« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
LES CHATS DONNENT LEUR AMOUR À CEUX QUI LEUR REMPLISSE LE VENTRE, N'OUBLIEZ JAMAIS ÇA
Un cadeau est un cadeau …C’est tout. Que ça salisse ses draps, c’était le cadet de ses soucis. La jeune ne pouvait donc pas comprendre, qu’en tant que chat, son obsession pour lui ramener des petits animaux morts étaient légitimes ? Parce qu’il ne pensait pas comme un homme, et ça ne sera jamais le cas. Il suivit les lumières des lasers, comme il irait chasser …. Qu’elle refuse de le voir l’agacer, mais il préférait mettre toute son énergie sur la culpabilisation de la jeune femme.
- Je ne suis pas « tout le monde » je suis ton chat. Tu m’as même renommé !
Elle pouvait bien l’appeler comme elle le voulait … ce n’était pas un prix trop lourd à payer pour avoir ce qu’il voulait … pas du tout d’ailleurs. D’un sourire, il se surprit à ne vraiment pas vouloir qu’elle le jette dehors, au point d’abaisser toutes ses cartes.
- Je peux t’aider à régler tes problèmes tu sais… Dit moi Aisha, si je n’étais qu’un chat qui parle, mais qui peut pas faire des pâtes tu m’aurais accepté ? Je vois mal comment dans tous les cas tu m’aurais accepté sans un petit mensonge sur ce que je suis. Un chat magique !
Il n’était pas réellement un chat magique … il était un chat démon … mais on ne pouvait pas dire cela à Aisha, sans qu’elle réalise qu’elle avait a faire avec un démon … être un chat magique, c’était comme être une mini fée animale non ? Sauf que là, il est toujours mini et animal… Content de son raisonnement, il écoutait Aisha parler. Il se releva de sa tirade et la regarda.
- Je. Suis. Un. Vrai. Chat ! Peut être pas un vrai chat dans ce monde où les chats sont non parlant, mais sache que je les comprends tous, et que tous sont aussi têtu que moi. Les cadeaux, c’est des cadeaux, la chasse c’est la chasse et le lit de sa maitresse c’est son lit. C’est tout.
Il médita sur sa réponse avant de faire un sourire espiègle et de venir se frotter à ses jambes.
- D’accord, je prends l’après midi de 12h à 18h …. Et pour ta gourverne je n’ai que trois humaines. Toi, Piff et Violette. Les autres je les aime pas.
Il posa sa tête sur ses pattes avant de regarder l’heure et de sourire pour se mettre sur le dos.
- Donc entre 12h et 18h, on est d’accord ? Mais comme tu as pas choisi de fuseau horaire fixe, on peut choisir celui que je veux, et je choisi celui où il est 12h48.
Et boom. Voilà comment gagner alors qu’il observa le salon dévasté il reposa la tête sur ses pattes encore et se positionna en laissant sa queue balader.
- Les pâtes sont pour toi, tu m’excuseras de pas t’aider à ranger, si je le fais tu vas encore dire que je suis un humain alors que ce n’est pas le cas. Jamais. Je la déteste l’autre Regina pour m’avoir fait ça.
Oui il était parti sur autre chose parce qu’il avait gagné ce combat … et même si elle disait non, et revenait, il était un chat … Essayer d’empêcher un chat de miauler, de râler, ou de faire sa vie de chat, c’est comme essayer de monter une cascade en nageant, on peut toujours essayer mais ça fonctionne pas vraiment …
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Aisha d'Andros
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❝ Il y a une limite au bénévolat ! J'hébergeais un chat, pas un homme. ❞
La magie ça me connaissait puisque j'avais baigné dedans depuis ma naissance avec la compagnie de créatures plus magiques les unes que les autres. Ainsi, lorsque Kot me disait être un chat magique, je ne pouvais qu'acquiescer avec évidence : ses transformations sont magiques. Maintenant allez savoir de quelle source elles proviennent - il y avait de tout dans cette ville. Peut-être que savoir ne m'était pas utile, j'apprenais déjà qu'il était magique et sincèrement, je m'étonnais moi-même de ne pas l'avoir deviné plus tôt. Je n'avais aucune raison de lui en vouloir de nous avoir menti à Piff et à moi s'il avait pensé nécessaire de le cacher. De plus, il est certain que nous ne l'aurions pas gardé si j'avais su qu'il était un homme aussi - ou qu'il pouvait se transformer en homme, comme il aime en faire la nuance.
Il répétait, encore et encore, qu'il était un chat et non un homme et finalement, j'abandonnais la bataille pour lui laisser avoir raison sur ce point-là.
"Ok. Conclus-je en croisant les bras. Tu es un chat magique, je retiens et ne reviendrais plus là-dessus. Un chat qui a la possibilité de se transformer en homme... Maiiiis avant tout un chat. C'est bon pour ça...
Malgré mes raisons, Kot maintenait qu'il avait sa place ici - avec sa maîtresse. Étant donné que j'étais déjà la maîtresse d'un génie, il n'était pas plus bizarre que de l'être pour un chat magique mais ce n'était pas le problème pour le moment. Ali pouvait m'aider, lui, à combattre le mal qui tournait autour de moi comme un vautour alors que Kot... C'était Kot. Il me faisait des pâtes pour me consoler et venait se cajoler contre moi pour m'apaiser mais... Je me pinçais la lèvre inférieure. Peut-être était-ce ce dont j'avais besoin aussi ? Du réconfort ? J'optais pour le compromis d'un créneau horaire convenable pour nous deux car je supposais déjà qu'après toutes ces années, ce n'était pas comme si l'appartement était sa seule maison. Il saurait se débrouiller sans, je n'étais qu'un... Je ne savais pas trop encore, mais il ne dépendait pas de moi comme d'un chat normal, ça c'était certain.
"Violette ? Répétais-je curieusement. C'est ta seconde maîtresse, celle chez qui tu as été après nous ?"
Nous étions d'accord sur les horaires que j'avais fixé et j'aurais cru le sujet clos si jamais il n'était pas revenu sur un fuseau horaire. Qui jouait avec les fuseaux horaires ? Ça me paraissait évident que je parlais du notre ! Partagée entre la fatigue et le rire, je finis par me laisser aller à un sourire amusée par sa bêtise. Une bêtise qui restait maligne toute de même.
"C'est pas ce que -... J'abandonnais - encore - en soufflant. Bon, ok, t'as gagné... Si tu veux venir, je suppose que ce n'est pas moi qui irait t'en empêcher... Je ne sais même pas comment tu es entré ici alors que je suis à plusieurs étages d'un immeuble et que je ferme toujours à clé derrière-moi."
C'était peut-être d'ailleurs une question que j'aurais du poser avant. Si un chat pouvait rentrer, qui d'autres le pouvait ? Je m'inquiète de plus en plus de ma sécurité ici... Mais j'étais trop fatiguée pour y penser - vidée de mon énergie pour encore une bonne semaine après ce combat avec/ contre ? Bendy. Lassée, je tournais les talons pour me rendre à nouveau vers l'immense assiette de pâtes que Kot m'avait préparé et l'invitai à m'y rejoindre.
"Ne t'en fais pas pour le rangement, je suis une fée... Ça ne prendra pas beaucoup de temps. Mais... Au vu de mon état, je vais peut-être arrêter d'utiliser la magie pour aujourd'hui. Je réparerais juste la fenêtre parce que bon - c'est qu'on est bientôt en hiver..."
Déjà, me dis-je à moi-même. J'avais hâte d'être à Noël mais j'espérais surtout être en forme pour cette période car rien ne le présageait pour le moment. Je sentais mon énergie faiblir rien qu'en tenant la fourchette pour la planter dans mon assiette. C'était pitoyable comme état, j'espérais ne plus y avoir droit avant longtemps. J'espérais ne plus croiser de démons ayant les mêmes - mais opposés - pouvoirs que moi également.
"Dis Kot... Demandais-je après un silence où je venais remuer nonchalamment la nourriture dans mon assiette. Pourquoi tu es revenu ? Je veux dire... Pourquoi maintenant ? Il y a quelque chose qui ne va pas ? Tu n'as plus de toits ou bien as juste croisé l'immeuble et tu t'es souvenu que tu y avais habité ?"
J'aurais voulu avoir plus d'appétit avec ce que m'avais préparé Kot mais si mon estomac criait famine, je n'avais pas la tête à ça. Pour reprendre des forces, pourtant, j'engouffrais plusieurs pâtes dans ma bouche avant de lentement mâcher et d'avaler. Je repris :
"Tu manquais à cette appartement."
J’ai vu tes peurs se cacher près de notre passé. Et laisse-moi seul, laisse-moi loin de tes côtés. Mais oublie-moi, parcours ces flots, efface mes pas...
Pando
Kot O'Neill
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Personnage abandonné
| Conte : Halloween Town - Folklore russe | Dans le monde des contes, je suis : : Kot Baouin
LES CHATS DONNENT LEUR AMOUR À CEUX QUI LEUR REMPLISSE LE VENTRE, N'OUBLIEZ JAMAIS ÇA
Incohérent par rapport à la suite … Kot ne se verra jamais comme un homme … pas plus quand il aura Raven aux basques … aussi fallait dire que Raven était un corbeau … Les deux étaient des animaux … vraiment très loin des humains lambda… Il était un chat … Elle était un corbeau … mais ça c’était une autre histoire malheureusement. Il fit un peu le coq, traduisez « il bombe le torse avec fierté » quand elle lui donna enfin raison. Être un chat c’était la meilleure chose à être … tous les autres étaient nuls… Il se mit à ronronner tant il était content de l’entendre –enfin- avouer l’évidence …
Il en avait fallu du temps, mais il valait mieux tard que jamais, et Kot le savait mieux que personne … Après 6 ans en étant son chat, elle ne pourrait pas le laisser dans le tord … il lui avait donné raison pour tout le reste … sauf quand il avait mangé le reste de l’assiette de Piff en secret, mais chut …. Il était donc tout content de lui, et son ronronnement ne pouvait qu’emplir la pièce d’un doux son… Même son ronronnement était parfait chez lui. Ronronnant toujours.
- Ouais. Violette. Elle sentait bon. Mais elle ne sent plus aussi bon après …
Il se tut, ce n’était pas à lui de dire ce qu’il s’était passé à New York …. Et surtout pas d’avouer qu’il avait été porté disparu PILE quand elle en aurait eu besoin …Il voulait vraiment pouvoir se rattraper auprès d’elle … et cela même s’il ne lui devait rien … il lui devait tout de même un peu …
- New York.
Il était en train de ronronnait en se demandant si Violette l’avait dit à quelqu’un à SB … ou s’il était le seul au courant … il ne pouvait pas être le seul au courant… si ? D’ailleurs …. Il avait très envie d’aller à New York pour aller manger le connard qui lui avait fait du mal … mais ne le fit pas … parce que les rêves de Violette n’était pas aussi réel que la réalité, et il pourrait risquer de la blesser plus que de raison à faire cela … mais il en avait très envie … Il ronronnait encore alors qu’elle avoua en plus qu’il était un chat, qu’il avait gagné … et oui… C’est ça d’être un chat. On gagne toujours la crevette à table à monter sur les jambes, au lieu d’attendre, comme les chiens aux pieds des maîtres …
- J’ai retrouvé la plupart de mes pouvoirs récemment. Je ne pouvais pas les utiliser avant. Maintenant je peux me téléporter. C’est comme ça que j’ai pu venir ici. Je peux passer à travers les portes ou les fenêtres sous forme de fumée.
Il pouvait même prendre des choses avec lui …. Comme les vêtements et la nourriture qu’il était aller piquer chez le voisins dans le calme le plus total. Il acquiesça pour le rangement … il ne comptait pas aider … mais donner l’illusion lui permettrait certainement d’avoir des récompenses plus tard … et il ne se priverait pas de le dire. Il l’écoutait alors, ne précisant pas que son état pourrait être réglé avec lui … il gardait ce secret bien secret pour la raison évidente qu’il ne faisait pas confiance aux humains pour le garder …. Son passé lui avait bien prouvé.
- Je suis revenue parce que j’ai eu un mauvais pressentiment pour quelqu’un. Verdict, comme à ce moment là je n’avais pas mes pouvoirs, il m’a fallu un moins pour revenir. Et … les humains sont méchants, traitres, moches, insignifiants et bons à rien … mais y a quelques exceptions que j’avais envie de protéger.
Sa réflexion, après Violette, n’allait pas plus loin que ça … il n’avait pas pu la protéger de l’homme qui l’avait violé… mais il pouvait toujours essayer de la protéger maintenant ? Bien qu’elle aille sauver les miches des dieux sans l’inviter, mais ça c’est dans le futur …. Pareil pour Aisha, il savait qu’elle était forte, mais ne voulait pas risquer de la perdre … en tant qu’ami ? Il en aurait craché une boule de poil s’il n’avait pas été aussi bien calé. Il aimait sa femme, mais ne l’avouerait jamais. Il aimait ses petits-enfants (mais pas ses enfants) et pareil il n’avouerait rien… Il appréciait Aisha et Violette… mais ça restera bien dans sa tête, alors qu’il l’avait déjà dit à demi mots pourtant.
- Je ne doute pas que l’appartement était en manque de moi. Qui ne le serait pas ?
Il se releva doucement et s’approcha d’Aisha pour sauter sur ses jambes, avant de se caler en faisant des ronds sur ses jambes.
- Déjà il faut que tu te reposes pour de vrai !
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Aisha d'Andros
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❝ Il y a une limite au bénévolat ! J'hébergeais un chat, pas un homme. ❞
Je ne connaissais pas sa Violette et je ne compris pas exactement ce qu'il entendait par ne plus sentir aussi bon après New-York. Peut-être parlait-il de la pollution ? Je n'y prêtai pas vraiment attention, retenant juste qu'il avait une autre maîtresse qui s'était occupé de lui. D'un côté, ça ne m'étonnait pas puisque je ne le voyais pas survivre sans coraya et il semblait beaucoup plus se contenter d'une vie de chat. D'un autre côté, j'en étais rassurée. Il n'avait pas été seul et je savais que Piff s'en était inquiétée. Si elle avait été là, j'aurais pu la prévenir... Peut-être, bientôt. En attendant, c'était moi qui profitait de la présence de l'animal accompagné d'une plâtrée de spaghetti qu'il m'avait fait pour me sentir mieux. Je comptais lui expliquer que pour les humains, manger ne réglait pas tous les problèmes pas plus que les maladies, mais il semblait fier de sa cuisine. Un chat qui sait faire des pâtes, je suppose que ce n'est pas donner à tout le monde.
"Ok, je te crois." Acquiesçais-je concernant ses pouvoirs.
Je n'avais pas la force de combattre aujourd'hui, de toute manière. C'est d'ailleurs pourquoi je ne m'énervai pas face à tout le rangement que j'allais devoir faire plus tard - bien plus tard - ni même face aux poils que laissait Kot en marchant un peu partout dans le salon. En fait, ça, j'en avais généralement rien à faire. J'étais juste fatiguée mais cette période de faiblesse ne durerait pas. Avalant ma fourchette de pâtes, je ne bronchais pas qu'elle ne soit pas assez salée, rien n'avait de goût de toute manière dans cet état.
"Huuuummm, réfléchis-je à la question du chat. Une souris ? Un chien ? Une personne allergique aux chats, une personne phobique des chats, un superstitieux, du coraya... Je continue ?"
Un sourire s'élargit sur mes lèvres mais disparut lorsque je tournai vaguement la tête pour voir les dégâts du salon.
"Peut-être que tu ne manquais pas tant que ça à l'appartement finalement. En tout cas, tu ne manqueras pas à mon proprio..."
Bon sang, j'en avais marre de cette journée. En plus, ce n'était pas véritablement la faute de Kot si je ne contrôlais pas mes pouvoirs. Ce n'était pas non plus totalement ma faute d'ailleurs... C'était la faute de l'autre chat - mais cette fois-ci un chat-démon et non un chat-humain - qui contrôlait l'encre et était honteusement hautain. C'était possible d'avoir un ego pareil ? Je regardais Kot... Et me disais que finalement, ces deux-là avaient quelques points communs même si Kot, lui, ne menaçait pas de me tuer. Il était beaucoup plus tendre et gentil que l'autre abruti.
Sagement, je continuais de manger sans forcément en éprouver l'envie. Seul l'amour qu'avait pu y mettre Kot me permit de continuer tant qu'il était à mes côtés, de peur que tant de pâtes ne soient gâchés. D'ailleurs, je le rappelais peut-être, mais je n'avais pas tant de pâtes... Il avait été en acheté entre-temps ? Voulais-je vraiment savoir ?
"Je n'ai plus très faim, Kot... Finis-je par avouer d'un fin sourire désolé. Je pense qu'un doliprane fera plus d'effet à mon mal-être ainsi qu'une bonne et grosse nuit de repos. Les jours n'ont pas été simples depuis ton départ - Enfin ne va pas croire que tu en es la cause - j'esquissais un clin d'œil. Mais... Storybrooke... C'est Storybrooke. J'ai hâte que Piff rentre à la maison pour que tout reprenne peu à peu son cours. Je ferais en sorte que ça soit le cas..."
Me redressant de ma chaise haute, j'évitai un morceau du canapé et détourna les yeux du salon pour me diriger vers la chambre.
"Je suppose que puisque tu as choisi ton créneau horaire, il te reste du temps pour venir sur mon lit. Raillais-je. En tout cas, c'est ce que moi je vais faire pas plus tard que maintenant."
Je m'allongeais - correction : je m'effondrais - sur le matelas avant de m'enrouler sous la couette et décider de ne plus en sortir. À mes côtés, l'animal à quatre pattes qui parle et fait des pâtes ronronna en s'approchant du bord puis s'installa à son tour. Je souris.
J’ai vu tes peurs se cacher près de notre passé. Et laisse-moi seul, laisse-moi loin de tes côtés. Mais oublie-moi, parcours ces flots, efface mes pas...