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  Love is a sacrifice to get what we want (Pv Erwin)

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Loke Lionstar
« Tous les hommes sont des imbéciles »

Loke Lionstar

| Avatar : Rob Raco

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| Conte : Manga Fairy Tail
| Dans le monde des contes, je suis : : Loki ★ (Leo du Lion , L esprit céleste )

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 Love is a sacrifice to get what we want (Pv Erwin) _



________________________________________ 2020-07-21, 13:45 « Tous les hommes sont des imbéciles »

 Love is a sacrifice to get what we wantLoke& Georgia et Erwin

Mr. Dorian avez-vous vérifier votre agenda aujourd'hui ? J'espere que vous n avez pas rendez vous avec ma femme.  Nous sommes le 12 juin 2020. Aviez vous un rendez vous ? Annuler -le peu importe l'importance.  Aujourd'hui, vous allez recevoir une visite imprévue . Une visite déplaisante. Vous allez surprendre ce que personne, ne souhaite a personne. Un manque de franchise.  Mais l'honnêté vous ne connaissez pas, car est-ce que votre femme est la complice de vos secrets ? Votre partenaire de crime. Non ! Vous m'avez dérobé ce rôle auprès de ma femme.  Mais le secret de votre femme, de  sa part,  c'était peut-être seulement un oubli.  Mais  avez vous vérifier l'agenda de votre femme ? Elle avait un rendez-vous avec son amant caché. Il n'était seulement pas noté.   Dans mes rêves, ce titre aurait pu être porter. Si, le cupidon n avait pas enchanté une chaussure. Et de la pointe de ce talon ne m'avait pas ensorcelé l'existence.  Mais heureusement pour vous, vous  n'êtes pas cocu ! Mais Pourquoi je me retrouvais devant votre porte , a cogner, sous cette pluie battante.  Comme vous le savez ,  je suis un fétiche des accessoires plus particulièrement des paires de lunettes.  Pendant que ma future épouse était partenaire de crime avec vous, Mr . Dorian.  Un lien dont je ne connaissais pas l'existence. Je ne savais pas meme pas que dans un mois, vous allez manger au restaurant et passer une soirée professionnelle. De mon coté, vous etiez aussi dans l'ignorance,  une complicitée naissante avait été engrossée  avec votre femme. Étrange cette situation.  Et Aujourd'hui ,  notre passion pour les regards  étaient qu'un prétexte pour que j'erre devant votre porte dans un état que je niais par orgueil. Un état qui se dégradait et votre Reine était la seule a qui je pouvais confier la plume de mon coeur, car si vous avez lu l'édition numero 2 du Gossip Storybrooke. Le courrier du coeur, nous avons tous besoin de quelqu un pour se faire rassurer. Et pour moi, votre femme avait obtenue ce rôle dans la piece qu'était ma vie.  Et lui raconter ce qui n'allait pas, elle était ma Cupididon , car je ne pouvais pas toujours me plaindre au courrier du coeur sous le pseudonyme de Roki. On finierait par tout découvrir.  Découvrir que Roki était mon prénom , et s que ma future épouse prenne conscience que notre couple vivait des bas, ces temps ci. Et je n avais pas besoin d un drama de plus.  Et que ce bouquin offert et lu , il y  a quelques mois avaient que semer des doutes et des craintes dans mon insécuriété sentimentale. Après tout, c etait ma premiere petite amie avec lendemain. Je me sentais novice. 
Nous sommes le 12 juin 2020. Il était tôt !  Je me trouvais dans ma chambre du manoir. Allongé dans mon lit, vetu d'un simple jogging. Télévision ouverte. Écoutant la série the Order, une série fantastique sur une secte magique.  Couché sur le dos,  immobile, parce que j'avais mal dans le bas du dos.  En plus ce maux, j avais une serviette humide et tiède sur le front. Parce que je souffrais d une légére fievre.  Et une poubelle a mes cotés, pour les vomissements. J'étais malade ! Mais pas question de se soigner avec des médicaments. J'avais décidé de me débarasser de ma médication , tant que Dewenty n'était pas enceinte . Avec notre santé a tous les deux. Avec notre nature peu humaine. La conception était difficile.  Pour  mon entourage et Dewenty , j'avais fait croire a une gastro. De cette manière, le monde n'arretait pas de tourner pour ma personne.  Mais en faites, j'étais simplement mourant. Mais il me restait du temps.  Conséquence pour vivre parmi vous chers petits mortels.  

La derniere fois que nous étions rencontrés, j'étais dans les valises. Dans une transitition. Je squattais comme un vagabond ma voiture. Mon jeep noir. Ce jeep ou vous avez appercu  un homme faire des singeries pour avoir l attention de sa bien aimée. La connerie était de danser dans mon pyjama Pikachu. Un Pyjama que je ne portais plus en sa présence, car même si j'étais un rigolo, avec observation. Avec elle, j'essais de ne pas etre un garcon, mais un homme. Tout un défi.  Aujourd'hui comme vous l avez compris dans le paragraphe précédent, je vivais a présent avec Dewenty.Dans son manoir, plus précisément,  parce que vivre dans une guilde en colocation avec plusieurs personnes n'étaient pas l'idéal quand nos projets de vie étaient se marier et fonder une famille. En plus c'était une dame qui ressentait un grand besoin d' intimité et son jardin secret pour magouiller. Ses projets dont j'avais l'interdiction de ne pas avoir le nez fourré dedans. Sans doute pour préserver ma lumière. Il avait aussi son allégeance pour les tenebres qui ne collait pas a l'ambiance des mages de Fairy Tail.  Il avait aussi pleins de raisons, qui résumait le pourquoi chez moi ca ne convenait pas pour ma fiancé.  Mais je savais que je serais toujours le bienvenu la bas.  On peut sortir les mages de la guilde, mais on ne sortira jamais la guilde de nos coeurs . Donc mon appartement qui était trop petit , de toute manière , pour une famille était devenu une garconière. Un lieu pour triper entre mecs. Interdiction aux femmes , sauf peut -etre Stella. Parce que c'était le genre de nana a se fondre parfaitement dans une ambiance masculine.  Mais bref assez de bavardage! Si vous voulez de mes nouvelles, vous pouvez toujours passer par ma femme et la votre pour faire le hibou. Passons a l'essentiel , qui  a déclenché ma visite a votre domicile. 

Nous sommes le 12 juin 2020 ,  j'ai passé ma semaine , sous la couette avec mon chien. A visionner des films et des episodes de séries, de toute sorte. Mais surtout a éviter Dewenty , qui était a cran. Et quand elle était dans cet état, valait mieux se faire petit, ou même se rendre invisible. Au moins, elle ne m'agacait pas, car elle  se noyait dans son boulot, cette semaine la. Mais ce qui était triste dans cette histoire , c'était que nous sommes a peine touchés. Malheur a moi ! Il fallait bien qu on se touche pour concevoir un bébé. Surtout qu elle avait refusée toutes mes autres solutions. Et moi j'avais sacrifié ma santé pour pouvoir nous donner une chance de procreer. Mais cette mauvaise humeur était sans doute a de ce fameux coup de fil qu'elle avait recue. Pas de ma belle famille.

  Et pourquoi elle appelerait ?  Je n'étais pas au parfum, que Dewenty avait annoncée nos fiancailles a ses parents et son frère. Moi ma famille qui vivait a quelques patés de maisons n'était meme pas au courant, encore. Qu est-ce que j'attendais pour leur dire ?  Le bébé!  Vous et Georgia étaient presque les seuls a savoir.  Non cet appel était de son meilleur ami, Auguistin qui lui annoncait une mauvaise nouvelle.  Un ami commun était décédé . Dans des circonstances , qu'elle ne ressentait pas le besoin de me dire. Je respectais cela ! Mais cet ami en commun, je le connaissais aussi. On avait été sélectionné pour devenir acteurs d'une série dont on n avait jamais auditionné pour un role. Et on avait passer quelques jours ensemble , en vacance avec George Clooney.  Mais ce n etait pas un ami. Ni meme une connaissance. Mais pour moi une personne passagère dans ma vie.  Mais cet homme avait quand même danser une valse avec ma femme, a un bal de noel. Elle avait gardé un souvenir de lui .  Ce que j'avais du mal a accepter. Possessif. J'avais du mal avec la gente masculine qui approchait trop ma femme.  Moi je n avais pas garder de souvenirs de toutes les femmes , avec qui j'avais passer du temps. Heureusement pour elle ! Parce que je crois qu'au fond d'elle, elle aurait eu de la peine. Elle serait sentie moins importante. Et moi c'était le cas! Et la voir dans tous ses états pour lui et son meilleur ami. Me faisait un pincement au coeur.  Est-ce qu elle aurait réagit pareil pour moi ? Est-ce qu elle va réagir pareil, quand je commencerais a disparaitre sous ses yeux ? Donc  je n avais pas ma place la  bas, car j'allais faire un scandale.  Je n avais pas ma place ,  au cimetière, meme si je connaissais le défunt et l'ami en peine.  Et je possédais la bonne excuse pour ne pas y être.. L'excuse de la Gastro.  

Quelques jours avant cette date, le jour de l'appel après sa longue discussion interminable avec son frere de coeur. Elle était venue me rendre visite dans notre chambre. La ou je pensais clairement la partie de mon temps. Elle m'avait avertie,qu'elle ne serait pas ma compagnie du soir, ce jour la.  Mais le 12 juin 2020 , cette envie de la retenir et de la forcer a rester a mon chevet, se ressentait. Chaque fois que j'avais une pensée de son départ, je vomissais ce liquide verdatre. Je sentais cette brulure dans mon estomac. Je gémissais en silence. Tête penchée dans la poubelle.  J'aurais tellement voulue qu'elle reste a me dorloter. A etre a mes petits soins.  Mais j'aurais été un monstre de la retenir, alors que son frere de coeur avait besoin d'elle. Et qu elle ressentait le besoin de faire le deuil de ce danseur.  Indépendante.  Besoin de liberté. Besoin d'aventures et de faire des quetes. Je ne pouvais pas l'enchainé a moi.  Mais en ce jour, j'aurais tellement voulu faire un mélodrame, juste pour etre le centre de son attention. Parce que j'avais le ressentiment, qui se tramait autre chose qu'un simple enterrement.  

Parce que Dewenty était disparue dans la maison , pendant un long moment.  Dans l'une des pièces interdites.  Si elle me considèrait bête,  au contraire détrompez vous.  Je ne le suis pas !  Je savais que si je traversais les portes de ses pièces.  J'allais découvert un univers obscure. Que j'allais pénétrer dans son repère de sorcière maléfique.  Et je crois qu'au fond d'elle, elle voulait préserver ma lumière. Et avoir son jardin secret. Comme moi , j'avais le mien a la Guilde,  en ma Garconnière.  Mais malgré , ses compétences de manticore et le fait qu'elle soit une empoisseuse . Et peut-etre une tueuse a gages ! Je ne pouvais pas m'empecher de ressentir le besoin de m'interposer dans ses plans nebuleux et vouloir la protéger.  Devenir son bouclier.  Surtout en ce jour de vendetta.  Parce que dites-moi qui s'habille en femme fatale. Elle etait magnifiquement vetue. Même si je voulais assécher les fleurs a son poignet.Et qui s'arme le jour d'un enterrement ? Une tueuse !  C'était dans sa nature démoniaque de tuer.  Mais pourquoi je possédais le pressentiment que le mauvais oeil était sur elle ?  Et que ma conscience me disait : '' Ne la laisse pas partir ''.  Mais je n'avais pas l'énergie pour veiller sur elle..sur..  Elle allait se faire sermonner si je l'apprenais. 

Partie. Avec un baiser et un a bientot. Le regard ciel de Dewenty avait été ma derniere vision de ma femme. Je remarquais que ses prunelles étaient différentes , des autres jours, elle avait cette lueur brillante . Le blanc de ses yeux étaient aussi plus vitreux. Ce qui annoncait une journée triste dans notre existence. La journee de la survie ! Ou peut-etre autre chose mais certainement pas ce que je croyais. Parce qu elle ne m aurait pas cacher cela. Et je m en aurais rendu compte, si elle a des changements chez ma fiancé. 

 A présent, seul a la maison depuis bientot une heure ,  avec ma boule de poil qui dormait tranquillement dans son panier. Accompagné de ses jouets et son doudou rose.  Parce que Sparkle etait une petite fille japonaise !  Pauvre elle, je n avais meme pas l'énergie de me préoccuper d'elle ces derniers jours.  C'était Dewenty la responsable ! Honteux , car d habitude c etait mon rôle. Mais la j'étais rendu au point, ou je n arrivais meme plus a prendre de soin de moi . D'heures en heures , mon état de santé se dégradait.  Mais le départ de Dewenty , déclenchait chez moi une panique.  Et si je mourais en son absence ? Parce que c'était la sensation qu'on ressent , quand on fait une crise d'angoisse. 

Me levant maladroitement du lit . Laissant tomber la serviette sur les draps.  Victime d'étourdissements .  Je zizaguais en marchant .  Cherchant de vue rapide un chandail a me mettre. Fouillant dans le panier a linge. Puant ou pas. J'en attrapais un ! A cet instant, le look n avait pas d importante. Bas ou pas. Soulier ou non.  Je ne pouvais pas rester au manoir. Ici tout seul.  J'angoissais trop a l'idée d'etre seul pour affronter ce malaise.  Telephone d une main. Je signalais le numero d un taxi.  Ma concentration etait difficile, mais j arrivais a signaler correctement l'adresse de la maison. Pas question de prendre la voiture. Ni meme la moto. A cet instant, j etais un danger pour moi et autrui.  Quittant la chambre. Je sortais sur le perron ,sans oublier de fermer derriere moi pour le chien. Sous la pluie, j'attendais mon transport.. Mais ou j'allais .. au seul endroit ou ce malaise allait rester secret.  Dans les bras de Georgia. 

Le taxi arrivait quelques minutes après mon coup de téléphone. L'homme me dévisageait. C'était légitime vu mon état et ma condition physique.  Au moins, il avait le coeur sur la main, m'aidait a m'allonger sur la banquette arrière et me demandait si , je ne preferais pas aller a l'Hopital.  D'un non catégorique. Il me conduisait ou je voulais aller. Tout le long du trajet, il semblait inquièt. Surtout que j avais gerber deux fois dans son véhicule.  Mais il m avait promis qu'il me réclamait aucune somme. C'était un bon samaritin.  Une fois arrivée sur place, il ne m abandonnait pas. Il me conduisait jusqu au seuil de cette porte.  Il me tenait par la taille pour ne pas que je m'éffronde au sol. Mais espérant que quelqu un allait me porter secours.  Il cognait fortement.  

Jusqu'a une magnifique femme, ouvre la porte se demandait ce qui se passait. Le conducteur du taxi disait : - Excuse moi de vous déranger en cette journee pluvieuse. Mais ce jeune garcon, refusait d'aller a l'Hopital, sans etre accompagnée d une amie, qui garderait  sa santé secrete. Donc ca va si je vous le laisse , mais conseil , moi je lui appelerait une ambulance a ce pauvre garcon.  Je vais vous aider ma petite dame..

Si la dame permettait a samaritin de pénétrer dans sa maison. Sous ses indications, il prenait la direction du salon. Pour m'y installer dans le canapé. M'allongeant sur le coté. Une technique pour se sentir moins étourdit et prévenir les nausées.  Malheureusement, mouillé, le divan allait être trempé. Comme mes fringues. Mais est ce que c etait la pluie la cause ? ou la sueur excessive , car mon corps était brulant comme un soleil en plein midi d'été. Mais moi je me plaignais : - J'ai froid terriblement froid.. Je grenotais.  Le monsieur se penchait vers la dame en murmurant: - Soyez prudente parfois il délire, il dit qui a vu la lueur blanche dans ses yeux. Et que c est la derniere chose qui a vu d'elle.  Puis il parlait plus fort. - Moi je vous quitte ma petite dame, je dois aller nettoyer la voiture. Ne vous faites pas je ne chargerais pas un montant au petit homme. Il fait tellement pitié. En plus , il etait seul le pauvre.  L'homme connaissait le chemin du retour. Quittait la maison en refermant la porte derriere lui. Et reprenait son taxi, direction le garage le plus proche pour un nettoyage. 

D'une voix faible mais rapide en pleine crise de culpabilisation , je disais a mon amie : -  Je m'excuse. J aurais du jamais venir. Elle va m en vouloir. J'aurais du rester a la maison. Je ne voulais pas appeler Lucy . Pas l'inquieter.  Je vous suppli ne dites rien. Je veux etre son mari idéal.  Soudainement je me mettais a hurler mettant une main a l emplacement de mon coeur.  Mon visage se crispait sous la douleur. Mon corps se tortillait . J avais sans doute alarmer ton mari  - Trop de pression. Pression. Je disais essoufflé.  Mes yeux se voilaient d un drap blanc. Avant que je les fermes dans le plus grand silence..  Il serait tant d appeler une ambulance. Et peut-etre d essayer de rejoindre Dewenty mais en cette date c'était impossible. Donc vous êtiez mes chaperons. 


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Erwin Dorian
« If the crown should fit, then how can I refuse? »

Erwin Dorian

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 Love is a sacrifice to get what we want (Pv Erwin) Vba9
- Pour ma victoire? C'est adorable, trésor... Même si en toute modestie, je dois admettre, qu'au-delà de cela, je suis un prestigieux modèle pour mes concitoyens"
(Alexis pense-t-elle qu'il est parti trop loin? Sûrement! On approuve)

 Love is a sacrifice to get what we want (Pv Erwin) Sn0a
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 Love is a sacrifice to get what we want (Pv Erwin) W2ja

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 Love is a sacrifice to get what we want (Pv Erwin) Hmch

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 Love is a sacrifice to get what we want (Pv Erwin) _



________________________________________ 2020-07-23, 19:41 « If the crown should fit, then how can I refuse? »




La Haine est mortelle ; L'Amitié immortelle

«LEO LIONSTAR & ERWIN DORIAN & GEORGIA DORIAN»



Vendredi 12 juin 2020

La demeure de Maître Dorian resplendissait d’un calme olympien en ce midi envahi par la pluie.
Attablé à son bureau personnel, Erwin relisait tranquillement un classique de sa bibliothèque. Délaissant une seconde sa lecture, il songea dans un sourire qu’il était d’ailleurs temps de renouveler ses acquisitions littéraires. Il avait besoin de renouveau. Néanmoins, il dénigrait pas Machiavel et y retourna avec plaisir, regrettant presque de n’avoir jamais l’occasion de rencontrer cet auteur. Nul doute qu’il aurait été heureux d’écrire un livre à son effigie. Au moins, le mot machiavélisme posséderait alors une dimension plus grandiloquente…

Deux étages plus bas, son épouse Georgia finissait de ranger la vaisselle dans le placard. Elle savait que son mari lui répétait toujours qu’il fallait absolument qu’ils investissent dans une aide-ménagère mais l’emploi du cuisinière lui paraissait suffisant. Bien que l’envie de son époux de la traiter encore selon le rang royal où elle était née soit attendrissant, elle tenait à s’adapter à la vie qui leur avait été offerte à Storybrooke, une vie sans royauté mais qui finalement s’en sortait à merveille sans dirigeant tout puissant à sa tête. Son poste d’ancienne reine ne lui manquait pas, finalement, elle en avait assumé les fonctions forcée par le deuil et l’attente d’un peuple et constatait avec ravissement que ledit peuple à présent n’avait plus besoin d’elle, il s’auto-gérait, ce qui provoquait un réel élan de fierté dans le coeur de l’ancienne reine.
Elle soupçonnait son époux en revanche de rencontrer une difficulté supérieure à la sienne à passer la main et de rêver secrètement à siéger à la mairie, sûrement que trop d’années à œuvrer pour la politique et le bien d’un royaume laissait des traces dans n’importe quel ministre. Pour sa part, elle n’attendait que l’annonce pour le soutenir pleinement, elle lui devait bien cela après des années de soutien et de conseil de sa part. Elle sourit seule et referma le placard. Curieux comme les souvenirs du passé commençaient à se présenter à elle sans craintes ni angoisses. Elle se souvenait d’une époque où elle se réveillait la nuit, le coeur étreint par des angoisses qu’elle jugulait la journée à grands coups de calmants..
Erwin n’avait pu que le remarquer mais ne lui en avait jamais soufflé mot. La reine l’avait avec le temps interprété comme une volonté de laisser sa femme apprivoiser les démons de son passé. En réalité, il avait surtout profité de cette faiblesse comme utile à ses ambitions, se félicitant bien de la détresse de celle à qui son destin se trouvait lié.

Le tic-tac de horloge en or marquait une heure de l’après-midi. Sûrement passerait-elle au pressing pour récupérer le costume que son mari avait fait porter tandis que ce dernier ferait… au final elle l’ignorait un peu. Lorsque son mari prenait son vendredi, soit il énonçait clairement qu’il souhaitait en profiter pour passer du temps de divertissement et ainsi ils le passaient ensemble, soit il l’occupait à s’occuper d’autres affaires professionnelles non directement liées avec l’office notarial qu’il dirigeait. Sûrement plus lié au magasine dont il avait pris les rênes, il y avait peu. Son mari restait humble mais elle sentait bien que ce nouveau poste le rendait particulièrement heureux et motivé. Tant mieux, cela montrait que le sort leur était favorable.

Erwin entamait un nouveau chapitre de sa lecture et Georgia lissait sa robe dans une volonté d’y chasser les éventuels plis tout en se dirigeant vers la salle à manger pour y chercher un parapluie, une pluie diluvienne venant de s’abattre à l’instant sur la ville, lorsque des coups retentirent à la porte.
« Un imbécile qui n’avait visiblement pas vu la sonnette » songea le notaire agacé sans esquisser le moindre mouvement.
Rien que lorsque les visiteurs faisaient preuve de bêtise, pourquoi se précipiter pour eux ? Qu’ils patientent donc, la pluie glacée aurait tôt fait de leur rafraîchir les idées.
Tout souriant à sa mesquinerie, il avait repris le cours de son livre songeant que son épouse jugerait de la pertinence ou non de répondre à la sollicitation. Sûrement un commercial… Ils n’attendaient personne.

De son côté, Georgia se précipitait à la porte principale. Certes, Erwin n’avait, lui semblait-il invité personne, mais dans l’hypothèse où il aurait oublié de lui en faire part, elle ne pouvait pas commettre d’impair. Non pas que son mari lui en tienne rigueur mais…
Et même s’il n’attendait personne, pas question de laisser quelqu’un en détresse sous cette pluie battante, elle ouvrit en grand la porte et recula sous le choc.
Deux individus se trouvaient là, les visages floutés par les torrents qui se déversaient, deux silhouettes sombrent dont l’une avachie, soutenue avec grand peine par la plus costaude. Elle semblait vaciller, tanguer, souffrir même et le coeur généreux de Georgia bondit de compassion et d’inquiétude à cette vision avant d’en reconnaître le sujet.
Léo ! Mais comment ? Pourquoi se trouvait-il à présent là ? Sur son perron ? Sur le perron de son mari… A souffrir le martyr ? Les mots qu’avait débité l’autre homme, elle les avait à peine écoutés, trop choquée de scruter le pauvre homme dans ce si désastreux état..et du faire un effort supplémentaire pour mettre du sens dans les mots qu’elle percevait.. Hopital. Santé. Refus… Beaucoup d’informations sans réellement d’explications… Néanmoins, la jeune femme se ressaisit. Elle ne pouvait pas laisser Léo ainsi, prendre la pluie dans la souffrance, sous prétexte d’un saisissement trop fort de sa part. Alors, elle s’écarta vivement, désignant d’un geste ample le corridor qui desservait la majeure partie des salles.

- « Allez-y portez-le dans le salon, deuxième porte à votre droite, oui celle-ci. » indiqua-t-elle en revenant ses pas pour refermer la porte puis s’élança d’une course leste et rapide derrière les deux hommes.
Qu’était-il arrivé à Léo ? La pluie avait masqué son mal, brouillé sa vision et elle n’avait pu distinguer l’existence ou non d’une blessure causant sa souffrance. Avait-il été attaqué non loin de chez elle ? Et il aurait pris néanmoins la peine d’appeler un taxi ? Cela..ne semblait pas coller. L’ancienne reine, passa une main nerveuse dans ses cheveux, tandis que l’homme installait le malheureux jeune homme dans le canapé d’un violet sombre. La couleur lui rappela automatiquement son mari tandis que ses yeux se posaient dessus. Qu’en penserait-il ?

- « Erwin… ! » cria-t-elle depuis le salon tandis que sa voix mourrait dans sa gorge.

Trop de choses tourbillonnaient dans son esprit et elle repris en direction de Léo :
- « La lumière blanche dans ses yeux ? »
Cela ne paraissait de prime abord pas avoir de sens mais cela avait forcément un rapport. Etait-ce ? L’individu qui l’avait attaqué ? Non. Le regard de la reine tombait sur le malade passant en revue ses vêtements salis et son air décharné. Non il n’avait pas été attaqué…. Il était..malade...et très mal en point. Mais si ce n’était « que » la maladie pourquoi était-il...là ?
Le conducteur prenait congés et elle ne put qu’abandonner son blessé pour glisser un billet dans la main de ce brave homme en guise de dédommagement avant de s’en retourner auprès de Léo. Perplexe mais sensible à son sort. Il était...visiblement très malade.

- « Que se passe-t-il Léo ? Pourquoi es-tu dans cet état ? Pourquoi es-tu venu ? Où es donc ta fiancée ? »

Elle songea à la lumière blanche. Etait-ce...ladite fiancée ? L’avait-elle quitté ? Lui était-il arrivé malheur ? Pourquoi avait-il fait tout ce chemin pour la voir dans une maison qui...n’était pas un foyer d’accueil pour lui ?
Une fois l’état du jeune homme constaté, elle avait presque regretté d’avoir appelé le prénom de son mari. Comment réagirait-il en trouvant l’individu dans son canapé ? Non pas qu’Erwin soit le moins du monde possessif ou jaloux, non il avait le coeur sur la main mais il s’était senti si profondément triste lorsque Léo l’avait rencontrée qu’elle ne voulait pas lui donner matière à ruminer encore des pensées ridicules et néfastes pour lui. Cela dit, les deux hommes s’étaient croisés récemment en janvier dans un voyage et elle avait souvenir que Léo lui avait indiqué qu’ils s’étaient parlé.
Ses genoux posés sur le marbre du sol, elle posa une plaid sur le jeune homme grelottant et toucha son front brûlant de sa main légère :

-  «Pourquoi ne voulais-tu pas aller à l’hôpital ? Qu’est-ce qui t’es arrivé, mon pauvre Léo ? » soupira-t-elle dans un souffle avant de décider « Je vais appeler une ambulance. Ou un docteur tout au moins »

Elle ne pouvait pas le laisser ainsi. Hors de question. Il ne perdrait pas la vie. Elle jeta un bref regard à l’individu avachi, allongé dans le violet, les yeux fievreux. Le pauvre. Elle se souvenait très bien de leur rencontre. Un jeune homme plein de vie, un certain culot et un style bien à lui. Un type bien. Un peu perdu, un peu fragile malgré l’image qu’il renvoyait aux autres. Un sensible qui se cachait derrière des séductions forcées. Elle avait repoussé ses avances mais n’avait pas rejeté sa compagnie. Plus que de romance, c’était ce dont il semblait avoir le plus besoin à l’époque. Aujourd'hui, encore sûrement.

- « Ne t’inquiètes pas, je ne te laisserai pas tomber » lui promit-elle avec force.

De quoi avait réellement besoin le jeune homme ? Elle ne le savait pas. Si la blonde avait quelques connaissances en médecine, cela ne concernait que la simple vue en tant qu’ancienne opticienne et le reste du fonctionnement du corps humain lui restait, au moins opaque au plus étranger. Surtout si on ajoutait les caractéristiques parfois propres aux habitants du monde des contes.
S’étreignant les mains, elle se précipitait sur le téléphone, lorsqu’un pas léger et délicat, lent comme théâtral retentit sur les marches de leur escalier. « Erwin ». Soit son cri l’avait incité à descendre soit le remue-ménage l’en avait complètement décidé, mais au moins, cela apaisa un peu le coeur angoissé de l’ancienne reine. A deux, ils seraient plus efficaces.

A vrai dire, le cri poussé par son épouse avait surtout incité le notaire à lever les yeux exaspéré de son livre. Qu’est-ce qui expliquait donc cet esclandre et cet amas de jérémiades dans son manoir ? Au delà de la voix inquiète de sa femme – mais qui ne semblait pas éprouver une peur pouvant s’apparenter à un enlèvement – il distingua la voix bourrue d’un homme et des gémissements semblables à ceux poussés par une sorte de blessé. Quelle tragédie chantait-on donc au rez-de-chaussée ?
Posant l’ouvrage sur la table basse, il s’approcha de la fenêtre pour distinguer les contours d’un taxi et la silhouette de son chauffeur remontant en courant l’allée de son domaine pour regagner sa voiture.
Il fronça les sourcils. Georgia sortait certes mais pourquoi aurait-elle l’idée saugrenue de quémander le transport dans un si odieux modèle ? Non. Impossible. L’agitation deux étages plus bas ne se calmait pas. Bon très bien.. S’il fallait donc aller voir, il y alla donc, non sans prendre le temps de mirer son joli physique dans le miroir mural qui décorait l’escalier.

- « Georgia, que signifie ce boucan?» claironna-t-il de son titre altier, dominant la maison de la hauteur que lui donnait les marches qui lui manquait de descendre.

Son épouse paru en bas, pâle et les cheveux défaits. Si elle escomptait sortir ainsi, il n’osait imaginer ce que diraient les voisins. Comme pouvait-on décemment paraître si négligée en n’ayant fait que les tracas basiques de la ménagère ?

- « Erwin… Mon Dieu... »

Oui, il savait qu’il était son Dieu mais cela n’excusait rien.
- «Et bien, quoi donc, mon ange? » minauda-t-il donc en descendant les dernières marches qui le séparaient du salon.
Son épouse s’étreignit les mains dans un geste :

- « C’est...c’est Léo. »
- « Qui donc ? »

Il n’était pas sûr d’avoir bien entendu… OU plutôt, il était sûr de n’avoir pas voulu bien entendre et sa voix aussi sucrée soit-elle avec retenu de justesse un grincement désagréable. Comment pouvait-elle seulement oser répéter ce prénom aussi laid devant lui ? Faire un affront pareil à son ouïe, à sa fierté ? Oubliait-elle à quel point ce misérable et pouilleux petit malotru avait osé poser ne serait-ce qu’un regard sur ce qui lui appartenait ? Sans compter que Geneviève ne l’en avait pas chassé avec le mépris que son existence sale et obscène méritait. Il avait su la faire culpabiliser suffisamment longtemps après cela pour qu’il pensât réellement ne plus jamais l’y prendre mais visiblement cette sotte oie blanche s’amusait encore à le provoquer. Il allait répliquer lorsqu’il se rendit compte qu’il se trouvait seul.
Mais Georgia avait déjà disparu dans le salon, répondant à l’appel d’une sorte de cri étouffé qui s’y trouvait là et l’ancien Ministre suivit les pas de son épouse, trop méfiant de ce qui l’attendrait donc…Ses yeux se figeant sans peine sur l’infâme nabot qui se tordait de douleur… Dans son canapé. Dans sa maison. Une haine sourde montant en lui mêlée à une sorte de plaisir cruel à le voir si mal en point. Comment osait-il venir sous son toît ?
Dans un sursaut de politesse, il réussit à articuler :

- « Georgia, puis-je savoir ce qu’Il fait ici ? »

Ses yeux dorés fusillaient de colère l’imbécile rouquin. Sale petit insecte putride, maladif aussi crasseux qu’un microbe qui osait venir chez lui ternir de sa présence infecte les lieux qui lui appartenaient. Il osait se prélassait là, couvert d’une odeur malade et répugnante, chez lui ? Il divaguait visiblement mais encore assez pour avoir commis l’impair d’échoir ici en mauvaise posture. Voilà une erreur qui suffisait à mettre les nerfs vifs et méprisants du notaire dans une colère furieuse. S’il n’y avait eu Georgia et l’aspect malade du jeune homme, il se serait empressé d’empoigner la masse rousse qui lui servait de chevelure pour le jeter en bas de son domicile.
En présence de sa femme, et refusant de poser ne serait-ce qu’un doigt sur son corps transit de maladie, il se contenta de croiser les bras en reniflant de dédain.

- « Je ne sais pas » bredouilla Georgia ce qui ne consistituait ni une excuse ni une explication suffisante aux yeux de Preminger « mais il est mal en point, je vais appeler l’ambulance… Qu’en penses-tu ? Tu penses qu’il faut appeler l’ambulance ? »
Tout en parlant, Georgia s’était approchée du répugnant petit roux, et se penchait un peu au dessus de lui, si vite fait qu’il eut de la rattraper et de l’en tirer de là avec une rudesse sèche :

- « Recule immédiatement ! »

Il avait lâché son poignet aussitôt, n'ayant pu que remarquer la manière froide dont sa main avait tiré son poignet, comme un étau inexorable et cruel.
Georgia avait sursauté, comme choquée, reculant d’un pas qui ne la rapprochait ni de l’un ni de l’autre. Elle ne connaissait ni le ton ni l’attitude de son époux. Le ton et les manières employées par son époux l’ayant surprise. Erwin...n’était pas jaloux, il n’avait aucune raison d’être jaloux. Mais plus encore, il ne pouvait pas être jaloux lorsqu’un individu était peut-être en train de mourir sur son canapé !

- « Tu ne comprends pas... » bredouilla-t-elle

Il regretta son geste. Non pas par réel regret de l’avoir offensé mais par peur subite de l’avoir retournée contre lui. Cela ne devait pas arriver. Jamais. Aussi difficile soit-il, il devait présager cette image idéale, parfaite de mari idéal qu’il incarnait.

- « Tu ne sais pas ce qu’il a... » expliqua-t-il dans un souffle en désignant le...mort avec un peu de chance, du bras, « s’il est contagieux, je ne veux pas que tu attrapes ce dont il souffre. »
Ce qui ramena un bref mais fugace sourire sur le visage de Georgia :
- « Ne crains rien, je suis prudente. Mais tu as raison, comme toujours. Que penses-tu qu’il faille faire ? »


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Loke Lionstar
« Tous les hommes sont des imbéciles »

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________________________________________ 2020-08-15, 19:22 « Tous les hommes sont des imbéciles »

 Love is a sacrifice to get what we wantLoke& Georgia et Erwin
Docteur de quoi je souffre ? Question, qui datait de plusieurs années a présent. Assis dans un fauteuil en face d'un bureau, ou était déposé une chemise remplit des papiers.Des notes écrites sur ma personne.  Et en face de moi, se trouvait une femme. Une femme qui allait annoncée une nouvelle qui allait chamboulé ma vie a JAMAIS.  Je me trouvais dans le cabinet de mon médécin. Celle qui avait fait de moi son cobaye, essayant de découvrir , pourquoi je souffrais tant.. Mais je connaissais la véritable raison de la souffrance de tout mon être , car mon ame soeur , ma protégée, celle qui a plusieurs titres pour moi. Celle avec qui j'étais lier par une clé, par un amour puissant qu'on surnomme amitié.  Elle m'avait tout expliquer, sur ce monde.  On était piegé dans un royaume , ou ouvrir une porte était impossible. La porte de chez moi, était scellé a jamais.  Plus jamais, je verrais mes frères et mes soeurs célestes.  Il n'avait aucun remède a ma colère et ma peine. Il n'avait aucun remede a ce mal humain.  La faute a qui : Cette méchante magicienne. Cette Reine de l’obscurité. Mais ce n'était pas devoir. Ni celle de la Guilde de la vaincre. Je devais accepter mon sort. Et vivre comme autrefois.. Vivre comme Loke , mais portant mon vrai prénom : Léo, cette fois-ci. Ce prénom que tu ne pouvais pas supporter, par rancune mais par peur de perdre ton -titre- mais ce monde on perd tout et on doit se construire une nouvelle vie , avec le fardeau du passé.  Docteur de quoi je souffre ?  De bien des soucis de mon cher.. Elle poussait le dossier a mon nom -etoile du lion- vers moi.  Pour que je lise tous mes maux. Et comme Georgia , je me souvenais de ses époques. Je me réveillais la nuit le coeur étreint par des angoisses. Et je jugulais avec ma vie a grands coups de médicaments. Mais je n'arrivais pas a apprivoiser mes démons du passé.  Ce monde profitait de mon vouloir d avoir un enfant et se félicitait de ma détresse.  Mais pour me prouver que ce monde n etait pas dépourvu d'amour vrai et que mon destin se trouvait lié a Bébé Monstre. 

Ma détresse. Mes maux. Mon mal humain. Mon devoir. Mon sacrifice.  Tous ses mots m'avait guider jusqu'a dans ton perron. Devant une porte, ou je n'étais pas le bienvenu.  Encore désolé de vous déranger dans vos occupations de l'après midi. Mais le tic-tac de l'horloge dorée indiquait, que mon heure avait sonnée.  Mais pourquoi me rende en taxi ici ? Parce que je ne voulais pas inquiéter mon entourage intime.  Quand j'étais dans une mauvaise période de ma vie, je me faisais discret.  Qu'on pourrait croire que j'étais disparu.  Si Dewenty aurait été présente, la situation aurait été peut-être différente. Mais même ma fiancée, je ne voulais pas lui avouer que je prenais plus mes cachets, qui m'empêchait de sombrer dans cet état , dont vous étiez témoin . 

 Mais pourquoi tout cesser , alors que ma santé en dépendant ? Pour concevoir un bébé.  Ce bébé , dont j'espérais que c'était le mien et pas le tien. Et que cette lumière, que j'avais percu quelques secondes dans son regard, avant son départ. J'espérais que c'était la vie.  La vie , que nous avions creer Dewenty et moi .  Et que c'était mon héritier , et pas moi le tien.  Parce que pendant que j'avais angoissé toute la soirée. Toi , tu avais laissée ta fiancée a la maison. Et tu étais en compagnie de ma fiancée. Et je ne savais pas, la fin de votre rendez-vous.  Je lui faisais confiance. Mais pas a toi !  Mais maintenant il était trop tard. Je ne serais jamais. Si vous le faissiez rien. Enfin si tu empêchais Georgia d'être mon ange gardien.  Parce que je n'étais pas porteur d'aucun virus. Ni de la peste.  Je n'étais pas contagieux. Je souffrais du coeur et d'épuisement total.  J'avais autres quelques soucis, mais ce n'était pas ma masculité entre mes cuisses qui allait causer ma perte. Enfin si ! Si on avait suivit l'histoire. Tout était la faute de ma verge.  

Après avoir suivit les instructions de la maitresse du lieu. Après avoir lui expliquer mon discours inconhérent. Après m'avoir déposer avec prudence dans le canapé.  Le chauffeur taxi avait accepté son billet. Et souhaitait a l'ange , du courage.  Puis il quittait l'endroit, mais ce que tu te doutais guère. C'est pendant que tu descendais l'escalier pour rejoindre ta femme et moi.  Le chauffeur en avancant son véhicule, avait commis un accrochage sur ta sublime jaguar écarlate. Il avait abimé l'une de tes portières.  Karma. 

Inquiéte. Impuissante. Tu analysais la situation, en m'observant.  Trempé a cause de cette pluie, je grenotais de froid. je grenotais a cause de la chaleur, de ma fievre.Tu aurais du me retirer mes vetements. Mais comment réagit ce cher Erwin? Aurait il dans le deni en apercevant l'un de ses pires ennemis, nu dans son canapé en compagnie de sa femme. Heureusement pour lui, mon linge était toujours collé  a ma peau, qui avait perdue sa teinte habituelle.  Pour une coloration fantomatique. Tu pensais que je m'avais fait attaqué . Impossible. J'étais l'un des meilleurs combattants de ce village.  Je m'entrainais chaque semaine, a l'établissement qu'une vieille connaissance du nom Gajeel.  Pratiquant des arts japonais . Des techniques, que j'utilisais avec ma magie. Ma photokénésie.  Donc si j'avais été victime d''une attaque , les agresseurs devaient être beaucoup plus amochés que moi. Et déja rendu a l'hopital.  Je n'avais aucune trace de violence.  Non j'étais porteur de traces maladives..

Tu déposais une couverture sur moi. Prenant le tissus en mains, je m'enroulais dedans. Ce doudou , était doux comme velours et aussi chaud d une fourrure. Fermant les yeux, parce que la faiblesse..le sommeil..la mort.. s'emparait de moi a petite flamme. D'un murmure , je te remerciais , au moment ou tu me couvais. Appréciant , ta facette maternelle qui refait surface avec moi. Je m'enfoncais dans le canapé confortable. Ca paraissait que c'était un divan pour les riches. Il était rembourré.  A genoux a mon chevet,  tant de questions me concernant se bousculaient dans tes pensées.  Et moi je faufilais une main hors du plaid , je venais capturée une de tes mains pour une présence. Pour me sentir en sécuriété. Je désirais une personne pour veiller sur moi. Je ne voulais pas être seul , durant mon chatiment.  Je serrais fortement tes doigts, avec ma main. Pendant que tu me questionnais..  Je répondais du mieux que je pouvais dans un ton faible.

 Essouflé. Saccadé.  Concernant la lueur des yeux. Je repondais:  Enceinte, je crois.J'avais un pressentiment de doute,  mais celui ci etait sans doute mauvais , car physiquement Dewenty avait démontrée que de la fatigue. Et tous les tests de grossesse , qu'utilisaient les humaines, indiquaient négatifs a chaque fois. Cette lueur était peut-etre qu'une illusion, un dernier espoir pour mourir heureux. Pour mourir sachant que mon devoir avait été accomplit. Et que je pouvais trouver la paix. Et elle, garderait un souvenir de l'un des hommes qu'elle a aimée.  Que se passe-t-il Léo ? Pourquoi es-tu dans cet état ? Pourquoi es-tu venu ? Où es donc ta fiancée ? »   Ayant du mal a m'exprimer. J'entendais bien chacuns des mots que tu formulais. -  A cause du bébé. Partie en quete avec son meilleur ami.  Et l autre reponse tu devais t en douter avec ses mots, j etais venu parce que j'étais seul. Et je n avais pas envie que Dewenty entre a la maison, et découvre le cadavre de son futur marié , dans notre lit. Avec seulement les aboiements du chien pour lui annoncer la nouvelle.

Pourquoi ne voulais-tu pas aller à l’hôpital ? Qu’est-ce qui t’es arrivé, mon pauvre Léo ? » « Je vais appeler une ambulance. Ou un docteur tout au moins »  Encore des questions pour percer le mystère sur la situation. C'était comprenable.  Parce que je ne laissais que des bouts de phrases par ici et par la, a cause que je me sentais dans un état légumisé. - C'est un endroit horrible pour y souffler son dernier souffle.  Parce que l'Hopital , l ambulance alerte tout le quartier. Et je n'ai pas envie que tout le monde débarque a mon chevet et ai pitié de moi. Je haissais le sentiment de l impuissance. Et le lire celle ci dans les yeux de mes proches, je ne pouvais pas tolerer.  Puis un moment de silence, ou j essais de reprendre mon souffle avec difficulté  Un médecin est suffisant.   Puis tu me faisais la promesse de ne pas m'abandonner a mon sort. Je lachais ta main pour me tourner dos a toi, me recouvrant avec la couverture jusqu'aux oreilles.  Quand tu me quittais quelques instants, pour telephoner a ... un medecin ? une ambulance ? Stella , qui serait sans doute quoi faire vu que j etais son esprit céleste , ou meme essayer de rejoindre Dewenty. Mais mauvaise idée, je ne voulais lui relever ce que j'avais commis pour qu'on puisse avoir plus de chance pour avoir notre bébé.  Comme a ma constellationniste. Parce que c'était mes affaires ! Et je n avais pas encore annoncer a personne, mon envie d'être père.  Parce que j'entendais les jacassements imaginaires  du monde. Dans le genre, tu es sur de vouloir t'engager ? Tu es sur d'être prêt a être un père ? Toi qui était si volage.  

Grace a l'interruption de ton époux, tu n avais pas eu le temps de téléphoner . Tu cherchais donc de l'aide auprès de ton mari. Mauvaise idée ! Il allait me laisser crever . Pour lui c'était la peste en personne.  Et allait etre soulager que disparaisse. Il pourrait ainsi consoler ma femme, dans ton dos. Et peut-etre même s'en prendre mon enfant, s en débarasser ou s en servir a ses fins. Sauve-moi . 
 
Pendant que tu t'étais éloignée. Dans un hurlement de douleurs, je tenais ma poitrine. Je me torturais.. Puis le silence.. Mon corps ne bougeait plus. Inerte. Tu te précipitais vers moi, mais lui te retenait.. Qu'allez vous faire ? Essayer  me sauver ? Devenir des criminels ? Erwin en était deja un...Mais toi Georgia seras -tu sa complice ? Inconscient j esperais que tu te rendes ton époux meilleur a cet instant.  Ma vie etait entre tes mains, celle de Dewenty aussi, mais aussi ce bébé si la lueur n'était pas un mirage.  Ce bebe ne devait pas tomber entre les mains de ton époux.. Ni ma femme et je devais vivre pour les protéger.. et te proteger par la meme occasion car , ton époux ne te monterait pas son vrai portrait.  Mais moi je l'avais vu, ce visage qui se dégradait morceau par morceau par sa  méchanceté.. 



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________________________________________ 2020-09-06, 16:41 « If the crown should fit, then how can I refuse? »




La Haine est mortelle ; L'Amitié immortelle

«LEO LIONSTAR & ERWIN DORIAN & GEORGIA DORIAN»



Vendredi 12 juin 2020
Il fallait l’admettre Georgia était au plus mal à l’exact moment où elle avait reconnu Léo dans l’encadrement de sa porte d’entrée. Sur le moment trop inquiète pour sa vie, elle n’y avait pas songé plus que cela, mais en pensées tourbillonnait encore la douleur qu’avait infligé à son époux la sorte de flatterie qu’il lui avait glissé à l’oreille lors de la soirée d’Halloween de l’an passé. Georgia était une femme mariée et plus encore, une femme amoureuse, jamais au grand jamais n’aurait-elle cédé à ce qu’elle avait pris pour une plaisanterie de jeune homme, mais elle avait le souvenir du regard fortement peiné de son époux et s’en voulait encore, depuis lors. D’autres auraient peut-être sauté au plafond de joie de déceler la jalousie dans son comportement mais pas Georgia, si elle n’en n’avait pas été l’instigatrice, oh non !, elle en avait été la cause et se reprochait d’avoir pu ternir un peu le bonheur de celui qui l’avait toujours épaulée. Aussi avait-elle ressenti un peu de soulagement lorsque Léo lui avait annoncé son apparente réconciliation avec son mari lors de leur voyage au complexe « Awesome » par message. Au moins, culpabilisait-elle un peu moins de faire pénétrer dans leur maison, le fruit d’un mal-être dans leur couple. Et puis, de toute manière, à cet instant précis, elle n’avait pas réellement eu le temps de se tordre les mains sur la psychologie de son époux, bien trop préoccupée par la santé de son ami, si bien qu’elle l’avait guidé facilement jusqu’au canapé le plus proche, l’étendant avec difficulté, scrutant les sources de sa douleur.

- « Enceinte ? Dew ? » répéta-t-elle sentant malgré elle son coeur s’emballer d’une telle bonne nouvelle.

Bien que leur romance ait pris un tournant éclair, elle ne pouvait s’empêcher de se sentir profondément heureuse pour celui qui devenait un peu son ami, progressivement. Raison de plus pour ne pas le laisser tomber aujourd'hui, cet enfant devait connaître son père. Ses yeux glissant sur son corps, elle rejetta définitivement l’hypothèse d’une blessure ou autre, visiblement, Léo était malade. De quoi, elle ne pouvait le dire. Ses années de médecine se trouvaient être trop lointaines pour elle tout comme elles n’avaient jamais existé non plus, si on y réfléchissait bien…
Le reste du monologue de Léo ressemblait plus à un délirium et elle posa doucement une nouvelle fois la paume de sa main sur son front brûlant, il était fiévreux.

- « Elle est partie dans une quête avec son meilleur ami à cause du bébé ? » répéta-t-elle sceptique. Puis s’en voulu, il ne servait à rien de le faire parler plus que de raisons, il devait économiser ses forces. Et il fallait absolument appeler un spécialiste quand même il refuserait. Quelle idée de venir chez elle, elle ne disposait d’aucun pouvoir magique ! Elle ne pouvait rien faire pour le sauver, elle était...inutile. Ses questions posées pêle-mêles le fatiguaient et elle finit par poser sur sa bouche, un doigt apaisant :

- « Chut, chut, ne te fatigue plus ! Tu ne vas pas souffler son dernier souffle, tu m’entends ? Ni ici, ni ailleurs, tu vas vivre. Pour Dew, pour ton bébé, pour toi. J’appelle un médecin ! » elle quitta son chevet pour courir vers le téléphone de son domicile, s’arrêtant net devant la vision de son mari.

Erwin pour sa part, n’éprouva aucune angoisse à la vision du corps maladif qui se prélassait douloureusement dans son fauteuil, en étouffant des gémissements de douleurs. Il haïssait la violence mais ce visage si profondément détesté aurait pu lui faire savourer comme jamais la souffrance, s’il ne faisait pas semblant. Oui c’était sûrement son genre à ce traîne-misère en quête d’attention que de venir feindre la maladie pour attirer la sympathie de sa femme. Elle qui prenait en peine tout et n’importe quoi ! Même les sans-domiciles fixes ! Et LUI, lui à qui elle aurait du claquer la porte ! Il regrettait de n’avoir pas descendu les marches à l’attente de la sonnette, trop content de poursuivre sa lecture. Maintenant, sa sublime demeure se trouvait empestée d’ondes impropres et lui-même bouillait tant de colère qu’il craignit de se déclencher une migraine. Voilà ! Voilà ce qu’on lui faisait encore et encore à le contester, à le provoquer….Misérable petit insecte. S’il s’était trouvé roi à cet instant précis, il aurait ordonné qu’on enlève ce misérable de la vue de sa femme. Mais non ! Ce pitoyable coeur se morfondait plus de la supposée maladie de ce dégénéré sans le sou que de son propre ressenti ! Ce qui était une véritable insulte à sa vanité.
Il ordonna à Georgia de reculer et eut néanmoins la satisfaction de la voir reculer du malade pour rejoindre son côté, implorant son assistance. Rien qu’un regard à son visage ployé, inquiet le rendait presque malade. IL haussa les épaules, dédaigneusement, tout en veillant à conserver à grande peine le masque aimable qui portait toujours en la présence de son épouse :

- « Es-tu sûre que son état est au plus mal ? Peut-être était-il simplement douillet ? » interrogea-t-il de sa voix la plus doucereuse possible en fusillant du regard l’individu qui croupissait dans son canapé.

En plus, avait-il fallu qu’il choisisse celui-là ! Lui qui aimait tant s’il asseoir ne pourrait plus l’apercevoir sans hauts de coeur à présent à l’idée qu’une personne de si basse extraction ait pu s’y endormir. Surtout LUI.

- « Erwin...Le chauffeur du taxi a du le porter jusqu’ici avec moi. » reprit Georgia d’une voix plus sévère en posant les poings sur ses hanches, « tu t’inquiètes parce que tu as peur qu’il soit contagieux ou tu as peur qu’il joue la comédie ? »

Il serra la mâchoire, agacé. Comment pouvait-elle seulement lui tenir tête pour cet imbécile ? Qu’il meure donc ! Qu’il puisse en être enfin débarrassé. Mais non, cette sale petite punaise semblait vouloir s’incruster dans sa vie, dans son couple, dans ses relations externes, avec toujours ce verbe haut et la pensée si basse. Et sa chère reine n’y voyait rien d’autre qu’une pauvre âme à sauver encore.

- « Les deux.  Qu’est-ce que j’en sais, Georgia ? Et qu’est-ce que tu en sais ? Penses-tu pouvoir le diagnostiquer » répliqua-t-il assez sèchement, une pointe cruelle passant dans sa voix qu’il rattrapa vite en saisissant son épouse par les épaules, la forçant à détourner le visage de l’individu avarié écroulé dans le divan « Ma chérie, rappelle-toi, une tête froide permet une meilleure vision de la situation. Alors nous devrions peut-être réfléchir un peu avant d’agir...Voir l’évolution de cette...maladie encore un peu »[/b]

Il l’avait dit avec une sorte de dégoût maitrisée mais ne manqua pas d’adresser un long frisson simulé à l’encontre de sa femme. Cette dernière l’observa un instant, comme perdue puis finit par secouer la tête, fermement :

- [b]« Non. »
elle tenta de se dégager doucement de son étreinte « Nous ne pouvons pas nous permettre d’attendre, Erwin. Il tenait sa poitrine, il y a deux secondes »
- « Il nous observe encore consciemment maintenant ! »
- « Et alors ? Parce qu’il a une seconde de conscience, il ne peut pas être en train de faire une crise cardiaque ? » riposta-t-elle en reculant d’un pas. « Est-ce que...Est-ce que tu... »

Elle préféra se taire et Preminger comprit le soupçon qu’elle n’avait pas osé formuler devant lui. « Est-ce que tu t’interroges vraiment ou est-ce que tu es si jaloux que tu es prêt à le laisser souffrir comme ça ? » Elle avait rougit, presque s’en voulant d’avoir pu penser cela de son époux. Non, non, c’était un homme bien, un homme honnête, il avait toujours agit pour la justice… Sauf une fois, mais… Mais elle lui avait pardonné, elle avait oublié cette fois et..il n’était pas ainsi. Non. Pas lui. Erwin savait parfaitement ce qui traversait son esprit, son angoisse, sa peur, sa peine et sa culpabilité aussi, il savait exactement qu’il se trouvait sur une pente tangente, dangereuse pour sa propre personne et ce qu’il devait dire et faire pour occulter les doutes de sa femme. Les mots parfois sortaient si difficilement d’une bouche… Parce qu’il ne le désirait en aucune manière.

- « Très bien, appelle donc le médecin, tu as raison... »

Sa phrase avait été plus jetée que pensée mais au moins, elle avait été dite et cela valu à Georgia l’ébauche d’un sourire . Elle opina de la tête, presque en joignant les mains, puis pivota sur ses talons, pour s’élancer en courant chercher un téléphone. Elle en trouverait un dans la cuisine…
Sa femme disparue, Erwin jeta un coup d’oeil sur son invité roux. Il n’avait pas articulé le moindre mot depuis un moment et le regardait, d’un œil presque trouble, vitreux même, le visage maculé de sueur…
Etrangement, alors que sa seule vision avait déchainé en un seul instant des pulsions de colère à sa seule vue, à présent qu’il se retrouvait seul la situation semblait avoir changé. Il se sentit avancer jusqu’à lui, mécaniquement, ses jambes le portant au dessus de cette vision répugnante et maladive. Petit moucheron avarié.

- « Vois-tu...tu n’aurais jamais du venir ici... » murmura-t-il presque mélodieusement, dans un fin filet, penché au dessus de l’individu comme la Mort au dessus de ses victimes. S’il l’avait pu, il aurait coupé le fil qui rattachait l’existence du rouquin à ce monde, comme une Moire cruelle.

- « Mais au moins, tu m’offres un spectacle dé-le-cta-ble » poursuivit-il en posant sa main sur la couverture qu’avait jeté Georgia à la hâte sur le corps du malade.

S’il lui appliquait sur le visage, se débattrait-il ? Si ses poumons affaiblis lui permettaient de crier, il serait bien mal en point, quoique…
Sa main hésitante caressa les motifs soyeux de la couverture, ses yeux luisants portés sur Léo.

- « Sale petite punaise…J’avoue que le voir agoniser sous son toit, après tout est un moyen merveilleux pour rembourser ta dette envers moi… Si tu vas au bout de ce noble geste, bien entendu »

Son corps s’agita d’un petit rire silencieux, froid, la voix de Georgia retentissant à l’autre bout de la maison… Ne restait plus pour elle qu’à revenir, dès que l’ambulance lui demanderait des nouvelles du malade.

- « Si tu ne vas pas au bout de ta décision, très cher….Je... » il appuya sur son torse de son doigt d’un geste faussement taquin, «  Je t’aiderais à en finir… Après tout… Je te l’ai dit… Tu n’aurais jamais du venir ici... » son ongle remonta pour s’enfoncer un peu dans la joue de cet imbécile de pantin dévoué « Alors … ? As-tu...une dernière volonté ? Sache que je ne compte pas de l’accorder. »


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________________________________________ 2020-09-08, 20:25 « Tous les hommes sont des imbéciles »

 Love is a sacrifice to get what we wantLoke& Georgia et Erwin

Vivre , je voulais pour continuer a vivre mon histoire d'amour avec Dewenty. Vivre, je voulais pour être père et pouvoir voir ce -futur- bébé naitre.  Surtout que mon couple et ma volonté d'être père était le centre de mon univers . Que ca devenait même énervant. Que ca devenait même étouffant pour ma partenaire. Qui certes serait heureuse d'avoir un enfant , même si pour elle j'en étais un ! Et je ne comprenais pas pourquoi elle me percevait de cette maniere. Oui , je possédais quelques traits d un enfant, comme le sens de la découverte. J'étais un véritable - trolls- dans la vie, parce que je profitais des plaisirs de la vie.  Mais je savais être sérieux.  Et il fallait juste qu'on me laisse quelques temps pour me placer les pieds.  Et apprivoiser ma vie sédimentaire.  Si seulement elle pouvait comprendre d'être pere pourrait me donner un coup de main pour que le chaton devienne un lion.  Mais ce n'était pas une nécessité , pour le moment, pour ma copine.  Elle pourrait être heureuse, seulement avec moi. 

Mais moi qui était agé de 2441 ans, qui avait enfin la chance de partager ma vie a deux. Qui avait la chance d'être aimer , sans que ca soit a sens unique. Et que dans ce monde , il n avait aucune loi, aucune restriction qui m'interdisaient de m'épanouir. Le besoin de procréation etait devenu une nécessité. Que mes pensées, mes agissements s'alignaient tous vers cette direction.  Le souci était que vivre parmi les humains avaient des conséquences, pour moi. Et que certaines conséquences m'empêchaient d'avancer dans ma quête.  Et dans cette histoire ,  je ne voulais pas etre le fardeau  de ma fiancée et de ma constellationniste.  C'était mon devoir de veiller sur elles et pas le contraire. J'ai été crée pour ce rôle.  

Mais toi , mon amie , celle que je considérais comme une mere. Une mere que j'aurais voulue avoir. Mais que je n aurais jamais , car la vie dont je me souviens, je n avais pas été enfanter par le mode opératoire habituelle. Etre née en tant que Léo du Lion, était une histoire de magie. Mais en tant que, Léo du Lion blanc de mémoire.  Quand tu deviens un être de lumiere, on te retire tous souvenirs de ta vie antérieure, car cette vie pourrait te déconcentrer et te dévier de tes taches.  C'était sans doute pour cette raison, que tout engagement relationnel , plus approfondi que le béguin était interdit. Mais Aujourd'hui,  qui pourrait m'empêcher de vivre une histoire , avec plus de profondeur ? Certainement pas les astres. La cause serait autre.. comme ma belle famille , une autre personne, la mort ou peut-etre même vu Mister Dorian.  Mais peu importe , je voulais vivre pour Dewenty.  C'était pour cette raison, que toi -mon amie- Georgia tu avais endossée ce rôle, car oui j'avais été stupide de me priver , ce qui me maintenait envie de ce monde, mais c'était pour créer une vie.  Une vie que je n aurais pas pu creer dans mes autres vies.  Certes le petit Lionel de Jacqueline était mon fils, sans l'être. Il était le fruit du pardon.  Mais il n'était pas le fruit du véritable amour. 

Toujours allongé dans ton canapé, toi a mon chevet. Tu avais ressenti mon envie de vivre. Et tu voulais que je vive surtout apres la revelation que je venais de te confier.  Une revelation pas officiel. Parce que chaque bâtonnet pharmaceutique de votre technologie humaine indiquait , négatif. Et physiquement, il n avait aucun changement. Mais comportement, elle était plus sauvage qu'a son habitude. Et elle montrait des signes de gourmandises et de fatigues. Donc j'avais un doute. Un doute non fondé. Donc voir cet étonnement sur ton visage. Voir ce sourire sur tes lèvres, me plaisait plaisir. Sentir tes pulsions de ton emballement en tenant la main me rendait heureux.  Mais je ne voulais pas que ce ressenti s'ébruite, c'étais peut-etre qu une fausse alerte. C'était peut-etre le fruit de mon imagination, parce que cette histoire de bébé allait finir par me rendre paranoiaque.  Et Dewenty et moi on continuait a vivre, comme s'il n'était pas.  Elle était dans le déni , d ou qu elle ne faisait rien pour que ca devienne officiel.  Et moi je pouvais qu attendre la confirmation, sans la bousculer.  J'esperais juste qu elle me mette au parfum, ce jour sauf si je creve avant. Tu me posais la question, si elle était enceinte , sans doute pour partager ce bonheur avec moi, mais pour essayer de comprendre le fond de l histoire et  la raison de mon état. - J'ai un ressenti. Un doute , mais rien ne le prouve encore. Si elle ne l'est pas je me suis rendue au fond du trou pour rien. C est pour elle ce sacrifice.  

Mais quel sacrifice ?  Parler avec le peu de forces que je possedais était difficile. Aligner deux phrases de temps en temps étaient suffisant pas trop m'épuiser. Et Georgia pourrait assembler les morceaux du puzzle. Il en manquait pas beaucoup pour qu elle réussit. Il fallait juste qu elle sache que  pour vivre parmi les humains, je devais prendre des tonnes de médicaments, que je devais etre un dopé car pour le moment , il n avait pas un seul remede magique ou scientifique qui pouvait soulager mon mal.  Apaiser ses maladies du a la coupure du monde céleste.  Mais le vrai remede miraculeux, serait l ouverture des mondes de contes, car c'était la source de mon monde qui pourrait me guérir.   Donc même si tu avais des connaissances médicales ou pas. C'était sans espoir . Il te fallait des connaissances magiques.  A cet instant, tu touchais mon front brulant.  Toujours fievreux.  Et ta main était si glaciale qu'elle me faisait un peu du bien, parce que je sentais ta présence.   Tu me posais une autre question sur la situation. Mais les deux reponses que je t avais donnés n allaient pas ensemble.  J'étais dans cet état a cause du bébé. Et Dewenty m'a délaissée pour une quête aventuriere. Mais dans cette parole me terrifiait qu'elle me donnait envie de vomir , car mon coeur était pris de panique . Parce que si mon doute était réelment fondé. Elle portait la vie, notre avenir sans le savoir. Et elle était peut-etre entrain de le mettre en danger. Et impuissant , je ne pouvais rien faire !  Mais le corbeau qu elle avait rejoint , était le genre - d amis qui s attirait des ennuis. -  Je vais..Je dois .. Je cherchais des forces pour me lever, malade ou pas je devais ramener Dewenty a la maison . Même si elle serait choquée. Qu elle allait faire sa crise , mais surtout me prendre encore plus pour un fou.  Surtout si je lui disais que j'étais convaincu qu elle était enceinte.   Mais incapable , j'étais médusé dans ce canapé. 

Georgia posait un doigt sur ma bouche pour me faire taire pour économiser mes forces.  Mais aussi pour que j'écoute son message d'espoir. Désobéissante, elle allait appeler un médecin.  Puis mon infirmiere se levait, me quittant pour téléphoner.  - Apporte moi un sac..une corbeille   Pendant ce temps la,  le mari observait la scene restant tres loin de la peste.   C etait a ce moment la que je m'avais tourner dos a la conversation, retenant mon envie de gerber. Essayant d ignorer la conversation lointaine entre ma sauveuse et mon -futur - meurtrier.   Douillet ? Oui  j'aimais qu on me dorlote comme un bébé.  Etre le centre de l attention d une femme. Mais sans vouloir vexer Georgia, j aurais aimer que ca soit Dewenty qui soit a sa place.  A s'inquiéter de mon état.  A me poser des tonnes de questions.  A me toucher en me rassurant.  J'aurais aimer que ca soit elle qui m enveloppe dans son plaids. J aurais voulu mourir aux cotés de ma femme, pas la tienne Erwin.  Parce que tu étais jaloux pour rien.  Oui ta femme physiquement elle était magnifique, celebataire elle aurait eu le droit a une place dans mon lit , mariée ou non. Pour une aventure d une nuit , avec une rose.  Mais de son caractere , elle faisait trop maman. Moi j'ai besoin d une femme fatale. Une femme comme mon premier : Karen.  Et Georgia etait loin de cette image.   Et j'étais Aujour dhui fidele a la femme de ma vie : Bébé Monstre.

Immobile et Silencieux. Je n avais pas connaissance de la présence de mon ennemie. Et en plus je lui tournais le dos, mais mon visage etait tourné pour que tu le puisses voir. Voir l'homme dont tu etais jaloux.  L'homme tu voulais achevé , alors que tu savais que ta femme etait amie avec lui . Alors que tu savais ton empoinneuse etait amoureuse de moi. Et tu avais sans doute entendu la conversation, elle portait peut etre mon enfant.  Tu brisais le silence , d une voix presque silencieuse que la faucheuse.  J avais entendu mais je n avais pas la force de te combattre. Pas cette fois !  Je sentais ta main sur moi. Je ressentis un frisson glacial.  Sans même lire tes pensées, je savais que tu voudrais m achever et faire croire a un accident.  Puis je sentais ton doigt s appuyer sur ma poitrine. A cet instant, je poussais un gémissement de douleur.  S ouvrant les yeux.  Puis tu me demandais ma derniere volonté ..que tu ne m accorderas pas , c'était évident.  -  Ma dette, sera de m'excuser d avoir fait de vous un homme jaloux qui ne devrait pas l'être, parce que vous êtes aveugle. Vous ne voyez pas tout l amour qu' elle vous porte. Je ne suis une menace.  Et ma derniere volonté serait que vous montrez a votre femme, votre vrai portrait celui vous etes une monstruosité.  Je suis sur qu elle vous aimera quand même, car je sais c est quoi aimer un monstre.  Et l'aimer a été le plus bel accomplissement de ma vie.  Ca vous a comme reponse, vous allez m achever la ?  
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« If the crown should fit, then how can I refuse? »

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________________________________________ 2021-03-29, 15:20 « If the crown should fit, then how can I refuse? »




La Haine est mortelle ; L'Amitié immortelle

«LEO LIONSTAR & ERWIN DORIAN & GEORGIA DORIAN»



Vendredi 12 juin 2020

- « Je me moque de tes excuses. Mais tu as raison. Tu n’es pas une menace. Tu n’es rien d’autre qu’un petit insecte agaçant. Je déteste les gens inutiles. Ils n’ont aucun intérêt. Ils polluent l’atmosphère et tu es rentré chez moi sans être invité, si je ne m’abuse... » claqua-t-il doucement, sa main restait sur la poitrine du jeune homme en suspend, il pouvait appuyer ou non, il possédait le pouvoir et pour le moment, cela demeurait suffisant « Suis-je un monstre ? Hum... Oui, c’est exaaaact. Tu devrais t’estimer heureux, peu de personnes le savent. Et je préfère qu’il en reste ainsi. Pourquoi tout révéler ? » sa main s’appuya un peu « Ma femme n’en saura rien. Ca ne la regarde en rien… »
- « Erwin… ! Les médecins sont là ! Tu…. Tout ...va bien ? »

Georgia était venue, visiblement. Il sentait son parfum de lilas frétiller ses narines, son pas léger s’approcher, rapidement. Alors, il se releva un peu, agacé, peignant sur son visage une inquiétude rapide :

- « Oh oui, il ne parlait presque plus, j’ai préféré m’approcher pour voir si on entendait encore son souuuuuffle ! Mais je crois qu’il respire encore »

Malheureusement. A vrai dire, pourquoi fallait-il que Georgia soit déjà là ? Toujours à roder comme un oiseau de mauvaise augure ! Mais à cause d’elle, il ne pourrait pas… Mais l’aurait-il réellement fait ? Non. Pas une fois que les pompiers étaient en chemin. Il possédait maintes et maintes qualités mais ne disposait pas des compétences médicales suffisantes pour simuler une mort naturelle en cohérence avec le mal-être qui frappait ce médiocre roméo de pacotille… En attendant….
Elle s’était rapprochée de lui et de Léo, se penchant pour observer le malade avec un air inquiet exaspérant. Petite sotte. Pourquoi diantre plaignait-elle tout le monde, c’était absurde et pitoyable. On ne portait pas la misère humaine sur son dos.

- « Recule Erwin, il a besoin d’air… » murmura-t-elle en posant son bras sur le sien.
- « Je sais ce que je fais. » répliqua-t-il vertement.
- « Je n’en suis pas sûre. Recule »

Pour qui le prenait-elle ? Comment pouvait-elle oser lui donner un ordre ? Même s’il n’ignorait pas pourquoi elle le disait, évidemment. Et pourquoi il tentait de feindre ne pas le comprendre. Peut-être plus il pèserait sur cet individu risible et plus sa mort arriverait… En attendant il feignit de le comprendre autrement, levant le visage vers sa femme, sans pour autant ôter sa main :

- « Jusqu’à preuve du contraire, tu es initialement ophtalmologue et non médecin généraliste… J’ai déjà la décence de m’occuper de… ce gredin. Ce vil séducteur qui a osé te faire la cour SOUS mon nez… Je passe sur l’outrage qu’il soit actuellement dans ma demeure, parce que c’est toi qu’il a trouvé bon de contacter pour une « obscure » raison… Mais ne me reproche pas de l’aider, quand bien même je n’éprouve pour cet homme qu’une exquise colère.. » Il le lui asséna avec la colère d’un homme jaloux.

Il ne l’était pas. Pas réellement. Il mettait le doigt à l’instant sur ce qui l’avait le plus dérangé… Ce n’était pas la cour auprès de Geneviève, non. C’était qu’il l’avait fait à son nez et à sa barbe. Dans le plus grand des calmes. Et quand bien même, il ne s’en était pas senti inquiété, cette offense là, il ne comptait pas la laisser passer. Personne ne touchait à ce qui consistait sa propriété. Sa propriété était à lui, seul. Il en disposait. Personne d’autre n’y touchait, ne l’effleurait même.
Mais Georgia ne le savait pas. Elle n’y voyait que la trace d’un homme bafoué et de bonne volonté. Un homme qui en plus se faisait critiquer sans vergogne… Aussi, sûrement s’excuserait-elle, non, se confondrait en excuses dans les secondes à venir….

- « Si tu veux aider cet homme, recule. Pitié Erwin, ne sois pas si buté. »

Un coup de sonnette avait soudainement retenti, résonnant dans la maison vide de bruit. Georgia s’était tendue, levant le cou, le regard dressé vers la porte.

- « Les pompiers… Est-ce que tu peux ? »
- « J’y vais…. Je ne voudrais pas vous déranger... » persifla-t-il sournoisement en prenant bien garde à dessiner sur son visage tous les stigmates de l’homme bafoué, suffisamment de manière flagrante pour mettre sa femme au supplice.

Puis il se redressa, lâchant la poitrine de Léo à regret. Il le sentait sous sa main encore. Son coeur battant avec faiblesse. Qu’elle en profite, avec un peu de chance il s’éteindrait jusqu’à ce qu’il ramène les pompiers jusqu’ici. Après tout…
Il fit mine de se presser jusqu’à sortir hors de la vue de sa femme. Une fois dans le hall en revanche, il chantonna à l’inverse un petit air de son invention, reprenant l’espace de quelques secondes sa démarche favorite, qu’il évitait d’adopter en compagnie de sa femme. Il traînassait… Comptant les secondes, 10…. 25…. 50. Il finit par ouvrir la porte une fois arrêté devant, dans un sourire aimable.
- « Oui ? »

C’était l’allure parfaite de l’homme courtois, le plus respectable du quartier. Mais plus encore, c’était le visage d’un homme qui n’avait absolument pas sollicité la venue de pompiers. Avec un peu de chance, ils repartiraient… Il suffisait d’être suffisamment adroit, suffisamment bon comédien.. Et il savait pertinemment qu’il en possédait le talent.

- « Nous avons été appelé pour venir en aide à un jeune homme qui devait être transporté aux urgences. »
- « Eh bien, je crains que... » commença-t-il à articuler lorsqu’un cri se fit entendre directement du salon.
Il s’en mordit les lèvres. Saleté de petit rouquin… Décidément, il s’accrochait à la vie… Impossible de feindre passer ce cri pour tout à fait autre chose, ça ne pouvait être rien d’autre qu’un cri de souffrance.
Aussi, posant une main sur son coeur, il adopta alors une nouvelle figure à la volée :

- « Je crains que vous n’arriviez trop tard… Pitié… Faites viiite… IL est….dans le salon, à gauche... »

Il s’écarta contre le mur, la main toujours collée au coeur, l’air hagard, les yeux dans le vide, regardant l’équipe d’intervention se précipiter dans la mauvaise pièce. C’était toujours ça de gagné… Tandis qu’ils revenaient, il pris garde à les observer l’air le plus perturbé au possible, feignant d’avoir mélangé par précipitation… Et Georgia apparu dans le fond du couloir, agitant les bras, avec hargne :
- « Par ici vite ! Il est vraiment mal en point »

Preminger se demanda si cet énergumène avait échangé avec sa femme le temps de sa longue traversée jusqu’à la porte. Elle le lui dirait sûrement… Il observa l’équipe rentrer dans le salon tandis que Georgia ne les suivait pas mais demeurait ainsi. A l’observer au loin, un bref instant. Puis, sans mot dire, elle rentra dans la pièce. Sale garce.
Il s’y traîna, faisant mine d’éprouver de grande difficulté et se pointa jusqu’au salon, rejoignant sa femme qui observait encore les pompiers s’affairant autour de leur canapé, déployant un brancard.

- « Comment va-t-il ? » interrogea-t-il dans un souffle.
Elle lui retourna un regard préoccupé, sondeur.
- « Qu’est-ce que tu as ? »
Elle n’avait pas fait transparaître une émotion quelconque mais étudiait son regard, le souffle court qu’il prenait grand soin de simuler, les jaugeant.

- « Une...faiblesse je crois. Cette situation n’est pas facile, Georgia, je suis...chamboulé… » il avait posé une main sur son front, tanguant un peu et elle l’avait retenu par le bras :
- « Tu... »
- « Nous allons devoir le transporter à l’hôpital Madame. Ce ne sera pas long, mais il faut le garder en observation... Nous ne pouvons pas le garder à domicile dans cet état. »
Et ils l'avaient soulevés... Plaçant le corps meurtri entre leurs bras sécurisants... Il était à présent hors de danger, hors de sa portée.


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