« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver.
Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)

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 Chasse au tresor

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Alice Borderland
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »

Alice Borderland

| Avatar : Jeong Min Park

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| Conte : Alice au pays des Merveilles
| Dans le monde des contes, je suis : : LA Alice

| Cadavres : 30



Chasse au tresor _



________________________________________ 2021-04-29, 02:30

Chasse au trésor

Aux grands maux, les grands remèdes comme l'aurait probablement dit ma grand-mère, si j'en avais eu une. Je n'ose pas trop jeter un œil aux finances mais quand je le fait, je constate qu'il faut vraiment que j'arrête d'acheter des truc a longueur de journée que je n'utilise pas; je peut pas m'en empêcher. Je me dis qu'un jour, je serais bien contente de retrouver ses trucs pour embellir mes jouets, ou même mon magasin. Mais là ça commence à être une catastrophe. Les matières premières coûtent un bras et surtout avec ce que je demande ça deviens de plus en plus pénible, il me faudrait sérieusement trouver des alternatives. J'ai eu beau chercher, la seul option que j'ai trouvé, c'est la décharge de la ville. C'est fou ce que les gens jettent, soit sans faire exprès, soit parce qu'ils ne savent pas quo i faire des choses cassées. Moi, je saurais quoi en faire. J'ai le matériel qu'il faut pour fondre, souder, mouler, poncer, bref ! J'ai tout l'attirail pour donner une seconde vie aux choses ! Sans mauvais jeu de mots bien sûr...

J'ai attendu la nuit pour ça. Je sais pas pourquoi, mais j'ai toujours appris que ce n'était pas très légal de piquer des trucs dans les poubelles. Je m'en fiche légal, pas légal, mais je n'ai pas envie de finir au poste quoi, déjà que les affaires ne vont pas fort, il manquerais plus que ça. Je vois déjà les gros titres des journaux d'ici : " Alice, la cinglé derrière les barreau après avoir fouillé les poubelles de la ville. La déchéance est en route et ne s'arrête plus ! " Enfin, un truc du genre quoi... Bref. Je suis pas partie avec grand chose sur moi : mon couteau à viande au cas où il faut se défendre. Cette fois, je n'ai pas fait la même erreur deux fois. je lui ai fait un petit étui que je peu accrocher a ma ceinture et sortir ça très vite au cas où il faut réagir. J'ai aussi pris mon ancien sac à dos d'école. En fait, je m'attendais pas à trouver autant de trucs que ça, surtout en pleine nuit à dire vrai dire, mais bien sure, j'ai tout de même embarquer une lampe de poche.

Arrivé devant les grilles de la décharge, j'ai regardé un peu partout autour de moi comme une reprise de justice. J'avais le cœur qui battait à mille à l'heure. C'était super amusant et exaltant à la fois...Ça rappelait de très bon souvenir à la fois même si ce n'était pas vraiment le même registre. Après Alice au pays des merveilles, Alice au pays des poubelles, mais j'étais plus que convaincu de trouver des merveilles insoupçonnées par la plupart des gens. Ils y connaissent rien du tout de toute façon et ne s'y intéressent pas. Remarque, moi non plus je ne m'intéresse pas franchement à ce qu'ils font...Et je m'en fiche. En faisant le tour, j'ai remarqué un trou dans le grillage. Il n'était pas très grand, mais ça tombe bien, je suis minuscule et aussi plate qu'une planche à pain...Enfin, je crois que c'est pas la bonne expression parce que malheureusement au niveau de la poitrine y a un peu trop de monde au balcon comme on dit...Enfin, non, je sais plus comment on dit pour ça. Bref ! Ça change rien que balcon ou pas, j'arrive à me faufiler tranquille dans le trou du grillage pour commencer ma petite exploration.


On va pas se mentir, dans les premières minutes, je n'ai pas trouvé grand chose d'autre que des sacs-poubelles que je n'avais pas forcément envie d'ouvrir. Ce qui m'intéresse avant tout, c'est surtout des meubles, des vielles décoration ou des équipement électronique foutue ; je pense que ça allait demander un peu de recherche. J'ai commencé à me diriger vers une colline de ferraille un peu plus loin que j'avais bien envie d'explorer un peu. il y avait de quoi trouver mon bonheur là dedans. Je l'ai grimpé et j'ai commencé mes petites investigations. Tout le monde le sait, je ne suis pas la personne la plus discrète du monde surtout quand je suis concentré à faire quelque chose. J'ai fourré ma lampe torche dans la bouche et je me suis mise au travail d'une main. De l'autre, j'ai retiré mon sac de mon dos pour l'ouvrir, au cas où je trouverais quelques choses, ça va directe a bibi ! Non seulement, je ne suis pas la personne la plus discrète, mais je suis aussi assez maladroite quand je m'y mets. Je ne sais pas où je ne sais pas comment, mais d'un coup, j'ai entendu un bruit dans la décharge. Ce n'était pas si loin que ça, mais c'est parvenue à me faire sursauter... et devinez quoi bien sûr ? Oui, j'ai fait un roulé boulé sur ma coline et j'ai fait un boucant a réveiller tout le quartier. Ce n'était pas drôle sinon.

Arrivé en bas, j'ai machinalement sorti mon couteau alors que je me suis fait mal a roulé comme ça sur la ferraille. Je sens que je me suis probablement fait deux trois égratignures, mais j'ai connu pire après tout. Bon, pas tant que ça, mais on va faire comme si.

- Euh... Faite attention qui vous soyez, je suis armé et je sais m'en servir !

Mais qu'est-ce que je raconte et si c'était la police, Alice ?!

-..Euh.. Mais si c'est la police, je suis pas du tout armée bien sûr... !

Voilà, au moins... C'est dit !

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Chasse au tresor _



________________________________________ 2021-05-16, 15:26



Chasse au trésor
La journée commençait à peine que Luca voulait déjà en finir. Ce n’était pas tous les jours que ça lui arrivait, mais l’ancien robot croisait tous les doigts de son corps pour que le temps passe plus vite. Évidemment, plus il se concentrait sur les heures qui défilaient, moins elles défilaient. Les minutes s’égrenaient les unes après les autres, sans se presser et il ronchonnait dans son coin, en essayant, tant bien que mal, de trier un nouvel arrivage. Tout concentré qu’il était sur la perspective d’une bonne soirée, il ne s’intéressait même pas aux trésors, sous ses yeux. Ce qui n’arrivait quasiment jamais.

Ainsi, il travaillait en poussant, de temps à autre, de gros soupirs qui le vidaient de toute motivation et le laissaient immobile quelques secondes. Puis l’énergie lui revenait d’un seul coup et il se remettait à travailler frénétiquement, en jurant que s’il allait plus vite, s’il se concentrait plus, alors le temps passerait sans qu’il ne s’en rende compte. Une étrange boucle dans laquelle il s’était coincé depuis le matin et dont il n’arrivait pas à sortir. À chaque fois, il recommençait : il accélérait, ralentissait, soupirait, s’arrêtait, accélérait, ralentissait, soupirait, s’arrêtait…

Jusqu’à ce que le soleil décline à l’horizon.

Luca se donna même le droit de fermer le portail de la décharge plus tôt que d’habitude, en croisant les doigts, cette fois, pour que personne ne débarque au dernier moment, et s’enfuit à grandes enjambées dans son hangar. Puisqu’il avait officiellement fermé, le sourire était revenu se poser sur ses lèvres et il chantonnait un air d’un vieux film en noir et blanc, tout en courant entre les meubles du grand hangar. Il s’arrêta à peine pour regarder les nouveaux résidents qui avaient dû construire leur nid dans la journée : deux petits moineaux domestiques qui le regardèrent passer d’un œil curieux.

Dans un brouhaha incroyable, le brun fouilla l’une de ses étagères et, trésor en main, retourna à l’autre bout du hangar en galopant, pour s’emparer d’un autre trésor. De ces trésors qu’il était le seul à appeler « trésor » et qui, généralement, ne servaient à rien. Ce n’était ni joli, ni utile, mais les yeux de Luca ne voyaient jamais les choses comme les yeux du reste du monde et il attendait, de pied ferme, le jour où la jolie EVE viendrait dans son hangar faire un peu de magie avec tous ces objets.

En attendant, il était question de baskets trouées, de roues d’une vieille Buggy téléguidée et de petites blanches qu’il avait découpées. Luca posa le tout sur un des meubles, en poussant le reste de ses affaires pour faire de la place, et se mit au travail. Il fixa les roues sur les planches avec des vis et les planches aux baskets avec du gros scotch orange. Quand il fut presque certain que son affaire tiendrait le coup, en tirant un peu dessus, Luca se déchaussa et enfila ses nouvelles chaussures à roulettes. D’une puissante poussée sur le meuble, il s’élança dans le hangar, jusqu’à dehors.

Évidemment, même avec des roues tout terrain, rouler sur le sol bétonné du hangar et rencontrer, soudain, les cailloux et la poussière de l’extérieur n’avaient rien à voir. À peine eut-il fait un mètre dehors qu’il perdit l’équilibre et s’étala de tout son long dans un grand bruit. Luca savait bien qu’il aurait été plus à l’aise sur des chenilles, comme celles qu’il avait dans son monde, mais il ne s’attendait pas à un tel fiasco ! Dépité, il prit le temps de se relever et de constater que la nuit était tombée depuis longtemps.

Quelques secondes à peine après sa propre chute, Luca entendit, plus loin dans la décharge, quelque chose dévaler l’une des collines de ferraille. Il releva immédiatement ses yeux sombres vers les piles de détritus et se demanda si c’était son raton-laveur qui était revenu lui voler des affaires. Depuis le temps que l’ancien robot essayait de lui mettre la main dessus, il n’avait toujours pas attrapé le chapardeur pour lui donner, plutôt que de vieux objets ternes, une belle gamelle bien brillante.

Ni une ni deux, le brun bondit sur ses jambes et dut jouer des bras et du bassin pour garder son équilibre. Conscient que son affaire ne fonctionnerait pas et qu’il risquait, plutôt, de tomber à nouveau, il arracha les bandes de scotch, s’empara des roues clouées aux planches et s’élança dans la cour. Il n’arrêta de courir qu’en entendant une voix de femme s’élever d’entre les piles et le prévenir qu’elle était armée. Aussitôt, Luca bondit derrière un vieux fauteuil abandonné là et ne bougea plus. Armée ? Il ne voulait plus se faire tirer dessus !

Puis elle décréta qu’elle n’était pas du tout armée, deux secondes plus tard, et Luca fut totalement perdu. Il se gratta l’arrière du crâne avec l’une des roues, en se questionnant sur ce qu’il devait faire. Incapable de trouver une solution, il fit la seule chose possible :

– T’es vraiment armée ? cria-t-il, de derrière son fauteuil. Genre… des lasers surpuissants bien cachés dans tes petits bras ?

Au moins, il serait fixé sur la nature de la menace et se félicita, lui-même, de sa question avec quelques hochements de tête approbateurs. Et pour aller avec ses mots, il se décida, finalement, à pousser l’une de ses armatures en bois, munie de roulettes, vers le milieu de la cour. Les petites roues tressautèrent sur les cailloux et s’arrêtèrent plus loin sans qu’aucun laser ne vienne les détruire. Alors, tout allait bien, non ? Luca se leva d’un coup et chercha, du regard, un signe de l’intruse.

– Je suis pas de la police, je travaille ici. (Il s’avança dans l’obscurité pour mieux voir l’inconnue.) T’étais dans la décharge quand j’ai fermé et je t’ai pas vue ? Je voulais pas t’enfermer, je peux rouvrir, si tu veux partir. Tu cherchais des trésors ?

Ses yeux sombres s’illuminèrent de petites étoiles à la seule évocation qu’elle puisse, comme lui, chercher parfois quelques merveilles dans les déchets des habitants de la ville. C’était fou tout ce que tout le monde jetait, tout le temps ! Il s’arrêta à quelques pas de la jeune femme et constata, alors, les quelques égratignures qu’elle avait dû se faire en tombant.

– Wow ! T’es blessée ! T’es tombée ? Ça m’arrive tout le temps aussi ! Hmm, tu veux entrer chez moi ? J’ai peut-être des pansements qui traînent quelque part. Je crois qu’on m’en a refilés, une fois, et que je les ai pas utilisés.

Il n’était pas bien sûr de savoir où il les avait posés, mais il se souvenait qu’un gamin lui avait confié une boite entière, après avoir vu les coupures que Luca s’était faites aux doigts, à cause de l’une de ses expériences étranges. Des mains parfaitement guéries, maintenant (quoi qu’un peu salies par sa chute plus tôt) qu’il tendit à la brune, avec un grand sourire.

– Moi, c’est Luca ! Et toi ? Ça va ? Tu t’es pas fait trop mal ?


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