« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Alexis était heureux. Certes, la préparation de son mariage s'éternisait mais il avait quand même son chéri dans sa vie et un métier heureux. Il aimait ça, d'ailleurs. Aller en forêt cueillir des plantes, les reconnaitre, rentrer à sa boutique et les mettre en vente ou en faire des potions... Et, à côté de ça, il aimait aussi aider les autres, tout le monde, enfin, tout ceux qui voulaient de son aide.
Ce jour-là, il avait donc quitté l'appartement et était allé en forêt avec ses affaires de botaniste. Il avait décidé de passer du temps en forêt pour cueillir quelques plantes, comme chaque semaine. Il ne le faisait pas chaque jour mais parfois c'était nécessaire.
Il avait donc cueilli des plantes et les avait aussi répertorié dans son herbier et ses carnets. Désormais, la matinée touchait à sa fin. Et il s'apprêtait à retourner dans sa boutique manger son déjeuner, préparé par Obias. Mais quelqu'un se planta alors devant lui. Ce n'était pas quelqu'un de menaçant mais plutôt quelqu'un qui semblait perdu... Finalement, Alexis lui demanda:
Courir. Allez faire un footing. En ce moment, je me rendais compte que ça me faisait clairement du bien. Peut-être même encore plus depuis que je m’étais rendue compte que mes visions n’étaient plus qu’embrumes et incompréhension. Je dois bien avouer que ça me manquait de pouvoir voir ce qui allait se produire. Ce pouvoir… Ce pouvoir faisait parti de moi et aujourd’hui, ce n’était plus. Je réussissais encore à avoir mes visions mais ici, à Storybrooke, je ne pouvais plus me fier à mon propre instinct, à ce qui faisait de moi celui que je suis. Bon au moins, Abuela semblait comprendre que je pouvais pas y faire grand chose et que parfois, on pouvait quand même se fier à mes visions pour certaines choses. Pas beaucoup certes mais c’était mieux que rien.
Cependant, comme je le disais précédemment, c’était bon pour moi de courir et puis parfois, j’allais sur la plage et je me perdais à m’asseoir dans le sable et a tenter d’avoir une vision mais bon, comme je disais, ça marche une fois sur cinq. On fera comme si on savait pas hein. Cependant, je pensais connaître la forêt, enfin en tout cas je le croyais parce qu’au bout d’un moment, je me suis rendue compte que je m’étais complètement paumé et j’arrivais pas à retrouver le chemin jusqu’à Casita. Du coup, je m’étais mis à marcher et par chance, j’étais assez couvert. J’avais mis un sweat par dessus mon tee-shirt et mon jogging était assez chaud pour que je me gèle pas, vu les températures extérieures encore fraîches.
Mes pas finirent par me mener vers quelqu’un qui pourrait sans nul doute me venir en aide.
« Comment on retourne à Storybrooke ? Je croyais connaître la forêt mais je me suis paumé. » soufflais-je alors « Mais ouais, je vais bien. Enfin ça me semble en tout cas. » ajoutais-je alors « je m’appelle Bruno Madrigal. » terminais-je alors.
code by exordium.
Alexis Rice
«Les Gaulois boivent…Et les Romains trinquent ! »
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Alexis était tombé sur quelqu'un qui semblait être perdu. Il ne semblait pas menaçant, juste perdu. Il s'était approché de lui et avait demandé, après l'avoir salué s'il allait bien et s'il était perdu. L'homme était en jogging et portait aussi un sweat par dessus. Finalement, l'homme lui répondit:
« Comment on retourne à Storybrooke ? Je croyais connaître la forêt mais je me suis paumé. »
C'est vrai que, quand on ne connaissait pas la forêt, c'était compliqué de se retrouver par ici. Le jeune Gaulois allait répondre quand l'autre ajouta:
« Mais ouais, je vais bien. Enfin ça me semble en tout cas. »
Puis il se présenta ainsi:
« je m’appelle Bruno Madrigal. »
Alexis sourit et répondit:
-Eh bien, je vais tâcher de vous aider, je sais comment on retourne en ville. Y'a souvent des gens perdus par ici. Tant mieux sinon si vous allez bien.
Puis il se présenta aussi ainsi:
-Enchanté, Bruno. Je m'appelle Alexis Rice.
Finalement, il commença à marcher vers la ville pour raccompagner Bruno. Il espérait qu'ils puissent continuer cette conversation en allant vers les habitations
Passant près d’un arbre, je tape dessus quatre fois. Pic pic pic pic touche du bois. Je ne pouvais pas aller contre, ça faisait partie de moi. Je lève le regard vers Alexis avant de reprendre la parole.
« Habituellement, j’arrive toujours à trouver mon chemin mais là pour le coup, j’avoue ne pas avoir vraiment compris mais bon, au moins, je vais retrouver mon chemin avec votre aide. » énonçais-je alors.
Mettant mes mains dans les poches de mon sweat, je pose mon regard sur Alexis avant de reprendre la parole.
« Ravi de vous rencontrer. » énonçais-je finalement avant de reprendre « Je suis l’un des habitants de la Casa Madrigal et habituellement, je prends toujours le même chemin mais là, je crois que j’ai du trop m’éloigner. » énonçais-je en haussant les épaules.
Ma main attrapa du sel que j’avais dans la poche de mon sweat et tandis que nous marchions, j’en jette par dessus mon épaule.
« Ne faites pas attention, c’est…je fais ça souvent. » énonçais-je à ce dernier « vous venez souvent dans la forêt ? » demandais-je finalement.
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Alexis Rice
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L'autre s'était présenté avant qu'Alexis ne dise qu'il allait tâcher de l'aider du mieux possible, il savait comment retourner en ville. Puis il avait dit que c'était mieux s'il allait bien et s'était présenté à son tour. Par la suite, il avait commencé à marcher vers la ville pour la raccompagner. Bruno tapa sur un arbre avant de regarder le jeune Gaulois de nouveau et de dire:
« Habituellement, j’arrive toujours à trouver mon chemin mais là pour le coup, j’avoue ne pas avoir vraiment compris mais bon, au moins, je vais retrouver mon chemin avec votre aide. »
Puis Bruno mit ses mains dans les poches de son sweat et ajouta, regardant le gay:
« Ravi de vous rencontrer. »
Il en était de même pour le Gaulois. Certes, parfois, il était largué dans ce monde et cette ville mais il était toujours ravi d'aider et de faire des rencontres. Bruno ajouta, haussant le épaules à la fin de sa phrase:
"Je suis l’un des habitants de la Casa Madrigal et habituellement, je prends toujours le même chemin mais là, je crois que j’ai du trop m’éloigner. »
Il jeta du sel par dessus son épaule. Alexis en fut intrigué mais Bruno dit de suite:
« Ne faites pas attention, c’est…je fais ça souvent. »
avant de lui demander:
« vous venez souvent dans la forêt ? »
Etant botaniste, quand Alexis n'était pas dans sa boutique en ville, oui, il venait souvent ici. Il sourit à son interlocuteur et répondit:
-En effet, je viens souvent dans la forêt, je suis botaniste. Et vous, c'est quoi votre métier...?
Il voulait apprendre à plus le connaître et faire la conversation jusqu'en ville. Comme ça, ils deviendraient peut-être amis, qui sait...?