« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver.
Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)

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 Rencontre et ramassage

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Kisa Soma*
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »

Kisa Soma*

| Avatar : Bridget Satterlee

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Hiro...

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| Conte : Fruit Basket
| Dans le monde des contes, je suis : : Kisa Soma - Esprit du tigre

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| Cadavres : 397



Rencontre et ramassage _



________________________________________ 2021-04-29, 16:10

Rencontre et ramassage
Kisa Soma & Luca Barker
Le printemps faisait son œuvre, avec lui des journées qui se suivaient mais ne ressemblaient gère. Que ce soit la pluie fine qui pouvait se transformer en un soleil radieux en une lune, ou les arbres qui fleurissaient comme la saison le permettait, la nature semblait évoluer à un rythme soutenu qui commençait à effrayer notre jeune Kisa. Certes, elle venait de retrouver sa précieuse grande-sœur Tohru, et oui cela avait rempli un petit bout de son cœur qui se faisait de plus en plus entendre tellement le mande de certaines personnes était fort. Mais… En combien de temps avait-elle retrouvé son aîné ? Six ou sept ans ? Combien de temps faudrait-il pour retrouver les autres ? 10 ans ? Ou encore plus ? Ou… Jamais… Cette pensée mina notre blondinette que suivait son cours matinal sans vraiment écouter son instructeur. Elle n’avait guère la tête à apprendre quoi que ce soit, et sa motivation s’envolée, laissant place à une mélancolie qui se lisait sur son visage. Ce n’était pas la forme non et ses amis le voyaient bien. Malheureusement, ils savaient aussi que Kisa n’était pas du genre à déballer ses soucis devant qui que ce soit, même si la jeune fille avait la larme facile, il était extrêmement compliqué de lui faire cracher le morceau ! Et pourtant, la manière dont elle serrait sa peluche en forme de tigre fort contre son petit cœur, montrait bien sa peine du jour.

Réalisant le regard inquiet de son entourage, Kisa se força pour leur faire un petit sourire qui se voulait rassurant, mais qui ne montrait que plus encore l’état mélancolique de la blondinette. Et devant les yeux compatissants mais aussi questionneurs, la tigresse comprit qu’il valait mieux qu’elle s’en aille pour aujourd’hui sous peine de les inquiéter davantage ! Surtout que… Bon… Ils ne pouvaient rien y faire les pauvres ! Même avec toute la bonne volonté du monde, une personne ne pouvait pas se retrouver dans un claquement de doigts…

- Vous en faites-pas, le changement de saison me fatigue un peu mais ça va aller, je vais rentrer me reposer un peu.

Un dernier sourire forcé, et la blonde partit du bâtiment d’étude toujours sa fidèle boule de poils dans les bras et guise de seule compagnie… Mais Kisa ne comptait pas rentrer tout de suite chez elle, au contraire, la jeune fille ne se voyait pas retourner dans son habitation silencieuse et surtout… Vide… L’habitude qu’elle avait eu de se balader dans le domaine des Soma lui revint alors à l’esprit. C’était pourtant bien lointain maintenant, mais les images des enfants courants, ou des dames en kimono se promenant à travers les propriétés, la chance potentielles de croiser un Hiro ou un Haru qui avait toujours une attention pour notre petite tigresse… Oui… Elle avait retrouvé Tohru et elle était heureuse, mais l’euphorie de cette retrouvaille s’estompait peu à peu laissant la place à la mélancolie qui n’était pas très loin en fin de compte…

Storybrook, ce centre-ville où bien du monde circulait, et pourtant si peu de visages familiers. Kisa leva la tête, tout en continuant de serrer sa peluche fortement contre elle. Une jeune fille d’une vingtaine d’année qui se balade avec une peluche aurait attiré l’attention avant, mais ici non… C’était étrange, mais malgré l’horreur de se faire remarquer qu’avait Kisa, cette dernière aurait bien aimé à ce moment que quelqu’un la remarque… Du moins… La reconnaisse… Mais non… Personne…

Notre tigresse se trouva alors un banc où s’asseoir, toujours sa fidèle peluche au même endroit, et tous deux se mirent à observer les gens. Il y avait vraiment de tout comme dit précédemment… Tous biens occupés à leurs affaires… Du moins… Presque tous… Kisa eut son attention attirée par un homme qu’elle avait déjà remarqué auparavant. Cet inconnu, elle le croisait en effet régulièrement dans les rues, il était toujours en train de regarder partout, et notre tigresse avait compris avec le temps qu’il récupérait toutes les ordures qu’il pouvait trouver.

Mais si ce n’était que ça, cela n’aurait pas été intrigant. Non ! Kisa avait déjà observé cet homme avant, et ce qui était le plus étonnant, c’est que comparé à la majeure partie des gens, ramasser les ordures ne semblait pas être une « corvée » du moins… Il ne ressemblait pas à tous ceux qu’elle voyait dans sa vie d’avant, qui nettoyaient la ville car ils n’avaient clairement pas le choix. Là cela semblait différent… Malheureusement la perspicacité de Kisa s’arrêtait là, et la question du pourquoi cet homme paraissait ainsi demeurait sans réponses.

Mais alors que ce dernier n’était pas loin, Kisa vu une dame bien en chair, avec un accoutrement assez voyant d’ailleurs, jeter une espèce de boîte à un endroit que l’homme nettoyeur venait justement de vider de ses déchets.

* Certaines personnes sont vraiment pas gentilles et peu respectueuses je trouve… * pensa Kisa.

Cette dernière se leva donc de son banc, s’approcha de la boite en question et la ramassa. Voyant que l’homme nettoyeur était juste à côté, notre blondinette s’approcha doucement de lui après avoir hésité une paire de minutes… Les relations humaines qui plus est avec un homme inconnu n’étaient toujours pas son fort… Petit pas par petit pas, Kisa se pencha légèrement sur le côté, sa peluche en forme de tigre dans un bras, et la boite à jeter dans la main opposée. Sa voix un peu enfantine et hésitante pouvait être difficilement audible vu comment notre jeune fille ne parlait pas très fort.

- Euh excusez-moi Monsieur… Euh… J’aurais aimé… Enfin… Il y avait ça par terre… Ça aurait été pour le… Enfin… Jeté s’il vous plait…

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Rencontre et ramassage _



________________________________________ 2021-05-18, 08:25



Rencontre et ramassage
Depuis quelques jours, Luca cherchait un moyen de construire une nouvelle de ses étranges inventions, sans réussir à mettre la main sur les bons matériaux. Ses dernières idées ne s’étaient pas toutes très bien terminées : il avait confié ses yeux lumineux à une inconnue et ses chaussures à roulettes n’avaient pas apprécié les cailloux, dehors. Il ne restait que le balancier de son lit, qu’il n’avait pas encore fixé sous le matelas, et dont il ne pouvait, encore, juger de la réussite ou de l’échec. Avec beaucoup d’optimisme (ce dont il ne manquait pas), l’ancien robot se persuadait que le système était parfait et qu’il pourrait, enfin, s’endormir en se balançant, comme autrefois, alors qu’il se casait en carré dans une étagère.

Cette fois, il se tenait devant une boîte carrée, posée sur un plan de travail, à laquelle il essayait, tant bien que mal, de fixer une trappe qui s’ouvrirait grâce à un petit bouton, afin d’accéder à l’intérieur creux. La boîte était imposante, mais il fallait au moins ça pour lui rappeler son bidon d’origine, tout carré, tout creux, tout métallique. Et pour le brun, même si elle était grosse afin de correspondre à la taille de son torse, elle n’était pas si lourde à porter. Une fois qu’il aurait réussi à mettre en place le mécanisme, il n’aurait plus qu’à trouver des sangles et les attacher sur les coins pour pouvoir porter sa boîte devant lui et courir partout comme un dingue. Il finirait, sûrement, par montrer à tout le monde son nouveau bidon tout creux et il vaudrait mieux, ce jour-là, qu’il ne croise pas trop les policiers du coin. Il serait plus vite envoyé à l’asile qu’en prison, à n’en pas douter.

Quoi qu’il en était, Luca avait bien du mal, pour le moment, à fixer sa petite trappe. Tout le reste de la boite était prêt, il ne restait que le mécanisme pour enclencher la porte. Ce qui ne fonctionnait vraiment pas comme il le voulait. Il eut beau retourner le problème dans tous les sens, le brun ne comprenait pas ce qui clochait. Ce n’était pas lui, dans son monde, qui s’était construit. Tout ce qu’il savait faire, c’était se réparer avec les pièces des mêmes modèles que lui. Ce qu’il ne pouvait plus faire dans ce monde-ci, soit dit en passant, et ne lui plaisait pas vraiment. Il aurait aimé pouvoir changer de pieds quand il le voulait ! Il changeait de chaussures, c’était déjà ça de gagné.

Dans un petit « Zut ! » soufflé sur sa boîte, il posa les deux mains sur les hanches et parcourut le hangar des yeux, à la recherche d’un signe de ce qu’il devait faire. Évidemment, il ne vit rien qu’un bordel sans nom qui le laissa sans voix, les lèvres pincées et les sourcils haussés sur le front. Il hocha même la tête plusieurs fois, impuissant, et se décida à laisser tomber pour la journée. Il avait mieux à faire, de toute façon, que se prendre la tête sur quelque chose qui ne fonctionnait pas ! Puis, depuis le temps qu’il était plié sur sa boîte, Luca sentait des petites fourmis (une expression qui lui avait fait un peu peur au début) courir dans ses jambes, pour lui signifier qu’il était temps d’aller se défouler.

Luca bondit à l’extérieur, referma les portes coulissantes de son hangar et s’empara de sacs en plastique qu’il fourra dans ses poches, avant de bondir dans les rues de la ville en trottinant, un grand sourire aux lèvres. Comme à son habitude, il laissa le portail de la déchetterie ouvert pour laisser entrer ceux qui voulaient déposer des déchets ou venir chercher des petits trésors. Dans les rues, le brun décida, pour l’une des rares fois, de ne pas s’attarder sur les docks, mais de tracer jusqu’au centre-ville. Luca avait trop tendance à prendre son temps, tout fouiller, tout ramasser, et il sortait rarement de son quartier. Pour une fois, il voulait aller s’occuper du centre-ville, persuadé qu’il devait y avoir des tonnes de déchets et de trésors à ramasser.

Grand sourire aux lèvres, comme à son habitude, il fredonnait, parfois, une vieille chanson entendue dans l’un de ses films en noir et blanc, tout en ramassant, au fur et à mesure, les déchets qu’il trouvait par terre. C’était dingue de voir tout ce que tout le monde pouvait jeter à côté des poubelles, mais il ne voyait pas trop le problème, lui. Il était fait pour ramasser, alors il ramassait, sans se poser de questions, très content de pouvoir s’amuser. Par moment, il relevait la tête, regardait les passants, et se demandait si, comme autrefois, il boucherait la circulation en se plantant droit comme un i sur leur route. Heureusement, il n’osait pas et se contentait de retourner à ses affaires.

Luca avait l’habitude de s’occuper lui-même de tout ce qu’il trouvait et que personne ne vienne, jamais, le déranger. « Déranger » était un bien grand-mot, étant donné que le brun ne crachait jamais sur un peu de compagnie. Il avait beau être habitué à la solitude, il n’en restait pas moins avide de compagnie et adorait passer un peu de temps avec les autres. Ça lui rappelait, au fond, qu’il n’était plus tout seul sur son bout de planète, à essayer de nettoyer une ville impossible à nettoyer.

Ce qui ne l’empêchait pas d’être surpris quand on entrait, soudain, dans sa petite bulle. Luca sursauta en entendant une petite voix, par-dessus son épaule. Il se figea sur place, accroupi par terre, et pris quelques secondes avant de se retourner très lentement. Il tomba, alors, nez à nez avec une jeune blonde qui parlait tout bas et lui tendait une boîte mystérieuse. Elle avait, dans les bras, un joli tigre qui ne manqua pas d’attirer le regard sombre de l’ancien robot. Il connaissait les tigres de nom, puisqu’il l’avait appris petit, mais il devait bien avouer qu’à part dans les films, il n’en avait jamais vu.

– Par… terre… hmmmm… (Luca regarda autour de lui, les yeux plissés.) Mais je suis déjà passé là. Non ? Si ? Hmm.

Le brun était sûr d’être passé, mais il n’avait pas vu la boîte, sinon il l’aurait ramassée. Enfin, il n’était pas tout à fait sûr. Un peu trop pris par l’exercice, il en oubliait, parfois, de faire très attention à ce qui l’entourait. Il n’aurait, par exemple, jamais pu dire que la blonde était assise sur un banc, à quelques pas de lui, encore une minute avant.

– Si c’est à jeter, tu peux jeter là, affirma-t-il, en désignant le sol. Comme tout le monde. Après, je ramasse, compte sur moi !

Un sourire fier aux lèvres, Luca leva un pouce et se décida, enfin, à se remettre debout. Il se gratta la tempe, pensif, en lorgnant la petite boîte qu’elle lui tendait.

– Mais elle a l’air trop cool, cette boîte ! Pourquoi tu veux la jeter ? Je peux la garder ?

Délicatement, Luca s’empara d’un bout de la boîte et attendit de voir si elle acceptait de la lui confier. Même si elle venait s’en débarrasser, il savait qu’on pouvait, parfois, changer d’avis d’un seul coup et préférait prendre ses précautions. Il ne voulait pas être accusé de vol ! Son papy lui avait dit que le vol, ce n’était pas bien.

– Regarde, c’est trop bien, ça glisse ! Zip, zip, zip.

La boîte levée devant ses yeux, il fit glisser l’ouverture, une petite planche qui coulissait dans des rails, avec le bout de l’index. Ouverte, fermée, ouverte… Il continua sans se lasser, très intéressé par le mécanisme. Si tant était qu’on pouvait appeler ça un mécanisme. L’écrin ne devait, de base, contenir qu’un stylo ou un bijou, mais Luca ne regarda même pas à l’intérieur, tout concentré qu’il était sur l’ouverture qui le fascinait.

– Au fait… (Il releva les yeux de sa petite boîte pour regarder la blonde.) Moi, c’est Luca ! Et toi ? Elle est jolie ta peluche.


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