« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Katheryn Winnick
Just like the wind, I am wild & Free
| Conte : Mythologie revisitée et incrustation dans "Dragons" | Dans le monde des contes, je suis : : Eris, déesse du Chaos, reconvertie en version viking. Longue histoire.
Pestilence ▽ Et ma vision se poursuivit. Lorsque l’Agneau ouvrit le premier des sept sceaux, j’entendis le premier des quatre Vivants crier comme d’une voix de tonnerre : « Viens ! » Et voici qu’apparut à mes yeux un cheval blanc ; celui qui le montait tenait un arc ; on lui donna une couronne et il partit en vainqueur, et pour vaincre encore.
La puissance se rapprochait, resserrant son étau autour de mon cœur et l'écrasant presque, douloureusement et inquiétant. Je n'avais pas mal à proprement parler, mais quelque chose me gênait. L'air était plus épais et âcre, laissant un goût désagréable dans ma gorge, comme du sang. Je resserrais ma prise sur le manche de la hache, en marchant lentement et dans une position de guerrière prudente, à l’affût du moindre bruit suspect ou d'une attaque sournoise. Mon cœur battait la chamade, je l'entendais résonner dans mes oreilles aussi fort qu'une épée frappant le dessus métallique d'un bouclier. Fort, assourdissant. Ma gorge se serra tout à coup et je sus que la présence était là, en dehors. Tout semblait brouillé autour de moi, et les cris de mortels se mirent à envahir la nuit, comme si quelque chose était sorti des ombres pour leur ôter la vie.
Mais ce n'était pas cet être qui venait d'entrer dans le centre-commercial. Quatre femmes, dont deux avaient un léger aura divin Je connaissais celle qui me parlait. Une nymphe. Un rictus étira mes lèvres quand elle m’appela Eris. Mais en entendant le nom des cavaliers, un frisson me parcouru. Ça correspondait en effet à tout ce qui était arrivé. Pourtant... ça ne devrait pas être possible. Chronos n'est plus, et les cavaliers sont censés avoir disparu avec lui. Je n'avais pu que lire des histoires sur ces guerriers monstrueux, personne n'était prêt à faire face à une telle menace. Si c'était bel et bien ça. Je ne faisais pas réellement confiance à une nymphe.
- Que ce que tu fais là Erytie ? Tu n'étais pas censée être morte, ainsi que tes précieuses pommes d'or ? Si c'est pas bien un cavalier là-dehors, tu devrais être la mieux placée pour savoir que le seul moyen de survivre pour vous est de quitter ces lieux. Tu n'es pas aussi puissante que tu crois l'être, emmènes ces femmes et laisse moi me batte contre le cavalier. Si il est bien le seul.
Je levais les yeux vers le ciel d'encre visible à travers les baies vitrées et essayais de me souvenir de tout ce que je savais sur les cavaliers. Sûrement pas la raison de pourquoi ils seraient de retour et encore moins ce qu'ils veulent. Chronos ne pouvant plus agir, il devait sûrement se passer quelque chose de bien plus grave. J'abaissais ma hache et pris une expression sévère, sourcils froncés et menton relevé. Étant une grande femme, je savais que j'étais impressionnante comme ça.
- Quittez les lieux. Immédiatement. Aucune d'entre vous ne pourrait survivre face à un cavalier. Je suis une déesse, et moi même suis en danger. Je ne sais pas lequel c'est, mais ils nous tueront sans aucun scrupule. Passez par une des sorties de secours et méfiez vous de toute personne montant à cheval.
Passant devant le petit groupe, je sentis une légère présence divine, un aura émanant d'une jeune fille dont le visage m'était inconnu mais qui pour autant me semblait familière. Pas une déesse, mais autre chose. Je n'avais pas le temps de parler. L'apocalypse était proche. Et il semblerait bien plus forte que le chaos.
Je sorti lentement du bâtiment, aux aguets. Le cavalier était là dehors, aux parkings à ce que je pouvais percevoir. La lune était pleine dans le ciel et illuminait d'un éclat irréel le lieu recouvert de goudron noir, entouré de quelques lumières. Je pouvais percevoir les ombres de mortels qui s'étaient rassemblés pour tenter de voir quelque chose, et leur peur me parvenait par vague, si puissant que l'air semblait en imprégné. Peut être qu'eux aussi pouvaient ressentir cet atmosphère lourd et épais, comme une brume d'horreur et de promesses sombres recouvrant la ville entière sournoisement pour pouvoir refermer son piège sur ses proies. En l’occurrence nous.
Ma hache toujours sortie, légèrement relevée pour pouvoir à tout moment l'utiliser, j'avançais calmement sur le parking. Il était tout prêt. Quelque chose de blanc comme sorti de la nuit approcha lentement tout à coup, à plusieurs mètres de là où je m'étais arrêtée devant la vision. Les sabots résonnaient sur le sol, et la respiration du cheval blanc était forte,plus forte qu'elle ne l'aurait dû l'être. Un cavalier montant un destrier blanc... Peste. J'aurai préféré Guerre. Ça m'aurait tout de suite plus parlé. Là, c'était un ennemi d'autant plus redoutable car je ne savais pas du tout comment m'y prendre avec. Juste éviter le contact physique. Et que je ne pourrais pas le tuer. Que d'informations encourageantes. Je n'avais pas pu voir à quoi ressemblait le cavalier. Il dégageait un tel aura de puissance que des frissons me parcouraient. Aucun homme ne m'avait jamais fait cet effet, je n'avais aucune envie que ce soit cet chose qui me mette dans cet état. Le contact de la hache contre ma paume était réconfortante et je pris une grande inspiration. J'étais une déesse, protectrice des vikings et guerrière accomplie. Pas question de mourir à cause d'un être censé être mort depuis des siècles. Ou tout du moins disparu.
Le cavalier bougea très légèrement et un rayon de lune tomba sur son visage, dévoilant son identité. Malgré moi, je sentie mes yeux s'écarquiller et ma bouche s'entrouvrir devant cette vision. Je connaissais ce cavalier. Je l'avais aidé, protégé, apprécié et embrassé. Lui avait fait de même de son côté.
- Wilson.
Le robot qui m'avait donné un peu d'espoir dans l'espèce humaine. Je ne l'avais pas revu depuis nos aventures sur l'île, mais je n'avais pas oublié qui il était. Je m'y étais attaché. Maintenant, j'allais devoir éviter de mourir par sa main. Et devoir le détruire au besoin. Le plus étrange, c'était que je me sentais triste à cette idée. Je me retournais tout à coup et retournais dans le hall du magasin, rejoignant les filles, du moins Erythie.
- On ne peut pas le tuer. C'est un... ami. Je crois qu'on peut dire ça comme ça. Et un cavalier en plus. Quelqu'un sait se battre ou suis-je la seule à pouvoir tuer sans remord ? Je crois qu'il attend quelque chose, il ne m'a même pas attaqué.
Il se préparait quelque chose, j'en avais désormais la preuve. Mais la question restait quoi.
(c) AMIANTE
Evelyn Nichols
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Scarlett Johansson
Je sens que ça va mal finir mais c'est pour une bonne cause... alors...
TechnoDino, rassemblement
| Conte : Wall-E | Dans le monde des contes, je suis : : EVEEEEE
Wall-E... ~ "Et je vis : et voici un cheval blanc, et celui qui était assis dessus ayant un arc ; et une couronne lui fut donnée, et il sortit en vainqueur et pour vaincre. "
Tout s’était passé très vite, trop vite même, bien trop vite. Erythie ne lui avait pas répondu mais Evelyn n’était pas du genre à se formaliser. Si la réponse ne lui venait pas de la bouche de la jeune femme, elle l’apprendrait toute seule. Son manque de réponse était d’ailleurs dans doute plus due à la nouvelle arrivante qu’à un manque évident de politesse. La blondinette se retourna et effleura rapidement… Hyppolite… oui c’était comme ça qu’elle s’appelait. Les Humains perdaient souvent du temps inutilement dans les présentation, la robot préférait largement son mode de communication. Elle leur conseilla de s’en aller puis Erythie repris la parole.
Elle leur présenta alors un mâle qui se baladait sur un cheval. C’était le cavalier blanc, la peste, une maladie donc la blondinette avait appris beaucoup et elle leur confirma que c’était quelqu’un de très puissant. La suite, Evelyn ne l’entendit pas, elle n’entendit pas la nymphe terminer son discours, ni son pas qui se pressa vers le centre commercial pour rejoindre une déesse et encore moins Kiana qui semblait visiblement prise de panique. Le cavalier en question lui rappelait vaguement quelque chose, ce physique, qui se détachait de la nuit, cette odeur, elle l’avait déjà senti. Elle n’entendit plus rien tandis qu’elle faisait deux pas en avant, le cavalier passant, impassible… Wall-E… C’était Wall-E… Elle s’était battue à ses côtés, il semblait qu’à présent ils étaient ennemis… Et elle n’avait plus droit de le toucher. Une nouvelle fois, Evelyn sentit sa gorge se nouer, c’était une sensation absolument désagréable et elle ne comprenait pas que l’humain puisse avoir de telles facultés à se sentir mal… C’était absurde et complément stupide…
Tentant de se reprendre, elle déglutit et tourna la tête… Il n’y avait plus personne. Elle se dirigea à son tour vers le groupe féminin et rattrapa la conversation en cours. La nouvelle, avec la hache dans la main, leur expliquait qu’il valait mieux que tous se mettent à l’abri, la laissant seule avec le cavalier. Mais Evelyn ne voulait pas la laisser seule, non non et non. C’était Wall-E, c’était son ami et elle espérait lui faire entendre raison avant qu’elle ne soit obligée de faire feu contre lui. Elle se sentit donc concernée lorsque celle qui semblait une déesse demanda si certaines savaient se battre. Solennel, comme elle l’avait toujours été dans le monde des robots, elle lui répondit :
- Moi. Moi je sais me battre. Je veux t’aider. Wall-E est mon ami… Et j’ai été conçue pour protéger cette terre.
Dans ce monde ou dans l’autre EVE se devait de redonner de l’espoir aux gens. Beaucoup auraient pu penser que tout ce qu’elle avait fait, c’était de ramener une pauvre plante dans un vaisseau mais elle avait fait bien plus que cela. Elle était là pour créer une lueur d’espoir, donner la preuve qu’il pouvait encore exister une vie après le chaos et là, en cet instant précis, il semblait que le chaos frappait à leur porte. Elle avait tout étudié de toutes les techniques de combat existant dans ce monde, elle était prête à se battre. Elle était déterminée.
copyright Bloody Storm
Hippolyte Sherman
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Shelley Hennig
Arrête de t'en faire. Je suis là maintenant, ok ?
Tu m'as vraiment manqué Peg !
| Conte : Inventé | Dans le monde des contes, je suis : : la fille d'Arès.
C’était la panique dehors. Hippolyte ne savait pas trop ce qui se passait. Elle regardait, sans pouvoir faire grand-chose, la foule qui partait dans tous les sens. Parmi eux, il y avait Erythie, une nymphe qu’elle avait rencontrée quelques jours auparavant, lui prouvant une seconde fois que la mythologie grecque était bel et bien présente à Storybrooke. Sa condition lui permettait d’avoir un lien étroit avec la Terre. Et apparemment elle arrivait à sentir sa peur. Ceci confirmait que quelque chose approchait. Mais pour Hip c’était seulement la météo. Cependant, la foule s’arrêta lorsqu’un cheval fit son apparition. Le cavalier blanc était majestueux, mais semblait très déterminé et dangereux. Hippolyte était submergé par cette vision. La météo ne faisait pas ça…Qu’est-ce qui se passait ? Erythie semblait en savoir beaucoup plus à ce sujet qu’Hippolyte. En même temps, c’était une nymphe. Elle savait beaucoup de chose sur la mythologie contrairement à Hip, qui elle, avait tout appris dans les livres. Hippolyte suivit du regard le cavalier qui avançait vers le centre commercial, tout en indiquant des informations sur cet étrange personnage. Clairement, ils étaient dans la merde. Et dans ses cas-là, l’instinct de survie prenait le dessus. S’ils n’avaient aucune chance de gagner face à lui, il fallait fuir. Non ? Ou alors, se cacher derrière quelqu’un de plus fort. D’après Erythie, toujours, il y avait une déesse dans les alentours. Sérieusement ? Une déesse ? Hippolyte fut agréablement surprise. Elle qui rêvait de rencontrer une partie de sa famille, surtout son père, elle approchait de son but. Malheureusement ce n’était pas forcément les meilleures conditions pour une rencontre divine. Qu’importe. Lorsque la nymphe prit la direction de l’entrée du centre commercial, passant devant le chevalier sans qu’il ne bouge, Hippo la suivit accompagnée des deux autres jeunes femmes, sans écouter la remarque de Kiana. Navrée pour elle, mais l’heure était grave. Arrivée devant celle qui semblait la déesse, Hippolyte ne savait pas vraiment comment se comporter. Alors elle essaya de rester le plus neutre possible, ne quittant pas du regard la déesse. Eris apparemment. C’était la déesse de la discorde, sœur d’Arès, qui l’accompagnait dans ses combats, d’après les livres sur la mythologie grecque. Elle connaissait donc son père. C’était positif. Et ça voulait aussi dire qu’elle était sa tante, divine. Mais Eris annonça la couleur très rapidement. Même elle semblait croire qu’elle n’avait presque aucune chance face à cet homme. Super, ça rassure beaucoup dis donc ! La déesse conseilla même au groupe de partir. Oui c’était la meilleure solution. Alors qu’Eris parti retrouver le cavalier pour certainement engager le combat, Hippolyte regarda ses compagnes de mésaventures. « Si même une déesse ne peut rien face à ça, la meilleure solution c’est de fuir. De changer de ville. De partir loin ! » Oui, elle était comme ça. Hippolyte n’avait pas envie de mourir. Si eux, voulaient rester là, c’était leur problème. « Donc je vais faire ce qu’elle a dit. Sortir par la porte de secours. Ravie de vous avoir revu et à bientôt ou peut-être pas. » Chacun pour sa gueule dans ces moment-là. En temps normal, Hippolyte était individualiste mais c’était encore plus marqué dans ces instants-là. Hippolyte décida d’aller jusqu’au plan, à quelques mètres de là, afin de voir où sont les portes de secours. C’est à cet instant là qu’Eris était revenue, sans aucune égratignure. Il n’y avait eu donc aucun combat ?! D’après elle, il attendait quelque chose. Elle demanda même si les filles du groupe savaient se battre. Une d’entre elle avait répondu positivement, en précisant qu’elle voulait aider, que c’était son rôle de protéger la terre ? C’était qui ça ? Conçue pour protéger la terre ? Bizarre. Bref devant le panneau indiquant le plan, Hippolyte tata sa poche arrière. Elle sorti son petit bâton, qui avait l’air si insignifiant. « Peut-être que ça pourrait aider ?! » Elle était retournée vers le groupe. Son bâton s’était agrandit des deux côtés, formant une lance plutôt majestueuse. Bon par contre, elle n’avait jamais eu l’occasion de s’en servir. D’ailleurs, elle hésitait toujours à s’ajouter au groupe. Franchement, elle n’avait pas envie de mourir avec une flèche en plein cœur (oui elle avait vu l’arc du cavalier) ou d’avoir la peste. Mais d’un côté, peut-être qu’il était plus prudent de combattre cette chose en unissant les forces de toutes, afin de rétablir une certaine atmosphère de paix. « J’ai déjà tué…mais pas sans remord…et c’était accidentel. Par contre, je sais me battre. Je suis plutôt forte physiquement. » Bah oui, c'était une demi-déesse, elle avait une force surhumaine. Ca lui avait même crée des ennuis. En tout cas, c’était la première fois qu’elle avouait comme ça qu’elle avait déjà tué. Bon évidemment, elle n’avait pas précisé qui et dans quelle circonstance. Mais ça lui faisait déjà assez mal de parler de ça. Bref, Hippolyte se rapprocha du groupe, attendant des quelconques directives.
love.disaster
Lily Olyphant
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Lucy Hale ♥
« Copain Grand Sourire ! »
« T'inquiètes Elliot, c'est
pour Halloween... un déguisement...
mais ça fait mal... »
| Conte : Dumbo ϟ | Dans le monde des contes, je suis : : ☣ Dumbo ☣ l'éléphant qui sait voler. ϟ
"Je viens juste de fracasser la tête d'un zombie avec une batte de baseball enroulée de fil barbelé, du coup, non, je ne vois pas pourquoi le fait que tu sois une louve devrait m'étonner."
Je venais de quitter le laser game. Elliot s'était fait arrêté, après tout c'était peut-être ce qui était mieux pour lui. Du moins pour la soirée, car demain, je comptais bien revenir au centre commercial afin de faire des emplettes dans la boutique d'armes à feu. Pas question que mon mec reste enfermé dans une cellule maintenant qu'on s'était remis ensemble. En attendant, ce qu'il me fallait c'était du Crunch! Je rêvais d'une barre chocolatée et ensuite, d'une bonne douche. Il n'y avait rien de mieux que le centre commercial pour assouvir nos fantasmes en chocolat. Je serai bien allé dans la boutique de la jeune femme capricieuse qui m'avait volée ma batte de baseball, mais je me doutais bien qu'elle n'ouvrirait pas sa boutique à peine rentrée de notre aventure. Ici, c'était le mieux pour être sûr de ne pas tomber sur une porte fermée.
"Tu devrais peut être... Je ne sais pas, mais... Genre, met toi peut être ta veste dessus, pour cacher tes poils, ça pourrait effrayer les..."
Je n'avais pas pu finir ma phrase que des gens s'étaient mis à courir dans tous les sens. Comme quoi j'avais raison. Elle avait bien effrayée toute la population. Pourtant, en regardant autour de moi, aucun d'entre eux semblait la fuir elle.
"Tu crois qu'il y a un autre loup dans le centre commercial? Viens on va voir!"
J'avais pris Farenheit par la patte et on s'était dirigé jusqu'aux portes d'entrées. Une fois dehors, on pouvait voir la lune dans le ciel, mais d'un côté, elle était déjà transformée, donc ça ne risquait pas d'être pire. Un groupe de gens étaient rassemblés autour d'un cheval. Je m'étais mise à sourire en secouant la tête.
"Attends, ils fuient un cheval? C'est sérieux?"
Je m'étais tourné vers mon amie, qui semblait plus inquiète qu'autre chose.
"T'es sérieuse là? T'as vraiment le poil qui se hérisse? C'est quoi? Il se passe quoi?"
Au loin je pouvais voir plusieurs jeunes femmes autour de ce cheval et également un homme, qui était dessus. C'était peut être de lui dont ils avaient peur? Hé mais attendez, je l'ai déjà vue quelque part. Il n'était pas avec nous au laser game? La vache! Il avait remporté un prix ou quoi pour avoir ce cheval? J'allais prendre la main de Farenheit et me diriger plus près pour voir si c'était bien eux qui affolaient tout le monde, mais une voix se fit entendre dans ma tête. Oh non, encore François... Car oui, j'ai le père - ancien dieu - d'Elliot dans ma tête... Et comme d'habitude, il faut qu'il parle quand le moment ne s'y prête pas...
"Lily? Cours... Cours !"
Cours? Pourquoi? Où ça? C'est qu'un cheval et... Oh... En l'espace de quelques instants, le cavalier n'était plus sur son cheval, mais devant moi. Il me regardait avec des yeux... des yeux... Avec ses yeux et ça ne m'inspirait pas confiance.
"Far? Tu penses que fuir ça serait une bonne chose?"
Je n'étais plus très sûr de ce qu'il fallait faire, mais il y avait quelque chose qui me donnait vraiment envie de fuir... Le type dans ma tête, les gens autour, mon amie à côté, tous semblaient penser que ce type là, avait quelque chose de bizarre.
"Et merde !"
C'était les derniers mots que j'avais entendu de la part de François - Dyonisos avant de sentir comme une décharge dans ma tête.
Vous avez déjà eu un réflexe totalement absurde lorsque quelque chose d'inattendu vous arrive ? Eh bien, personnellement, c'est exactement ce qui est en train de m'arriver. Actuellement, je suis coincée dans mon corps de louve, et condamnée à le rester. Plus jamais je ne serais humaine, à cause de cette satanée malédiction, la mienne hein, pas celle de la Méchante Reine... J'ai brûlé ma robe, elle est en cendre, et de ce fait, je serai une louve pour le restant de mes jours. C'est... difficile à expliquer. Mais du coup, dans une tentative désespérée de me sentir humaine à nouveau, j'ai foncé... au centre commercial. Pour tenter peut-être d'y croiser des gens connus, des gens qui n'auraient pas peur, des gens qui pourraient me comprendre... J'avais déjà fait un crochet à ma chambre au Granny, mais même tenter d'enfiler n'importe quel vêtement ne fonctionnait pas. Je DEVAIS porter celle que j'avais au début de ma transformation si je voulais redevenir femme un jour. Autant dire que c'est peine perdue. Heureusement pour moi, il y avait Lily. Elle avait l'air crevée, mais en pleine forme en même temps. Du genre prête à mourir pour un bout de chocolat. Tiens, moi aussi d'ailleurs... Je donnerais n'importe quoi pour manger autre chose que de l'écureuil ou de l'oiseau. Ça écoeure, au bout d'un moment... Il me fallait du sucré. Des céréales ! Au chocolat ! C'est au moment où je me demande comment je vais bien pouvoir faire pour tenir la cuillère avec des pattes pareilles que je manque de percuter Lily, qui n'a pas l'air plus surprise que ça... Elle a besoin de lunettes ? Ça arrive des fois, de pas bien voir... mais par contre, croiser une louve dans un centre commercial, une louve qui a une morphologie à moitié humaine et qui fait presque deux mètres de haut en se tenant droite, c'est pas exactement une affaire de tous les jours. Par réflexe, je me recroqueville sur moi-même et lui fait mes yeux de chaton, qui j'espère fonctionneront...
- Je viens juste de fracasser la tête d'un zombie avec une batte de baseball enroulée de fil barbelé, du coup, non, je ne vois pas pourquoi le fait que tu sois une louve devrait m'étonner. Tu devrais peut être... Je ne sais pas, mais... Genre, met toi peut être ta veste dessus, pour cacher tes poils, ça pourrait effrayer les...
Wow ! Ô joie, ô bonheur, elle m'avait même reconnue ! Redressant les oreilles, je lui adresse un sourire colgate version canine. Ça devait plus faire peur qu'autre chose d'ailleurs... Sauf que c'est bien la seule qui a pas l'air préoccupée par ma présence. Autour de nous, les gens courent, s'agitent... Oh non ! J'ai provoqué une panique générale ! Je me couche sur le sol, tentant désespérement de rassurer la foule... Jusqu'à ce que je réalise que ce qui les fait courir comme ça, c'est pas moi. C'est un cheval. Un cheval qui fait peur aux gens... Alors là, c'est du jamais vu. Bien qu'à vrai dire, mon instinct me dicte que ce n'est pas par hasard. Instinctivement, je me mets à grogner, et tous les poils de mon corps se hérissent. Lily semble hésitante, et j'ai à peine le temps de confirmer qu'on devrait se carapater que le cavalier se retrouve juste devant nous, provoquant un drôle d'effet chez Lily... Réflexe. Je bondis, griffes et crocs en avant.
Wilson Wallander
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : George Blagden
| Conte : Wall-E | Dans le monde des contes, je suis : : Wall-E
Just one more time before I go, I'll let you know that all this time I've been afraid, wouldn't let it show. Nobody can save me now, no nobody can save me now. Nobody can save you now. (…) The king is crowned, it's do or die. Nobody can save me now. The only sound is the battle cry.
Le cavalier savait qu'il était au bon endroit, pas de doute, il sentait que c'était ici qu'il devait être. Sa tête tournait de tous les côtés dans l'attente de ce qu'il venait trouver. Si les personnes passant devant lui ne l'intéressait guère, Wilson lui, n'était pas dans le même état d'esprit... Eve. Il l'a vu tout de suite, le fixant, mais n'eut pas le temps de l'observer en retour. Elle devait certainement se demander ce qu'il était en train de se passer. Se poser des questions sur sa présence ici, sur le fait qu'il possédait maintenant un cheval et... pourquoi il était si étrange. Lui aussi, se le demandait, enfin plus maintenant, mais toujours. Pourquoi lui ? Si seulement il pouvait aller lui parler... Ils s'étaient retrouvés si récemment.
Mais l'autre décida de s'arrêter dans son avancée. Se stoppant net, son expression se fit plus concentrée et il sembla presque humer l'air, cherchant dans quelle direction se tourner. Sa monture le mena alors jusqu'à l'entrée où Wilson, à travers les vitres de la porte, put apercevoir Morrigan. Une déesse qui pourrait peut-être lui venir en aide. Mais apparemment, le cavalier s'en fichait complètement, il était concentré sur la jeune femme face à lui. Le robot comprit immédiatement et sa gorge... enfin, dans une image mentale, sa gorge se serra et son rythme cardiaque s'accéléra. En moins de temps qu'il n'en fallait pour le dire, il avait quitté son « petit dada » et se retrouvait face à Lily. Pas seulement. Sa langue claque contre son palet et il secoua légèrement la tête, Elle n'était pas seule et il le savait. On ne le tromperait pas comme ça. Hors de question.
Sors de là, petit. furent les seules paroles qu'il eut besoin de partager mentalement avec son hôte. Canalisant son énergie, Wilson sentit que quelque chose était en train de se passer et quelques secondes suffirent pour que Dyonisos soit hors d'état de nuire. Il n'était plus. Juste... quelques secondes et le dieu ne faisait plus parti de ce corps, désagrégé, disparaissant, mort. Pour de bon. C'est ce que comprit Will en tout cas. Des frissons le parcouraient, dans sa tête, toujours. C'était tellement facile que ça l'effrayait. Et il n'était pas au bout de ses surprises.
Distrait par cette action, se penchant vers la jeune femme a qui il avait fait subir le choc et qui se retrouvait évanouie au sol, il leva la tête au moment même où la louve allait s'agripper à lui. Il leva le bras, assez rapidement pour qu'elle ne puisse atteindre sa tête mais sa main entra en contact avec sa gorge ou ce qui devait être l'équivalent de sa gorge. Il ne s'y connaît pas en loup. Aussi soudainement qu'il était apparu face aux deux amies, l'animal se recula violemment, lui se contentant d'observer. Will savait ce qui était en train de se passer, à l'intérieur. La fièvre, immense, devant s'emparer d'elle, il remarquait ses poils se hérissant, sans doute sous les frissons répétés et violents. Puis elle ne sembla plus stable, se tenant difficilement sur ses pattes, tombant au sol. Elle transpirait, avait l'air de ne plus réussir à respirer, semblait suffoquer. Elle resterait certainement ainsi pendant plusieurs minutes... Si ce n'est plus... à attendre. Mais personne ne pourra la sauver. Il le sait. Elle a prit le risque et l'a touché. Lui. La peste. Pour protéger celle avec qui elle se trouvait, par simple instinct, pas pour lui faire du mal réellement. Pourquoi devait-elle alors subir tout cela ? Elle était innocente. Ce n'était pas nécessaire. Pourquoi ne peut-il pas la laisser tranquille ? Le toucher équivaut à mourir. Irrémédiable. Son cœur se sert devant la vision de la louve tremblante, se recroquevillant, il entendait ses gémissements de douleur et, peut-être aussi, de tristesse.
Le cavalier se contenta de la laisser là, sur le sol, faisant un signe à sa monture qui le rejoignit et se baisse, lui permettant de porter Lily et de la poser sur son dos. Il ne se voyait pas la traîner par terre, il ne voulait pas l'abîmer. Il fallait qu'elle soit en état.
Et cette louve... En train de mourir. En train de souffrir. A cause de lui. Parce qu'il n'avait pas pu se reculer pour la laisser passer sans la mettre en danger, non, pas le temps, la toucher et la tuer c'était tellement plus simple. Puis bon, ça lui apprendra à vouloir s'attaquer à des gens qu'elle ne connaît pas, n'est-ce pas ? Elle ne pourra pas refaire la même erreur maintenant, de toute manière ! La colère grondait au fond de ce corps qu'il habitait, une sorte d'abattement qu'il n'avait jamais ressenti. De la peine, du dépit... du dégoût. Immense et incontrôlable. Pour ce qu'il était. Non, ce n'était pas lui, c'était Wilson.
Sans comprendre, l'arc était dans ses mains, bandé en direction de la tête de l'animal au sol, la flèche apparaissant alors comme la première et seule fois où il l'avait prit dans les mains, bien que des souvenirs de guerres anciennes étaient à présent ancrés dans son esprit comme s'il les avait déjà vécu. Il savait que ce n'était pas sa propre mémoire, mais quelque chose de bien plus grand.
Je suis désolé.
Il lâcha tout, le cœur serré, la flèche battant l'air, un bruit sec marquant son arrêt.
Et il n'était pas content. Un grondement de fureur sortit de sa gorge, contrarié d'avoir laissé faire ce pauvre gamin. A peine la tête de la louve fut transpercée, laissant couler le sang sur le bitume mais ayant fait se stopper brutalement ses cris de douleur, qu'il reprit le dessus. Tout s'était enchaîné tellement vite, il ne pensait pas seulement que l'homme dont il occupait le corps aurait tenté quoi que ce soit. Comme pour montrer qu'il ne servait à rien de lutter, il ouvrit la sacoche posée sur le cheval qu'il n'avait pas encore ouverte, en sortant la couronne lui étant destiné. Au moment même où il la posa sur sa tête, instantanément, le jeune homme fut recouvert d'une couche d'un blanc éclatant, le bout de ses doigts, les délimitations de son torse, le long de ses jambes parcourus de reflets d'or. Cela semblait n'être qu'une seconde peau, sans défaut, solide et épaisse, servant de bouclier et renforçant son pouvoir sur ce corps.
Le cavalier se redressa alors, son regard se posant un instant sur le cadavre de l'animal, remontant ensuite vers le groupe qui n'avait toujours pas fui face à son arrivée. Alors que d'un signe de main il entraînait son cheval, maintenant chargé, à le suivre dans la direction opposée, il baissa la tête, comme pour les saluer. Wilson avait émit l'envie de "faire coucou" ? Voilà. C'était fait. Qu'il se tienne tranquille maintenant.
made by pandora.
Evelyn Nichols
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Scarlett Johansson
Je sens que ça va mal finir mais c'est pour une bonne cause... alors...
TechnoDino, rassemblement
| Conte : Wall-E | Dans le monde des contes, je suis : : EVEEEEE
Wall-E... ~ "Et je vis : et voici un cheval blanc, et celui qui était assis dessus ayant un arc ; et une couronne lui fut donnée, et il sortit en vainqueur et pour vaincre. "
Ce n’était pas lui, c’était impossible… Non il ne pouvait pas faire ça… EVE et Wall-E avait toujours fonctionné en équipe. Elle s’en souvenait, lui était là pour l’accompagné, il était plein de courage mais pourtant si peu adroit. C’était elle quia avait dirigé la mission dans le vaisseau, elle qui avait s tirer au bon moment et faire plier leurs adversaires… L’humain qu’Evelyn avait vu était tout pareil au robot qu’elle avait connu et ce type, sur son cheval, il était bien loin de lui ressembler. Tentant d’analyser chacune de ses actions, elle remarqua un instant une espèce de trouble chez Wilson. Elle ne pouvait en être sûre car il était évident que le jeune homme n’était plus tout à fait humain, et Evelyn n’avait de pouvoir de connaissance que sur les plantes, les animaux et les humains… Tout ce qui était divin, mythologique, bien trop à l’opposé de sa carrure scientifique, elle ne pouvait rien connaitre d’eux…
Wall-E avait blessé une femme enceinte, puis une louve. Il l’avait d’abord touché, la laissant souffrir un court instant mais l’avait rapidement achevé… C’était lui qui avait fait ça, pas cette force supérieure au fond de lui mais lui, il avait voulu sauver l’animal…. Y avait-il encore un espoir que la bestiole relâche son ami ? Qu’elle le laisse en paix, qu’elle lui rende Wilson ? Un étrange phénomène se produisit alors sur le corps de la robot : ses mains, ses bras s’étaient mis à trembler… Elle tremblait, tétanisée et foudroyée par la peur et la douleur de le perdre. Elle comprenait le phénomène, l’avait étudié chez des humanoïdes, mais ne l’avait encore jamais ressenti. Cela était pour le moins troublant. Pendant ce temps, Wilson avait sorti une couronne d’une sacoche et l’avait apposé sur sa tête. Un film blanc l’avait alors entièrement recouvert, comme un film de protection… On aurait dit que Wall-E était devenue EVE, quand elle était encore toute de blanc vêtue… Puis il avait fait un signe de la main, narquois ou sincère ? Elle était incapable de répondre mais elle avait une envie soudaine d’agir…
Et si elle arrivait à pousser Wall-E à se battre contre la chose ? Si elle arrivait à le faire revenir ? Ils avaient été amis, il était le seul qui comptait autant à ses yeux, même si pour le moment, elle était encore incapable de le voir ou de le comprendre. Sans chercher à savoir si les femmes qui étaient avec elle avait envie de la suivre ou pas, si elles avaient établis un plan ou non, Evelyn s’était mise à courir pour réduire la distance qui les séparait du cavalier.
- WALL-E ? Tu m’entends ? C’est EVE ! Je sais que tu ne veux pas faire de mal, je sais que tu es là, tu as voulu aidé l’animal, je le sens au fond de toi, comme je sens que cette terre ne va pas bien. Tu te souviens ? On s’est battu pour que la terre garde une trace de vie, aide-moi une nouvelle fois !
Mais avant qu’elle ait pu ajouter quelque chose, elle perdit l’équilibre et bascula sur le sol. Que s’était-il passé ? Elle n’en savait rien. Portant sa main à son visage, elle sentit ses doigts entrer en contact avec un liquide chaud et visqueux. En l’observant, elle se rendit compte que c’était du sang. Lui avait-il donné un coup à la tête ? Fermant les yeux, elle accéléra le processus de guérison afin que la plaie devienne un mauvais souvenir. Pourtant, elle se sentait tout de même un peu sonnée…
Oui morte, je suis censée être morte, mais je ne le suis pas et je compte rester en vie encore longtemps. Je n'ai pas envie de perdre ce que j'ai déjà perdu, enfin failli perdre. Je la regarde dans les yeux, elle voulait qu'on la laisse seule, qu'on la regarde se battre. Mais je sais qu'il faut qu'on soit plusieurs et ensemble. Dans le jardin, on s'est séparée, c'est pour cela qu'elles sont toutes mortes, parce qu'elles ne m'ont pas écouté.
▬C'est une longue histoire Eris, une très longue histoire que je te conterais surement si on sort vivante de ce calvaire. Mais pour l'instant, ce n'est pas gagné. Et je te signale que toi non plus tu n'es rien face à lui alors autant unir toute nos … forces.
Je n'ai pas pu finir ma phrase qu'elle est déjà partit pour affronter le cavalier, du n'importe quoi, mais c'est Eris et elle n'écoute personne. Autant dire que je suis pessimiste, mais je savais une chose, que la vie aime nous faire des surprises, maintenant, on a juste à prier pour que ça soit une bonne surprise et pas une mauvaise. La déesse revient et confirme qu'elle a besoin d'aide, il ne la pas attaqué, non plus il ne nous a pas attaqué, mais il va faire des ravages dans notre ville et il est hors de questions que je laisse les choses comme ça. Je vais moi aussi l'affronter, aux périls de ma vie.
▬Je contrôle la Terre Eris … je vais t'aider à battre cette vermine de Cavalier et si on le peut, à sauver ton ami. J'espère de tout cœur qu'il n'aura pas de séquelles graves.
Je continue de regarder l'homme, puis je vois une femme et un loup apparaître … ce n'est pas bon. Ce n'est vraiment pas bon. Quand deux personnes s'approchent ainsi d'un cavalier, c'est vraiment pas bon. Il faut faire quelque chose, mais quoi ? On ne peut pas l'attaquer de front, il nous tuerait assurément. Des décharges, je tombe à genoux, des meurtres, mes paumes touchent le sol. On ne devrait pas avoir le droit de vie ou de mort sur un individu. Les larmes noient mes joues, mais je reste forte, je continue de regarder jusqu'à la fin, jusqu'à ce que Evelyn se mette à courir vers la personne et que je décide de me relever pour la suivre. Elle ne doit pas s'approcher du cavalier, non elle ne doit pas. Je reste près d'elle et le regarde trébucher avant de lui toucher le bras. Je regarde le cavalier continuer sa route sans faire attention à nous et une décharge de colère s'abat sur moi. Un cri de rage sort de ma gorge. La vie est trop précieuse pour être gâchée. Je plaque mes mains sur le sol et fait appelle aux arbres, à la nature. Je supplies ma mère de nous aider. Alors soudainement, des racines sortent du sol et frappe le cavalier durement. Je me relève et aide Evelyn avant de la tirer vers l'intérieure du bâtiment.
▬Wil est bloqué à l'intérieur, il t'entend, mais il ne pourra rien faire. Il faut que l'on fasse front ensemble, et pas séparément sinon .. on est perdu.
J'essuie mes larmes et mon regarde devient plus dur. Jamais il ne régnera ici, jamais !
Il y avait vraiment bien trop de monde dans cet endroit pour Kiana qui avait toujours apprécié la solitude. Mais là n'était pas le moment de déblatérer sur ce genre de chose puisque le cavalier venait de tuer... De sang froid... Une louve certes, mais il venait de tuer... Et cela révulsait Kiana. Elle détourna donc le regard, avant de finalement se séparer du groupe et de se diriger vers les deux corps. Du moins, le corps de Farenheit, puisqu'i était clair qu'elle avait succombé. Quand à Lily et bien... Le cavalier s'approcha et Kiana se dégagea de son chemin, ne voulait pas qu'il la touche. Elle le laissa donc prendre le corps de Lily et laisser Farenheit à sa place... Un corps sous l'emprise de la peste... Une maladie mortelle qui pouvait tout détruire... Ainsi que Storybrooke. Alors pour éviter la contagion, Kiana décida de brûler le corps. Elle créa donc une boule de feu et la lança sur le cors de la louve, en murmurant :
-Repose en paix... Je te jure que ta mort ne sera pas vaine...
Totalement révulsée par la mort de la louve, la jeune femme se dirigea donc de bon pas vers le groupe de jeune femmes, qui attaquaient le cavalier. Mais apparemment, c'était mal partie puisqu'Evelyn venait de tomber à terre. C'est la nymphe qui la releva, alors que Kiana, qui profitait du fait que la blonde ait touché le robot, créait maintenant un mur de feu devant elle et les autres. La nymphe en profita pour faire diversion en utilisant les pouvoirs de la terre... Comme Cornelia l'aurait fait en fait !
Reprenant peu à peu confiance, Kiana ordonna donc à ses compagnes :
-Restez derrière le mur, ca va péter !
Elle attendit donc que tout le monde soit derrière elle, avant de tendre ses bras, de fermer les yeux pour se concentrer et de lâcher le tout vers le cavalier. Elle rouvrit alors les yeux pour voir le mur de flamme foncer à toute allure vers le cavalier et le faire reculer de quelques pas...
Kiana : 100 % Cavalier 260 %
Hippolyte Sherman
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Shelley Hennig
Arrête de t'en faire. Je suis là maintenant, ok ?
Tu m'as vraiment manqué Peg !
| Conte : Inventé | Dans le monde des contes, je suis : : la fille d'Arès.
La suite se passa très rapidement. De là où ils étaient, tous pouvait voir ce qui venait de se passer. Une jeune femme qui devait avoir le même âge qu’Hippolyte venait d’apparaître, accompagnée d’un loup…D’un loup ? C’était autorisé ça ? Quoi qu’il en soit la jeune femme venait de tomber au sol. Alors que le cavalier ne l’avait pas touché. Par contre, le loup ou la louve, qu’importe, avait bondit sur le cavalier, essayant de lui infliger des blessures. Mais l’animal fut rapidement maîtrisé par le cavalier. Le loup tomba lourdement sur le sol, mais encore vivant. Sauf que tout le monde pouvait remarquer que l’animal souffrait. Hippolyte était comme tétanisée face à cette situation. Elle se contenta de rester sur place, mettant une main devant sa bouche qui venait de s’ouvrir face à l’étonnement général. Puis le cavalier acheva sa proie avec une flèche. Quelle horrible scène ! Mais ce n’était pas le genre d’Hippolyte de pleurer, même s’il fallait avouer que cette mort était terriblement triste. Hip’ ne savait pas du tout quoi faire. Encore moins lorsqu’il fut enveloppé d’une sorte d’armure. Ça avait l’air d’être un adversaire redoutable. Cependant le groupe ne pouvait pas laisser ce gars emmener une pauvre fille innocente. Alors lorsque la rouquine décida de se rapprocher du cavalier, certainement pour se battre, Hippolyte suivit le pas. Elle courra derrière Erythie et Kiana. Elles avaient tous des pouvoirs surnaturels. Un véritable atout dans ce combat. Bon Hippolyte n’avait que sa lance, mais ça pouvait devenir une arme redoutable. Elle ne savait pas exactement toutes les propriétés qu’avait sa lance. Mais elle le découvrirait certainement dans la suite des événements. Bref, pour le début des combats, ça n’allait pas fort. La rouquine (ou blonde ?) tomba au sol, légèrement blessé. Erythie fit sortir des racines qui touchèrent le cavalier, pendant que Kiana était en train de faire un mur de feu. Hippolyte resta derrière la fille du feu. « Je vais tenter quelque chose » Hippolyte ne savait pas du tout si elle devait absolument faire un combat rapproché avec son arme ou si elle pouvait le lancer, comme une véritable lance, sans avoir forcément suivi l’option javelot au lycée ! Il fallait tenter. Hippolyte souleva sa lance, en position de lancement. Elle la lança avec beaucoup trop de précipitation et trop peu de concentration. Elle rata sa cible de quelques centimètres. Crotte. Elle leva les bras, comme pour montrer son agacement. Elle était vraiment trop nulle. Cependant, elle n’avait pas calculé que la lance reviendrait dans sa main. Aussi lorsqu’elle s’installa dans la main d’Hippolyte, le bout tranchant effleura la paume de la jeune femme. Assez pour lui laisser une jolie entaille à la main. Certes ce n’était qu’une blessure superficielle mais ça fait tout de même mal. « Arès n’aurait pas pu me donner la notice d’utilisation non ? » Hippolyte prit la lance dans son autre main, observant son entaille. C’était vraiment la merde. Mais au moins, Hip’ avait compris que sa lance avait l’option retour à l’envoyeur !