« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
J’avais été pas mal occupé au bureau dernièrement. A croire que plus la fin de l’année, plus les gens décidaient qu’il était temps d’expédier leurs divorces ou affaires d’héritages avant la toute fin de l’année et les fêtes qui l’accompagnait. Résultat, je n’avais fait que des sauts rapides à la maison et même lorsque j’y étais j’étais enfermée dans le bureau à travailler sur mes dossiers. En résumé, Simba et Tama se retrouvaient un peu tout seul. Si Anita, m’avait appelé pour me rassurer et me dire que ma fille passait pas mal de temps avec la sienne, je me disais qu’il serait temps de m’occuper un peu de mon fils. Heureusement, aujourd’hui j’avais posé un jour de congé et j’étais bien décidé à lui faire une surprise.
L’idée m’était venue le week-end dernier en allant chercher le courrier. En effet, un prospectus concernant une fête foraine installée à Portland s’était glissé dedans. Entre le stagiaire que j’avais eu à la rentrée, et maintenant la montagne de dossier qui s’accumulait sans j’en avais l’impression ne jamais diminuer, il était à mon sens plus que temps que je passe du temps avec Samuel. Et justement, ce prospectus était tombé à point nommé.
Il était généralement difficile de faire quelque chose à la fois avec Simba et avec Tama. Depuis qu’elle avait retrouvé ses souvenirs de lionne, elle rejetait en bloque toute sa vie sous la malédiction. Les fêtes foraines, et autres Parc d’attraction étaient donc impossible à faire avec elle, ce que je regrettais fortement d’ailleurs. J’aurais aimé pouvoir faire quelque chose avec mes deux enfants en même temps, mais Samuel n’avait pas exactement les mêmes loisirs que sa sœur et vice versa. En tout cas, après avoir contacté ma meilleure amie qui m’avait assuré, qu’elle veillerait sur Krystal même pendant une journée, j’avais tout concocté pour que ce soit une surprise mémorable.
Ce matin, je m’étais levée avant lui ce qui n’était pas vraiment compliqué. J’étais toujours debout avant lui ou Tama, une habitude de maman il semblerait. Il s’agissait néanmoins d’une habitude plutôt utile, puisque j’avais pu sortir tout ce qu’il fallait pour faire la pâte à pancakes. Une fois ces derniers réalisés, je sortie le beurre, et le sirop d’érable que je posais sur la table, le dressage terminé il était temps pour moi de m’occuper du principal intéressé. Si je ne le réveillais pas, nous allions rater l’ouverture de la fête foraine et comme Portland n’était pas non plus à vingt minutes de route mieux valait s’y prendre tôt. Je délaissait donc la table de petit déjeuner le temps de me rendre à l’étage et de frapper doucement à la porte de mon fils :
- Samuel, petit déjeuner. Dépêche toi, ça va refroidir si tu traîne trop.
Sur ces paroles, je lui laissait le temps d’émerger en faisant le chemin inverse. Comptant environ cinq minutes, j’entendis du bruit à l’étage signifiant qu’il était vraisemblablement en train de se lever. Je me servis donc un mug de café, songeant que maintenant qu’il allait arriver je pouvais le faire sans crainte que cela ne refroidisse. L’idée étant bien évidemment que l’on petit déjeune ensemble. Avec mon emploie du temps surchargé, je n’avais pas eu le loisir de le faire. Même les week-end, étaient synonyme de travail puisque j’avançais sur mes dossiers. Mais là, j’avais réussit à tout boucler en avance, j’étais donc tranquille de passer du temps en famille. Et comme mes pronostiques s’annoncèrent plutôt correcte, Samuel apparût dans l’escalier, les cheveux encore à moitié ébouriffé certaines choses ne changeraient jamais…Délaissant mon mug, je m’approchais de lui afin de donner une allure plus descente à sa tignasse :
- Et interdiction de me dire que je t’embrouille la crinière le mis-je en garde
Surtout que je ne faisais que la lui remettre en place. Ça partait vraiment dans tous les sens, si bien que je me demandais s’il ne s’était pas battu avec son oreiller cette nuit.
- Voilà, tu ressemble enfin à autre chose qu’à un épouvantail plaisantais-je. Allez assied-toi, j’ai fait des pancakes.
D’un signe de la main, je lui désignais le plat au centre de la table sur lequel ils trônaient tandis-que je prenais place face à lui. Tranquillement, je garnit mon assiette avec, et coinçant un petit morceau de beurre entre chaque j’arrosais le tout de sirop d’érable avant de le passer à Simba :
- Je te conseil de bien manger, puisque nous n’allons pas rester là toute la journée. Ce n’est que la partie numéro une de ta surprise. D’ailleurs, je t’annonce que ton petit déjeuner terminé tu as 10 minutes montre en main pour te doucher et t’habiller. Mais pour l’instant profite.
Quant à moi, j’en profitais pour lui poser quelques questions, prendre des nouvelles, m’enquérir innocemment de l’avancé des choses avec Nala, et embrayer sur le sujet de l’emploi. Je savais, que ça n’avait pas été facile dernièrement, avant d’être occupé par mes dossiers, je l’avais vu revenir plus d’une fois complètement dépité après un entretien ou une tournée pour déposer ses cvs. Samuel avait pourtant de nombreuses capacités qui ne demandaient qu’à être révélé et je ne souhaitais de tout mon coeur qu’une seule chose : que quelqu’un s’en rende compte et lui laisser sa chance une bonne fois pour toute. C’était frustrant en tant que parent, on ne pouvait s’empêcher de se poser tout un tas de questions sur la manière dont on avait élevé ses enfants. Sur la terre des lions, Simba m’avait été arraché bien trop jeune. Je l’avais cru mort pendant des années, et tout d’un coup à l’âge adulte le voilà subitement revenue. Après la bataille pour reprendre notre royaume, tout un tas de sentiments m’avaient traversé : la rancune, car Scar m’avait privé de mon droit d’être mère, la culpabilité parce que j’avais cru à ses paroles, la crainte car il avait grandit loin de moi, un fossé s’était-il crée à présent ?
Si la malédiction m’avait donné de faux souvenirs, le résultat était au fond le même. Alors, je m’étais à nouveau posé des questions : est-ce que ma dépression à la fin de cette dernière avait quelque chose à avoir avec l’incapacité de trouver du travail qu’avait Samuel ? Est-ce que cela venait de la terre des lions ? On ne peut pas s’empêcher lorsqu’on est parent de se remettre en cause, lorsque nos enfants sont touchés et je n’étais ni la première ni la dernière à le faire.
J’avais néanmoins choisis de ne pas formuler mes interrogations à voix haute pour ne pas rajouter ni du stresse ni de la pression à mon lionceau. Il était peut-être un adulte, mais à mes yeux il resterait éternellement ce petit lionceau turbulent, qui réveillait tout le monde, parce que son père mettait trop de temps à émerger pour regarder le levé du soleil avec lui.
Je débarrassait le petit déjeuner une fois qu’il fût finit, laissant le soin à Samuel de faire sa toilette pendant que je préparais un sac à dos, plus pratique pour l’endroit où nous allions. Au bout de dix minutes, le principal intéressé de cette surprise était revenue et nous pouvions embarquer tous les deux dans la voiture direction Portland
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Samuel ne pouvait pas la défendre sur ce point-là. Il avait bien vu que sa mère n’était pas très présente dernièrement, beaucoup de travail, pourtant il ne lui en tenait pas rigueur. Il faisait sa vie de son côté. Mais, ce qui lui manquait c'était quand même de la voir plus souvent. Il avait certes Krystal avec qui il se chamaillent assez souvent. Cependant, c’était normal, s’était le devoir d’un frère et d’une soeur. Bon cela dit en évitant de retourner la maison tout entière serait pas mal en effet. Parce que après, maman pourrait se mettre à crier très fort. heureusement pour lui Krystal m’était les voiles pour qu’il puisse avoir la paix. Parce que madame, avait tendance à squatter le lit de ce dernier… Chose qu’il supportait pas vraiment. Il avait beau lui rabâcher, ça rentrait pas dans sa tête ou alors, elle s’en foutait royalement.
Le jeune lion avait donc pouvoir être tranquille, un petit moment, Krystal était parti donc Samuel avait la vie belle. Le lion en avait un peu marre de trouver toujours des refus pour ses demande de travail, il était passé par toute les solutions possible répondre à des demande d’emploi, candidature spontané, enfin quand il recevait des réponses. Parfois être humain n’était pas forcément parfait, les deux part de sa vie lui menait la vie dur. Il avait appris à survivre avec deux énergumènes un peu spécial, un phacochère et un suricate, c’était pas donné à tout le monde d’être élevé par le repas. Il lui avait tout de même sauver la vie. Sans eux il serait probablement mort dans le désert. Simba avait appris un nouveau mode de vie. Bon on va pas se mentir, c'était pas le meilleur mode de vie au monde. Genre, manger des insectes toute la journée, se la couler douce, et faire amis avec la bouffe s’étaient pas top, il le reconnaissait. Heureusement, que maintenant il ne mangerait pas d’insecte…
Difficile de faire quelques choses avec Tama et Simba ? Et comment, généralement ils se disputaient et ils n’avaient pas forcément les mêmes centre d'intérêt. Samuel allait faire comme chaque levé.. se préparer pour aller déposer des cv un peu partout dans la ville pour trouver du travail, même dans ce qui ne l'intéressait pas forcément. Il ne fallait pas être difficile de toute façon. Samuel était en train d’entendre des bruits pas venir dans sa direction. Il priait intérieurement que ce ne soit pas sa soeur qui revienne l'embêter. Mais, au vu de l’odeur, s’était sa mère. Il gardait les yeux fermer sa chambre était plongé dans l’obscurité total, il ne supportait pas de voir un brin de lumière filtrer quand il dormait. “Samuel, petit déjeuner. Dépêche toi, ça va refroidir si tu traine trop.” Hmm… il avait bien entendu petit déjeuner ? refroidir ? Qu’est ce que manigançait sa mère ? Elle n’était pas au travail ? Samuel émergeait doucement ouvrant les yeux tranquillement. Il lâcha un soupire, et finit par sortir de ses draps pour mettre un t-shirt et un jogging rapidement. Il se frotta les yeux lentement et s’étira. Sa mère avait donc préparé le petit déjeuner et au vu du menu ça sentait les pancakes, par chance, il adorait ça.. bon pour une fois, il allait faire un écart. Ses temps-ci Samuel faisait attention à ce qu’il pouvait engloutir, maintenant qu’il s’était mit au sport il suivait les indication de son coach. Le lion descendit donc les escalier doucement, pour éviter toute chute, on ne sait jamais, de nos jours un accident est si vite arrivé. Puis, il se mit en direction du petit déjeuner qui était soigneusement en train de l’attendre. Un léger sourire ourla les lèvres du lion en voyant sa maman.
Cela dit, il n’avait pas regardé l’état de ses cheveux et il s’en moquait un peu au réveil. Ennemi en vu, elle approche rapidement, pour s’en prendre à la tignasse de notre lion. On sentait déjà ses sourcils se froncer à l’approche de sa mère qui était en train de dresser les cheveux rebelle de son fils. Il allait en placer une quand elle lui répondit. “Et interdiction de me dire que je t’embrouille la crinière”.
“Maaannnnnn… ca y est jsuis propre… jpeux manger maintenant ?” dit-il avec un grand sourire.
Le scénario avait légèrement changé mais, ça restait la même chose, gardant son sourire, il déposait un baiser sur la joue de sa chère maman qu’il aime de tout son coeur. Samuel venait de faire une légère moue boudeuse, comment ça il ressemblait à quelques choses ? Un épouvantail ? Ah non s’était pas Samuel ça.
“Comment ça je ressemble à quelques choses, je suis toujours beau même en épouvantail, oh des Pancakes ! j’adore ça merci mannnn.”
Samuel, regardait ton la table qui lui était indiqué, mais sans ça, il avait repéré l’odeur alléchante des pancakes. Le lion s’était pas fait prier qu’il était déjà installer à la place qui lui était destiné en face de son succulent repas. Limite, il pourrait baver tellement qu’il avait les crocs. Hannn s’était tellement bon qu’il pouvait pas s’en priver. Sa mère s’était posé juste en face de lui. April avait arroser le tout de sirop d’érable mais, pour le lion s’était pas assez. Il prit donc, du sirop d'érable et en versa sans faire attention. Il venait quand même de mettre la dose de sirop d'érable.
Elle n’avait pas besoin de trop le mentionner, Simba comptait bien tout engloutir, on allait l’appeler Houdini, vu qu’il allait faire tout disparaître. Samuel commence à manger en répondant la bouche pleine.
“ouai.. fen fais pas fe compte bien Fou manfer sans rien laiffer” dit-il en déglutissant. “Surprise ? On va ou ? 10 minutes ? Hmm… ok… je me dépêche alors…”
Samuel, continuait son repas, qui était extraordinairement bon, de toute façon les pancakes s’était la vie. Y avait pas plus meilleurs sur la terre, enfin après l'antilope parce que ça s’était vachement bon aussi. A et les croissants aussi s’était bon. Samuel écoutait sa mère parler, a un moment de toute façon, il fallait bien qu’il lui dis. Prenant une profonde inspiration.
“Hmm.. et bien...avec Evie ça avance doucement, on est sorti en ville et ça c’est plutôt bien passé, je lui ai offert un bouquet, elle a trouver ca louche.. je crois que je m’y prend peut-être mal… mais je veux bien faire. La dernière fois j’ai été prit de panique.. fin.. j’ai fais le con.” dit-en soupirant doucement.
Visiblement c’est tout ce qu’elle aurait pour le moment sur le sujet, il était pas complètement bête sur le sujet. Il savait à quoi s’en tenir et ne pas trop en dire était peut-être bien mieux pour son coeur. Il ne voulait pas faire de faux espoirs à sa mère non plus. Le lion voulait reconquérir Evie, mais, il ne savait pas dans quel endroit aller. Il voulait cependant, y arriver par lui même.
“Pour le travail, j’ai déposer pas mal de candidature, soit on me répond pas… soit on refuse… a croire que ma tête ne leur reviennent pas, j’en sais rien, pourtant je suis motivé et sérieux, je fais pas mal de chose. Et je suis travailleur. Hmm… je me suis aussi inscrit à la salle de sport.”
Simba soupira encore une fois, en étant lion ca n’avait été très facile non plus, il s’était sentir coupable pour la mort de son père avait manqué de peu de se faire tuer par les hyènes. mourir dans le désert, il était seul et un nouvel avenir s’était offert à lui en tant que exilé. Il n’avait jamais oublié le visage de son père qui tombait de cet falaise… et il se sentait encore responsable de sa mort. Même si s’était entièrement la faute de son oncle. Tout à été bouleversé quand Nala était venu chercher de l’aide, et par la suite, il avait prit conscience que ça ne pouvait être que lui le roi,il avait donc vaincu son oncle pour prendre sa place dans de cycle de la vie. Mais, la malédiction avait tout relancer. Samuel, vivait encore avec cette culpabilité. Bien qu’il commençait à changer dans le bon sens.
Il n’en voulait pas vraiment non plus à sa mère, ce n’était pas sa faute, si elle devait travailler, non s’était la vie. Lui, il avait prit la décision de stopper ses études pour bouger. Il ne supportait pas les cours, il avait besoins de brasser, de ce défouler. Être manuel. Du contact, Samuel avait besoin de bouger, pour cette raison qu’il était assimilé à une pile. C'était le bon vieux temps tout ca. Il échangerait bien quelques chose pour passer du temps avec son père, il l’adorait, s’était son modèle, mais il savait qu’il veillait sur lui. S’était ce que faisait les rois. Mufasa était son père, mais, il était aussi un ami. Une fois qu’il termina son repas. Il se releva pour l’aider, néanmoins sa mère lui indiqua d’aller se préparer, ce qu’il avait fait rapidement pour être opérationnelle pour la mission secrète. Il se demandait ce que sa mère manigançait.
Enfin prêt et propre, habiller et plus éclatant que jamais. Et c’est en rentrant dans la voiture de sa mère, qu’il se demandait ou elle allait le conduire. Surprise ? Même la direction, il savait pas…
“Mannn ? on va ou ?”
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La curiosité, avait toujours été l’un des traits de caractère dominant chez Simba. Et c’était bien souvent cette même curiosité qui lui avait attiré certains ennuis lorsque nous étions sur la terre des lions. Pour l’heure, la question était : est-ce que je lui donnais de quoi la satisfaire ou bien est-ce que je l’entretenais encore un petit peu plus longtemps ? D’un côté, si je lui disais tout maintenant ce ne serait plus vraiment une surprise, et de l’autre je pouvais bien lui donner quelques indices. Cela ne ruinerait en rien l’effet désiré, et puis ce serait amusant. Enfin...Tout dépendait pour qui évidemment, disons que taquiner un peu son fils c’était un privilège réservé exclusivement aux mères. Un privilège dont il ne fallait pas non plus abuser certes, mais une fois de temps cela ne faisait de mal à personne. Et puis, ce n’était pas comme Simba n’avait jamais eu le droit de me rendre la pareille.
- Eh bien, si je te le dit ce ne sera plus une surprise. Mais repris-je coupant court à toute potentielle tentative de protestation, je peux te proposer de te donner un indice disons...Toutes les vingt minutes.
C’était après tout un bon compromis, et chacun y trouvait son compte. La curiosité de Samuel se trouvait satisfaite, quant à moi, je conservais un peu l’effet de surprise. Je n’avais pas prit cette journée pour rien après tout. Et au final, déléguer un peu ne faisait pas de mal. Nous en avions besoin autant l’un que l’autre, avant que je ne me remette à travailler il m’arrivait régulièrement de faire des journées a part rien que mère et fils. Quand j’avais décroché mon emploie en tant qu’avocate, j’avais eu plus de responsabilités et par moment des périodes de travail qui étaient extrêmement chargés si bien que je ne pouvais plus passer autant de temps qu’avant avec lui. J’essayais pour autant, de ne pas me laisser dépasser par le travail et veillait à actionner le bouton « stop » lorsqu’il y en avait besoin. Et aujourd’hui, c’était justement le moment d’appuyer sur ce fameux bouton.
- Voyons voir, le premier indice : ce n’est pas à Storybrooke. Alors, en voiture jeune homme.
Avec un sourire, je verrouillais la porte de la maison, laissant un mot au cas où l’une de mes sœurs viendrait à passer, et claquait la portière côté conducteur, laissant Samuel prendre place sur celle du passager avant d’allumer le moteur ainsi que le gps permettant de nous guider. J’avais déjà entré les coordonnés la veille afin de prendre de l’avance qui plus est avec ce genre d’engin nous n’étions hélas jamais à l’abri d’un caprice. La technologie pouvait être tout autant génial, qu’insupportable particulièrement lorsqu’elle décidait de tomber en panne ou bien de n’en faire strictement qu’a sa tête. J’avais également, attribué à Simba le titre ronflant de « chargé de la musique. » En résumé, c’était lui qui mettait de quoi écouter pendant que je conduisais, suivais les indications du gps et lui distillait des indices au compte goutte :
- Pour ton second indice : on y retrouve beaucoup de familles.
Je le regardais chercher du coin de l’oeil, dissimulant mon amusent. J’avais dit que je lui donnerais des indices, mais je n’avais pas dit qu’ils seraient forcément évident. Après tout, où serait le plaisir si la réponse était trouvé en cinq minutes ?
- Si ça peut te rassurer, tu vas aimer. Fais-moi confiance.
Je lui adressais un clin d’oeil complice, avant de reporter mon attention sur la route. Heureusement, le trafic était plutôt fluide aujourd’hui. D’un côté, j’avais fait en sorte d’éviter l’heure de pointe du matin, nous étions dans un jour de semaine et pas dans une période de départ en vacances. En résumé, aller jusqu’à Portland, ne s’avéra pas très compliqué et le trajet fût même plutôt rapide. Tandis-que l’on se garait sur le parking et que j’éteignais le gps, je laissais mon fils se rendre compte par lui-même de l’endroit où nous étions.
Évidemment, comme j’avais tout prévu à l’avance les billets étaient aussi acheté depuis un moment. Ainsi, nous n’aurions pas à faire la queue et attendre. Il y avait quand même pas mal de monde. Même si je supposais que c’était loin du pique de fréquentation qu’il pouvait y avoir durant les week-end ou les vacances.
- Tu vois, je t’avais bien dit que ça te plairait. Pour la journée, nous sommes tous les deux au Parc d’attraction.
Passant l’étape de fouille des sacs, je sortie nos billets tendant le sien à mon fils, pour le passer dans le portillon électronique nous permettant de franchir les derniers mètres nous séparant de l’intérieur. J’en profitais également, pour prendre au passage un plan. D’une manière général, ça nous aiderait surtout à nous y retrouver et savoir quelles étaient non seulement les attractions proposés mais également où elles se trouvaient et nous éviteraient de piétiner pendant d’interminables minutes en faisant limite tout le tour du parc à la recherche de ce que nous souhaitions.
- Alors, dis-je en dépliant le plan. Là où nous sommes, ils proposent : la maison hanté, le simulateur de vol ou bien le tir au laser. Qu’est que tu préfères ?
C’était après tout, pour lui faire plaisir que j’avais organisé cette journée. Il était donc normal de le laisser choisir. Pour ma part, tout m’allait. Je n’étais pas excessivement peureuse, alors les maisons hanté m’amusaient plus qu’elles ne m’effrayaient. C’était quelque part, probablement dût à mon « ancienne vie » car sur la terre des lions, nous n’avions pas le même rapport aux « esprits » que les humains. Pour nous, pouvoir communiquer avec les lions du passé était un privilège, et c’était Rafiki qui se chargeait d’en faire l’interprète. De plus, d’après ce qu’il m’avait dit c’était le fantôme de Mufasa qui était apparut à Simba pour le convaincre de revenir et prendre la place qui lui était dût dans le cycle de la vie. Ces « apparitions » étaient plus une bénédiction, qu’autre chose c’est pourquoi je n’étais pas spécialement effrayée par l’au delà, les fantômes et tout ce qui pouvait s’en rapprocher.
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La mère de Samuel n’avait pas tout à fait tort, Samuel en était tout à fait conscience que si sa mère lui disait ou ils se rendaient ça pouvait gâcher la surprise. Or, quand sa charmante maman lui avait proposer un deal, le fait de lui donner des indices toutes les vingt minutes. Le visage du petit Samuel s’était illuminé, et il trouvait ce jeu plutôt amusant. Et puis, au moins ca leur permettrait d’avoir un divertissement.
-Hmmm et bien, je suis plutôt d’accord alors, toutes les 20 minutes c’est correcte… Hmmm et ça c’est pas un indice man… Mais, je m’en contenterais
Samuel s’était glissé après ça dans la voiture attachant sa ceinture. En regardant sa joli maman qu’il aimait plus que tout, et à dire vrai, ça lui faisait plaisir de passer une journée avec elle. Cela n’était pas arrivé depuis si longtemps. Il avait donc un grand sourire au lèvre. Samuel avait donc décider de jouer le jeu, et ne prêta donc pas grande importance au Gps ni même à l'itinéraire. Le chargé de la radio… hmm qu’est ce qu’il allait bien pouvoir mettre pour que sa cher et tendre maman apprécie l’air.
-Un lieu où on trouve beaucoup de famille ? Hmm le parc ? la piscine ? Supermarché ? Cinéma ?
Sa main s’était mise à bouger pour changer les stations radio, passant du classique au musique de rap, d’ailleurs qui ne plaisait guère au jeune lion, A dire vrai, parfois à la radio c’était pas les meilleurs musique du moment, ou plus le genre que les jeunes écoutaient. Il avait franchi ce cap de toute façon. Non c’était pas évident parce qu’il y avait plusieur possibilité.
-Et j’espère bien si je me donne temps de mal pour trouver la réponse à cet indice, mais, j’espère aussi que tu vas aimer ?
Il sourit à son clin d’oeil, elle ne manquait pas d’idée la mère du jeune lion. Pendant le voyages, il était en train de chanter à tu tête, il n’était pas un grand chanteur mais, il se débrouille très bien. Il voulait tout aussi divertir sa mère, regardant le paysage défilés pour finir par se garer… hmm… ingénieux.. il n’était pas tout à fait loin de la vérité finalement. Parc… d’attraction.
-Mais c’est trop bien en fait ! t’as eu une idée géniale ! Mais j’étais pas loin dans mes réponses quand même.
Sortant de la voiture, il attendit que sa mère sorte se dirigeant vers l’entrée, bon la fouille s’était pas son truc avec les portique, il fallait être prudent, donc pas le choix que de les laisser faire. Quelques mètres les séparaient de l’entrée du parc. Une fois de l’autre côté. Il écoutait sa mère.. hmm.. la maison hantée était plutôt pas mal et le tir au laser… De toute façon, ils allaient sûrement tout faire Mais par quoi commencer ? Mais avant ça… il s’était avancé vers sa mère pour lui faire un immense câlin, ce n’était pas souvent que Simba pouvait faire une tel chose donc, autant profiter. Il restait un petit moment comme ça.
-Merci maman… d’avoir prit un journée pour moi… et je sais que ça n’est pas facile pour toi avec le travail. Et je dirais qu’on va commencer par la maison hantée !
Lui affichant un grand sourire, il avait sa maman pour tout une journée.
-Le second jeu.. c’est toi qui décide
Prenant sa main il était donc aller à la maison hantée.
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La maison hanté ce serait donc. Plan en main, je nous guidais Samuel et moi en direction de l’attraction, être arrivé tôt le matin c’était agréable, il n’y avait pas encore trop de monde et on pouvait prendre notre temps pour découvrir les lieux. Ça permettrait entre autre d’identifier les différents points pour se restaurer mais également, de potentielles attraction qui nous attireraient. Des fois c’était aussi bien de se laisser simplement porter par une envie spontanée, sans forcément prévoir à l’avance. Après tout, l’idée s’était de profiter et de s’amuser. Et puis, je comptais bien faire toutes les attractions avec mon fils. J’avais l’impression qu’il y avait une éternité où je n’avais pas prit du temps juste pour nous deux. Le travail s’accumulait et parfois, simplement savoir dire « stop » et laisser aux collègues ne serait sans doute pas de trop maintenant que j’y réfléchissais.
- Ravis que ça te plaise, j’essaierais de prendre plus de temps pour faire ce genre d’activités à l’avenir. Enfin, aussi longtemps que tu accepteras la présence de ta mère avec toi plaisantais-je.
J’avais de la chance. La plupart des jeunes passé un certain âge n’avaient plus vraiment envie d’avoir leurs parents dans les pattes. Que Simba, veuille encore de moi était une chance dont je profitais. Au fond, c’était peut-être un peu notre moyen de rattraper le temps perdu. Nous avions été séparé pendant si longtemps à cause des manigances de Scar et j’avais toujours un pincement au coeur en imaginant que je n’avais pas pu le voir grandir. J’évoquais rarement le sujet, mais c’était dure. D’apprendre la mort de Mufasa avait été éprouvant, mais d’apprendre que mon fils aussi était parti m’avait complètement anéantis. J’acceptais donc avec gratitude tous les moments que nous pouvions passer ensemble.
Comme il n’y avait pas encore énormément de monde, cela voulait également dire que les files d’attente n’étaient pas encore interminable. Pour entrer dans la maison hanté, il n’y avait que 5 minutes à attendre. Ce serait donc rapide, et d’ailleurs la « foule » semblait perpétuellement en mouvement. De l’extérieur à l’intérieur le passage se fit très rapidement, permettant par la même occasion d’apprécier le soin apporté aux décors. A l’extérieur cela faisait penser aux jardins des vieilles maisons laissé à l’abandon, ça avait un côté à la fois glauque et figé dans le temps. J’admirais toujours le soin porté aux décors dans les parc d’attraction. L’intérieur, lui allait encore plus dans ce sens là, de fausses toiles d’araignées étaient installés, de même que des tableaux afin de renforcer le côté ancien. La luminosité y était pratiquement inexistante, et seule la voix du « narrateur » qui racontait l’histoire des lieux, contrastait avec cette atmosphère.
- Eh bien, le moins que l’on puisse dire c’est qu’ils savent mettre les gens dans l’ambiance commentais-je
Les gens devant nous avancèrent jusqu’à arriver sur la plateforme où plusieurs « wagons » attendaient. Les personnes en charge du déroulement de l’attraction, nous ouvrirent la chaîne permettant de passer, et de nous installer tous les deux dans l’un d’entre eux, prêt pour le circuit qui nous attendait. Au moins, on pouvait dire qu’ils avaient mit le paquet sur le côté « fantôme », elle n’était pas vraiment effrayante -en tout cas c’était mon avis- mais, ils avaient fait des efforts pour rendre l’atmosphère pesante, un peu comme si nous étions dans une véritable maison abandonnée par les vivants et hantée par les esprits. J’aurais peut-être aimé que le trajet soit un peu plus long, mais l’attraction m’avait fait passé un bon moment quand nous dûmes laisser notre place aux autres.
- Allons tenter le tir au laser, après ce sera de nouveau à toi de choisir.
J’adressais un clin d’oeil complice à mon fils, tandis-que nous prenions le chemin du tir au laser. Nous avions bien une fête foraine à Storybrooke mais il n’y avait pas autant de choix d’activités qu’ici. Je songeais d’ailleurs qu’il faudrait y revenir avec l’arrivée des beau jours afin de tenter certaine attraction qui n’étaient pas disponible en cette saison comme le grand huit aquatique par exemple. J’aurais le temps d’y repenser et d’y réfléchir. Peut-être même qu’on pourrait chacune offrir un séjour là-bas à nos enfants respectifs pour qu’ils y aillent ensemble avec Anita. C’était une idée à méditer, j’étais certaine que ça plairait aussi à Nala et ça leur ferait peut-être du bien de se retrouver loin des adultes. J’en parlerais avec ma meilleure amie quand nous serions de retour, là je me contentais d’observer la file d’attente du tir au laser, il y avait un peu plus de mondes qu’à la maison hantée, mais on était loin des 50 minutes d’attentes qu’il pouvait y avoir en période et horaire de pointe. A l’extérieur une grande figure d’un aventurier spatial était installé sur le toit de l’entrée de la file. Sur les murs, « l’histoire » de l’attraction était raconté. Un aventurier d’une mission spatial, devait aller explorer une nouvelle planète avec son groupe, mais sur place ils avaient été rapidement prit en chasse par des personnes souhaitant que cette mission échoue. Armée chacun d’un pistolet laser, notre mission était de les aider à les repousser et veiller à la tranquillité de cette mission :
- Bon eh bien, on verra si a nous deux, on arrive a avoir le plus de points et faire exploser le score dis-je à Samuel en continuant de lire, il est dit qu’il y a une récompense spécial pour la ou les personnes qui y arrivent.
A voir ce que ça allait donner, c’était également l’occasion de se rendre compte si on était habile pour viser ou non. En attendant, je dépliais le plan afin de regarder les attractions du coin, j’en avais aussi repéré une avant d’arriver qui avait l’air pas mal, ça permettrait à Samuel de choisir celle qu’il souhaitait faire ensuite. Chacun notre tour, c’était pas mal comme système après tout, comme ça on ferait au grès de nos envies dans l’ordre que l’on voudrait.
- Huit minutes d’attente à partir d’ici lus-je sur le panneau. Ça nous laisse le temps de décider ce que tu veux faire ensuite tranquillement comme ça.
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Samuel était heureux de passer du temps avec sa mère. Il s’était montré beaucoup plus ouvert que d’habitude. D’ailleurs, il faudrait qu’ils fassent des sorti beaucoup plus souvent. Il s’était donc dirigé vers la maison hantée, une attraction vraiment bien innové. En tant que Lions, il n’aurait jamais eu la chance de voir un tel endroit en tout cas. Sa mère avait eu une brillante idée de venir ici. Un jour peut-être qu’il emmènerait Evie ici, si elle le désirait en tout cas. Profitant donc de ce moment entre mère et fils. Et naturellement qu’il voulait de sa mère auprès de lui, pendant longtemps elle n’était plus avec lui. “Naturellement que je veux encore de ta présence à mes cotés, pendant longtemps nous avons été séparés..” Il s’en vouloir encore d’avoir fuit de la sorte, mais à cet âge la que pouvait-il faire d’autre ? Son oncle lui avait fait porter le chapeau, que c’était entièrement sa faute si Mufasa était mort, alors que ce n’était un accident pour lui. Mais quelques choses de prémédité pour Scar. Simba avait donc fuit sans se retourner. S’il aurait pu changer les choses, il l’aurait fait, mais, comme le disait Timon.. on ne revenait jamais en arrière. Ce qui était fait ne pouvait être défait et ainsi allait le cycle de la vie. Mais, il aurait aimé avoir encore son père près de lui, bien qu’il était toujours la dans son coeur ou s’il regardait son reflet dans une flac. Mufasa se trouvait dans les étoiles auprès des autres grands monarque.. Mais, pour l’heure, il devait penser à s’amuser et pas à déprimer sinon sa mère allait être triste. “Effectivement, il a l’art de compter les histoires” D’ailleurs l’histoire de la fiancée était une bien triste histoire et son père était un tyran… elle ne pouvait pas épouser celui qu’elle aimait. Samuel trouvait cette histoire bien intéressante.
Une fois en dehors et après avoir retrouver la lumière du jour, Samuel avait du mal s’habituer à cette soudaine luminosité. Mais, c’était une sacrément bonne expérience que d’avoir fait le la maison hanté ! Il se frotta les yeux et écouta sa chère et tendre maman. Allons tenter le tir au laser, après ce sera de nouveau à toi de choisir. Il hocha la tête rapidement ça pouvait être amusant, Simba était plutôt doué au tir à la carabine, donc le laser n’allait pas faire exception à la règle. Samuel était donc parer de son pistolet laser et avec un charmant sourire il confia à sa mère. “ t’en fais pas maman, on va faire qu’une bouchée des autres… on est des lions non ? eux c’est les proies… nous les prédateurs…”
Il avait le temps en huit minutes de peaufiner les choses de choisir leur prochaine destination, bien que Simba ne tenait pas en place, il avait envie de tous les dégommer. Un vrai enfant quand il s’y mettait. Mais, surtout une tactique à mettre en place dans son esprit. “Hmmm on pourrait très bien faire la chenille, ça à l’air intéressant même si à la fin de la journée, on aura plus de voix ? ou alors les montagnes russes ?”
♫ Viens ma belle, viens ma gazelle… ♪ Samuel s’était rapidement prit au jeu et touchait rapidement les cibles sans leur laisser le temps de dire ouf, protégeant aussi au passage les arrière de sa maman, parce que non ! on touche pas à maman sans prendre un laser dans la tronche par le fils. “Vlan dans les dents ! on touche pas à ma maman !” Et PAF touché ! Samuel c’était une bête au tir en fait. Il ne fallait pas énerver le lion qui sommeillait en lui en tout cas. Une fois la parti terminé on pouvait voir qu’ils avaient gagné. La Team King remporte la manche.
“Ahaha t’as vu on a gagné !” Samuel était au taquet. Une vrai pile électrique.
April King
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| Conte : Le Roi Lion | Dans le monde des contes, je suis : : Sarabi
S’investir dans l’attraction n’était pas quelque chose de très compliqué, quand on avait un partenaire comme Samuel. Mon fils se donnait à fond, et disons que son enthousiasme était contagieux. Au final, j’en venais a prendre extrêmement sérieusement une simple attraction de tir au laser, tout en faisant attention alors qu’il couvrait mes arrières a couvrir les siens. On était tellement prit par le jeu en lui-même qu’au finale notre score dépassa de loin celui des autres participants. A la fin de l’attraction, on nous demanda de rester tout en nous faisant patienter dans une pièce adjacente, réservé uniquement pour le personnel afin de nous remettre notre récompenses.
« Ah voilà donc nos deux gagnants ! » S’exclama un homme que je supposais être le manager. « C’est pas tous les jours qu’on voit des gens exploser le score comme ça, vous avez bien mérité votre pass. Ca vous permettra d’éviter les files d’attentes et en plus, ça vous permet d’avoir une grosse réduction dans les restaurants et magasin. »
Il nous expliqua encore un peu comment ça fonctionnait et nous laissa non sans avoir prit au préalable une photo pour le « mur des vainqueurs. » Et en effet, une fois sortie de l’attraction, en passant devant je remarquais que la dernière personne a avoir eu un score élevé datait d’il y a six mois. Et c’était des données très variable, des fois ça pouvait se compter en années plutôt qu’en mois. Même si j’aimais bien regarder et comparer les décors dans les files d’attentes, j’admettais que de pouvoir éviter de la faire quand il commencerait à y avoir trop de monde n’était pas du luxe. Surtout vu la prochaine attraction, à savoir le grand huit. On garderait notre voix pendant un moment encore, on essaierait de se la casser en fin de journée, ce serait mieux.
- Tant qu’a faire, on ira jeter un coup d’oeil dans les boutiques plus tard pour voir si on trouve des choses à rapporter.
Bon, on ne pourrait pas faire de cadeaux a tout le monde, mais de mon côté je comptais au moins prendre quelque chose pour Amelia et Anita. Faith, ce ne serait pas trop son truc et Jillian je n’étais pas certaine de trouver quelque chose qui l’intéresse. En ce qui concernait les bibelots, ma plus jeune sœur aimait généralement se les trouver elle-même. Non pas qu’elle ait des goûts absolument farfelu mais l’art ça faisait d’une manière général partie intégrante de sa vie. Quand elle nous offrait quelque chose elle faisait toujours en sorte que ce soit fait main, ce que j’appréciais grandement. Faith était une véritable femme d’affaire, et tenait son magazine d’une main de fer, Amelia était un vrai cordon bleu et Jillian était l’artiste de la famille. Moi, j’étais plutôt celle que l’on appelait quand cela touchait à la loi, en plus d’être la cheffe de clan.
Chacune de nous avait en quelque sorte trouvé sa place, et une activité en adéquation avec qui elle était. C’était l’une des choses « bénéfiques » de la ville en quelque sorte. Parce qu’elle avait beau avoir tout un tas de défauts, Storybrooke avait également des qualités et on les soulignaient trop peu. C’était du moins mon avis. Quoi qu’il en soit, avec ce pass a présent entre nos mains, Samuel et mois nous dirigeâmes vers le grand huit. Et tout de suite, je remarquais que là, la queue était très différente de ce que nous avions eu juste avant, de quoi nous permettre d’utiliser notre cadeau donc. Je le montrais à la personne chargée de la foule qui nous fit passer par un autre chemin. Certaines personnes râlèrent dans la file mais ce n’est pas comme si ça m’atteignait. Ce pass nous l’avions gagné honnêtement avec Samuel, tant pis pour les râleurs.
- N’empêche, j’y pense. Tu m’avais caché tes talents de tireur. Je te savais sportif mais pas a ce point plaisantais-je.
Et en fait, cela me fit étrangement penser à son prochain anniversaire. Il y avait une pièce à l’étage que personne n’utilisait, je me disais que la transformer de façon à ce que Samuel puisse pratiquer son sport même a la maison, n’était pas une mauvaise idée. Il faudrait simplement, que je me charge de l’aménagement discrètement, comme de commander les équipements au compte goutte en fonction de ce que j’avais de côté comme argent. Il faudrait aussi voir pour stocker tout ça dans le garage afin qu’il ne se rende compte de rien évidemment. Plus les enfants grandissaient et plus il devenait difficile de les surprendre. Et encore, Simba était le moins difficile des deux, Tama ne comprenait pas vraiment le concept d’anniversaire pour sa part, elle mettait ça dans la catégorie « coutumes humaines bizarre » alors a partir de là, ne serait-ce que d’envisager le lui fêter prenait une tournure bien différente.
Une fois arrivé devant les wagons du grand huit, on nous installa tandis-que les consignes de bases étaient annoncés. Mon sac se trouvait à mes pieds, j’avais bien mit le cran de sécurité, les techniciens étaient repassés vérifié que tout était bien mit. Les mains posés sur les rebords du siège je remarquais qu’il y a un mécanisme intégré pour prendre notre pou et ainsi vérifier en quelque sorte le niveau de nervosité des gens. A priori je n’étais pas trop inquiète, même les battements de mon coeur me semblaient normaux. Je jetais un coup d’oeil du côté de mon fils et lui adressait un dernier sourire, avant que le décompte pour le départ ne se fasse. Après quoi, tout s’accéléra en plus de filer telle une fusée, le wagon enchaînait les boucles et les loopings, et quand d’autres gens criaient, ou fermaient les yeux j’en profitais au contraire pour les ouvrir bien grand et profiter de chaque instant, un grand sourire sur les lèvres, n’hésitant pas à rire une fois le tour terminé.
- Eh bien le moins que l’on puisse dire c’est que ça secoue. On va faire un tour dans les boutiques ? Généralement je préfère qu’on achète a la toute fin pour pas s’encombrer mais rien ne nous empêche d’aller faire un peu de repérage.
On aurait le temps d’acheter des cadeaux au moment de partir, mais au moins on aurait déjà une idée de quoi prendre.
Samuel King
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C’était plutôt cool d’avoir remporter la partie, Samuel avait donné le meilleur de lui même, fin tireur, bon il n’allait pas toujours faire cela c’était même sur. Mais, de temps en temps c’était cool. Surtout passé du temps avec sa mère. Ils avaient exploser les records et il espérait que le record ne serait pas égaler avant très longtemps. Le lion était d’autant plus heureux d’avoir eu un cadeau un coupe fil. ce qui était parfait pour ne plus faire la queue dans les attraction comme ça hop tranquille. Et une réduction dans les magasins ! encore mieux, il allait pouvoir acheter un cadeau à Evie.
-Merci en tout cas… on espère que le record ne sera pas battu avant LONGTEMPS.
Samuel écouta avec sa mère les directive et comment cela pouvait fonctionner. Et par la suite une petite photo souvenir, discrètement Samuele demanda qu’on imprime une photo pour garder en souvenir, ce qui était plutôt gentil de leur part, il voulait une photo de sa mère et lui, à la maison, il n’y en avait pas tellement eu. Samuel voulait changer de façon positive et de faire plaisir à April.
-Oui nous avons encore le temps, on passe la journée ici, les souvenirs ça sera pour plus tard. J’espère trouver un cadeau pour Evie…
Le jeune lion, avait envie de prendre quelques choses d’unique pour Evie, un quelques choses qui lui fasse plaisir aussi. Il ne savait pas encore il allait lui remettre. Enfin, pour commencer il fallait qu’il trouve le cadeau idéal. Peut-être ramener un truc à Gajeel aussi, a part des boulons il voyait pas grand choses à lui ramener… et surement pas un porte clef “best friend forever” le malaise… Reprenant leur petit marche, Samuel porta donc son regard sur sa mère au sujet de ses talents caché.
-Oh… et bien disons que j’ai des particularités qui sont venu avec le temps, je me suis repris en quelques sorte en main. Et j’aime pas mal le tire en faite c’est amusant surtout quand on peut gagner des cadeaux. Surtout lors des fêtes forraine pour gagner une peluche pour Evie on va dire… sacré Samuel.
Samuel allait assez régulièrement à la salle de sport pour se mettre en forme et physiquement il allait beaucoup mieux mentalement ça arrivait que parfois qu’il n’aille pas bien mais, aujourd’hui, il était heureux en compagnie de sa mère. Samuel aimait particulièrement les surprises, il était peut-être plus humain qu’il n’y paraissait enfin du moins par rapport à sa soeur c’était ça.
Samuel était en train de suivre sa chère et tendre maman pour aller jusqu’au wagon du grand huit. ecoutant soignement les consignes de sécurité de toute façon s’était toujours les même règles. Donc pas besoin d’être plus que cela effrayer. Il regarda que sa mère avait soigneusement rangé entre ses pieds. C’était étrange leur machine mais, Samuel n’était pas inquiet mais plus exciter et ça se sentait, il était impatient que ça commence.
-C’est du tonnerre maman !
Heureusement qu’il ne portait pas de lunette, les wagon étaient parti à une allure folle sans leur laisser le temps de dire la moindre chose en plus Samuel gardait les yeux ouvert en rigolant de bonheur à chaque sensation, il entendait néanmoins des gens qui étaient en train de hurler de frayeur et d’autre pleurer pour que ça finisse, peu de personne était enclin apprécier ses sensation. Une fois le manège terminé et la moue de tristesse de Samuel parce que c’était déjà fini, il rit d’autant plus parce qu’il voulait recommencer.
-C’était dément ! je voudrais y retourner une nouvelle fois ! ça secoue tellement c’est trop marrant encore pire que quand on avait fait tourner Zazu en bourrique quand on voulait aller au cimetière d'éléphant.
Un fin sourire ourla ses lèvres se jour là… il n’avait jamais été aussi proche de son père… ils étaient meilleur amis… un moment super, qu’il n’oubliera jamais. Reprenant le fil de la conversation.
-Oui allons faire du repérage et j’aimerais offrir un cadeau souvenir à Evie… mais, je ne serais pas quoi prendre…
Ils finir donc par se rendre dans les boutiques de souvenirs, il y avait naturellement pas mal de babiol de partout. Il savait que Evie appréciait la littérature mais, dans le coin-ci il n’y avait pas grand chose.
-Man… à ton avis qu’est ce qui ferait plaisir à Evie ? Je me dis que les peluche c’est trop typique comme cadeau… un aimant c’est assez banal…
April King
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Je ne trouvais bizarrement pas ça étonnant que Simba estime que la dernière fois qu’il se soit autant amusé, fût lorsqu’ils avaient fait tourner ce pauvre Zazu en bourrique, afin de pouvoir le semer et se rendre tranquillement au cimetière d’éléphant tous les deux avec Nala. Bien que Mufasa eut été le premier à faire preuve d’autorité parentale, il n’était de mon côté pas question de laisser Simba s’en tirer avec un simple sermon paternel, aussi lui avais-je bien fait comprendre que je n’étais pas du contente de son comportement et que j’avais été extrêmement inquiète. Il s’en était tiré avec une punition, ni lui ni Nala n’avaient plus le droit de jouer ailleurs que sous nos yeux à Sarafina et moi et ce jusqu’à ce que nous en décidions autrement. Son père lui avait d’ailleurs signalé qu’il valait mieux ne pas chercher à discuter ou avoir le dernier mot avec moi. Je savais, qu’il serait un peu plus enclin à l’indulgence que moi. Après tout, Simba était bien le fils de son père et il tenait définitivement cela de lui. Lorsque nous étions jeunes, lui aussi adorait nous fourrer dans les ennuis jusqu’au cou. Aussi, estimais-je que pour nous avoir désobéit un sermon n’était pas suffisant. Mufasa n’avait pas discuté, me laissant gérer cette partie.
- Je pense que l’important ce n’est pas nécessairement le cadeau dis-je à Samuel après qu’il m’ait fait part de son envie d’offrir quelque chose à Nala. Mais ce que tu as voulu dire avec. Prenons ta tante par exemple : elle adore Céline Dion tout le monde le sait. Aussi lui offrir son dernier album ou une place de concert ne paraît pas très original nous sommes d’accord ? Mais lui offrir un album cela peut vouloir dire qu’ainsi elle aura de quoi égayer un peu plus sa boutique. Lui offrir une place de concert, en fonction de la personne qui lui offre peu signifier que l’on souhaite passer un moment avec elle. Tu vois ce que je veux dire ?
La plupart du temps on cherchait à tout prit un cadeau ultra original, sans nécessairement se pencher sur la partie « attention » de la chose. Lorsque nous avions décidé d’offrir à Amelia ses recettes dans un vrai livre, ce n’était pas simplement pour lui trouver quelque chose de nouveau, mais parce que nous savions que cela lui ferait plaisir, et parce que par là nous voulions lui dire que son talent méritait d’être mit en valeur. C’était pour cela que je misais avant tout sur la signification du cadeau. Néanmoins, je me décidais à me lancer également à la recherche d’une idée afin d’aider Samuel dans ses démarches. Je n’allais pas le laisser se débrouiller alors qu’il cherchait pour Evie. Depuis le temps que nous attendions qu’enfin un des deux se décide à devenir plus dégourdit avec Anita.
Bon, Simba avait quand même fait de sacré efforts et de sacré progrès pour se rattraper et je ne pouvais que l’en féliciter :
- Tiens regarde, dis-je en lui montrant un set comprenant carnet et stylo customisé avec des citations. Là comme ça, ce n’est qu’un simple ensemble carnet et stylo mais, Even est étudiante en littérature alors déjà ça lui parlera et ensuite, tu peux joindre l’utile à l’agréable. Ce carnet peu lui servir de carnet de note pour ses cours, un genre de plus pour pouvoir noter ce qui lui semble important en rapport à ces derniers. Je te laisse y réfléchir, si tu préfère lui offrir une peluche voir les deux. C’est toi qui vois, tu peux demander au vendeur de te les mettre de côté pour plus tard, j’ai posé la question.
Quant a moi, j’avais aussi des cadeaux à trouver pour mes sœurs et Anita en priorité. Prenant le temps d’évaluer chaque article, j’arrêtais finalement mes choix et les apportait au vendeur afin qu’il les mette de côté pour lorsque nous passerions a nouveau dès la fin de notre journée ici. Étant donné l’heure, le mieux était encore de s’installer quelque part tranquillement et de manger. Le plus gros de la foule, semblait être partis occuper de nouveau les nombreuses attractions. Tant mieux, nous serions beaucoup plus tranquille pour manger et aurions l’occasion de mieux discuter. Je nous dirigeais vers un petit restaurant avec du libre service, nous permettant de choisir ce que nous souhaitions et de composer chacun le menu qui nous faisait le plus envie. Après avoir tout réglé et nous être installé, je nous laissais le temps à chacun de commencer notre repas avant de discuter sérieusement du sujet qui me tenais à coeur.
A l’origine, je m’étais dit que l’aborder ici n’était peut-être pas une bonne idée. Mais au final, peut-être que si justement c’en était une. Nous avions tous les deux besoin de crever l’abcès depuis très longtemps, probablement trop d’ailleurs. Entre son retour, et l’arrivé de la malédiction peu de temps s’étaient écoulés, aujourd’hui cela faisait quasiment sept ans que nos souvenirs étaient revenus. Et le temps était venu pour nous deux, de mettre certaines choses à plat :
- Ton père aurait été fière de toi tu sais. Écoute Simba, je sais que sa mort a été difficile à vivre pour toi, étant donné à quel point tu l’adorais et tu l’idolâtrais. Mais, je pense que tu devrais cesser de te jeter la pierre pour ce qui est arrivé. Tu étais jeune, tu n’étais qu’un enfant et Scar s’était toujours prévenant avec toi. C’était un fin manipulateur, avec toi il jouait le rôle de l’oncle bienveillant, alors qu’en réalité il avait été tout le contraire et tu ne pouvais pas le deviner. Mufasa n’aurait pas voulu que tu te blâme pour ce qui est arrivé. Je sais que c’est compliqué, nous avons tous les deux perdu un pilier important dans nos vies. Pour autant, nous ne pouvons pas revenir en arrière et changer les choses. Nous devons apprendre à vivre avec la perte, il y aura des jours avec et des jours sans. Ce ne sera pas toujours facile et parfois, sa présence nous manquera à tous les deux. Mais on ne doit pas regarder en arrière, nous nous devons d’avancer et ça, c’est une chose que nous ne pouvons réaliser que tous les deux.
Avec bienveillance, je levais une fois de plus ma main pour lui ébouriffer les cheveux tout en souriant avec une tendresse purement maternelle que je n’adressais qu’a lui ou sa sœur :
- Je t’aime de tout mon coeur. Ne l’oublie jamais, le jour où tu es apparut devant moi, j’ai d’abord cru à un spectre, et puis pour la première depuis des années j’ai éprouvé une joie indescriptible. Tu étais là, devant moi bien vivant, alors que je croyais t’avoir toi aussi perdu à jamais. Et quoi que l’avenir nous réserve je serais toujours ta mère, je serais toujours là à tes côtés. Et si ton père, ne peut pas te le dire, sache que moi je peux le faire pour deux : Je suis fière de toi mon fils, je suis fière de ce que tu es devenu.
Samuel King
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Ahhh samuel, ne pouvait pas oublié ce fameux jour où son père était intervenu pour les sauver des hyènes même si Simba s’était montré très courageux, il ne pouvait pas oublié qu’il avait mit Nala sa meilleure amie en danger. Et les remontrances de maman avait fait tout aussi mouche que les propos de son père. Il avait néanmoins passé un bon moment avec son père, il était son meilleur copain. Il aurait aimé qu’il soit toujours auprès de lui mais, ce jour-là il lui avait expliquer le cycle de la vie. Que les lions étaient dans les étoiles et que son père aurait sa place la bas comme les grand rois du passé. Ahadi et Mohatu. Mufasa les avaient rejoints et parfois il lui portait conseil. Il n’en avait pas parler à sa mère de cela gardant son secret avec Rafiki. En revanche, à SB, il ne l’avait pas vu… Et ça lui manquait parfois. Depuis, ce jour Simba s'était tenue à carreaux pour les sortis. Même si peu de temps après il avait perdu son père et n’était plus revenu sur la terre des lions par la faute de Scar. Des choses du passé faisait parfois mal, mais, ça lui permettait d’avoir les bons souvenirs.
En revanche, oui pour ce qui concernait le cadeau ce n’était pas le plus important. Mais il comprenait ou voulait en venir sa mère.
-Oui ce n’est un secret pour personne que tatie aime Celine Dion mais, je vois ou tu veux en venir quelques choses qui me permettent de lui faire plaisir et en même temps passé du temps avec elle, cela dit je pourrais très bien lui prendre un petit souvenir qui me fait penser à elle tout en l’invitant à passer une journée avec moi ?
Il foulait quelques choses qui lui rappelle Evie et qu’il pense qu’elle soit heureuse, avant tout il voulait son bonheur. Il était devenu plus dégourdi sur certaines choses mais en ce qui concerne les sentiments, il avait toujours un peu de mal à dire ce qu’il ressentait, rien que pour faire des câlins s’était un exploit. Pourtant, on pouvait voir qu’il appréciait les personnes enfin il le pensait. Il aimait beaucoup sa mère et ce n’était pas souvent qu’il lui arrivait de faire des câlins. Alors, quand le moment se prêtait fallait bien savourer parce qu’il ne comptait pas en faire tout les jours pas qu’il ne voulait pas, mais c’était quelques choses qu’il avait du mal. Monsieur Samuel, mettait souvent les pieds dans les plats sous la panique. Alors, il essayait de compenser quand même. Il regardait, ce que sa mère lui indiquait, il était vrai qu’elle était en littérature ça pouvait être super utile le customiser encore plus mais quel citation pourrait représenter Evie mais aussi son attention. Il avait surement toute la journée pour y penser. Pour la peluche, un petit lapin, tout doux et tellement mignon comme Evie.
-Oui ça lui ferait plaisir avec un stylo assorti peut-être mettre une citation et écrire quelques chose dedans de ma part pour elle ?
Samuel n’était pas très doué pour écrire non plu, il aurait surement besoin d’une aide.
-Je vais demander au vendeur de m’en garder un de côté.
S’approchant pour prendre des articles avec une peluche de lapin avec le petit logo du parc d'attraction sur la patte puis le carnet et le stylo. Revenant près de sa mère, le vendeur avait accepté de lui mettre de côté. Suivant sa mère pour aller manger un morceau, ils avaient trouver un coin tranquille tout les deux pour discuter. Écoutant sa mère, il sentit son coeur se serrer en repensant à son père, son regard s’était porté vers le ciel. Ne pas se jeter la pierre.. c’était sa faute… certes c’était un enfant mais… il aurait tant voulu être plus grand pour lui porter secours.. le voir tomber… sous ses yeux… serrant les dents il se voyait à ce moment-là criant… noooooooooooonnnnnnnnnnnnn… Il sentit des larmes couler sur son visage.
-Je sais… je n’étais qu’un enfant… mais, même si c’était sous l’influence de Scar, si je n’aurais pas été aussi influençable papa serait encore là… Je suis désolé, de t’avoir retirer papa… c’était un accident. J’ai vraiment cru qu’il allait s’en sortir, je suis monter pour l’accueillir après qu’il mets ramener sur la corniche… Reprenant de la hauteur… je n’ai pas vu qu’oncle Scar l’avait réceptionné pour le faire tomber, sous mes yeux impuissant. Serrant ses mains. Il n’avait jamais parler de cela autrefois. Il savait qu’il ne devait pas culpabiliser pourtant dans son coeur s’était toujours le cas. -par la suite ça ira mieux quand il se confiera à la psy Vimaan - Je suis descendu aussi rapidement que j’ai pu pour le retrouver… il avait l’air paisible… et endormi, mais il ne s’est jamais réveillé et tu ne peux pas imaginer ce que j’ai pu ressentir, j’ai tenté de le réveiller le mordillant le poussant. Me serrant contre lui en pleure…
Les larmes de Simba coulait encore, il en avait surement besoin d'évacuer, voilà qu’il gâchait aussi ce moment-là.
-Oncle Scar est arrivé… en me demandant ce que j’avais fais… j’ai beau eu avoir à lui dire que n’ai pas fait exprès que c’était un accident… il est tomber et la… il m’a dit qu’est-ce que tu allait dire et penser de moi.. je ne voulais pas te décevoir. J’ai suivi ce que Scar m’a dit partir et de ne plus revenir c’était un déchirement pour moi. Mais, je ne voulais pas que tu me haïsse. Fermant les yeux doucement. Le temps est passé, j’ai rencontré des bons amis me disant qu’on ne peut pas revenir en arrière sur ce qui c’est passé.. et que si le monde de persécute.. je me dois de persécuter le monde. Une nouvelle règle à surgit.. celle d’Hakuna Matata…J’ai abandonné ma vie d’avant pour m’en créer une nouvelle.
Il avait aussi abandonné sa mère et sa famille, Nala.. Il n’avait pas eu le choix mais, il les avait tout de mêm laissé. Le Jeune lion porta son regard sur sa mère, le fait d’être devenu humain avait fait aussi resurgit d’autre souvenir comme les faux. D’avoir une deuxième perte de son père. Bien qu’il ne devait pas culpabiliser au fond de lui c’était encore sa faute. C’est lui qui prenait les décisions. Il leur avait fait de la peine. Que son père soit fière de lui… il l’avait déçu quand il était parti… mais grâce à lui il avait repris son trône. Mais, il pouvait avancer de l’avant avec sa mère.
Elle lui avait une nouvelle fois embrouiller sa crinière ce dernier leva les yeux au ciel et sourit doucement. Trop d’émotion était passé dans son esprit cela lui faisait plaisir d’entendre cela… Il prit une nouvelle fois sa mère dans ses bras, quota de calin atteint pour l’année.
-Moi aussi je t’aime maman, je ne suis pas le plus parfait des fils… j’ai tendance à faire beaucoup de bêtise et à être inutile pour certaines choses mais, je sera toujours la pour toi maintenant. Je sais que papa est fière de moi, il m’a toujours dit de ne pas oublier qui j’étais. Je suis votre fils et je vous remercie de m’avoir donné vos valeurs. Tu es la meilleure maman qu’un enfant puisse avoir.