« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Anya parcourait littéralement le monde en compagnie de Vladimir et Dimitri qui avaient accepté de l'emmener à Paris, pensant qu'elle était la dernière héritière des Romanov. Tout ça parce qu'elle était rousse et qu'elle possédait un médaillon disant "ensemble à Paris". Pff... la jeune orpheline ne savait même pas qui avait bien pu le lui donner mais elle sentait qu'on tenait sans doute à elle et qu'il fallait qu'elle tente le coup. De toute façon, elle était seule, alors elle n'avait rien à perdre. Mais bordel, pourquoi fallait-il travers tous les royaumes pour s'y rendre? Non pas que la jeune fille, qui n'était auparavant jamais sortie de Russie, n'apprécie pas de faire un peu de tourisme, mais quand même. Elle avait bien d'autres priorités. Ceci étant dit, le royaume dans lequel elle se trouvait actuellement était loin d'être repoussant et, intriguée, la jeune fille avait momentanément abandonné ses compagnons de route pour se rapprocher du palais près duquel elle se trouvait à présent. Si elle était effectivement une princesse, elle aurait aussi logiquement droit à son propre palais et elle trouvait cette idée étrange. Elle qui avait toujours dormi sur un matelas de paille posé à même le sol, elle avait du mal à s'imaginer dans le faste et ne savait même pas si elle en voulait. En revanche, elle se demandait quel sorte de souverain habitait là, ce qui l'avait conduite à rester devant les hautes murailles qui l'encadraient. Et justement, une femme somptueusement vêtue venait d'en sortir. Elle avait tellement de classe, tellement d'aise et tellement de prestance que la jeune fille se demanda si elle serait capable d'autant si jamais sa famille était effectivement la cour russe. A tous les coups, ce serait non, Anya était plutôt maladroite, ce que cette femme ne semblait pas être. Femme qui justement prenait la direction de la jeune fille, qui, fascinée, ne put s'empêcher de demander bêtement: - Vous êtes la reine du palais?
Regina Mills
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« Votre majesté, Blanche Neige nous a encore échappé. », je me retourne et furieuse arrache le cœur du soldat face à moi avant de le réduire en cendres et fait face à l’autre homme et le regarde, menaçante « Si vous ne voulez pas subir le même sort, sortez d’ici et allez me capturer cette garce ! ». Comme je m’en doutais, le soldat ne tarda pas à décamper et je me mis à faire les cents pas dans mes appartements, les flammes de la cheminée se reflétant sur mon manteau en velours rouge. Comment cette petite peste pouvait encore échapper à mes gardes, ce ne sont que des incapables.
A croire que je devais tout faire moi-même. Aussi, attendant que mon attelage soit prêt pour aller dans un des nouveaux villages qui s’est construit non loin et qui a très certainement caché mon idiote de belle-fille afin de crier vengeance et d’essayer d’enfin l’attraper, je sors de mes appartements et descends les marches qui me séparent du jardin royal. Je m’approche de mon pommier et en cueille une pomme, bien rouge, bien mûre. Une pomme qui ressemble beaucoup à celle que je réserve à ma belle fille.
Un soldat viens vers moi et me fait face « Pardon votre majesté mais il y a une intruse dans l’enceinte du Palais. Est-ce-que nous devons vous en débarrasser ? », je regarde le garde tout de noir vêtu et soupire avant de lever les yeux vers lui « Non poussez vous, j’y vais moi-même. », je quitte donc les lieux et sors à l’endroit précis où la sois-disant intruse avait été vue. Pensant que c’était ma très chère belle-fille, je m’attendais au pire mais non… Je tourna le regard et fit face à une jeune fille rousse, je devais paraître gentille et lui souris « Vous êtes la Reine du Palais ? », je m’approcha d’elle et la scruta de haut en bas, elle me rappelais quelqu’un mais je ne savais pas dire qui. Je lui souris à nouveau « Oui, je le suis. Je m’appelle Regina et toi, comment t’appelles tu et que fais tu ici toute seule ? »
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Anastasia Romanov
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Pour une reine, Regina - puisqu'il faut la nommer et qu'elle avait eu la délicatesse de se présenter - avait l'air accueillante voire même chaleureuse. Du moins, elle ne prit pas Anya de haut, ce qui la rassura un peu. Elle avait eu peur de faire une connerie, elle qui était simplement venue admirer le palais et s'échapper un moment, histoire d'être seule. Et de profiter de son tourisme forcé, par la même occasion. Quoiqu'il en soit, elle avait vu juste et en plus la reine ne lui bottait pas le train pour la foutre dehors. C'était déjà bien plus que ce dont la jeune fille aurait pu rêver. La splendide femme semblait même encline à faire un peu de conversation, ce qui n'était pas pour déplaire à la jeune russe qui aimait les rencontres. Il faut dire, pour sa défense, qu'elle avait été assez seule et avait mené une vie monotone bien trop longtemps pour refuser le contact humain. Gratifiant la reine d'une révérence - car elle savait que de telles choses se font - la jeune fille répondit: - Je ne suis personne, votre majesté. Je m'appelle Anya, je viens de Russie et je voulais simplement admirer votre beau palais. J'espère ne pas vous avoir offenser. Je ne suis que de passage dans le royaume, vous savez. Je suis avec des amis, ils m'emmènent à Paris.
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« Je ne suis personne, votre majesté. Je m'appelle Anya, je viens de Russie et je voulais simplement admirer votre beau palais. J'espère ne pas vous avoir offensé. Je ne suis que de passage dans le royaume, vous savez. Je suis avec des amis, ils m'emmènent à Paris. » Je souris à la jeune fille. Elle venait de Russie, il s’était passé une malédiction là bas il y a quelques années, j’en ai entendue parler mais il paraît que la dernière héritière est en vie, si ça se trouve, c’est elle… Enfin bon, seul le temps nous le dira mais d’après ce que je vois, la jeune fille à l’air affamée et apparemment, personne n’est avec elle, je lui souris à nouveau. « Non, tu ne m’a aucunement offensé Anya ne t’inquiètes pas. Tu as l’air affamée, puis-je t’inviter à manger quelque chose ? Que tu repartes de mon royaume le ventre plein me ferais plaisir tu sais. »
Je me reculai légèrement et attendis une quelconque réaction de la jeune fille qui n’avait pas l’air méchante du tout, elle avait même plutôt l’air vraiment gentille, pour une fois que j’avais à faire à quelqu’un de réellement gentil. Je me sentais bien en ce moment précis que j’en oublia que je devais me rendre dans le fameux village, lorsque les gardes vinrent vers moi, je leurs fis signe de repartir et tourna le regard vers la rouquine « Appelle-moi Regina. Alors ? Acceptes-tu ? »
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Anastasia Romanov
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HJ: On répond apparemment très rapidement toutes les deux mais ça changera quand mes cours reprendront. Et ma vie sociale méga active. Sinon, je me disais que si tu aides Anya, tu dois détester Raspoutine (si jamais quelqu'un a la bonne idée de le jouer) et comme en plus il pourrait avoir la vague idée de tenter de te faire de l'ombre (je suis sure que tu es plus puissante) l'idée me parait intéressante et logique, mais c'est à toi de voir.
Anya n'aurait jamais pu imaginer que sa journée prendrait une telle tournure. Jamais. Elle avait simplement pensé aller admirer le palais et revenir là où Vlad et Dimitri prenaient un café en échafaudant leurs plans. Ils n'avaient peut être même pas fait attention à son départ et pourtant, elle avait du lutter pour que Puka ne la suive pas. Quoiqu'il en soit, la journée se faisait de plus en plus intéressante. Après tout, une reine, une vraie de vraie, venait de l'inviter à manger chez elle. Ce n'était pas rien, pour le coup et la jeune femme se demandait si elle n'allait pas faire tache... Mais d'un autre côté, curieuse qu'elle était, elle s'en fichait un peu et avait trop envie de savoir où tout ceci la mènerait pour refuser. Malheureusement, des gardes venaient d'arriver à hauteur de la reine et la jeune fille craignit un instant qu'elle ne revienne sur sa parole, ce qu'en fait, elle aurait parfaitement compris. Mais elle n'en fit rien et renvoyer les gardes pour rester avec elle, une pauvre petite orpheline qui ne savait littéralement pas comment elle s'appelait. Etait ce donc son jour de chance? Anya ne perdit en tout cas pas une seconde pour répondre, des fois quelqu'un d'autre débarque: - D'accord... Regina, s'efforça t-elle de dire à la reine - puisqu'elle y était autorisée, décidément cette reine devait être cool!. J'accepte. Elle ne dit bien sur pas qu'elle mourrait de faim et se contenta de la suivre dans le palais qu'elle n'aurait jamais osé rêver visiter.
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On entre donc toutes les deux dans le Palais et je grimpe les marches avec elle jusqu’à mes appartements. Une fois à l’intérieur, je lui souris et lui fais signe d’entrer « Bienvenue Anya. », j’entre et regarde du coin de l’œil Anya qui observe le décor qui l’entoure. Je me dirige vers la cheminée et sans qu’elle ne regarde, je crée une boule de feu avant de la lancer dans la cheminée pour que cette dernière puisse réchauffer un peu l’atmosphère. Je me retourne vers Anya et fais apparaître sur la table deux tasses de thé et des gâteaux.
« Si tu as faim Anya, tu te sers d’accord ? Il n’y a aucun problème. », je lui fais signe de s’installer sur l’un des sièges et moi, je m’installe sur l’autre, faisant face à la jeune fille, ne cessant de la regarder. Je prends ma tasse en main et la porte à mes lèvres avant d’en boire une gorgée et je la repose sur la petite table. « Dis moi Anya, tu es originaire de Russie ? » Quoi ? Il fallait bien faire la conversation non et puis, je commençais à m’ennuyer toute seule alors vu qu’Anya est là, autant en profiter autant que je peux.
Je lui souris tandis qu’elle ne cesse de regarder autour d’elle. D’après ce que j’avais compris, elle était orpheline, elle avait dû grandir dans un orphelinat alors et vu comment elle était vêtue, je la comprenais. Je suis sûre qu’elle n’aurait jamais cru pouvoir entrer dans le Palais. Je souris et croisa son regard lorsqu’elle se retourna « Tu es surprise d’être ici Anya ? », oui, j'en étais certaine, ce regard, cette voix, ses cheveux et sa façon d'être, n'attendant pas une réponse de la rouquine, je me lève lui faisant signe que je reviens et me dirige dans la pièce d'à côté avant de faire apparaître un énorme livre grâce à la magie et je l'ouvre au chapitre sur la dynastie Romanov détruite par la malédiction de mon pire ennemi. Oui, la rouquine sur la photo, elle est enfant mais je suis certaine que c'est elle... Raspoutine risque fort de ne pas être bien content et qu'elle meilleur moyen de le faire enrager que d'aider l'héritière du trône impériale à aller à Paris ?
Un sourire aux lèvres, je fais disparaître le livre, bien décidée à aider la rouquine et sors de la salle avant de revenir vers Anya et je lui souris de plus belle avant de me rasseoir « Excuse moi Anya, un petit soucis mais maintenant tout est bon. Donc je te disais, est-tu surprise d'être ici ? »
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Anastasia Romanov
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Tout se déroulait comme dans un rêve. Les portes du palais avaient même semblé s'ouvrir comme par magie et, ce qui semblait être l'instant d'après, Anya, la petite orpheline, était dans les appartements de la reine. Rien que ça. Et quel appartements! De quoi tourner la tête de la jeune fille qu'elle était même si, depuis qu'elle connaissait Dimitri et Vladimir, elle avait vu mille et une choses nouvelles. Elle n'avait pas encore vu autant de magnificence. Aussi, son regard ressentait le besoin de se poser partout, comme pour tout photographier, tout imprimer. Elle qui avait si peu de souvenirs, elle tentait de s'en fabriquer le plus possible. Soudain, elle remarqua la feu dans la cheminée et le thé et, suivant l'invitation de Regina, elle s'installa en face d'elle, buvant une gorgée brûlante en écoutant la reine. - Oui, je viens de Russie, acquiesça t-elle tandis que cette dernière se relevait. Anya la suivit machinalement du regard, la laissant finir ses affaires - sans doute plus importantes qu'une petite orpheline russe - avant de réponse à son autre question - même si la réponse était évidente. Ce n'est en effet que lorsque Regina se rassit que la jeune fille, reposant sa tasse, répondit: - Très surprise, avoua t-elle sincèrement, sans penser aux formes qu'il fallait d'ordinaire mettre quand on s'adressait à une personne de haut rang. De toute façon Dimitri n'était pas là pour lui crier dessus donc elle pouvait se lâcher. Mais elle sourit quand même, presque pour s'excuser. - Je ne suis personne vous savez, alors me retrouver dans les appartements privés de la reine c'est surréaliste. Pourquoi je vous intéresse autant? osa t-elle demander en prenant un biscuit, parce qu'après tout ils avaient l'air bien meilleurs que ce qu'elle avait toujours connu, là bas, en Russie.
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Alors la rouquine venait belle et bien de Russie, orpheline âgée de dix huit ou dix neuf ans, où tout du moins physiquement alors si je ne me trompes pas, elle est belle et bien la dernière de la lignée des Romanov, alors là, mon cher ennemi risque de détester ça. « Qu’elle merveilleuse nouvelle », me dis-je intérieurement tandis que je buvais une gorgée de mon thé, continuant de regarder la jolie rousse qui me faisait face. Finalement, je lui souris et lui demande si elle était surprise d’être ici.
Il est vrai que quand on est orpheline et qu’on grandit dans un orphelinat, se retrouver dans un palais, ça doit légèrement impressionner, voir même choquer. « Oh Anya, je me doute que ça doit te changer de l’orphelinat dans lequel tu as grandie. », je lui souris à nouveau tandis qu’elle continuait de regarder du coin de l’œil mes appartements, ce qui me fis légèrement rire derrière ma tasse. Si Anya est en réalité Anastasia, l’aider à retrouver ses souvenirs, c’est la meilleure chose que je puisse faire pour pouvoir réduire à néant la réussite de Raspoutine.
« Je ne suis personne vous savez, alors me retrouver dans les appartements privés de la reine c'est surréaliste. Pourquoi je vous intéresse autant? », je souris et reposa la tasse de thé que j’avais entre les mains sur la petite table à mes côtés et plongea mon regard dans celui de la jeune fille « C’est juste que j’ai une sorte d’intuition qui ne me trompe que rarement Anya… », je lui souris et me saisis d’un cookie et en mordit un côté avant de relever un regard perçant mais doux vers la rouquine. « Voudrais tu que je te fasses visiter les lieux Anya ? »
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Anastasia Romanov
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Anya n'aurait jamais cru provoquer une telle réaction chez la reine. Mais à peine avait-elle posé sa question que Regina plongea ses yeux noirs dans les siens d'un air qui ne pouvait qu'impliquer le plus grand sérieux. Mais aussi une certaine part de mystère, ce que la jeune fille ne tarda pas à constater. En effet, la réponse de la reine était très étrange et impliquait surement des choses dont Anya ne pouvait avoir conscience. Néanmoins, une chose était sure: la petite orpheline russe éveillait son intérêt, ce qui n'avait pas l'air de pouvoir la desservir. C'était même flatteur, à bien y penser. Mystérieux, mais flatteur. Pourtant, la jeune fille ne lui demanda pas de poursuivre sur son intuition, préférant réserver la question pour plus tard... et visiter le palais, puisque la reine le lui offrait. Après tout, c'était quand même une occasion en or qui ne se représenterait pas de si tôt. Car elle était peut être la princesse russe dont on faisait grand cas mais elle ne l'était peut être pas et, quoique les signes semblaient converger vers la première hypothèse, il se pouvait bien qu'elle et ses amis se trompent. Et qu'elle retourne sous peu à sa vie sans importance et pauvre. Vidant sa tasse, elle accepta donc la proposition, contentant cependant son enthousiasme, tâchant de se tenir comme une "dame" en dépit de son accoutrement. - J'adorerais visiter même si j'aurais tout aussi bien pu me contenter du peu que j'ai vu. On a plus ça là d'où je viens. En effet, le palais du tsar, fut-il ou non son père, avait été mis à sac une décennie plus tôt et n'était à présent qu'un bel édifice lugubre et sans vie, poussiéreux, aussi.
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« J'adorerais visiter même si j'aurais tout aussi bien pu me contenter du peu que j'ai vu. On a plus ça là d'où je viens. », Oui, il est vrai que suite à la malédiction de Raspoutine, la famille impériale avait été réduite à néant et le Palais n’étais plus qu’un tas de ruines, j’en avais entendue parler. Aussi, je souris à la réponse positive de la rouquine et termina ma tasse de thé avant de me lever et de lui faire signe de me suivre, avec une idée derrière la tête bien entendue. « Eh bien alors, ne tardons plus. Allons y. », je lui souris et on se dirigea dans la grande bibliothèque, tandis qu’Anya regardait les ouvrages tous plus anciens les uns que les autres, je fis apparaître au centre de la pièce dans un nuage violet, une boîte en velours couleur bleu nuit avec le signe impérial, et avec à l’intérieur… La couronne de sa mère Alexandra.
Dans un sourire, je regardais la jeune fille s’émerveillait de ce qui l’entourait et je la vis soudainement s’arrêter sur la boîte en velours couleur bleu nuit. Peut être un souvenir ? Un doux sourire se fit sur mon visage tandis qu’Anya approchait de la boîte, et qu’intérieurement, j’étais ravie de ce qui étais en train de se produire, il fallait qu’elle se souvienne, pour que Raspoutine s’en morde les doigts et voit à quel point je suis bien plus puissante que lui. « Tout va bien Anas… Anya ? Tu as vu quelque chose ? »
