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 Qui va à la fac en plein mois d'août ? | Stefan

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Honey Lemon
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Honey Lemon

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________________________________________ 2020-09-23, 00:19 « Science is magic that works. »

Oh merci, merci, merci, soupira Honey silencieusement quand le professeur alla s'asseoir à son bureau, autrement dit de l'autre côté d'un élément de mobilier suffisamment grand pour qu'il ne puisse pas lui caresser les cheveux en la regardant de haut, elle et sa façon de s'habiller.
Il ne voulait pas la draguer. Parfait. C'était absolument parfait. Honey aurait remercié le ciel ou le seigneur si elle y croyait tant son soulagement était grand. Absolument, elle était trop jeune pour lui, beaucoup trop. Innocente... sans doute aussi, en tout cas quand il s'agissait de flirter. C'était ce qui arrivait quand on ne fréquentait que des garçons timides et des nerds, sans doute. Quand on restait sans son élément confortable, en fin de compte. Oui, innocente n'était pas forcément un compliment, mais factuellement, c'était exact. Honey se retint pourtant d'opiner vivement afin de ne pas avoir l'air totalement idiote - surtout devant un collègue. Mais elle ne doutait pas que son soulagement soit lisible sur son visage et probablement sur chaque centimètre carré de son corps, le langage non verbal représentant plus de la moitié de la façon que les Hommes avaient d'interagir.
Dans la même logique de penser et en prenant en compte le fait que Honey était un livre ouvert quand il s'agissait de ce qu'elle ressentait, elle se douta qu'il la vit froncer les sourcils à l'évocation du "monstre qu'il était" et qu'elle ne devait surtout pas approcher. Ca c'était... étrange. Les gens n'étaient généralement pas si ouverts sur leurs défauts. Même Honey le savait. Elle ne l'appliquait pas toujours mais elle le savait. Les gens avaient tendance à se montrer sous leur meilleur angle, pas le pire. Elle l'avait lu et observé. Alors oui, c'était vraiment surprenant, surtout de la part d'un homme aussi à l'aise socialement.
S'il avait voulu la mettre totalement à l'aise, ce n'était que partiellement réussi. La clarification de ses intentions y avaient contribué mais se décrire comme un monstre ne donnait pas l'impression qu'il voulait la rassurer.
Ou alors c'était un test psychologique un peu malsain.
Dans tous les cas la scientifique fit semblant de ne pas avoir entendu. Vu le contexte, c'était beaucoup plus simple comme ça. Elle pouvait s'imaginer qu'il se référait à sa maladie ou à autre chose et dans tous les cas c'était indiscret de demander.
Par ailleurs, Honey choisit de ne pas inventer de prétexte pour fuir, pas plus qu'elle ne choisit de sortir son attirail de chimiste pour le neutraliser. Ou essayer, du moins. Elle ne ressentait la peur, la vraie peur, que rarement (au grand désarroi de son meilleur ami) et était décidée à surpasser son malaise autant que possible, jugeant qu'elle apprendrait sans doute beaucoup socialement de cet entretien.
- Entendu... Stefan, hésita-t-elle tout de même, prête à réciter une suite de Fibonacci pour retrouver toutes ses facultés intellectuelles. Puisque nous sommes entre collègues, comme vous le rappelez, j'imagine que vous pouvez donc m'appeler Honey. Bien que miss soit totalement approprié, précisa-t-elle rapidement pour ne pas être vexante.
L'épisode des cheveux encore profondément ancré en elle, Honey se retint pour ne pas tripoter l'une de ses mèches blondes et enchaina aussi calmement que possible.
Elle attrapa la tasse de thé que le professeur Vupesco - elle savait déjà qu'elle aurait du mal à l'appeler simplement Stefan - lui avait galamment apportée et la sirota, constamment qu'il faisait de même avec sa gourde chargée de fer.
L'espace d'un instant, la jeune femme tenta de trouver, parmi la base de connaissances que contenait son cerveau, quel médicament il pouvait bien prendre, mais échoua et laissa cette pensée s'enfuir, une fois de plus et se concentra sur la question de son collègue :
- Eh bien... Tout d'abord, merci pour votre honnêteté quant à votre... conception de l'éthique et des règlements, si je puis le formuler ainsi. C'est toujours enrichissant de rencontrer des personnes au système de pensée différent du sien et si vous respectez mes opinions et ma façon de travailler, je ne jugerais pas la vôtre. Vous êtes libre de mener vos cours comme vous l'entendez, après tout. J'avoue cela dit que je serais intriguée de connaitre les raisons qui vous poussent à faire fi des règlements et de l'éthique. Je suis sûre que c'est instructif. Et... sinon... oui, j'ai sans doute des connaissances que vous n'avez pas et comme en mathématiques, je dirais que la réciproque est également vraie vous concernant. Je suis docteur en chimie en astrophysique mais je n'enseigne pas la chimie à l'université, seulement l'astrophysique. C'est très éloigné des mythologies, alors je pense que nos échanges devraient être intellectuellement stimulants. Je n'ai pas tellement l'occasion de discuter avec les professeurs de votre département, en fin de compte. Nous, les scientifiques, restons souvent entre nous ou dans nos laboratoires.
Honey ponctua sa tirade d'un sourire avenant, se retenant de glousser comme ça lui arrivait parfois (ndlr : souvent).
- En tout cas, dans mes cours, une fois que les notions de relativité générale et relativité restreinte sont bien intégrées nous entrons, métaphoriquement, dans la physique quantique, qui est aussi complexe que passionnante. Les étudiants ont besoin de maitriser ces bases pour approfondir leur compréhension de l'astrophysique, particulièrement pour étudier les trous noirs parce qu'après l'horizon des événements tout devient vraiment encore plus complexe que ça ne l'est à cause de la distorsion de l'espace temps qui est trop complexe pour être vraiment conceptualisée par l'esprit. Nous parlons énormément des trous noirs, des conditions de leur formation jusqu'à leur disparition. En fait ma thèse de doctorat portait sur les trous noirs primordiaux, ceux qui se seraient formés pendant l'ère de Planck, juste après le Big Bang qui a eu lieu, comme chacun sait, il y a 13,8 milliards d'années. J'ai toujours été fascinée par les trous noirs et dans l'univers d'où je viens j'ai prouvé l'existence des trous noirs primordiaux en soutenant ma thèse de fin d'études. Ici... la science en est encore loin, ce n'est qu'une conceptualisation théorique alors je suppose que je vous ai déjà perdu il y a plusieurs phrases de cela. Veuillez m'excuser. Je vous l'avais dit, je ne peux pas enseigner à des néophytes. J'ai sans doute déjà parlé l'équivalent d'heures extrêmement longues pour vous alors je vous en prie, parlez moi de ce qui vous fascine tant dans l'enseignement des mythologies.
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________________________________________ 2020-09-23, 13:50

Stefan savait une chose. On apprenait beaucoup des humains en les poussant dans leurs retranchements, en analysant leurs réactions selon les évènements. Ce genre de petits jeux psychologique, il ne le faisait pas avec tout le monde. De sa part c’était un « compliment ». Il fallait énormément l’intrigué pour qu’il s’y mette. En général, il ne montrait que l’homme guindé du 19e siècle qu’il jouait si aisément depuis des siècles. Avec Honey, c’était autre chose. Il aimait voir toutes les gammes d’émotions passer sur son visage, toutes les réactions physiologiques qui se passaient au fur et à mesure qu’elle l’écoutait. La voir se détendre d’un coup après avoir dit qu’il ne la draguait pas avait procuré un rire au professeur qui n’était nullement vexé par sa réaction. Il avait même envie de dire que c’était… divertissant! Cela changeait de ces humains qui n’avaient aucune force mentale et se laissaient avoir par les beaux yeux du vampire.

- Donc, vous ne me contredisez pas, c’est bon à savoir que je suis un vieillard à vos yeux… Honey!

Les yeux plissés, le sourire en lèvre, il était clair qu’il trouvait ça drôle et que cela ne le vexait nullement comme dit précédemment. Il était effectivement très vieux, mais, s’il en faisait un cas à chaque rencontre qu’il faisait, il n’arriverait à coucher avec personne ou presque. À environ 500 ans, on arrêtait de complexer avec l’âge, ce ne valait clairement pas la peine. En tout cas, bien vite le sujet retomba sur quelque chose de plus neutre, les passions des uns les autres. Il allait être honnête avec lui-même, il comprenait, certes, quelque peu ce que voulais dire le professeur Lemon, mais il n’avait clairement pas les connaissances saisir les nuances. L’ego de l’ancien roi ne le permettant pas, il se contentait de hocher la tête plutôt qu’avouer ses tares. Il était assez brillant pour comprendre, il ferait ses propres petites recherches sur le sujet et il lui prouverait qu’il n’est pas qu’un simple néophyte s’ils étaient donnés de se revoir. Elle l’encouragea à partager sa passion, enfin un terrain où il serait apte de montrer toute sa brillance.

- Pour répondre à votre bref questionnement sur mes raisons de ne respecter ni règlements ni morale, c’est fort simple. C’est que perdre mon travail ne me fait pas peur. Déjà, je suis persuadé d’être le meilleur dans mon domaine. Malgré tout, s’ils venaient à me mettre à la porte, je ne serais pas triste. J’ai plusieurs possibilités de carrière dans une ville telle que Storybrook. La deuxième raison, c’est que cela apporte un certain plaisir aux étudiants et à moi-même, je ne vois pas pourquoi des actions seraient « mal » quand certains sont amusés par mon personnage, voir même cherche à passer sous le bureau. Si cela peut garantir, qu’une fois ce qu’ils ont eu ce qu’ils veulent, qu’ils soient plus portés à écouter en classe, je ne vois pas ce qu’il y a de mal à ça. J’ai remarqué une amélioration des notes chez les étudiants qui sont repus. Ce n’est que pratique, mais j’imagine que si vous m’avez fait changer de sujet, ce n’est pas pour parler de sexe, donc pour ce qui en est de la Mythologie…

Il fallait qu’il trouve ce qu'il le motivait dans la mythologie à part la blague qu’un vampire donne, ce cours. Il doutait fort qu’une scientifique telle que cette jeune femme soit enchantée d’apprendre que son collègue est un monstre tout droit sorti des cauchemars.

- Ce qui m’attire avec la mythologie, c’est les sciences dernières. Cela regorge de compréhension du monde qui nous entoure, mais aussi de questions sur ce dernier. Par exemple, dans ce monde-ci et dans ceux qui sont sa copie, ou inversement, je ne saurais pas dire quel univers copie l’autre, il y a la présence de créatures étranges et fantastiques. Si certains restes des légendes et d’autres existent, cela emmène à se demander comment est-ce possible que le monde dans lequel nous sommes actuellement aient une histoire si riche en légendes sans avoir eu, avant la malédiction, la moindre preuve de leur existence. Dans mon univers, par exemple, certains mythes existent… Ils savent qu’ils existent, d’autres n’y croient pas, mais nous savons d’où viennent ces histoires. Ici ou dans votre montre, du moins, j’imagine, il n’a jamais eu de créatures surnaturelles. Donc, c’est à se demander si les univers qui existent communiquent entre elles d’une certaine façon…


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________________________________________ 2020-09-23, 23:50 « Science is magic that works. »

- Vous sur-interprétez, répondit calmement la jeune femme.
Quand il s'agissait de faire une démonstration elle était toujours calme, clinique et méthodique. Scientifique, en un mot. Et quand elle était scientifique, Honey ne manquait jamais d'assurance.
- J'ai une excellente mémoire et je sais que je n'ai pas dit ça. Simplement, les faits sont ce qu'ils sont, vous êtes, effectivement, plus âgé que moi et je suis, effectivement, plus jeune que vous. Je n'ai pas cru nécessaire de repréciser cette évidence. "Plus vieux", toutefois, n'est pas synonyme de "vieillard". Je pense que vous le savez tout autant que moi et je suis pratiquement certaine que ce que vous attendez de moi, en fait, est que je vous contredise au sujet de votre âge et probablement de votre présupposée monstruosité, afin de vous adonner à... un jeu psychologique, j'imagine ? Vous êtes sûr que vous n'auriez pas dû enseigner la psychologie ?
Honey posa cette dernière question sans malveillance, mais elle était encore trop peu à l'aise avec Stefan pour le dire d'un ton amusé, celui qu'elle avait en général quand elle pensait avoir percé les manigances psychologiques des personnes plus aguerries qu'elle sur ce terrain. La jeune femme ne cherchait pas non plus à l'impressionner. Honey n'était que raisonnement. Elle passait sa vie à réfléchir et quand une conclusion lui paraissait satisfaisante, elle la partageait.
La jeune femme avait une connaissances très factuelles de son propre talent. Les faits étaient là pour prouver qu'elle était excellente. 187 points de QI, c'était bien plus que la plupart des gens avait. Pour autant, Honey n'aurait pas eu la complaisance de prétendre être la meilleure dans son domaine. Elle était douée. Plus en avance que ses collègues de ce monde-ci. Elle aurait pu les faire progresser de cinquante ans en six mois. Mais Honey ne le faisait pas. Elle préférait que les Hommes de cette Terre fassent leurs propres découvertes, à leur rythme. Leur satisfaction n'en serait que plus grande. Et puis quand on arrivait d'une Terre parallèle, ce n'était pas évident de devenir prix Nobel de physique et de devoir s'inventer un passé crédible auprès des journalistes. Honey parlant vite et beaucoup, elle savait que sous les feux des projecteurs elle parlerait inévitablement des Big Hero 6 et de San Fransokyo.
A Storybrooke, c'était différent, on pouvait évoquer ces choses-là. Les habitants avaient l'habitude de bien plus que des noms de villes étranges et des super méchants. Et, visiblement, la libre parole de Storybrooke s'appliquait aussi à la vie sexuelle de certains.
Honey ferma les yeux et, cette fois, récita une suite de Fibonacci afin de garder l'esprit clair et de ne pas visualiser l'information. Le problème, quand on avait l'esprit fertile, c'était qu'on imaginait rapidement les choses. Trop, parfois.
- Je ne me permettrai pas de juger de votre talent dans votre domaine sans en avoir fait l'expérience, mais je suis persuadée que vous être un brillant enseignant et votre confiance en vous est une très belle qualité. Mais... pour être franche, reprit Honey, récitant mentalement la suite de sa suite, même moi qui ne suis pas experte en relations sociales, je doute que j'avais besoin d'autant de détails sur ce qui peut bien se passer sur ce bureau quand vous n'y travaillez pas.
J'espère qu'il désinfecte après, songea la chimiste en observant les gâteaux et sa tasse de thé posés sur ledit bureau. Si le professeur Vulpesco n'en avait pas parlé, jamais Honey, qui quittait rarement son département pour explorer le reste de l'université, n'aurait eu vent de sa réputation de Casanova et elle s'en serait extrêmement bien portée. Mieux, même. Ils n'avaient effectivement pas la même vision de l'enseignement.
- En tout cas merci pour vos explications, conclut la jeune femme d'une voix qui se voulait guillerette mais qui sonnait un peu faux. Effectivement nous n'enseignons pas de la même manière.
Honey but une nouvelle gorgée de thé qu'elle trouva salvatrice. Réconfortante. Enfin le professeur Vulpesco se mit à parler de mythologie. Enfin. C'était même intéressant ce qu'il avait à en dire, bien que la scientifique ne se soit pas attendue à ce qu'il puisse faire le lien entre les mythes et la science. Les sciences humaines, éventuellement. Mais pas La Science, celle qui aurait pu être sacrée si Honey avait cru en quelque chose. Mais elle devait bien avouer que son raisonnement tenait la route. Il était même très intéressant. N'étant pas passionnée de mythologie, Honey ne s'était jamais fait la réflexion avant qu'il ne la lui livre sur un plateau.
- C'est une réflexion passionnante, professeur, abonda Honey avec conviction. Et c'est presque exact concernant la Terre d'où je viens. J'aurais préféré que ce soit totalement exact, mais j'ai appris peu de temps avant de la quitter qu'en fait il s'y trouvait aussi une forme de magie. Je n'y avais jamais repensé depuis, constata la jeune femme, plus pour elle que pour son interlocuteur.
Lors de sa première mission au sein de la Magic League elle avait appris qu'une force d'origine magique avait conféré leurs pouvoirs aux Green Lanterns et avait eu énormément de mal à l'accepter. A cette époque, elle venait de découvrir Storybrooke et son sort noir et était dans le déni. Il lui avait fallu du temps et du courage pour regarder les preuves en face. Mais en fin de compte, son voyage récent dans un livre de contes l'avait aidée à accepter que la magie pouvait avoir du bon. Pas au point de souhaiter devenir une sorcière mais suffisamment pour ne plus avoir de bouffées de chaleur angoissées quand on évoquait la magie.
Pour le divin, il faudrait repasser. Athée qu'elle était, Honey ne pouvait pas accepter un dieu, quel qu'il soit. L'univers avait été créé par le Big Bang, fin de l'histoire. La science le prouvait.
- Je suis sûre que vous êtes en mesure, vous qui vous dites le meilleur dans votre domaine, de me prouver l'existence de quantités de créatures qui viennent de chez vous mais... Je ne pense pas que mon esprit est prêt pour ce genre de révélation. Je crains ne pas être un bon public pour votre matière et je m'en excuse, vous avez été parfait quand il s'agissait de la mienne.
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________________________________________ 2020-09-24, 02:17

Au départ, le sourire du vampire s’étire que plus à la remarque de la jeune femme. Elle n’avait pas compris qu’il la taquinait et qu’il n’était nullement insulté ou n’avait de volonté d’être rassuré sur son âge. Il restait séduisant malgré les rides sur son visage, on lui disait quelques fois. Plus elle parlait et plus elle pouvait remarque de la curiosité chez l’homme en face d’elle.

- Je dois vous avez que le fait que vous ne semblez pas remarquer ma plaisanterie ma laisser me demander si vous n’aviez pas un retard social, mais… C’est bien plus que cela. Je suis persuadé que vous faites parties de ces humains dotés de douance. Honey Lemon, j’ai rarement l’occasion de rencontrer une personne brillante qui comprend rapidement que je la teste psychologiquement. Je vous félicite, vous m’avez démasqué. J’avoue avoir un grand amour pour la psychologie (surtout la manipulation, mais il ne le dira pas), mais j’ai choisi la matière actuelle pour une raison que vous découvrirez peut-être plus tard si vous le découvrez par vous-même. Oh oui, j’avoue que je dis des choses que les humains ne disent pas d’ordinaires. Les règles d’éthiques changent si vites que parfois, je me laisse emporter en croyant que c’est permis.

Le sujet change et elle montre rapidement qu’elle n’Est pas très à l’aise avec la magie et les phénomènes fantastiques qu’il étudiait. À ses propos, il se contenta d’hausser les épaule en lui souriant.

- Ne vous excusez pas, miss Honey. Ce n’est pas quelque chose d’anodin. J’ai l’habitude de fréquenter l’étrange, mais vous qui avez été bercée par les sciences, vous avez les pieds sur Terre et vous avez du mal à affronter cette nouvelle réalité. L’esprit humain est complexe et ce n’est pas en une leçon que je ferais de vous une amatrice de légendes comme vous n’arriverez pas en trois minutes d’explications à me dire ce que sont les trous noirs et leurs impacts sur notre univers. C’est du travail.

La bête se leva pour approcher d’une bibliothèque et pris une petite boite en bois scellée d’un cadenas. Il effleura des doigts, comme s’il caressait l’objet et il se retourna pour la regarder.

- Mais je peux vous apprendre, si vous le voulez. Gardez en tête qu’à Storybrook, vous verrez la magie de manière très fréquente. Nous ne sommes plus chez vous. Il faudra vous acclimater à votre nouvelle réalité. Je sens que vous avez réussi à vous y faire quelque peu, mais que le parcours ne fait que commencer. Je peux vous guider, pas à pas… Nous commencerions par vous faire découvrir des objets magiques, puis après des créatures presque ordinaires, puis des personnes plus complexes. Je ne serais pas vexé si vous me dites non, mais je vous offre mon aide. Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai envie de vous tendre la main. D’ordinaire, je ne ferais pas cela. J’imagine que vous me laissez une bonne impression.

Il se réinstalla à son bureau, déposant le coffret dessus.

- Si vous acceptez, vous n’avez qu’un mot à dire et je vous explique ce qu’est ce coffret et ce qu’il contient.


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________________________________________ 2020-09-25, 00:18 « Science is magic that works. »

Honey ne se vexa pas. On ne pouvait pas avoir 187 points de QI et être aussi brillante en société, en peinture, en sculpture, une actrice hors pair, une poétesse de renom et tout le reste. Elle avait ses talents et ses faiblesses. Mais les blagues de scientifiques, celles qu'en général personne ne comprenait ou n'appréciait, elle, elle les trouvait très stimulante pour l'esprit. Le monde de l'humour ne lui était pas totalement étranger mais le professeur avait raison : parfois, elle ne comprenait pas. Honey s'améliorait mais n'était pas encore devenue un génie du stand-up. Elle ne comptait pas en devenir un, en fait. Honey assumait ses imperfections mais aussi ses talents.
- Effectivement, je suis un génie, déclara-t-elle très factuellement.
La jeune femme ne comptait pas s'étendre à ce sujet. Elle n'aimait pas se vanter, elle était simplement factuelle, aussi la scientifique laissa-t-elle la conversation se poursuivre même la mythologie était loin de son univers. Littéralement.
Le professeur Vulpesco avait cependant raison : ce n'était pas en un jour qu'elle pourrait apprécier le surnaturel, la réciproque étant tout aussi valable le concernant. Honey opina tout en restant silencieuse. De la magie, elle en avait déjà vue plus qu'elle ne l'aurait souhaité, parfois plus qu'elle ne pouvait le supporter. Stefan Vulpesco ne lui apprenait rien en disant qu'elle en rencontrerait à nouveau et, parfois se disait la jeune femme, c'était bien là le problème.
Elle se demandait également si son offre de lui "apprendre" était purement charitable ou si elle dissimulait d'autres desseins, peut-être en lien à son sens bien particulier de la morale et de l'éthique. Par chance, il était assez facile de décliner l'offres de cours particuliers quand on était aussi prise que Honey l'était. Peut-être que si Regina Mills, qui avait pourtant lancé le sort noir dont on parlait encore tellement, lui avait fait cette offre, Honey aurait immédiatement trouvé un créneau dans son emploi du temps. Mais Stefan Vulpesco ne la mettait pas suffisamment à l'aise pour que la jeune femme envisage de le voir de manière régulière. Elle ne s'imaginait pas être son élève régulière, surtout en sachant ce qu'il faisait fréquemment avec ses étudiants...
- C'est vrai. J'ai changé de monde, cela vient avec des avantages et des inconvénients. Comme vous le supposez, j'ai appris à accepter certaines choses depuis mon arrivée. Les faits m'y ont résolue, c'est vrai, mais je m'adapte autant que faire se peut, tout comme vous, j'imagine, vous adaptez au XXIe siècle et ses inventions plus récentes que le téléphone. Merci pour votre offre, à propos.
Tout en parlant, Honey suivit le professeur des yeux et le vit chercher une petite boite pour la ramener sur le bureau tout et conclure son offre. L'image d'un pacte avec le diable traversa l'esprit de la jeune femme. Honey n'était pas certaine d'apprécier de lui avoir fait tellement bonne impression. Le côté génie, sans doute. Elle était probablement la candidate idéale pour ses manèges psychologiques et la perspective d'entrainer dans son monde surnaturel une novice devait l'exciter, tout comme, en fin de compte, la perspective que Honey avait quand elle faisait découvrir l'Univers à un néophyte.
Partager sa passion, y avait-il sensation plus grisante ?
Peut-être pas, du moins pour Honey. Pour ce qui était du professeur Vulpesco, elle ne pouvait s'empêcher de craindre ses véritables intentions.
Honey fixa la boite et pensa à la fameuse Pandore dont il était question en mythologie grecque.
Puis elle releva les yeux vers le professeur et croisa son regard sans ciller.
- Vous avez l'air humain mais vous ne l'êtes pas, affirma la jeune femme. Quelqu'un de mon espèce n'aurait pas dit "humains dotés de douances". Même tel que je vous vois, je ne suis pas certaine que vous vous considériez comme humain, sort noir ou pas sort noir, faux souvenirs ou pas. Votre habitude à fréquenter l'étrange peut avoir plusieurs sens et parmi eux, peut impliquer que vous faites partie de cet étrange. Combiné à cette mystérieuse raison qui vous a poussé vers l'enseignement des mythologies, je pourrais même aller jusqu'à supposer très fortement que vous vous qualifiez comme l'un de ces mythes. Probablement un mythe complexe, ceux que vous voulez garder pour la fin, par orgueil, peut-être. Ne dit-on pas "le meilleur pour la fin" ?
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________________________________________ 2020-09-25, 01:51

Quel petit jeu amusant, dit donc. Elle était futée, la demoiselle, vraiment et incroyablement intelligente. Non pas qu’il croyait que les femmes ne puissent pas l’être. Il était un fervent supporter de la liberté des femmes et croyait en leurs capacités. Non, il ne pensait seulement pas que cette femme-là en particulier soit aussi attentive et qu’elle arrive à comprendre ce que de nombreuses personnes n’ont encore jamais deviné. Il disait souvent humain et en général, les gens estimaient que c’était soit un drôle de personnage, soit qu’il avait été un ancien animal. Non… Elle, elle avait compris que quelque chose de pas normal habitait en lui. Qu’il n’était pas uniquement un professeur de mythologie. Il prit la clé dans son bureau et il déverrouilla le mini coffre, montrant son contenu à son invitée. Ce qu’il contenait? De la terre.

- Vous êtes bien la première personne à assembler la moindre petite allusion pour en déduire quelque chose. D’habitude, les gens se contentent de me trouver étrange à parler d’humains, mais ne vont pas plus loin. Vous… Vous avez du potentiel. Vous n’êtes pas ordinaire ou ennuyeuse. Vous me… fasciné… Je dois souvent me contenter de parler avec des gens très peu brillant et cela fait du bien d’avoir une conversation logique et stimulante. J’ai rencontré quelques personnes comme vous tout le long de mon existence, mais, sur des siècles, cela se limite aux doigts d’une main. C’est toujours un plaisir de rencontrer ces gens uniques, des gens comme vous. Sincèrement, j’avais besoin d’un peu de challenge et vous allez m’en offrir sur un plateau d’argent.

La bête se dirigea vers la fenêtre pour regarder dehors, les mains croisées dans son dos. Si elle regarde bien, elle peut remarquer que ses ongles sont longs et pointus.

- Je pourrais nier vos paroles, mais je n’ai pas envie. Ce que je veux, c’est jouer. Depuis que je n’ai plus officiellement d’ennemis, le temps est assez long. Je travaille pour passer le temps, mais cela n’est pas suffisant. J’ai besoin de bien plus. J’ai besoin d’avoir quelque à mes trousses. Quand les risques sont là, c’est toujours plus grisant d’exister, surtout quand on est aussi vieux que moi. Voici ma proposition, miss Lemon. Si vous ne me faites pas confiance, très bien, mais alors je vous laisse le champ libre pour découvrir ce que je suis. Apportez la boîte avec vous, je pense que cela sera un indice pour vos recherches. Je vous assure qu’aucun danger ne se trouve dans cette boîte. C’est juste de la terre.

Il revient vers elle et il s’approcha dangereusement de la blonde. Il attrapa son menton pour le soulever délicatement et la forcer à le regarder. Il eut un sourire rieur, effleurant sa joue de son ongle pointu.

- Je doute que cela, vous puissiez refuser en connaissance de cause, Honey. Voyez-vous… Vous pourriez décider de m’éviter et de ne plus me voir, mais il restera toujours un doute au fond de vous. Et si… Et si j’étais un vrai monstre? Un être dangereux? Prendriez-vous le risque de laisser une bête rôder parmi vos étudiants en toute impunité? Je pourrais être un être inoffensif comme un farfadet et vous mener en bateau par simple ennui, mais je peux aussi être votre pire cauchemar. Je vous laisse faire votre choix, mais faites le bon…

Il lâcha son visage avant de retourner s’asseoir sur le bord de son bureau, observant attentivement les émotions qui allaient apparaître sur le visage de celle qui lui faisait face. Honey Lemon allait-elle oser mener sa petite enquête? Serait-elle assez brillante pour comprendre ce qu’il est? Il avait hâte de le découvrir.


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________________________________________ 2020-09-26, 00:48 « Science is magic that works. »

Honey ne baissa les yeux que pour observer le petit coffret que le professeur venait d'ouvrir et qui contenait... de la terre. C'était particulier de conserver quelque chose de si humble (au sens littéral, humble venant du latin humus qui signifie la terre) dans une aussi jolie boîte. Mais Honey ayant ses propres bizarreries et se sachant en face d'un être surnaturel, songeant que ce qu'elle n'était plus à ça près. Peut-être que cette terre était spéciale ou avait une valeur sentimentale. Peut-être qu'elle était même dangereuse, pour lui ou pour elle.
Puis il recommença à parler et, peut-être en partie aussi pour se prouver qu'elle n'avait pas peur, Honey releva les yeux pour le regarder. Alors elle le fascinait... ça, plus quelques autres compliments. La jeune femme ne s'était jamais sentie ordinaire. Quand on est un génie, on comprend très vite qu'aux yeux des autres on n'est pas ordinaire. Et quand en plus de cela on se retrouve en situation de handicap, sa propre unicité n'en est que plus exacerbée. La jeune femme avait, de fait, appris à vivre en étant extraordinaire, mais seulement au sens strict du terme, celui que tout le monde avait oublié de nos jours : extra ordinaire, hors de l'ordinaire.
Mais dans ce cas présent, la scientifique se demandait si c'était une bonne chose de représenter un "challenge" pour une créature surnaturelle - dont elle ne pouvait qu'accepter l'existence, même sans en connaitre la nature, puisque les faits étaient devant elle, qu'elle le veuille ou non - vieille de plusieurs siècles. De quel genre de challenge pouvait-il bien parler ? Honey ne manquait pas d'un certain sens de l'empathie, ce qui la rendait bienveillance envers autrui, mais elle n'avait jamais été très douée pour se mettre dans l'esprit d'une personne trop différente d'elle.
Et Stefan Vulpesco était l'incarnation même de ce genre de différences irréconciliables.
Parce qu'elle trouvait plus judicieux de ne pas perdre un tel phénomène de la nature (Honey n'était pas certaine du terme) des yeux, elle le suivit du regard quand il se déplaça vers la fenêtre, restant, pour sa part assise devant le bureau, avec sa tasse de thé qu'elle vida d'un trait, comme pour se donner du courage.
Le thé, c'était toujours réconfortant.
L'observant en silence, elle le détailla du regard, se demandant si elle voulait chercher des indices qui la mettrait sur la voie de son identité ou si cette perspective était trop insupportable pour son esprit. Finalement ses yeux verts se posèrent sur ses mains qui auraient pu être belles si elles ne se terminaient pas par des ongles longs et pointus qui lui donnait un air bestial. Cependant, Honey empêcha son cerveau de rechercher, dans la base de connaissances qu'il constituait, quelque information que ce soit pour essayer de déterminer quelle créature était dans la même pièce qu'elle.
La jeune femme se rappelait toutefois qu'il s'était comparé à un monstre un peu plus tôt et songea que, du point de vue mythologie, il devait en être un. De toute façon, même si Honey n'y croyait pas, il n'avait pas la tête de l'emploi pour être une licorne. A cet instant précis, elle se prit à le regretter, se sentant bien plus à même d'accepter sereinement l'existence des licornes. En fin de compte, il s'agissait seulement d'un cheval avec une corne sur la tête, de même que le narval, la "licorne des mers" était un cétacé muni d'une corne sur la tête. Les cornes n'avaient rien de si étonnant dans le règne animal.
Stefan Vulpesco recommença à parler ce qui força Honey à interrompre le fil de ses pensées, notant qu'il était au moins limpide dans ses intentions. Jouer. La chimiste était presque certaine qu'il n'était pas spécialement du genre à demander le consentement de ses partenaires de jeu et qu'elle avait déjà commencé la partie avant de comprendre qu'il n'était pas humain. Elle était aussi certaines qu'il ne comptait pas lui proposer une partie d'échecs, du moins, pas la version jeu de plateau qu'elle affectionnait pourtant. Et pour couronner le tout, son ennui et son manque d'ennemis ne lui indiquaient rien de rassurant.
Et pourtant, Honey ne cilla pas quand il s'approcha (beaucoup) trop près d'elle et souleva son menton. La jeune femme se contenta de mordre l'intérieur de sa joue (ndlr : pas jusqu'au sang, rêve pas l'ancêtre) pour éviter de frémir en sentant son ongle horriblement long effleurer sa joue. Elle songea un instant que cet être arrivait à séduire manifestement de nombreux étudiants, au moins pour un temps, et se demanda par quels moyens, tout en se demandant aussi s'il ne s'agissait pas de sorcellerie.
Quand il lâcha son visage et alla se rasseoir, Honey reprit enfin la parole :
- Indépendamment du fait que je ne crois pas en l'existence des farfadets, mon instinct me dicte que vous n'en êtes pas un. Certaines de vos paroles aussi. Et de vos façons d'agir. Mais je ne suis pas Buffy Summers ni Phoebe Halliwell, professeur Vulpesco. Je ne cours pas après le paranormal ni après votre identité. Je ne cours pas tout court, d'ailleurs, ce qui me fait penser que si vous aviez voulu me tuer, vous l'auriez déjà fait, qui que vous soyez. Et si c'est vrai pour moi, est-ce que ça ne le serait pas pour n'importe qui d'autre dans cette université ou dans cette ville ? A priori vous avez trouvé un moyen de dominer vos proies estudiantines tout aussi satisfaisant que le meurtre. Si c'est seulement de la terre, pourquoi l'emmènerais-je quand on peut en trouver partout ? Je vous la laisse. Si l'envie me prenait de vous percer à jour, je pense que vous m'avez fourni suffisamment d'indices sans votre boite. De toute façon, je ne doute pas que nous nous recroisons tôt ou tard et que ce sera probablement de votre fait. Bon journée, professeur Vulpesco.
Honey sortit du bureau, parfaitement consciente qu'il pouvait encore décider de la rattraper pour la tuer, par simple plaisir sadique. Il avait l'air un peu sadique, d'ailleurs. Mais elle partit tout de même sans regarder derrière elle. Stefan Vulpesco la mettait avant tout mal à l'aise plus qu'il ne l'effrayait. Elle ne souhaitait pas rentrer dans son jeu et se dépêcha de retrouver son meilleur ami Wallace alias Wasabi, qui était récemment devenu son colocataire, afin de se changer les idées, ne mentionnant pour le moment pas cette dérangeante rencontre.

Fin
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