Surnom(s) → Al', même si Aloïs est déjà bien assez court.
Age → 26 ans.

Occupation / Emploi → Il travaille au Sherwood Coffee, un endroit créé par sa bande d'amis et lui ; de son temps libre, il le passe à être bénévole dans une association de protection animale.

Votre personnage est-il tiré d'un conte ? : Oui.
Si oui, lequel et qui est-il dedans ? : Robin des Bois, il est Robin de Locksley.

Caractère → Aloïs vit au gré de l’eau et de ses envies, partageant un double visage qui lui va à ravir : amical et sympathique, il peut être obstiné et imprévisible voire carrément insolent. C'est la force tranquille, parfois égoïste et égocentrique. Généralement souriant, s'entendant avec la plupart des gens, il ne supporte ni l’injustice ni l’inégalité et n’hésite pas à faire savoir son point de vue dans une franchise déconcertante. Plutôt malicieux et rusé, Aloïs n’est pas le dernier à se mêler aux plaisanteries bien organisées, faisant du mensonge une seconde peau. Lorsque la loi ne peux défendre la justice, alors la loi n'est plus à suivre. Il prend le monde de haut mais n’hésite pas à se baisser au niveau des autres, adaptable comme pas deux pour se fondre dans la masse. On le dit roi du déguisement pourtant ses valeurs reviennent toujours au galop, bien qu’il n’ouvre son cœur qu’à de trop rares occasions. Il ne laisse pas tomber les autres, quitte à chuter pour ou avec eux dans une loyauté déconcertante ; si nous fuyons, c'est tous ensemble ou c'est personne. Aloïs est décidé mais incertain, agréable mais grondant, concentré mais rêveur, avenant mais solitaire… Un mélange en expansion qui ne demande qu’à trouver le bon équilibre.

Une Particularité ? → Particulièrement agile, il pratique le parkour avec ses joyeux compagnons. Il est un as du jeu de fléchette et sait tirer à l'arc, par contre le lancer de couteau c'est pas encore tout à fait ça.

Pouvoir → Pas vraiment un pouvoir, mais de son ancienne vie de renard il a acquis la faculté de voir dans l'obscurité (ses yeux prennent alors une teinte jaune) et il a une audition plus développée que la normale.

Personne ne raconte mieux l’histoire de Robin des Bois qu’Adam de la Halle, fier ménestrel connaissant la forêt de Sherwood et la ville de Nottingham comme sa bourse !

Dans une Angleterre médiévale, le roi Richard Cœur de Lion est parti pour une croisade en laissant le trône vacant à son jeune frère… Le prince Jean. Lui et son conseiller venimeux Triste Sir ne cherchent qu’à amasser toutes les richesses du royaume, aussi lorsque Robin et Petit Jean dérobent leurs biens déguisés en diseuses de bonne aventure, il lance une prime sur la tête du renard et fait du shérif de Nottingham son percepteur d’impôts personnel.

Voler aux riches pour donner aux pauvres, en voilà bien une idée étrange ! Et pourtant, au nez et à la barbe du loup véreux, Robin et ses compagnons reprennent ce qui revient aux plus démunis sans gêne aucune. Malice et ruse, coup fourrés et autres fourberies lancent une chasse à l’homme aussi démesurée qu’insolente d’inefficacité. Les villageois protègent les voleurs, pire, ils les encensent comme des héros et il n’est pas un lapereau qui ne rêverait pas d’être à la hauteur du talent de Robin des Bois. Égarant une flèche par mégarde dans la tour de la belle Marianne, un de ces lapins découvre qu’elle est une amie d’enfance de son idole et qu’un tournoi de tir à l’arc aura bientôt lieu. Au vainqueur ? Un baiser ! La rumeur se répand jusqu’à ce que Frère Tuck n’aille en informer lui-même Petit Jean et Locksley. Robin accepte de participer déguisé en cigogne tandis que son ami approchera le prince, déguisé en duc.

Lors de la compétition, Triste Sir découvre l’identité secrète mais Adam de la Halle et le moine l’enferment dans un tonneau de bière. Robin des Bois remporte la finale et s’apprête à profiter du baiser de Marianne lorsque son identité est révélée par le Prince Jean, qui le fait mettre aux fers. S’ensuivent menaces et autres batailles entre les soldats du prince et les compagnons du renard, d’où ils parviennent à s’échapper avec Marianne et Dame Gertrude, sa poule de compagnie. L’histoire fait le tour de la ville et le soir venu, tous les pauvres font la fête, dansent et s’amusent à singer le faux roi d’Angleterre à l’abri de son courroux.

Ou presque.

Outré par l'insulte que lui a fait le peuple durant la fête dans la forêt de Sherwood, le prince Jean triple les taxes et emprisonne les indigents incapables de le payer. Le shérif de Nottingham se rend dans l'église de frère Tuck et vole l'argent des dons, ce qui provoque l'ire de l'ecclésiastique, qui se retrouve bientôt derrière les barreaux. Le prince Jean annonce la pendaison de frère Tuck dans l'espoir de faire venir Robin et de l'attraper. Apprenant cela, le renard et Petit Jean planifient une contre-attaque la nuit précédant la pendaison : Petit Jean libère alors les pauvres prisonniers tandis que Robin vole le trésor du prince.

Cependant, Triste Sire se réveille et surprend Robin dans la chambre du Prince. S’en suit un chaos digne des grandes épopées chevaleresques, combats de capes et d’épées pour parvenir à faire sortir tout le monde du château ! Venant à la rescousse d’un fuyard retardataire, Robin offre l’occasion au shérif de le coincer et s’enfuit dans l’une des tours du château pour espérer lui échapper. Le loup provoque un incendie et Robin des Bois n’a d’autre choix que de sauter dans les douves, criblé de flèches par les archers en poste sur les remparts…

Est-ce sa mort tragique ? Lorsque seul son chapeau vert flotte et que les bulles s’estompent ?

Nul ne le sait, car le sort noir empêche l’histoire de se terminer correctement… Ou plutôt, il offre une suite tout à fait inattendue à ce récit de voleurs au grand cœur.

De son existence précédent la libération, Aloïs n’a que peu de paroles et d’attentions ; comme si remuer le passé formait une bouille peu ragoutante.

Il n’est pourtant pas mal né, benjamin d’une famille de trois vivant dans une maison aisée. Peu de contraintes, trop de libertés, quelques indisciplines sévèrement punies et une éducation aussi stricte que dénuée d’intérêts. Une famille de secrets qu'il valait mieux enterrer, où même le chat avait signé un pacte de confidentialité. Jamais en manque sauf d’adrénaline. Jamais en rade sauf d’affection. Jamais trop ou jamais assez, ça dépendait des moments et des humeurs. Quelques histoires sans intérêt, quelques interpellations sans drame, mais cette foi en l’humanité qui le caractérisait dans le Bien comme dans le Mal. Aloïs était comme on l’attendait : arrogant, intelligent, digne représentant de sa famille et excellent. Ce qu’il entreprenait, il le réussissait. Ce qu’il voulait, il l’obtenait.

S’en devenait une habitude qu’il n’aimait pas retrouver à chaque fois qu’il rentrait dans cette immense maison à moitié vide. Sa vie, c’était comme une symphonie dont on aurait oublié une partie, une place un peu vide dans un coin mais quelques couleurs de ci et de là pour raviver tout ça. Des amis, parfois plus, des ennemis aux coins de rues, des projets plein la tête et pourquoi pas quelques fêtes ? Tout n’est pas toujours obligé de dégénérer. Parfois, c’est juste là, comme ça… Et c’est à toi de voir ce que tu en faisait.

Aloïs aimait bien le changement, n’importe quoi pour le tirer de sa morne existence et lui faire, même l’espace d’une seconde, percevoir autre chose. Ressentir quelque chose. S’engager, s’approcher, éviter ou bien fuir en courant, qui ne rêverait pas d’être capable de sentir ses veines vibrer et son esprit tourner à plein régime pour une cause qu’il trouve juste ? Une idée folle. Une tentation à laquelle il faut répondre. Jamais trop loin de la barrière, tout prêt de la limite mais jamais assez profond pour chuter sans pouvoir s’en relever.

Il n’était pas mauvais élève, bien au contraire. Et des études plus tard, le voilà à tourner le dos à ces devenirs qu’on rêve pour nos enfants. Investir. Tenter le tout pour le tout et se salir les mains. Pour une fois, faire quelque chose qui lui faisait vraiment du bien : le Café Sherwood était né et, avec lui, une autre version d’Aloïs pouvait se libérer. S’il prend de la distance avec les siens, ce n’était pas pour disparaître des radars. Il garde ce lien, ces appels passés quelques fois, mais désormais sa vie est tournée vers un avenir meilleur.

Enfin l'espère-t-il ?

T’es le serveur ou t’es le propriétaire ? Au fond, tu t’en fous, les gens te connaissent comme le type sympa qui sert des cafés suspendus et n’hésite pas à apporter de la soupe aux plus démunis. Petit Jean te ramène parfois les pieds dans la réalité mais tu peux pas t’en empêcher : t’aime pas les inégalité, t’aime pas la souffrance et t’as surtout pas envie de voir filer entre tes doigts la possibilité d’aider quelqu’un. Ou quelque chose : quand le temps est libre comme l’air, c’est auprès des amis à plumes ou à poils que tu t’investis. Toujours volontaire, à n’importe quelle heure de la nuit ou du jour, tu t’investis dans des causes que tu trouves justes et tu laisses rien te barrer la route.

Certains disent que tu te cherches encore. C’est sûrement vrai. Quand t'as la tête sur les toits ou le souffle court à force de courir, tu sais pas ce que tu poursuis mais tu te dis que ça apparaîtra peut-être un jour au détour d'un mur. Alors en attendant, tu remontes dans cette maison de briques rouges au fond de la rue : là-bas, y’a un grand golden retriever qui t’attend, en compagnie d’une tortue et d’un drôle d’animal qui vole de l’or. T’es leur quasi seule compagnie depuis des mois mais ça te dérange pas ; ça te fait ton jardin secret au milieu de la cohue de ton existence. Ah, tu voulais vivre des choses, maintenant t’as de quoi faire !

Et pourtant… Il y a encore énormément à explorer.
T’arriveras peut-être au bout un jour.
Ou pas.

siren charm

Administration → Célébrité de votre Avatar : Herman Tømmeraas. → Est-ce un poste vacant ? : Non. → Multicompte ? : Non. Entre nous → Pseudo / Prénom : Oldie but Goldie. → Votre avis sur le forum : C'est toujours autant le bronx ici ? → Comment l’avez vous découvert : Je le connaissais... Y'a longtemps. → Si vous deviez choisir entre héros, vilain, magique, prince(sse), ancien animal, rebelle ou divin pour votre team vous choisiriez quoi ? : Le orange des Rebelles est toujours aussi moche... Et étant un ancien renard, ça sera « Ancien Animal » et son vert ! → Le mot de la fin : Une dernière volonté... Avoir une dernière bonne idée !

bienvenue parmi nous

Ooooh j'aime bien le nom choisi Aloïs

En tout cas (Re)Bienvenue parmi nous (à ce que j'ai pu comprendre ) et bon courage pour l'écriture de ta fiche

Moi aussi j'aime bien ce nom Ca me rappelle quelqu'uuuuun.... mais quiiiii

J'espère qu'il sera pas aussi démoniaque

En tout cas re Bienvenuuuuue j'ai hâte de voir ce qu'il va donné ce petit

Re-Bienvenue    Comme les autres je trouve le prenom vraiment stylé.  Et la joueuse que je suis
trouve canon la celebrité choisie    Les voleurs c est toujours les plus sexy.    Hate de voir 
tes idées pour ce personnage. 

Bienvenue !!
Hâte d'en découvrir plus sur ton personnage =D Bon courage pour la rédaction !

Oh trop bien !

Un Robin ! Y en a une qui va être contente !
Et du coup, il nous faudra un lien

Bon courage pour ta fiche !

Et t'étais qui avant ?

(Re)Bienvenue sur le fofo! J'approuve le choix d'avatar

Bon courage pour ta fiche!

Salut !

Merci Lena, Euclide, Leo, Timothy et River ^^

Alexis, j'espère qu'il en sera le digne héritier (ou pas, en fait... Pas du tout même ) Ils ont juste rien à voir XD Merciiiii à toi

Leo, tu connaissais cet acteur ? Je l'ai tellement adoré dans Ragnarok que je me suis même fait SKAM pour avoir plein de fois son visage

Eloise, qui sera contente ? Et un lien ? Volontiers !
Oh j'étais quelqu'un que tu connais bien en plus (comment ça je t'aide pas ?)

Bon retour parmi nous
Bienvenue