Robin Nicols « J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Jun-Ji Hyun
J'avais envie de mourir seule, maintenant, j'ai des amis pour qui je veux me battre
Ma spécialité ? Le meurtre
| Conte : One Piece | Dans le monde des contes, je suis : : Nico Robin
| Cadavres : 47
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________________________________________ 2021-04-24, 10:20 |
| Robin attendait patiemment près du bureau du directeur. Elle savait qu'elle avait encore gaffé auprès de ses étudiants, mais de là à être convoquée... La jeune brune ne comprenait pas une telle réaction alors que jusqu'ici les courbettes suffisaient. Le directeur l'a accueillie avec un regard glacial, effrayé même. Elle s'installa sur une chaise à l'invitation de son supérieur, admirant les multiples statues antiques qui étaient entreposées autour d'elle. Mais la jeune archéologue se fit reprendre par un raclement de gorge sec.
Robin l'a regardé avec un air incrédule et ahuri qui ne fut guère apprécié. Patiemment, le directeur reprit ce qui correspondait à un rapport du secrétariat et... des captures d'écran de tweets et de publication instagram. Aurait-elle fait autant de grabuge ? Il y eut un long silence.
"Mlle Nicols. Notre université est... une habituée de vos dérapages. Vos capacités et apports incroyables dans notre département vous a valu d'échapper à de véritables sanctions, mais ici, vous avez dépassé la ligne."
Et le directeur de montrer les fameux tweets et là... Robin se souvient. Après avoir un de ses étudiants remettre en question sa note et lui demander sérieusement quelle était son autorité en matière d'archéologie. En bref, quelles étaient ses compétences. Robin avait donc listé ses multiples thèses, son parcours en tant que doctorante et a conclu en souriant : "Si vous vous demandez, ma spécialité est le meurtre."
Autant dire qu'elle avait jeté un véritable froid dans l'amphithéâtre mais au moins, son cours avait pu continuer. Toutefois, les réactions des autres étudiants sur les réseaux sociaux étaient assez inattendues.
"Depuis quelques temps, nous nous efforçons d'éviter d'engager des personnes aux passifs... particuliers. Et vos déclarations me forcent à vous donner un avertissement. Nous n'avons pas le droit de vérifier vos antécédents du monde des contes, mais s'il s'avère que vous avez un passif criminel d'une quelconque nature, l'université se verra dans l'obligation de vous renvoyer."
Robin ne disait rien. Pour elle, il s'agissait d'une blague prise beaucoup trop au premier degré. Bien sûr qu'elle avait déjà tué dans le passé, mais Luffy lui a permis de sortir de ce type d'environnement. Le directeur ne faisait que se plier à des étudiants qui auraient vraisemblablement besoin d'apprendre à se défendre. Mais elle ne souhait pas riposter étant donné que sa place était en jeu.
"Maintenant, retournez au travail. Nous vous avons à l'oeil."
La jeune archéologue retourna dans son bureau, soulagée de ne pas avoir à subir plus de remontrances. Toutefois, elle vit au pas de sa porte une jeune femme. Robin ne parvenait pas à la reconnaitre d'aussi loin. Aussi fit-elle pousser son bras droit sur le mur près du bureau ainsi qu'un oeil dans la paume afin d'y voir plus près. Il s'agissait de la jeune Zelda qui suivait ses cours. Une bouche apparue en dessous de l'oeil :
"Mlle Bosphoramus ? J'arrive dans une petite minute."
La bouche était toute souriante mais la scène rendait le tout assez étrange. |
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Zelda Bosphoramus « Well excuse me, princess »
| Avatar : Lili Reinhart
I don't wanna look at anything else now that I saw you
I don't wanna think of anything else now that I thought of you
I've been sleeping so long in a 20-year dark night
And now I see daylight, I only see daylight
| Conte : The Legend of Zelda | Dans le monde des contes, je suis : : Zelda
| Cadavres : 278
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________________________________________ 2021-06-01, 00:10
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| Ma spécialité ? Le meurtre.
What a great opportunity for a ton of bad decisions. Zelda ϟ Robin. Lors de mon voyage à Hyrule, qui m'avait permis de faire la rencontre de Rafael, j'avais pu retrouver le monde dans lequel j'avais grandi pendant tant d'années, celui dans lequel je n'avais pas mis les pieds depuis que le sort noir s'était abattu sur le continent. Cette aventure m'avait plutôt bouleversé, n'attendant pas de retrouver Hyrule dans cet état... Ganon avait été emporté avec moi jusqu'à Storybrooke mais les conséquences de ses actions maléfiques étaient encore bien visibles. Et ce n'était pas la seule chose qui me faisait peur... Je sentais que quelque chose d'autre se tramait. Je ne pouvais combattre sous tous les fronts, devant m'occuper de Ganon à Storybrooke et d'un autre mal directement à Hyrule. Mais, Link n'ayant pas récupéré ses souvenirs malgré les visites que je lui rendais, ou celles de mes amis, nous ne pouvions pas encore nous en prendre à Ganon, j'avais donc tout le temps d'étudier la question du mal qui pesait sur Hyrule. J'aurais aimé en découvrir plus lors de ma visite mais... j'avais déjà tellement de choses à comprendre sur la situation actuelle. j'étais dépassée dans mon propre royaume, et je détestais cela. J'avais perdu tout contrôle sur celui-ci et les avait laissés sans défense... ils s'en étaient bien sortis, sans les prodiges, sans la famille royale ou bien le héros de la légende. J'étais fier d'eux, dans un sens, mais dans l'autre, je sentais que je les avais laissé tomber, quelque chose que je ne pourrai jamais me pardonner. C'était mon peuple, c'était mon devoir de les guider... Enfin, il n'était pas l'heure d'y penser. Pour le moment, je devais me concentrer sur l'étude d'un objet particulièrement intéressant que j'avais ramené de mon conte. Serrant cet objet le plus fort possible contre moi, comme si c'était l'objet le plus précieux que je possédais, je naviguais dans les couloirs de la faculté d'archéologie. Cet objet n'était qu’une sorte de casque, une couronne peut-être même… Mais je n'avais aucune idée de son utilité, ni d'où elle venait. Je l'avais fait étudié par Pru'ha et Faras mais même eux, qui étudiaient pourtant la technologie sheikah depuis des années et connaissaient une immensité de choses sur les objets que l’on pouvait trouver sur la terre d’Hyrule, n'avaient jamais vu un tel objet. Il semblait unique... Ils m'avaient demandé de leur laisser pour l'étudier plus en profondeur et, bien que j'ai accepté, j'ai tout de même demandé si je pouvais l'amener à des archéologues de renommée pour qu'ils me donnent leur point de vue. Étudiant dans la fac correspondante, il ne m'était pas compliqué d'en trouver et je me disais qu'un avis professionnel venant de quelqu'un qui ne connaissait pas mon conte pourrait être intéressant pour nos recherches. Ainsi, j'ai toqué au bureau de Mademoiselle Nicols, une de mes professeurs. Elle avait un comportement assez... étrange avec les étudiants. Je n'étais pas moi même fan des réseaux sociaux, mais il était impossible d'ignorer les histoires que chacun pouvait entendre au détour d'un couloir... Il y a peu elle avait même dit à l'un des étudiants que sa spécialité était le meurtre... Entendre ça m'avait fait froid dans le dos, mais je ne pouvais pas reculer. Elle pouvait peut-être sembler étrange, mais j'étais certaine que c'était simplement une autre façon de faire de l'humour... du moins je l'espérais. Elle ne semblait pas foncièrement méchante, et pourtant j'avais vu mon lot de personnes maléfiques. De plus, je ne pouvais pas ignorer qu'elle était extrêmement compétente dans son métier, et qu'elle serait donc l'une des plus à même de m'aider dans mes recherches. Quitte à étudier ici, autant profiter des différentes relations que l'on y construit. Je vis que ma professeur était bien à l'intérieur de son bureau, mais elle ne sembla pas se lever. Je haussais un sourcil... Faisait-elle exprès de m'ignorer ? Ce n'était pas la réaction la plus pédagogue de tous les temps... Soudainement j'entendis une voix, sa voix, sur le côté. Mais comment était-ce possible ? Je me retournais et vit une main portant un œil pour me regarder avec attention... Une bouche se trouvait en dessous de l'œil, me donnant presque la nausée... Je ne pus m'empêcher de sursauter, lâchant un faible cri... J'avais vu des choses bien pires dans mon monde, alors ce n'était pas tant de la terreur mais plutôt de la surprise... Qu'est-ce que c'était que cette chose ? C'était Mlle Nicols qui faisait ça ? La bouche s'était adressé à moi comme elle le faisait... Pourquoi est-ce que j'étais venu la voir moi ? Paniquant, j'ouvris la porte du bureau sans son autorisation. -Mais qu'est-ce que c'est que ça ? C'est vous qui faites pousser des mains sur les murs ? DESIGN ϟ VOCIVUS // IMAGE BY VOCIVUS |
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