« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Au moins l'organisatrice de mariages ne s'était-elle pas vexée qu'Anastasia ne saute pas forcément de joie face à ses propositions plus complexes que ce que la future mariée avait imaginé. Cela dit, elle avait raison sur un point : même dans le plus sobre des décors, prendre une photo pouvait être un véritable défi. La remarque d'Emmaline ne manqua pas d'esquisser un sourire sur les lèvres roses de la jeune femme. - C'est loin d'être faux, acquiesça-t-elle, se rappelant des photos de famille, du temps où elle était enfant qui semblait demander des heures de préparation pour que tout soit parfait. Préférant garder ces souvenirs familiaux pour elle, Anastasia reporta son attention sur les croquis et les photos qu'Emmaline lui montrait et qui ne manquaient pas de réveiller son imagination. Finalement, elle l'embaucherait peut-être pour l'organisation de certains aspects de la noce puisque tout ce qu'elle pouvait lui montrer n'allait pas disparaitre d'ici à ce que l'organisation ressemble enfin à quelque chose. De là à ce qu'elle soit invitée le jour J et puisse y faire sa petite promo, ça restait encore à voir. Rien n'était signé, après tout. Tout n'était que projets et peut-être et l'organisatrice comme la future mariée en avaient pleinement conscience. - Je reviendrai probablement regarder les robes chez vous quand je saurai qui tiendra absolument à me l'offrir, reprit la jeune femme en continuant toutefois d'observer les formes et les étoffes pour essayer de s'imaginer dedans en espérant que le jour venu elle n'aurait pas l'air d'une meringue. Et sans doute aussi pour ma fille, poursuivit la rouquine, ne sachant que trop bien qu'Abigaëlle adorait les robes de princesses. Anya avait senti, en évoquant son bébé pour la première fois, qu'elle avait suscité l'intérêt d'Emmaline. Sans doute aimait-elle les enfants et serait-elle ravie d'habiller la petite demoiselle d'honneur. Peut-être aussi serait-elle moins ravie de constater qu'elle aurait à faire à une vraie princesse très fière d'être la fille d'une Grande Duchesse, un autre détail qui n'était pas tombé dans l'oreille d'une sourde. - Oui, je suis Grande Duchesse, en tout cas sur le papier, confirma Anya en récupérant la carte d'Emmaline pour la glisser dans sa poche. Si vous connaissez le protocole vous devez savoir que l'idée qu'on se fait d'une princesse est plus chouette dans les Disney que dans la vraie vie, ajouta-t-elle simplement dans un sourire complice avant d'écouter à quel point Emmaline était passionnée par son travail. C'était pas tout le monde qui parlait avec autant d'émotion et de passion de bonheur des autres ! Anastasia n'en aurait probablement pas été capable, sans doute parce qu'elle était de nature plus envieuse qu'Emmaline dont l'abnégation avait l'air sans limites. C'en était presque à se demander si elle pensait parfois à son propre bonheur ou bien si elle était trop malheureuse personnellement pour croire que la joie puisse faire partie de sa vie comme elle faisait partie de la vie des couples dans la contemplation desquels elle se perdait. Elle était probablement de celles qui pleuraient pendant les mariages, ce qu'Anastasia pensait ne pas être. D'un autre côté, elle ne pouvait pas le jurer car elle n'avait jamais assisté à un mariage. Peut-être que tout le monde finissait par y pleurer, en fait. Elle verrait bien le moment venu. - Waouh, conseillère des Windsor, carrément ! siffla Anya. Ca, personne n'en avait parlé à la télévision, non pas que la rouquine ait particulièrement suivi les récentes noces royales de la monarchie britannique. Ca voulait quand même dire qu'Emmaline avait traversé l'Atlantique juste pour conseiller sur un mariage. C'était presque excessif, du point de vue d'Anastasia mais c'était aussi à l'image de la passion de l'organisatrice de mariages. - Y a pas à dire, vous faites pas les choses à moitié ! Mais... pardon, j'ai peut-être mal compris, hésita Anya en fronçant les sourcils, pourquoi vous parlez de côtoyer la mort ? Vous faites les mariages ET les enterrements ? La question était sérieuse même si sa formulation pouvait suggérer l'humour. Anya n'était pas la dernière à faire des plaisanteries mais usait rarement d'humour noir et cherchait, dans ce cas précis, surtout à comprendre l'allusion surprenante d'Emmaline, si bien qu'elle ne savait même pas trop quoi répondre, elle, quant au monde d'où elle venait. Pourtant la rouquine se prêta tant bien que mal elle aussi à l'exercice, même si elle n'aimait pas particulièrement parler d'elle : - Au début dans mon monde c'était la dynastie des Romanov. Mon père était tsar et ma vie était plus que confortable. Ensuite il y a eu une malédiction et un soulèvement populaire. En résumé toute ma famille est morte, j'ai perdu la mémoire pendant des années et le pays s'est appauvri en changeant drastiquement de régime politique. C'est toujours très pauvre et encore plus communiste, je vous conseille pas de prendre un pin's pour aller là-bas. Le palais est en ruines, en plus, y a plus grand-chose à voir, déplora la jeune femme avec une moue. Comme je le disais, je ne suis Grande Duchesse que sur le papier. Dans la vraie vie, je suis juste Anya et je suis dans la police. Je préfère. Je ne compte pas aller réclamer le trône même si je peux y prétendre, conclut Anastasia.
Emmaline I. Fitzgerald
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- Gné ?
- Qu'est ce qu'on a dit Emy ? On arrête de vouloir frôler la mort comme ça !
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- Non mais je te jure Evie ! Il est arrivé comme ça, en plein milieu de la soirée que j'organisais pour commencer à boire gratuitement et à draguer tout ce qui bougeait ! Infernal !
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Je reviendrai probablement regarder les robes chez vous quand je saurai qui tiendra absolument à me l'offrir Emy hocha la tête doucement, elle pouvait venir quand elle le voudrait. Il n'y a pas de soucis, je serais à votre disposition quand ce sera fait. Et sans doute aussi pour ma fille Très bien Elle avait plusieurs tenue pour enfant de disponible et puis tout dépendait des modèles, le Creamy Couture se ferait une joie de le faire. Les enfants étaient si adorable dans leur tenue. Puis, Emy apprit qu'elle était une Duchesse, s'était grandiose ça, bon Emy venait d'une bonne famille noble même si elle avait été mit au oubliette suite au fait qu'elle les ai laissé pour une personne qui finalement n'en valait pas la peine. Oui, je suis Grande Duchesse, en tout cas sur le papier Même si c'est sur papier, vous êtes tout de même duchesse, ce n'est pas rien, et effectivement la vie des princesses dans les disney est bien mieux que ce de la réalité. Emmaline était toujours aussi enthousiasme pour tout les mariages, elle adorait les organiser, de voir le bonheur de ses clients faisait que c'était une mission réussite. Bien sur qu'elle prenait aussi son bonheur en considération. Elle laissait juste le temps se faire, et se rapprocher de Luci doucement. Emmaline ne pleurait pas tout le temps dans les mariages, elle avait parfois la larme à l'œil comme on dit. Waouh, conseillère des Windsor, carrément ! Et oui, j'ai du donc faire en sorte d'être prête pour le départ et ainsi y aller. Et ca n'a pas été d'une mince affaire mais le résultat était là. C'était une expérience titanesque. Et par la, elle en avait aussi profité pour aller en Irlande, et heureusement pour elle, elle n'était pas tomber sur ses parents.
pourquoi vous parlez de côtoyer la mort ? Vous faites les mariages ET les enterrements ? Non en effet, je fais toujours les choses en grand. Oh non je ne fais pas les enterrements, disons que dans ma précédente vie, enfin du monde d'où je viens. Mon fiancé ma assassiné.. Ce n'était guère le bon. Il en a juste profité pour prendre ma dote et me laisser pour morte. Sa vie n'était pas très gaie d'ailleurs, mais elle avait fait en sorte de toujours resté positif et énergique. Et récemment, elle avait été marié à Anthony. Et récemment, un fantôme m'est apparu celui d'une mariée, et avec mon meilleur ami on s'est retrouver plonger dans un autre univers.. et je me suis retrouver marier à Anthony... avec une tradition étrange... Celle de pourchasser la mariée pour la tuer... et qu'elle devait resté en vie jusqu'à 6h du matin.
Au début dans mon monde c'était la dynastie des Romanov. Mon père était tsar et ma vie était plus que confortable. Ensuite il y a eu une malédiction et un soulèvement populaire. En résumé toute ma famille est morte, j'ai perdu la mémoire pendant des années et le pays s'est appauvri en changeant drastiquement de régime politique. C'est toujours très pauvre et encore plus communiste, je vous conseille pas de prendre un pin's pour aller là-bas. Le palais est en ruines, en plus, y a plus grand-chose à voir Emy était en train d'écouter ce que lui disait Anya, les choses avait pas mal changer avec les années, s'était bien dommage. Je suis navrée que vous ayez perdu votre famille. Mais c'est bien dommage que le palais soit en ruine, je suis sur que ça devait être très beau. Comme je le disais, je ne suis Grande Duchesse que sur le papier. Dans la vraie vie, je suis juste Anya et je suis dans la police. Je préfère. Je ne compte pas aller réclamer le trône même si je peux y prétendre Ohhh vous travailler pour la police, cela ne doit être être évident tout les jours, certaines personne n'apprécie pas les policier. vous avez bien du courage. Après, oui il faut que vous fassiez ce que vous avez envie.
Emmaline ne faisait clairement pas partie de l'aristocratie, songea Anastasia. Sinon sa réaction aurait été bien différente, plus tranchée et peut-être moins impressionnée, car il n'y avait que dans les contes de fées et les Disney qu'être une princesse ou similaire c'était méga cool. Et encore, pas toujours, puisque la plupart de ces princesses étaient orphelines et maltraitées ! Dans la vraie, en revanche, les princesses et affiliées étaient endoctrinées dès le plus jeune âge afin d'apprendre une étiquette stupide et rétrograde qui leur interdisait plus de choses qu'elle ne leur en permettait. Et encore, on ne parlait pas de réellement gouverner, autrement dit de chercher des solutions à quantité de problèmes sans jamais pouvoir satisfaire tout le monde, de gérer un budget, un système législatif, une armée des ressources variées, le tout en représentant son royaume à tous les bals du monde, presque tous les soirs de l'année. Bon, OK, les soirées, c'était pas ce qu'il y avait de pire, les cadeaux et le faste non plus. Mais Anastasia choisit quand même de ne pas épiloguer sur son titre, écoutant plutôt la spécialiste des mariages raconter son incursion dans le monde des Windsor. Bien qu'elle n'était pas particulièrement passionnée par la famille royale britannique, Anya devait bien admettre qu'elle n'aurait pas refusé de visiter Buckingham Palace si on lui en avait donné la possibilité, curieuse de voir comment les choses se passaient réellement quand les caméras n'étaient pas braquées sur Kate, William et tous les autres. Elle regretta d'ailleurs qu'Emmaline soit un peu avare en détails, se contentant de mentionner l'expérience titanesque que cela avait été, sans donner ni noms ni anecdotes et se demanda s'il ne s'agissait pas d'un genre de secret professionnel. Alors elle ne poussa pas la conversation plus loin sur ce domaine. De toute façon, une conversation sur un sujet beaucoup plus intéressante se profilait devant les deux femmes, celle sur la vie passée d'Emmaline. Et quelle vie ! Ou plutôt quelle mort, se corrigea mentalement Anya en réalisant qu'elle parlait avec une morte ressuscitée. Etait-ce déplacé de lui dire que pour une mariée cadavérique elle avait bonne mine ? La rouquine préféra ne pas tenter le diable pour ne pas devenir persona non grata dans la boutique si jamais elle voulait effectivement y revenir plus tard dans la préparation de son mariage. - Eh bah, commenta-t-elle, la bouchée légèrement bée. Il était particulièrement vénal, celui-là ! Ca m'étonne qu'après une expérience pareille, dans cette nouvelle vie, vous ayez décidé de continuer à vous occuper des mariages même si ce sont ceux des autres. Je veux dire... Ca doit être un sacré traumatisme de se faire assassiner par son fiancé pour son argent. Moi j'aurais changé de branche si ça m'était arrivé. Mais manifestement Emmaline ne raisonnait pas de la même façon et sa persévérance dans l'univers des mariages était peut-être la preuve de son incroyable résilience. Quant à ses aventures, elles étaient sans aucun doute la preuve que les mariages malheureux avaient décidé de la poursuivre, si bien qu'il serait peut-être intéressant que quelqu'un lui conseille, gentiment mais fermement, de ne jamais réessayer de se marier, ni dans cette vie, ni dans aucune autre. - Oui, j'ai entendu parler de ce mariage de l'enfer ou peu importe le nom qu'on peut lui donner. Je connais quelqu'un qui a vécu une expérience similaire, précisa la rouquine sans nommer Honey Lemon à qui elle faisait référence. J'imagine qu'il faut penser au positif, à savoir que vous en êtes revenue vivante et qu'il est peu probable que vous recroisiez cet Anthony. Que pouvait-elle dire de plus, elle qui n'avait pas vécu cette expérience ? En tant que policière, Anastasia pouvait seulement ajouter que suite à cette affaire aucune femme n'était venue déposer de main courante concernant un fiancé psychopathe. Ca devait bien être le signe que l'affaire était résolue, non ? De la même façon, la malédiction qui avait longtemps pesé sur les Romanov, dont Anya avait accepté, une fois n'est pas coutume, de parler à Emmaline qu'elle connaissait à peine, était aussi résolue. Ca n'avait pas reconstruit le palais ou changé le nouveau régime du monde dans lequel Anastasia ne vivait plus mais c'était une consolation néanmoins. A présent la famille perdue d'Anya pouvait reposer en paix. - C'était y a longtemps tout ça, mais merci, reprit la rouquine pour accepter les condoléances polies de l'organisatrice de mariages. Oui, le palais était très beau, poursuivit la future mariée dont le regard bleu acier fixé un point invisible au plafond pendant que son esprit essayait de se souvenir avec précision, ce qui était difficile quand on avait par la suite été amnésique. Enfin j'imagine que tous les palais sont beaux si on aime ce style architectural, conclut la rouquine en reportant son attention sur Emmaline. Personne n'avait réellement besoin d'un palais pour vivre. Il s'agissait de bâtiments immenses parfois difficiles à chauffer et encore plus à nettoyer. Ce n'était de fait pas cet aspect de sa vie d'antan qui manquait le plus à Anya même si elle se rappelait qu'un lieu immense avait été l'endroit idéal pour faire tourner sa nounou et ses grandes sœurs en bourrique et forcer maman et papa, la tsarine et le tsar, à faire la police. Et dire que maintenant c'était Anya qui faisait la police, pour de vrai ! C'était la preuve qu'elle avait fait énormément de chemin en l'espace de seulement vingt ans. Mais la jeune policière avait aussi l'impression que cette nouvelle information étonnait un peu Emmaline. Peut-être qu'en la découvrant Grande Duchesse elle l'avait imaginée dans un métier (car il y avait très peu de personnes oisives à Storybrooke, tout le monde n'ayant pas choisi, heureusement, de suivre les préceptes du Cercle Royal de la Reine des Neiges) plus proche de son rôle de princesse, mais il n'en était rien. Avant d'être une princesse, ou peu importe son titre, Anya avait toujours été une fille puis une femme téméraire et déterminée qui avait besoin d'un minimum d'action et d'un maximum de justice. A partir de là, un poste au sein des forces de l'ordre de la ville était presque une évidence, même si la jeune femme avait commencé par être une jeune traductrice à son compte qui travaillait depuis chez elle dans son ancien petit studio de jeune femme sans famille. - Policier c'est un métier comme un autre, vous savez. C'est pas le moins dangereux, c'est vrai, encore que moi je suis profiler donc davantage dans les bureaux, mais vous ça doit être pareil que moi : il y a des jours meilleurs et des jours moins bien. On apprend à vivre avec, à compartimenter sa vie entre la partie de soi qui est dans la police et la partie de soi qui n'y est pas. Si on n'est pas capable de faire ça et qu'on n'a pas un sens aigu de la justice, effectivement, on a rien à faire dans ce métier. Je ne sais pas si j'ai du courage mais j'ai de la détermination et je sais casser des nez si on m'énerve, déclara fièrement la jeune femme en relevant le menton. Cela dit j'ai encore jamais eu besoin de le faire et ici je n'ai encore jamais croisé de personne ouvertement hostile à la police. En dehors de ceux qu'on arrête, naturellement. Enfin bon... Voilà pour ma vie, mon œuvre. Je sais pas si c'était vraiment intéressant à écouter, je vais peut-être vous laisser pour le moment et revenir quand j'aurai pris quelques premières décisions pour ce mariage, commenta la rouquine qui avait conscience d'avoir déjà abusé énormément du temps d'Emmaline.
Emmaline I. Fitzgerald
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Emmaline faisait parti d'une famille noble qu'elle avait fuit pour vivre l'amour, puis résultat elle n'avait trouver que la mort. Du moins dans sa vie passé. Elle avait néanmoins eu une éducation malgré que ses parents n'était pas si strict sur certaines choses. Bien qu'ils avaient déjà chercher à lui trouver un époux. Emy ne voyait pas cela du même regard que les autres. De toute évidence, Emy était enthousiasme pour tout et n'importe quoi. Elle admettait qu'elle ne mentionnait pas autant de détail pour le mariage royal déjà parce qu'elle avait du signer des closes et par respect elle ne voulait pas étaler ce qu'il s'y passait. En revanche, Emy lui compta quelque bribe de sa vie passé et de ses mariages. Eh bah S'est vrai que ce n'était guère évident pour cela, peu de personne avaient la chance d'avoir se genre de vie, ou du moins la malchance. Il était particulièrement vénal, celui-là ! Ca m'étonne qu'après une expérience pareille, dans cette nouvelle vie, vous ayez décidé de continuer à vous occuper des mariages même si ce sont ceux des autres. Je veux dire... Ca doit être un sacré traumatisme de se faire assassiner par son fiancé pour son argent. Moi j'aurais changé de branche si ça m'était arrivé. Et encore le mot était faible ... puisqu'elle avait apprit par la suite qu'il avait voulu faire la même chose pour Victoria. Et encore s'il n'y avait pas eu d'autre cadavre dans le placard en se qui concernait Lord Barkis. Anthony n'était pas pareil lui s'était pour le jeu.. il avait eu un beau tableau de chasse au file des siècles... Tout ça pour avoir une immortalité mais s'était le même gabarit un connard. Je ne vous le fait pas dire... Je ne suis pas sur de trouver pire... surtout que ce n'était visiblement pas son premier coup et après moi... il a essayer de le faire à une pauvre demoiselle Qui était la fiancé de Victor qui par ailleurs n'a jamais épousé. Je voulais partager le bonheur des future mariée avec elles, bien que je n'ai pas vécu cela. C'est la joie dans le regard de mes clients que j'adore. Bien que dans ce monde.. il y a beaucoup de haut et de bas. Mais comme on dit si on tombe de cheval il faut remonter tout de suite. Mais, je dois avoué que les premiers jours n'ont pas été évident Et que si je n'aurais pas eu mes proches ça aurait peut-être été différent.
Après avoir parler de son expérience chez les fantôme Anya répondit. Oui, j'ai entendu parler de ce mariage de l'enfer ou peu importe le nom qu'on peut lui donner. Je connais quelqu'un qui a vécu une expérience similaire Oh... et bien je plein cette personne aussi... ce n'est pas évident d'avoir vécu cela. Moi même j'ai eu des amis qui ont vécu cela.. mais à des époques différente. Amalthea avait été la première niveau chronologie de ce qu'elle avait écouter... Et qu'elle avait vu dans cet album photo et il y avait eu son Lucifer. Qui a par ailleurs prit du bon temps à l'époque de la conquête de l'ouest. J'imagine qu'il faut penser au positif, à savoir que vous en êtes revenue vivante et qu'il est peu probable que vous recroisiez cet Anthony. Oh non je ne risque pas de le revoir dans ce monde là. A moins qu'il ne soit un fantôme. Puisqu'elle lui avait oté la vie sous la colère et qu'elle ne voulait pas qu'il arrive quoi que ce soi à Nathanael. Bien sur, elle n'avait pas été épargner elle avait eu droit à des point de suture au passage et comme elle avait perdu beaucoup de sang.. Elle s'était écrouler après que tout soit terminer dans les bras de Luci.
Emy avait été navrée que cette dernière ait perdu sa famille. Pour sa part Emy avait ses deux parents mais, ils ne s'entendait pas bien. En même temps normal quand ces propres parents l'avait placé en psychiatrie alors qu'elle avait simplement besoin d'aide et qu'on l'écoute... Cet accident, avait eu bon qu'elle connaisse Nath qui était devenu son frère de coeur.
Même si perdre ses proches remontait à loin cela n'empêchait pas qu'elle soit désolé pour elle. S'était comme mettre un pensement dessus. Emy appréciait voir les architecture des palais ou des châteaux pour sa part elle avait vécu à l'époque victorienne donc tout était dans le style victorien. J'apprécie voir les différent style pour ma part je viens d'une époque victorienne. Emy vivait dans un appartement ce qui lui était bien suffisant même si elle passait la plupart de son temps à aller enquiquiné Luci ou voir Nath. Et par la suite, elle avait apprit que Anya était dans la police. Policier c'est un métier comme un autre, vous savez. C'est pas le moins dangereux, c'est vrai, encore que moi je suis profiler donc davantage dans les bureaux, mais vous ça doit être pareil que moi : il y a des jours meilleurs et des jours moins bien. On apprend à vivre avec, à compartimenter sa vie entre la partie de soi qui est dans la police et la partie de soi qui n'y est pas. Si on n'est pas capable de faire ça et qu'on n'a pas un sens aigu de la justice, effectivement, on a rien à faire dans ce métier. Je ne sais pas si j'ai du courage mais j'ai de la détermination et je sais casser des nez si on m'énerve Elle sourit doucement. Oui c'est vrai c'est un métier comme un autre. Beaucoup de personne on le sens de la justice mais ne font pas pour autant policier mais je vous offre tout mon soutiens, Vous avez raison, il faut savoir se défendre. Et savoir que nous sommes protégé par les force de l'ordre c'est encore mieux. Il y a moins de laisser aller. Cela dit j'ai encore jamais eu besoin de le faire et ici je n'ai encore jamais croisé de personne ouvertement hostile à la police. En dehors de ceux qu'on arrête, naturellement. Enfin bon... Voilà pour ma vie, mon œuvre. Je sais pas si c'était vraiment intéressant à écouter, je vais peut-être vous laisser pour le moment et revenir quand j'aurai pris quelques premières décisions pour ce mariage Je ne vous souhaite pas d'avoir à faire à des personnes mauvaise et récalcitrant, mais je sais que vous saurez vous défendre. Je ne suis pas contre les forces de l'ordre, vous ne faites que votre travail après tout. Détromper vous c'est très intéressant ce que vous m'aviez dit. Il n'y a pas de soucis, je serais la pour vous accueillir vous connaissez la route à suivre, j'ai été ravi de faire votre connaissance en tout qu'à Anya et j'espère vous revoir. Que ce soit professionnel ou pendant une promenade.
C'était peut-être parce qu'il y avait, de base, énormément de malades dans les différents mondes agrégés par la malédiction de Regina qu'il y avait maintenant, à Storybrooke, autant de malades et, de fait, autant de problèmes. En tout cas, Anya ne pouvait s'empêcher d'avoir cette réflexion en entendant Emmaline parler de son premier mari et de toutes les horreurs qu'il avait commises. C'était même difficile de trouver les bons mots pour commenter la situation tant celle-ci était sordide. En fait, c'était carrément surprenant qu'Emmaline parle en jours à surmonter suite à une telle épreuve et pas au moins en mois si ce n'est en années. La jeune femme suscitait indéniablement l'admiration de la rouquine - tout comme les autres personnes, apparemment nombreuses, à avoir récemment fait l'expérience d'un mariage de l'enfer et qui n'étaient pas bonnes pour vingt cinq ans de psychanalyse pour s'en remettre. Emmaline semblait dotée d'une force de caractère naturelle et d'une capacité de résilience impressionnante car elle ne s’appesantit pas sur son passé douloureux de mariée maudite, compatit sincèrement aux pertes d'Anastasia et parvint, le tout en très peu de temps, à poursuivre la conversation comme si, depuis le début, les deux femmes ne parlaient que de la météo. C'était le genre de femme qu'Anya appréciait rencontrer même si, malheureusement pour la marieuse, elle n'était pas très calée en architecture. Elle n'était pas non plus stupide et avait vu et lu suffisamment de fictions pour pouvoir se représenter le style victorien du monde d'origine d'Emmaline. - Et moi je viens d'un monde qui ressemble davantage au début du XXe siècle de cette Terre, rétorqua-t-elle poliment avant de raconter, avec plus de détails cette fois, quelle était sa vision de la police en particulier mais surtout de la justice. C'était plaisant que ce seul fait suffise à lui attirer le soutien d'Emmaline, que la rouquine accueillit avec un sourire reconnaissant. Ah, si seulement tous les habitants de cette ville était comme elle ! La ville ne ressemblerait certes plus à ce à quoi les habitants de Storybrooke étaient habitués mais serait-ce réellement un mal ? La jeune femme en doutait, tout comme elle doutait d'avoir encore quelque chose à faire dans cette boutique, ce qui l'amena lentement mais surement à prendre congé - non sans se satisfaire que la conversation ait passionné les deux interlocutrices. - Moi aussi ça m'a fait plaisir de vous rencontrer et croyez-moi, je pensais pas dire ça, avoua-t-elle franchement, à présent presque de nouveau sur le seuil de la boutique. Vous avez raison, maintenant, je connais le chemin et y a fort à parier que je revienne dans quelques temps, ajouta la future mariée avec un sourire espiègle. Au plaisir de vous recroiser également... Pas au poste j'espère, conclut la policière avec un autre sourire, se doutant bien qu'Emmaline n'était pas le genre à truander. Non, elle était plutôt le genre à se faire avoir - par ses maris, notamment - aussi Anya lui souhaitait de ne plus jamais être une victime. Et elle voulait bien lui apprendre à casser des nez si besoin !
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- Qu'est ce qu'on a dit Emy ? On arrête de vouloir frôler la mort comme ça !
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| Conte : Les noces funèbres | Dans le monde des contes, je suis : : Emily la défunte mariée
Et moi je viens d'un monde qui ressemble davantage au début du XXe siècle de cette Terre Elle hocha la tête, s'était intéressant de savoir le nombres de personnes qui venaient de monde différent. Chacun avait vécu des choses particulière et Emy appréciait écouter les récits des autres. En apprendre d'avantage lui faisait connaître de nombreuse chose. C'est intéressant de le savoir, un jour j'aimerais en apprendre davantage sur votre histoire, si vous me le permettez. Ce n'était pas souvent qu'elle parlait autant sans embêter les autres. Puis, elle avait aussi parler de sa façon de voir les policiers. Emy était une bonne pattes, bon même si certains de ses collègues ne faisait pas toujours les bon choix et qu'ils n'appréciaient pas réellement les policier, Emy n'avait rien contre eux et puis, ils protégeaient la ville tout de même. Mais comme tout bon moment, tout avait une fin. Emy avait suffisamment prit le temps de Anya. Moi aussi ça m'a fait plaisir de vous rencontrer et croyez-moi, je pensais pas dire ça Emy sourit grandement. Ca lui faisait plaisir et ça la touchait énormément. Elle aurait surement l'honneur de se retrouver de nouveau un jour. Vous avez raison, maintenant, je connais le chemin et y a fort à parier que je revienne dans quelques temps
Oui ce n'était pas compliqué de se rendre à la boite de Pandore et puis, elle pourrait organsier d'autre fête si on la sollicitait. Au plaisir de vous recroiser également... Pas au poste j'espère Emy rit. Oh, je ne pense pas que ce sera la bas. a moins que je vienne prendre de vos nouvelles la bas. Ou qu'elle aurait fait parti d'une affaire pas net à son insu ? Quoi qu'il en soit, ce serait dans une tout autre aventure.