« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Nous venions de faire un pas en avant vers la résolution de nos problèmes. Bien sûr, les choses ne se feraient pas comme ça en un claquement de doigt juste après notre conversation. Mais au moins, cela aiderait autant pour l’un que pour l’autre. Il était plus que temps d’évoquer ce sujet douloureux pour nous deux. Entre son retour, la malédiction, ma dépression et j’en passais nous n’avions jamais prit ce temps. A présent c’était chose faites, et je me sentais déjà plus légère. Nous aurions le temps de passer d’autres moment ensemble, et d’évoquer encore d’autres sujets. J’étais déjà reconnaissante de ce temps qui nous était accordé. Et puis, la journée était loin d’être finit. Nous avions encore un grand nombre d’attraction dont nous pouvions profiter Simba et moi. D’ailleurs, une fois notre repas finit, j’avais proposé de se diriger vers la caverne aux pirates. Mieux valait miser sur quelque chose de calme après avoir mangé, sinon nous risquerions d’avoir mal au coeur dans des grands huit et autres attraction à sensation. On pourrait les réserver pour plus tard, quand nous aurions suffisamment digéré cela allait sans dire.
Étudiant toujours le plan, afin de voir ce que nous pourrions faire ensuite, je laissais déjà de côté le simulateur de vol, il s’agissait de 3D, et la 3D pouvait parfois donner mal au coeur, ce qui n’était encore une fois, pas le but ici. On allait plutôt se concentrer sur des attractions simple, et après on pourrait corser un peu les choses si Samuel le voulait bien évidemment. L’idée c’était quand même de les faires à deux les attractions, s’il y en avait un qui restait en bas pendant que l’autre le faisait cela n’avait plus rien de drôle :
- On devrait revenir en été, ils ont pleins d’attractions d’eau mais en cette saison, elles sont malheureusement fermés.
Ou bien, il pourrait revenir avec Evie, c’était aussi une idée. Mais je savais qu’il devait déjà y avoir pensé. Cela leur fairait sans doute du bien de passer du temps hors de la ville, et puis cela leur permettrait probablement de se rapprocher sans Anita ni moi derrière. Et a nous deux aussi, ça nous ferait du bien, on pourrait partir en week-end thalasso avec Amelia par exemple. Elle ne disait jamais non, de toute façon et ça nous permettrait de passer aussi du temps entre nous, loin des enfants -même si on les aimait énormément-
- Maintenant que j’y pense, dis-je alors que nous prenions place dans les bateaux, je crois que ni ton père, ni moi ne t’avons beaucoup parlé de notre enfance. Ce serait peut-être le moment d’y remédier non ? Si jamais tu as envie d’en savoir plus sur Mufasa lorsqu’il était jeune n’hésite pas. Pour le moment, ce que je peux te dire c’est que vous vous ressemblez sur beaucoup de points. Y compris, celui qui consiste à vouloir se rendre dans des lieux interdits.
Le cimetière d’éléphant et les terres interdites, semblaient être le terrain d’exploration immanquable pour tous les lionceaux de la terre des lions. Mufasa nous avait également fait le coup, nous avions a peu près le même âge que Simba quand il avait décidé a son tour décidé de « perpétrer » la tradition familiale. Personnellement, j’aurais aimé qu’il décide d’une autre tradition pour laquelle il devait reprendre le flambeau. Au final, j’avais dût m’y résoudre, ce que nous refusions de laisser faire parce que nous étions bien placé pour savoir que c’était dangereux n’arrêterait absolument pas la nouvelle génération. Si plus tard, il avait des enfants et qu’ils se montraient exactement comme lui, je rappellerais probablement gentiment à mon fils que c’est le karma. Encore faudrait-il pour cela, que nous puissions retourner chez nous un jour. Je me demandais, d’ailleurs sachant que si qui que ce soit devait avoir des enfants ici, ils seraient humains, une fois de retour dans le monde des contes, prendraient-ils une autre forme ? Techniquement, nous étions tous des lions, de base même si ici nous avions une apparence humaine aussi la question était-elle quelque peu légitime au fond.
S’il était vrai que j’appréciais ma vie à Storybrooke, avec le retour de mes souvenirs, une partie de moi était définitivement resté sur la terre des lions. J’abordais rarement le sujet, sachant par exemple que Amelia n’éprouvait pas ce même manque. De mon côté, comment faire autrement ? J’en avais été la souveraine pendant tellement longtemps, m’occupant en binôme avec Mufasa du bien être de ses habitants, cela avait toujours été mon foyer, même avant que je ne devienne reine, la terre des lions était ma terre natale, j’y avais vécu toute ma vie. Alors, il était normale pour moi d’éprouver ce manque vis a vis de notre ancien « chez nous ». Je ne l’évoquais pas, mais j’espérais pouvoir y retourner un jour. Tama ne rêvait que de ça, mais c’était pour d’autres raisons. Depuis le levé de la malédiction, ma fille adoptive rejetait absolument tout ce qui faisait d’elle un humain. Elle estimait être une lionne, et devoir se comporter en tant que tel uniquement. Je ne comptais plus les fois où nous nous étions cassés les dents à tenter de lui expliquer les choses avec Anita…
- On s’en sortira. Dis-je cette fois-ci à l’adresse de mon fils. Quoi qu’il advienne de nous à l’avenir. Et je suis certaine, que tu finiras par trouver quelque chose qui te convienne, je ne me fais pas de soucis là-dessus. De même pour ta relation avec Nala, je suis sûr que les choses iront mieux même si parfois, elles peuvent prendre un peu de temps.
Samuel King
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Les choses n’étaient jamais simple, Samuel s’était un peu plus ouvert à sa mère mais encore une fois, le chemin allait être encore long avant que tout soit parfait. Ca lui avait fait du bien mais, après ça le jeune lion s’était un peu plus fermer. Il ne voulait pas gâché la journée avec ses problèmes et préférait passé à autre chose. Quand sa mère avait proposé de faire une nouvelle activité, il avait suivi sans broncher. La caverne au pirate c’était super cool à faire. Bien qu’il y ait souvent la queue pour le faire. La c’était plutôt sympa et sa ne remuait pas trop. Pas comme les grand huit. Samuel regardait le paysage, enfin les décor du moins. Le temps de digérer le repas. Puis, plus tard, ils étaient en train d’étudier le plan pour trouver plus facilement la prochaine destination. On devrait revenir en été, ils ont pleins d’attractions d’eau mais en cette saison, elles sont malheureusement fermés
-ohh ouai pourquoi pas en été, il y aura d’avantage de chose à faire en plus. Oui les jeux d’eau ça peut-être pas mal. je suis super partant !
Samuel avait don noté cela dans un coin de sa tête. Pour le rappeler à sa mère et puis, ils pourraient venir avec sa soeur et Evie si elle avait du temps libre bien sur. Le jeune lion optent aussi pour des idées plutôt douce pour le moment, il ne voulait pas faire d’attraction trop brutal. Il se remettait tout juste les idées en place. Emmener Evie avec lui n’était pas une mauvais idée non plus. Ca leur fera une sorti entre amis.
Alors qu’ils prenaient place dans le bateau de pirate. C’était cool même si on oubliait l’odeur du chlore qui ressortait. S’était une odeur forte qui prenait rapidement la tête pour les personnes avec un odorat sensible tel que Samuel. Ou du moins son odorat d’ancien lion. Non en effet, son père ne lui avait pas parler de son enfance ni même sa mère. En revanche Rafiki c’était un peu confier la dessus.
-Non père ne m’a pas beaucoup compter de chose à ce sujet enfin quelques fois quand on était tous les deux. Sinon c’est Rafiki qui m’en avait un peu compter. dit-il en regardant sa mère. Ou même quand il avait parler à l’esprit de son père… c’était simplement pour qu’il reprenne sa place. Et qu’il ne devait pas oublier qui il était. Je serais ravi de savoir ce que vous aviez pu faire alors que vous me grondiez alors que vous avez fait la même chose j’en suis sur.
Samuel sourit légèrement.
-Comme se rendre dans un cimetière d'éléphant ?
Le jeune lion, parfois regrettait lui aussi son ancienne vie, ça lui manquait beaucoup. Il était né ainsi et il ne pouvait même plus reprendre sa forme initial parfois c’était frustrant. Cette punaise de malédiction. Mais, il faisait avec et se pliait au coutume humaine contrairement à sa sœur qui voulait passer sa vie limite nu… Alors qu’elle n’avait pas le droit. Samuel comprenait tout de même le comportement de sa sœur, elle avait toujours eu du mal avec cette nouvelle condition.
Sortant de sa rêverie, il sourit une nouvelle fois a sa mère.
-Oui.. je sais bien… on est destiné à nous battre pour continuer d’exister. On y parviendra toujours. dit-il puis, il se frotta la tête en rougissant légèrement. Oui je sais bien.. mais ce n’est jamais évident… avec Nala j’espère que ça fonctionnera. Je sais qu’elle a beaucoup de travail.
Le reste de la journée se passa rapidement mais ils s’étaient bien amusé. Ils avaient passé un moment entre mère et fils. Et rien ne pouvait le rendre plus content que ce jour là.
