jeune homme ne se jette littéralement sur elle pour lui faire un gros câlin, avant de daigner la relâcher quand elle se mit a lui crier dessus.Il était en sueur en plus. Beurk.
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François Sandman
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| Avatar : ➹ Bradley Cooper
"Alors Annachou, et les amours ? Ca fait un moment que tu ne me racontes plus rien sur ta vie sentimentale. Quoi ? Comment ça tu m'as jamais rien raconté ? Mais si je me souviens... Ah non, c'était pas toi."
"Je te jure Héra, j'ai pas touché à ta cave à vin personnelle. Tu me prends pour qui, sérieusement ?"
| Conte : ➹ Hercule | Dans le monde des contes, je suis : : ✲ Dyonisos, dieu de la vigne, du vin et de ses excès, de la folie et de la démesure. Rien que ça ! ^.^
J'étais resté médusé devant un tel spectacle. D'un, qui était ce type ? Et de deux, qu'est ce qu'ils nous jouaient là ? Je n'avais pas prévu cela pour la visite du théâtre, mais si ça les amusait. Je m'étais avancé vers les deux jeunes gens qui s’étreignaient. Enfin plus lui qu'elle, car si elle restait trop proche de lui, elle finirait collée à lui, vue toute la sueur qu'il dégageait. Il n'avait vraiment pas de chance le pauvre.
"Et voici tombé le mur qui séparait les deux amants." m'étais-je exclamé en les rejoignant.
"Songe d'une Nuit d'Eté, de William Shakespeare. C'était un grand, un très grand. Et comparé à ce qu'en pensent certains, il a véritablement existé et ses oeuvres sont bien les siennes !"
Une théorie partait du principe que Shakespeare n'avait pas écrit ses oeuvres et on prêtait souvent à d'autres écrivains ses écrits. Tout ça à cause que son testament n'incluait pas d'oeuvres littéraires et que beaucoup de passages de sa vie restaient flou.
"Bonjour nouvel arrivant. Je suppose que vous vous connaissez tous les deux. Ca tombe bien, on a réunis le trio : le fou, l'amoureuse et le poète." avais-je dit en citant une nouvelle fois un extrait.
"On dit qu'ils sont tous les trois fait d'imagination. Mais l'amour ne voit pas avec les yeux, mais avec l'imagination."
Je leur avais fait un magnifique sourire, en les prenant tous les deux par les épaules tout en me mettant entre eux et en les conduisant avec moi vers le restant du groupe. Quand je les avais relâché, j'avais porté mon attention sur le jeune homme. Il avait quelque chose d'assez perturbant. J'avais comme une sensation bizarre.
"J'ai appris le texte par coeur dans l'avion. J'ai une bonne mémoire Loulou ! Je ne savais pas que tu aimais cette oeuvre. J'adore lire. J'adore le théâtre aussi et regarde ce que j'ai amené !" avait-il dit en sortant un paquet d'Arlequin de son sac. J'avais levé les yeux au ciel, amusé, et j'avais porté mon attention sur les autres membres du groupe.
"Une fois le mur tombé, pas de remède à ça, monseigneur, quand les murs ont des oreilles... Laissons leur un peu d'intimité et concentrons nous sur ce lieu. Comme vous le voyez, c'était un théâtre. Tout ce qu'il y avait de plus ordinaire, consacré au dieu Dyonisos. Bien avant qu'il soit avec Aphrodite."
J'avais jeté un oeil autour de la scène, les laissant circuler librement et faire leurs trouvailles. Puis j'avais à nouveau porté mon attention quelques secondes sur cet homme. J'avais vraiment l'impression de l'avoir déjà vue quelque part. Mais où ?
Hippolyte Sherman
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| Avatar : Shelley Hennig
Arrête de t'en faire. Je suis là maintenant, ok ?
Tu m'as vraiment manqué Peg !
| Conte : Inventé | Dans le monde des contes, je suis : : la fille d'Arès.
A peine arrivée au niveau du groupe, Hippolyte se fit accoster par Lily, qui tenait un portable dans sa main. La brunette lui montra le téléphone tout en parlant. Oula stop ! Hippolyte ne comprenait rien, elle parlait trop vite ! Elle ne prenait même pas de respiration durant son monologue de question. Et c’est en prenant le portable des mains de Lily et en lisant le message qu’elle comprit qu’il s’agissait du mariage. « Oh…Robyn...Tu sais c’est pas… » Hippolyte leva la tête pour regarde Lily dans les yeux. Mais cette dernière venait de partir. Ok. La jeune femme leva les yeux au ciel puis soupira légèrement. En plus, elle avait toujours son portable. Hippo la rangea dans sa poche puis elle observa la scène de loin. Indiana, un mec en manteau (un fou sans doute), Wilson et Lily. Ce n’était pas sa bataille. Aussi, Hippolyte décida de continuer à regarder les frises sans se soucier des autres. D’ailleurs, les autres ne semblaient pas trop se soucier d’Hippolyte puisqu’ils sortirent du Parthénon sans avertir la demi-déesse. Super. Ils voulaient la laisser crever ici ? « Eh ! Attendez-moi bordel ! » Ok. Le bordel était peut-être de trop. Mais entre Lily qui lui avait foutu un vent et cet abandon injustifié, la colère d’Hippo avait commencé à monter. Zen, Calme. Hippolyte marcha rapidement vers la sortie, serrant les lanières de son sac sur ses épaules. Silencieusement, la jeune femme suivit le groupe et monta dans la jeep. Puis elle sentit le portable de Lily dans sa poche. Dommage, elle était en pleine conversation avec Wilson. Hippo n’aimait pas ça, elle n’aimait pas voir celle qu’elle considérait comme une de ses meilleures amies être proche d’un ex-cavalier. Avait-elle oublié qu’il avait failli la tuer ? Hippolyte inspira puis expira longuement avant de se concentrer sur le paysage qui défilait sous ses yeux. Puis la jeep s’arrêta. Hippo ne savait même pas où elle était. Mais lorsqu’elle sorti de la voiture, elle reconnut immédiatement les vestiges d’un lieu connu de la Grèce Antique : Le théâtre de Dionysos. Les ruines étaient magnifiques. Mais avant de continuer la visite, Hippolyte devait rendre le portable de Lily et enfin lui répondre. La brunette était enfin seule, Wilson n’était plus à ses côtés. La demi-déesse en profita pour se rapprocher de la jeune mère. Elle prit le portable dans sa main, puis glissa sa main dans celle de Lily. « Tu as oublié ça toute à l’heure. » Hippolyte retira sa main de celle de son amie avant de mettre ses deux mains dans ses poches arrières du short. « Personnellement, je valide la fontaine de chocolat. J’aime tellement le chocolat…Par contre… » Hippolyte planta son regard dans celui de Lily. « Sérieusement, une robe en forme de meringue ? Non, non et non. C’est tellement horrible et moche. Si Robyn te fait subir ça je l’étouffe avec des meringues… » Hippolyte observa le théâtre ou du moins ce qu’il en restait avec des yeux d’enfant. C’est magnifique. Ca faisait vraiment bizarre de se trouver sur la terre de sa famille, en quelque sorte. « Pour les bonbons de table, j’en ai aucune idée…Je n’ai jam… » Hippolyte s’arrêta brusquement. Elle fixa la scène du théâtre où un jeune homme était en train de jouer une scène…Et Hippolyte tourna la tête vers la personne à qui s’était adressé. Louise. « Quoi ?! Aaron ?! » La demi-déesse fit les yeux ronds. Aaron était là. Qu’est-ce qu’il foutait là lui ? Si Aaron était là, ça voulait dire qu’Egéon n’était pas loin. Hippolyte s’éloigna de Lily puis chercha du regard où pouvait se trouver Egéon. Pourquoi est-ce qu’ils étaient là ? Le fils de Poséidon ne pouvait vraiment pas lâcher sa quête stupide. En marchant entre les vestiges des gradins en pierre, Hippolyte espérait trouver son cousin ou une trace de son passage. Mais pourquoi le cherchait-elle ? Comme si elle avait envie de le revoir. Hippolyte décida de s’arrêter et de s’asseoir. C’était le soleil. Ca lui faisait penser à tout et n’importe quoi. La jeune femme prit sa tête entre ses mains et posa ses coudes sur ses genoux. Il fallait qu’elle arrête de penser à lui, c’était vital ! Hippolyte remonta doucement la tête et aperçut alors un bouton rouge, pile face à elle. C’était étrange, bizarre. Qu’est-ce qu’un bouton rouge venait faire ici ? Est-ce que ça allait lancer un mécanisme ? Qui ne tente rien n’a rien. Alors pour assouvir sa soif de curiosité, Hippolyte décida d’appuyer. Mais rien. RIEN ! « Inutile. Quel imbécile a placé ça là ? » La demi-déesse leva les yeux au ciel puis fixa l’horizon. C’est là qu’elle vît une femme un peu plus loin. Cette femme avait retenu l’attention d’Hippolyte pour la simple et bonne raison qu’elle portait une tenue de l’époque antique, une toge, un drap blanc quoi. Elle buvait et dansait. Sa danse était très gracieuse et très expressive. Hippolyte se leva, décidé à lui demander qui elle était. Mais une fois levée, un rire la fit se retourner. Une femme venait d’apparaître derrière elle. Comme la première femme, elle dansait tout en buvant. Ok. C’était le before d’une soirée déguisée ? Le must dans l’histoire c’est que la danseuse tendait le breuvage à Hippolyte, lui proposant de boire avec elle. Hippolyte haussa un sourcil. Comme si elle allait boire avec une inconnue. Même si elle avait soif, elle ne risquerait pas de boire avec quelqu’un qu’elle ne connaissait pas et qui portait une tenue aussi étrange. « Qui êtes-vous ? » Bah oui, autant faire les présentations. « Quelle importance ? On est là pour s'amuser, c'est tout ce qui compte. Boit ma belle, boit ! » La femme tendait toujours son breuvage en se trémoussant à côté d’Hippolyte. Elle l’a draguait ou quoi ? S’amuser dans des ruines, danser sans musique, boire en plein jour ? Cette femme n’allait vraiment pas bien dans sa tête. « Je bois pas dans la même bouteille qu’une inconnue, désolée. » Hippolyte allait rejoindre les autres mais la réponse de l’inconnue l’interpella. « Mais je ne suis pas une inconnue… » La femme passa un bras autour du cou d’Hippolyte. Whoo ! Calmos. Hippolyte eut un petit mouvement de recul, pas habitué à ce que des inconnus la touche comme ça. « Whoo ! Espace personnel ! » La femme lui tendit une nouvelle fois la bouteille. Plus Hippolyte la regardait, plus elle avait envie de boire. Certes, cela ne devait surement pas être de l’eau mais qu’importe. En plus, elle n’avait plus d’eau, donc autant boire autre chose que de mourir déshydraté. « Et si je te dis mon petit nom, tu bois ? » Hippolyte eut un léger sourire tout en roulant des yeux. Elle acquiesça légèrement de la tête. « Ménadie. » Puis elle se mit à rire. C’était son prénom qui la faisait rire ? Elle n’avait pas encore entendu le sien. Hip prit la bouteille puis avala une gorgée. A ses risques et périls comme on dit !