Surnom(s) → Wal' ; Blitz' ; Blitzie ;
Age → 34 ans

Occupation / Emploi → Fondateur d' l'agence Les Professionnels du Renseignement Immédiat qui est comme son nom l'indique, une start up de tueurs à gages sous couvertures de détectives privés.

Votre personnage est-il tiré d'un conte ? : Oui ! Hazbin Hotel & Helluva Boss
Si oui, lequel et qui est-il dedans ? : Blitzo

Caractère

Walter est un homme rayonnant qui possède une personnalité autoritaire, dramatique, mais aussi loyale et généreuse quand on sait ou regarder. Maître des illusions, il est tantôt stricte et sérieux comme loufoque et déjanté. Soucieux de son apparence, ce qui peut se traduire par une certaine coquetterie, il peut passer des heures à choisir une tenue qu’il estimera sympathique selon son humeur du moment. Ouvert, curieux, communicatif, tout l'intéresse. Il joue parfaitement de sa sensibilité forte pour attendrir les autres. Gai et enthousiaste, il peut se révéler assez impatient voulant obtenir tout, tout de suite. Capricieux il fait passer ses récriminations avec un certain cynisme et une nonchalance affiché par un petit rictus, mais il n'est pas à l'abri d'explosions de colères faramineuses qui surviennent de temps en temps. Dans ces cas là, fuyez si vous avez pour projets de continuer à vivre. Walter recherche le pouvoir et pour cela mobilise énergie, courage et efforts. Être admiré, être le premier, avoir sa foule de fervents partisans, diriger, commander, marquer l’histoire de son passage. Il apprécie d'être le centre d'attraction, autour d'une table de réunion, entre amis, et saura se montrer un hôte agréable et charmant, volontiers badin et malicieux. Il sait ainsi parfaitement user de son charme et de son sens de la persuasion pour arriver à ses fins. Son adresse et son adaptabilité lui sont profitables dans toutes les situations. Cependant il se montre intolérant envers ceux qui sont moins doués que lui, ou qu’il estime moins doué, n’ayant aucune honte à leur faire comprendre son ressentiment.

Agréable dans les contacts humain, Walter est très sociable. Il recherche en quasi permanence le contact d’une foule, d’un groupe, d’une personne avec qui parler. Même s’il passe son temps à critiquer l’Homme, il ne peut en réalité se passer de lui. Il apparaît souvent comme le leader, le meneur entraînant dans son sillage les personnes qui n’ont d’yeux que pour lui. Séduisant et séducteur, il n’est pas un simple dragueur qui prend ce qui lui passe par la main. Oh non, Walter couche uniquement par intérêt. Si le sexe ne peut lui rapporter quelque chose, il ne le fait pas. C’est aussi simple que ça. Et le pire, c’est que ça fonctionne du feu de dieu. Ses techniques sont tellement bien rodés que personne ne connaît l’affreuse vérité qui se cache derrière ça. Son arme infaillible est de ne pas séduire directement. Au départ, il ne demande rien, ne sollicite rien, ne propose rien. On le lui offre. En contrepartie, il apporte l'essentiel : une atmosphère. Il crée autour de sa "proie" un ensemble d'ondes positives, il est prévenant sans être étouffant, il est charmeur, sourit beaucoup, mais n'utilise absolument pas les méthodes du dragueur banal. Ses attitudes sont tout simplement sympathiques, sans connotation ni sensuelle ni sexuelle. Il prend tout son temps. Quand un dragueur ne peut arriver au résultat prévu, au bout d'un moment, il abandonne alors que lui, persiste et signe, sur du résultat, l'appât du gain étant le plus fort. Au moment où il le voudra, il lui suffira d'accélérer les pensées affectives, les rendre plus percutantes, plus perceptibles, plus persuasives et "l'autre" tombera dans ses bras. De plus, il donne l’impression qu’il est en permanence entouré de belles personnes, hommes ou femmes, êtres désirables de sensualités et aussi de culture. De cette façon, il transmet son désintérêt, pour l’apparence physique (ce qui est bien entendu faux) faisant rentrer à l’oeuvre d’autres logiques d’actions. Par ses manœuvres, il en appelle aux émotions des femmes (surtout pas à leur logique) et cherche à se faire remarquer par son caractère et sa réputation pour les hommes. Toute cette manoeuvre est réalisé dans un unique but, cette stratégie mit en place par son cerveau de manipulateur. Il ne prend pas son cœur au sérieux, ayant trop souffert. Cette façon de se mentir à lui-même a construit dans sa manière d’être une véritable self-mascarade systématique. Vis-à-vis des autres, il n’avoue jamais être vexé ou blessé. Il est systématiquement dans la représentation, la comédie, jouant l’être blessé ou l’homme triste, mais ne le disant jamais quand cela arrive. Pour lui, ce n’est pas une émotion on ne peut plus naturelle, mais un véritable signe de faiblesse. Toujours cette méfiance inconsidérée vis-à-vis de l’émotionnelle. Au lieu d’être écoutés « tel quel », les sentiments qui éclosent pourtant en lui, la dynamique normale du cœur, sont toujours mis en perspective dans une pensée qui se perd dans les hauteurs de l’abstraction et de sa philosophie de vie.

Une Particularité ?

Est un démon ▲ Déteste la solitude ▲ Est un très bon chanteur ▲ Adore le rouge ▲ Aime commenter ce qui se passe ▲ Passionné de lectures ▲ Fume comme un incendie ▲ Pyromane ▲ Utilise des huiles essentielles ▲ N’aime pas les églises ▲ Cuisine très bien ▲ Aime glander ▲ Est très éclectique avec la mode ▲ A une trottinette électrique ▲ A un humour douteux ▲ Est très tactile ▲ Mange souvent épicé ▲ Écoute énormément de musiques de tous les styles ▲ Grignote souvent ▲ Parle couramment allemand ▲ N’est jamais à l’heure ▲ Adore les pommes et tout ce qui peut être fait à base de pommes ▲ Ment comme un arracheur de dent ▲ Manie très bien les armes ▲ Est un stalkeur professionnel ▲ Adore la lecture ▲ Ronronne comme un chat ▲ Est parfois cynique ▲ Possède un chat du nom d'Adolf [D'autres choses vont arriver]

Les Pouvoirs
Nyctalope (et pas nique la salope) : La seule particularité des lutins des enfers est que leurs yeux leurs permettent de voir dans la nuit, ce qui est plutôt pratique comme pouvoir. Ainsi Walter a gardé ce petit pouvoir qui lui ai d'une grande aide quand il rentre dans son quartier mal famé dont l'électricité saute régulièrement.

Maniement des armes: Deutsche Qualität, Walter a été formé dès son plus jeune âge au maniement de toutes sortes d'armes. Dans les enfers, cette capacité c'est amplifié. Quand il vous a dans le viseur, il ne rate quasiment jamais sa cible. À Storybrook son taux de réussite frôle les 90%. Ceux qu'il rate, les dieux et les gens plus puissants que lui, mais il est assez intelligent pour les avoir plutôt dans la poche comme ami que comme ennemi.

L’important n’est pas de savoir comment on a atterri dans les enfers, mais ce que l’on y fait après car si nos corps morts et putréfiés sont enterrés six pieds sous terre, nos âmes ont droit à une seconde chance, enfin si l’on peut appeler ça de la chance. Une nouvelle vie s’offre à nous et il faut savoir en profiter. C’est ce que j’ai décidé de faire. Moi, Blitzo, le o étant silencieux, j’ai décidé de prendre mon destin en main. Je n’avais pas pu vraiment le faire de mon vivant, ayant été une marionnette de mon père. Les Nazi, tout ça, tout ça. Bon je ne vous cache pas que j’y trouvais un certain intérêt, mais sur le moment, on ne pense pas que l’on va se retrouver en enfer, tué lors d'un procès célèbre en Allemagne. 26 ans c'est jeune mais c'est la vie comme on dit. Si bien que maintenant, et ce depuis de nombreuses années, je cherche à gravir les échelons. Je suis le fondateur et dirigeant de l’entreprise les Professionnels du Meurtre Immédiat. Que vous soyez une âme mauvaise voulant continuer de faire le mal sur Terre, ou bien une âme en quête de vengeance car on vous a bien eu …. nous sommes là ! Nous acceptons tous les contrats pour vous aider à vous apaiser et avoir un peu de réconfort dans ce monde de brutes. Le mien, en plus d’avoir des clients satisfaits est de stalker mes employés. La vie de Mooxie et Millie est tellement marrante et fait sentir mon célibat moins craignos. Comme quand je regarde par la fenêtre du building et que je vois des pauvres encore plus pauvre que moi. Je me dis que je ne suis pas mal lotie finalement.

Niveau attachement j’ai dit stop. Maintenant buisness is buisness. Je suis un démon, le plaisir et le vice font partis de moi alors autant en profiter. Ce n’est pas Stolas, l’un des gros riches de la ville qui vous dira le contraire. Bon … entre nous … il est un peu trop collant en vérité. Il me fout un peu les jetons parce qu’il me prend même pour son doudou ...Mais ça valait le coup. Grâce à ça, j’ai pu voler son livre de rituels satanistes et mon entreprise à décoller. Parfois on stagne, mais je prends l’argent du salaire de Mooxie pour faire des publicités à la télévision en mode comédie musicale. J’adore ça et après on a de suite d’autres contrats, même si on en rate parce que Loona ne répond pas au téléphone. Enfin c’est Mooxie qui dit ça mais il est juste jaloux de ma Loonie chérie. C’est mon bébé, je sais qu’elle ne ferait jamais une chose pareille. Elle est juste tellement occupée ! Voila un peu ce que vous devez savoir. L’essentiel. Le travail, mes passions, la famille. Ah si, j’ai aussi deux soeurs, mais elles sont de l’autre coté du territoire des enfers, avec notre père, dans le cirque qu’il a récupéré à un autre démon pendant la purge. Personnellement, plus je suis éloigné de lui et mieux j'me porte. J’aurais bien voulu vous le dire en chantant mais cette place est déja pris par Charlie, notre princesse. Elle chante si bien !

Vous raconter ma vie ? Vraiment … je ne vois pas pourquoi je devrais le faire. Parce que soyons honnête, ce n’est pas la plus amusante des vies. Je l’ai fais au psychiatre qu’on m’a obligé à aller voir quand l’affaire a éclaté … et même lui était pas au meilleur de sa forme après la séance, mais si vous insistez. Je m’appelle Walter Blomberg, j’ai actuellement 27 ans et comme vous l’avez remarqué à mon nom de famille, mon grand père n’est rien d’autre que le célèbre Werner Von Blomberg, ministre de la défense sous Hitler. Comme vous dire qu’avec un nom pareil, je commençais déja bien dans la vie. Je suis né en Argentine car comme beaucoup d’amis, mes parents ont fuit l’Allemagne après que Grand Père ait été l’un des premiers à passé devant le tribunal de Nuremberg. Pour vous rassurer, on en parlait pas à la maison. Déja parce que mes parents n’en avaient pas trop à faire de moi, plutôt occupé à changer d’identité et surtout parce que j’étais laissé entre les mains de mon oncle. Ah mon cher oncle et ses mains baladeuses. S’il n’y avait eu que les mains…. Je rentre dans les détails ? Non, vous ce n’est pas votre travail et puis on a tellement mis du temps à me croire. Non voyons Wallie, qu’est ce que tu racontes là, Oncle Kurt ne te ferait jamais du mal … Mais Maman … pourquoi est ce qu’il me touche le kiki pour me le nettoyer alors qu’on prend pas le bain ? J’avais 6 ans quand j’ai osé demandé pourquoi est ce que mon oncle me tripotait et plus avec les affinités. On a rigolé. Tout le monde. Puis au fil des ans, en grandissant, en regardant sur internet, je comprenais que c’était mal et le fait que Kurt me dise que c’était un secret entre nous me mit la puce à l’oreille. Etant donné que personne de ma famille en tout cas me croyait, j’ai décidé de dire à Kurt que je le dirais à la maîtresse, s’il ne m’achetait pas les jouets que je voulais. Bizarrement ça a marché. Puis des jouets nous sommes passés aux habits, aux livres, à l’ordinateur portable.

C’est là que j’ai compris deux choses fondamentales dans la vie. Le monde est pourri. Le sexe domine le monde. Souvent les deux vont ensemble. Un soir, Kurt est revenu avec des amis, pour leur montrer son animal de compagnie. J’avais 18 ans et j’ai commi mon premier meurtre. Légitime défense a plaidé mon avocat lors du procès. Je n’ai rien eu, à part devoir suivre une psychothérapie. Je l’ai fais. Cela n’a rien changé à ma vision des choses. Bien au contraire… L’hypocrisie a été à son maximum. Mais tant pis, j’ai essayé d’avancer. J’ai changé de nom. Pendant un certain temps je me faisais appeler Blaise Johnson. Un nom courant dans la ville américaine ou j’avais élu domicile. Niveau carrière, je ne suis pas allé bien loin. J’ai fais pleins de petits boulots qui rapportaient plus ou moins de l’argent, puis je me suis mis en couple mais … mais je ne suis pas arrivé à retrouver cette sensation extatique que j’ai eu lors de mon premier meurtre. Je l’ai retrouvé avec mon deuxième meurtre il y a quelques mois. Claudia et moi avions passé une sorte d’accord. Elle avait besoin de quelqu’un qui présentait bien, pour faire la comédie à ses parents. Bi-sexuelle, elle sortait avec une afro américaine. Le combo pour des gens bas de plafond. Moi j’avais un toit, de l’argent, et faire l’acteur ne me dérangeait pas. On avait même une bonne complicité. Avec l’argent qu’elle me passait, je me suis inscrit à des cours de management. Tout roulait. C’est aussi là que j’ai fais la connaissance de Loukas, que je pris immédiatement sous mon aile. Pourquoi ? Aucune idée, peut être que j’avais l’impression de me retrouver dans ce jeune homme perdu mais qui faisait tout pour le cacher avec son sourire d’ange. Même Claudia accepta qu’il vienne dormir à la maison de temps à autre. Tout était parfait. Peut être même trop. Et finalement ... encore, une histoire de sexe nous as conduit à changer radicalement de style de vie. Je savais les manigances que la copine de Claudia faisait pour elle. Légèrement stalkeur sur les bords, il ne fallait pas être idiot pour voir qu’elle était accro à l’héroïne. Un jour, Claudia a couché avec son dealer pour avoir sa dose. Pathie l’a appris. Une grosse, mais vraiment grosse dispute a éclaté. J’étais là. J’ai désarmé Pathie et j’ai enfoncé le couteau dans son ventre. Jouissif. Ça a réveillé Claudia, une sorte d’électrochoc alors que pour une fois, c’était moi qui était dans mon trip. Elle a voulu me dénoncer. J’ai terminé mon oeuvre. Plus je mettais des coups et plus je me disais qu’il y avait quelque chose à faire de ce coté là. Surtout que mon plan pour maquiller les meurtres étaient parfaits. Utiliser le père de Claudia, raciste notaire ayant fait de la prise. J’ai appelé Mortimer, Mike et sa copine pour m’aider à cacher les corps. Je n’ai pas beaucoup d’amis mais ceux là, les meilleurs. Puis Mortimer m’a lacéré de coups de couteau pour faire croire que le père de Claudia s’en était pris aussi à moi. Le plan aurait pu marcher comme sur des roulettes, si la malédiction ne s’était pas brisée à ce moment là.

Alors, déja j’ai repris mon vrai nom. Walter Blomberg, et ce n’était pas mon grand père mais mon père. Heureusement pour le moment je ne l’ai pas encore croisé et c’est tant mieux. Pas pour rien qu’on m’a surnommé Blitzo dans les enfers. C’est étrange de se dire que l’on est mort, qu’on a été un démon, puis qu’on a été vivant et qu’à nouveau notre nature démoniaque ressort. Fascinant même cette histoire de doubles souvenirs, doubles personnalités, double cheeseburger. Bon les miens sont quand même bien pourraves et je fais partis des gens qui font des gros fucks à Régina. Pas merci à elle franchement. Néanmoins, ça m’a fait comprendre que le meurtre c’est sympa. Pas pour les morts mais pour moi et mes amis. Faut bien qu’on aide à réguler la population. J’ai repris il y a quelques années ma start up que j’ai amélioré ici. Pour tout le monde, c’est une agence de détectives privées et … et on fait plus si y a plus. Forcément le meurtre n’est pas très légal ici, contrairement aux enfers. Alors on s’adapte, comme on a toujours fait. Je pourrais dire que les cachets son gros mais je les distribue entre Mike qui est Mooxie, Maryline qui est Millie, Loukas d’amour qui est ma Loonie, et Mortimer, un ancien lémurien de ce que j’ai pu comprendre, tout aussi psychopathe, voir pire que nous. La vie suit son cours et je sais qu’elle nous réserve encore d’autres surprises et promis, la prochaine fois que j’ai à vous raconter un truc, je le fais en chantant !