« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
| | | [TERMINEE] Skylar T. McMillan "Remember the penguin credo... never swim alone !" | |
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Auteur | Message |
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Skylar T. McMillan « J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Jake Gyllenhaal
"Si tu veux mon avis Kowalski, même quand tu passes une journée horrible, il y a toujours un truc de pire qui peut arriver. Par exemple..."
"Bonjour mon petit peuple à moi. Soyez joyeux, votre roi est arrivé !"
"Ouais enfin tu vois ce que je veux dire."
"Je vais passer les prochains mois à me battre aux côtés de mecs qui ne t'arrivent même pas à la chevilles. Je vais finir par m'ennuyer, moi."
| Conte : Madagascar | Dans le monde des contes, je suis : : Le commandant Skipper
| Cadavres : 1024
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________________________________________ 2020-04-21, 22:24 |
| Skylar Tom McMillan
«There is only one way to win a war... mine ! » Fiche Technique.
Surnom(s) → On m’a donné de nombreux surnom au cours de ma vie. Déjà je tiens énormément à mon grade et mes hommes m’appellent donc Commandant. Il a que Kowalski qui peut se permettre des dérogations, mais c’est normal on se connait depuis bien trop longtemps pour rester dans le formel. Il lui arrive donc de me surnommer Skipper, c’est le nom que je portais à l’époque où nous vivions encore tous dans le monde des contes.
Age → Si l’histoire avait suivit son cours normal, je devrais être âgés de 63 ans, ce qui fait un sacré paquet d’années pour un manchot ! Heureusement, la malédiction nous en a enlevé 28 ans… ça se voit non, vu mon corps d’Apollon ? J’ai donc 35 ans aujourd’hui ! Enfin vous demanderez confirmation à Kowalski. C’est lui la calculatrice de notre commando après tout.
Occupation / Emploi → Soldat je l’ai été et je le resterais toujours ! J’ai toujours eu le sentiment d’appartenir à l’armée. Sauf que ma carrière professionnelle dans les marines n'est pas vraiment celle à laquelle vous autres humains pourriez vous attendre. En fait, je suis le commando d’une unité d’élite quoique je devrais plutôt dire archi élite de l’élite composée de 4 manchots extraordinaires. Je vous les présenterais prochainement dans cette fiche ! Pendant plusieurs années on a opéré dans le zoo de Central Park dans la ville de New-York. On a alors aidé énormément d’animaux à régler leurs problèmes. On a même vécu de super aventures en dehors du zoo grâce au lion psychopathe et à sa bande de hippies. Mais encore une fois je vous en parlerais plus en détail dans mon histoire… je vais as gaspiller de la salive pour rien non plus !
Aujourd’hui les choses ont beaucoup changé. Notre adaptation ne s’est pas faite toute seule et on a dû renoncer à notre autonomie pour travailler pour cette saleté d’agence du vent du Nord que j'appelle affectueusement "La niniche à Médor" ! On bosse maintenant sous les ordres d’une sorte de sac à puce que se croit plus malin que tout le monde. Fort heureusement, il a été assez malin pour me confier ma propre unité, le commando de Madagascar. Ne prenez pas cela pour un geste charitable de sa part, il a simplement compris que si on continuait à bosser directement sous sa coupe, je finirais par lui péter les genoux.
Votre personnage est-il tiré d'un conte ? : Ouep du 100% de produit du monde des contes, m'sieurs dames.
Si oui, lequel et qui est-il dedans ? : Dans votre monde, vous trouverez nos aventures dans une saga de films appelées « Madagascar » et également dans une série télévisée du nom des « Pingouins de Madagascar ». Eh ouais, on a tellement coiffé au poteau les héros principaux de notre histoire qu’on a eu droit à notre propre show. Si c’est pas la classe ça ! Oh et donc je suis le commandant Skipper, leader de l’unité des pingouins !
Vous.
Caractère →
Pfff on vous a jamais dit que la psychologie c'était pour les femmelettes et les fillettes à couettes ? Non ? Bon très bien, je me plierais à votre exercice étant donné que c'est un passage obligatoire.
Commençons par le plus évident : je suis un excellent leader ! Galvaniser les troupes pour les pousser à partir au combat, c'est mon grand dada ! Cela doit notamment être dû à mon charisme et mon attractivité qui pousse mes hommes a toujours regardé dans ma direction. Organisé et patient, je sais deviner le talent de chacun de mes hommes et les entraîner afin qu'il devienne un élément essentiel de mon commando. Ouvert d'esprit, je sais également écouter leur opinions afin d'améliorer nos plans d'attaque. Je suis aussi prêt à leur prêter une épaule compatissante sur laquelle ils peuvent s'appuyer mais surtout pas s'épancher... il n'y a rien qui me mette plus mal à l'aise que les pleurnicheries ! Je suis cependant un ami loyal et d'une fidélité à toute épreuve. Mes amis se compte sur les plume d'une nageoire mais si vous en faites partie, sachez que vous pourrez toujours compter sur moi en cas de besoin. Très protecteur, je veille toujours sur les plus faibles que moi. C'est d'ailleurs ce que j'ai appris durant mon service militaire ! Une autre chose que l'armée m'a transmis c'est le sens du devoir. Courageux et responsable, je ne renonce jamais à une mission même lorsque cette dernière semble impossible à réaliser. De toutes manières, impossible n'est pas pingouin ! Je mettrais ma persévérance et ma grande volonté au service de la cause que je sers. Énergique, il n'y a rien que j'aime plus que l'action. Je suis capable de cumuler plusieurs missions ou devoirs d'affilée sans que mes forces ne me lâchent jamais. Je suis quelqu'un de franc et de juste. J'ai horreur de l'hypocrisie et je fais toujours preuve d'une grande sincérité dans mes propos. Cela peut parfois blesser certes, mais je préfère de loin dire la vérité que pratique la langue de bois. Au moins, les choses seront claires depuis le départ. Je possède également une grande confiance en moi. Selon moi c'est une qualité indispensable chez un leader. Elle me permet de prendre des décisions rapidement et de conserver la tête froide en toute circonstance. Je suis également un grand optimiste. J'ai foi en mon équipe et en mes capacités, ce qui me permet de motiver mes troupes en toutes circonstances. J'aime également goûter au plaisir de la vie. Strict et autoritaire sur le terrain et durant le service, je peux me laisser aller en dehors et profiter des petits plaisirs de la vie aux côtés de mes frères et de mes amis. Carpe diem comme disait l'autre... je me laisse très rapidement être rongé par les soucis. Je sais tourner la page qu'en une histoire se termine pour en écrire un autre bien plus belle que la précédente.
Mais comme tout le monde, je suis loin d'être parfait et j'ai également mon lot de défauts. Le plus évident serait sans nulle doute mon côté colérique. Patient de base, il ne faut cependant pas me pousser à bout. Je suis quelqu'un de particulièrement soupe au lait et si on me chauffe, on devra en subir les conséquence. Entrant dans des colère noires, je suis capable de devenirextrêmement violent si personne n'est là pour m'aider à la canaliser. Fort heureusement pour moi, mes hommes ne sont jamais très loin pour m'aider à le faire. Mais cela ne m'empêche pas de faire des choses que je peux ensuite regretter. Arrogant et trop fier, j'ai beaucoup de mal à accepter l'autorité. Oh bien sûr, pas quand elle vient de mes supérieurs hiérarchiques militaire, j'ai pour l'armée un amour et une dévotion profonde. Mais si des personnes comme Confidentiel ou Julian s'avisent de venir me donner des ordres sous couvert d'une institution que je ne respecte pas, soyez certains qu'ils seront bien reçus. Je suis également mauvais perdant, je ne supporte pas de perdre la face devant les autres. Si je suis strict envers les autres, je suis intraitable en ce qui me concerne. Je n'ai pas le droit de faire le moindre faux pas et c'est pour cette raison que je vis terriblement mal l'échec. Je peux également une personne très rancunière. Je ne pardonne pas la trahison et jamais je n'accorde de deuxième chance à quelqu'un qui m'a volontairement poignardé dans le dos. Certains prétende que j'ai également une forte tendance à être paranoïaque. En réalité c'est pas moi qui suis parano ! Ce sont les autres qui ne sont jamais assez prudent ! Le danger peut se trouver partout et si l'on est pas suffisamment méfiant on risque fort d'y laisser des plumes. C'est pour cette raison que les personnes qui ne me connaissent pas peuvent m'estimer froid et austère. J'ai effectivement de la peine à rencontrer de nouvelles personnes pour les raison que j'ai évoquée précédemment. Mais parfois même les personnes qui me connaissent très bien prétendent que je ne sais pas m'amuser. C'est vrai que je me plie à une discipline militaire très stricte mais ça ne veut pas dire que je ne peux pas me laisser aller de temps en temps. D'ailleurs, je suis un grand jouisseur qui a besoin de dépenser son énergie dans les plaisirs de la vie. Très volage, j'ai tendance à circuler de lits en lits et d'accumuler les coups d'un soir et les relations sans lendemain. Je ne dis pas que je serais incapable de tomber amoureux. Après tout, cela m'est déjà arrivé une fois dans ma vie passée. Je n'ai simplement pas encore trouver la personne qui me ferait vibrer au point d'en oublier toutes mes autres conquêtes. D'ailleurs, je risque de ne pas être vraiment un cadeau. J'ai beaucoup de peine à exprimer mes sentiments et à me montrer démonstratif. Si vous espérerez des fleurs et du chocolat, messieurs dames, frappez à la porte d'à côté pour trouver votre bonheur ! Je suis pas vraiment un grand romantique. C'est sans doute dû à une éducation militaire qui prône la virilité et la raison avant tout. Je suis une personne très maladroite sentimentalement et ceci avec toutes les personnes que j'aime. Je mets régulièrement les pattes dans le plat et il m'arrive de prononcer des paroles qui blessent beaucoup mon entourage. Je m'excuse bien souvent en me rendant compte mais ça n'empêche que le mal est déjà fait.
Autoritaire - Charismatique - Carpe diem - Compatissant - Confiant - Courageux - Énergique - Fidèle - Franc - Intègre - Jouisseur de la vie - Juste - Leadership - Loyal - Organisé - Ouvert d'esprit - Patient - Persévérant - Protecteur - Responsable - Sang Froid - Serviable - Sincère
Arrogant - Austère - Colérique - Distant - Fier - Froid - Maladroit sentimentalement - Mauvais perdant - Méfiant - Rancunier - Paranoïaque - Strict (envers les autres et lui-même) - Extrêmement violent - Volage
Une Particularité ? (ouep même plusieurs ) →
- J'ai toujours rêvé d'avoir des tatouages sur moi, mais ma nature de manchot m'en empêchait. J'ai donc profité de mon changement de corps en humain pour le faire. Je tiens cependant à préciser qu'il s'agit de tatouages temporaires. Je les refais donc chaque six mois et ce sont toujours les mêmes ! Sur le côté droit de ma nuque, je porte une petite ombre de manchot... ou plutôt de moi version manchot. A gauche de la poitrine, j'ai marqué les initiales de mes hommes à savoir "K.R.P" et juste à côté, j'ai une bannière étoilée avec le texte suivant "U.S. Army". Sur mon avant bras droit j'ai un tatouage avec la citation "Never Swim Alone".
- Vous demandez peut-être pourquoi je vous parlais de tatouages temporaires ? J'ai une peur bleue des aiguilles et quand je dis bleue, c'est couleur bleu océan ! Je ne supporte pas la vue d'une aiguille... même pas une aiguille à tricoter. Par conséquent, il était hors de question pour moi de m'infliger le traumatisme d'un tatouage permanent. Je ne fais jamais de piqûres chez le médecin alors pourquoi je le ferais durant mes loisirs ?
- Etant donné que mes frères et moi sommes des manchots, nous nous sentons fortement attirés par l'eau. D'ailleurs, lorsque nous nous en éloignons, notre peau a tendance à se dessécher et à devenir terriblement rugueuse. Nous devons donc nous rendre régulièrement à la piscine pour la réhydrater. Deux fois par semaine, c'est le minimum que nous nous imposons. Nous en profitons pour nager un max et on en ressort avec une peau toute neuve ! D'ailleurs sans fausse modestie, nous nageons tous divinement bien ! Le papillon, le crawl, la brasse... aucun style ne peut nous résister. Nous avons également une bonne capacité à respirer sous l'eau mais je reviendrais sur ce sujet un peu plus tard.
- D'ailleurs en parlant de sport, c'est pour moi une véritable addiction. J'ai pouvoir dépenser ma trop grande énergie dans une activité saine et récréative, le sport me semblait donc être la meilleure des options. En plus, cela me permet de conserver mon corps de combattant toujours prêt à partir au combat. Les heures que je passe à m'adonner à cette activité s'articulent entre 4 et 6 heures par jour. Au niveau des activités, je fais bien évidemment de la natation mais également du cyclisme, de la musculation et de la course à pieds. Je n'en oublie bien sûr jamais, de m’entrainer avec mes frères, après tout je suis commandant et en tant que tel c'est mon devoir de veiller à la bonne santé physique de mes hommes.
- Je suis un combattant hors pair et compte tenu de cela, je suis expert en bon nombre de discipline de combat. J'ai toujours beaucoup aimé les arts martiaux et je suis ceinture marron de karaté, ceinture noire 1ère dan de judo et ceinture noire 3ème dan de Krav maga. J'aime également beaucoup faire de la boxe et de la lutte. Il fut d'ailleurs un temps où je m'étais lancé dans des championnats de boxe mais mes activités professionnelles m'ont rapidement empêcher de continuer. Et puis après tout, c'est bien plus marrant de frapper de vrais méchants que des adversaires sur un ring. Bien sûr, je maîtrise également parfaitement les armes à feu. Que cela soit un pistolet, un lance grenade ou encore une invention farfelue de Kowalski... rien ne me résiste. D'ailleurs, sans vouloir me vanter, j'ai une excellente visée et il est rare que je manque ma cible.
- Bon vous l'aurez compris, l'armée c'est toute ma vie ! C'est elle qui m'a formée à être ce que je suis aujourd'hui et bien évidemment, j'en ai gardé quelques habitudes bien ancrées au fond de moi. J'ai toujours tendance à utiliser un vocabulaire très martial lorsque je parle. D'ailleurs, je donne très souvent des noms de codes à mes proches. C'est une manière pour moi de leur dire que je les apprécie, même si je vous l'avoue c'est un peu moins évident que des petits surnoms beaucoup trop mielleux à mon goût. Venant d'un milieu des plus machos, j'ai également une grande tendance à jurer mais j'essaie de me contenir lorsque je suis en présence de Private. Mes tenues vestimentaires en subissent également l'influence. Ma couleur préférée c'est le kaki et lorsque je ne porte pas le smoking noir et blanc réglementaire, j'adore porté des treillis militaires. Même si je suis franchement pas du genre à porter des bijoux, je ne me sépare jamais de mes plaques militaires.
- Je possède une pièce de mon appartement dédiée à l'armée en général. J'y conserve énormément de documents d'archives, des livres et des biographies sur le sujet guerrier. J'ai également beaucoup d'objet relié au monde martial comme des casques, de maquettes (d'avions, de tanks ou de sous-marin), toute une garde-robe adaptée aux pires conditions, une collections de médailles dont les miennes qui sont rangées soigneusement dans une vitrine très protégée... bref tout ce qui est militaire de près ou de loin vous en trouverez au moins un exemplaire dans mon appartement. C'est devenu ma forteresse de solitude et je vais m'y ressourcer à chaque fois que j'ai un petit coup de mou. Très peu de personnes sont au courant de son existence. C'est mon jardin secret !
- Etant donné ma nature de manchot, je suis un régime alimentaire très spécifique. Je me nourris donc principalement d'aliments issus du monde marin, comme les poissons ou encore les fruits de mer. Heureusement maintenant que je suis humain, je peut avaler beaucoup plus de nourriture mais mon estomacs restent extrêmement sensible à différents types de nourriture. J'ai par exemple du mal à digérer certains produits laitiers comme le lait ou le fromage. Je ne suis pas spécialement un grand fan de viande non plus... je lui préfère de loin le poisson de toutes manières. Le petit plus, il m'arrive parfois de brouiller tous mes aliments pour en faire une délicieuse purée maison. J'y mélange même parfois un peu de salive de Rico pour adoucir le goût. De cette manière, ça me rappelle la douce nourriture régurgitée par ma maman lorsque je n'étais encore qu'un tout jeune poussin. Mais chut, c'est notre petit secret à nous !
- Qui a dit qu'il n'y avait que les humains qui pouvaient conduire ? Mes frères et moi avions toujours parfaitement su comment une voiture fonctionnait et aujourd'hui je possède donc une voiture sans permis de conduire. De toutes manières, je n'ai jamais eu d'accident donc il faut croire que je suis tout de même un très bon conducteur. Je possède également une moto que j'ai dû apprendre à conduire cette fois. J'adore aller me balader avec elle durant mes jours de permission que cela soit seul ou bien plus souvent accompagné ! Je ne l'ai encore dit à aucun de mes frères, mais j'économise de l'argent pour pouvoir un jour m'acheter un bateau.
Une Capacités Particulière ? →
Nos pouvoirs ou plutôt nos capacités sont au nombre de deux et découlent principalement des gênes de manchots qui coulent dans nos veines.
- Respiration sous l'eau Je vous ai parlé de notre grande aisance à évoluer dans le milieu aquatique mais je ne vous pas encore dit le plus beau. Nous sommes capables de respirer sous l'eau, ce qui veut dire qu'en plongée nous pouvons rester très longtemps sous l'eau avant de chercher à remonter à la surface. Notre vue est également très bonne et nous sommes capables de repérer le moindre petit détail que ce que nous pouvons y voir.
- Résistance au froid C'est bien connu, les manchots ne craignent par le froid. D'ailleurs, il est vrai qu'il ne craignent pas grand chose. Ils sont présent dans tout le Sud de la planète, aussi bien en Amérique du Sud qu'en Afrique ou en Antarctique. Ils sont tous aussi résistants au froid qu'au chaud. Bien que nous avons l'habitude de vivre dans un climat tempéré, nous pouvons supporter des températures très basses. Nous ne ressentons pas le froid jusqu'à des températures de -15 degré et pouvons même suivre nos petites habitudes librement jusqu'à une température de -25 degrés sans subir les conséquences du froid. Si ça c'est pas la grande classe !
Votre Vie dans le monde des contes.
Je suis né en Antarctique, sur le popotin gelé du monde. C'est là-bas que tous les manchots en liberté se rassemblent chaque année pour relancer une toute nouvelle génération d'oiseaux. Ah c'est certains nous appartenons à une race vraiment surprenante. Imaginez qu'ils étaient capable de donner la vie dans un milieu aussi hostile était extraordinaire. J'ai toujours été persuadé que nous étions des super-oiseaux, c'est sans doute pour cette raison que j'estimais être un devoir d'être un véritable casse-cou de le plus jeune âge. Après tout à quoi ça sert d'être dotés de capacités exceptionnelles si c'est juste pour être "trop doux et trognon" et servir d'acteurs de prédilection à des journalistes qui viennent filmer la vie sur notre banquise ? C'était un débat que j'avais souvent auprès de mes camarades de toujours, Kowalski et Rico. Je les considérais depuis toujours comme mes frères. Certes on avait pas les mêmes parents mais étant nés la même année, nous étions aussi proches qu'une vraie famille peut l'être. Ensemble nous découvrions la vie et nous expérimentions plein de chose; l'utilisation de nos nageoires, les techniques de chasses de poisson, la marche et la glissade ventrale... bref tout ce que notre espèce est sensé apprendre un pour pour pouvoir survivre dans ce milieu hostile. Nous n'étions malgré tout pas capables de répondre à cette éternelle question; étions-nous forcément obligés de suivre le troupeau ? Ou pouvions-nous rêver à une vie différente et remplie de belles aventures ?
La réponse à cette question, nous l'avions obtenue le jour où nous avions vu un tout petit oeuf dégringolé les collines de neige et rouler à vive allure en direction d'une mort certaine. Tentant de retenir l'attention des adultes, ils ignorèrent malgré tout mon idée d'aller sauver ce futur bébé manchot. Après tout, c'était dans la nature de perdre des enfants et cela arrivait chaque année. De toutes mes forces, j'eus alors le courage de rejeter les règles de cette nature cruelle pour aller sauver ce petit qui ne méritait pas un sort aussi cruel. Me jetant tout seul dans cette aventure, je finis pas être rejoint par mes frères. C'est alors que nous assistions tous impuissant au spectacle de voir l’œuf finir sa course sur un bateau rempli par les léopard des mers. Ces charognards rêvaient de s'en faire un œuf broyé pour leur petit déjeuner, chose qu'il fallait à tout prix éviter. Nous jetant sur le bateau, nous nous livrions à un combat acharné mais encore terriblement maladroit face à ces prédateurs diaboliques. Le combat fut rude mais nous nous en sortîmes victorieux, finissant notre course sur un iceberg partant à la dérive. Tout émus, nous assistions alors à la naissance de la plus jeune de mes recrues, l'adorable petit Private ! Je pris très vite mon rôle de papa de substitution très au sérieux et me promettait de veiller sur lui. Nous partions tous les 4 à la dérive prêts à vivre les plus belles aventures qui n'aient jamais été vécue par des manchots.
Mais avant de rejoindre la civilisation, nous avons fait un détour qui aurait une influence incroyable pour tout le reste de votre existence. En effet, plus nous nous éloignons des côtés de notre enfance, plus notre frêle coquille de glace fondait. Nous nous serions sans doute noyés si un bateau ne nous avait pas repêcher en pleine mer. Le navire appartenait à la U.S. Navy. Prenant pitié pour les jeunes poussins que nous étions, ils nous recueillirent et nous adoptèrent rapidement. Mon arrivée sur ce bateau était pour moi comme une révélation. J'aimais les idéaux de ses hommes courageux prêts à se battre pour défendre leur patrie. Leur courage, leur discipline de fer ainsi que leur talent inimitable se battre et triompher de situation impossible, m'inspira très rapidement. Nous nous mirent à les imiter alors, ce qui amusait beaucoup le capitaine. Il finit d'ailleurs par nous engager pour de petites missions, comme explorer des lieux sous-marins à la nage une caméra accrochée à notre ventre. C'était une expérience magnifique et qui me remplissait de fierté. Je me promettais de toujours suivre ce train de vie et pousser mes frères à en faire de même.
Malheureusement, toute bonne chose à une fin. Comprenant très vite qu'ils ne pourraient pas nous garder à bord indéfiniment, ils finirent par nous confier au zoo de Central Park de New-York. Personnellement, j'étais un peu triste à l'idée de devoir abandonner cette vie trépidante mais fut soulager au moment de voir que nous pouvions en faire de même au zoo. Nous avions jurés d'aider de protéger les animaux du zoo et nous les aidions à régler leur différents problèmes. Mais même si par ce procédé nous rejetions tout ce que nous étions sensés être, nous ne pouvions faire taire indéfiniment la petite horloge biologique qui tictacait à l'intérieur de nous. Cette même horloge qui nous indiquait que nous devions partir pour accomplir notre mission de fiers reproducteurs de notre espèce. C'est pourquoi nous envisagions un plan pour nous enfuir en creusant un tunnel. Ce dont nous étions loin de nous attendre c'est que des suites d'une mauvaise orientation, nous ressortions une première fois à la surface dans l'enclos du zèbre Marty. Notre camarade monochrome nourrissait également des désirs de prendre la poudre d'escampette et nous n'avions pas réussis à calmer ses ardeurs en lui prouvant que cet échappatoire était effectivement possible.
Pendant que de notre côté nous rejoignions la gare centrale de New-York pour débuter notre périple pour l'Antarctique Marty lui se fit la malle pour aller visiter New-York. Ses trois amis, comptant un lion psychotique, une girafe hypocondriaque et une hippopotame aux allures de femme forte, coururent le rejoindre à la gare pour l'empêcher de faire selon eux "la bêtise la plus monumentale de sa vie". Bon, vous vous doutez bien que des animaux aussi imposants se fondent difficilement dans la masse et ils furent récupérer la police de la ville pour être ramenés au zoo. Tout nous conduisait également à connaître le même sort. Sauf que coup de poker, plutôt que de nous remettre en cage, les propriétaires du zoo décidèrent de tous nous relâcher dans une réserve au Kenya. Bref, vous vous doutez bien que nous autres pingouins n'étions franchement pas très chaud à cette idée ! Avec notre connaissance de la marine et nos techniques de combat inimitables, nous parvenions à nous échapper de notre cage pour faire changer de cap notre bateau. On avait en revanche pas calculé que la violence du mouvement ferait tombés à la mer les 4 caisse contenant le lion psychotique et sa cour.
Mais bon à vrai dire on s'en fichait un peu tout ce qui comptait pour nous était de savoir qu'on était en route pour les terres glacées de nos ancêtres ! Nous nous en réjouissions tellement qu'une fois arrivés sur les lieux, nous étions pour le moins déçus. L'expérience était vraiment pas très jolie à voir et je me doutais rapidement que les expériences sexuelle des manchots hanteraient à jamais l'esprit encore fragile de notre pauvre petit Private. Personnellement, si j'étais plus enjoué, je devais bien admettre qu'après m'être amusé plusieurs jours j'en avait aussi rapidement raz le bec. Lassés, nous finissions pas quitter ces terres désolées pour rejoindre chauds rivage de l'île de Madagascar. Lorsque nous arrivions, nous retrouvions nos camarades du zoo en pleine panique. Leur camarade lion avait viré carnivore et menaçait de dévorés son ami monochrome. Comprenant qu'une nouvelle mission nous appelait, nous partions aidés nos amis de Central Park et combattions les foussas. Bon OK c'est pas nous qui les avons vaincu techniquement mais on s'était quand même pas ma battus au final. Nous avions même trouvés une solution de génie pour que le lion puisse se nourrir avec les sushis que préparait avec brio notre frère Rico !
Mais le lion psychotique et sa bande rêvaient malgré tout de repartir. Il faut les comprendre aussi, qui de sensé accepterait de passer toute sa vie en compagnie de lémuriens ? Il prirent donc le bateau qu'ils chargèrent de victuailles... alors qu'il n'y avait pas d'essence dedans. Bon d'accord j'avoue que c'était une blague un peu cruelle de ma part mais voir leur mine déconfite valait bien le coup. Ils étaient donc condamné à demeurer sur l'île pour un petit bout de temps. Mon unité se réjouissait quant à elle de pouvoir enfin prendre des vacances. Il est vrai que nos activités au zoo ne nous permettaient pas réellement de nous reposer. J'en profitais également durant quelques jours mais je finis bien vite par m'en lasser. Je vous l'ai dit je suis un hyperactif et l'idée de resté planté à rien faire sur un transat n'était pas du tout ma vision d'une vie heureuse et épanouie. Nous avions donc passé quelques semaines pour explorer les lieux et découvrir tous les dangers de cette dernière. Cela avait un petit côté excitant mais une fois encore je recommençais à m'ennuyer.
Il fallait que nous partions de cette île et le seule véritable moyen d'y parvenir était de récupérer la carlingue de l'avions où ce roi Julian de pacotille avait élu domicile. Il nous l'accorda de nous laisser emporter son palais et même de nous prêter des petites mains de lémuriens pour nous aider dans les réparations mais cela avait un prix. Julian avait besoin de protecteurs pour veiller sur son peuple. Il avait vu nous battre contre les foussas à notre arrivée et conclut donc que nous ferions l'affaire. J'acceptais alors son offre, après tout le combat me manquait et j'avais hâte de pouvoir en découdre avec quelques uns de ces mammifères carnivores. Vivant à présent au plus près des lémuriens, nous commencions à passer beaucoup de temps avec ces derniers. Il m'arrivait également de fréquenter le roi Julian qui pour une raison inconnue recherchait souvent ma compagnie. De mon côté, je vivais plutôt bien la situation. Car s'il avait le don comme personne de me taper sur le système avec toutes ses maladresses et ses excentricités, j'appréciais sa bonne humeur contagieuse et ses préoccupations envers son peuple dont il souhaitait réellement obtenir le bien-être. Mais la rencontre qui a réellement chamboulé ma vie c'est dans le cockpit de l'avion de Julian que je l'ai faite. Parmi toutes les merveilles que contenait cet avion, Julian m'a fait rencontré une jolie petite poupée Hawaïenne qui se dandinait sur son socle de bois. Je suis immédiatement tombé sous son charme et je lui ai sorti le grand jeu. C'est comme ça que je rencontrais celle qui serait ma femme pendant plusieurs années.
Le jour où l'avion fut enfin réparés, nous embraquions avec les New-Yorkais ainsi que les singes et les lémuriens pour un voyage qui devait nous ramener à au zoo de Central Park. Tout du moins c'est ce que nous pensions car très vite Kowalski m'annonça une très mauvaise nouvelle. Nous étions en panne sèche de carburant et comme il le soulignait juste après un avion sans carburant... ben ça va pas très loin ! Nous nous préparions donc au crash de l'avion avec toute la classe qui sied à des manchots aussi forts que nous, c'est à dire tout en grâce et en finesse. Nous finissions par atterrir en plein milieu de la savane africaine. Et pendant que le lion psychotique et sa bande faisait du tourisme, nous travaillions sans relâche pour remettre en marche la carlingue. Les travaux devant durer de 6 à 9 mois avec 4 manchots et 2 singes, nous n'avions pas de temps à perdre. Les pièces mécaniques qui nous manquaient, nous les récupérions sur des jeep de tourisme. La technique était vraiment simple ce d'autant plus que les gens pas pas vraiment des futés on va pas se mentir ! Private faisait semblant de tombé raide mort devant la jeep ce qui attirait l'attention des touristes. De notre côté, nous avions tous le temps de récupérer le véhicule pour le ramener dans notre atelier de réparation improvisé. Nous reproduisions l'expérience à plusieurs reprises et avions alors suffisamment de matériel pour tout remettre à neuf.
Le problème c'est que les palmes c'est pas franchement des plus pratique pour faire carrière dans la mécanique. Fort heureusement pour nous, les singes arrivèrent bientôt avec une armée de congénères qui nous prêtèrent main forte. Grâce à cela, nous avions grand espoir de finir les travaux rapidement. Tout se passait très bien jusqu'au moment où les singes décidèrent de faire la grève. Une poisse pour nous autre manchots qui n'étions déjà pas en avance sur notre programme. On passais des heures à tenter de trouver une solution mais sans succès. En plus, hippopotame Gloria arriva bientôt pour nous faire comprendre que nous devions accélérer encore le mouvement. Finalement, ce furent les singes qui eurent raison de nous en nous montrant des photos de ma fiancée et de moi festoyant en pleine cambrousse. Grinçant du bec, je consentis enfin à leur accorder tout ce qu'il désirait. Notre avions pouvait donc décoller et nous volions au secours de la girafe Melman que cet espèce de timbré de Julian voulait balancé dans un volcan pour ramener de l'eau dans la savane. La question se régla cependant rapidement car nous profitions de notre sauvetage pour éclater le barrage construit par les touristes perdus dans la savane pour redonner leur précieux liquide aux animaux.
Enfin bref, tout finit pour le mieux dans le meilleur des mondes et sur une note on ne peut plus positive. Car figurez-vous que je finis par me marier avec ma poupée chérie et j'étais le plus heureux des pingouins. Afin de fêter cet évènement précieux, nous nous en allions en voyage de noces à Monaco avec mes hommes et les singes. Nous promettions au lion frappadingue et à son club de revenir les chercher. Sauf qu'on avait vraiment mieux à faire que de revenir dans ce trou perdu. Grâce à l'or et aux pierres précieuses que nous avions découvert dans la savane, nous passions un séjour de luxe entre bataille d'oreillers et jeu au casino. C'était vraiment le pieds !
Et puis comme tous les jolis rêves, il finit par se briser lorsque les New-Yorkais arrivèrent à Monaco pour nous retrouver. Ils devaient sans doute beaucoup nous en vouloir de ne pas être les chercher sauf que nous parvenions à y échapper. Et pendant que la présence de 4 animaux géants dans le casino faisait paniquer tous les clients, nous nous enfuyions grâce notre super 4X4 enrichis à l'énergie nuculaire de Kowalski. Mais alors que nous nous croyions tirés d'affaire, la brigade des animaux dirigées par le capitaine Chantal Dubois vint à notre poursuite pour nous enfermer. Il s'engagea alors une course démentiel entre ses agents et nous autre animaux. Je dois bien admettre que la course était tout bonnement démentielle. Le capitaine Dubois était une des plus féroce et déterminée adversaire qui m'était donné de rencontrer. Honnêtement, je crois que j'eus rarement l'occasion d'autant m'amuser que ce jour-là. Bien sûr, nous nous en sortions grands vainqueurs et c'est à bord de notre super avion que nous nous enfuyons, destination la cité de la Grosse Pomme !
Ouais enfin ça c'était sans compter sur une deuxième crash d'avion causé par les dégâts que notre course poursuite avait engendrés. Sauf que cette fois-ci on avait plus d'espoir de pouvoir un jour le refaire voler. Nous nous retrouvions donc sans véhicule avec la brigade des animaux toujours à notre poursuite. C'est alors qu'un miracle se produisit. Nous croisions la route d'un train de cirque où les animaux accueillir les New-Yorkais avec plaisir. Enfin ça c'état bien évidemment sans compter sur le tigre russkoff qui ne croyait pas aux pitoyables excuses du lion psychotique qui avait prétendu être des animaux de cirque pour monter dans le train et sauver leur peau. Fort heureusement pour eux, votre serviteur était présent avec les malles pleines de pierres précieuses. Pour calmer le jeu, nous achetions le cirque à un directeur qui dieu sait pour quelle raison n'avait cessé de rire durant toutes les négociations. On commençait alors à comprendre qu'on aurait mieux fait d'investir nos économies dans quelque chose de plus utile, comme les études du petit Private qui rêvait de devenir président !
Nos craintes furent confirmées lorsque nous nous rendions à Rome au milieu d'un stade qui ressemblait à taudis de l'Epoque romaine pour y donner une représentation. Là on put constater les étendues du désastre avec des animaux dont les numéros étaient plus pitoyables les uns que les autres. Tout risquait alors de voler en fumée, notre rêve d'aller à Londres pour être recruté par le promoteur américain et rentrer chez nous était tomber en fumée. Pour avoir un espoir de sauver la situation, les artistes devaient revoir entièrement leur numéro et nous donnions notre aide avec le numéro de boulet de canon donné par la drôle d'otarie à l'accent Rital et par notre compagnon monochrome. Le reste du temps nous regardions avec une certains inquiétude l'avancée du capitaine Dubois et de ses hommes toujours à notre recherche.
Repartis en direction de Londres, tous les animaux purent montrer les tours étonnants qu'ils avaient appris et répété et le contrat avec le promoteurs américain put être signé. Tout se passait pour le mieux dans le meilleur des mondes sauf que le capitaint Dubois finit par nous retrouver, dévoilant alors à tous les animaux présents la supercherie sur le fait que le lion psychotique et sa bande qui avaient entrainés tous les autres animaux dans leur délire d'être des animaux de cirque n'était en réalité qu'un traquenard. Les animaux déçus avaient rejetés les New-Yorkais pour les renvoyer dans leur zoo de Central Park. Nous pensions que tout était fini jusqu'au moment où Julian revint au cirque complètement défoncé avec l'envie de reconquérir le cœur de l'autre stupide ourse dont il s'était entichés. C'est alors que nous comprîmes que les animaux bien que revenus au zoo étaient en danger. Le capitaine Dubois ferait son possible pour récupérer la tête du lion qu'elle rêvait d'afficher sur son mur. Bien sûr c'était sans compter sur notre opération de sauvetage "Afro cirque" qui permit à tous les animaux de cirque de sauver leurs amis. Le périple du lion psychotique et de sa bande s'arrêtait donc là... ils avaient enfin trouver leur place dans ce monde ! Ils seraient des animaux de cirque et nous les suivions bien évidemment, après tout nous étions encore les proprios du cirque.
Et puis vient le moment de notre toute dernière aventure dans ce monde des contes. C'était le jour de l'anniversaire de Private. Notre petit manchot venait tout juste de fêter ses dix ans et il nous fallait un cadeau très spécial pour fêter ce grand évènement comme il se devait. Nous décidions donc d'aller cambrioler le Fort Knox, véritable forteresse imprenable, sauf pour les manchots d'élite que nous étions. Une fois après avoir franchis les murs de cette forteresse, nous nous rendions directement dans la cafétéria pour récupérer ces petites merveilles de chips qu'étaient les Cheezy Dibbles. Manque de chance, nous nous retrouvions face à un distributeur récalcitrant qui plutôt que de servir ses clients, préféraient les avaler pour mieux les enlever. Finalement, il s'avéra que les tentacules qui nous avaient enlevées appartenaient à une méduse et que le QG Top Secret où il nous avait emmené était le repère de Dave la Pieuvre. Un ancien de nos ennemis jurés, tout du moins c'est ce qu'il prétendait étant donné que ni mes frères ni moi ne nous souvenions de lui. Il nous sortit alors un discours larmoyant sur le fait qu'il n'était qu'une pauvre petite pieuvre qui s'était retrouvée rejetée de zoos en zoos parce que les manchots trop mignons lui volaient toujours la vedette. Il nous parla alors d'une machine qu'il comptait utilisé et qui marchait avec un sérum de méduse dont nous parvenions à nous emparés avant de nous évader avec toute notre classe habituelle.
C'est après une course poursuite mémorable dans les rues de Venise avec les méduses que nous retrouvions bloqué dans une ruelle. C'est là que nous rencontrions pour la première fois l'agence du Vent du Nord. Une espèce de bande de gros ma-tu-vu avec à leur tête un clebs que je haïrais toute ma vie et qui portais le nom de Confidentiel. Les agents nous avaient alors ramenés à leur base pour nous interroger longuement sur l'identité et les intentions de Dave. Mais pendant que nous démontrions par A + B pourquoi on était meilleur qu'eux malgré notre amateurisme, Dave apparut à l'écran pour nous expliquer que la petite fiole de sérum que nous avions en notre possession n'était qu'une infime partie de la grosse production qu'il avait en sa possession.
Puis... il n'eut plus rien. Ce fut le grand trou noir alors qu'un nuage violet s'emparait de tout ce qu'il y avait dans les environs pour nous envoyer dans un tout nouveau monde créer par l'égoïsme de la Méchante Reine connue sous le nom de Régina Mills.
Votre Vie à Storybrooke.
Les souvenirs que nous avons vécus durant les 28 premières années que nous avons passés dans cette ville n’étaient peut-être que des mensonges, il n’empêche que tous ces souvenirs nous collent aux rangers comme ceux que nous avons vécus dans le monde des contes. Quoiqu’on en dise ils ont eu une influence capitale sur nos existences et la mienne ne fait pas exception.
Dans cette vie j’étais le fils d’un grand officier de l’armée américaine, le capitaine Dylan McMillan. Ma mère était une jeune prostituée pakistanaise qu’il avait rencontré sur le front. Eh ouais je sais, c’est pas très glorieux comme origine mais s’il est une chose que l’on ne choisit pas dans la vie c’est bien nos parents ! Ils se sont rencontrés durant la première guerre d’Afghanistan en plein milieu de la guerre froide. Comme bien souvent, les ruskoffs cherchaient à prendre l’avantage sur les Etats-Unis sur tous les terrains et bien évidemment, sur le plan guerrier également. La rencontre de mes parents s’est donc faite sous fond de guerre froide. Les pakistanais étaient les alliés des américains et ils ne renonçaient donc jamais à les accueillir chez eux et leur fournir tout ce que leur porte-monnaie pouvait acheter. Il en allait de même pour les filles de joie qui n’appréciaient rien de mieux que les américains qu’elle connaissaient pour être de très bons payeurs. Malgré le côté très professionnel de leurs relations, mon père est venu régulièrement retrouver ma mère. C’est comme ça qu’il a apprit qu’elle était enceinte de lui.
Ma mère ne pouvait bien évidemment pas se permettre de garder l’enfant avec elle. Plutôt que de se contenter de m’abandonner, elle me confia aux bons soins de mon père. Ce dernier acceptant ravi, revins aux Etats-Unis pour m’offrir la vie dont il rêvait pour moi. Il faut que vous sachiez que les Etats-Unis ont un très bon système social. Certains camps militaires proposent de véritables banlieues pavillonnaires abritant les familles de soldats qui sont réellement chouchoutées. Elles disposent d’un système de santé ouvert à toutes les bourses, de très bonnes écoles pour les enfants… bref au niveau de mon environnement, même si je vivais seul avec mon père j’étais véritablement gâté. Il me gâtait comme une véritable mère poule et veillait sur moi nuits et jours. Pour bien s’occuper de moi, il avait même demandé son retrait du terrain pour gérer l’administration aux camps. Compte tenu de la situation, les officiers avaient bien évidemment accepté et je vécu avec lui les dix plus belles années de mon existence. J’aimais énormément mon père qui a mes yeux était un véritable héros. C’est lui dan ce monde qui m’avait transmis sa passion pour l’armée et j’étais persuadé que je finirais un jour par en faire partie.
Lorsque j’atteins l’âge de dix ans, mon père ayant une envie folle de retourner sur le terrain avec ses hommes, me confia aux bons soins de son amie Caroline qui était déjà la maman de trois gamins de mon âge. Personnellement, j’étais triste de voir mon père partir en mission mais je n’avais pas à me plaindre de la vie que j’avais avec eux. J’ai passé plus d’une année à vivre ainsi. Profitant des moments où mon père était en permission chez nous, je poursuivais mes activités de petit garçon studieux bien qu’un peu turbulant. Et puis un jour, l’avion de mon père fut abattu par un chasseur russe dans le désert de l’Afghanistan. Mon père mourut ainsi et je me retrouvais à présent orphelin de parents, puisque ma mère ne voulait pas se charger de mon éducation. Il fut alors décidé que je serais envoyé chez mes grands-parents paternel en Angleterre. C’est de là-bas que mon père était à moitié originaire et s’il avait quitté ce pays c’est parce qu’ils s’étaient brouillés très fortement avec eux.
En les rencontrant, je compris très vite pour quelle raison. Alors que je m’attendais à vivre auprès de ma nouvelle famille, ces derniers me rejetèrent tout bonnement. Ils refusaient de se charger d’un enfant bâtard dont la mère n’était qu’une vulgaire prostituée. Je finis donc à l’orphelinat, privé cette fois-ci de toute famille. Fort heureusement pour moi, j’avais suffisamment de force et de caractère pour en venir à me créer ma propre famille. A l’orphelinat j’y rencontrais Euclide puis Ricardo qui devinrent bien vite mes meilleurs amis et mes frères de sang. Ensemble, on faisait les 400 coups dans les couloirs de l’orphelinat et il arrivait bien souvent à nos éducateurs d’être véritablement à bout de nerfs à force de nous voir les faire tourner en bourrique. Quelques années plus tard, Stoyan rejoignit notre bande.
De tout temps, nous savions qu’avec notre mauvaise attitude personne ne voudrait nous adopter mais à vrai dire on s’en contrefichait. Après tout, aucune famille ne serait prête à accueillir 4 jeune homme chez elle et encore moins des enfants aussi turbulents que nous. Quoiqu’il arrive nous savions que jamais rien ni personne ne parviendrait à nous séparer ! Mais notre belle certitude finit par voler en éclat le jour où les parents biologiques de Kowalski revinrent miraculeusement dans sa vie pour placer leur asperger de rejeton dans un internat. Pour moi, il était hors de question d’accepter cet état de fait. Tout d’abord parce que je savais que Euclide y était terriblement malheureux et ensuite parce qu’il était hors de question que quoi que ses soit vienne me priver de mon meilleur ami, du petit surdoué que je m’étais toujours imaginé un jour avoir comme lieutenant dans ma propre unité de soldats. Pour convaincre ses arrivistes de parents qu’il était hors de question pour nous d’accepter cette situation, nous déclenchions un incendie et récupérions Kowalski.
Comme il était impossible d’espérer revenir à l’orphelinat un jour, nous décidions de nous trouver une petite collocation pour nous 4. Après tout, nous étions suffisamment grands pour nous en sortir tous seuls. Etant donné que nous chance étaient bien mince de nous en sortir dans notre vie de squatteur, Ricardo et moi nous nous lancions dans le trafic d’armes. C’était certes pas l’activité la plus reluisante de toutes mais cela nous permettait au moins de survivre. Pendant ce temps Kowalski, qui voulait s’assurer que Stoyan aurait une vie digne, lui donnait cours chez nous. Cela a duré quelques temps et heureusement jamais nous ne nous sommes fait prendre. Nous finissions par laisser nos magouilles derrière nous afin d’en profiter pour voyager et faire oublier cette histoire. Nous avions gagné suffisamment d’argent pour nous permettre de voyager et c’est ce que nous faisions. Mais les meilleures choses ayant une fin, nous nous commencions à nouveau à rencontrer des difficultés financières. C’est là que je lançais un défi à mon informaticien de gêner, pirater la banque de l’OTAN pour alimenter nos comptes en banque.
Kowalski s’était alors tellement bien débrouillé qu’on finit par se faire coincer. Dès lors, deux choix s’offraient à nous. Soit nous finissions nos jours en prison soit nous acceptions le marché de l’organisation du Vent du Nord. L’agence d’espion internationale ayant remarqué notre génie désirait que nous travaillions pour eux. Avec une brève concertation entre nous, nous acceptions leur offre. Après tout, je ne voulais pas que le petit Stoyan gâche sa vie aussi bêtement et Kowalski et Ricardo étaient tous deux extrêmement enthousiastes à cette idée. J’acceptais dès lors notre nouvelle vie mais très vite les choses se gâchèrent très rapidement entre Cain et moi. Possédant tous les deux des égos de coq, il était inenvisageable de ne pas nous disputer pratiquement quotidiennement.
N’en pouvant plus de cette situation, je choisis de réaliser mon rêve de rejoindre les rangs de l’armée américaine. Après tout, notre accord était de servir notre pays d’une manière ou d’une autre. Quel plus bel engagement pouvais-je prendre dès lors que celui-ci ? D’autant plus que même si j’avais de la peine à me l’avouer, j’avais vraiment honte du comportement que j’avais eu durant toutes ces années. Toutes ces magouilles étaient à des années-lumière des valeurs qu’avait tenté de m’inculquer mon père. Je me devais de faire quelque chose de ma vie, ne serait-ce que pour honorer correctement sa mémoire. Je n’avais pas prévu que Stoyan vienne avec moi mais sa loyauté était terriblement touchante et puis après tout, rien de grave ne pouvait nous arriver, n’est-ce pas ?
Engagés dans le corps des marines, nous participions à la nouvelle guerre qui avait lieu en Afghanistan. M’étant fait très rapidement remarquer aussi bien par ma formation brillante que par mes faites d’armes, je gravissais rapidement les échelons hiérarchiques pour finir capitaine de ma propre unité de soldats. Une distinction dont mon père aurait été très fier, j’en étais persuadé. Mon commando comptait en tout 6 hommes dont mon lieutenant Hans Pedersen, mes soldats Isaac Manfredi et Ben Johnson et mon petit Stoyan qui se débrouillait comme il pouvait dans ce monde d’adultes. Ensemble, nous étions rapidement devenus une équipe dont tous vantaient les mérites. Nous remplissions nos missions avec succès et durant des mois nous étions véritablement au top. Tout du moins nous l’étions jusqu’au moment où Hans, cet homme auquel j’aurais confié ma vie sans hésiter une seconde, ne vienne à nous trahir.
Je ne m’attarderais pas longtemps sur les différents évènements de cette journée. Le traumatisme est encore trop vivace dans ma mémoire et la mission beaucoup trop secrète pour être dévoilée au grand jour. Sachez seulement qu’après que Hans ait trahi notre position à l’ennemi, nous avions été emprisonnés. Beaucoup d’hommes périrent ce jour-là et je perdis Manfredi et Johnson d’une manière véritablement atroce. Quant à ce pauvre Stoyan, il expérimenta les pires tortures que l’armée afghane avait dans leur paquetage. Jamais je n’oublierais les cris de la plus jeune de mes recrues. C’était tout simplement intenable !
A la suite de cette missions, Stoyan et moi avons été rapatriés aux Etats-Unis. La vie était terriblement difficile à ce moment-là. J'avais beaucoup de peine à chasser ses horribles images de mon esprit. Bien que Private soit à mes côtés, je noyais mon chagrin et ma culpabilité dans la bière et le mutisme. Jamais personne n'eut connaissance de ce qui s'était passé, ni pourquoi j'avais été relevé de mes fonction avec cette cuisante échec. Même Kowalski qui pourtant avait toujours été mon confident numéro un n'en avait jamais rien su. Pourtant, c'était bien lui que je réclamais à corps et à cris durant toute cette longue période qu'avait duré notre captivité en Afghanistan. J'espérais tellement que mon frère soit à mes cotés... et maintenant que je n'aurais eu qu'à tendre la main pour venir réclamer son aide je n'en faisais rien. Je continuais à m'enfoncer et si la Sauveuse n'était pas intervenue dans notre vie, il est probable que j'aurais cumulés des méfaits qui m'auraient tout droit menés en prison.
Votre vie après la malédiction.
Et maintenant que tout était revenu à la normale, que nous avions retrouvé nos identités passées, qu'allions-nous faire ? Mes hommes me manquaient atrocement, particulièrement maintenant que je pouvais me rappeler de toutes ces aventures que nous avions partagées ensemble. J'avais terriblement envie de retrouver le commando que j'avais fondé et entraîné autrefois. Mais la condition pour ceci aurait été que je revienne travaille à l'agence du Vent du Nord aux côtés de ce sale clebs de Confidentiel. Si j'étais prêt à beaucoup de sacrifice pour retrouver les pingouins que j'avais laissés derrière moi, je n'étais certainement pas prêt à rampé devant un chef pour lequel je nourrissais une haine encore plus grande que celle qui m'habitait auparavant.
Pourtant, je ne pouvais pas continuer à m'enfoncer dans les idées noires que je nourrissais avant la fin de la malédiction. Private avait toujours besoin de moi et je me devais de me montrer fort pour offrir à ma plus jeune recrue un exemple dont il pourrait terriblement fier. Je décidais donc de reconstruire ma vie de manière saine et je me tournais vers la seule personne qui pourrait m'offrir un job qui me permettrait de veiller à tous les besoins de mon p'tit gars. Tout comme je l'avais fait à Madagascar, je me tournais vers l'ancien roi Julian. Vous dire à partir de quel moment j'associais la fierté que je voulais inspirée à Private et le fait de faire partie des larbins de celui que j'avais toujours surnommé "Queue Rayée" me serait très difficile ! Aujourd'hui encore, cela échappe totalement à mon raisonnement. Toujours est-il que j'en vins à travailler comme agent de sécurité dans la boîte de nuit que ce mégalo avait fait construire comme s'il s'agissait de son ancien royaume.
J'imaginais alors le pire à l'idée de travaillais pour lui mais curieusement, les choses se passaient bien mieux que ce que j'avais imaginer. Oh bien sûr j'avais dû supporter tout le cortège d'admiration de ses clubeurs qui se traînaient à ses pieds, l'arrogance bien connue de Queue Rayée qui aimait s'en nourrir mais cela ne représentait que petits inconvénients au regard du salaire qui compensait largement la vision de ses chevilles enflées. Et puis je devais bien avoué que j'aimais l'idée de retrouver ce semblant de complicité qui nous liait autrefois. C'était comme si la malédiction n'avait pas pu les altérer. Au contraire, elle n'avait fait que les renforcer sans doute à cause de notre changement d'apparence qui effaçait encore les distances entre nous. Et puis fréquenter les clubeurs de Julian n'était pas une expérience si désagréable que cela. Il y avait des hommes et des femmes très intéressant à fréquenter et qui étaient à mille lieux du peuple des lémuriens que j'avais connus à Madagascar. Bien sûr, je connus quelques uns d'entre eux personnellement. Ayant toujours été du genre frivole, certains étaient devenus mes amants et mes maîtresses par la force des choses. Cependant, j'étais loin de pouvoir retrouver dans ce club le frisson que me procurait nos mission et l'aventure en général. C'est pourquoi, lorsque Julian me proposa de devenir son garde du corps personnel, je pris le parti de partir. Quelle que puisse être son prix, c'était bien trop cher payé à mon goût. C'est pourquoi, je pris le parti de quitter le service de Julian pour revenir travailler avec l'agence du Vent du Nord... et puis surtout avec mes hommes !
Les premiers mois de cohabitation avec Cain n'avaient à nouveau pas été des plus évidents. Certes les missions dans lesquelles il nous envoyait était passionnante. Mais elle supposait également une trop grande soumission à l'autorité de ce sac à puce et c'était quelque chose que je ne pouvais accepter. Refusant de se priver une fois de plus des manchots, il nous proposa alors de fonder notre propre commando appelé Madagascar. Cette situation me convenait très bien et même si je devais encore serrer les dents quelques fois j'avais enfin l'impression de retrouver l'air du bon vieux temps. Aujoud'hui encore, les manchots font régner l'ordre et la justice dans les rues de Storybrooke ! J'en suis très heureux mais je vous avoue que j'attends encore secrètement le jour où nous pourrons enfin redevenir notre propre commando autonome.
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Dinah Price « J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Emma Roberts
Doodle takes dad's scissors to her skin
And when she does relief comes setting in
While she hides the scars she's making underneath her pretty clothes
She sings: Hey baby can you bleed like me?
| Conte : Wonderland | Dans le monde des contes, je suis : : Dinah, le chat d'Alice
| Cadavres : 788
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| Re-bienvenue par ici ! Un nouveau pingouin dans l'équipe ! Et très bon choix d'avatar |
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E. M. Kowalski « J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Cadavres : 1158
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________________________________________ 2020-04-21, 22:31 |
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Jean-Balthazar Trapp « J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Liam Hemsworth
*Laisse moi faire quelque chose pour toi pour une fois...*
*bug...*
| Conte : L'étrange Noël de Monsieur Jack et les légendes urbaines | Dans le monde des contes, je suis : : Le fils du Père Fouettard
| Cadavres : 686
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Eloise A. St-James « J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Eva Green
| Conte : Hercules | Dans le monde des contes, je suis : : Athéna
| Cadavres : 4329
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________________________________________ 2020-04-21, 22:42 |
| Jake Re bienvenue ^^ |
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Llwynog F. Foxley « J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Mark Fischbach
Should I try to hide the way I feel inside my heart for you?
Would you say that you would try to love me too?
In your mind could you ever be really close to me?
| Conte : Five Nights At Freddy's | Dans le monde des contes, je suis : : Foxy, le renard pirate
| Cadavres : 199
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Alastor J. Reedio « J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Thomas Doherty
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Early in the morning I still get a little bit nervous
Fightin' my anxiety constantly, I try to control it
Even when I know it's been forever I can feel the spin
Hurts when I remember, I never wanna feel it again
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I don't wanna lose control
Nothing I can do anymore
Tryin' every day when I hold my breath
Spinnin' out in space pressing on my chest
I dOn'T wAnNa lOSe coNtRoL
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| Conte : Hazbin Hotel ♦ Black Butler | Dans le monde des contes, je suis : : Alastor ♦ Undertaker
| Cadavres : 773
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________________________________________ 2020-04-21, 23:58 |
| TELLEMENT CLAAAAAAAAAAAAASSSSEEEEEEEEEEEEEEEEE REIBENVENUE |
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Skylar T. McMillan « J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Jake Gyllenhaal
"Si tu veux mon avis Kowalski, même quand tu passes une journée horrible, il y a toujours un truc de pire qui peut arriver. Par exemple..."
"Bonjour mon petit peuple à moi. Soyez joyeux, votre roi est arrivé !"
"Ouais enfin tu vois ce que je veux dire."
"Je vais passer les prochains mois à me battre aux côtés de mecs qui ne t'arrivent même pas à la chevilles. Je vais finir par m'ennuyer, moi."
| Conte : Madagascar | Dans le monde des contes, je suis : : Le commandant Skipper
| Cadavres : 1024
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________________________________________ 2020-04-22, 01:32 |
| Ooooh mais merci à tous pour vos messages d'accueil ça me fait super plaisir !! Je suis contente que mon choix d'avatar vous plaise... en même temps je me suis tapée les épreuves du défis d'Hercule depuis hier pour être sur de l'avoir ! Cette tragédie quand un acteur ressemble tellement au perso que vous vous dites que vous ne pourrez jamais de feat plus parfait ! @ Chess J'ai ri en voyant ton post.... je crois que tu ne m'en as jamais donné autant dans un sujet de présentation !! Mais ça me fais super plaisir de savoir que ça te fasses autant plaisir Comme ça on est deux ! - Citation :
- MON BRO CASSE COUILLE
Ouais ouais pour la peine tu me feras 30 pompes Kowalski Quoique l'idée de droguer Julian pour éviter qu'il me saute dessus et pas si mauvaise... je lève la punition !Le pire c'est qu'en vrai c'est moi qui t'es poussée pour faire ce PV. Dès que tu avais lancé Kowalski je t'avais dit que Skipper serait pour moi. Eh ben c'est chose faite ! Je ne manquerais pas de venir t'embêter en cas de questions ! @ JB J'aime quand on me brosse dans le sens de la plume, soldat ! Bref merci beaucoup pour ton message d'accueil... j'ai hâte de voir le reste de la troupe nous rejondre ! @ Rafael Merciii beaucoup pour ton message adorable ! Je suis contente que ça te fasse plaisir ! @ Alastor Merciiii beaucoup !!! |
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E. M. Kowalski « J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Cadavres : 1158
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K. Julian Andrianamady « J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Robert Sheehan
| Conte : Le plus beau, le plus grand, le plus génialissime des rois de Madagascar | Dans le monde des contes, je suis : : King Julian Baby
| Cadavres : 342
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________________________________________ 2020-04-23, 22:05 |
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