« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Ce jeu était vraiment diabolique et en plus, on devait jouer jusqu'au bout si on voulait pouvoir rentrer chez nous tranquille et que tout se termine. Mais pourquoi j'avais ouvert ce jeu et pourquoi j'avais joué. Mary Margaret après avoir joué c'était transformé en mec, d'ailleurs, en version masculin, je dois avouer qu'elle était plutôt pas mal, enfin bon... J'avais joué après elle et après avoir lu la phrase qui s'était écris sur le centre émeraude du jeu, je m'étais transformée en gamine, j'étais redevenue celle que j'étais à l'âge de huit ans et je n'avais que très peu de magie, incapable de la contrôler. Mais qui me voulait tant de mal ?
Robyn s'approcha de moi avant d'annoncer qu'elle ne savait pas que j'avais été aussi jolie un jour, je leva les yeux vers elle et lui tira la langue comme une gamine le ferait, en même temps, j'en était redevenue une alors... Il fallait absolument qu'on finisse ce jeu pour que je redevienne celle que j'étais et que je retrouve mes pouvoirs. Robyn lança les dés à son tour et devint un petit bonhomme en sucre, j'arqua les sourcils et souris légèrement. « Faites attention, je risque d'avoir envie de vous manger. », je souris légèrement et observa l'autre jeune femme se multiplier.
Mary ou plutôt Mario vint vers moi et me fixa avant de sortir que les rôles s'inversent et qu'il est devenu mon beau père « Je... Profitez en alors, parce que je veux finir le jeu moi. », Mary pris les dés et les lança avant que... En fait, il ne se passe rien de bien particulier. Je tourna les yeux vers Mario et le regarda avant de voir des ailes lui poussaient dans le dos, d'ailleurs tout le monde en avait, même moi et je me retrouva bien rapidement, les pieds loin du sol.
Mario m'accusa et je fis une mine triste avant de le regarder dans les yeux « Je n'y suis pour rien. Je ne suis pas capable de faire ça. Enfin, pas avec le peu de magie que j'ai... », je ne remarqua que quelques secondes plus tard, le chasseur qui était sortie du jeu et qui pointait sa carabine sur nous. J'ouvris grand les yeux et montra l'homme du doigt « Euh... ça c'est pas normal. D'où il sort ? Je peux pas aider, je n'arrive pas à contrôler mes pouvoirs. Il faut que quelqu'un joue !!! »
Les choses s’enchainaient vite. Trop vite. Shéhérazade n’avait pas vraiment fait attention au déroulement du jeu, en fait, bien trop occupée à empêcher ses divers doubles de jouer aux quarante voleurs. A les poursuivre partout en leur reprenant tout des mains pour remettre les objets à leur place…Jusqu’à ce qu’en fait, elle ne soit plus vraiment au sol. Elle lance un regard interrogateur autour d’elle, pour essayer de comprendre. Mais visiblement ce jeu n’a juste aucune logique…Et il semble vouloir leur mort, aussi, accessoirement. Car elle pose son regard dans la direction lancée par Regina pour tomber sur un homme les mettant en joue avec son fusil…Et merde.
« Ouais, bah avec toutes les merdes que nous balance ce jeu, je ne veux même pas savoir ce qu’il va nous faire si on ne respecte pas les règles ! C’est à ton tour de jouer Régina et je ne prendrais pas le risque qu’il m’arrive je ne sais quoi pour avoir joué à ta place ! »
Les choses auraient été bien trop simples, sans doute, si elles avaient pu simplement jouer et finir la partie. Mais non, il avait fallu que le jeu leur envoie un chasseur qui, visiblement, n’avait pas très envie de prendre un thé et de faire la causette avec eux. Et d’ailleurs, c’était elle qui était visée par le fusil. Enfin elle…L’une des autres elle.
« Attention ! »
Elle avait tenté de voler vers elle pour lui faire éviter de rester dans le champ du coup de feu. Mais doté de ces ailes dont elle n’avait aucunement l’habitude de se servir elle avait été trop lente. Arrivée près d’elle il était déjà trop tard, et voilà que l’une de ses doubles était lourdement retombée sur le sol, laissant son liquide de vie couler sur le sol.
Inconsciemment elle se mit à trembler et resta là, tétanisée et incapable de bouger quelques secondes durant. En se faisant violence, elle s’était finalement secouée et s’était déplacée pour ne pas rester une cible facile. Elle attrape le jeu, sans lequel elles ne pourraient rentrer, et se dirige vers la sortie.
« Ne restons pas là, allons-nous en ! »
Nombre de case : 24/50 (parce que j'ai rajouté le 5 de MM )
Robyn W. Candy
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(Et ouais du coup j'en profite pour faire un tour et mâter les profils, z'allez faire quoi pour m'en empêcher hein ?)
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J'étais un bonhomme en pain d'épices. Pas une demoiselle en pain d'épices. Il avait fallu que je devienne un mec. J'aime même pas le pain d'épices sérieux ! Je refuse d'en vendre à la pâtisserie, ce truc est une arnaque déguisée. Si je pouvais bouger un peu plus facilement, je me ferais un plaisir de sauter à pieds joints sur ce foutu jeu et le lancer à travers la pièce. J'étais quasiment sûre à 100% que ça ne lui ferait rien, mais que ce que ça me soulagerait ! Va te faire foutre Jumanji ! Je suis une fill... euh un bonhomme sucré libre !
J'essayais de bouger avec précaution mon bras droit en espérant qu'il ne se casse pas ou ne s'émiette pas, comme le fait tout bon pain d'épice qui se respecte, mais un nouveau problème s'ajouta à la liste. Je sentis quelque chose s'accrocher dans mon dos, le poids alourdissait mon nouveau corps fragile. J'arrivais déjà même pas à baisser la tête, c'était con ce truc !
- Que ce qu'il se passe ? Je vois rien !
La pièce se modifiait, comme si le plafond se rapprochait de moi. J'entendais une sorte de « flap-flap » dans mon dos constitué de pleins de choses très mauvaises pour la santé et les dents. Attendez... j'étais entrain de voler ?!? Ma nuque était toujours aussi raide, mais prise d'un doute, je me forçais à baisser la tête malgré les drôles de bruits que faisaient chacun de mes mouvements. Nom d'un Oréo ! Je n'avais plus de vêtements ! Trois bonbons posés en ligne, ça ne comptait pas. Et j'étais asexuée ! Ma poitrine avait foutu le camp ! Non, pas elle ! Autre détail dérangeant, le sol lui s'était considérablement éloigné de mes pieds. Je me tortillais comme une folle pour regarder tout autour de moi. C'est pas que j'ai le vertige, mais j'ai jamais rêvé non plus de devenir la fée Clochette.
- On redescend comment ? Je vois pas de quoi nous aider à retrouver le plancher. Eh! Qui est devenu un vieux grisonnant avec un fusil ? Qui est ce chanceux !
Même si j'avais dû devenir un vieux mec, au moins j'aurai eu un fusil. Sauf que les trois idiotes avec qui j'étais coincée se trouvaient aussi dans les airs. J'essayais de déglutir. Une tâche pas si facile quand on est plat comme une crêpe et qu'on a plus de salive. Le vieux avait levé son fusil vers la gonzesse qui avait pas l'air d'être malchanceuse côté malédiction. Je crois pas qu'il est juste envie de jouer.
- Putain mais ce jeu nous envoi un chasseur pour nous buter ! Faut qu'on sorte de là !
Je me mis à courir. Enfin, j'essayais. J'avais un peu zappé que maintenant je volais. Je n'avançais même pas. Tendant mes bras décoré de glaçage vers l'avant et mes jambes vers l'arrière, j'essayais d'avancer. Je sentais les choses dans mon dos frapper de plus en plus vite et tout à coup je fus propulsé vers l'avant. J’atteignis une porte et me penchais vers la poignée pour l'ouvrir, en faisant signe aux autres de passer.
- Grouillez vous ! Battez des ailes, même un pain d'épice peu y arriver sérieux !
Un grand coup de feu résonna, et je vis le chasseur se rapprocher de nous, ses bottes épaisses claquant lourdement sur le parquet. Il avait l'air d'un type qui revient d'un safari, avec cette tenue hideuse kaki. Je me serais bien moqué de lui, mais quand même, il a un flingue.
Quand tout le monde passa la porte, je refermais celle-ci à toute vitesse et tournais la clé qui se trouvait dans la serrure. Un soupire de soulagement s'échappa de ma nouvelle bouche bizarre quand je fus certaine que la porte était fermée. Si il voulait nous avoir, ce connard devrait défoncer cette porte ! Un gros choc retentis tout à coup contre la surface de bois. Ce connard essayait vraiment de défoncer cette porte !
Je volais vers le milieu de la pièce, qui était une cuisine entièrement en bois. J'aimerais dire que c'est bizarre, mais je viens de me faire changer en bonhomme de pain d'épices, alors maintenant tout me paraît tellement moins terrible. Je pointais mon bras en biscuit vers la fille qui tenait le jeu. Même mes doigts me manquaient.
- Il faut qu'on termine la partie ! C'est à qui le tour de jouer ? Je veux pas toucher à ces dés, regardez ce qui est sorti de ce jeu ! Toi, essais !
Je m'étais tourné vers la mini-Régina. Elle, tout le monde se ficherait de sa mort. Je passais mon tour pour le jeu, que elle se sacrifie un peu pour le bien collectif hein. Un nouveau bruit signalant qu'il restait des cartouches dans le fusil de notre ami le chasseur mettait encore plus la pression. Heureusement qu'on avait pas été transformées en lapins.
Nombre de cases : 26/50
Regina Mills
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Tout devenait vraiment de plus en plus bizarre et ce jeu était vraiment maléfique, même plus que moi je dois dire. D'abord il m'avait transformée en gosse, Mary était devenue Mario, Robyn était un bonhomme en pain d'épice et Shérazade s'était démultipliée. Et comme par hasard, il avait fallut que Mario jette les dés pour que des ailes nous poussent dans le dos et qu'on s'envolent, genre comme des oiseaux quoi...
Et comme par hasard, ma belle fille ou plutôt mon beau-père sur ce coup là me demanda si j'étais la cause de tout ça et je lui annonça que non avant qu'un chasseur vieux et très bizarre, voir même plus que le jeu pointa son arme sur Shérazade, non mais là c'était le comble, maintenant on avait un chasseur au cul qui voulait notre peau. Robyn en tête, on se dirigea toutes vers la cuisine qui était toute de bois faite, j'avais le jeu sous la main et une fois qu'on étaient toutes entrées, elle baricada la porte.
J'espérais vraiment qu'il n'arrive pas à nous, enfin pour le faire, il devait défoncer la porte et apparemment vu les coups que j'entendait, il avait eu la très bonne idée de foutre des coups dans la porte, histoire que le bois se fracasse. Il manquerait plus qu'il est une hache pour qu'on se croit dans Shinning. Mais merde, ce connard devrais comprendre qu'on est pas dans un bouquin de Stephen King ! Robyn se tourna vers moi et me donna les dés pour que je joue, quitte à ce que je crève, personne en avais rien à foutre. Alors au pire...
« Bon ok, je joue. », je m'empare des dés et les lancent sur la planche de jeu, je regarde mon pion en forme de miroir avancé de deux cases avant qu'une nouvelle phrase ne s'inscrive au centre du jeu, je me penche légèrement pour la lire « Tu as lancé les dés, maintenant tout est joué, contre votre plus grande peur un à un vous devrez lutter. », je relève les yeux vers les autres filles avant de tomber nez à nez avec ma mère toute de noir vêtue qui est censée être morte et qui je dois l'avouer est ma plus grande peur. Avant que je ne puisse faire quoi que ce soit, elle me propulse contre le mur et me regarde avant de dire de cette voix que je lui connais si bien « Tu as désobéis Regina, ce n'est pas bien de désobéir. »
Je relève les yeux vers les autres mais aucunes d'entre elles ne bougent, c'est comme si, elles étaient paralysées. J'en oublie presque que je n'ai que huit ans lorsque j'essaie de lutter contre elle, je crée une boule de feu mais étant peu puissante, elle ne fais rien et ma mère utilise la magie contre moi, m'étranglant doucement, m'empêchant de respirer. Elle s'approche de moi « Tu n'es qu'une enfant gâtée Regina, tu seras reine et tu feras ce que je te dis. Je suis là et je ne partirais pas. Tu vas m'obéir ou sinon tu sais ce qui arriveras. Ta vie m'appartient, tu es à moi, pour l'éternité ! », c'est le jeu qui l'a envoyée, elle est apparue dès que j'ai lu la phrase, elle ne peux pas être réelle. Mais alors que je suis en train de lutter contre ma mère, je m'aperçois que les autres aussi se battent contre leur propre peur.
Je ferme les yeux tandis que l'air m'est de plus en plus coupé et je me rends compte qu'elle n'est pas réelle. Ce n'est que le fruit de mon cauchemar. Je rouvre les yeux et la regarde avant de dire avec ma voix de petite fille « Vous n'êtes pas réelle Mère ! Vous êtes le fruit de mon cauchemar.», je sens que l'air me revient lentement, je souris légèrement et continue sur ma lancée. « Vous n'êtes pas réelle. Vous n'êtes pas là. Votre magie n'a aucuns effets sur moi. Je n'ai pas peur de vous ! », suite à mes paroles, elle finit par disparaître, j'ai réussie à surmonter ma peur et je retombe au sol, reprenant mon souffle. J'hurle aux autres pour qu'elles se libèrent de leurs peurs « Ce n'est que le fruit de votre cauchemar, ce n'est que votre plus grande peur. Rien n'est réel. Ce n'est pas réel. »
Tout le monde avait échappé de peu à l'autre psychopathe qui était sorti de la boite de jeu alors que Mario avait lancé les dés. Les "filles" avaient finalement réussir à s'enfuir et se retrouvaient donc dans une cuisine tout en bois. Mario s'éloigna le plus de la porte, tout en amenant la gamine près de lui. Oui parce qu'honnêtement, il avait encore besoin de Regina pour ses projets futurs. Et alors que le chasseur s'excitait comme un fou sur la porte, la sorcière lança donc les dés et lut de nouveau l'énigme... Qui ne plu pas vraiment au jeune homme, qui lança donc directement les dés à son tour, espérant vraiment avoir une nouvelle énigme... Mais le temps sembla se figer...
En effet, il n'y avait soudainement plus un seul bruit dans la pièce. Les autres personnes étaient comme figées alors que... Alors que le corps d'Emma reposait dans un coin de la pièce. Mario blanchit donc plus qu'il ne l'était déjà et s'approcha du corps de sa fille, en murmurant alors, paniqué :
-Non, non, non, non...
Il tenta donc de faire un massage cardiaque "au corps" de la blonde, avant de s'arrêter subitement, les larmes aux yeux, se souvenant de l'énigme. La perte d'Emma avait toujours été sa plus grande peur. Mais le corps n'était pas réel... Il s'arrêta donc, restant tout de même à genou près du corps de sa fille, tout en disant, avec assurance :
-Ce n'est qu'une illusion... Emma est avec Henry en ce moment. Et tout va bien !
C’est dans une pièce voisine que tous s’étaient échappés. La porte avait été refermée à clé, et bien que le chasseur fût en train d’essayer d’enfoncer la porte, il semblait qu’elles aient malgré tout un peu de temps. Peut-être assez pour que l’une d’en elles puisse finir le jeu, d’ailleurs ? C’est dans cet espoir qu’elle avait dit à Régina que c’était à elle de jouer, et d’ailleurs, elle semblait résignée à le faire, et avait finalement lancé les dés en lisant la nouvelle phrase à voix haute. Quelque chose sur les peurs, elle n’avait pas très bien entendu. Elle avait voulu se tourner vers elle pour lui demander de répéter, mais c’est nez à nez avec son ex-mari qu’elle se retrouva alors.
Elle se figea immédiatement. Elle comprennait bien mieux, à présent, car Dustan de son nouveau nom était en effet sa plus grande peur. Cet homme qui aurait pu la tuer chaque jour durant, qui aurait pu s’en prendre à sa sœur…Cet homme qui avait ancré en elle petit à petit la peur de vivre avec un homme. Cet homme qui avait déjà été violent avec elle, et qu’elle ne saurait sans doute jamais pardonner pour tout ce qu’il lui avait fait subir…
La voilà tétanisée à présent. Elle recule d’un pas, puis d’un autre, et heurte son dos au mur. Elle voudrait pouvoir passer au travers, quitte même à se retrouver contre l’homme qui a tué une de ses doubles. Mais c’est impossible.
« Non…Laisse-moi tranquille… »
Elle ferme les yeux, mais continu malgré tout de sentir cette présence étouffante face à elle. Elle tente de garder son calme. Et elle continu de parler, plus pour elle-même que pour cette présence face à elle.
« Tu n’es pas là. Tu ne peux pas être là. Et tu ne peux plus me faire de mal, de toute façon. Tu n’en es plus capable. Tu ne peux plus rien faire… »
Et elle se rend compte de la lucidité de ses mots. La peur, peu à peu, s’envole et elle rouvre les yeux pour affronter son regard. Son cœur bat toujours très rapidement, mais la peur s’envole. Elle continu de s’envoler. La colère, en revanche, commence à l’envahir. Car elle lui en veut de tout ce qu’il a pu faire. Et c’est dans un cri qu’elle tente de se débarrasser de lui.
« Disparait ! »
Il s’exécute, et tout semble redevenir comme avant. Elle jette un petit coup d’œil pour voir si les autres vont bien, et s’attarde, inquiète, sur le bonhomme en pain d’épice. Dire qu’elle ne connait même pas encore son nom.
Nombre de case : 39/50
Robyn W. Candy
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Je vais sûrement paraître encore plus aigrie, mais que ce que je hais ce foutu jeu ! Encore plus que l'autre abruti qui avait fait apparaître des zombies affamés, au moins ça m'avait permis de pouvoir éclater quelques têtes avec cette charmante Lucille. Là... il y avait un psychopathe qui voulait me tuer. Et effectivement, je sous-entend que si il nous attrape, on sera mortes. Oui, comme des cadavres.
J'observais avec une impatience fébrile la fillette jeter les dés, en arrêtant pas de faire craquer mes membres en biscuit. Plus ça allait, plus on se rapprochait de la case « arrivée ». J'avais l’irrésistible envie de voir le jeu se terminer, allez savoir pourquoi. J'essayais de me pencher pour lire les phrases affichées au centre du plateau, mais j'entendis tout juste ce que disait Régina. Les mots « plus grande peur » résonnait dans ma tête plate, comme une incantation. À côté de ça, le chasseur paraissait être un chaton qui harcèlerait un allergique. Je ne voulais pas avoir peur. Je savais ce qui allait se passer.
- L'anomalie !
Je fermais les yeux et eu l'impression d'être de nouveau Vanellope, avant d'avoir rencontré Ralph. Cette voix... je me retournais tout doucement et ce fut comme si une masse noire c'était jeté sur moi pour m'engloutir, me ramenant à l'état d'une enfant. Un groupe d'enfants habillés de vêtements très colorés et rappelant des bonbons et autres sucreries étaient apparus dans la cuisine en bois. Ils affichaient tous un sourire méchant, mais le pire était sur quoi ils étaient assis. Des scarabées. Non, plutôt des virus informatiques. Des parasites.
- Toujours aussi pathétique ! Regarde toi, même ici tu es la reine des anomalies ! J'ai jamais vu quelqu'un qui n'a jamais sa place nul part ! Tu devrais te retourner de cacher l'anomalie !
Ils se rapprochaient tout doucement en ricanant, et j'entendis un drôle de bruit, comme un petit cri. Je me rendis compte que c'était moi. Je criais, et si j'avais été sous forme humaine à ce moment là, j'aurai pleuré comme une enfant. Leurs rires résonnaient dans ma tête, comme des milliers de poignards qui se planteraient dans mon cœur. Je posais mes « mains » au niveau de mes oreilles, pour essayer de ne plus entendre. Mais je n'en avais plus, et j'entendais toujours tout, le son même de tout ce qui me torturait. Ils scandaient maintenant tous « l'anomalie ! L'anomalie ! » Comme une malédiction cruelle. Le mot se fichait dans ma tête, dans mon cœur, et j'étais blessé à chaque fois qu'il était prononcé. Sans m'en rendre compte, je me retrouvais au sol, en criant. Je tremblais, prostrée sur le sol en bois, essayant de ne plus les regarder, ne plus les entendre. Je n'étais qu'une anomalie. Mais j'avais tant essayé de l'oublier, de devenir tout le contraire de qui j'étais à l'origine, pour ne plus jamais souffrir. Qu'elle idée stupide, impossible... Jamais je ne changerais, je serais toujours l'anomalie. Celle qui avait été humiliée, battue, insultée et qu'on avait essayé de tuer. C'était mon destin. Jamais je n'aurai pu y échapper.
Les yeux fermés, je me sentais sombrer, souffrante. Mais une image s'incrusta, illuminant le noir. Ralph. Mon meilleur ami, le crétin aux grandes mains. La personne que j'aime le plus, peu importe où il peut se trouver. Il avait tout fait pour me rendre heureuse, pour m'aider. Il n'aurait pas voulu que je me laisse faire de nouveau. Je devais être forte, au moins pour lui. Je retirais très lentement mes mains des côtés de ma tête et je me redressais, pauvre chose en pain d'épices tremblotante. La suite de la prédiction du jeu m'était tout à coup revenu. Il faut battre ses peurs.
- Désolée, c'est terminé ! Je ne suis pas une anomalie, je ne suis même pas une princesse ! Je suis un putain de pain d'épices, et plus jamais je n'aurai peur de vous ! Foutez le camp !
J'avais conscience de ne pas être aussi impressionnante que si j'avais été sous ma vraie forme, mais je vis les silhouettes des « enfants » se brouiller et tout à coup disparaître. Je sentis tout à coup toute force m'abandonner. J'avais affronté ma peur, mais ils n'étaient pas réel. Je n'avais plus peur des illusions. Mais ça n'était pas la même chose pour ceux qui sont réels. J'ai tout de même franchi la nouvelle étape. Il faut qu'on finisse le jeu, j'ai besoin de voir mon psy.
A leur façon elles avaient toutes vaincues leur peur. C’est avec un soupir de soulagement que Shé l’avait constaté. Et à présent, c’était à elle de jouer. Et dire qu’elles n’en étaient qu’au début de la partie…Qui sait ce qui pouvait encore les attendre ? Résignée elle s’était approchée du jeu pour attraper le dé. Mais ça, c’était en ayant oublié un petit détail. Plusieurs petits détails en fait. Plusieurs petits détails qui avaient sa taille, lui ressemblait comme deux gouttes d’eau, et avait cette fâcheuse manie de tout voler, tel les quarante voleurs. Ainsi elle s’était fait prendre le dé sous son nez par…Elle-même. Pendant que les autres s’amusaient à fouiller dans leur coin. Vous imaginez bien le ridicule de la situation ? Elle avait cessé de lutter contre leur folie de voleuses. Mais le dé, c’était hors de question. Elle en avait besoin. Elle voulait finir ce maudit jeu.
« Rend moi ça ! »
S’en était suivit une course poursuite dans la pièce, toujours aussi ridicule, entre deux Shéhérazade, tandis que trois autres ricanaient en volant dans leur coin. Peut-on réellement faire pire comme situation ? Eh bien oui ! La voleuse de dé avait fini par se lasser de l’objet et l’avait jeté aux pieds de l’original…Qui avait glissé dessus et chuté. Ce fut sa deuxième chute de la journée. Et le calvaire ne s’arrêta pas, hélas. En se redressant, son regard s’était posé sur son pion en mouvement. Un regard fut posé rapidement sur le dé. Un quatre. Le jeu avait dû considérer qu’elle avait lancé le dé…Elle s’approcha du plateau pour lire la phrase qui s’inscrivait.
« Au fond des mers vous vous amuserez, en charmante compagnie, mais affamée… »
Oh elle ne le sentait pas du tout. Pas du tout du tout. Et elle avait bien raison, parce qu’à peine avait-elle terminé sa phrase que la maison se transformait déjà en un grand aquarium géant. Génial, elle qui n’était pas habituée à l’eau…Au départ elle avait tenté de retenir sa respiration. Et c’est arrivé à bout de ses capacités qu’elle pensait qu’elle allait se noyer…Avant de se rendre compte qu’elle arrivait à respirer sous l’eau. Mais elle n’a même pas le temps de se réjouir qu’elle voit bouger quelque chose, un peu plus loin.
« C’était quoi, ça ? »
Avait-elle demandé le plus naturellement du monde en se tournant vers ses compagnes de mésaventure. Ce n’est que là qu’elle c’était fait la réflexion. Mais depuis quand elle peut parler sous l’eau ?!
La peur panique de Mario venait donc de disparaître et tout avait l'air d'aller pour le mieux. Le jeune homme soupira donc, avant de voir l'une des Shéhérazade lancer de nouveau le dé. Mais le brun n'était pas près pour une nouvelle énigme... Une énigme qu'il n'aimait pas trop d'ailleurs... Et avant même qu'il n'ait pu dire quoi que ce soit, la pièce se remplit donc d'eau et il se retrouva donc immergé, tout en fixant le jeu, non loin de lui. Voyant qu'il respirait parfaitement, il lança donc à son tour le dé, qui avança son pion de trois cases. Mais soudan, il entendit la voix de Shéhérazade lui demande ce qui se dirigeait vers eux. Il arqua les sourcils, réalisant qu'il entendait parfaitement sous l'eau et se retourna donc aisément, comme en apesanteur... Pour voir une sirène... puis deux... Puis trois...
Sans attendre ni plus ni moins, il prit Regina par le bras et l'attira vers lui pour la protéger, tout en disant :
-Lance ton dé ! Sauve nous de là !
En attendant, il relâcha la gamine et se dirigea donc vers le fond de la cuisine en bois, s'emparant de poêles en bois, en tendant une autre à Shéhérazade, puisque c'était bien trop lourd pour le pain d'épice, tout en demandant :
-Ca te dit une partie de baseball avec pour balle leurs têtes ?
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Regina Mills
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| Conte : blanche neige et les sept nains | Dans le monde des contes, je suis : : la méchante reine
Ma mère avait disparu et apparemment, tout comme moi, mes coéquipières avaient réussis à lutter contre leurs propres peurs. Qu'est-ce-que le jeu allait encore nous jouer comme tours ? Pensant que toute cette embrouille de peurs à contrer était terminé, j'aperçois Shérazade ou tout du moins une des Shérazade jeter le dés et lire la phrase qui apparaît au centre du jeu.
Mais alors que je m'aprêtais à jouer à mon tour, je me retrouve à nager dans l'eau, comme un vrai poisson. Je retins donc ma respiration et m'aperçu rapidement que j'étais capable de respirer sous l'eau. Je me retourna lorsque Shérazade demanda ce qui avait bougé derrière les meubles. Je tourna le regard et fronça les sourcils lorsque je vis une sirène, puis une seconde et une troisième...
« C'est quoi ça encore ?... »
Mario m'attrape par le bras et me demande de lancer les dés pour les sortir de là. Je le lâche et nage jusqu'au jeu avant d'attraper le dé et de le lancer. Le dé fait un six et je regarde donc mon pion avancer de 6 cases avant de me faire propulser contre le mur par la queue d'une sirène. Quelque peu assommée, je me relève avec difficulté, surtout dans l'eau...
Furieuse, je lève les mains et essaie de me servir de ma magie, créant un champ de force autour de moi mais au lieu de ça, je propulse la sirène mais me propulse en même temps contre le mur voisin et assomme à moitié Mario.
« Flute, désolée ! Le pain d'épice, c'est ton tour ! Sors nous de là ! »