« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
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(Et ouais du coup j'en profite pour faire un tour et mâter les profils, z'allez faire quoi pour m'en empêcher hein ?)
| Conte : Les mondes de Ralph. | Dans le monde des contes, je suis : : Vanellope Von Schweetz, ou la princesse d'un royaume de sucreries qui préfère conduire des voitures en gâteaux.
Dans la jungle tu attendras, un 5 ou un 8 te delivrera.
Hey hey What's the matter with your head? yeah... Hey hey What's the matter with your mind and your sign? And-a ooh-ohh Hey hey Nothin's a matter with your head, baby, find it Come on and find it Hell, with it, baby, 'cause you're fine and you're mine And you look so divine
Come and get your love Come and get your love Come and get your love Come and get your looooove
La chanson de Redbone qui se déversait de ma chaîne Hifi noire posée sur ma table basse était si forte que j'étais à deux doigts de devenir sourde. Comme si j'avais été un concert pour au final m'exploser les tympans à cause des cris de groupies en chaleur. Là au moins, c'était la musique dans toute sa splendeur qui me retirait ce sens à la fois si merveilleux et si agaçant qu'est l'ouï. Imaginez, si je devenais sourde, je n'aurai plus jamais à entendre les gens se plaindre et raconter leur vie insignifiante ! En même temps, ça me manquerait de ne plus pouvoir entendre le ton si délicat de ma voix quand je leur dis avec tact d'aller se faire voir.
De toute façon, si la musique était aussi forte, c'est juste que j'aime pouvoir chanter sans que quelqu'un puisse m'entendre faire autre chose que crier et me laisser aller à faire des choses tellement plus... normales. J'aime chanter en faisant le ménage ou en cuisinant, je trouve même que je me débrouille pas trop mal. Si je n'étais pas du genre à éviter mes semblables comme si ils étaient pestiférés, je me serrais même laissée tenter par rejoindre un groupe amateur. Waouh ! Est-ce que je viens vraiment de penser à ça ?
Les mains plongées dans l'eau mousseuse et sentant la pomme dans mon évier, je chantais en frottant énergiquement la vaisselle, tout en tapotant du pied pour suivre le rythme et m'offrant même le luxe de m'essayer à quelques pas de danse ridicules, surtout quand on risque de mettre de l'eau partout si on bouge. Je ne voudrais pas que mon canapé-lit sente la pomme verte. Ce studio est vraiment tout petit.
Les tapements de la batterie de la chanson étaient de plus en plus perceptibles, et j'essayais toujours de calquer le rythme avec mon pied droit. Ça avait quand même l'air vachement fort comparé à tout à l'heure. Je m'arrêtais de bouger, une main tenant l'éponge pleine de mousse blanche et l'autre serrant de manière experte une assiette pour éviter qu'elle ne se brise. C'était moi ou les « bam bam » ressemblaient plus à des battements de cœur que des baguettes de bois qui frappaient avec passion un tambour ? Le bruit était tellement fort maintenant que même la musique était quasiment couverte.
Je lâchais d'un coup ce que je tenais, et le bruit de quelque chose qui se fracasse m'indiqua que l'assiette n'avait pas survécut à la chute. Je n'en avais pas grand chose à faire enfaîte. Il n'y avait que ce bruit atroce qui m'obsédait. J'avais l'impression d'entendre mon propre cœur résonner dans ma tête puissance dix milles.
Mon studio avait l'air vivant maintenant. La chanson était terminée maintenant, les paroles de « Save the Rock and Roll » avait remplacé l'autre, mais je l'entendais à peine. Il y avait juste ce bruit horrible qui donnait vraiment envie de se transpercer les tympans. Mais je n'allais pas le faire, si ce bruit était juste dans ma tête, alors là je serais vraiment dans la merde. Je me mis à fouiller, sans faire gaffe à mes mains encore recouvertes de mousse parfumée. J'ouvris les très peu nombreux placards qui me permettaient de ranger mes affaires, mais rien. J'avais beau jeter mes vêtements au sol et retourner mes papiers, rien.
J'allais en devenir dingue. J'avais de la mousse partout dans les cheveux à force de passer les mains dedans. Le son était encore plus fort. C'était atroce. J'allais brûler ce studio. Tant pis, de toute façon je n'y suis pas trop attachée.
Mon regard se posa tout à coup sur le canapé. Je n'avais pas cherché... Oui. Je m'en approchais et me mis à quatre pattes pour tendre le bras en-dessous. Je sentis quelque chose et l'attrapais d'une main pour le tirer vers moi. C'était une boîte en bois, avec des gravures style jungle. Je passais un doigt sur le nom en relief, en suivant la ligne que formait la lance gravée.
- Jumanji...
Je me souvenais pas d'avoir acheté ça un jour. Encore moins volé. Ou même qu'on me l'ait donné. C'était un inconnu au bataillon. Je restais à genoux et ouvris la boîte assez impatiemment, toute curieuse de ma découverte. La curiosité c'est le mal, je sais. Mais au moins, les battements de cœur monstrueux étaient terminés.
Ça avait l'air d'un jeu. Il y avait des dés, des pions en forme d'animaux et des cases. Je ne suis pas surdouée, mais je sais à quoi ressemble à un jeu de société. J'aime pas du tout ça, ce qui m'explique encore moins pourquoi j'ai ce jeu en ma possession.
J'allais lire ce qui avait écrit sur les côtés quand quelque chose se propulsa sur le plateau. C'était un pion en forme de lion qui était désormais posé sur la case départ. Ok... les jeux qui ont une volonté propre alors qu'ils sont même pas virtuels, j'aime encore moins. J'attrapais le pion entre deux doigts et commençais à le tirer quand tout à coup le décor tout autour de moi se mit à changer.
En quelques secondes, mon studio était devenu une sorte de vieux manoir poussiéreux et démodés. Du moins ce que je pouvais en voir. Tout était en bois, absolument tout. J'étais toujours agenouillée, et j'étais posée sur un tapis. En bois. Sérieux, qui est assez dérangé pour avoir un tapis en bois sur son sol en bois ? En plus il y avait le jeu. Oui, bien sûre... j'ai lu Harry Potter moi, je sais comment ça marche les portoloins.
- C'est quoi encore ces conneries ?
Mon écho me répondit. Bon bah au moins, je serais en tête à tête avec moi. Les souvenirs du Laser Game étaient encore trop présent dans mon esprit. Si je pouvais éviter la bande de losers, moi ça m'arrange.
Regina Mills
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| Conte : blanche neige et les sept nains | Dans le monde des contes, je suis : : la méchante reine
Je me réveille en sursaut encore une fois. J'en avais marre de faire les mêmes cauchemars depuis la rupture de la malédiction, je n'avais plus aucun contrôle, sur rien du tout, je n'étais même plus la mairesse de la ville, je ne tenais plus les rênes et je crois bien que le retour de la magie et tous ses changements ne me réussissait pas. Je retire les couvertures et me lève avant de sortir de ma chambre et de me diriger dans celle d'Henry avant de m'apercevoir qu'il n'était pas là. Oui, maintenant il vivait avec sa "vraie" mère et son grand père. Les larmes me montèrent aux yeux et je me dépêcha de refermer la porte derrière moi.
Je soupira longuement et décida d'aller me doucher, ça me ferais peut être oublier qu'une nouvelle fois, j'étais seule. Seule avec moi même, seule avec ma magie... Aussi, une fois douchée, je retourne dans ma chambre et ouvre mon armoire avant d'en sortir une robe couleur blanc cassé et un blaser de la même couleur pour les enfiler par la même occasion. C'est perchée sur dix centimètres de talons que je descends les escaliers pour me diriger dans la cuisine, afin de manger quelque chose.
J'ouvre le placard central et en sort un tupperware dans lequel j'avais pris le temps de ranger deux chaussons aux pommes que j'avais fait la veille au soir. J'en prends un et le pose sur une assiette vide avant de me faire un café et je pose le tout sur un plateau avant de passer devant le miroir et de prendre le temps de me regarder. Il y a encore quelques temps, j'aurais fait exploser le miroir mais je devais me calmer et je devais penser à Henry, je faisais tout ça pour lui, je ne devais pas craquer, c'est d'ailleurs pour cela que j'avais ramené le livre de ma mère dans mon caveau, histoire que je ne sois pas tenté d'apprendre de nouveaux tours de magie.
« Bon Regina, il faut que tu te reprennes ! », oui il m'arrive de me parler à moi même car l'instant d'après, j'ai tourné les talons et je suis allée dans le salon avant d'apercevoir une chose à laquelle je tiens énormément posée sur la table basse. Je pose le plateau à côté et m'empare de la sculpture. Il s'agissait de la marque de la main d'Henry qu'il m'avait offert pour la fête des mères alors qu'il n'avait que cinq ans. Cette fois ci, je ne pu me retenir et une larme coula sur ma joue. Je déposa la sculpture contre mon coeur et me décida à monter à l'étage pour la remettre dans la chambre d'Henry, étant donné qu'il n'était plus là, ça ne le dérangerait pas.
Je remonta donc dans sa chambre et déposa la sculpture en argile sur son bureau avant de retourner vers la porte et de me tourner pour regarder sa chambre. Mais alors que je m'apprêtais à sortir, j'aperçois une forme sous sa couverture. Aurait-il oublié son livre la dernière fois qu'il est venue me voir ? Je me décide et m'avance vers son lit avant de relever la couverture et de faire face à une boîte en bois. Je regarde la boîte aux signaux très étranges et passe mes doigts sur le nom marqué en grosses lettres avant de le dire « Jumanji », est-ce que c'était à Henry ? Je n'en avais strictement aucunes idées mais ce que je savais c'est que si c'était le cas, ça ne venait pas de moi.
Après mure réflexions, je m'empara de la boîte et descendit au salon avant de poser cette dernière sur la table basse, repoussant mon plateau, prenant le temps de manger un bout de chausson. Je m'installa à genoux face à la boîte, les deux mains posées sur la table basse et fut surprise d'entendre des tams tams. J'approcha mon oreille de la boîte et m'aperçus que les bruits venaient d'elle. « Qu'est-ce-que c'est que ça encore ?! », je m'apprêtais à utiliser la magie pour sonder la boîte et savoir ce qu'elle contenait mais je me décida au dernier moment à ne pas le faire.
Je découvrit une fente au centre et décida d'ouvrir la boîte. Surprise, je fit face à une planche de jeu. Et un pion en bois en forme de miroir {bizarre hein} se plaça sur la case de départ. J'essaya de m'en emparer pour le regarder de plus près mais rien n'y fis, il était collé. Alors que refermer le jeu, je pris un affreux mal de tête et tout commença à tourner autour de moi. Quand je rouvris les yeux, j'étais toujours assise à genoux devant le jeu mais je n'étais plus chez moi, je n'étais plus dans mon salon mais dans le salon d'une vieille maison faite toute de bois, de la cave au grenier.
J'observais les meubles autour de moi, le canapé était en bois, la télévision était en bois, les fenêtres étaient en bois. Me demandant ce que je pouvais bien faire ici, je baissa le regard sur le jeu qui était toujours là et mon pion y étais toujours "collé", quelques secondes plus tard, une autre jeune femme fit son apparition « Et moi qui pensais avoir tout vu... ». Je restais donc là, à genoux face au jeu et encore heureux, j'étais toujours habillée de ma robe couleur blanc cassé... Qu'allais t'il se passer encore ?
Depuis que Mary Margaret avait fait son choix de vivre chez Eden, un poids énorme avait disparut. Parce que, c'était idiot de penser ainsi, mais la jeune femme se sentait très bien avec Eden. Même s'il lui avait fait du mal par le passé.
Ce matin là, alors se Mary Margaret se réveillait doucement dans la chambre du brun, elle trouvait que la maison était bien trop calme. Pourtant, nous étions le week end, et le tortionnaire ne travaillait pas. Elle en déduisit donc qu'il dormait encore et elle se leva, vaquant à ses occupations, se préparant pour aller s'aérer l'esprit un peu. Et si jamais Eden était levé, elle lui proposerait donc de faire un tour avec elle.
Elle arriva donc dans le salon, avant de voir le clic clac vide. Elle arqua donc les sourcils, se demandant bien où pouvait se trouver le jeune homme, avant donc d'entreprendre de le chercher dans les lieux... Et c'est là qu'elle remarqua une porte qu'elle n'avait jamais encore jamais vu avant...
Elle tourna donc la poignée et arriva dans un escalier qui menait vers l'étage inférieur. Intriguée, elle descendit donc les marches, essayant de faire le moins de bruit possible, ne voulant pas qu'Eden ne la remarque s'il faisait ses activités illégales. Oui... Parce qu'elle ne tenait pas temps que ca à repasser sur la table en inox une nouvelle fois quand même... Et subitement, elle entendit des bruits de... Cœur ?
Ni une, ni deux, elle dévala l'escalier en courant comme une furie, espérant qu'il n'était rien arrivé à qui que ce soit à cause d'Eden. Mais une fois arrivée en bas, il n 'y avait rien... Du moins, personne ne se trouvait dans les parages. Il y'avait juste des genres de fioles et des préparations de toutes sortes. Et jamais la princesse ne se risquerait à tenter de les boire...
Il y'eut d'autres battements de cœur et Mary Margaret se figea donc, en murmurant alors :
-Eden ?
Pas de réponse. En même temps, il ne l'avait peut être pas entendu... Elle reprit donc plus fort :
-Eden ? Arrête de faire l'idiot... Tu me fais peur...
Toujours aucune réponse. Vraiment effrayée maintenant par le fait qu'il soit arrivé un truc à celui qu'elle aimait, la brunette se dirigea donc vers le bruit. Et ses pas la portèrent jusqu'à une bibliothèque. Elle arqua donc les sourcils et passa ses doigts sur les reliures des livres... Avant de constater qu'il y'avait un jeu aussi. Elle le prit donc et les bruits se turent, alors qu'elle murmurait :
Jumanji... C'est...
Mais elle n'eut pas le temps de dire quoique ce soit de plus que déjà, l'un des pions (une pomme ) se placa sur le jeu et... Et bien le décor changea. La brunette écarquilla les yeux, fixant le sol de bois, le canapé de bois, la table en bois... Ben tout le décor était en bois en fait !
-EDEN ! C 'EST VRAIMENT PAS DROLE !
Oui, là elle venait vraiment d'exploser parce qu'elle en avait vraiment ras le bol des expériences bizarres de son compagnon. Sérieusement, pourquoi il la prenait pour cobaye alors que...
Hey mais attendez ! Pourquoi il y avait deux autres personnes dans la pièce, avec le même jeu qu'elle. Bon la jeune fille à genoux, Mary Margaret ne la connaissait pas et s'en fichait un peu... Mais L'AUTRE... Blanche la connaissait particulièrement bien. Et elle s'approcha d'elle en la poussant, tout en continuant d'exploser :
Elle était chez elle, seule. Ca ne lui était pas arrivé depuis un moment, avec le retour de son ex mari et…Eh bien, tous les évènements qui avaient suivis. Mais maintenant elle se sentait mieux, plus en sécurité, et c’est donc tout tranquillement qu’elle était en train de se préparer un thé, tout en retravaillant l’une de ses vieilles histoires à côté. Ordinateur pour une fois éteint, elle avait opté pour les feuilles et le crayon. Il n’y a rien de mieux que de revenir sur de bonnes bases, parfois ! Et c’est ainsi en mâchouillant le bout de son stylo qu’elle attendait que l’eau boue.
C’est une technique étrange et elle le sait, mais elle fait les cent pas dans son appartement, feuilles en main et surtout à portée de regard. En général, ça ne pose pas vraiment de problème, parce que même si son appartement est un vrai bazar, c’est un bazar organisé et elle sait assez ou se trouve chaque petit objet qui traine. Du moins, c’est ce qu’elle pensait avant de cogner son pied contre quelque chose et de laisser voler ses feuilles et son crayon dans tous les sens alors qu’elle se rétamait maladroitement par terre dans un grand boum.
Elle faut la moue, s’assied en tailleur et attrape le coupable : une boite de jeu. Tient ? C’est bizarre parce qu’elle ne se souvient pas avoir ce jeu de société. Elle caresse du bout des doigts la boite, alors que sa curiosité lui fait ouvrir l’objet.
« Jumanji… ? »
A peine a-t-elle le temps de contempler le jeu qu’un piont vient se placer seul sur le point de départ. Et c’est alors que tout change tout autour d’elle. Elle n’est plus dans son appartement, mais dans une grande maison qui semble être toute faite de bois. Et d’ailleurs, elle n’est pas seule. Elle reconnait sans mal Régina, l’ancienne maire et evil queen, et se demande qui peut bien être la brunette qu’elle ne connait pas. Mais ce n’est pas sur elles que son attention est principalement portée…
« Snow ? …Oh non, pas encore. Dis-moi que je rêve ! »
Elle lève les yeux au ciel. La dernière fois qu’il lui était arrivé une aventure pareille, elles avaient eu à faire avec un nain et un dragon. Entre autre chose…non vraiment elle ne voulait pas revivre ce genre d’aventure. Et pourtant, elle semblait déjà prise au piège…
Alors que Mary Margaret s'énervait de plus en plus contre Regina, quelqu'un d'autre fit sn apparition. Et la jeune femme s'arrêta donc de pousser Regina contre le mur d la pièce en bois, pour se tourber vers Shéhérazade, qui avait l'air hagard et qui voyait déjà les mauvais points de se trouver ici. En même temps, la dernière fois que cela était arrivé, elles avaient du faire face à un nain méchant et un énorme dragon...
-Non, tu ne rêve pas... C'est de SA faute si on est là !
En disant cela, elle venait de pointer un doigt accusateur sur sa belle-mère, avant de se remettre à côté du jeu qu'elle avait trouvé et de lire les règles, sur le côté de la boite, à voix haute:
-Jumanji, un jeu pour tous ceux qui espèrent laisser derrière eux leur univers. Lancez le dé pour déplacer votre pion. Aventuriers méfiez-vous. Ne commencez le jeu que si vous avez l'intention de le finir.
Ok, génial, donc elles ne pourrait s'en sortir sans avoir joué jusqu'à la fin. Snow lanca donc un regard noir à sa belle-mère, tout en murmurant donc, froidement :
-Si il nous arrive quelque chose, je vous le ferait regretter...
Elle prit alors le dés, le lança et regarda donc son pion avancer de trois cases. Elle soupira alors, passant le dé à la suivante, avant de voir un message s'afficher au centre de plateau. Intriguée, elle se pencha donc pour lire, toujours à voix haute :
-Le corps et l'âmes sont indissociable. L'un peu changer, l'autre rester. Mais arriverez-vous à reconnaître la jeune femme perdue dans ce corps d'homme? Même à nu vous ne pourrez savoir qui elle est, mais en regardant son coeur, vous y retrouverez sa pureté
Et alors qu'elle lisait la phrase énigmatique du jeu, sa voix se fit plus grave. Elle arqua donc les sourcils, se demandant ce qu'il se passait. Elle finit donc par passer le dé à la prochaine des filles qui jouerait, mais s'immobilisa alors soudainement, en sentant un truc pas du tout normal grandir entre son entre jambe. Elle se recula alors jusqu'au mur le plus proche et s'agrippa au premier objet qu'elle trouva. Pour le coup, un chandelier en bois. Et puis alors, elle, ou plutôt lui maintenant questionna :
-Me dites pas qu'il est en train de m'arriver ce que je pense ?
Pourquoi le destin s'acharnait t-il sur lui autant ?
Nombre de cases : 3/50
Regina Mills
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| Conte : blanche neige et les sept nains | Dans le monde des contes, je suis : : la méchante reine
Alors que je pensais déjà avoir vécue le pire, je me rendis vite compte que je n'étais pas seule à ne pas savoir ce qui se passait et je crois que ce n'était que le début. Puisque quelques minutes plus tard, ce fut autour d'une demoiselle que je connais bien d'apparaître, cette folle dingue qui me sert de belle fille. Alors que je m'apprêtais à me relever, elle est arrivée vers moi et m'a poussé contre le mur « C'est encore un de vos sales coups, c'est ca ? », je la regarde avant de la pousser à mon tour avant de lui hurler dessus moi aussi tandis qu'une autre fille apparaît « Allez vous faire soigner ma parole ! Je n'y suis pour rien ! », alors que la jeune femme demandait à Mary Margaret si elle rêvait, cette dernière se retourna vers moi et m'accusa encore, je ne répondis rien et soupira. « Si il vous arrive quelque chose, ce sera votre faute et pas la mienne ! Je n'y suis pour rien ! »
Finalement, après quelques secondes et après qu'elle arrête enfin de me regarder avec un air accusateur, on s'installa autour de la table et Mary lut les règles. Alors, il fallait jouer jusqu'à la fin pour en sortir en sécurité... Qui nous avait joué ce sale tour, si je devinais qui l'avait fait, il entenderait parler de moi ! ça tout le monde peut en être certain. Je soupira et observa Mary Margaret lancé les dés et lire la phrase qui était apparu au centre avant qu'elle ne me donne le dé. Mais alors qu'elle lisait la phrase, elle commença petit à petit à se transformer ... En homme.
Un léger sourire se dessina sur mon visage avant que je ne relève les yeux vers elle ou plutôt vers lui. Mary se releva et se regarda dans le miroir avant de se retourner « Eh bien très cher, il semblerait que vous soyez dans de beaux draps... », je continua de sourire et me mis face au jeu avant de lancé le dé avant de regarder mon pion en forme de miroir avancé de deux cases et une phrase apparue au centre. Je donne les dés à la prochaine et je me pencha légèrement pour la lire « A l'âge de huit ans tu retourneras, d'un peu de magie tu hériteras et tout le monde découvriras que celle qu'on dit être méchante, avide de pouvoir, autoritaire, stricte et sans coeur était il y a quelques années une petite fille aussi gentille et douce qu'une fleur. »
Mais alors que je termine de lire la phrase, je me sens légèrement vaseuse et je sens que ma magie s'enfuie, lorsque je me lève pour aller me voir dans le miroir, je me rends compte que mes vêtements ont été changé contre un tee shirt bleu, un jean et une paire de ballerines et que mes cheveux ont longuement poussés. Je me regarde dans le miroir et ouvre de grands yeux, ma poitrine à disparu et mon visage à totalement changée, et j'ai perdu quelques centimètres « Oh je...», je me retourne et regarde mes camarades de jeu me rendant compte que ma voix est fluette« Je suis redevenue une petite fille... », le seul hic c'est qu'enfant, je n'étais pas encore une sorcière et que je risquait d'avoir de gros problèmes et de causer du tord aux autres... Mais qu'allez t'il se passer ? J'avait désormais huit ans et mes pouvoirs étaient désormais grandement limités. La seule question que je me posait était quelles surprises le jeu me réserverait. Je me retourne vers Mary ou plutôt Mario et lui jette un regard noir « Vous, ne dites rien ! »
code by PANIC!ATTACK
Nombre de cases : 5/50
Robyn W. Candy
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(Et ouais du coup j'en profite pour faire un tour et mâter les profils, z'allez faire quoi pour m'en empêcher hein ?)
| Conte : Les mondes de Ralph. | Dans le monde des contes, je suis : : Vanellope Von Schweetz, ou la princesse d'un royaume de sucreries qui préfère conduire des voitures en gâteaux.
Dans la jungle tu attendras, un 5 ou un 8 te delivrera.
J'allais finir par regretter la dingue enceinte et la cannibale. Au moins on avait bien rigolé et ils étaient tous tellement dingues que je n'avais pas trop été dépaysée. J'aurai aimé rester toute seule dans la maison de poupées, à chercher en vain une sortie et finir par copiner avec les fantômes dans le coin, qui seraient devenus mes seuls et uniques amis. Ça aurait vraiment été le top du top. Mais non ! Non ! La Dame Blanche et Freddy Krueger avaient été remplacés par la Méchante Reine pas si méchante, la princesse niaise qui ressemble même pas à une princesse et une gonzesse que je n'avais jamais vu. Bonjour l'équipe !
Ok. Compter jusqu'à cent et ensuite prendre de très grandes inspirations. Le psy dit que c'est très bon pour se calmer. Les deux avec leur coupe à la garçonne auraient dû prendre rendez-vous avec Archie. C'était fascinant de les voir se gueuler dessus comme des gamines de cinq ans qui se piquent leurs jouets. Même les adultes se comportent n'importe comment. Comme quoi, je suis peut être pas un cas si désespéré. Quoi que c'est quand même vachement agaçant. À quoi ça sert de brailler pour savoir qui a fait ça ? Il ne faut pas être surdoué pour comprendre que c'est ce jeu qui fait mumuse avec nous.
- Vous allez vous calmer ? Si j'entends encore une fois vos engueulades, ça va barder ! Ouais, c'est pas parce que toi tu es la Méchante Reine et toi Snow-Dark que ça m'impressionne. Nous sommes sûrement pas là pour faire une soirée pyjama en mangeant des chamallows, mais c'est pas une raison pour se tirer les cheveux.
Je m'étais relevé et pointais un doigt vers elles, en plissant les paupières. Elles étaient plus vieilles que moi et elles étaient pire que des mômes de trois ans. Sérieux ça craint. Heureusement que la ville avait changé de maire. Je vous dis pas la chute politique qu'on aurait connu. Non que je m'y intéresse, mais quand même.
Je croisais les bras et poussais un soupire exaspéré, en écoutant distraitement les règles du jeu. Je hais les gens. Je hais ces foutues qui m'arrivent tout le temps. Et je hais encore plus les jeux de sociétés. C'est tellement naze, sans intérêt ! On a juste des dés et une boîte en bois, c'est tout. Elles sont où les manettes ? La HD ? La 3D ? Je vois pas l'intérêt de rester assis autour d'une table en bougeant des pions tout moches. C'est juste chiant à en mourir.
Enfaîte, oubliez tout ce que je viens de dire plus haut. Ce n'est pas si chiant finalement. C'est même très marrant. Princesse parfaite était plus virile qu'avec sa coupe en bol et la grande méchante était aussi innocente qu'un chaton. En gros maintenant on avait un mec pas trop mal et une gamine dans la salle. Je m'approchais de la petite fille et lui tapotais la tête en me penchant et en lui adressant un grand sourire.
- Dit donc, c'est que tu es mignonne toi ! Je ne savais pas Régina que vous aviez été aussi jolie un jour.
Prends ça dans les dents, espèce de psychopathe qui m'a retiré de mon royaume de sucreries. Et habitues toi tout de suite, parce que tu vas prendre cher. Je fis une petite pirouette pour me retourner vers le nouveau prince et lui adressais une révérence pleine d'ironie.
- Que ce que vous vous êtes arrangé vous aussi ! Je dirais même que vous êtes sexy comme ça. Vous êtes célibataire ?
D'accord, je pourrais mieux faire. J'ai le cerveau imprégné de liquide vaisselle à la pomme, ça m'a brûlé quelques neurones au passage. Bon, c'est bien de me moquer, mais maintenant, c'est mon tour. Je me plaçais devant le plateau ouvert et me mis de nouveau à genoux, en prenant le dé.
- Pitié pitié ! Je veux redevenir une petite fille moi aussi !
Je jetais le dé dans la partie prévue pour cet effet et croisais les doigts. Un cinq. Pas mal ça ! Le pion qui s'était mis en place quand j'avais ouvert le jeu commença à se déplacer sur les cases, comme si il était vivant. C'était un lion. Je crois. Enfaîte, d'un côté, ça ressemblait un peu à Pollux. On avait un jeu avec ce chien tout poilu à l'époque. Je l'aimais bien, il était marrant.
Le pion en forme de lion/Pollux s'arrêta devant les deux autres. Le centre du jeu qui avait l'air en verre se mit à s'illuminer d'une lueur verdâtre. Je me penchais pour pouvoir déchiffrer les mots qui étaient apparus.
- Par l'amer tu te défends, Du sucre ta vie dépend.
D'accord. Ça ne veut rien dire. À moins que je devienne une tablette de chocolat. Ou alors qu'on m'oblige à faire du chocolat. Moi ça ne me gêne pas plus que ça hein.
- Bah c'est pas faux ce que jeu dit ! Je suis pâtissière et mon venin est super amer ! Peut être que parfois ça ne nous transmet que nos quatre vérités.
Je me relevais en riant légèrement. Ce n'étais rien du tout. Quand les autres ont lu leurs indications, elles se sont transformées tout de suite. J'allais me diriger vers la fille qui ne me disait rien, mais mes jambes ne semblaient pas vraiment vouloir cohabiter. Je sentis tout à coup comme une pression sur tout mon corps. Comme si on me passait sous un rouleau compresseur. Je voulu me tordre de douleur mais des craquements se faisaient entendre dès que j'osais bouger. J'avais tellement chaud, tellement mal... Une forte odeur sucrée noyait mon odorat et je me sentais sur le point de défaillir. Je n'arrivais même plus à bouger mes doigts.
Toute douleur s'arrêta soudainement, comme si rien n'était arrivé. Bon, je n'arrivais juste pas à bouger. Et ça sentait le sucre et le pain d'épice à des kilomètres. J'osais même pas baisser la tête. D'un côté, j'avais comme une raideur dans la nuque qui m'empêchait de bouger la tête. Mais vu comment me regardait les autres, ça devait pas être top.
- Putain que ce qui m'arrive ? Je suis devenu quoi ? Merde !
Les filles avec qui elle se retrouvait semblaient toutes montées contre le autres….Et Shé, dans son coin, soupira. Ce n’était pas de cette façon qu’elles allaient s’en sortir. Mais soit. Elle les avait observées, une à une, lancer leurs dés dans ce jeu des plus étranges. Et elle les avait toutes observé se modifier physiquement. Snow était devenu…Un homme. Génial, comme Chess quelques temps plus tôt…A croire que c’était devenu un effet de mode. La méchante reine était devenue une petite fille…Bon ça, ça passait encore. Et c’est en bonhomme en pain d’épice qu’avait terminé la troisième, celle qui clamait avoir été pâtissière…
« Bon eh bien, ça pourrait être pire ? »
Elle n’était pas très sure de sa phrase. Peut-être que pour elles, c’était le pire qu’il pouvait leur arriver. Et pour Shé le mystère restait encore tout entier. Mais le fait était que de toute façon, il semblait qu’il fallait terminer ce jeu pour pouvoir rentrer. Alors, à son tour elle avait attrapé le dé pour le lancer. Un un. Elle grimaça. Bah elle n’était pas prête de le finir, ce jeu ! Une nouvelle fois, une phrase s’inscrit au centre du jeu. Elle le lit, comme chacune avant elle, à voix haute.
« Nombreux sont les personnages que tu as, et pourtant toujours seule te voilà. Dorénavant tu le ne seras plus, mais prend garde avec eux à ne pas être confondue. »
Elle ne comprit pas avant de voir plusieurs…Elle, un peu partout dans la pièce. Elle sursauta face à ce spectacle. Les autres avaient été changées physiquement…Et elle se retrouvait avec plusieurs copie d’elle-même sur le dos….Qui commençaient d’ailleurs à voler des trucs un peu partout dans la pièce. Et bien sûr, elle ne pouvait pas laisser faire ça.
« Hey, arrêtez ça ! »
Elle s’appliqua donc à remettre les objets en place. Etrange, cela lui rappelait certaines de ses personnages, tout ça…
C'était vraiment la honte. Mary Margaret était devenue Mario Marino en quelque seconde. Et le pire dans l'histoire c'était que Regina et Robyn se foutait de sa tronche. Le jeune homme lança donc un regard larmoyant à Shéhérazade, en implorant alors :
-Aide moi !
Finalement, Regina finit par se transformer en gamine et Snow la fixa alors, éberlué. Il s'approcha donc de la gamine, tout en ironisant la situation :
-J'crois que les rôles s'inverse et que j'suis devenu votre beau-père !
Quand à Robyn et bien... Elle était devenue un monsieur en pain d'épice. Le brun éclata donc littéralement de rire, avant de lui dire, avec un air pervers sur le visage :
-Je ne vais faire qu'une bouchée de vous.
Soudainement, il y eut donc plusieurs Shéhérazade. Bon, au moins, elle, elle n'avait pas subit de transformation. Le jeune homme croisa donc les bras sur sa poitrine en décrétant :
-Je ne veux plus...
Mais il n'eut pas le temps de finir sa phrase qu'il s'entit des choses lui pousser dans le dos. Et... Et bien Mario se retrouva donc à un bon mètre du sol, avant de réaliser que des ailes avaient poussé dans son dos et que les autres avaient aussi la même chose que lui. Il les fixa donc tour à tour, interrogeant la gamine du regard, en demandant :
-C'est toi qui a fait ca ?
Et alors qu'il parlait, il ne fit pas attention au chasseur qui sortait du jeu et qui pointait sa carabine vers eux...