« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
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| Avatar : Garrett Hedlund
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- Bon les gars ... Vous arrêtez maintenant avec vos histoires de mariage avec Ava ! Vous allez lui faire peur ...
- Okay okay Jayjay ! *se tourne vers Axel* Lançons l'opération les ninjas de l'amour !
- Maiiiis moi je veux être votre témoin !
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- Et là ... l'autre kassos ... qui veut me caser avec ma cliente ! Non mais c'est comme cette manie de prôner l'amour à tout va !
- Hahah toi aussi tu as eu affaire aux ninjas de l'amour ?
| Conte : La Planète au Trésor | Dans le monde des contes, je suis : : Jim Hawkins
It’s a new dawn, it’s a new day, it’s new life. And I’m feeling good..
Cela faisait très longtemps qu’il n’avait pas refait de surf. Et bien sûr, il fallait que ça le tape un dimanche de novembre -le dernier, en plus. Il pouvait le sentir de là où il se tenait : les embruns étaient glacés. L’écume roulait comme une fausse neige, et le vent qui venait du large était lent, soufflant paresseusement. Il allait cailler. Clairement. Mais… Cela faisait longtemps. Et il avait vraiment envie de retourner dans l’eau.
A la base, c’était même venu de Loki et Théo. Ils avaient, pour une fois, réussi à se faire une session Skype à trois, ce qui n’était pas du luxe ! Autant il avait régulièrement l’un ou l’autre au bout du fil, mais rarement les deux, et leur appel s’était éterniser tout au long de la matinée, passant des prises de nouvelles classiques à des jeux dont Loki avait le secret. Cette dernière était en Italie, et étudiait avec attention les deux lunes qui brillaient dans le ciel depuis quelques mois. Dès leur apparition d’ailleurs, elle n’avait pas perdu de temps pour appeler Jamie et lui poser milles questions à leur sujet, comme si l’alien qu’il était aurait forcément les réponses attendues. Théo lui avait mit plus de temps, totalement prit dans ses inventions, même si il envisageait désormais d’envoyer des sondes sur la seconde lune, pour y effectuer des prélèvements. Ils avaient d’ailleurs profiter de l’appel pour échanger leur folle théorie, sous les yeux amusés de Jamie qui pour une fois, n’avait vraiment aucune idée de ce dont il retournait.
Il avait observer ses amis d’enfance, ses camarades, et inconsciemment, il s’était replongé dans ses souvenirs. Les promenades sur les toits avec Loki. Les promenades dans les bois avec Théo. Quand ils n’étaient encore que des enfants et que les choses étaient… Simples. Faciles. Avant le retour d’Emma Swan et de tout le boxon qui avait suivit. Dieu, Titan, apocalypse. C’était devenu l’enfer en quelques mois. Et lui, en avait bien subit les frais. Assit sur le sable froid, sa combinaison noire luisant comme une sorte de coquille sous le soleil timide et les nuages, il se surprit à fermer les yeux un instant. Oui, il devait le reconnaître, il n’avait pas été épargné. Et il ne l’était toujours pas. Famine était toujours là, quelque part. Il pouvait le sentir, même si il s’était ‘apaisé’. Toujours la même chose, cette sensation étrange derrière sa cage thoracique. Comme un point de côté, mais directement dans l’os. Il avait apprit à faire avec désormais mais… C’était là. Ça restait. Et c’était inéluctable.
Rouvrant les yeux, il fixa l’océan aux reflets d’argent. Il avait essayé de se noyer dans cet océan, trois ans auparavant. Il avait essayer de se jeter du haut d’un pont une année après. Où en était-il désormais, de ses tentatives ? Cela faisait longtemps qu’il n’en avait plus fait, ni même songer à en faire. C’était bien. C’était curieux, mais c’était bien. Et ça, il le devait au boulot. Il aurait pu dire qu’il le devait à ses amis mais…. C’était le boulot qui l’avait sorti de ses envies de mourir. Parce que pour la première fois, de toute son existence, il avait un but. Une raison de continuer. Même chez lui, à Mandragore, il n’avait jamais eue cela. Il devait aider sa mère, oui, mais ça n’avait rien d’un but de vie. C’était une obligation, point. Rien d’excitant. Maintenant… C’était différent. Il le faisait pour les mômes. Pour les enfants qui vivaient les mêmes choses que lui. Qui vivaient pire que lui. Il le faisait pour les sauver, et probablement, pour se sauver lui. Jay n’était pas fin psychologue, mais il se doutait bien que, d’une manière ou d’une autre, c’était sa façon d’expier ce qu’il haïssait de lui et de sa vie. Les morts qu’il avait sur la conscience. Le sang qu’il verserait probablement encore. L’Apocalypse. C’était ça, ou tenter encore de crever pour éviter le pire. Et comme il ne pouvait pas mourir…
Pas classiquement en tout cas, de ce qu’il avait comprit, mais bon, ça aussi, il faudrait qu’il se renseigne. Un instant, il songea à Apollon, qu’il avait manqué de tuer à sa ‘renaissance’. C’était le seul Dieu avec qui il était parvenu à s’entendre. Pas qu’il haïsse les autres, il avait finit par comprendre que c’était inutile comme gueguerre mais… Il ne leur faisait toujours pas confiance. Sauf à Apollon. Curieusement, c’était peut-être le seul qu’il voulait bien croire. A 80 % au moins. Malgré lui, il ricana, avant de se relever, en s’étirant. Merci Sarah pour la méfiance, celle là ne la quitterait jamais totalement. Même en face d’un ami. Même en face d’une fille.
Curieusement, il songea à Euguénie, sa ‘nouvelle collègue de travail’. Elle n’était pas nette, et ça, il ne fallait pas s’appeler Jamie Skyrunner pour le savoir. Elle cachait quelque chose, et Jamie n’arrivait pas à savoir quoi exactement. Mais il le sentait. Il le savait. Et il finirait bien par le découvrir. Coûte que coûte.
Attrapant sa planche, il se dirigea vers l’eau, laissant la vague remonter jusqu’à ses chevilles. La morsure ne fut pas aussi brutale qu’il l’avait attendue mais ce n’était clairement pas les Caraïbes. Il étouffa un petit soupir, un grand sourire aux lèvres. L’eau froide était vivifiante. Et les vagues assez douce pour reprendre. Il attendit encore un peu avant d’avancer dans l’eau, se laissant engloutir jusqu’à la taille avant de se coucher sur sa planche. Théo lui avait dit que c’était un sport dangereux, et avait déblatérer tout un tas d’argument qui avait fait penser à Jamie qu’il avait du regarder un film sur les requins récemment, ce qui avait fait rire Loki, qui lui avait directement dit qu’en cas d’attaque de requin, il devrait lui taper dans le nez et lui rapporter une dent en souvenir. Vu la froideur de l’eau, il y avait vraiment très peu de chance de croiser qui ou quoi que ce soit dans l’eau aujourd’hui. Mais peu importait. Ce n’était pas le but. Le but aujourd’hui, c’était de savourer. Savourer le froid, savourer l’eau. Savourer l’écume qui granulait presque sur sa planche. Savourer le vent, qui fouettait son corps comme le souffle d’une créature mythique.
Savourer le fait que malgré tout, il était encore en vie.
Et qu’il aimait ça.
(c) DΛNDELION
Athénaïs du Chestershire
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| Avatar : Natalie Dormer
| Conte : Alice au pays des merveilles | Dans le monde des contes, je suis : : The Moon in the sky !
La nuit était largement entamée sur la petite ville de Storybrook quand Athénaïs se réveilla en sursaut. Venait elle de rêver cet immense boucan, ce bruit étrange, comme une sorte de mini explosion où est ce que oui, quelque chose avait bien pété dans la ville ? Encore totalement hagard, elle sortit de sa chambre pour rejoindre le salon, où se trouvait Ricardo, qui lui était plus que réveillé.
« Toi aussi t'a entendu ? »
Le brun hocha de la tête tout en s'affalant sur le canapé. Certes elle était peut être un oiseau de nuit, mais elle avait une sainte horreur de se faire réveiller. Enfin après, cela dépendait qui le faisait, pour quelle raison et comment. Quand Ricardo la secouait doucement, pour lui faire comprendre qu'elle était dans le canapé et non dans son lit, là ça pouvait passer car elle gardait presque toujours les yeux fermés, un peu comme un somnambule se faisant guider par une voix connu et confiante.
« Va te recoucher, tu te lèves tôt, s'il y a un truc, je te ferais signe. »
Elle avait dit ça tout en allumant la grande télévision, alors qu'il voyait bien que son ami n'avait qu'une envie, retourner se coucher, même s'il pouvait sentir l'inquiétude.
« Puis de toute façon, qu'est ce que tu veux qu'on fasses ? Surtout en pyjama ! »
Rigolant doucement, elle lui fit un signe de la tête avant de commencer à zapper les programmes de la nuit. S'emmitouflant dans sa polaire noire à petit pois blanc, Athénaïs fermait légèrement ses paupières alors qu'elle pensait qu'il n'y avait vraiment que des trucs débiles qui passaient la nuit. Ah non, un truc intéressant, un film montrant un sport bien connu, celui du sport en chambre, mais là, elle n'était pas en état pour trouver ça stimulant. Au final, elle changea de chaîne pour laisser celle qui diffuser des débats politiques qu'elle n'écoutait que d'une oreille. Elle n'aimait pas trop ça, être dans une sorte de demi sommeil, n'arrivant pas et plus totalement à aller dans le pays de Morphée. Même si elle avait dit à son ami de ne pas s'en faire, que c'était rien, elle avait comme une drôle de sensation. Essayant de se convaincre que ce n'était rien, elle se mit alors a imaginer une autre vie que celle qu'elle avait eu. Elle aimait bien faire ça, avant de se coucher, imaginer des histoires où elle en était le héros. Pas toujours, parfois elle était un méchante, mais genre la méchante classe, avec des costards. Et puis elle ne faisait pas le truc des méchants classiques, il y avait toute une logique derrière et après elle était adulée par tout le monde, ell avait des millions de fans à ses pieds qui ne voulaient qu'une chose, l'aimer, parce qu'on aime toujours plus les méchants qui ont le swag.
Serrant fortement sa couverture, alors qu'elle rêvait d'une très belle romance, avec un très bel homme, elle fut à nouveau réveiller en sursaut. Pensant qu'encore une fois, c'était dans son esprit, elle soupira quand elle comprit que non, on cognait bien à la porte. Mais alors qu'elle allait crier de dégager, elle se rendit compte que c'était le code secret entre lui et Caroline. Réalisant ça, elle se précipita alors sur la porte, enroulé dans sa couverture, pour au moins qu'elle ne réveille pas l'ancien vampire. Si elle était venue à cette heure là, c'est qu'il y avait quelque chose de grave et elle se devait être là pour elle. Cependant, l'espace d'une seconde, elle eut un petit doute. Et si ce n'était pas la jeune fille ? Et si quelqu'un avait apprit par X manière son code secret et qu'il faisait ça juste pour l'attaquer ? Oui cette peur soudaine était totalement irrationnelle mais après tout, Athénaïs était en demi sommeil, n'ayant pas totalement les idées claires. Regardant par le judas, elle rassura son angoisse dans le sens où c'était bien sa protégée, mais dans un autre, elle venait d'augmenter en puissance quand elle vu dans quel état elle était. Ouvrant la porte, elle se trouva face à une Caroline toute noire, penaude, qui s’excusa par avance de la déranger. L'air frais de l’extérieur, plus le fait de l'a voir comme ça, le réveilla immédiatement et il l'a fit rentrer sans aucune attente.
« Arrête de dire n'importe quoi ! Tu sais bien que tu ne me déranges pas !»
Faisant le tour de la jeune fille, elle souffla quand elle remarqua qu'elle n'avait aucunes grosses blessures physiques.
« Va a la douche, et on discutera après. Prends mon peignoir noir derrière la porte, le temps que je te trouves des habits pour dormir et surtout fait doucement, Ricardo vient juste de s'endormir. »
Poussant la jeune fille vers la salle de bain, elle poussa alors un soupir de désespoir. Elle connaissait sa situation précaire, la vie ne lui avait pas fait de cadeaux, et c'était d'ailleurs peut être pour ça qu'elle s'était autant attaché à elle, mais parfois, elle se demandait vraiment comment elle faisait pour se mettre dans des situations comme celle là, qui l'obligeait à venir se réfugier, en pleine nuit. Écoutant pendant quelques minutes le bruit de l'eau, elle se dirigea ensuite vers la cuisine pour lui préparer quelque chose à manger. Attrapant une casserole, elle fit chauffer du lait. Puis, ça ne lui ferait pas de mal à elle non plus de se prendre une grande tasse de lait chaud. Fouillant dans ses placards, en faisant le moins de bruit possible, elle trouva la cannelle et un thé en sachets, goût pomme. Ensuite, sur un plateau, elle disposa deux grandes tasses, un pot de miel, et différents types de biscuits. Pour le moment ça serait bon, si elle avait encore faim après, elle lui ferait des pâtes au gruyère pour lui caler l'estomac. Voyant que le lait était en train de bouillir, elle le versa doucement sur le thé, pour que ce dernier puisse infuser légèrement, diluant un peu l'effet de la théine. Vérifiant qu'elle avait tout, elle se dirigea ensuite vers sa chambre, n'ayant aucunement envie que Ricardo tombe sur ce spectacle s'il venait par se réveiller. Pas qu'il ne voulait pas que Caroline et lui se rencontrent, au contraire, et puis ils s'étaient déjà croisé, mais c'était plus pour une question de respect envers le vampire qui essayait de se sevrer.
Posant le plateau sur une des chaises à coté de son lit, elle se mit ensuite en quête de vêtements pour la jeune fille. Maintenant qu'elle était ici, hors de question qu'elle reparte dans la nuit, pour aller on ne sait ou, où même chez son père. Rien qu'a cette pensée, Athénaïs était submergée par une vague de colère. Soufflant, respirant, elle ne devait pas y penser sinon elle aussi irait se mettre dans une situation périlleuse et c'était assez suffisant avec Caroline. Fouillant dans son linge, elle sorti un pantalon, un tshirt et une robe. Elle ferait son choix. Entendant la porte de la salle de bain s'ouvrir, elle se dirigea vers sa porte, en sorti juste sa tête pour lui montrer dans quelle pièce elle était.
« Je n'avais pas de thé à la carotte, alors je me suis dit qu'un a la pomme, dans du lait avec de la cannelle te ferais aussi du bien. »
S'asseyant sur son lit, alors qu'elle lui présentait les habits sur un chaise, elle mélangea dans sa tasse de lait chaud, de grandes cuillères de miel. Elle adorait le sucré, certes c'était moins une obsession que chez Ricardo, mais tout de même, à ce niveau là, ce n'était plus du lait au miel mais du miel au lait.
« Bon, maintenant que tu t'es décrassée avec une bonne douche, et qu'une bonne boisson chaude t'attends, je pourrais savoir qu'est ce qui t'amène dans les alentours de 3h chez moi ? Parce que si tu avais voulu qu'on se fasse une sortie ensemble, on aurait pu attendre demain. »
Elle ne disait pas ça sur un ton méchant, bien au contraire, elle lui avait dit que si elle voulait s'oxygéner le cerveau, elles pouvaient se faire un cinéma, des balades, des activités ensembles mais là, c'était plus pour rajouter une petite touche d'ironie sur la situation. Elle attendit patiemment et la jeune fille finit par parler.
“Je … l'explosion qu'il y a eut cette nuit … c'est à cause de moi, j'ai … j'ai eu une crise et j'ai fais cramer la conserverie … je n'ai pas fait exprès mais tout est partie de travers. Je ne voulais pas rentrer chez moi après ça, alors je suis venue ici.”
Ah ! Voila ! Elle savait bien qu’elle avait entendu quelque chose ! Elle secoua la tête, désèpéré par la jeune femme.
“Pourquoi tu ne m’as pas appelé avant ? J’aurais pu t’aider à te canaliser !”
Elles n’avaient pas fait tout ce chemin pour rien ! Caroline faisait des progrès mais ce n’était pas tout à fait ça ! Surtout quand la colère était le déclencheur.
“Je … n’y ai pas pensé … C’était si soudain …. tout a explosé dans ma tête quand elle m’a avoué que c’était elle qui était derrière tout ça … que depuis le début elle était au courant de tout. Si je restais je pense qu’elle aussi aurait fini dans le même état.” “Ah …”
Athénaïs savait … que ce moment allait arriver, où tout se mettrait en place pour dévoiler le grand jeu de la vérité. Mais avant, elle avait quelque chose d'autre à faire, où plutôt quelqu'un d'autre à prévenir. Pendant que Caroline parlait, elle pianotait discrètement sur son téléphone.
"La plage - 10 minutes - Intêret d'être là. Concerne Caro."
À ce niveau là, ils ne seraient pas trop de deux pour aider la jeune femme, et qui de mieux que son assistant social pour l'apaiser. Caroline appréciait énormément Jamie, et Athénaïs comptait sur son coté apaisant quand elle lui dirait tout.
"C'est ... tu te rends compte Chess ? C'est abominable en fait ! Je ..."
Elle posa sa main sur son bras tout en lui faisant un sourire qu'elle voulait doux.
"Chuuuuu mon chaton. Calme toi. Reprends tes esprits avant de me parler. Bois ton lait"
Elle lui déposa un baiser sur le front avant de se lever pour aller au niveau des toilettes. Elle ne devait éveiller ses soupçons. Dedans, elle se téléporta juste dans sa chambre, enfilant rapidement un jean et un tshirt. Elle popa à nouveau dans les toilettes, tira la chasse et revient vers elle tout sourire, encore plus quand elle vu qu'elle l'avait écouté, qu'elle buvait tout en fixant le mur d'en face.
"Tu me fais confiance Caroline ?" "Bien sur Chess ! Pourquoi cette ..."
Athénaïs ne lui laissa pas le temps de réfléchir qu'elles se téléportèrent toutes les deux sur la plage. Heureusement qu'elle avait mis un pull, et qu'elle en avait aussi prêté un à la jeune femme. Les embruns marins étaient fort en ce début de l'hiver.
"Mais qu'est ce que tu fais ! Pourquoi on est là ?"
Elle pouvait sentir qu'elle était désorientée, totalement perdu, et ses yeux s'allumèrent, faisant office de phare alors qu'elle souriait.
"Tu vas voir."
Elles n'attendirent pas longtemps, quelques minutes pour voir arriver une autre lumière. Caroline recula, mais Athénaïs lui attrapa la main pour la rassurer.
"Contente que tu sois venue Jay !" "Non ! Non ! Va t'en Jamie ! Je ne veux pas te faire du mal !"
Forcément, elle savait qu'elle dirait ça. Elle aurait pu mettre sa main à couper.
"L'explosion de toute à l'heure, que l'on a entendu. C'était Caroline. Elle a apprit la vérité."
La jeune fille, regardait l'un et l'autre, perdue, ne sachant pas quoi faire. Athénaïs, qui la tenait toujours, continuait de parler comme si de rien n'était.
"Je me suis dis que la plage était l'endroit le plus sécurisé pour qu'elle se lâche, même si elle lui a dit l'histoire, ce n'est pas entièrement la vraie histoire. Il est grand temps qu'elle en apprenne plus."