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 "we made these memories for ourselves" anya

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Dimitri Chostakovich
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Dimitri Chostakovich

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| Dans le monde des contes, je suis : : Dimitri

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"we made these memories for ourselves" anya _



________________________________________ 2022-06-15, 11:42

Je crois que ce mariage n’allait pas m’apporter que de bonne idée. Pourtant c’était ce que je voulais, mais c’était ce genre de décision que je voyais comme définitive et une part de moi - celle qui se définissait comme un électrons libre - avait du mal à s’y faire. Alors il était sans doute plus simple de faire comme je voulais, à savoir faire le spectacle et faire en sorte de ne pas oublier cette part de moi. Il fallait de la grandeur, il fallait tout ce que je voulais dans un sens. Il fallait que ça clôture toutes les frustrations de l’homme que j’avais été à Saint Petersbourg. Alors j’avais enchainé les idée loufoques, jusqu’à réussir à attirer Anya à un cours de valse. Elle était impératrice, enfin dans une dimension éloigné. Elle devait pouvoir reproduire ces grandes fêtes qui m’avaient tant fasciné étant plus jeune. Enfin elle… Qu’on s’entende, elle n’était obligé à rien, c’était plutôt moi qui devait pouvoir le faire. Et je n’avais jamais oublié ces valses. Je voulais le faire !

Mais ici, ce que j’avais fini par apprendre s’était effacé et Anya n’avait plus qu’impératrice que le nom. C’était obligatoire de s’y remettre et étonnement elle s’était prêté au jeu. Enfin elle avait accepté quoi.

Franchement, j’allais finir par me demander qui était la princesse entre elle et moi. Je veux dire, c’était censé arrivé qu’une fois ! Pourquoi perdre du temps avec une liste d’invité quand de toute façon les gens viendraient. Il fallait s’intéresser au vrai problème, à la réalité, il fallait penser à combien en mettre plein la vue. Certes, les invités c’était bien, genre pas d’hyper méchant ou de personne que j’avais arnaqué - ce qui pouvait drastiquement réduire la liste, mais tout le monde n’avait pas encore réalisé que je leur avais fait les poches. -, mais la réalité c’était qu’une seule poignée de personne seraient importantes et qu’il était statistiquement impossible que ma mère meurt à nouveau avant notre mariage alors… Pourquoi s’emmerder avec les détails ? Pourquoi vouloir faire un mariage conventionnel. Pourquoi ne pas vouloir effacé l’ancien avec une version plus coloré ?

La réalité c’était bien que je n’avais pas peur de ne plus pouvoir être moi, mais que j’avais cette appréhension à l’idée de perdre quelqu’un. Anya, notre fille, mais aussi Vlad… Je n’avais plus réellement de personne proche de moi. J’évitais même de trop me faire d’amis, ce qui en soit était réussi étant donné que j’avais personne. Mais être seul, c’était encore le meilleur moyen de perdre personne.

Enfin bref.

Assis sur les marches devant le studio de danse, j’attendais Anya, perdu dans mes pensées, dans ces réalités caché. Dans mes peurs d’échouer, de ne pas réussir à faire quelque chose de cette vie. Non, de ne pas réussir à les sauver. Qu’elle arrive vite pour qu’on passe à une parti moins chiante. Les monologue interne c’était des trucs de méchant.


Anastasia Romanov
« Men are such babies »

Anastasia Romanov

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"we made these memories for ourselves" anya _



________________________________________ 2022-06-16, 21:02 « Men are such babies »

Si vous pensiez que la perspective d'un mariage imminent ne rend folles que les futures mariées, vous vous mettez le doigt dans l'œil jusqu'au coude, ou alors vous ne connaissez pas (et c'est peut-être une chance) Dimitri, le futur mari d'Anastasia Romanov. Certes, la jolie rousse était aussi très enthousiaste à l'idée de faire - enfin - ce mariage avec le seul homme qu'elle avait jamais aimé et s'y consacrait dès que son emploi du temps le lui permettait, mais elle ne s'était pas attendue à ce que Dimitri soit aussi investi ni à ce que son esprit fourmille d'idées plus loufoques, presque tordues, les unes que les autres. Et puis elle s'était souvenu que l'homme qu'elle allait épouser n'était autre qu'un ancien garçon de cuisine que le faste des fêtes données par les Romanov avait toujours fait rêvé. Elle s'était aussi rappelé qu'il connaissait l'étiquette russe mieux qu'elle (parce qu'il n'y avait que lui pour se passionner pour quelque chose d'aussi soporifique). Alors la jeune femme avait fini par trouver une certaine forme de logique dans l'enthousiasme de son futur mari et avait commencé à donner le change autant que faire se peut.
Ce jour-là, Anya avait donc accepté de (re)prendre des courses de valse afin qu'ils soient tous deux impeccables lors de l'ouverture du bal (car il y aurait forcément un bal lors de leur mariage, pour rendre hommage aux fêtes d'antan) de leurs noces, songeant qu'elle aurait pu tomber sur pire idée. La danse, au moins, mettait tout le monde à peu près d'accord, y compris Dimitri et Marie, la grand-maman d'Anya, qui, même si elle respectait le jeune homme, ne manquait jamais une occasion pour lui adresser une pique bien sentie, comme en souvenir "du bon vieux temps" où elle le prenait pour un escroc. La vieille femme n'en était pas moins une ancienne impératrice qui tenait un pensionnat pour jeunes filles ; en cela, elle ne pouvait qu'espérer voir sa petite-fille et son futur mari valser lors de leur mariage et force était de constater qu'elle serait exaucée, au moins sur ce point. Mais ce ne serait pas sa petite-fille chérie qu'elle devrait remercier mais bien Dimitri.
Anya, elle, était davantage habituée au confort moderne des jeans qu'aux longues robes de princesse qui n'étaient pas tout à fait indiquer dans son métier de policière. C'était donc pour cette raison qu'elle était partie, ce matin-là, armée d'un tote bag dans lequel elle avait glissé une tenue ainsi que des chaussures plus appropriés au cours de valse (le premier depuis des années, surtout si on comptait celles pendant lesquelles le sort noir les avait piégés dans une boucle temporelle) qui l'attendait. Puis, quelques minutes avant de finir son service, la jeune femme était allée se changer dans les vestiaires où elle avait enfilé une jolie robe ample et bleue. Elle avait ensuite quitter le poste, sans prêter attention aux sifflets admiratifs et lourds de certains collègues qui perdaient manifestement la tête dès qu'une femme portait une robe. C'était pathétique et puéril, deux adjectifs qui résumaient bien les hommes, en général. Et comme ces hommes (si tant est que le terme s'applique à leur comportement) ne méritaient guère l'attention d'une Grande Duchesse comme Anastasia Romanov, qui rappelait son titre uniquement quand cela l'arrangeait, la jeune femme chassa bien vite ces pensées de son esprit, marchant d'un pas rapide vers le studio de danse.
Tournant au coin de la rue qui l'y conduisait, la jolie rouquine constata que Dimitri l'y attendait déjà, assis, seul, devant les marches du studio. La jeune femme regarda machinalement sa montre et nota qu'elle n'était pas spécialement en retard. C'était donc qu'il était en avance, peut-être empressé d'enfiler ses patins de danse à nouveau, une idée qui ne fit pas accélérer le pas d'Anya mais ne l'empêcha pas d'être bientôt à sa hauteur. Tendant sa main droite pour l'aider à se relever (Dimitri n'était pas sans savoir que sa fiancée ne manquait pas de poigne, il l'avait appris à ses dépends), elle demanda, enjoué, elle aussi (pour le moment) :
- On y va ? Je me rends compte que ça fait longtemps qu'on a pas réellement dansé, toi et moi, observa-t-elle ensuite. T'as encore de beaux restes ou je vais tout devoir te rapprendre ? Ca m'ennuie pas de mener si jamais tu le sens pas, crut-elle utile de préciser, elle qui jugeait si absurde qu'en 2022 ce soit toujours à l'homme de mener.
A cet instant, une femme d'une cinquante d'année, à la stature élancée et au chignon strict, ouvrit la porte à laquelle Dimitri faisait dos. Son port de tête presque altier ainsi que sa posture générale (sans oublier l'endroit d'où elle venait) ne trompaient personne : c'était elle qui leur servirait de professeure de danse et elle avait l'air moins amusante que Vlad ne l'avait été à l'époque. Dommage, songea Anya, incertaine de trouver en elle une alliée pour permettre - enfin - aux femmes de mener littéralement la danse.
- Anastasia Romanov et Dimitri Chostakovich, je présume ? Je suis Tatiana Gagarinaa et je serai votre professeure. Parfait, suivez-moi, c'est par ici.
Prenant pour acquis qu'ils allaient obéirent, Tatiana tourna les talons et s'enfonça dans le studio de danse, sans plus prendre la peine de se retourner.
- Elle a pas l'air commode, siffla Anya à l'oreille de Dimitri avant de lui emboiter le pas.
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Dimitri Chostakovich
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"we made these memories for ourselves" anya _



________________________________________ 2022-07-09, 16:09

Anya s’était prêtée au jeu c’était déjà une forme de victoire. Non pas qu’elle n’était pas investis dans ce mariage, mais disons que mes préoccupations un peu débile pour en faire un vrai mariage Romanov n’étaient pas toujours les siennes. Me laissant donc aidé pour me remettre sur pied, je ne tardais pas à sourire à sa remarque. « Paris. » soufflais-je dans un premier temps avant de retirer le peu de poussière que j’avais sur moi, « Et tu crois vraiment que je pourrais oublier ? J’ai passé une grande partie de ma vie à apprendre. » jalousant un statut dont je ne connaissais rien jusqu’à avoir découvert son prix avec elle.

N’ayant pas le temps de rajouter quoi que ce soit, notre professeure arriva non sans faire comprendre qu’elle était… On allait pas s’entendre je crois. J’avais rien contre la rigueur, mais elle ne savait pas à qui elle avait à faire non ? Alors quand Anya le souligna, mon sourire s’élargie de plus belle, « Elle ne sait pas qui je suis. » ajoutais-je dans un clin d’oeil avant d’avancer sagement jusqu’à l’intérieur. C’était froid, austère, mais il y régnait une ambiance presque connu. Le sol avait été usé par les années, ils portaient en eux la preuve que bien d’autre avant nous avaient eu à se presser là. « La valse est difficile, elle implique une rigueur presque royale. » souffla la femme avant de s’arrêter à mon niveau pour corriger une posture que je rectifiai sans même qu’elle intervienne. « J’épouse une impératrice, je crois que j’en sais assez sur la rigueur. » commençais-je donc pour la calmer un peu. « Nous ne sommes pas là pour apprendre, juste pour dépoussiérer tout ça. », un challenge de moins si l’orgueil de la femme n’était pas touché, ce qui était moins sûre.

« Dois-je vous rappeler comment mener ? » me demanda-t-elle un peu sèchement, « Apprenez lui à elle, moi je sais déjà. » elle sembla s’offusquer un instant, leva les yeux aux ciel avant de reculer pour aller chercher quelque chose dans une petite pièce au loin. Visiblement, elle râlait, mais de là à savoir pourquoi… Je suppose qu’elle n’était pas prête à savoir que je voulais aussi prendre le nom de ma femme. « On lui explique que je suis le plus conventionnel de nous deux ? » demandais-je en me tournant vers Anya. Glissant une main sur ses flancs, je l’attirais à moi dans un premier mouvement bien connu avant de clarifier. « Laisses moi juste mener la première, je prends déjà ton nom, j’ai pas envie qu’ils pensent tous que c’est toi le bonhomme de notre couple. », c’est surtout que la première avait son importance. C’était ouvrir le bal, ce n’était pas qu’une danse, c’était ce pourquoi j’avais véçu de nombreuses années avant elle. Obtenir cette attention. La dernière avant de disparaitre dans mes pensées, dans tout ce qui m’obscurcissait depuis déjà quelques mois.

Je n’avais rien oublié, j’étais juste un peu rouillé.


Anastasia Romanov
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Anastasia Romanov

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________________________________________ 2022-07-19, 18:41 « Men are such babies »

Anya n'avait jamais réellement compris pourquoi Dimitri tenait à ce point à apprendre, tout le temps, toujours, sur tout et sur rien mais surtout, par dessus tout, même, sur l'étiquette et l'histoire des grandes dynasties de ce monde. Peut-être la réponse résidait-elle dans leur différence de statut : factuellement parlant il était un roturier et elle, une princesse, ou plutôt une Grande Duchesse, avec toute la pompe que cela implique. Certains trouvaient ce statut fascinant, d'autre enviable et d'autres encore, généralement ceux qui s'y connaissaient le mieux, par exemple pour en avoir fait l'expérience concrète (Meghan Markle, par exemple) trouvaient ce statut assommant, presque plus lourd à porter encore que les couronnes et autres tiares qui paraient traditionnellement princes et princesses de ce monde. Anastasia se considérait comme appartenant à la dernière catégorie et considéra surtout que le moment était mal venu pour débattre, encore une fois, sur les passions étranges (et nombreuses) qu'entretenait Dimitri. Il était plutôt temps de faire front commun pour affronter ensemble Tatiana Gagarina et sa pointe de fer dans un tutu de velours - ou quelque chose comme ça.
La rouquine rendit son clin d'œil à Dimitri et le suivit (pour l'instant) sagement à l'intérieur du studio de danse qui était à l'image de sa propriétaire, froid et austère mais élégant et soigné. Il n'était pas sans rappeler à Anastasia de vagues souvenirs des leçons de danse, de savoir vivre, savoir être et autres bêtises que des précepteurs courageux avaient tenté, avec plus ou moins de succès, de lui donner dans sa tendre enfance, au détail près qu'eux n'auraient jamais osé se montrer si peu avenants envers elle. En fait, aussi loin que la jeune femme pouvait se souvenir, seul son père, et ses gros yeux parfois en colère, avaient jamais réellement su dompter le caractère impétueux de la Grande Duchesse. Dommage pour Dimitri, Nicolas II n'avait pas eu le temps ni l'occasion de lui expliquer comment faire...
Anya laissa son regard parcourir le studio de danse quelques instants rêveurs avant de se concentrer à nouveau et à regret sur leur professeure et l'introduction qu'elle égrenait à propos de la valse. "Presque royal", répéta mentalement la jeune femme en souriant, se demandant si oui ou non Tatiana Gagarina avait relevé son patronyme qu'elle avait, une fois n'est pas coutume, pris soin de donner. L'instant d'après, Dimitri déclarait qu'il allait épouser une impératrice et s'y connaissait, de fait, en rigueur. La déclaration fit sourire Anya de plus belle jusqu'à ce qu'elle pouffe et que la professeure lui lance un regard noir de reproche qui ne suscita pas une once de remord chez la jeune femme. Ce n'était certainement pas Tatiana Gagarina qui lui apprendrait ce que pouvait faire une princesse ou pas, pas plus qu'elle ne lui apprendrait à valser. Ca, Vlad s'en était bien chargé, des années auparavant. Dépoussiérer était, comme venait de le souligner Dimitri, le terme adéquat.
Ca et remettre les normes au goût du jour, songea Anya quand leur professeure rappela que, malheureusement, même en 2022, c'était toujours à l'homme de mener. La rouquine roula des yeux à cette idée et ne fit même pas l'effort de masquer son soupir agacé.
- Je sais déjà mener, je te signale, c'est moi qui t'ait appris, rétorqua-t-elle du tac au tac, presque blasée de devoir le lui rappeler (ou, du moins, de lui rappeler sa version des événements qui ne correspondait pas toujours à celle que Dimitri avait en mémoire).
Sans plus de commentaire (pour le moment) Tatiana s'éloigna à la recherche d'ils ne savaient quoi exactement, ce qui laissa aux fiancés l'occasion d'être seuls dans ce grand studio. Anya sourit, amusée, par la remarque suivante de Dimitri.
- Vu son âge si on lui explique comment tu es elle risquerait de nous claquer entre les doigts et adieu à notre investissement dans les cours de valse, souffla Anya d'un air conspirateur. Non, attendons plutôt le dernier cours, ça sera l'ultime affront, le souvenir qu'elle gardera de nous.
Et quel souvenir garderait-elle ! Car on ne pouvait pas dire que Dimitri et Anastasia formaient un couple conventionnel, indépendamment de leur rang social respectif. Ils étaient en fait comme chien et chat et peut-être même pire, ce qui pourtant ne les empêchait pas de tenir sincèrement l'un à l'autre. Deux esprits libres qu'ils étaient, ils faisaient leur chemin comme ils l'entendaient et ne se seraient pas souciés des conventions si elles n'obnubilaient pas autant Dimitri. Ca faisait son charme, plus ou moins. L'avis d'Anya sur la question dépendant généralement de son humeur générale.
Aujourd'hui elle était d'humeur mutine et bonne et se laissa volontiers entrainer dans des premiers pas de danse dont ses pieds semblaient se rappeler quoique sa tête ait l'impression de les avoir oubliés, passant à son tour ses bras autour de Dimitri.
- D'accord, soupira-t-elle après avoir considéré sa proposition. Marché conclu. Tu peux avoir la première si ça te fait plaisir à ce point.
Anya pouvait à peine imaginer à quel point c'était important pour Dimitri. Elle n'avait pas conscience qu'il n'avait, pour ainsi dire, vécu que pour cet instant qu'ils touchaient à présent du bout des doigts. Comment aurait-elle pu en avoir conscience ? Pour elle, c'était seulement de la valse. Pour lui... les choses étaient différentes.
Dimitri avait toujours été un bon danseur, même si Anya n'avait pas toujours osé ou voulu le reconnaitre, par fierté et par pudeur. Elle s'étonna toutefois de constater qu'il n'avait rien oublié, lui donnant l'impression d'être de retour sur ce paquebot qui la conduisait vers sa famille, et se perdit momentanément dans une rêverie, oubliant jusqu'à essayer de mener la danse.
Finalement, la jeune femme femme planta un baiser au coin de sa joue et souffla :
- Tu fais ça toujours aussi bien, moya lyubov.
C'est, évidemment, le moment précis que leur professeure choisit pour revenir vers eux, plus stricte que jamais, sans doute pincée par les remarques de Dimitri et les espiègleries d'Anya.
- Votre façon de faire n'est pas du tout convenable ! commenta-t-elle sèchement. Un peu de tenue, c'en est presque obscène ! Et indigne d'une impératrice et de peu importe qui vous êtes. Montrez moi plutôt ce que vous valez au lieu de flirter comme des adolescents.
D'un geste, elle fit alors comprendre à Dimitri que l'heure était venue pour lui de changer de partenaire... et de sérieusement perdre au change, songea Anastasia qui ne savait pas si elle était amusée ou horrifiée à l'idée de le voir valser avec cette vieille harpie.
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