Noël. J’avais encore la mauvaise blague d’Halloween au travers de la gorge mais j’avais toujours aimé les périodes de Noël, les fêtes de fin d’année en général. La plupart du temps, on avait le droit à des flocons de neige, des lumières scintillantes de partout et des retrouvailles en famille. Oui, j’avais toujours aimé Noël et encore plus depuis la rupture de la malédiction parce que dans le monde des contes, ce genre de fête n’existait pas véritablement, dans notre monde en tout cas. Mais là n’est pas la question, avant que les informations concernant le rassemblement de noël ne soit divulgué à toute la ville, j’avais fait comprendre à Hadès qu’il avait intérêt à ce que tout se passe bien parce que sinon il risquait gros pas vis à vis de moi mais surtout vis à vis des habitants de la ville.

Mais apparemment, les choses semblaient se dérouler normalement. Une douce odeur de pain perdu régner dans le Roni’s, décoré pour l’occasion avec de nombreuses décorations de noël, des guirlandes lumineuses rendant le tout très cocooning. Kelly avait eu l’idée de faire des boissons de noël pour l’occasion et c’était une excellente idée. Cependant, nous étions le 23 décembre et elle m’avait dit qu’elle préférait rester tranquille ici, au Roni’s plutôt que de venir à la soirée organisée sur la Grande Place. Malgré mes nombreuses demandes, elle restait sur son idée donc j’avais fini par accepter l’idée de la laisser seule. Ma soeur demeurait pleine de surprises. Après un dernier chocolat chaud à la cannelle échangé avec elle, je m’étais rentrée au Manoir, également décoré pour l’occasion.

L’extérieur était décoré de guirlandes de couleur lumineuses. Un père noël installé dans son traineau au milieu du jardin. Un bonhomme de neige de l’autre côté. Le feu crépitait dans la cheminée et un grand sapin était décoré dans l’angle du salon. Plusieurs chaussettes étaient disposées au dessus de la cheminée, celle d’Alexis, d’Henry, de Daniel et la mienne. C’était la tradition et même si mes enfants prenaient de l’âge, c’est quelque chose qui ne changeait pas. Une assiette remplie de cookies de noël était disposée sur la table de la salle à manger et une maison en pain d’épice concluait le tout. Oui j’adorais Noël. J’étais seule au Manoir, Henry était avec Damian pour la soirée, Daniel était chez la nounou et je verrais sûrement Alexis à la soirée. Passant sous la douche, je finis par en ressortir vingt minutes plus tard, dans mon peignoir, les cheveux humides.

Ouvrant mon dressing, j’en sors une robe bleue courte mais chic, une paire d’escarpins. Enfilant ma tenue, je sèche mes cheveux avant de faire ce qu’il faut pour avoir de légères ondulations pour que ce soit joli sans en faire trop. Me maquillant rapidement, j’enfile mes chaussures. Une fois prête, je descends au rez-de-chaussée avant de voir l’heure qui filait rapidement. Mon regard vint à se porter sur l’extérieur, la neige commençait à tomber et un léger sourire perla sur mes lèvres, la touche de magie de noël était bien présente. Enfilant ma veste par dessus ma tenue, je quitte le Manoir avant de me diriger jusqu’à la Grande Place, beaucoup de personnes étaient déjà présente. Discutant avec certaines des dites personnes, je tourne le regard vers Hadès lorsque ce dernier prend la parole.

« Amis Storybrookiens et invités divins, bienvenue à la cérémonie d'ouverture des festivités de Noël. Je sais, et on sait tous qu'il y a eu un petit couac à l'événement d'Halloween. Rien de bien grave, et c'était totalement indépendant de notre volonté. D'ailleurs, la police enquête toujours sur le coupable et on approche du but. Quoi qu'il en soit, aujourd'hui, c'est un grand jour ! J'aurais bien commencé par la blague que je n'avais pas réussi à terminer la dernière fois, mais allez savoir pourquoi, on m'a dit de ne pas le faire. Regina a même précisé - en plaisantant bien entendu - qu'elle me mettrait dans un placard si je venais à la raconter. »

Un léger sourire perle sur mes lèvres tandis que je croise les bras sous ma poitrine.

« Par précautions, j'ai demandé à Norbert de retirer tous les placards de la Mairie. Mais bon... elle plaisantait évidemment... Bref... Storybrookiens, Storybrookiennes. Tout. Va. Bien. Votre Mairie veille au grain. Et pas qu'aux grains, d'ailleurs, on veille sur un tas de choses. Les céréales, les gants, les oeufs de poule... Nous avons dépensé un coût faramineux pour votre confort parce que rien n’est trop beau pour vous en cette fin d’année ! N’oubliez d’ailleurs pas que dès janvier l’impôt sera prélevé directement à la source, on vous y attend nombreux ! Joyeuses Fêtes de Fin d'Année à Tous !! Maintenant place aux festivités. Nous avons vue grand ! Mais pas trop non plus, afin de priviléger votre sécurité. Et c'est pour que vous soyez tous en sécurité que j'ai fait appel à mon fils, Elliot Sandman. Il a conçu un jeu spécial, rien que pour vous. Grâce aux petits pins qu'on va vous distribuer... d'ailleurs c'est déjà en cours, vous allez pouvoir voyager dans un monde aux confins du présent. Dans le sens où vous n'allez pas bouger, mais Storybrooke va bouger. Il y aura des cadeaux des partout. Des Pères Noëls. Plein de surprises. Ca sera juste un Storybrooke, ici même, aujourd'hui, mais en mode Noël. Et sur une période de trois jours pour que vous puissiez vivre cela à fond ! Hein fiston ? J'ai pas très bien compris de quoi il serait question, mais tout se passera bien ! Il vous suffit de mettre le pins sur votre veston, ou chose que vous portez, et vous laisser emporter, quand Elliot donnera le top signal de cet événement sans le moindre danger. »

Mon regard se pose sur Elliott.

« Euuuh... ouais. » « Elliot Sandman ! Bon, allez, on se lance ! Bon amusement à tous ! Une dernière chose importante ! G - S - 6 - 6 - 6 - Alabama. Si quelqu'un a cette matricule sur sa voiture, qu'il se rende immédiatement jusqu'à elle, car elle est devant une bouche dégoût et apparemment ça gâcherait la vue. Enfin bref, soyons solidaire. »

Je ne quitte pas Hadès des yeux et soupire légèrement mais après tout, c’est Noël et nous étions là pour célébrer cette belle fête non ? Je me saisis du pins pour le jeu avant de le poser sur le côté de ma veste. Elliott frappe dans ses mains et je sens une soudaine décharge électrique parcourir l’entièreté de mon corps avant que je ne sombre dans l’inconscience.

Quand j’ouvre les yeux, il me faut quelques minutes pour émerger mais je me sens rend rapidement compte que ma chambre est étrange. Tout était là mais quelque chose me paraissait étrange, comme…ayant pris de l’âge. Certains objets m’étaient totalement inconnus, la décoration était différente de ce que je connaissais. Me relevant dans mon lit, je constate que mes cheveux sont plus longs.

« Qu’est-ce-qui se passe… » soupirais-je avant de me lever.

M’approchant de ma coiffeuse, je me rend rapidement compte que mon apparence a changé, des rides plus prononcées qu’avant, comme si…comme si j’étais dans le futur. Mon regard sur pose sur mon pyjama. J’étais bien loin des tenues sobres et jolies que je porte habituellement. Je portais un jogging gris délavé et un tee shirt long noir. Effectivement, mes cheveux étaient clairement plus long, m’arrivant au milieu du dos. Je me saisis d’un élastique et les attache en queue de cheval haute. Ouvrant la porte de ma chambre, je manque de peu de rentrer dans un jeune adolescent qui se tourne vers moi et me souris.

« Salut maman ! T’as bien dormi ? » « Je…Je crois. Mais tu…On est en quelle année ? » « Mais maman, tu te moques de moi ? On est le 23 décembre 2030. » « Daniel, t’as trouvé mon pull rouge ? » « Il est pas dans ta valise Clara ? Ah moins que tu l’es oublié à Poudlard. »

C’était une voix féminine. Une voix fluette que je ne connaissais pas. Poudlard ? Pardon ? Je commençais à me demander si je ne m’étais pas tapé la tête en tombant sur la grande place. Ce jeune homme était apparemment Daniel. Je respire profondément tandis que mon fils descend au rez-de-chaussée. Tout était décoré pour noël. Il y avait une aura magique qui flottait dans l’air. Etonnement, même en dix ans, les décorations traditionnelles au Manoir n’avaient pas changées, de nouvelles étaient apparues mais la plupart se trouvaient là.

Une jeune fille blonde s’approcha de moi et me souris.

« Bonjour madame Mills, encore merci de m’accueillir chez vous pour Noël. Mes parents sont en voyage en Bulgarie et je ne voulais pas rester toute seule à l’école. »

Daniel passe son bras autour de ses épaules avant de l’embrasser sur la joue.

« Tu es ma chérie, c’est normal que tu sois là. »

Je ne réponds rien mais souris. J’étais totalement perdue. Une odeur de chocolat chaud à la cannelle se fit sentir. Me dirigeant dans la cuisine, je finis par poser mon regard sur Mary Margaret qui se trouvait ici. Je souris.

« Dis moi que toi aussi tu sais pas ce qu’il se passe. S’il te plait, rassures moi que je suis pas la seule perdue là. » lançais-je.

On était en 2030, toujours à Storybrooke, la neige tombait dehors et MM avait pris dix ans dans la tronche, tout comme moi mais apparemment, Poudlard existait désormais et la magie était plus présente que jamais mais il n’empêche que j’étais complètement paumée, complètement…

️Pando

La magie de Noël. C'était une chose qui te faisait quelque peu vibrer. Tu avais hâte de faire plaisir à ta famille en leur offrant toutes sortes de cadeaux de Noël, tous les plus différents les uns des autres. De même, comme toutes les années à Storybrooke, il avait été prévu que des commémorations de Noël aient lieu, au centre ville. Tu avais donc prévu de t'y rendre, comme la plupart des habitants de la ville, pour écouter le discours du maire. Tu t'étais donc vêtue d'une robe blanche comme la neige pour te rendre au lieu de rendez-vous. Tu avais avisé ta belle-mère du regard et t'étais dirigée vers elle, tout sourire, avant de d'écouter le long discours d'Hadès. Rien de nouveau sous la lumière des lampadaires de la ville des héros de conte de fées, si ce n'était qu'il y aurait un jeu qui durerait trois jours pour l'occasion. Tu avais attrapé le pins licorne qu'on t'avait donné, l'épinglant sur ta robe, prête à jouer le jeu. Pour une fois, ça allait être un Noël parfait. Mais avant que tu n'ais le temps de le dire, tu te retrouvas inconsciente, à terre. « Professeur Blanchard, réveillez-vous ! » Tu avais ouvert les yeux, faisant face à une frimousse que tu ne connaissait pas. En voyant que tu étais réveillée, il te laissa seule, te redressant dans le lit dans lequel tu étais couchée. Ne reconnaissant pas les lieux, tu t'étais levée, t'approchant du miroir le lus proche. Ce que tu remarquais le plus, c'était les rides que tu avais pris. Comme s'il s'était écoulé des années entre la veille et le fait que tu te retrouves dans cet endroit. Et surtout, le plus étrange était que tu n'avais plus les même habits que la veille. A présent, tu portais l'uniforme des Gryffondors. Et les mots du jeune homme te revenaient dans la tête. Professeur Blanchard! Se pouvait-il que... « Et merde... » Tu avais rejoint la pièce principale, espérant que ce n'était qu'un rêve, alors que Regina te rejoignais aussi, te demandant si tu savais ce qu'il s'était passé... « Aucune idée mais... » Tu t'étais mordu les lèvres, pas convaincue de dévoiler ce que tu pensais à la plus âgée. Mais finalement tu te lanças, un peu mal à l'aise : « Il y'a quelques années, j'avais lu Harry Potter à des gamins, et le livre m'avais absorbée et avait fais de moi la nouvelle Mary Potter. On avait dû résoudre une énigme pour revenir à Storybrooke... » Est ce que tout était lié, tu n'en avais aucune idée, mais tu fis un sourire de circonstances à l'adolescent qui t'avais réveillé plus tôt, avant de prendre Regina par le bras pour l'emmener à l'écart, en questionnant : « C'est qui ce gamin ? »

️Pando

D’après ce que je comprenais, on semblait être dans l’avenir. Un avenir un peu particulier, je dois bien l’avouer mais c’était bien l’avenir. J’avais pris de l’âge et je n’étais clairement pas la seule vu que ma belle-fille semblait être dans le même cas que moi. Cependant, je dois avouer que voir mon fils de quatre ans adolescent, c’était assez perturbant. Mais ça voulait dire qu’Henry avait désormais vingt sept ans et Alexis plus de la trentaine…Oh punaise, le coup de vieux. Je me masse les tempes avant de ramener mon regard sur Mary Margaret alors habillée avec la tenue de Poudlard, un léger sourire perla sur mes lèvres.

« Je crois pas qu’on soit dans un bouquin Mary Margaret, on est bel et bien dans l’avenir… » avouais-je à la jeune femme « je savais bien que j’aurais jamais dû aller à cette maudite soirée de noël, je suis sûre que tout est lié… » soupirais-je.

J’entendais Daniel qui riait aux éclats avec sa copine dans le salon tandis que je ramenais mon regard sur la brune en face de moi. Faisant une grimace, je reprends rapidement la parole.

« C’est…Il semblerait bien que ce soit Daniel, avec dix ans de plus… » avouais-je à Mary Margaret « Il semblerait qu’on est fait un bon dans le temps de dix ans, on est en 2030. » énonçais-je en montrant le calendrier.

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Tu étais tout de même un peu mal à l'aise. Ce n'était pas la premire fois que quelque chose de semblable se passait dans la ville de Storybrooke. Or, d'après ta belle-nère, vous n'étiez pas cette fois-ci dans un livre, mais bel et bien dans la réalité. Bon, en soit, le fait que Poudlard existe te rendait plus heureuse qu'autre chose. Tu avais toujours voulu être Mary Potter. Et si tu étais professeur là-bas, c'était plutôt une bonne chose, non ? « Je me demande de quoi je suis professeur. Vous pensez que Daniel m'embrouille ? » Parce que d'après Regina, il s'agissait bel et bien de son petit dernier, qui avait dix ans de plus. C'était tout de même assez étrange, non ? D'autant que la veille au soir, vous étiez bien encore en 2020... « Et si c'était juste une énorme blague ? Non, parce que si Poudlard existait vraiment, c'est plutôt vous qui devriez être professeur ! Même quand on y est allés quelques années plutôt, j'étais une Moldue et je n'arrivais pas à faire un seul sort... » Bon en tout cas, ce qui était sûr c'était que vous ne vouos ennuyiez jamais à Storybrooke...

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Je ne quitte pas Mary Margaret des yeux. C’était clairement plus qu’étrange de se trouver là, dans cette situation. Nous étions en 2030 alors que la veille nous étions en 2020. Je savais que je n’aurais jamais dû aller à cette maudite soirée. Un léger sourire perle sur mes lèvres tandis que je croise les bras sous la poitrine « moi je vote pour professeur d’histoire de la magie. Vous avez la tête de l’emploi. » énonçais-je avec un sourire « je pense qu’on est dans la futur et que Daniel ne vous embrouille pas du tout, bien au contraire, il doit penser que nous sommes les nous du futur et qu’on a connaissance de la situation actuelle. » énonçais-je à la jeune femme.

Je me pince les lèvres tandis que j’approche de ma belle-fille. Elle avait raison, tout cela semblait tellement bizarre que ça paraissait presque totalement anormal « peut être…il faut qu’on en est le coeur net, cependant, on doit découvrir qui l’on est ici. Après tout, on doit se fondre dans la masse comme on dit et quoi de mieux que de sortir dehors pour voir ce qu’est devenu notre charmante ville ? » énonçais-je à la brune. Grimpant dans ma chambre, je passe sous la douche avant de m’habiller très sobrement mais chaudement. Redescendant au rez-de-chaussée, j’enfile mes bottines avant de lever le regard vers ma belle-fille, le salon était vide. Un mot était posé sur la table basse « on voulais pas vous embêter pendant que vous vous douchiez. On est retourné à Poudlard avec Clara pour prendre d’autres affaires, on rentre en fin de journée, à tout à l’heure. »

Je me tourne vers ma belle-fille avant de m’humecter les lèvres « bon…et si on allait faire un tour à Poudlard ? J’avoue que je suis quand même intriguée de voir à quoi ça ressemble. » Après l’approbation de ma belle-fille, enfilant nos vestes, on se rend toutes les deux à l’école. Arrivées sur les lieux, je comprends rapidement pourquoi mon fils semblait tant apprécier cette école « c’est plutôt sympa effectivement. » énonçais-je à la jeune femme « professeur Mills ! » une voix fluette parviens jusqu’à mes oreilles « je pensais que vous ne faisiez pas noël à Poudlard. » je me tourne vers la dite voix avant de la poser sur une jeune fille aux longs cheveux roux que je ne connais pas mais qui me sourit « on va vraiment étudier les épouvantards en cours de défense à la rentrée ? » « Je… » je tourne le regard vers ma belle fille avant de le ramener sur la jeune fille « oui oui. Bien sûr. » elle repars en sautillant.

Bon, apparemment, je devais professeur de défenses « défenses contre les forces du mal pour moi, avouez que c’est ironique quand même. » soufflais-je en levant les yeux au ciel. Mais alors que je m’apprêtais à avancer, je sens l’entièreté d’une cuvette de toilettes qui se répand sur moi. Et on ajoute à ça la bonne odeur. Ma belle-fille était apparemment dans le même état, merci Peeves. Créant une boule de feu dans ma main, je tente de frapper Peeves mais vu qu’il était déjà fantôme, je ne pouvais rien faire de plus « je déteste les fantômes ! » maugréais-je avant de bouger la main parce que je n’allais clairement pas rester dans cette situation. Une nuage de fumée violet plus tard, me voilà à nouveau comme neuve. Je pose mon regard sur ma belle fille et bouge la main pour lui filer un coup de main.

Après tout cela et un retour à la maison, nous passons la fin de journée ensembles à tenter de comprendre ce qui pouvait bien se passer et surtout comme nous avions pu finir en 2030 et j’avais en mémoire une soirée jeu quand je me suis réveillée dans mon lit le lendemain matin. Me saisissant de mon portable, je remarque la date. Le 24 décembre, nous étions donc la veille de noël. La maison était bien trop silencieuse à mon goût. Je me lève, enfile ma robe de chambre par dessus mon pyjama avant de retrouver ma belle-fille dans le couloir. Passant une main dans mes cheveux pour les remettre plus ou moins bien, je lève les yeux au ciel « bon, bah autant profitez du 24 décembre pour aller acheter des cadeaux non ? » demandais-je à la brune.

️Pando