« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
❧ Deborah Gust, ou Debbie, pour les intimes (mais ne rêvez pas, vous n'en faites pas partie) c'est Dégoût, l'émotion idéale pour une mission awesome dans laquelle, on n'en doute pas, son charmant sarcasme et ses sourires mesquins sauront trouver leur place. C'est bien simple : elle aime tout le monde, surtout Dyson Walters, son aspirateur à laideur ou les boulets émotionnels qui lui servent de coloc.
Lena B. Davis
❧ Lena est une scientifique qui ne perd jamais son sang froid et dont le passe-temps préféré est de sourire à son meilleur ami de toujours : Erwin Dorian. Elle est douce et patiente, jamais sarcastique et jamais de mauvais poil. Un bonheur sur pattes, en fait.
Evangeline Dreamword
❧ Existe-t-il plus positif qu'une étoile ? Je ne pense pas. Eh bien ça tombe bien, l'étoile des grenouilles, gardienne du mensonge surtout vis-à-vis de son âge est dans la place ! On ne doute pas qu'elle va briller, non seulement à cause de son sourire Colgate mais aussi parce que les étoiles, tant que c'est pas des trous noirs, ça brille, tout le monde le sait.
Dewenty Maanteekor
❧ Dewenty a un prénom tellement chelou que c'est sûr et certain Deborah va pas manquer de le lui faire remarquer… Mais Dew ne le prendra pas mal car elle est altruiste, elle n'est pas du genre à vouloir manger des gens étant donné qu'elle est vegan.
Erwin Dorian
❧ Altruiste, absolument pas du genre à arnaquer les veuves éplorées, bienveillant (surtout avec sa BFF Lena), Erwin est le notaire le plus joyeux du monde qui ne considère absolument pas sa femme comme un objet. Comment le pourrait-il, lui qui est si généreux ?
Leo Lionstar
❧Leo aime le love et les horoscopes. Et comme le love et les conneries de l'horoscope c'est awesome, il ne devrait pas s'ennuyer surtout en partant en vacances avec la femme de sa vie (celle qui a le prénom qui existe pas pour du vrai) et que bien sûr la MJ awesome que je suis ne les séparera pas… trop.
Mag's
Deborah Gust
« Sarcasm: punching people with words. »
| Avatar : Catherine Tate
- Youhou Deborah, regarde ce que je sais faire !
- C'est bon, je démissionne, j'en ai marre des débiles.
| Conte : Inside Out | Dans le monde des contes, je suis : : Disgust
LE BON ENDROIT C'EST CELUI OU NOUS SOMMES Et où vous serez bientôt
Félicitations ! Vous avez été sélectionné.e au hasard parmi toutes les personnes de la Terre dont nous avons pu trouver les coordonnées* pour découvrir et évaluer LE BON ENDROIT car vous et notre BON ENDROIT avons un point commun : NOUS SOMMES SUPER GENIAUX.
Venez découvrir en avant-première un tout nouveau complexe high-tech où le bonheur ne se rêve pas, il se vit ! Thalasso, piscines, cocktails et buffets à volonté, wifi, Netflix et Amazon Prime gratuits, centre de fitness, oreillers et matelas à mémoire de forme, animations régulières, chansons, licornes et plus encore vous attendent dans un endroit paradisiaque qui ouvrira prochainement ses portes mais qui vous les ouvre en avant-première pour savoir si vous l'avez trouvé génial ou super-génial.
Nous garantissons que LE BON ENDROIT (The Good Place en anglais) saura satisfaire vos moindres désirs et vous rendre plus heureux que vous ne l'avez jamais été. Garanti satisfait ou très satisfait !
Notre personnel souriant et toujours de bonne humeur n'attend que vous !
Embarquement vers le bonheur à bord de notre navette VIP super-géniale** à la gare routière de Boston, le 4 février à 18h.***
*Le Bon Endroit jure sur l'honneur ne pas avoir fait appel à la NSA ou tout autre service de renseignements et garantit, en accord avec la RGPD, que vos données personnelles sont et resteront privées.
**Billet nominatif unique joint à ce courrier.
***Le voyage s'effectuera de nuit à bord de notre véhicule aussi confortable que le Sofitel de New York mais avec l'option qui roule en plus. Tout le matériel super-génial prévu pour combattre le mal du transport sera mis à votre disposition ainsi qu'un repas chaud, des plaids moelleux et des Boules Quies super silencieuses.
Bon, le rose pétant, ça faisait quand même un peu mal aux yeux, mais je ne pouvais pas nier qu'au moins on ne passait pas à côté de ce courrier pour le moins inhabituel. Même Sandy l'avait trouvé joli, sans pleurer sur le fait que pour le créer il avait fallu abattre un arbre qui avait peut-être une famille et dieu seul sait quoi encore. J'avais presque eu peur qu'elle demande à venir mais heureusement le courrier n'était qu'à mon nom et je ne fis glisser de l'enveloppe qu'un seul billet pour la fameuse navette de départ. Ouf, j'étais sauvée. Parce que j'aime bien Sandy, hein. Mais des vacances avec elle, je dirais pas que c'est super génial. Moi qui ai toujours rêvé d'être testeuse de vacances, c'était comme si le ciel avait entendu ma prière. Avec un délai un peu cours, c'est vrai, mais allais-je réellement chipoter quand on me promettait le confort extrême et une nourriture divine en plus d'une thalasso tous frais payés ? Il faudrait que je mette le courrier de côté, histoire de MacAvare sache quoi faire de son argent la prochaine fois qu'il aurait le courage de le dépenser. Ca serait pas demain la veille, certes, et peut-être qu'il mourrait avant de se rappeler que l'argent qui dort à la banque, ça sert à rien, mais si des fois il finissait centenaire, ça le ferait peut-êre. Enfin bref, comme je n'avais que quelques jours pour me préparer, je filai de ce pas en ville afin d'acheter le nécessaire. Parce que je voudrais pas me vanter, hein, mais je suis au moins aussi super-géniale que cette annonce, donc je comptais bien le prouver de la tête aux pieds, vernis semi permanent inclus. J'étais intimement convaincue que j'irai dans un endroit plus chaud et plus cool que le Maine (même si c'est pas très difficile d'être plus cool que le Maine) et j'investis en ce sens, sortant du magasin avec mes nouvelles lunettes de soleil sur le nez... que j'abaissai bientôt pour voir Aspirateur Walters en face de moi, sur le même trottoir. Comme à chaque fois, je fis la moue. - Je me disais bien que cette journée était trop parfaite, déclarai-je de but en blanc. J'aimerais vous demander si vous allez bien mais j'ai pas envie. Alors j'espère que ça va mal. Petite astuce, ajoutai-je sur un faux ton de confidence, si vous voulez me faire réellement plaisir c'est là qu'il faut répondre non et éventuellement pleurer sur la misère qu'être votre physique ou tout autre aspect de votre vie. Manque de bol, il eut l'air amusé puis regarda la Lune noire (que personnellement je trouve aussi peu seyante que la tête de mon interlocuteur mais bon, apparemment, dans la vie on a pas toujours ce qu'on voudrait). Mais après tout, il aimait peut-être qu'on lui souhaite du malheur et si c'était le cas ça ne me faisait qu'un point de plus sur lequel le jugeais. C'était un mal pour un bien. Voire peut-être mieux : - Si ça peut vous faire plaisir, ma vie est très compliquée en ce moment. Mais ravi de voir que je suis le seul dans ce cas là, parmi nous. - Plaisir partagé, assurai-je. C'est la lune votre souci ? C'est vrai que moi aussi je trouve ça moche. Comme quoi, des fois, on est d'accord sur des trucs. - Moui, fit-il avec une petite moue. Si j'arrivais à la retirer du ciel, j'en serais bien content. - Je compte sur vous, s'il y a bien un éternel optimiste prêt à tout pour s'en occuper, c'est bien vous. Maintenant si vous voulez bien m'excuser, j'ai des vacances à préparer. Aspirateur parut étonné, songeant probablement que je venais de lui faire un compliment alors que non. Les éternels optimistes, pour commencer, ça me casse les pieds et quand en plus ils ont sa tête ça m'horripile. Mais je ne lui fis pas perdre son sourire et le laisse croire ce qu'il voulait : - Merci. C'était... un compliment, ça. Je crois. Tant pis, je le prends pour un compliment, c'est trop tard vous pouvez plus changer ça. En fait il avait tort mais je ne dis rien, me contentant de le voir mettre les mains dans ses poches et s'en aller avant de se tourner de nouveau vers moi : - Bonnes vacances ! J'y comptais bien. Déjà il n'était pas de la partie, alors ça partait du bon pied.
Erwin Dorian
« If the crown should fit, then how can I refuse? »
| Avatar : Rufus Sewell
- Pour ma victoire? C'est adorable, trésor... Même si en toute modestie, je dois admettre, qu'au-delà de cela, je suis un prestigieux modèle pour mes concitoyens"
(Alexis pense-t-elle qu'il est parti trop loin? Sûrement! On approuve)
| Conte : Coeur de Princesse/Le Prince et le Pauvre | Dans le monde des contes, je suis : : Preminger
Le monde devait parfois penser que c’était fatiguant d’être aussi parfait que lui. Pour être tout à fait objectif, à certains moments, porter le poids du monde sur ses épaules, aussi magnifiques soient-elles, ne résidait pas en une activité de tout repos. Pour ainsi dire, Erwin s’interrogeait parfois sur la dernière fois où il s’était réellement reposé. Voler un royaume entier pendant dix longues années ça n’avait pas été une activité des plus reposante, sans compter qu’il avait fallu jongler entre un cheval incompétent, deux nigauds qui tenaient plus du comic-relief que de vrais hommes de main, une princesse scientifique et une reine myope. Erreintant. Et lorsqu'il aurait eu enfin l’occasion de se reposer en jouissant de la seule place au Monde qui lui était destinée...La malédiction de la sorcière avait frappé et l’avait obligé à tout recommencer depuis le début. Certes, maintenant son chien était un humain, la reine était son épouse, mais pour le reste, c’était du pareil au même. Voire pire compte tenu des récentes rencontres qui s’étaient permises d’envahir son royal quotidien. Evidemment, vous auriez pu lui objecter qu’avec une garde-robe à faire pâlir d’envie les plus grands couturiers, l’accumulation des diners mondains sans compter les dépenses excessives qu’il mettait dans chaque objet luxueux qu’il voyait, Erwin Dorian n’était pas un homme à être plaint. A cela, il vous aurait répondu qu’effectivement, être lui, était un plaisir quotidien et qu’il n’aurait échangé sa vie pour rien au monde. Même s’il n’en n’était pas pleinement satisfait. Néanmoins, son attention fut toute bientôt toute acquise à la lettre que la poste déposa dans sa boîte aux lettres en ce frileux 1er février 2020. Habituellement, c’était son épouse qui s’occupait de trier le courrier, ça et d’autres tâches ingrates trop chronophages pour la personne si occupée qu’était le notaire, cependant, se tenant près du vestibule lors de l’arrivée du facteur, il se décida exceptionnellement à la tâche. Il triait déjà les enveloppes sur le meuble principal de son vestibule, lorsqu’un papier attira toute son attention. A la différence des autres qui portaient des entêtes bien connues comme « factures », et toutes ces autres bêtises que Georgia payerait, cette dernière avait quelque chose de bien différent. Une saveur particulière. Il la distingua tout d’abord par son odeur. Un parfum de violette comme l’essence qu’il utilisait autrefois pour parfumer ses courriers. Il le faisait encore mais ne retrouvait plus la saveur olfactive exacte qu’il utilisait autrefois...avant aujourd'hui. C’était bien la même en tout point. Chose plus intéressante encore, l’enveloppe toute dorée semblait composée de parchemin, comme un authentique papier du XVIIIème. Un sceau de cire rouge avait été apposé figeant le lys royal sur l’enveloppe… Pour achever le tout, son nom avait été repris en une calligraphie parfaite de son époque et la finesse de l’ouvrage ne laissait aucun doute sur l’instrument qui avait tracé ces lignes. Une authentique plume de paon d’époque. Il n’aurait jamais cru possible de ressentir de la nostalgie par la simple vue d’une lettre mais c’était chose faite. Toute cette vie luxueuse à laquelle on l’avait arraché. Pensivement, il reprit les autres courriers et revint retrouver son épouse dans son bureau, qui pianotait tranquillement sur les touches d’un ordinateur.
- Des choses intéressantes ? l’interrogea-t-elle en relevant son regard vers lui. - Des factures… N’oublie pas de les payer rapidement, je déteste faire traîner nos dettes, répondit-il en lui tendant lesdites enveloppes, encore absorbé par la contemplation de celle qui lui était destinée. - C’est un authentique papier de...demanda Georgia en remarquant l’objet entre les doigts de son mari. - Je suppose...admit-il en le lui tendant.
Ils s’abîmèrent un instant dans l’observation de leurs souvenirs communs. Genevieve autrefois parfumait ses lettres avec du lilas, se rappela-t-il. L’odeur était délicate, fugace, elle lui convenait bien, d’ailleurs. C’était sa fleur favorite. Lorsque mai approchait, elle emplissait leur demeure de ces fleurs fragiles. Elles symbolisaient la pureté. Ce qui n’était pas faux.
- Je me demande qui peut bien t’écrire ainsi… Erwin se le demandait également. D’un geste sec, il décacheta l’enveloppe de son coupe-papier. Ce que cachait l’écrin précieux le déçut. Ce n’était qu’une vulgaire feuille de papier moderne qui comprenait un texte écrit dans un rose criard. Une faute de goût mémorable ! Il parcourut néanmoins le texte avec intérêt. Le document faisait état d’une invitation à des vacances d’exception dans un endroit dénommé « Le Bon Endroit ». Etrangement, le notaire était au fait des adresses de prestige du continent et l’établissement ne lui disait absolument rien. Peut-être cela s’expliquait-il par le fait que la proposition insistait sur le fait qu’il serait, avec d’autres, des VIP. - Alors ? Qu’est-ce? Pour toute réponse, il tendit le document à son épouse, réfléchissant pendant que celle-ci prenait connaissance du message, l’enveloppe encore en main. Il ne parvenait pas à savoir s’il était déçu ou au contraire satisfait. Qu’avait-il espéré ? Un message du passé ? Une invitation à un bal dans un monde sans réelle noblesse ? Mais la proposition de vacances ne lui déplaisait pas… Après tout, sa vie avait été pour le moins tourmentée dans les temps passés et l’idée de profiter d’un luxe opulent sans devoir se soucier du quotidien le séduisait. - Cela à l’air tentant, tu as vu ? L’offre est très alléchante… Ont-ils envoyé des billets ? Il sortait justement le document de l’enveloppe et l’observa. Dans un document très officiel, sa seule identité trônait fièrement en tête. Il chercha vainement un deuxième billet, sans succès. Partir sans Georgia ? L ’idée n’était pas si déplaisante…si ce n’est qu’elle était plaisante. Non pas que son épouse soit une véritable plaie ambulante, non cela c’était Lena Davis, mais il souhaitait profiter pleinement de son séjour… Etre ouvertement exigeant, autoritaire et méprisant s’il le souhaitait. Si finalement la compagnie de son épouse ne lui déplaisait pas, il préférait ne pas le montrer. - Je regrette ma chère, mais il semble que...je sois le seul convié...soupira-t-il faussement, en affichant une moue contrariée… Regarde… Je vais peut-être les appeler pour voir s’il est possible d’élargir l’offre pour deux… Tandis que Georgia contemplait le billet visiblement déçue, il retourna la feuille surpris de ne pas apercevoir ne serait-ce qu’une adresse mail, un numéro à contacter pour de simples questions ou réclamations… Comme une entreprise fantôme… - Je ne trouve rien… commenta-il en fronçant les sourcils. - Je vais essayer sur Internet, proposa Georgia dans un sourire Et elle pianotait déjà sur les touches de son clavier à la recherche du lieu de villégiature. - Tu sais, au fond, ce n’est pas très grave… Honey m’avait parlé de sortir, tu sais.. De faire des trucs entre filles ? - Hum… Des soirées pijama et autres enfantillages ? - Entre autres, répliqua son épouse en tournant vers lui un grand sourire sincère, mais on pensait plutôt à quelques jours en centre de balnéothérapie. Ca pourrait l’aider, tu sais, pour ses...jambes et en plus, ils ont de très beaux spa… - Fascinant... Erwin hocha la tête, plus concentré sur le résultat des recherches de son épouse que sa conversation. Il n’avait pour ainsi dire pas réellement compris comment la conversation avait pris ce tournant. - Alors voyons, « Le Bon Endroit »..un magasin bio, là ! Ah non c’est un restaurant parisien.. Paris, j’aimerai y aller, nous pourrions y aller cette année qu’en penses-tu ? Il paraît que les musées sont magnifiques. Et puis, c’est la ville de l’Amour - Bien sûr, si tu le souhaites… répliqua laconiquement son mari en posant sa main sur son épaule. En réalité, il n’avait jamais réellement réfléchi à l’idée de l’emmener en vacances. Pourquoi pas. Cela renforcerait les liens qu’elle éprouvait pour lui, si le besoin de les renforcer était réel. Mais il n’avait pas la tête à cela, pour le moment, décida-t-il subitement. Ce qu’il avait besoin, c’était de se retrouver pleinement pour mieux réfléchir à sa future conquête de l’Univers. Se cibler sur ses priorités. Il secoua la tête et parcourut des yeux la liste des résultats révélés par la recherche de son épouse. Le reste était exclusivement consacré à une série télévisée du même nom, The Good Place, qui indiquait SPOILER en lettre capitale suivi de la promesse de révéler la fin de ladite série. Erwin n’avait jamais regardé et quand bien même… Plus bas un autre lien indiquait « L’amour est dans le pré : est-ce réellement le bon endroit ? ». Il ricana. Une émission toute juste bonne à rire des manants. - Il semble que ça ne relève de rien de tout cela… Sûrement parce qu’il s’agit d’un nouveau concept… proposa Georgia en haussant les épaules. - Ou d’une arnaque… Objecta Erwin en relisant subitement le courrier, comme pris d’un doute. Aucune adresse, aucun numéro de téléphone...aucun lien. Cela ressemblait tout bonnement à un attrape-nigaud, finalement. De ces articles qui vantaient un produit miracle vainquant les rides ou une richesse absolue… - Attends, je vais essayer… Le Bon Endroit Arnaque, après tout, si plusieurs personnes ont reçu ce mot, peut-être que si effectivement c’est faux, tout se sait très vite sur le web. Parfois, Georgia pouvait être de bon sens. Il opina de la tête et se pencha à ses côtés sur les résultats que révéla l’ordinateur…. Sans succès. Les seules réponses ne visaient que la série télévisée, précédemment évoquée. - Je ne sais pas si cela donne envie de s’y mettre ou non, Honey me l’avait évoquée… Mais pour en revenir à cette invitation, je suppose que c’est bon signe. Ne vois pas le mal partout, s’il n’y a rien, c’est qu’il n’y a rien à trouver… Et comme je te disais, Honey et moi, nous pensions passer quelques jours au centre de balnéothérapie, ça serait l’occasion d’y aller pour nous, pendant que tu prendrais des vacances bien méritées. Qu’est-ce que tu en penses ? Erwin sourit finement. Si l’expérience d’Amazon avait apporté dans sa vie des rencontres pour le moins néfastes, Honey était finalement de celles qu’il ne regrettait pas. La compagne du maire, un atout de choix. Et plus encore si Georgia se liait d’amitié avec elle. Il embrassa le front de sa femme. - Oh tu es si attentionnée, Georgia. Effectivement, avec l’ensemble de mes hautes responsabilités...quelques jours de repos ne seraient pas de refus. Mais… il y a un déséquilibre entre le luxe que me propose ce voyage et le tien, objecta-t-il hypocritement. Evidemment, son épouse tomba naïvement dans son piège et se leva pour l’enlacer doucement. - Oh tu sais, des vacances luxueuses seule ne me tentent guère. Je ne vois pas assez de monde. Pour toi, ça te conviendra bien mieux. Vas-y, je t’assure, ne culpabilise pas pour moi, sourit-elle et son sourire devint presque mutin, ou culpabilise un petit peu, suffisamment pour que nous partions à Paris ensuite. Preminger éclata d’un rire sonore. Culpabiliser ? Lui ? Ce mot ne faisait même pas partie de son vocabulaire. Ce n’était que pour les faibles. Il avait envie de prendre des vacances, il en prenait, cela s’arrêtait là. Culpabiliser… Elle était si amusante quand elle le voulait. Et indifférente à la raison de l’hilarité de son époux. Si bien, qu’il retourna la situation dans son sens aisément : - Nous verrons si je me sens suffisamment coupable pour le voyage à Paris. A mon retour. D’ailleurs… Il me semble pas qu’il ait précisé le nombre de jours offerts… Hors de question de se faire prendre au jeu comme un imbécile qu’il n’était pas et de se retrouver à payer un prix exhorbitant pour un supplément de nuitées. Encore une fois, la lettre n’indiquait rien d’autres que la promesse de moments « awesome ». Il se dégagea doucement de l’étreinte de Georgia pour saisir son téléphone. - Je vais tout de même appeler la gare de Boston. Il n’est pas envisageable que je fasse l’objet d’une plaisanterie de mauvais goût. Il n’y a pas plus basse humiliation que d’être le jouet d’une arnaque ridiculement menée. Genevieve leva les yeux au ciel mais n’objecta rien. Tant mieux, il ne lui avait pas demandé son avis. Le téléphone laissa deux sonneries avant que la voix enjouée d’une hôtesse retentisse au bout du combiné. Cette dernière lui confirma bientôt qu’effectivement la gare de Boston avait bien une navette VIP en partance pour « Le Bon Endroit » le 04 février prochain. Et se mis à le féliciter d’avoir la chance incroyable d’y participer car c’était à l’entendre un privilège réservé à peu. Inconsciemment, l’arrogance du notaire se gorgea de ses paroles. Un privilègié ? Oui c’était bien ce qu’il était, au bas mot, dans ce royaume. Visiblement le courrier en faisait état… Néanmoins son orgueil n’aveuglait pas son intelligence et il interrogea tout de même la jeune femme, après tout, elle semblait être plus renseignée qu’Internet sur le sujet : - Savez-vous quelle compagnie s’occupe de ce séjour ? Et en quoi il consiste ? J’avoue que le billet d’invitation est resté fort bref sur le sujet. Il appuya sur le haut-parleur pour que son épouse puisse profiter de la réponse. Si elle indiquait des lieux richissimes, il aurait été dommage de priver Georgia d’une pointe de dépit. Mais mal lui en pris : - Mais enfin Monsieur, c’est inscrit sur le billet : vous allez au Bon Endroit. Moi, je trouve que c’est très clair. Evidemment que c’est le promoteur du Bon Endroit qui organise et pas Mickey Mouse ! Preminger roula des yeux agacé. Pour qui le prenait-elle pour baragouiner de telles inepsies. Elle précisa même : - Le reste, c’est une surprise ! Cette jeune femme n’avait pas l’air de mauvaise volonté, c’était un fait, mais l’attelage de tant de stupidité agaça le notaire. Lena Davis aurait été au téléphone qu’elle n’aurait pas fait une réponse aussi peu inspirée. Connecter deux neurones était visiblement trop compliqué pour ces deux femmes. Aussi s’entendit-il répondre aussi sèchement que s’il s’était s’agit d’elle : - Je sais lire le lien de destination, merci. Mais « Au Bon Endroit », ça reste assez vague, Madame ! Pour les fous, l’hôpital psychiatrique, c’est le « Bon Endroit », pour les autres, ce n’est pas vrai. Il croisa le regard de Georgia qui l’observait en faisant les gros yeux. Cela l’obligea à se tempérer. - Enfin… Bref. Savez-vous quand la navette de retour est prévue ? Interrogea-t-il d’un ton plus agréable. - Oui. Puis rien. Son interlocutrice avait décidé de ne plus faire d’effort, visiblement. - Alors quand est-ce ? S’obligea-t-il à articuler sans faire entendre son impatience. - Je suis désolée mais pour des mesures de bonheur absolu des hôtes du Bon Endroit, nous ne sommes pas abilités à vous communiquer cette information. Ignorant Georgia qui lui faisait signe de laisser tomber, Erwin persista tout de même, ce n’était pas cette péronnelle qui aurait raison de lui : - Je suis un homme très important, Madame, je ne peux pas partir en vacances sans m’organiser. Afin que le monde puisse...Survivre à mon absence, voyez-vous ? Il ponctua cette phrase d’un sourire sarcastique qu’il destina à son épouse, Donc en conclusion, j’exige cette information, mettez-le sur le compte de mon bonheur absolu. Et sans la présence de sa « chère et tendre » il aurait ajouté « et de votre poste ». Il se contenait cependant sachant Genevieve plus faible envers lui qu’elle ne l’avait été quelques années auparavant. Bientôt, il parviendrait au degré d’aveuglement qu’elle lui avait témoigné des années durant avec l’amour en supplément. Ou peut-être y était-elle déjà ? Dans le doute, il tâchait d’épargner à sa vue, l’étalage de sa méchanceté, ne voulant pas faire transparaître l’événement qui avait entâché à jamais sa méfiance. L’hôtesse continuait : - Je regrette Monsieur mais soit vous acceptez de vous abandonner au bonheur sans regret et avec l’assurance que le complexe possède la fibre optique, soit je peux réattribuer votre ticket gagnant… Souhaitez-vous en faire cadeau à un ami ? Elle pianotait déjà sur son clavier. Dans l’esprit de l’ancien ministre s’entrechoquèrent sa sainte horreur d’être traité comme un individu lambda par une vulgaire employée et sa vanité farouche qui s’enorgueillissait d’être traité comme un privilégié. Ce fut cette dernière qui l’emporta. Aussi s’entendit-il répondre : - Non sans façon. J’espère juste que vous avez une bonne assurance parée au moindre désagrément. Et il raccrocha. Storybrooke, 4 février 2020 Les trois derniers jours qui le séparèrent du jour du départ, Preminger les passa à faire des emplettes. Sa garde-robe le déprimait, ses costumes l’ennuyaient. Il racheta dix ensemble extravagants, commanda trois chemises qui n’arriveraient que le mois prochain mais c’était toujours utile, changea quatre fois de tenue de départ, n’étant jamais satisfait du résultat. Oh certes il était toujours extrêmement beau, mais c’était le postulat de départ alors il se faisait une obligation de renouveler quotidiennement l’impression de grandeur et de magnificence qu’il souhaitait inspirer chez autrui. Il finit par opter par une chemise en taffetas de soie, qu’il orna d’une veste de costume entièrement brodées de fleurs grises et bleues pâles et d’un pantalon noir classique. Il réorganisa ses boucles noires, s’admira une dernière fois dans le miroir de la chambre, dans celui de la salle principale puis celui du vestibule puis traversa l’allée qui bordait son manoir jusqu’à la route où l’attendait son taxi. - Allez chercher mes valises, je vous prie. Le conducteur s’exécuta tandis que le notaire consultait sa montre. Déjà en retard, quelle idée il avait eu de l’appeler. Peut-être aurait-il du se contenter d’un simple message. Midas quant à lui avait fait une mine déçue lorsqu’il lui avait annoncé ses vacances improvisées. - Dommage que je n’ai rien reçu… Ca aurait été un plaisir de se détendre ensemble, non ? - Je ne suis pas sûr qu’ils soient équipés pour les canidés humanoïdes, désolé. Avait-il répliqué en quittant le bureau, un sourire mesquin sur les lèvres. Nul doute, qu’il en serait malgré tout satisfait. Il soupçonnait son ancien caniche d’être bien plus aimable avec Erika lorsqu’il n’était pas là. Pas trop aimable pour son propre bien mais tout de même. Bien sûr, ce n’était que purement intéressé mais tout de même. La silhouette tant attendue se profila à l’angle de la rue. Vêtu d’un jogging gris et d’un sweat à capuches rabattu sur son visage, Gajeel le localisa rapidement. Un sourire goguenard se figea sur le visage du boxeur à la vue de l’ensemble des bagages que le chauffeur déposait sur le macadam : - Vous déménagez et vous ne me prévenez même pas ? Déclara-t-il le regard vaquant entre chaque valise. Preminger leva les yeux au ciel et chassa cette proposition d’un geste vif de la main - Ne sois pas ridicule. Ce n’est qu’un voyage de quelques jours, tout au plus… Et ne prétends pas que je ne t’en informe pas, c’est justement la raison de ta présence ici. Georgia s’est absentée également, j’aimerai que tu surveilles ma demeure. Il avait réfléchi sur la personne à qui il souhaitait confier cette mission. Les jumeaux ? C’était la meilleure façon de découvrir en combien de temps une magnifique demeure pouvait se transformer en ruine. Alec ? Même combat vu son lien avec les jumeaux. Midas surveillerait déjà ses affaires privées et professionnelles et hors de question de solliciter Hyde, au risque de voir ce brigand fouiller dans ses secrets. Gajeel avait une musculature imposante, la force qu’il fallait et le dévouement nécessaire. Même s’il souriait en regardant ses valises d’un air moqueur que ne saisissait pas Erwin avant de lui demander : - J’imagine que je n’ai pas le droit d’y faire des fêtes ? Le regard toujours sur ses valises. Le chauffeur venant d’en déposer la dernière à bout de souffle, Preminger déclara fièrement : - Il y en a vingt-et-une, puisque cela t’intéresse. Je sais...ce n’est que le strict minimum, le voyage a été quelque peu, improvisé… Et pour les fêtes, non. Vu tes fréquentations, je préfère que tu t’abstiennes, dis-toi qu’il s’agit déjà d’une chance incroyable qui t’est offerte que celui de surveiller mon lieu de vie. Menant le geste à la parole, il désigna avec emphase l’immense jardin qui desservait sa demeure. Gajeel se mit à rire, en secouant la tête : - j accepte. Pas de fête. Mais que veut tu que j y fasse alors ? Finalement ce n’était peut-être pas tant que cela une bonne idée. Trop tard, l’heure avançait, il n’allait pas tarder à devoir y aller. Guettant sa montre, il déclara - Surveille... Signale moi tout mouvement suspect, toute personne s'y attardant trop... Une idée subite lui traversant la tête, il précisa : mais ne te fais pas remarquer, je ne veux pas que les voisins te voient, ils penseraient que la maison est squattée A nouveau, le visage de Gajeel reprit une expression goguenard : - Je vous dirais tout. Par texto j imagine ? D ailleurs j ai vu un chat noir en arrivant que dois je en faire ? Cet espèce de sac à puces ! Pas besoin de demander des précisions, il était sur qu’il s’agissait de lui. Cette salle bestiole noire… Et dire qu’il avait tenté de mettre des pièges dans sa propriété sans succès… - Parfait, je communiquerai avec toi par le biais de messages numériques...de textos oui… Pour ce chat, fais-en ce que tu voudras, une soupe, un tapis, que sais-je, mais débarrasse-moi en. - Je ne mange pas les chats. J essayerais de le virer Il doutait que Gajeel le fasse réellement. N’habitait-il pas avec deux chats lui-même ? S’il lui prenait l’envie d’adopter celui-ci, Erwin ne s’en plaindrait pas… Il espérait seulement que Gajeel regretta toute sa vie cette décision. Le chauffeur de taxi passa une tête impatiente dans dehors. Il avait par miracle réussi à faire rentrer l’ensemble des valises dans ce petit modèle et le hèla : - Monsieur… Je pense qu’on doit y aller, si vous voulez pas être en retard. - J’arrive, mon brave. Donnez-moi une minute. Même si Georgia restait embarassée lorsqu’il faisait ça, il n’était jamais arrivé à perdre son habitude à s’adresser au petit personnel comme...du petit personnel justement. Après tout, c’étaient ce qu’ils étaient. Il se tourna vers Gajeel en lui tendant les clefs : - Je vais devoir y aller. Tiens et fais-en bon usage. Le jeune homme attrapa les clefs et lui fit un sourire plus timide : - Pas de bêtises, hein ? C’était sa manière de lui dire de faire attention à lui, sûrement, le jeune homme ayant développé une sorte de relation filiale à son égard. Erwin balaya néanmoins sa sollicitude d’un ricanement grandiloquent : - Que voudrais-tu donc, qu’il m’arrive ? Interrogea-t-il avec orgueil. - Je ne sais pas moi. Storybrook est bizarre sur ça... vous risquez meme de vous amuser - Je l'espère. Quel est l'intérêt de partir dans une destination paradisiaque si ce n'est pour y trouver aucun plaisir? Gajeel haussa les épaules en rajoutant qu il n est pas sur qu il sache prendre du plaisir a quoi que ce soit. Et ensuite partit. Et Erwin rentra dans la voiture en soupirant d’aise. Sa vie avait pris un tournant des plus mouvementées en si peu de temps. Le retour des jumeaux, de Gajeel et l’arrivée imprévue d’Alec… Tout avançait tellement vite. Au moins, cela lui permettrait d’être au calme. De remettre de l’ordre dans ses désirs, ses objectifs et ses aspirations. Oui, au moins, il s’offrait un plaisir complètement gratuit dans un hôtel paradisiaque. Qu’aurait-il pu lui arriver ? Ses pensées dérivèrent jusqu’au dernier hôtel qu’il avait fréquenté... et il se promis de ne pas emprunter d’ascenseur.
Loke Lionstar
« Tous les hommes sont des imbéciles »
| Avatar : Rob Raco
| Conte : Manga Fairy Tail | Dans le monde des contes, je suis : : Loki ★ (Leo du Lion , L esprit céleste )
Ne mettez jamais la clé de votre bonheur dans la poche d'un MJ sadique ou d'une groupie ...
Bébé monstre et moi, nous fréquentions depuis quelques mois, déjà. Nous avons déjà vécu plusieurs chapitres de notre histoire, ensemble. Étape par étape, nous franchisons les niveaux qu'un couple doit accomplir pour posséder sa fin heureuse. Noel avait été le point de sauvegarde de notre relation, a cause de deux événements marquants. Officiellement nous étions un couple, depuis qu'elle avait ouvert cette boite de velours. Non aucune demande en mariage en vue. Mais avec le temps..Tout était possible. C'était seulement un cadeau que je lui avais offert : la clé de mon univers. Elle pouvait se considérée comme une soeur. Comme une des nôtres. Elle avait juste ...Vous le serez en lisant plus.
Ma famille était à présent au courant de son existence. Et en prime, elle avait un accès privilégiée dans mon antre de garçon. Et aucune conquête, car a l'époque du célibat je préférais les convoquer a ma chambre du Mystery Hotel . Aucune conquête avait eu la chance de voir mon pieu . Seulement des amies étaient témoins de la décoration. Aucune qu'entre elles avaient la permission de s’asseoir sur mon lit. Ni de poser ses fesses sur ma batterie. Fantasme de musicien. De son coté et de ma perception a moi , Dewenty avait officialisée notre liaison sous la nappe de la table du Speed Dating dans ce moment intime et drapée, elle avait ancrée en moi cette idée que nous étions des âmes de cœurs. Seulement avec cette fameuse question ,qui me hantait. Et me faisait sentir vivant. Et qui me prouvait qu'elle était ma destinée. Mais il était trop tôt..Je devais ralentir la cadence de ma vitesse lumière.
Mais dans l'ombre du soleil , cette envie en attente me rongeait. Incapable de lui en parler. Incapable de lui démontrer cet émotion d'impuissance. Mais a chaque opportunité que la vie m'offrait .. A chaque opportunité que je pouvais provoquer pour favoriser ce bonheur absolu. J'optais pour ce chemin, pour lui prouver que j'étais l'unique être qui lui fallait pour qu'elle soit épanouie . Sachant qu'elle était un être particulier comme moi. Sachant qu'elle était une manticore. Je savais qu'elle étais née pour créer . Mais une création , se réalise a deux. Ensemble. Malgré le fait, que dans nos vies personnelles, j'avais une longueur d'avance sur le sentier de cupidon.
Chaque nuit , je priais les astres pour avoir leur benediction, pour avoir mon futur clé en mains. Mais le seul moyen de communiquer avec eux , était de lire les symboles des cieux. Et cette lune noire était elle un message pour moi ? Les écrits des horoscopes auront peut-etre des réponses a me donner.
Nous sommes le 1 février 2019 . Cadeau de bébé monstre pour Noel. Une ballade avec mon bébé a poil s'imposait. Ne pas confondre avec Dewenty. J aurais écrit bebe a plumes. Il fallait que je lui enseigne a devenir propre. Je quittais donc le manoir de ma manticore, a pied ,pour entamer ma journée, car ces temps ci dans ma vie , j'étais entre un entre deux..enfin ma voiture était le juste milieu. Je vivais dans les valises. Vadrouillant entre la guilde et ma petite copine. Mais ca ne changeait pas mes habitudes du quotidien. Je suivais mes cours universitaires ..Je travaillais..Je vivais du loisir . Je fréquentais toujours les même endroits. Même l'arrivée de Sparkle ne perturbait rien.
Ce matin ..comme tous les matins , je me rendais a ce bistro ou le coup de foudre nous avaient percutés. Et ce n'était pas qu'un sens figuré. On était deux corps , deux âmes qui étaient entrés en collision pour creer une supernova. Mais les étincelles de nos coeurs avaient ruiner ma chemise Fendi, au moins ce n'était pas du Agreste. J'aurais verser des larmes pour plusieurs décennies, car complètement en admiration devant ses fringues et ses accessoires. J'étais fan de ce styliste de renom. Détail ! Mais revenons a notre émotion du moment : l'amour.
Mon coeur comme mon pied avait explosés d'amour pour elle. Et ce n'était pas tout, elle avait taché mon ego d'une touche de lait , et d'insultes. Elle m'avait même affectionner d'un surnom salissant. Un surnom qui me donnait envie de rugir de mécontentement. Mais c'était sa manière de m'ensorceler parce que cette femme était une sorcière du love. Tout son être , était un philtre d'amour que j'avais envie de consommer.
Mais depuis cette fameuse question qui avait charmer mon coeur et stimuler le bas de ma ceinture. Je vagabondais dans tous les commerces de spiritualisme, a la recherche du miracle pour te prouver que j'étais l'homme parfait pour partager ta vie. Que j'étais le Male Alpha pour la reproduction.Et qu'ensemble on pourrait créer notre propre Lune Noire. Un astre de lumières et ténèbres. Une éclipse.
Après l'arret a ce bistro, le petit caca de Sparkle, quelques commissions dans les boutiques de sorcelleries. Je faisais un détour , je m'arretais au petit kiosque des journaux ou j'avais l'habitude d'acheter toutes sortes de revues, dont la couverture me faisait de l'oeil. Et voulant connaître mon avenir avec Bébé monstre.. et connaitre le meilleur moment pour la fécondation. Je m'achetais le catalogue portant le nom l'édition horoscope 2020 , tout savoir sur ce que les astres vous réservent.. Mais je ne pouvais pas feuilleter mon avenir, en toute tranquillité avec les mains pleines. Je décidais donc d'aller squatter mon domicile préféré après celui de ma petite copine, après ma guilde. Je décidais d'aller embêter, celui que je devais taquiner de ma présence et de tenir ma promesse a ma princesse. Elle voulait rencontrer Sparkle. Direction chez mon helicoptère d'amour (Ben Rangers).
***
Dans l'atelier du garage Maru. Chacun vaguait a ses occupations. Position Pacha dans le vieux canapé de Ben. A mes cotés , Sally s'amusait avec Sparkle, avec les jouets que j'avais apporter pour ma chienne, car comme pour un bébé, elle avait le droit a son petit sac a accessoires. Son sac de transport par la même occasion. Ben lui était en train de bricoler sur une voiture tout en baragouine des gros mots , comme a son habitude. Toujours en train de se plaindre pour un rien. Si seulement il savait que moi aussi j'avais un souci coté mécanique, plus précisément avec mon pot d'échappement. Oui oui j'étais convaincu qu a ce niveau là c'était défectueux, car on n’utilisait aucune contraception. Et aucun malaise, aucune humeur suspecte , aucune prise de poids, aucune paillette dans le regard de Dewenty. Rien ! J'étais impuissant... Quelle sensation horrible a ressentir ! Surtout pour le type d'homme que j'étais..Quand la virilité d'un lion est atteint c est un drame. Mais j"essayais toutes sortes de solutions pour me réparer. De la sorcellerie a la science . Du bracelet de fertilité , aux herbes magiques et meme aux pilules magiques (Et je ne fais pas mention de ''drogue'') Meme si le peu de personnes au courant, me disait que je n'étais pas briser. Peut-etre que si Ben savait tout cela ,il arreterait de raler sur ce.. Intrigué j'interrogeais ma filleule qui avait toujours réponses sur tout.
Princesse, pourquoi il est grincheux ton Papa ? Relevant la tete dans ma direction, car toute son attention était portée sur l'animal. - il a pas eu son tank. Alors il râle depuis hier. Pauvre Sally ! Ben dans ses mauvais jours était tout un phénomène, surtout quand il s'agissait de machines. Un vrai bébé ! Voulant en savoir plus sur le projet du véhicule : Son Tank ? Qu'est ce qui voulait faire d'un Tank a Storybrooke ? C'est a cause des derniers evenements ? Pensées pour les portails et ce fameux Dragon déchu.. Ben était un Papa très protecteur. Et ce Tank lui aurait permis une sécurité supplémentaire pour sa famille. -Il y avait une annonce. Pour recuperer un tank de l armée mais Ben ne l a pas eu parce que le serveur a planter . Décu de pour son ami. J’espérais de meilleures nouvelles pour lui. Je proposais donc de partager avec ma Princesse ma croyance, mais aussi les prédictions divinatoires, astrales de nos signes. Je suis désolé .Ca te tente qu'on regarde l'horoscope de ton papa pour savoir si aujour dhui , il aura de meilleures nouvelles que celle ci ? On pourrait meme regarder la tienne . Emballée a l'idée. Oh oui !! Je veux savoir si Ben va rencontrer une femme ! Un rire amusé s'échappait d entre mes levres . Décidément ma Princesse était aussi tetue que moi. Elle ne décrochait pas avec son désir d avoir une maman. Et elle avait raison, son père avait le droit de gouter a nouveau au bonheur. Sifflant. - Sparkle vient voir Papa. La petite boule de poil branlait la queue et se précipitait sur mes cuisses, dans un saut. Dans une douce caresse, je la félicitais pour son obéissance, pendant que Sally prenait place a mes cotés pour s’asseoir. D'un bras que je glissais derrière la gamine, pour la rapprocher de moi et la coller par la suite. Tenant le livre entre nous deux..Nous trois.. Je commençais ma lecture du Zodiaque. Ayant une pensée nostalgique pour mes amis du monde Céleste. Ben rala encore au fond en disant que c est de la connerie et Sally s impatientait. - vite vite avant qu il jette l horoscope
Soupirant a cause l'Opinion de Ben. Levant les yeux au ciel. Et lui disant : - C'est un peu vexant, tu sais , surtout que tu sais que je suis l'Esprit du Lion. Donc tu devrais être y croire..Et tu devrais donner une nouvelle chance en l'amour. Sinon tu seras malheureux toute ta vie. Je sais que ce n'est pas facile, on n oublie pas forcément ses premiers amours..mais la prochaine est peut-etre la femme avec qui tu vas finir tes vieux jours. Moi c'est que j'ai vécu car le jour ou j'ai connu Dewenty j'ai fais confiance aux astres.
Feuillant pages par pages. Faisant la lecture a haute voix a Sally et Sparkle.
Taureau - Travail : Vous foncez, vous foncez et vous vous défoncez ! Attention aux torticolis et ne commencez surtout pas à vous défoncer de manière illégale. L'amour du travail, c'est bien, mais la drogue c'est mal.
Gémeaux- Amour : Si vous êtes célibataire, l'alignement de Neptune avec Jupiter va vous permettre de retrouver une connaissance que vous n'espériez pas revoir mais qui vous procurera beaucoup de bonheur. Si vous êtes en couple, un éloignement indéterminé d'avec la personne aimée devrait vous redonner le sourire plus que vous ne le pensez.
Cancer - Humeur : Vous ne supportez pas de ne pas avoir toutes les réponses et cela influe sur votre Lune qui est en trois quart de Jupiter. Pas de panique, d'ici quelques jours, les tensions vont s'apaiser et vous devriez retrouver le sourire.
Lion - L'alignement de Mars et Vénus fait de vous le signe de jour ! Le bonheur est au coin de la rue, vous n'avez qu'à saisir la prochaine opportunité qui se présentera à vous pour être parfaitement comblé.e.
Lisant avec attention chacune des horoscopes. Portant une attention plus particulière au lion qui était le signe de Ben, Dewenty et moi. Je pouvais conclure que mon ami allait rencontrer la femme de sa vie au coin de la rue. Pensant a Bébé monstre, j'avais des frisons qui me parcourait en pensant a quel genre de bonheur elle pourrait croiser au coin d'une rue ? Je devrais peut-etre rentrer au manoir, pour m'assurer de son bonheur.. et me rassurer. Et moi qu 'est ce qui allait se présenter a moi ? Je devais partir...
Tournant la page pour une dernière lecture. Haussant les sourcils de surprise et faisant un bruit de bouche sous l étonnement. (Un jour, je vous partagerais les bruits de bouche de mon acteur ) Je découvrais une enveloppe d'un rose pastelle. D un rose princesse. La même teinte que le tatouage de Fairy Tail sur la main de Lucy, Stella pour les non intimes. Curieux par cette trouvaille, celle-ci était collée a ma page de mon horoscope. Cette lettre était symbole d affection. Et elle m'était adressée intimement, car dans d'une écriture fine aux lettres attachées et félines . Il était inscrit , pas mon prénom de tous les jours: Leo. Mais ce prénom que mon entourage utilisait régulier et depuis toujours : Loke. Cet enveloppe que je collais a mes narines après avoir réussit a la détacher, Reniflait l'essence du papier, le parfum qui y était imprégné sentait la pouponne. La femme fatale ! Mais C'était quoi cette connerie ? Est-ce que comme River j'avais moi aussi une Juvia ? Une groupie admiratrice, qui était prete a s engager en duel avec ma petite amie. Après tout dans la logique du cerveau de la femme, les hommes en couple sont beaucoup attirants que les mecs célibataires, car ils sont inaccessibles.. Ils sont un fantasme a conquérir. Dans une dernière observation avant d'ouvrir l enveloppe pour me faire part du contenu.. Donc l'écriture était encore rose. Me donnant des informations sur le bon endroit. J'y découvrais aussi un billet. Unique billet pour me rendre au bon endroit Mais ce qui me captivait le plus ce n'était pas le bon endroit. Mais cette trace de rose a lèvres au bon endroit sur l enveloppe . (Car contrairement a ce cher Erwin, mon sceau était un baiser )
Et si Dewenty découvrait cette trace de love. Connaissant ma Lionne elle allait faire un carnage autour de moi. Mettre la ville en sang et en feu pour retrouver l'auteur de ce courrier . Comme Karen autrefois , j'étais sa possession. Et c'était l'une des raisons qui m'attrait vers Dewenty. Le fait que je retrouvais les tenebres qui possédaient Karen autrefois, en ma petite copine. Donc cette demoiselle qui m'invitait au bon endroit ... venait de signer un pacte avec la mort. Parce que si Bébé Monstre apprenait l'existence de cette invitation. La lune noire, deviendra une Lune de sang .
Mais je me faisais peut-etre un film.. C'était peut-etre Stella qui voulait qu'on se fasse une sortie entre âmes soeurs. Confus, j'avais besoin de conseils de ma conseillère en femmes : Aisha... car trop honnête avec mes sentiments. Je ne pouvais pas cacher l'existence de cette invitation. Meme si elle venait de ma constellationniste, car malgré le peu d'informations que Dewenty avait sur elle. Celle ci ne la portait pas dans son coeur , car entre Dewenty et moi c'était territorial. Et ma clé venait compliquée l'histoire...
Mais l' Endroit était alléchant et dire non a des vacances de luxes me chagrinait. Mais mon coeur était déchiré , car ce bon endroit était l’opportunité rêvée et le bon endroit favorable, pour concevoir en toute tranquillité avec tous critères parfaits pour le nid . Mais avec une autre. Non merci. Si j'acceptais je devenais l'homme imparfait.Mais j'avais deux jours pour me décider.. si j'y allais ou pas a ce bon endroit . J'avais deux jours pour me décider si je serais perfection ou imperfection. S.O.S Aisha.
Voulant m'assurer qui n'avait pas d'autres cachotteries, ni de billet pour Dewenty. Non il avait seulement la page de
l'horoscope des poissons que je n'avais pas lu : Carrière Avec l'influence positive de la Lune sur votre signe (surtout si vous êtes du 3e décan) tout va filer droit et vous saurez surmonter les épreuves en gardant la tête hors de l'eau même dans les plus durs moments
Futurement dans la merde a cause de cette future mésaventure. Je..Quelques instants plus tard ..
*** Quittant le garage. Sac sur l'épaule , la petite tête de Sparkle sortait de celui ci . Telephone en main. Légèrement distrait par les textos que j'échangeais avec mon amie, la fée. Un flirt du passé, qui s'était transformé en une amitié profonde. Maladroitement en tournant le coin de la rue, je fonçais dans une poussette ce qui me freinait dans ma décision. C'était ca le bonheur que mon horoscope me parlait ? Me donner encore plus le gout de donner a Dewenty, ce qu'elle attendait de moi. C'était ca le bonheur ?
Mon attention se portait sur une connaissance familière ... Jacqueline...Ancienne maitresse, dont notre relation avait été secrète, car elle a un mari toujours d'actualité. Baissant le regard vers cette coquille donc je me rapprochais avec hésitation. - Je peux le voir ?
Pourquoi je m' intéressais tant a cet enfant . Jacqueline me souriait, et enlevait la couverture qui couvrait la coquille, pour y dévoiler un nourrisson endormi , enrouler dans une couverture dorée. Jetant un regard rapide a ce petit être ne voulant pas l'analyser plus que cela. Je rapportais mon attention sur sa mère. - Il est magnifique ton fils. D'un sourire léger. - Oui il ressemble beaucoup a mon mari et toi ta relation avec ta copine ca va ? Question perturbante , car je ne savais pas si elle avait tiré un trait sur ce qu'on avait vécu. Surtout vecu dans le dos de son époux.
Mais moi , j'avais tourné la page en je comptais lui avouer : - Oui avec Dewenty , ca va mais elle m'a mit dans la tête cette idée de fonder une famille a cause de cette question. Et meme si j'adore ma guilde. Que ma famille céleste me manque. Que Ben a fait de moi le parrain de Sally. Je ne suis pas son père. Je veux ma petite famille a moi. Je veux ton bonheur . Mais il est trop tot. Je dois suivre les étapes, sans les bruler. Et le souci c est que sur le chemin de l'amour, nous ne sommes pas rendus la meme place. Mais je suis patient. Je veux y aller a son rythme. Mais j'attend surtout que les astres , me dévoile le moment. Et en attendant je cherche le bon endroit. Et je lui prouve que je suis l'homme qui pourra épanouir son coté bestial. Elle me disait : - Je te le souhaite Leo. Je sais qu elle sera une femme comblée avec toi,car moi je l'es été avec toi. Tu as su me donner ce que mon mari n'a pas su me donner. D'une douce caresse sur la joue elle me rassurait. - Au faites, j'ai communiqué avec Gabriel Agreste.. Je te redonne des nouvelles bientot. Je dois y aller je dois voir un client. Heureuse de t avoir revu mon Soleil. Jacqueline , n'était pas qu'une ancienne conquete mais aussi mon agente pour ma carrière artistique. Et elle savait que je voulais une carrière avec mon idole Gabriel Agreste. Donc elle franchissait des portes pour moi. Rougissant a ce surnom.. - A bientot Jacqueline, prend soin du bébé.. On s'éloignait l'un de l autre et je disparaissais en tournant le coin.
***
3 février 2019 , Manoir de Dewenty
Sparkle n'était plus là. N'était plus en ma compagnie. Elle avait été confiée a la personne idéale pour le role de ''Babydog''. Plue était le Candidat parfait pour s'occuper de mon enfant poilu, car en mon absence elle avait besoin d'un surplus d'amour , car j'allais sans doute lui manquer terriblement a mon chien. Et c'était réciproque. Mais je ne pouvais pas l'apporter avec moi . Pas dans ce genre d'endroit fait pour les petits bourgeois. Et elle n avait pas eu de billet non plus. Comme pour Bébé Monstre non plus. Pris au piège par cette femme qui voulait que je passe un séjour avec elle. Rien qu avec elle. Elle me privait meme mon chien. L'enveloppe était rose. L'écriture était rose. Le billet était..vous avez compris c'était une idée de femmes. D'une femme mais laquelle ?. Je m'étais aussi renseigné ce n'était pas Lucy qui m'avait envoyé cette invitation, pour ce paradis . Mais qui ?
Il en avait tellement eu, avant Dewenty. Qui me connaissait assez bien.. Qui était assez tarée pour connaitre mes habitudes et s 'incruster dans ma vie de couple de cette manière. Une fille beaucoup trop courageuse, pour s'aventurer sur le territoire d'une manticore. Une fille qui ne tenait pas a la vie. Laquelle de ses demoiselles ne m'avait pas oubliée ? J'avais cogité pendant deux jours. J'avais relu a plusieurs reprises les textos de ma conseillère conjugale. Et bientot j'allais telephoner a tout mon répertoire téléphonique pour les interroger. Et si c'était l'une qui avait seulement eu le droit a une nuit en ma compagnie et une rose sur l'oreiller ?
A chaque minute, je balançais de décision. Cet endroit donnait envie,mais sans bébé monstre je ne serais pas satisfait . Je ne serais pas heureux. Publicité mensongère ! Je ne devais pas vivre du bonheur au bon endroit ? Avec une autre femme que bébé monstre, impossible ! Mais j'étais forcé d'y aller sans elle , pour avertir cette groupie qu'elle était en grave danger..Et qu elle devait s'abstenir tout contact direct ou indirect avec moi. Protecteur suprême, je n'avais pas le choix de partir..
Vu que je vivais dans mes valises. Je n avais pas besoin de prendre des heures pour les préparer. Je devais seulement m'assurer que mes médicaments pour mon syndrome de fatigue chronique, que mes kigurumis , mes accessoires personnels et ma peluche Plue, pour dormir étaient bien dans mes bagages. Pour avoir une touche de Dewenty avec moi durant ce séjour, je lui piquait son plaid sans lui donner, mais aussi son parfum pour me secréter son odeur .. de cette manière, cette fille que j'allais rejoindre, comprendrait que j'étais en couple.. Et quelle fille voudrait d'un homme qui en sent une autre ? En toute gentillesse , c'était pour son bien . Je ne voulais pas qu'elle souffre par ma faute. Surtout qu'elle allait se retrouver dans les mains d'une furie. Ma Belle avait encore du mal a contrôler son coté bestial. Et c'était mon devoir d'Esprit de la lumière, de veiller a qu'elle soit plus humaine..Mais chaque jour, je succombais a la bête..car comme Karen elle était une beauté, mais un monstre dont nos étions ces possessions.
Valises faites ! Dans le temps qui me restait , je me prenais mon apparence d'Esprit Stellaire, car je ne pouvais pas me pointer dans un endroit de luxe avec mon apparence de mage. Mon physique de Bad Boy , car ce look faisait craquer toutes les filles. Parce que les statistiques prouvaient que les femmes d'aujour dhui préféraient, les mauvais garcons aux princes charmants. Jusqu'a ce qu'elles soient rendue a l'étape de s'engager..Elles ramenaient tous le garcon sage a la maison. Et moi j'avais cette chance d'être les deux avec Dewenty, car avec elle s 'évoluait. Je devais juste l'équilibre entre le jaune et le violet. Comme elle , elle devait trouver l'équilibre entre la Belle et la Bête.
Ayant eu le temps de faire des aller et retour, dans ma journée pendant qu'elle travaillait dans son atelier de couture. J'étais passé chez la fleuriste, il ne fallait pas m'en vouloir d'y être abonné. Il ne fallait pas m'en vouloir que ca soit une femme non plus. Depuis toujours, je faisais parti d'un monde de femmes. Je déposais un bouquet de jonquilles sur son oreiller. Fleurs du pardon ! J'y déposais aussi, un cd de ma dernière création, étant musicien a mes heures, elle avais le droit a une version d une chanson connue. (Jess je te retrouverais la video de l'acteur qui la chante et qui la joue au piano) . La musique avait toujours été un atout pour les hommes qui attiraient trop le love. Avec cette chanson, elle comprendra que malgré ma décision de rejoindre l autre femme .Que malgré ce tourbillon d'émotions qui l'envahissait .
Et que malgré cette dispute que nous vivons a cet instant présent , car je m"étais fais discret en cette journée. Et ce n'était pas dans mes habitudes. J'avais du t'avouer la vérité, quand tu m'avais rejoins dans notre chambre. Et je n'avais pas eu le temps de répliquer a ce vent brutal cinématographique qu'elle étais en train de construire dans ses pensées . Les valises, l'enveloppe loveuse et le billet solo. Elle le prenait très mal . Que je ressentais au fond de moi toutes ses émotions violentes . Toute cette férocité animale. Je voyais aussi sa machoire légérement crispée . Et j'entendais ses phalanges craquer une par une . Et elle m empoissait de son venin verbal et presque mortel . "Très bien vas-y ...va a tes vacances de reves avec une greluche... de toute façon t'as l'habitude... Elle t'invite en voyage ..c'est Stella... ? Chikita...ou je ne sais quelle groupie.. Tu sais quoi... je vais dehors sinon je vais te bouffer... hurlait-elle en claquant la porte de la chambre.
Mal dans ma peau, car je ressentais encore cette impuissance m'envahir parce que je n'avais pu m'exprimer sur le fait que : Sans toi BéBé Monstre je me sentais incomplet. Mais que j'y allais seulement pour qu'on trouve le bonheur a deux..non a Trois...ni a Six. Parce que le chapitre des groupies s'étaient de l'histoire ancienne.
Et qu'y a qu' avec elle que je veux m'engager pour le pire et le bien. Et si pour la convaincre, il lui fallait une bague, et que je lui chante cette chanson pour qu elle comprenne ma fidélité .. ou que je lui fasse un bébé pour qu elle comprenne qui a qu elle que je veux épouser. Je le ferais a mon retour car il était temps qu'on passe une autre étape .Et si cette étape était sa famille. .S'il me fallait la benediction de son père, pour elle j'étais prêt a mettre mon coeur dans la main et lui vocaliser cette chanson pour qu'elle réalise , qui a que sa fille qui compte pour moi. Mais inutile de se précipiter car un jour , je lui miaulerais ces paroles sous la mélodie de mes tambours. Et j'ai déjà trouver le bon endroit pour mettre genou a terre.
Mais la a cet instant, valises en mains je devais me dépêcher a aller a la gare, avant le 4 février ,car Dewenty était partie dehors avec une envie de bouffer...Et elle pourrait bien attendre sagement sa proie. Et L'alignement de la Lune et la planete Terre on pouvait prévoir cette prémonition du mauvais oeil .. Elle allait sans doute traquer cette femme. Merde! il ne fallait pas qu'elle aille au Bon Endroit sans moi pour le bien de cette fille, qui pouvait avoir n importe quel visage a cet instant. Je devais retrouver bébé monstre, avant le grand départ. Mais cette fuite et ses retrouvailles a la Gare étaient sans doute l’opportunité que mon horoscope m'avait relevé. L’opportunité de se dire au revoir et de concevoir notre héritage qu elle voulait laissé au désert et moi au ciel. On pourrait faire l'amour dans un coin de La Gare pour se détendre, avant que je parte en passant une derniere nuit ensemble. Pour que je puisse revenir et la retrouver en... Pas besoin de l'écrire, vous connaissez le classique de l'homme qui revient des mois après . Je devais mettre toutes les opportunités de mon coté pour trouver le bonheur, au bon endroit . Et ce n'était pas la navette, Bebe monstre ne pouvait pas y monter sans billet. Ce n etait pas le bon endroit. Et le bon endroit n'était pas le bon endroit..Alors il restait que la Gare comme bon endroit. Aller Bébé monstre on se réconcilie avec un peu de bonheur ?
Lena Davis
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : katie mcgrath
Je te jure, je me sens tellement mal de t'avoir amenée inconsciemment dans cette histoire.
« Encore quinze miss Davis et vous aurez battu votre propre record. » m’énonça mon coach personnel « treize, quatorze et quinze. » énonçais-je avec un sourire avant de descendre de mon perchoir. Après avoir fait travailler mes jambes, je m’étais occupée de mon dos, d’où le fait que j’étais hissée sur une barre en hauteur « merci » ajouais-je à son intention lorsqu’il me tendit ma bouteille d’eau. Buvant une grande gorgée, je pris une profonde respiration. Mon regard bleu se posa sur Alan (mon coach pour ceux qui auraient pas suivi) avant de reposer la bouteille « quinze abdos en chandelle, deux minutes de geinage et après je vous libère. » Je fais un signe positif de la tête. M’exécutant, je termine le tout avant de me relever et de reprendre ma bouteille. Prenant ma serviette, je m’éponge la nuque « A mardi. » énonçais-je à Alan avant de me diriger vers les vestiaires.
Prenant une douche tiède, je prends le temps de me laver les cheveux avant de me diriger vers mon casier alors enroulée dans ma serviette, mes cheveux tombant en cascade sur mes épaules, encore humides. Utilisant mon code, j’ouvre mon casier et prend toutes mes affaires, ainsi que mon sac pour pouvoir me changer. Mon regard se porte rapidement sur l’enveloppe qui vient de tomber à mes pieds. Je m’en saisis et la met dans mon sac, le temps que je me change. Une fois que j’ai opté pour une tenue propre et surtout que mes cheveux sont secs, je pose mon sac et en ressort la fameuse enveloppe avant de me rendre compte qu’elle m’était adressé.
Lena Davis.
Oui ça c’est moi. Elle m’était adressée et le papier à lettres semblait venir de la collection personnelle de mon très cher grand frère détesté. Qu’est-ce-qu’il pouvait bien me vouloir ? Etrangement, c’était le même papier à lettre, la même odeur mais pas d’expéditeur. Est-ce-que c’était encore une connerie de sa part ? Est-ce-que c’était encore une occasion de tenter de m’atteindre ? Je n’en sais rien. Poussant un profond soupir, je me frotte les tempes.
« Allez Lena, après tout, c’est qu’une lettre. » m’énonçais-je à moi-même.
Ouvrant l’enveloppe qui portait les initiales A.D, je tombe rapidement sur un papier rose criard.
« C’est quoi ça encore ? »
Les sourcils arqués, je lis rapidement ce qui est énoncé sur ce papier qui ne passe pas DU TOUT inaperçu. Il me fallait une aide supplémentaire que ma propre réflexion. C’était tout de même très étrange, même si on se trouve à Storybrooke, je continue toujours à me méfier. Passant la bandoulière de mon sac autour de ma nuque, je prends mon sac à main et sors des vestiaires, le courier dans la poche de ma veste, mon iPhone en main avant de lever le regard vers l’accueil quand je quitte les lieux.
Il ne me faut que peu de temps pour arriver jusqu’au labo où j’y retrouve Hope. Une chance qu’elle ne bouge que très rarement du labo, tout du moins pas sans moi. Purée, vu comme ça, ça fait très séquestration… je voyais pas du tout ça comme ça à la base en plus. Bref, on s’en fout. Continuons. Donc, je m’approche de l’IA avant de lui tendre le courier ainsi que l’enveloppe qui le contenait ainsi qu’un billet. Billet que j’avais gardé dans la poche de ma veste.
« H.O.P.E, peux-tu identifier une quelconque anomalie sur cette lettre s’il te plaît ? Elle sent le parfum de mon frère et j’aime pas ça. »
Elle s’exécute.
« Il n’y a rien de suspect sur ce courier mademoiselle Davis. Il s’agit seulement d’une enveloppe et d’un papier. »
Je reprends le papier. Le Bon Endroit…
« Bon alors….peut être que je peux me laisser tenter. Le bon Endroit…un endroit sans cet abruti de seconde zone et sans ascenseurs. Ce serait la PERFECTION ! » énonçais-je avec un petit rire.
Rentrant chez moi, je prépare ma valise.
Le matin du départ.
Je m’étais levée aux aurores. Je n’avais pas vraiment bien dormi durant la nuit…donc je sais pas vraiment s on peut dire que j’ai dormi mais en tout cas j’ai essayé. Bref, après une grande tasse de café, je suis allée prendre ma douche et j’ai ouvert mon armoire. Une dizaine de minutes plus tard, je fais mon choix, optant pour un tailleur pantalon violet, j’attache mes cheveux en queue de cheval haute. Mes chaussures à talons enfilée, je me maquille rapidement et quitte mon loft avant de me rendre à l’aéroport où mon jet m’attendait déjà pour me conduire à Boston. La PDG de mon entreprise à New York (la sous directrice quoi) m’avait dit d’utiliser l’hélicoptère de l’entreprise mais je n’aimais pas des masses l’hélico alors j’avais opté pour le jet.
Je mets peu de temps à arriver à Boston. Une fois sur les lieux, je me dirige vers le lieu de rencontres, mes lunettes de soleil sur le nez, ma valise derrière moi et mon sac à main à l’épaule. Je sais pas trop pourquoi mais j’ai commencé à me dire que ça sentait le roussi…
je vole le code de p'tit chat parce qu'il me plait, et j'assume mercii
Samedi 2 février
La matinée se déroule comme chaque samedi matin devrait se dérouler : Evangeline ne quitte pas son lit -outre pour prendre un petit déjeuné et une bonne douche- et reste bien au chaud alors qu’elle continu le livre sur lequel elle s’est endormie la veille. La journée aurait très bien pu se dérouler de cette façon si elle n’était pas déjà bien avancée dans son livre. Il est à peine midi lorsqu’elle le referme avec un soupire. Son regard glisse sur tous les livres de sa bibliothèque qu’elle a déjà lu bien trop de fois. Elle ne veut pas relire encore un livre qu’elle connait par cœur. Prise de désespoir à l’idée de devoir sortir un samedi (on a tous connu ça, avouez) elle quitte le confort de son lit, enfile des fringues et claque la porte de chez elle.
En chemin pour la bibliothèque elle achète un truc à manger rapidement, qu’elle a englouti avant d’arriver devant le grand bâtiment. Elle sort sa carte (qui serait une carte VIP si les bibliothèques faisaient ce genre de carte) pour y pénétrer et va déjà se perdre dans les rayons. Elle n’a pas trop d’idée de ce quelle veut lire, ce n’est pas plus mal, cela lui permet d’attraper des livres au hasard pour en lire les quatrièmes de couverture. Elle arrête finalement son choix sur la croisée des mondes, qu’elle embarque, et s’installe à une table pour commencer sa lecture. Elle pourrait l’emprunter et le lire chez elle…Mais maintenant qu’elle est là autant y rester. Rien ne l’empêche d’embarquer son choix avec elle à la fin de la journée si elle est convaincue.
Elle ne voit pas le temps passer. Si bien que lorsque la bibliothécaire vient lui annoncer qu’elle ferme, Eva se redresse dans un sursaut et fait tomber le livre. Elle s’excuse et la femme tourne les talons pour avertir les derniers étudiants qui hantent encore les lieux. Lorsqu’elle le ramasse une enveloppe s’en échappe et elle l’attrape au vol. Elle est prête à la remettre à sa place mais s’arrête net lorsqu’elle voit que son prénom est noté sur l’enveloppe -une enveloppe simple, avec simplement son nom bien calligraphié dessus. Elle range le livre, range ses affaires et repars, lettre en main. « Mais qu’est-ce que ça faisait là ? » Réfléchit-elle à voix haute. Lorsqu’elle l’ouvre, le papier rose à l’intérieur attire toute son attention. « Mais…Quoi ? » Murmure-t-elle en lisant la carte qui lui annonce avoir gagné des vacances dans « LE BON ENDROIT ». En fouillant dans l’enveloppe, elle trouve le billet pour la fameuse navette de départ. A son nom.
Marchant d’un pas rapide dans la rue, elle pense d’abord à une farce. Et elle sait exactement qui lui ferait ce genre de farce. Elle attrape son téléphone et lorsqu’Adriel décroche, à l’autre bout du fil, elle ne prend même pas le temps de le saluer. « Non mais tu te moques de moi ?! » « Euh…non ? Bonjour ? » Répond le chat maudit à l’autre bout du fil, alors qu’il ne sait même pas de quoi elle lui parle. Elle lui parle de l’enveloppe, des vacances soi-disant gagnées. « Si je voulais me moquer de toi, je le ferais avec des prix bien moins chers et plaisants ! » Elle peste au téléphone et lui réponds avec joie et bonne humeur…Jusqu’à ce qu’elle lui raccroche au nez, toujours persuadée malgré ses protestations que c’est lui qui lui a fait un coup pareil. Mais, après tout, il devait se faire pardonner pour bien des choses alors pourquoi ne pas simplement en profiter ? Lui dire merci ? Jamais de la vie !
Jour du départ
Adriel avait continué de nier en bloc, mais elle voyait mal qui d’autre aurait pu l’inscrire pour ce genre de concours. Qu’il soit ou non coupable, elle pourrait toujours le déterminé plus tard, après d’y être rendue pour profiter d’un peu de vacances franchement méritées ! Elle avait fait sa valise et s’était rendu au lieu de rendez-vous, à Boston. Pas de lunettes de soleil pour elle (désolée petit chat) elle s’y rend en jean avec un pull tout ce qu’il y a de plus commun. Ce qu’il y a dans la valise, en revanche, est fort plus sympathique. Mais ça, ça sera pour le voyage.
Dewenty Maanteekor
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Impératrice Aishwarya Rai <3
Que le spectacle commence...
| Conte : Folklore & Mythes | Dans le monde des contes, je suis : : Manticore
everything is awesome Dewenty dans Les vacances presque parfaite
Après sa dispute avec Leo sur cette fameuse lettre rose, la manticore avait mit les voiles pour essayer de se détendre avant de lui faire la peau. Elle ne le faisait pas exprès, elle était très territorial, bien qu’elle essayait de gérer cette jalousie. Vous voyez être en couple c’est mal, on fait des choses qu’on ne ferait pas en temps normal. Dont le faire de partir de sa maison pour prendre l’air. Et le fait d’être un peu plus humain enrayait un peu la chose. Avant elle aurait simplement dévorer cet humain… Méchante qu’elle était ? Hmm pas tant que ça...enfin si elle était pas gentille mais c’est qui faisait son charme non ? Dewenty était un esprit libre et indomptable, le fait qu’elle avait donné son coeur une nouvelle fois prouvait de sa bonne fois… ou alors elle était simplement aveuglé par ce qu’on appelait le mot “amour” Ne dit-on pas que l’amour rend aveugle et que le mariage lui rend la vue ? Enfin, nous n’étions pas encore à ce chapitre. Elle profitait de l’instant présent. Et pour l’instant… C’était le déluge puissance mille… même Noé aurait pas vu pire qu’en cet instant. Et pour couronné le tout… elle n’avait pas de parapluie. Sauf qu’elle ne chante pas sous la pluie.
Pour en revenir à cette lettre rose et qui sentait pas très bon… Oui la manticore avait l’odorat sensible et un peu trop développer à son goût. Une écriture rose… Ce n’était pas réellement la couleur de prédilection de cette femme. Elle préférait de loin le rouge c’était beaucoup plus classe. Est-ce qu’elle en voulait à Leo ? pas vraiment, mais le fait qu’il veuille aller avec quelqu’un d’autre l’avait mit en rogne c’était qui ? Stella, cette demoiselle de la guilde qu’elle n’avait pas eu encore le plaisir de rencontrer ? Pas qu’elle ne l’appréciait pas juste qu’elle possédait Leo par une clef… Et ça, elle n’appréciait pas vraiment. Dewenty ne mettra donc pas la ville à feu et à sang… cela était une perte de temps et le temps était plus qu’important pour elle. Se faisant sortir de sa rêverie poste apocalyptique et en étant moins tremper que la serpillère sur son vélo… pardon.. le postier. Donc le charmant postier qui était aussi tremper qu’un rat s'approcha d’elle pour l'interpeller dans son jargon.
- Hé mademoiselle, vous z'habitez pas dans le quartier des fois ?
Il y avait d’autre moyen pour parler à une personne surtout quand votre interlocuteur était une manticore, on pensait bien à la musique hé mademoiselle t'es charmante ça te dirait une glace à la menthe ? vous pouvez très bien finir en brochette pour le barbecue. Aussi aimablement possible, la Manticore lui répondit.
- Si ... j'habite dans le gros manoir ici pourquoi ?
- Ah parfait, vous z'allez pouvoir m'aider alors ! J'ai fait tomber une lettre dans une flaque. Dit-il en montrant l’enveloppe rouge qui était magnifiquement tremper comme le linge sans essorage. puis, il la regarde et plisse les yeux en essayant de lire : Vous connaitriez pas une... De Wendy Manquecorps par hasard ?
Limite les dents de Dewenty avaient grincer et ses oreilles avaient limite saigner écorcher autant son prénom et son nom… méritaient de finir écarteler ! Puis elle regardait l’état du courrier… Hmm elle allait laisser passé pour cette fois, la prochaine fois, il va figurer au menu.
- Si bien sur… par chance… pour vous elle se trouve en face… Et c'est Dewenty Maanteekor au vu de la lettre je ne vous en veux pas.. pour cette fois. dit-elle donc pour réponse direct c’était je te mangerais pas à 16h... - Parfait ! Vous m'ôtez une sacrée épine du pied ! Tenez et bonne journée…
L’épine elle pouvait tout aussi bien te la planter s’il ny avait que ça… pour combler la chose..
- Bonne journée à vous aussi…
Le postier serpillère s’en allant pour de nouvelle aventure en parcourant la terre entière traquant avec espoirs.. les courriers… et leurs mystères le secret de leurs pouvoirs. Dewenty fini par regarder son enveloppe rouge trempé… avec un sceau à la cire avec un smile d’un bonhomme content, quelle ironie… au vu de l’ambiance. Elle lu tant bien que mal le courrier, heureusement qu’elle arrivait à comprendre. Dedans figurait l’invitation au bon endroit… et cette écriture rose… C’était réellement moche ! Le rouge était bien plus parfait à son goût. plus un billet…froissé à cause de l’eau. Tiens elle aussi… donc elle allait au même endroit que son cher et tendre. Un plan machiavélique était en train de se monter dans son esprit… Quand on vous dit qu’elle n’est pas gentille cette femme ! Le plan ? faire croire à Leo qu’elle allait venir dans l’unique but de mettre un terme au jour de la pauvre personne qui avait envoyé cette lettre. Le départ était donc pour le lendemain, ça ne lui laissait guère le temps pour préparer une grosse valise le strict minimum suffira.
Rentrant donc chez elle pour faire sa valise. Ca aussi c’était comique… Elle avait donc confier la surveillance de la maison à Kot. Elle faisait confiance en son meilleur ami… ( fallait peut-être pas…)
Le 4 février
Le jour J, Dewenty avait donc opté pour une tenue rouge qui la mettait en valeur. Elle avait donc bien pris soin de prendre sa valise de couleur rouge avec des petit sticker de star wars. Donc, elle avait finalement porter sa valise et faire appel à un taxis pour aller à la gare de boston, car visiblement Leo n’était pas rentrer non plus au manoir Maanteekor. Donc, il devait être déjà la bas. Passant une main dans ses cheveux, elle avait reconnu la voiture du lion qui dormait dans la voiture.. pauvre petit… dormir dans sa voiture quel manque de classe. Par galanterie la jeune femme frappa contre la vitre de façon à réveiller le bel au bois dormant. Donc sa dragonne de petite amie avait un charmant sourire carnassier lui disant “ Coucou t’as vu je suis la …” On vous raconte pas la tête de Leo… pris de panique à ce moment-là… Il devait avoir peur pour la demoiselle qui n’existait pas… après tout Dewenty lui avait pas mentionner qu’elle avait reçu la même enveloppe que lui dans un sale état mais, elle l’avait reçu. Après lui avoir bouger son joli cul ils s’étaient mit en route.
Prenant sa valise en main toujours en se rendant à l'intérieur pour savoir ou aller pour aller au BON ENDROIT, l’un des employé leur indiqua le chemin ou y aller. Une dizaine de personne prête à embarquer dan Busousine (mélange entre un bus et une limousine) Un truc qui devait valoir des clopinette ! un voyage de luxe… Dewenty sentait pas vraiment la chose.. mais, elle n’allait pas laisser son lion s’amuser sans elle ? Il allait avoir encore des zombies ? Par chance elle avait pensé à prendre des aiguilles avec des poisons en tout genre de toute façon avec un trombone et un chewing gum elle pouvait faire comme Macgyver et faire une bombe ! Sauf que là… c'était du poison... tout ça caché sous sa jupe en mode jarretière. Il y avait donc pas mal de monde...la manticore s’installa à coté de Leo, elle ne connaissait personne sauf son petit ami… mais ce dernier avait l’air de regarder quelqu’un mal à l’aise… ne se posant pas plus de question de toute façon, elle allait bien avoir la réponse. S'installent tous dans la Busousine, Dewenty avait remarqué que les sièges bien plus que confortable était agréable. Dewenty allait se poser contre Leo quand une serveuse proposa d'un cocktail et des truc à manger. Elle avait simplement opté pour un Sex and the beach elle n’avait pas très faim pour le moment. Chaque personnes ici présente avait opté pour une boisson et à manger. buvant donc son cocktail, Leo lui proposa une saucisse (pas la sienne hein bande pervers !). Après, avoir bien bu et mangé, Leo était en train de piquer du nez, Dew essayait de le secouer pour qu’il reste éveillé mais en vain ! Les autres passager aussi avaient l’air fatigués… On les avaient drogués ? Tous avaient décidé de dormir au même moment ? Elle n’en savait rien du tout mais, elle a été prise d’une soudaine fatigue aussi, Leo dormait et elle s’endormit contre lui ainsi que tous ses occupant.
Tout n'est que luxe, calme et volupté. Je suis presque certaine que Charles Baudelaire avait pensé à moi en écrivant ces vers, y a environ 200 ans, car il me corresponde bien. J'avais pris place à bord de notre navette, à une place isolée (je ne connaissais pas vraiment les personnes qui étaient avec moi et pour le moment je n'avais pas réellement envie de les connaitre) et acceptait avec joie le cocktail et les mignardises offertes, m'en délectant, sans omettre de faire une photo et de l'envoyer à MacHarpagon, histoire de lui donner des idées s'il voulait vraiment me retenir. Non pas que nos vacances en Ecosse étaient été totalement nulles - mais ce confort-ci, fallait bien avouer qu'il était mieux. - Au fait, moi c'est Graham. Graham O'Brien, se présenta un homme presque aussi jeune que MacVielleisse mais pas dépourvu de charisme assis de l'autre côté de l'allée, à côté d'une Afro-américaine plutôt bien conservée. Et elle c'est Grace. Ma femme. Ce voyage, c'est l'occasion d'enfin partir en lune de miel, précisa Graham alors que je ne l'écoutais pas tant que ça. On a eu de la chance : six billets, on a pu partir avec toute la famille ! annonça-t-il heureux de désigner d'autres personnes qui ressemblaient à Grace mais pas du tout à lui. C'est un log voyage mais ça vaut la peine. Il était bavard. Et Britannique, à en juger par son accent. J'allais pas le lui reprocher : les Américains parlent souvent avec une voix nasillarde qui est insupportable. Depuis que je suis humaine je parle l'anglais britannique et si ça vous pose un souci, je n'en ai rien à cirer. Mais je n'avais pas envie de Graham sorte les photos de famille alors je fus contente de le voir s'endormir après avoir siroté son cocktail et assez satisfaite de faire de même pour que le voyage ne me paraisse pas trop long.
***
- Nous sommes le 5 février 2020, il est actuellement 9h13 et nous venons d'arriver au Bon Endroit, annonça une voix douce et chaleureuse dans un haut-parleur dont personne n'avait sans doute soupçonné la présence jusqu'alors. Certains s'étirèrent comme des chats, d'autres baillèrent au point qu'on pouvait voir le fond de leur estomac et d'autres (rares) comme moi, se contentèrent de quitter leur siège pour sortir de la "busosine" comme j'avais entendu une jolie fille le dire la veille. Un petit robt souriant aussi haut qu'un Hobbit (enfin je suppose car je n'en ai jamais vu) s'affaira à sortir nos bagages de la soute et je récupérai ma valise vert d'eau, contente de voir qu'il avait pris soin de la poser délicatement par terre. Qu'il jette celles des autres, ça ne me dérangeait pas (il ne le fit pas, mais s'il l'avait fait, j'aurais rien dit), mais pas la mienne. Faut quand même pas déconner ! Il nous invita ensuite à le suivre vers l'entrée du complexe que je devinais fa-bu-leux, à la fois moderne et luxueux (ndlr : et comme everything is awesome je vous laisse imaginer la tête que ça a) où nous fûmes tous d'abord installés sur des transats pour regarder ce que les smiley-bots présentèrent comme le spot de présentation de l'endroit, tourné par le promoteur. J'en déduisis qu'il n'était pas là, qu'il avait sans doute mieux à faire qu'une thalasso. Chacun ses hobbies, après tout. - Bienvenue à votre première journée au Bon Endroit, commença la vidéo quand vous le monde fut installé. Pourquoi vous et pas d'autres ? Ne vous posez pas la question : ce qui compte c'est que c'est VOUS qui êtes les privilégiés qui vont tester le Bon Endroit avant tout le monde ! Et vous ne serez pas seul.e pour vivre cette expérience puisque nos smiley-bots sont à votre disposition pour réaliser le moindre de vos désirs. Alors bienvenue dans votre bonheur. Bienvenue au Bon Endroit ! L'homme sourit, un sourire impeccable, à la caméra et disparut de l'écran tandis que s'affichait à présent le sponsor de son spot de put : deux adorables loutres qui se tenaient par la main pendant qu'elles dormaient. Même moi je devais bien avouer que le sponsoring m'avait plu. C'était quand même des loutres. Même à moi, ça procurait un peu de bonheur. La quinzaine (douzaine ? je sais pas en fait j'ai pas compté) de personnes présentes se leva prêtes à profiter autant que moi mais les smiley-bots s'approchent de nous, des badges jaunes à la main en annonçant d'une voix sympathique mais robotique : - N'ayez pas peur, ceci est un acte de bonté. Ce faisant, chacun s'approcha d'un de nous pour coller un badge smiley à notre habit, badge qui, une fois fixé, coulissa automatiquement dans notre dos. Je m'assis et pris le nouveau cocktail qu'on me proposait. On aurait atterri au paradis que ça n'aurait pas été différent.
Erwin Dorian
« If the crown should fit, then how can I refuse? »
| Avatar : Rufus Sewell
- Pour ma victoire? C'est adorable, trésor... Même si en toute modestie, je dois admettre, qu'au-delà de cela, je suis un prestigieux modèle pour mes concitoyens"
(Alexis pense-t-elle qu'il est parti trop loin? Sûrement! On approuve)
| Conte : Coeur de Princesse/Le Prince et le Pauvre | Dans le monde des contes, je suis : : Preminger
Everything is awesome .. ? La compagnie organisatrice avait failli démentir son slogan à la minute où Erwin avait aperçu ses compagnons de voyage. Parmi nombre de visages inconnus, il avait d’abord identifié Deborah Gust et son éternel style, ce qui constituait plutôt une bonne surprise en soi. N’ayant jamais eu l’occasion de cotoyer l’ancienne collaboratrice du maire, il trouvât que c’était l’occasion ou jamais de faire connaissance, loin de Storybrooke… Mais alors qu’il détaillait d’un air indifférent le petit groupe se formant devant la navette, son attention se figea soudain dans un sursaut. Perdue au milieu de silhouettes étrangères, avec son éternel air inutilement hautain engoncée dans un tailleur violet qu’il n’aurait pas manqué de trouver agréable porté par quelqu’un d’autre, le violet étant sa couleur favorite mais qu’il détesta foncièrement à sa vue, se trouvait Lena Davis. Sa haine réanima automatiquement son corps. Sa présence signifiait-elle...qu’elle aussi avait été « l’heureuse élue » du hasard ? Un rictus mauvais étira ses lèvres. Au moins, leurs vacances seraient-elles communément gâchées. La brune prenait justement conscience de sa présence, abaissant ses lunettes comme le faisaient toutes les vieilles rentières dotées de verres progressifs. Il se contenta de lui dédier un sourire carnassier et pivota avec tout son dédain vers la navette. Inutile de gaspiller une seconde supplémentaire de son temps au profit de cet accroc. Il ne souhaitait pas se priver de vacances, après tout le complexe devait être grand. Et au pire des cas, la confrontation ne l’effrayait guère. Il y prenait même plus plaisir qu’elle. Manquant de percuter une jeune femme toute de rouge vêtue, il ramassa sa propre valise tout en tendant la valise de la jeune femme avec galanterie. Il ne la regarda cependant qu'à peine, manquant ainsi de reconnaître l’homme qui accompagnait cette dernière, ses pensées toutes dirigées dans sa volonté de s'asseoir au plus vite dans la navette. Dans d’autres circonstances, il l’aurait sûrement laissée choir ou aurait accompagné cette situation d'une critique mauvaise mais il savait ses gestes détaillés par Lena et ne l’aurait privée pour rien au monde d’un motif de dépit.
Le reste du trajet s’était passé étrangement rapidement pour le notaire. A vrai dire, il s’était assoupi si vite après l’ingestion de son apéritif qu’il n’avait pu observer le chemin emprunté par la navette. Néanmoins, effectivement, le dispositif mis en place par la mystérieuse compagnie s’avérait être grandiose… L’impression laissée était favorable après le visionnage du petit spot. Il recula cependant lorsque son badge pivota pour venir se nicher dans son dos…
- Qu’est-ce… Que vient-il de se passer ? A quoi sert ce gadget ? Grinça-t-il subitement en tentant d’observer la mutation de l’appareil.
L’objet était hors d’atteinte et aucun grand miroir ne se nichaît suffisamment à proximité pour permettre au notaire de s’y mirer. L’idée d’un appareil de toute évidence électronique dans son dos le dérangeait. Non pas que l’appareil soit pourtant source de désagrément, il était indolore… Mais sa présence indésirée mettait Preminger mal à l’aise… Apparemment sensible à ses interrogations, Deborah Gust s’approcha de lui :
- C’est un smiley. Ca a l’air de dire que vous êtes sceptique. Souriez pour voir… ?
Sans réelle volonté, Erwin sourit, ou plutôt esquissa l’ombre d’un sourire pour être exact. Toujours dans son dos, la voix de Deborah commenta :
- Maintenant, ça dit que vous êtes content.
Erwin se retourna pour lui faire face, perplexe. - Visiblement cet objet détecte et transmet nos émotions… Ou alors...rajouta-t-il pensivement, peut-être se base-t-il uniquement sur nos mimiques »
Si l’objet était équipé de capteurs, peut-être changeait-il de couleur et d’expression en fonction des mouvements de son visage ?
- J’sais pas. Essayer de faire une grimace pour voir ?
- L’ennui, c’est qu’il est difficile de reproduire parfaitement une émotion sans l’incarner.
Il mentait en réalité. Il était adepte de ce genre de choses. A la Cour et notamment avec Georgia, même lorsqu'il était à son service, il avait passé dix longues années de sa vie à simuler le dévouement, la crainte pour la princesse, l’affection pour les rites du royaume… Cependant, Preminger n’était pas du genre à grimacer. Enfin, sauf lorsqu’il apercevait le visage insipide de Lena… Mais là, il n’était pas question d’être réellement dégoûté, juste de faire semblant. Alors, il se borna à faire la moue. Deborah fit le tour de sa personne, et le notaire soupçonna dans son attitude qu’elle prenait plaisir à imaginer ce que cela allait donner, puis retourna dans son dos :
- Non, toujours pareil. Je pense que ça indique nos émotions.
- Prodigieux...s’exclama Erwin le cerveau remplit de toute l’utilité d’une telle découverte, bien qu’un peu gênant. Je doute que chacun soit prêt à connaître les réelles opinions d’autrui sur sa personne. Il ricana d’un air entendu puis ajouta méchamment : - L’expérience s’annonce immersive, peut-être un peu trop ne trouvez-vous pas ? - Immersive ? C’est carrément gênant, intervint un homme en se retournant sur eux.
Erwin ne le connaissait pas. Il ne l’avait jamais vu à Storybrooke d’ailleurs. Sûrement un membre de la famille du Graham qui s’était arrêté pour échanger quelques mots avec Mademoiselle Gust. Visiblement, le reste des VIP en était arrivé à la même conclusion qu’eux. Et cela ne plaisait pas à tout le monde. Le même individu ajouta d’un air inquiet :
- Imaginez si on a un crush sur quelqu’un ! Tout le monde va le savoir ! Preminger manqua de lui rire au nez ! Réellement ? C’était là tout le drame de l’expérience ? L’Amour ? Pitoyable… Décidément, la populace était bien trop vulnérable d’esprit et sujette à cette faiblesse. Croire que le plus délicat avec ces smileys était l’indication d’un état amoureux. Peuh ! Quelle bêtise ! Il était bien loin de ces considérations pathétiques. Non, plus dangereux aurait été la présence d’un allié qu’il méprisait en réalité… Et l’absence de Georgia était également bienvenue en ces circonstances… Non pas qu’il éprouvât quelques sentiments...mais… Il tenait à sa couronne. Aussi, chassant ses idées loufoques, roula-t-il des yeux moqueusement : - Le drame de tout à chacun visiblement, railla-t-il avant d’ajouter plus bas, plus à l’intention de Deborah..ne pas avoir le courage de ses opinions… Cela dit, nous ne sommes guère des cobayes et n’avons signé aucun papier autorisant ainsi l’étalage de notre vie privée. Deborah temporisa néanmoins : - A mon avis, si vous ne regardez pas la personne dans les yeux, personne ne saura ce que vous pensez d’elle et on verra juste que vous êtes contents d’être là. Je ne sais même pas pourquoi vous débattez de tout ça alors que la piscine, les cocktails et tout le reste vous tend les bras.
Preminger ignorait si les propos de l’ancienne collaboratrice de mairie s’adressait à lui ou à l’individu inquiet de sa situation sentimentale, mais il finit par hocher la tête. Après tout, c’était utile de penser à mal. Il était visiblement dans un complexe sophistiqué, voilà tout. Il devait se détendre. Comme pour prouver la réflexion qu’il se faisait à l’instant même, deux smiley-bot s’approchaient d’eux. L’un avança vers lui un petit plateau dans lequel reposait une part de tarte au citron meringuée. Visiblement, effectivement, cet endroit avait du goût, songea le ministre. C’était de loin son dessert favori et à en juger par l’aspect de la patisserie celle-ci semblait d’excellente facture…
- Messire, permettez-moi de vous dire que votre tenue est exquise, barbouilla le robot d’une voix métallique, Vous êtes visiblement un homme de grand goût comme on en rencontre peu.
Preminger avait d’ordinaire peu de reconnaissance envers les machines et sa dernière expérience dans les locaux d’Amazon n’avait pas spécialement amélioré son opinion. Toutes les questions d’IA l’indifféraient. Tout juste A.S.T.R.I.D. l’intéressait… Néanmoins, ce compliment fila jusqu’à son orgueil et l’enveloppa d’une couche complémentaire d’arrogance.
- Oui en effet, j’ai ce talent, répondit-il fièrement à la machine, en effectuant un petit geste désuet de la main.
Tournant la tête vers Deborah, il constata que la rousse avait obtenu de la part de l’autre petite machine une part d’un soufflet au caramel, et sourit. Sûrement avait-elle raison de ne pas s'inquiéter
- Je ne voudrais pas que vous puissiez penser que j’oublie mes manières. Nous discutons mais je crois n’avoir jamais eu le plaisir de nous voir présenter. Aussi, je suis ravi que ce hasard « awesome » nous permette de le faire. Maître Erwin Dorian. Il tendit la main à la rousse spécialiste du style qu’elle accepta - - Deborah Gust. Ancienne conseillère du maire. Elle le suivit à la table où les escortèrent le smiley-bot, son soufflet en main. Le coin était calme et luxueux. Visiblement choisi pour procurer paix aux occupants. Plus il observait les lieux et plus le notaire les appréciait… Effectivement le cadre était idéal. Il se tourna vers la jeune femme et sourit - J’ai maintes fois entendu vanter vos bonnes œuvres auprès des désespérés vestimentaires notamment , commenta Erwin en goûtant sa tarte. Effectivement, il s’agissait d’un réel délice. Une occasion splendide. Il était curieux envers Deborah...Mais assez confiant en réalité. Une femme de goût ne pouvait être que conquise par sa personne, ce n’était pas une femme de basse classe comme d’autres en ses lieux... - Oh s'il n'y avait que ça. Je voudrais pas être mauvaise langue mais Michel-Ange Turtles et l'organisation ça fait deux ! Je prenais un malin plaisir à lui montrer à quel point je suis compétente. Preminger manqua de rire. Visiblement elle était à la hauteur de sa réputation… Et divertissante. - Oh ce n’est pas être mauvaise langue, c’est simplement de la lucidité. Et je vous rejoins sur le fait qu’il n’y a pas plus satisfaisant que d’observer la stupeur sur le visage d’autrui lorsque nous effectuons avec simplicité les tâches leur paraissant si ardues. - Ce voyage a bien fait de nous réussir, si vous voulez mon avis. C'est pas tous les jours que j'entends des propos aussi sensés. - Moi de même... Cela égayera mon séjour de que de savoir une compagnie si avisée au milieu de si commune épopée Il terminait tout juste son dessert, accordant un sourire complice à sa camarade improvisée qu’un smiley-bot avança à sa rencontre. - Une séance de massage vous attend, si le coeur vous en dit ! L’idée séduisit le notaire… Il y avait si longtemps qu’il n’avait pu profiter d’un tel soin... - Comment refuser ? - On ne peut guère, répliqua le smiley-bot en affichant un sourire immense. La réplique parfaite. Sans plus se faire prier, Preminger le suivit dans les couloirs du complexe, presque enchanté. Finalement loin d’une certaine compagnie, le séjour pouvait s’avérer idéal. - Savez-vous combien de temps dure notre séjour offert? Interrogea-t-il néanmoins le robot - Le temps de nous assurer que vous êtes parfaitement heureux. Vous pouvez partir quand vous le souhaitez, si vous êtes heureux. Nous y allons ? Cette réponse n’avait aucun sens mais cela était sûrement du à la configuration dudit robot. Il était pour ainsi dire sûrement programmé pour dire cela. Il se promit d’interroger le premier personnel humain qu’il croiserait au détour d’un couloir ou de se rendre à la direction dès le lendemain. - Avec plaisir ... la salle est-elle également équipée d’un jacuzzi ? Le smiley-bot le lui confirma, précisant même que l’espace était doté d’un hammam, d’une piscine privée et d’un sauna. Mais qu’il l’emmenait dans une zone exclusivement privative. Complètement solitaire. Ce qui n’était pas sans lui déplaire. Il n’avait jamais tant apprécié de compagnie que la sienne… L’homme idéal. Et pour ainsi dire, les heures qui s’écoulèrent s’évertuèrent à le lui prouver. Bien que les soins et massages soient complètement automatisées, ils n’avaient rien à envier aux soins pratiqués par les humains. En toute franchise, il ne sut pas calculer le temps qui s’écoula le long du massage, bercé par la musique diffusée dans la pièce. Rares étaient celles qui passaient de la musique acceptable mais inexistantes étaient celles qui privilégiaient la musique classique. Sauf au Bon Endroit visiblement…. Quel délice que c’était là d’entendre une telle symphonie, délicate et suave se dégager des enceintes se mélangeant avec l’odeur du parfum d’ambiance qui se chargeait de violettes… Il aurait pu y rester des heures. Et peut-être y resta-t-il. Après tout, des robots ne se fatiguaient pas comme un être humain ; et quand bien même ses mains étaient très douces, cela demeurait une machine. Il éprouva néanmoins l’envie de profiter du jacuzzi, une fois que son corps se trouvait complètement détendu. Il déambula jusqu’au bassin, savourant l’absence de raideur totale de ses muscles puis le clapotement apaisant de l’eau chaude. Même Georgia ne profitait pas d’une telle quiétude aux eaux thermales, il en était sûr. Pour peu, il lui aurait envoyé une photographie… Cependant, il n’était pas doté de son téléphone… Tant pis, l’occasion ne manquerait pas. Il fit quelques longueurs, admirant la perfection de ses membres . Il remarqua à peine le smiley dans son dos. Il avait glissé naturellement sur son dos, comme un aimant lorsqu’il avait ôté ses vêtements et à présent ne signalait pas plus sa présence. Il s’interrogerait plus tard sur son fonctionnement. A vrai dire, il n’avait pas la tête à cela. L’eau semblait parfumée aux huiles essentielles et pailletée d’or. Le crépitement de l’eau brillait sous les jeux de lumière d’une manière hypnotique. S’il avait fait plusieurs eaux thermales là était réellement le plus bel endroit qu’il avait visité effectivement. Il finit par déambuler jusqu’au hammam. La moiteur de la pièce était parfaite une nouvelle fois au point où ça finissait par ne plus l’étonner. Tout était si parfait. Paradisiaque. Il retourna une nouvelle fois au jacuzzi, pour ré-apprécier le contact de l’eau sur son magnifique corps, se complimentant une nouvelle fois pour l’admirable tenue de physique… Combien de temps resta-t-il là suspendue dans ses rêveries et ses congratulations internes ? Il n’aurait su le dire. Il décida tout bonnement à un moment donné, sans qu’aucun départ ne lui soit exigé, de se lever pour explorer l’ensemble du complexe. Déjà un smiley-bot se précipitait vers lui en lui tendant un peignoir. Erwin sourit de satisfaction tout en l’enfilant. Décidément, tout était d’une perfection admirable. Jusqu’au choix de la couleur. Violette. Sa couleur favorite. Elle lui seyait parfaitement. Le velours du tissu l’enveloppa dans une moiteur réconfortante. Il noua le peignoir, rejetant ses boucles noires sur ses épaules, notant que le robot avait disparu. Fin du service, supposa-t-il. Il aurait pu s’en plaindre mais ne s’y sentait pas le coeur. Pourquoi l’aurait-il fait lorsque tout avait été parfait ? Il s’apprêtait à traverser le couloir lorsque ledit smiley-bot traversa la pièce serrant un objet brillant dans ses mains. Erwin se frotta les yeux, un peu embués par le chlore pour tenter de discerner l’objet avant l’arrivée dudit robot sans succès. Celui-ci était déjà devant lui, les bras tendus vers lui… Non au dessus de lui. Il allait lever la tête pour regarder la manœuvre de l’automate lorsqu’il sentit sur ses cheveux… Une...couronne ? Il leva les bras, tâtant lui-même sa coiffe. Il ne rêvait pas. Sur sa tête figurait belle et bien une Couronne. L’identique réplique de celle qu’il avait ardemment désirée. Mais qu’il n’avait jamais pu porter. Un déferlement de bonheur tressaillit dans sa poitrine alors qu’il éclatait d’un rire éclatant. Le smiley-bot à côté de lui semblait tressaillir également de bonheur de le voir si heureux. Et il l’était, il l’était réellement. C’était surréaliste, étrange, bizarre… Mais qu’importait. A cet instant précis, Preminger ne voyait rien d’autre que LUI. Lui. LUI et encore LUI-MÊME. A sa juste valeur. A sa propre essence. Everything is awesome ? NO ONLY ME.
Loke Lionstar
« Tous les hommes sont des imbéciles »
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| Conte : Manga Fairy Tail | Dans le monde des contes, je suis : : Loki ★ (Leo du Lion , L esprit céleste )
« Ne mettez jamais la clé de votre bonheur dans la poche d'un MJ sadique ou d'une groupie . »
Embarquer tous dans votre Tardis ! On va reprendre ou a je vous ai abandonné. Voiture garée dans le stationnement de la Gare. Comme vous le savez Bébé Monstre et moi , nous avons pris des chemins différents après notre dispute a cause de cette lettre, a cause de cette femme qui n'arrivait pas a m'oublier. Que voulez vous ma personne marque les esprits. Surtout ceux des femmes. Mais aucune ne pourra nous diviser,car je savais que où qu'elle soit. Nous croyons toujours qu' elle et moi ,on est fait pour l'amour et pas la guerre. Mais je savais que la destiné allait nous rassembler, car elle est notre repère.
Mais privé d'elle, la nuit avait été longue. Je comptais les heures , sans lumière. Mais tout ce temps,à jamais perdu. il fallait qu'on le reprenne, mais dites moi comment j'ai fais au début pour qu'elle m'aime , je veux le faire encore pour qu'elle revienne , car observer une photo d'elle , accroché au parasoleil de ma voiture n'était pas suffisant a mon bonheur. Seulement satisfaisant pour soulager des pulsions passagères car je ne pouvais pas m'accrocher a son corps.Mais pendant notre séparation, cette image de sa personne me permettait de rester fort , car dans ce monde il faut tenir a quelque chose pour nos rêves brisés. Quelque chose pour nos cœur épuisés, pour ne pas tomber du ciel.
Mais grace a elle.mon ciel retentit de bonheur . comme un coup sur mon cœur . Entre nous je vois à l'infini et jusqu'à la vie après la vie ,simplement parce que je vis de l'espoir qu'elle m'a donnée. Cette photographie était aussi présente, pour oublier son absence, car cette nuit elle n'était pas venue m'offrir un dernier moment, une scène digne de Titanic , avant mon départ. Mais pourquoi ? Je craignais le pire. Mais encore une fois impuissant, je ne devais pas contrarier la volonté des astres. Ceux ci avait déjà prévu une suite. J'en avais pris connaissance cette nuit, en lisant les mots de la haut.
Dans mon automobile. Valise sur la banquette arrière. Siège de chauffeur penché vers l'arrière. Vêtue de l'un de mes kigurumis, celui de pikachu. Je m'étais installé un petit coin de confort pour passer ma nuit . Emmailloté. dans la couverture kidnappée de ma petite copine. Son parfum aux essences cannelées de vanille et cannelle, s imprégnaient sur mon pyjama. De ce qui me procurait apaisement pendant mon sommeil, car mes pensées étaient fertiles , et dans mon imaginaire, je la sentais contre moi. Même si c'était ma peluche Plue que je serrais fortement, pour qui puisse jouer son rôle jusqu'à l'aube. Enfin jusqu'à ce que je me réveille car je n'étais pas le plus matinal. Surtout en vacances.
Il était quelle heure ? J'en avais aucune idée ! Paupières encore closes aux premiers rayons de soleil. Mais aussi au soleil d'apres midi. Cette lueur annonçait que nous étions le 4 février 2020. Mais moi je restais les yeux bandés , par ce bandeau de nuit, que je mettais avant de m'endormir. Mais il avait aussi une autre raison, pourquoi je me réveillais pas pour entamer cette journée . Avant de m'installer pour dormir , j'avais avalé quelques somnifères. Mais ma tranquillité était perturbée par cette personne qui cognait plusieurs coups a ma vitrine feutrée de ma voiture ? Les premiers coups, je faisais mon sourd de mes deux paires d'oreilles. Si c'était la police , je ne faisais rien de suspect. Mais non ce n'était pas les forces bleues. Mais pire encore.. les forces armées ? Non c'était ma petite amie ! Me redressant pour m’asseoir. Retirant mon bandeau pour le balancer dans une ma valise ouverte en arrière. Je tournais ma tête pour voir.. Est-ce que vous m avez déjà fuir une femme ? Jamais ! Mais a une certaine époque de ma vie de mage. Je fuyais une certaine demoiselle.. Celle la va se reconnaîtra ! Et elle pourrait vous raconter quelques anecdotes de fuites.
Mais ne pouvant pas m'enfuir, sans rouler sur ma petite copine avec la voiture. Ce n'était pas le but ! Et si je voudrais fuir, J'avais l'option facile de m'invoquer auprès de Lucy. Mais je devais affronter ma copine. Premier réflexe, verrouiller les portes . Deuxième réflexe, me tenir prêt pour me défendre, du bout des doigts j'effleurais ma bague argenté. Cet anneau qui allait sans doute lui rappeler le moment chaud qu'on avait vécu contre justement cette voiture. Comme preuve, vous pouvez voir que sur le coté passager de ma caisse elle était cabossée au bon endroit. Mais pourquoi cette attitude avec elle ? Parce que Dewenty était détestable, on s en prenait toujours pleins la tronche, soit qu'elle vous insultait pour se montrer baveuse. Soit qu elle vous défonçais le nez. Mais cette férocité animalière me divertissait. Méfiant ! J'appuyais sur le bouton pour baisser légèrement, la vitre , laissant une craque pour qu'on puisse discuter.
Discuter du fait qu' elle avait aussi une invitation Comment elle l'avait eu ? Je ne préférais pas le savoir , car maline , elle a plusieurs atouts pour y parvenir. Je ne préférais pas m'imaginer ce que la groupie était devenue .. puisqu'elle avait sans doute dérober cette lettre a cette mystérieuse demoiselle pour m'accompagner.. Mais surtout pour me surveiller. J'aurais pu lui faire la morale , a propos de la frontière entre le mal et bien. Mais ce ne servait a rien ! Et cette morale justicière, autrefois m'avait arrachée mon premier amour. Donc contrairement au passé , j'avais pris la décision de m' aveugler sur ses crimes , car plus jamais je voulais payer le prix de perdre un être cher, pour mon coté justicier.
Mais ce n'était pas la seule raison, je savais qu'elle ne pouvait pas aller contre sa nature démoniaque. Et je connaissais cette sensation étant moi aussi un être particulier, qui avait été créer , sans doute façonner aux désirs de mon Roi. Et j'avais aussi pris la décision de plus jamais de demander a une personne de changer pour moi . Au fil du temps, j'avais appris a aimer d'une nouvelle manière. J'aime de tout de mon être, l'être qu'est Bébé Monstre. Elle pouvait etre Belle. Elle pouvait être une bête. Il n avait aucune rose qui fanait . Aucune malédiction a brisée par un baiser. Je l''acceptais avec sa part d'ombre. Elle m'acceptait avec ma part de lumière . Match contradictoire .Mais notre mariage de lit , allait un jour enfanter la perfection par il serait concu de lumieres et de tenebres. Un match parfait.
. Cette histoire sensible sur les groupies étaient derrière nous, on pouvait se réconcilier . Enfin est-ce qu'on avait le temps ? Pas vraiment ! Mais on avait encore la navette comme opportunité. Content qu'on partait ensemble Qu'on s'écrive un nouveau chapitre..celui de nos premières vacances tous les deux. Déverrouillant les portes. Je n'avais plus rien a craindre. Elle n allait plus envie de me bouffer. Enfin.. .vous verrez .. Et est-ce que j'étais mangeable ? Est-ce qu'un esprit stellaire ça se mange ? Il n'avait pas aucune loi céleste sur ce sujet .. Question mystère ! Il faudrait que je me plonge sur cette question farfelue avec Stella.
Sortait de ma voiture. Pour sortir ma valise. Vu que tout le monde a sa couleur. Mon bagage était d'un vert lime, brodé d'un symbole de lion dorée. Prenait mes effets personnels pour les remettre en place. Dans mon dos, Dewenty me dévisageait avec un air de dégout. Pourquoi ? Mon pyjama enfantin, ne lui plaisait vraiment pas ! Elle ne voulait pas que je lui foute la honte sans doute ou...Mais avoir un petit copain ne sert pas a cela ? Nous sortir de notre petite zone de confort. Quand je me retournais pour lui faire face elle me disait radicalement : retire moi ca tout de suite . Cet ordre ordonner de cette voix impératrice, me donnait envie d'être un bon garcon et d'obéir. Cette voix, venait aussi aguicher mon coté joueur de ma personnalité . Elle venait titiller le fauve en moi . Son visage changeait d'expression, elle prenait son air désireux. Ses paroles venaient de me faire oublier qu'on pourrait être en retard..Qu'on pourrait manquer notre embarquement. Peu importe le bon endroit.. Le plaisir on peut se le procurer partout. Même dans un stationnement.. Même contre une voiture.. Même au coin de la rue. - Avec plaisir..
Ma valise au sol. Dans un mouvement imprévisible et sans gêne. Les spectateurs m'importaient peu.. Je montais sur le capot de ma voiture , puis je sautais sur le toit de celle-ci pour me donner en show. Dansant de la manière qu'Alec m'avait appris durant mes cours de danse. Parce que cet art ce n'était pas l'une de mes forces. Ben et Sally en avait été témoin au centre commercial durant les fêtes. Mais j'avais attiré pleins de belles gonzesses , parce que les petits comiques dans mon genre c'est tendance ! Je descendais la fermeture de mon pyjama sensuellement mais surtout lentement. Parce que je suis un homme avec qui, il faut prendre le temps de savourer. Et ne pas etre trop gourmande et tout engloutir.. C'était la raison pourquoi que je lui offrais ce strip-tease pour lui donner une entrée du bon endroit avant un futur repas. Est ce que elle avait une petite faim avant qu'on passe l'étape du train ?
Censuration.
Embarquer tous dans la navette. Comme indiquer dans le texte de Bébé Monstre, après avoir bouger mon joli cul. Cette phrase pouvait prendre beaucoup de sens. Procurer pleins d images si vous avez l esprit tordu. Nouvellement vêtue d une tenue plus adéquate. A la dernière minute, on arrivait près de notre transport. Il avait quelques personnes, mais il n'avait pas foule non plus. Alors je ne comprenais pas pourquoi cet abruti, que j'avais reconnu, car lui et moi on avait une histoire en commun, plutot une femme. Parce que volontairement , j'avais cette manie de flirter avec les épouses des autres. C'était surement a cause du challenge . Le fait de vouloir m'offrir des défis ambitieux. Du risque de me prendre un vent ou un poing par le mari. Mais l'adrénaline de ses fantasmes me procuraient. Bébé Monstre , me le donnait dans nos petits jeux de dominations a présent. Malgré l'explication un peu longue, vous avez compris Georgia, l'épouse de Mister Dorian avait été mon trophée de chasse. Cette chasse avait été conclu par une amitié. Mais chut ! Erwin n'était pas au courant. Comme Dewenty car c'était avant que notre relation devienne sérieuse.
. Donc comment je devais interpréter le geste de cet homme ? Il avait bousculé ma petite copine ..Heureusement pour lui, elle n'était pas encore dans l'état que je désirais qu'elle soit. Parce qu'il n aurait pas franchi les portes du wagon. Culotté, il avait osé par galanterie rendre la valise a Dewenty. Parce que celle-ci a cause de leur collision lui avait glissée des mains. J'étais convaincu que c 'était de la vengeance ! Petite frustration supplémentaire : Il m'avait voler la vedette auprès de ma copine. Toussant, mais ce n'était pas assez convainquant pour me faire comprendre, mais aussi me faire voir ! Il s'était déjà éclipsé dans la navette. La prochaine fois que je le croisais, j'allais lui rugir ma façon de penser. Surtout que celui-ci n'était pas avec sa fiancé. Partir sans sa femme c'était inacceptable ! Pauvre Georgia. Mais heureusement j'étais là , je pourrais avoir un oeil sur lui pour mon amie. Et surtout creuser a savoir s" il était venue rejoindre une maîtresse.Parce que ce type ne m'inspirait pas confiance. Après ce paragraphe de pensées négatives , je m'assurais de l'état de Dewenty. Tout allait bien ! Je décidais de prendre la situation en mains jusqu’à qu'on pose nos fesses sur ses sièges.
Assis dans mon siège, accompagné de Bébé Monstre a mon coté. J'avais pris le siège du bord pour m'assurer de sa protection. Mais aussi parce que j'étais plus proche des toilettes, si je faisais un malaise maladif durant le trajet. Du regard, je faisais le tour des visages.. Dévisageant profondément Mister Dorian quelques secondes, avant que Dewenty se pose trop de questions. On s'était promis de ne pas trop aborder le passé de l'un et de l'autre. Pour s'occuper que de notre présent et notre futur.. Mais elle était quand même au courant de quelques histoires, mais pas celle-ci. Ayant une oreille attentive sur les histoires, des un et des autres . Enfin ceux qui étaient les plus proches comme ce Monsieur qui parlait de Lune de Miel et de famille. Ce monsieur qui me faisait rêvasser a ce bonheur inaccessible, pour le moment avec Dewenty.
Ayant accès au luxe, j'avais demandé aux responsables du luxe , de m'apporter accessoires pour relaxer avec ma compagne, car le voyage allait sans doute être long, et je détestais l'ennuis. Heureusement, Dewenty portait une jupe parce que c'était le seul divertissement que j'avais a portée de main. C'était la raison, pourquoi j avais exigé une couverture ! Parce que d'après vous est-ce que sa petite culotte était agencée au reste de son habit ? D'après vous est-ce que j'allais me piquer le doigt sur une aiguille ? Vous ne serez pas ! Parce que les secrets de sous la couverture, reste sous la couverture !
Quelques instants plus tard, tout le monde avait eu le droit a de la nourriture et un breuvage alcoolisé. J'aurais préféré un verre d'eau, pour une raison bien précise. Mais j'acceptais la boisson a contre coeur. Pour la nourriture, je n'avais pas spécialement envie d'un saucisson. Mais je voyais l'opportunité d envoyer des signaux subtiles a ma petite copine. Après tout , on était la pour trouver le bonheur.. - T'as envie de mon saucisson bébé ? M'amusant a le balancer dans tous les sens. Pour ensuite, tamponner en douceur sa joue en lui donnant des coups de saucisse sur la mâchoire. Ensuite venir chatouiller le bout de son nez avec ma saucisse. Puis venir la titiller, en effleurant ses lèvres. Sourire coquin au coin de ma bouche. D'un geste , non surprenant elle croquait sauvagement dans ma saucisse, prenant ainsi une importante bouchée. Je me mordillais la lèvre inférieure, pour ensuite prendre une gorgée de ma boisson. Pour ensuite manger le restant de ma bouffe et terminer mon verre, avant de piquer du nez. Et m'endormir profondément, tellement profondément que je n avais rien ressentis quand Dewenty m'avait secoué comme une poupée de chiffon. Aucune réaction ! Mais je craignais le pire pour mon nez. Allait -elle enfoncer de nouveau son doigt dans une de mes narines , pensant que je faisais encore une sieste spontanée . Non elle n'en avait pas eu le temps car c'était son tour de succomber.. au cocktail MALEFIQUE ! A moins que c'était la faute d'une aiguille ? On se croyait dans la belle aux bois dormants.
Comme Roméo et Juliette on trouvait le sommeil, l'un contre l'autre.
Le Bon endroit ! Nous avions tous perdus la notion du temps. Surtout moi parce que je n'avais pas l'habitude de me lever si tôt. Il me fallait toujours un coup de main..pour me forcer a quitter l'endroit ou je m"étais assoupis. Heureusement Dewenty, avait trouver le moyen de me motiver a m'étirer comme un chat..Pour la suite on quittait la navette pour se faire guider sur le domaine du bon endroit, pendant que des petits robots s 'occupaient de transporter nos valises dans notre chambre. Cette chambre que j'avais très hâte de rejoindre.. Parce que c'était encore une opportunité vers le bonheur. Et c'était peut-etre le bon endroit.. Mais au lieu d'avoir la présentation de notre suite hôtelière. On avait le droit a un blabla sur un ecran géant. Je ne pouvais pas écouter le blabla dans la chambre ? Non
Donc moi j'étais trop préoccupé par la présence de Dewenty assise sur le meme transat que moi. Entre mes cuisses..Caller contre moi. Nichant ma tete dans sa chevelure, parce que son plumage était camouflé. Glissant une main sous son veston. Déposant cette main sur le bas de son chemisier pour atteindre le bas de son ventre, je dessinais des petits bonhommes souriants en écoutant d'une oreille le discours et la publicité. Mais je m ennuyais donc j'occupais mes mains pour apaiser mon hyperactivité.
Mon petit moment tendre, vu interrompu par des robots.. Parce qu'on nous imposait un badge particulier. Un badge que je pouvais considérer comme un onzième tatouage. Mais savoir qu'il était dans mon dos. Je trouvais cette anecdote amusante mais aussi symbolique.. Parce que savez vous que la zone érogène de l'homme lion se trouve dans son dos ? Information inutile pour vous mais peut-etre utile pour moi le moment venu.
En parlant de ce symbole.. Non loin de moi. Il avait cette discussion intéressante entre l'abruti et une dame qui semblait etre une encyclopédie des émotions. Elle avait surement fait des études pour savoir tout ca sur le sujet. Écoutant attentivement, enfin espionnant a la Juvia ce qui se disait entre Erwin et la dame. J'en apprenais plus sur ce mystérieux badge..mais je retenais aussi LE CONSEIL qui était une faille a dévoiler nos sentiments. Est-ce que j'avais quelque chose a cacher a Dewenty ? Oui ! Mais pas juste a elle. Ces temps ci , j'étais cachottier. A ce moment, je me sentais comme l'ancien moi. Mais quelles émotions je ne voulais pas dévoiler ? Mon impuissance au lit ,c'était une vraie honte pour moi ! Mon impatience et ma tristesse de ne pas pouvoir lui offrir un oeuf a mon monstre.
Une fois , Mister Dorian parti de son coté sans l'experte aux émotions. Je pouvais en conclure, qu'elle n'était pas une maîtresse.. juste une connaissance. Je jetais un regard vers les autres femmes du groupe, me demandant si elles allaient le suivre.. Soudainement Dewenty interrompait ma petite enquête, avec ses inquiétudes sur les ..."j'aime pas ses robots... ils ont l'air trop poli pour etre honnête.. Avait-elle un souci avec l'honnêté ? Cette phrase me faisait sentir mal dans ma peau. Tout simplement, parce que moi je m'étais mis dans la tête de lui révélé une vérité.. une honnêté. Est ce que je devais encore lui cacher mon envie d être père ? D'être mari ?'' Ne t'inquiete pas pour les petits robots Bébé. Je n aurais pas du te faire visionner terminator et star wars maintenant tu vas voir tous les petits robots du mauvais oeil, . Mais si tu crois qui sont vraiment malsains, je te protegerais d eux ou on a juste a demander d'aller a notre chambre , les petits robots ne seront plus la'' Elle me disait : Ce n'est pas le fait d'avoir regarder star wars ou terminator... tu sais très bien que j'ai eu de la peine pour ce pauvre robot qui n'a que pour mission de tuer cette Sarah... m'enfin regarde les...avec leurs smiles tout contents..Nan.. c'est trop étrange. Nan c'est bon les petits robots peuvent venir.
U Saleté de robots qui gachait mon futur bonheur. Mais je ne pouvais pas m'empêcher de les défendre au près de ma petite copine parce que ses robots me faisaient songer a mes frères, soeurs du ciel mais aussi a moi a cause de .. Je te l accorde que les petits robots sont etranges mais je crois que c est parce qu'ils sont tout simplement contents d avoir été confier a nous, a nous servir , de se sentir utile , de veiller sur nous, sur notre bonheur, Ces robots ont le meme role que les esprits celestes pour moi . Aimer leurs maitres, être dévoués a ceux ci. Veiller sur eux. Être connectés a nous. Moi je crois qui ont meme des sentiments , ou veulent tout simplement apprendre en ressentir. Ce discours venait de mon coté moral. Je crois qu'on devrait les considérer comme nos amis. Mais je te l accorde je voudrais bien être tranquille . C est vrai les petits robots ont surement acces aux chambres, mais il a surement un bon endroit ou on pourrait etre que toi et moi.. car moi aussi je sais ... '' Elle comprenait ou je voulais en venir. Sous entendu. Et pour qu'elle le comprenne, de mes doigts magiques, je caressais tendrement sa nuque de mouvements circulaires. Frissonnant légérement , elle laissait un petit hmm sortir d entre ses lèvres avant de rajouter : Heureux de nous servir ? normal ils ont été programmés pour ca, mais peut etre le font-ils exprès ?.. a ce moment-là, ses robots ne rentrerons plus... j'ai pas envie qu'on nous vois copuler . Le mot programmer méritait une réflexion plus en profondeur sur mon existence. Mais on va s'attarder sur l'essentiel : La conception de mon bonheur. Elle était donc consentante pour qu on fasse l'amour au bon endroit !Enfin dans un bon endroit à la vue de personne. Aucun problème pour les personnes, on avait juste a s'isoler. Il fallait juste se débarrasser des petits robots qui nous poursuivaient. Mais comment ? Il nous fallait l'aide d'une personne qui se connaissait en technologie pour les mettre sur off , le temps qu'on copule sans les avoir dans nos jambes. Mais est-ce qu'il avait cette personne parmi nous ?
Tu sais bebe nous sommes tous programmés, a offrir quelque chose de notre etre a quelqu'un. Ma main qui était posée sur le chemisier, se faufilait direct sur le ventre de Dewenty pour un autre message subtile, mais pas subtile du tout. 'Promis aucun petit robot ne viendra nous deranger . Et si c est le cas je porterais plainte au monsieur qu on a vu a l ecran, ou je trouvais un autre moyen pour qu'on soit tranquille. Se callant plus contre moi. . Peut-être... nous verrons bien, il n'y aura qu'à fermer a clef avec un panneau ne pas déranger sous risque dégorgement.. Je mettais a rire, parce que quand je n'étais pas des groupies qu'elle voulait égorger. C'était autre chose .. Il avait toujours un petit truc qui titillait la manticore en elle. Avoue que ca te démanche en toi, de faire la peau a ses petits robots .. Et je crois qu'une cravate sur la poignée de porte devrait suffire.. Tout le monde connait le symbole de la cravate.. Espérant qu'ils comprennent .. Sinon il avait pleins signes pour faire comprendre le message a ses robots .Oui... ça me démange fortement de prendre une boule de bowling et de faire un strike sur ses robots. Disant t elle en riant , avant de se déplacer pour se retourner vers moi, et poser ses lèvres sur les miennes et capturer un baiser. Un bisous que je prolongeais.. Ce bétocage me donnait envie de m'aventurer plus loin, car le transat était peut-etre le bon endroit .
Mais non , parce que deviné quoi ? Ce moment fut interrompu par les robots. Pourquoi ? Nous pour servir de la nourriture mais aussi encore a boire, apportant les breuvages qu'on désirait..Bebe monstre disait a notre ami robotique : comme vous devez servir a quelques choses.. Offreez moi un Bloody Mary avec des mini sandwich... sans croutes.. Encore de l'Alcool. Tu n aimerais pas un jus d orange a la place Bébé ? Oui j'avais cette manie d'imposer mon opinion croyant savoir ce qui lui plairait pour son bonheur. Mais en faites je proposais ce breuvage pour une raison precise , mais surtout pour mon bonheur a moi. non... je veux un bloody mary. Soupirant . Ne disant plus un mot sur sa decision. Elle me disait : Quoi ? Elle ne comprenait pas ma bonne intention . Je lui disais donc : Rien
Ce comportement robotique m'agacait , je ressentais cette impression, qu'on voulait qu on finisse bourrer . Quand tout ce que je voulais était un verre d'eau parce que l'alcool était nuisible.. pour ma santé , mais c'était aussi un agent perturbateur qui réduisait l'efficacité de ce fameux médicament que je prenais pour aider ma fertilité. Un médicament dont Dewenty n avait aucune connaissance. Prenant la boisson . Pour que Dewenty puisse manger sa nourriture. Et moi siroter lentement ma boisson, meme si je préférais jouer dedans avec mon doigt , parce que je m ennuyais. On s'installait a une table.. Et a un moment donné Bebe monstre devait se rendre a la salle de bain..Pourquoi ? Je suis son petit copain , mais je ne suis pas aussi dépendant que vous croyez. Je ne la poursuivrais pas jusqu 'a là.. Mais elle se faisait attendre..
Buvant la derniere goute de mon Cocktail. Une femme m'abordait... Rien d'étonnant . Elle a vu un beau mec qui s ennui..qui est seul.. Elle a sautée a la conclusion. Selon le conseil, je ne devais pas regarder personne dans les yeux. Donc, mes prunelles analysaient tout le reste de son corps .. Et elle n'était pas du tout a mon gout. Preferant les femmes qui sont femmes. Mon analyse se terminait avec la partie du corps de la femme qui stimulait souvent tous mes sens. Stella pouvait le confirmer. Mon regard se posait sur sa poitrine.. Donc pendant qu'elle me parlait de sa voix très enthousiasme , moi je reluquais ses nichons. Waouh, mais quelle classe ! Qu'est-ce que tu fais encore assis ici tout seul avec un cocktail vide ? La boite de jour n'attend que toi ! Nous ! Précision il était dix heures du matin.
Alerte a la groupie ! Et homme de paroles, j'avais promis a Dewenty que ce chapitre était clos, sauf si je redevenais celibataire un jour.. Parce que la drague était ma maniere de faire mon deuil de mes amours. Rougissant malgré tout a son compliment pour le style, meme si ce ne portait pas du Agreste mais du Fendi. Hésitant . Parce qu'une boite de nuit c'était quand meme alléchant comme proposition. Mais Dewenty elle permettrait elle d'aller danser avec une autre ? Moi je n accepterais jamais qu'elle danse avec un autre.. Et si je l'apprenais... C etait la raison de cette reponse.
Mercii du compliment. Je ne suis pas tout a fait seul. Je suis marier et ma copine est enceinte , on est venu en lune en miel C'était la première reponse qui m"était venue a l'esprit. C'était une demie vérité ! Mais c'était ma seule solution pour qu'elle comprenne le message..que non merci je devais décliner
Mais la fille se faisait insistante, mais rassurante. T'as peur que ta copine soit jalouse ? Mais t'en fais pas, tu m'intéresses pas de cette façon. Moi c'est Kezzia. J'aime bien la musique et danser et justement la boite de jour est là-bas. Vu ton look, je me disais que ça pourrait être cool qu'on aille tester ça ensemble ? Ma soeur c'est pas trop son délire. Y a même un stand pour se pimper un peu avant, si tu veux un look plus funky pour t'éclater ! On peut laisser un flyer à ta copine pour qu'elle nous rejoigne plus tard si tu veux ? Ou dire au smiley-bot de transmettre l"info !
-Enchanté Kezzia, moi c est Loke . A l'epoque de mon célibat j'aurais fait la bise, mais Dewenty pouvait revenir a tout moment de la salle de bain. Et me faire surprendre , je signais mon arret de mort. Je signais la fin de notre histoire . Mais... Oui en réfléchissant ton offre m interresse beaucoup.. mais il faut qu on laisse un mot a ma femme, parce qu'elle est très possessive et tu sais les hormones n aident pas.. si je ne lui laisse pas un petit mot, elle risque de penser que j ai des vues sur toi ...ou toi sur moi
Attention chers lecteurs. Cette révélation est des plus choquantes. Meme moi j'ai fais le saut de surprise. - T'en fais pas, si je devais avoir des vues sur l'un de vous, ce serait sur elle . Face a cette révélation , a cet instant des scenarios coquins entre Dewenty et ma nouvelle amie naissaient dans mes pensées. Mais c'était que des fantasmes.. non réalisables ! Mais agréables a imaginer. Et Dewenty ne pourrait pas m'en vouloir , si elle finissait par le découvrir, car tous les imbéciles veulent un jour expérimenter, un délire a trois..ou voir sa femme s'excitée sur le meme sexe. Mais est-ce que j'allais lui présenter ma nouvelle amie ? Simplement comme une connaissance. Pas comme une amie de lit qui viendrait pimenter nos débats de draps. Parce que je savais que ce n etait pas le genre de Dewenty de quitter sa zone de confort.
La demoiselle me tendait la main pour m' aider à me lever de m a chaise. Elle laissait un flyer avec marqué "La Bonne Boite de Jour (et de nuit quand c'est la nuit) c'est par là. Je pouvais voir que le flyer indiquait comment trouver l'endroit ou se trouvait le nightclub par rapport au reste du complexe qui a l'air gigantesque.. Par la suite je me laissais entrainer..
Nightclub. La piste était déserte, car vous savez qu'on est des privilèges . Donc il n'avait pas 421 personnes qui pouvaient tester cette attraction. Kezzia , prenom qui me faisait penser a la gamine démoniaque d'un ami. La demoiselle se laissait charmer par la musique discothèque. Et commencait a danser sans moi , car mon attention se portait vers ce kiosque a maquillage.. Je voulais un look pour illuminer la scène. Pour briller sous les projecteurs. Je voulais me sentir comme une étoile qui monte au ciel. Assis dans le siège. Je me sentais comme chez le tatoueur. Et je me mettais a l'aise.. Enlevant ma veste , ma camisole. Je voulais une peinture fluo qui metterait ma personne en valeur. Installé un smiley-bot arrivait derriere moi et me disait : Détendez-vous, je sais ce qui va vous faire plaisir..
Détendu , j'étais.. Parce que le ''Body patting'' était un art devant lequel j'étais en admiration. Par le passé, j'en avais fait souvent a mes conquêtes. C etait une technique moderne de séduction. Peut-etre Bébé Monstre voudrait etre un jour mon modèle. Me laissant faire.. Appréciant chaque coup de pinceau. Parce que cette sensation était presque jouissive. Après un moment , le robot me demandait : Un peu plus de paillettes ? Disant a mon ami : Tu as carte blanche, mon ami , il faudrait que vous trouve des petits noms. Pour moi ce détail était important car j'étais convaincu que c'était plus que des robots mais des êtres particuliers. Tant que je brille comme un soleil et que je flash dans l obscurité, tu auras tout mon amour.
Regardant le smiley bot en utilisant le miroir que je tenais , je pouvais voir le reflet du robot sans me retourner. Je voyais des smileys soleils à l'emplacement de ses yeux et il avait un grand sourire, Dewenty aurait flippée a cette expression faciale. Moi je le trouvais trop mignon ! Après un long instant, après avoir remercier mon ami Denebola pour m avoir procurer une nouvelle paire de lunettes mais aussi son travail (sincerement il n avait pas de photo fameuse mais j en met une pour que vous comprenez le concept) et oui je l'avais surnommé avec le nom d'une etoile qui faisait parti de moi... Je lui disais : J'espère que tu viendras danser avec nous Denebola. Avant de rejoindre Kezzia sur la piste de danse.. J'avais remis ma veste sur mes épaules et ma camsiole me servait de foulard attachée après ma ceinture. Mon habit blanc flashait a cause des néons.. Mais aussi mon corps.. a cause de la peinture. Je me sentais comme un Soleil .. Je me sentais tout simplement bien car j'étais soigneusement peinturé de symboles celestiaux , de taches qui ressemblait a une galaxie.
En présence de Kezzia : Ah, enfin ! C'est pas que je m'ennuyais mais c'est mieux de faire la fête à deux ! Allez viens, PARTY HAAAAAAAAAARD ! Elle prenait mes mains et me faisait tourner dans une ronde sur de la musique entrainante.. Les cours d'Alec allaient encore une fois servir.. Au bout d'un moment, la notion du temps n'existait plus. Je me laissais ensorceler par la musique, même si j'aurais tellement apprécier avoir une batterie pour en jouer. J'étais séduit par le décor. J'étais hypnotisé par le jeu de lumières. J'étais enjolé par mon propre corps dansant. Et j'étais bien accompagnée , mais il manquait Dewenty. J'aurais voulu tellement aimer avoir des rapprochements, ou la prendre entre ma nouvelle amie et moi Je désirais une ambiance brulante. Même si il faisait deja très chaud chaud.. J'étais dégoulinant de sueurs, car pas un instant j'avais cesser de danser.. Enfin jusqu'à la musique coupe soudainement...
Au moment de la coupure, Un smiley-bot, s approchait de moi avec un paquet dans les mains et il me le tendait avec une tete de smiley content. Pour moi ? Un cadeau ! Décidément ce bon endroit était agréable mais je n'avais pas atteint le taux de bonheur encore, car a Storybrooke. Il avait aussi des boites de jour..de nuit.. Aussi branchées que celle-ci.. Tout ce qui manquait a ma vie était ce bonheur, qu'un smiley -bot ne pouvait pas m'offrir.. Sans plus attendre.. j'ouvrais le paquet pour y découvrir... mystere, vous le serez peut-etre au prochain post