« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
A son réveil la manticore passa la main sur la place ce situant à ses cotés. Elle était vide, et cela depuis un long moment, de temps en temps une personne venait combler ce vide. Cependant la manticore ne parvenait pas à s'attacher, elle restait solitaire, indépendante. Une fois consommer soit elle le laissait partir soit elle l'empoisonnait. Rien de bien compliqué pour elle. Humant l'air doucement, la manticore avait un odorat beaucoup plus fins que la plupart des humains, elle n'avait pas perdu de ses habitudes. Mais, un manque ce faisait sentir et ce n'était pas la place froide qui se situait à coté d'elle. Son ancienne apparence lui manquait toujours bien qu'elle ait accepté sa condition d'humain, enfin presque puisqu'elle gardait ses anciennes habitudes. Ce qui avait changé chez elle s'était peut-être son fils, qui grandissait et apprenait tout aussi rapidement ce qui était normal pour un enfant. A ce moment précis, son enfant se trouvait dans la chambre juste à coté d'elle. Dewenty se redressa, se mettant en position assise pour pensée à ses derniers mois. Son meilleur ami avait disparu et son corps n'avait pas été retrouver malgrés que son ex soit sur le coup. Sylvester était un brillant policier mais ce n'était pas suffisant. Il n'était plus aussi mauvais qu'autre fois et s'était ça qui pêchait ! On avait besoin de personnes mauvaise pour s'en prendre au ravisseur de son meilleur ami ! JB N'avait pas eu de chance quand... ils l'ont retrouver s'était trop tard. Alors même si son ex avait été en couple avec son meilleur ami... ça changeait pas que la justice ne faisait rien pour changer les choses. Dewenty avait mener son enquête ou du moins, cherchait des renseignements quitte à faire souffrir de mille et une façon pour avoir des réponses à ses questions.
Sortant de son lit king size, pour se diriger vers son miroir et surtout son téléphone. Apparemment, elle avait eu un message de la mafia. Mhh.. y a du nouveau... Un leger sourire avait ourlet les lèvres de la manticore. Le tout était crypté mais elle connaissait le code. On lui demandait donc de supprimé une personne et comme son poison était indétectable s'était encore mieux. Elle était en quelques sorte chimiste en matière de poison, s'amusant souvent avec son propre sang pour concocter de redoutable poison, mais pas que des poisons, il y avait mille et une utilité dans tout cela. Le nom lui était plutôt familier puisqu'elle avait du le menacer à un moment donné dans sa vie et aujourd'hui son contrat lui disait de lui supprimé la vie. Comme s'était ironique. Il détenait des informations alors, autant en profiter pour les lui soutirer avant de le tuer.
Avant ça, Dewenty était donc aller réveiller son petit poussin, son petit garçon s'accrochant au cou de sa mère, elle le porta pour aller préparer le déjeuner. Et elle demanderait bien à quelqu'un de lui garder son enfant le temps qu'elle accomplis son devoir. Alésia devait travailler... donc s'était pas le moment et son fils ne voudrait peut-être pas être embêter par les fantôme. Ishanee devait être avec des patients bien qu'elle soit trop gentille, elle allait gavé de cookie le petit. Il ne restait plus que Amalthea, sa marraine. Bien qu'elle soit prise par la mairie, elle ne saurait pas refuser de garder son filleul. Elle lui envoya rapidement un message et cette dernière avait donc accepté. Dewenty avait donc donné le petit déjeuner à son fils et l'avait déposer au château. Déployant ses ailes, la manticore s'était donc diriger vers la personne à éliminer. Bien sur cela allait prendre du temps pour repérer ou il pouvait être si bien que cela lui avait donc prit la journée. Elle se posa non loin d'un entrepôt. Encore une fois du trafique d'être humains. Pas que ça lui faisait quelques choses mais, il avait prit son meilleur ami ainsi.
Sa cible était là tout sourire, tout en mettant un coup de pied à ses humains. Restant donc dans l'ombre le camion avait donc déjà emmener les humains. Seul restait cet homme qui parlait au téléphone du trafic qui avait été réquisitionner. Elle arriva donc juste derrière lui après qu'il ait raccrocher. On va bien s'amuser tout les deux après ça elle lui planta une aiguille dans le cou, ce fut un effet paralysant instantané, bien qu'il ne puisse plus bouger, le reste de ses sens fonctionnait encore aussi bien elle paralysa sa bouche aussi pour qu'il évite de crier même si... à cette heure-ci, il n'y avait personne.
L'instant d'après il était donc au sol Dewenty juste au dessus de lui. j'ai quelques petites question à te poser avant que tu aille dire bonjour à l'enfer. répond en hochant la tête si tu as compris... bien. Elle sourit. Tu vois que tu comprend vite mon chou, cette fois-ci je ne suis navrée mais, je ne pourrais pas te laisser la vie sauve.. on a besoin de te voir mort.. Elle rit légèrement. trêve de bavardage. Alors première question, ce trafique ça fait longtemps que tu en tire les mérites ? fait oui ou non de la tête pas besoin que tu parle. Il hocha la tête. Donc s'était bien la personne qu'elle recherchait. Je veux savoir qui est au commande. La personne secoua la tête. Non ? Elle fronça les sourcils et pressa un son aiguille ce dernier était en train de gémir de douleur. Quel son bien mélodieux mais, à moi aussi ça me fend le cœur de devoir t'infliger cela, si tu serais plus coopératif tout pourrait être vite terminé. Continuant un peu. Bon ou en étions nous ? Ah oui.. alors je veux un nom ou plutôt avant dis moi qu'avez vous fait de Aguistin ? Retirant l'aiguille qui immobilisait sa bouche. Tu ne le sauras pas ! Ah non ? Et si je faisais ça Elle planta son talon dans la main de ce dernier qui étouffa un cri. Je vois que j'ai toute ton attention. Mais je veux des réponses et c'est pas ainsi que j'en aurais plus.
L'interrogatoire dura de nombreuses minutes répondant donc à d'autres question plus facile surtout pour répondre à celle de la mafia puis elle revint au sujet qui l'intéressait le plus. Qu'avez vous fait d'Agustin pour la dernière fois. Il rit, Dewenty manqua de lui arracher le bras, les manticores étaient doté de force. Je ne trouve pas ça très drôle vois-tu ? Il a crier comme une femme avant de mourir Elle commença à perdre patience. Elle lui mit un coup de point. Tu aurais vu s'était jouissif ça façon de pleurer Elle resserra le poing. OU EST-Il ?! Je crains que tu ne le retrouvera pas vivant dit-il en ricanant, la elle ne pu se retenir et le bras fini par être arracher. Tu ne mets d'aucune utiliser je ne vois pas pourquoi je te laisse encore vivre. Salope ! Mon bras ! tu m'as arracher le bras Elle lui plaqua la tête au sol, ne t'en fais pas ton tour viendra ! mais avant je veux te voir souffrir Il lui cracha au visage, Dewenty s'essuya la joue. On ne touchais pas impunément son visage de la sorte, elle fini par lui administrer un poison dans le corps avec ses griffes. Quelques instant plus tard... La mort avait été donné. Misérable ! Tu n'as eu que ce que tu méritais...
Elle envoya donc un code à ses commanditaire. Comme quoi sa mission avait été accompli, elle n'était pas plus avancé dans sa quête. La justice elle le ferait seule. Elle n'avait pas réellement prévu qu'elle soit observé de ce coté là. Peut-être trop obnubilé par sa quête de vengeance. Son odorat perçu quelques choses en sortant de ses pensées. Qui est là ?
Arya
Dazai Osamu
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•••
| Conte : Bungou Stray Dogs | Dans le monde des contes, je suis : : Osamu Dazai
Encore au lit, le suicidaire émerge doucement de cette pénible journée qui s'annonce. Encore. Les rideaux tirés de son appartement laissent innocemment échapper quelques rayons de lumière d'une journée déjà bien entamée à laquelle il ne souhaite pas s'accrocher. Il est en retard à l'agence depuis quelques heures déjà. En quoi une de plus fera une différence ? Il n'ose pas déverrouiller son téléphone, il songe au nombre d'appels manqués que Kunikida a pu lui laisser. Sur combien parier aujourd'hui ? C'est une fin de semaine, la température ne fait que grimper à l'extérieur, l'ADA est prise d'assaut par nombre de missions qu'elle peine à mener à bien sans la présence de Ranpo demandé à l'étranger pour une enquête spéciale, et... La mafia portuaire se fait plus active en ce moment pour des raisons que Dazai connait, il les devine. 15. Oui, Kunikida a du l'appeler 15 fois aujourd'hui, peut-être même 16 si le détective décide de prendre son téléphone dans la minute qui suit. Nonchalement, il lève le bras et le tend jusqu'à l'appareil, tâte le sol et, enfin, trouve l'objet. Celui-ci vibre au même moment. Une part de l'asiatique lui susurre de ne pas répondre, de se morfondre sur sa vie, de se jeter de la fenêtre en espérant que rien ne le rattrape dans sa chute. Cette voix perdure au fil des années, elle ne s'installe pas, elle est là. Chez elle, comme la véritable propriétaire du corps que Dazai occupe. Ce n'est pourtant pas elle qu'il écoute, locataire ambitieux. S'y opposer, justement, est sa raison de se lever tous les jours. Il décroche.
"DAZAII ! Hurle son supérieur à l'autre bout du fil.
- Kunikida... Pourquoi cries-tu si fort dès le matin... ?
- PARCE QUE CE N'EST PLUS LE MATIN ! IMBECILE ! NOUS SOMMES SURCHARGES DE TRAVAIL EN L'ABSENCE DE RANPO ET TOI TU TE PERMETS DE DORMIR TRANQUILLEMENT ? EST-CE QUE TU TE RENDS COMPTE DES ENNUIS QUE TU NOUS CAUSES, TU AS INTERÊT [...] Il poursuit dans un brouhaha que le dépressif n'écoute qu'à demi, cherchant la force nécessaire de quitter sa couette pour affronter la lumière. Maintenant, habille-toi et rejoins-nous à l'angle du Blur Street !
- Blur Street ? Dazai reprend, surpris. Tu veux dire...
- Oui, c'est là-bas que la police avait retrouvé le cadavre de Gran Pilberg. On y suspecte un lieu de rencontres et transitoire au trafic d'organes et d'êtres humains. La police détient des suspects mais rien qui ne permettent de les inculper, c'est pourquoi ils nous chargent de récolter des preuves. Dépêche-toi maintenant, je n'ai pas envie d'y passer la journée !"
Les positions des détectives bougent relativement vite, même en simple mission d'observation. Lorsque Dazai arrive sur les lieux, et il sait y avoir pris son temps, ses collègues ne sont déjà plus sur place. Il ne s'inquiète pas pour autant, une intuition lui dit que les suspects recherchés ne dureront pas dans le temps... L'agence, tout d'abord, est à leurs trousses, mais ce réseau menaçant elle-même d'autres grandes organisations comme la Mafia Portuaire en s'invitant sur leurs propres terrains de chasse, se tire naturellement une balle dans le pieds et creuse leur tombe dans des souffrances infâmes. Leur situation n'est que le déroulement logique des choses.
Un deuxième appel du dirigeant de l'agence prévient Dazai de l'aveu de certains suspects. Sûrement une technique bien menée par les détectives pour piéger leurs proies. Le suicidaire savait qu'ils n'auraient pas besoin de lui et c'est pourquoi il ne s'est pas dépêché sur la route. Ce n'est pas pour rejoindre son équipe qu'il s'est rendu sur place, mais bien pour arriver au moment où ils auraient terminé. Après tout, n'est-ce pas une fois le rideau de tombée que le plus intéressant arrive ? Quelques minutes plus tard, des cris de rage se font entendre à dans la zone.
Dazai Osamu s'active vers l'emplacement de la voix... Non, de les voix. S'il y a agressé, il suppose un agresseur. Une agresseuse, pour être précis. Une jeune femme au teint mate, de longs cheveux bruns et des talons aiguilles martèle au sol le corps d'un homme vicieux qui semble apprécier ses dernières minutes auprès des vivants. Un interrogatoire ? Oui et non. Dazai reconnait la silhouette du bourreau, il l'a déjà vu auprès des membres de l'organisation criminelle à laquelle il appartenait fut un temps. S'étant renseigné sur ses talents, il devine qu'elle n'a pas été embauchée pour obtenir des réponses - mais au contraire, pour le faire taire à jamais. Les questions qu'elle tend à lui poser lui sont personnelles, donc. Malheureusement, les réponses se font moins nombreuses et l'homme emporte des informations importantes dans sa tombe lorsque le coup de grâce est donné.
"Qui est là ?"
Enfin. Il fait un pas sur le côté et se retire du mur qui le protégeait.
"Je pensais que tu me repérerais plus tôt. Mais visiblement, ton intérêt pour les réponses qu'il pouvait t'apporter t'ont distraite de l'environnement qui t'entoure. Il éteint son sourire, baisse le regard sur le cadavre amoché. Tu as utilisé une mission donnée par la mafia portuaire pour combler une affaire personnelle, n'est-ce pas ? D'une pierre deux coups, comme on dit."
Son attention remonte sur l'empoisonneuse et l'aiguille qu'elle tient encore à la main. Dazai se souvient de la douleur que conféraient certains poisons à Yokohama, dans son monde. Maintenant que des milliers avaient été mélangés entre eux, la douleur devaient être décuplée.
"Comment tu t'appelles ? J'ai entendu parlé de toi mais je n'ai jamais eu ton nom. Tu te fais plutôt discrète." Il esquisse un sourire d'enfant.
( Pando )
Dewenty Maanteekor
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Que le spectacle commence...
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Elle entendit du bruit non loin d'elle son regard s'était rapidement tournée dans cette direction. Elle le voyait se décollé de sa cachette sortant donc de l'ombre. Son visage lui était quelques peu familier mais elle ne saurait dire ou. Etant donné qu'elle a vu un nombre incalculable de personne au cours de son existence. Je pensais que tu me repérerais plus tôt. Mais visiblement, ton intérêt pour les réponses qu'il pouvait t'apporter t'ont distraite de l'environnement qui t'entoure. Son odeur en tout cas, elle l'avait déjà humé plus tôt. Mille excuse très cher mais je voulais simplement que tu apprécie le spectacle ? Ne vois tu pas que j'étais quelques peu occupé ? Ces informations étaient importante pour elle avant qu'elle ne donne la mort à cet homme, cela dit, elle pourrait toujours demander à Alésia de le faire revenir sous forme de fantôme pour continuer l'interrogatoire en revanche, elle ne pourrais pas lui infliger des dégâts contrairement à Alésia qui avait cette possibilité. Ces informations étaient importante, je ne pouvais pas me focaliser sur ton petit être. Son sourire s'était effacer sur le jeune homme, son regard était toujours focaliser sur lui puisque le cadavres n'avait plus d'importance à ses yeux, juste bon à finir dans une assiette. Tu as utilisé une mission donnée par la mafia portuaire pour combler une affaire personnelle, n'est-ce pas ? D'une pierre deux coups, comme on dit. Naturellement, elle n'aurait pas accepté sinon, ou peut-être pour se nourrir. Je rend l'utile à l'agréable plutôt. Il n'est pas écrit qu'on ne peux pas le faire
Elle s'était relever avec grâce et prestance, passant une main dans ses long cheveux couleur noir. Les aiguilles de la manticore pouvait faire d'affreux dégâts. Elle savait manipuler les poisons et altérer leur effet. Il n'y avait pas un seul poison qui lui donnait du fil à retordre. Elle savait même utiliser ceux à base de muguet. Comment tu t'appelles ? J'ai entendu parlé de toi mais je n'ai jamais eu ton nom. Tu te fais plutôt discrète. Elle sourit, se libérant du corps en dépoussiérant sa tenue. Ne dit-on pas qu'on ne donne pas son nom au premier rendez vous ? Comme tu l'as dis si bien, je me fait discrète et ne laisse aucune trace, j'aime travailler proprement, certes je peux faire des ravages. Elle fit une légère moue à son intention. Le sourire d'enfant ne l'avais pas attendri mais elle le trouvait plutôt sympathique.
Elle avait eu, ce qu'elle était venu chercher, elle n'aurait plus qu'à rapatrier son corps quelques part. Posant son index près de sa lèvre. Ce n'est pas ainsi qu'on décroche un rendez vous avec les femmes, mais... ton visage m'est familier, je ne situe plus ou exactement mais j'en mettrais ma main à coupé que c'est au sein de la mafia au vu de ce que tu sais. Je me trompe joli coeur ? Elle s'approcha lentement de lui. Tu peux m'appeler Poison Ivy.
Arya
Dazai Osamu
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| Conte : Bungou Stray Dogs | Dans le monde des contes, je suis : : Osamu Dazai
Le détective est rassuré par plusieurs choses : tout d'abord, ses partenaires ne sont plus sur place et ne semblent pas avoir croisé le chemin de la jeune femme que lui a eu la surprise de croiser pour la première fois. Ses poisons dits redoutables, il ne préfère que l'ADA s'en mêle directement. Ensuite, la rencontre ne semble pas être hostile - ce qui est parfois le cas avec des partenaires de la Mafia. Se déplaçant uniquement dans le cadre d'une mission, ils détestent parler et préfèrent détruire ce qu'ils voient comme une menace. Dazai ne semble pas en être, de loin. Si elle le connait, cependant, sa réputation pourrait le précéder et pas dans le bon sens. Il allait le savoir à un moment donné.
"C'est vrai, il confirme sans pour autant s'en satisfaire. Tu étais occupée à récolter tes réponses."
Le corps est inerte, plus aucune âme ne saura le faire bouger désormais. Mais le détective n'en est pas écoeuré. Pour lui-même avoir anéanti des organisations entières, tiré à bout portant des hommes qui le suppliaient ou lui crachaient encore à la figure leurs insanités, comment pouvait-il encore ciller face à la mort ? Non, loin de là. Il se demandait seulement s'il aurait pu éviter cela. Son regard, pour cela, se reporte sur l'empoisonneuse narquoise, puis naturellement y trouve sa réponse. Fermant les yeux, il soupire seulement.
"Mori Ogai, le chef de l'organisation pour laquelle tu travailles, n'y verrait sûrement aucun inconvénient tant que ton travail est fait. Seul le résultat compte pour des missions comme celles-ci. C'est pour cela que tu aies payé, n'est-ce pas ? Faire ce que les autres ne savent pas faire, rapidement et efficacement."
Il ne se permet d'approcher, il ne sait déjà pas comment il pourrait lui tourner le dos. De ce qu'il sait de cette fille ? Pas grand chose, simplement ce qu'on lui en a dit mais comme elle n'avait jamais été une menace directe à l'agence, il ne s'était jamais réellement intéressé. Il y a trop de monde à Storybrooke. C'est tout ce que Dazai songe à lui-même à l'instant T. Trop de loups et d'agneaux...
Ne dit-on pas qu'on ne donne pas son nom au premier rendez vous ? Tout en parlant, elle se dégage du corps, Dazai n'en observe qu'un mouvement de trop mais demeure détendu car pour l'instant, ils ne font que discuter. Elle continue mais ne donne toujours pas son nom. Doucement, elle finit par s'approcher, amusée, sous le regard de marbre de l'asiatique. Il ne recule ni n'avance, n'hausse pas plus un sourcil qu'il vient à lui sourire. Il n'apprécie pas l'espace qu'elle prend mais ne s'en étonne pas. Elle a cette aura. Celle qui vous entoure, vous étouffe lentement. Le jeune homme les connait, il les remarque et en général, préfère ne jamais s'en approcher. S'il n'avait pas déjà entendu parlé d'elle et qu'il ne la rapprochait pas des enquêtes de l'agence actuelle, jamais il se serait arrêté. Il aurait tracé sa route, choisi une autre bataille.
Le cas n'étant pas celui qu'il aurait espéré, Dazai fait avec. Impassible à son approche, il ne la quitte de ses grands yeux et se concentre sur ses paroles.
"Poison Ivy... Enfin un nom. Sourit-il lorsqu'elle lui dévoile l'équivalent d'un pseudonyme. Ce n'est pas grand chose car ce n'est pas ta véritable identité mais cela peut déjà me permettre de te nommer. Quant à moi... Il lève la tête, zieute le plafond comme pour réfléchir. Il est possible que tu me connaisses de nom - et peut-être de visage si l'on t'a parlé de moi. J'ai été relié à certaines grandes affaires de la Mafia Portuaire, après tout. J'en ai été membre, même, avant que la malédiction ne nous amène tous ici. Son sourire innocent s'élargit. Je n'ai pas l'air comme ça, hein ? Mais c'est exact, j'ai été un dirigeant d'une faction de la mafia. Ce temps remonte mais la réputation demeure." Il fait mine de pointer sa tête pour faire référence à la mémoire des plus anciens membres de l'organisation criminelle.
Il fait l'amical et se présente comme si son nom n'était rien et que leurs métiers ne s'opposaient en rien.
"Je suis Dazai Osamu !"
Son regard n'atteint pas la cible de Poison Ivy, c'est pourquoi le détective doit se pencher pour réussir à le viser du bout de ses doigts.
"Et ça, reprend-il, ça doit être l'un des membres d'un gang que mon patron m'a demandé d'arrêter. C'était ta seule cible ? Sais-tu pourquoi ils t'ont demandé de le tuer ?"