« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Je soupire. Entre m’occuper de la rédaction tout en essayant de rassurer Oritel sur le fait que nous devions pour l’instant garder le secret concernant la chute de notre royaume pour ne pas alerter les filles, je dormais difficilement et ça n’allait clairement pas en s’arrangeant quand mon cher et tendre s’amusait à passer toute la nuit à faire le cent pas dans la chambre au lieu de profiter de la nuit pour dormir.
Attachant ma chevelure rousse en une queue de cheval haute, j’attrape mon portable, mon sac à main et remets mes talons avant de quitter mon bureau, fermant la porte derrière moi.
« Elise, je m’absente pour l’après midi, si j’ai des rendez-vous, décalez les s’il vous plait. » « Bien mademoiselle. »
Je souris à mon assistante avant de quitter les locaux par l’ascenseur. J’avais pris rendez-vous avec une jeune femme qui souhaitait ouvrir toute une branche d’équithérapie auprès du haras de sa famille et je voulais discuter avec elle, voir si ce qu’elle envisageait pourrait avoir le droit à un article dans notre magasine hebdomadaire. Je sais que c’est le travail des journalistes généralement mais j’avais besoin de prendre l’air donc ça tombait bien. Je lui avais justement proposé qu’elle me donne l’adresse du haras afin que je puisse la retrouver là-bas, ça me permettrait de découvrir un peu les lieux en même temps.
Me voilà arrivée. Garant ma voiture, je descends et marche rapidement sur le sol dur, ne voulant pas enfoncer mes talons dans la terre. Mon regard croise finalement celui de la jeune femme alors que je retire mes lunettes de soleil.
« Miss Marc’Heg je présume ? Je suis Marion Miller, la rédactrice en chef de la Miller’s Media Company. On s’est eues au téléphone il y a deux jours. » me présentais-je avec un sourire.
marion & katell
(c) ANAPHORE
Katell Marc'heg
« Ensembles et main dans la main Partons vers notre destin »
Katell suivait ses habitudes, comme tout les jours. Elle vivait chez sa mère et déjeunait avec elle, puis, elles se préparaient toutes les deux. Julia avait rappeler qu’elles avaient reçu un coup de fil deux jours plus tôt et qu’elles allaient avoir de la visite. Ah oui, c’était vrai, elle s’en souvenait maintenant. Elle assura alors qu’elle s’en occuperait et que cela ne poserait pas de problème. Elle allait alors s’occuper des chevaux, comme elle le faisait tout les jours. Bien entendu, elle commença par s’occuper de son propre cheval avec tendresse. Puis, quand l’heure du rendez-vous approcha, la jeune femme alla se changer pour une tenue moins saveter et se contenta de petits travaux non salissant vers le parking du haras.
Après quelques temps, elle avait entendu des bruits de pneu et elle avait alors tourné les yeux dans cette direction. Voilà la personne qu’elle attendait, elle lissa simplement sa tenue pour en chasser un peu de poussière, puis, elle se dirigea alors vers son rendez-vous. C’était évident de voir que c’était elle, après tout, elle n’était certainement pas en état de monter. Celle qui s’appelait aussi Kayley laissa alors un sourire se poser sur ses lèvres avant de se rendre jusqu’à la nouvelle venue. La femme se présenta et la palefrenière et co-propriétaire sourit doucement :
La jeune femme ne savait pas vraiment ce qu’elle allait pouvoir dire de plus maintenant et elle se mordit doucement la lèvre inférieure. Elle avait alors regardé autour d’elle, ne sachant pas vraiment par où elle allait pouvoir commencer. Autant poser la question à madame Miller, puisque c’était pour ça qu’elle était là après tout.
« Et bien… Par quoi est-ce que vous voulez commencer ? »
Lui avait-elle simplement demander. Puis, elle avait esquisser un geste, comme pour englober le haras d’un simple geste. Oui, elle avait tout fait pour que les formalités pour l’équithérapie soit validé… la seule chose qui manquait encore était un thérapeute. Bien sûr, elle était prête à suivre une formation et sa mère était prête à le financer, mais ce n’était pas aussi simple que ça… Cela prendrait du temps pour elle, mais il fallait qu’elle trouve un nouveau thérapeute et là, elle pourrait sans le moindre problème travailler à ses cotés… ce serait probablement bien ainsi. Enfin, il faudrait déjà pouvoir répondre aux questions de Marion Miller.
Codage par Libella sur Graphiorum
Marion E. Miller
« You've taught me that hope is stronger than fear »
| Avatar : jessica chastain
MATERNAL LOVE
Is the least cutesy of feelings. It's above all an act of resistance against the ferocity of the world.
| Conte : winxclub | Dans le monde des contes, je suis : : marion, reine de domino, fée du feu et de la guérison
J’étais heureuse de rencontrer la jeune femme, elle semblait adorable et j’étais certaine que toutes ses idées pour les mise à jour à venir au sein du haras auraient leur place dans les pages de notre magasine hebdomadaire. J’en avais le bon instinct. M’humectant les lèvres, je remarque rapidement que la jeune femme ait gênée, ignorant sans doute quoi faire après s’être présentée. Elle ne devait pas être bien plus âgée que Bloom, ce qui me fit sourire.
Passant une main dans ma chevelure rousse, je lui souris amicalement avant de finalement reprendre la parole.
« Eh bien, peut être que nous pourrions visiter un peu le haras et ensuite vous me parlerez de toutes vos idées pour que je puisse voir ensuite ce que ça donnerait dans notre magasine ? » proposais-je à la jeune femme.
Ce n’était après tout que le début de notre rencontre.
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Katell Marc'heg
« Ensembles et main dans la main Partons vers notre destin »
Les salutations avaient été faites, mais maintenant Katell était un peu perdue. Il fallait dire qu’elle était plus habituée à agir qu’à parler la plupart du temps… Heureusement que sa mère avait été là pour l’aider à défendre son projet. Quoi qu’il en soit, pour le moment, elle ne savait pas quoi faire de plus et elle se passa simplement une main dans la nuque sans trop savoir ce qu’elle pourrait dire de plus. Elle hésita, un peu perdue pendant que l’étrangère prenait la parole. La jeune femme hocha alors la tête avant de faire signe à la femme de la suivre.
« Par ici, il y a le bureau, l’endroit où nous accueillons les gens pour la paperasse et les rendez-vous qui doivent être pris. »
Il n’y avait pas grand-chose à dire quand à cela. C’était un simple bureau qui n’était pas occuper pour le moment, vu que sa mère avait d’autres obligations pour le moment. Il y avait aussi les archives, bien entendu. Et, même si elle ne le dit pas plus que ça, Et elle poursuivit la visite, lui montrant ainsi la sellerie, puis l’accès intérieur aux écuries et donc aux stalles. Les cheveux étaient assez calme, bien que certains regardaient dans leur direction, par pure curiosité.
« Nous avons des chevaux et des poneys pour permettre à tout les age de monter à cheval et de progresser en équitation, certains seront parfait pour l’équithérapie. »
Katell continua donc la visite, même si elle laissait l’occasion à la femme de lui poser des questions sur ce qu’elle voyait. Elles continuaient encore à avancer et, après l’écurie, elle lui montra le manège et le terrain qui avait été préparer pour le saut d’obstacle. Bien sûr, elle s’abstint de lui montrer le tas de fumier, elle n’avait pas besoin de ça. Il restait à dire vrai un endroit à regarder… mais ce n’était pas aussi simple que ça. Elle baissa alors les yeux vers la femme avant de lui poser la question :
« Il y a aussi la prairie où ils peuvent rester en semi-liberté, paisiblement. Je vous y emmènerait bien, mais le chemin peut être assez boueux et je ne sais pas si cela irait pour vous... »
Après tout, tout le monde n’aimait pas de salir. Elle n’avait pas non plus montrer les boxes qui servaient pour les soins des équidés. Elle patenta quelques instants et se mordit l’intérieur de la lèvre sans trop savoir quoi dire ou faire de plus.
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Marion E. Miller
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Les salutations faites avec la jeune femme, nous voilà faisant le tour du propriétaire pour que j’en apprenne plus sur les lieux. Cela me permettait d’en apprendre un peu plus et voir si tout cela valait vraiment le coup pour un article dans notre magasine mais plus la jeune femme parlait, plus je me rendais compte que je ne me trompais pas sur la jeune femme. La jeune femme me montre en premier lieu le bureau, puis le reste des locaux.
« C’est parfait cela. » énonçais-je à la jeune femme « c’est important de pouvoir avoir de bons chevaux et poneys pour les gens qui viendront vous voir et ça me donne déjà beaucoup d’envie de vous laisser une place dans notre magasine. » expliquais-je avec un sourire, plein de bienveillance.
La jeune femme me montrait de nombreuses choses et me proposa de voir la prairie où les chevaux pouvaient être en semi-liberté mais c’était boueux et elle se demandait si je pouvais ou plutôt voulait m’y rendre. Rangeant mon calepin, je ris avec douceur avant de me mordre la lèvre inférieure. Bougeant légèrement la main, je me retrouve vêtue d’une tenue de cavalière de la tête aux pieds, mes cheveux roux regroupés en queue de cheval haute. Je pose mon regard sur la jeune femme.
« Je suis parée pour aller voir la prairie et…c’est peut être beaucoup demandé mais ce serait possible de pouvoir monter ? » demandais-je.
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Katell Marc'heg
« Ensembles et main dans la main Partons vers notre destin »
Katell avait fait faire le tour du propriétaire à la journaliste, même si elle était beaucoup plus que ça. En tout cas, elle semblait satisfaite de la visite, en disant que tout ça était parfait. Elle parla des chevaux et des poneys en disant qu’elle avait envie de luis laisser une place dans son magazine. La jeune femme avait alors laissé un sourire se poser sur ses lèvres avant qu’elle ne hoche finalement la tête :
« Ma mère et moi nous occupons de chevaux depuis longtemps, alors ils sont en pleine forme… et heureux si on en crois la façon dont ils nous accueille à la prairie. »
L’ancienne jeune femme chevalier avait proposé d’aller à la prairie, prévenant la femme que cela risquait d’être boueux Il avait plu il y avait encore peu de temps après tout. Il ne fallu pas plus de temps pour qu’elle ne se change d’un claquement de doigts, laissant simplement Katell cligné des yeux quelques secondes. Et bien, c’était pratique ça. Elle se garda pourtant de faire le moindre commentaire alors que la femme lui disait qu’elle était prête et elle lui demanda aussi si il était possible de monter. La palefrenière réfléchit quelques instants avant de finalement hocher la tête, laissant un sourire se poser sur ses lèvres, paisiblement. Puis, elle repris la parole :
« Oui, bien sûr, cela permettra par la même occasion d’intervertir des cheveux qui sont dans les box et ceux qui sont en plein air. »
Elle se glissa dans une pièce et en ressorti les bras chargés. Elle déposa tout le matériel, puis, elle s’absenta à nouveau pour récupérer deux chevaux. Bien entendu, elle revint avec deux équidés, Eclair, sa propre monture, mais également Opale qu’elle avait choisit comme monture pour l’autre jeune femme. La, elle sourit simplement, puis, elle repris la parole, un sourire toujours aussi resplendissant sur les lèvres.
« Vous êtes déjà monter à cheval ? Vous savez comment préparer un équidé avant de pouvoir le monter ? Ne vous inquiéter pas, Opale est très douce. »
Et elle devrait pouvoir se tenir, au moins jusqu’à ce qu’elles arrivent à la prairie et qu’elles puissent se reposer ensuite. En attendant, si la femme ne savait pas comment s’occuper d’un étalon, elle se ferait une joie de lui montrer comment faire en prenant Eclair comme exemple. Curieux, le cheval était en train de regarder Marion, mais il restait calme et patient attendant que la ‘balase’ commence.
