« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Apparemment, ils avaient pas compris la définition de bonheur. Pourquoi mon regard avait croisé le sien ? POURQUOI il était là ? Hein ? Mon sang avait littéralement et dans tous les sens du terme fait un seul tour de l’entièreté de mon corps quand mes yeux bleus s’étaient posés sur lui. Pour sûr que mes vacances, que nos vacances mutuelles étaient tout bonnement gâchées. Poussant un profond soupir, j’étais montée dans la navette sans faire attention à lui et je m’étais installée LE PLUS LOIN possible de ce sombre imbécile. Mais avant que je ne puisse maugréais intérieurement sur la présence non désirée d’Erwin Dorian, me voilà sombrant dans le sommeil.
Me réveillant, je suis tout le monde pour pouvoir prendre connaissance du pitch de présentation ou un truc dans l’idée et du spot TV de Mr Particulièrement « je suis pas allumé de partout ». Non mais franchement…ma joueuse aime beaucoup The Good Place mais il agit hyper bizarrement cet homme et encore plus dans cette mission, enfin je le sens pas du tout, je dis ça, je dis rien. Toute façon, ça sent le gros bordel depuis le début et le pire c’est que TOUT LE MONDE se dit que C’EST TROP BIEN et que LES BISOUNOURS existent mais pardon de détruire vos rêves mais non hein, ils existent pas.
Place au bonheur…concrètement, ma vision du bonheur est bien loin de ressembler à ça. Un smiley bot qui d’ailleurs me donne sévèrement la flippe vient vers moi avec un plateau sur lequel est posé UN BEIGNET AU CHOCOLAT. Un grand sourire né sur mon visage. Je me saisis du beignet et pose mon regard sur le robot.
« Oh…merci…je crois. » « C’est un plaisir ! »
Et le voilà qui se barre. Je m’installe à une table tranquille pour manger mon beignet tout en me demandant pertinemment de combien de km carré se compose cet endroit pour être sûre de ne pas croiser une seule fois ce sombre idiot, imbu de lui-même et nombriliste à souhait. Mon beignet terminé, je me dirige vers Deborah. J’avoue que j’avais été plus que surprise par le « smiley » qu’on nous avait plus ou moins installé « de force » dans le dos. Bon d’accord, pas de force mais quand même, c’était sans prévenir donc…
« Donc, on a ce badge jusqu’à ce qu’on puisse rentrer chez nous ? » demandais-je à la rouquine tout en m’installant en face d’elle « J’espère, parce que niveau look à vie, c’est pas tip top. Cela dit, au moins, on le voit pas. Enfin, vous pouvez voir le mien, je peux voir le votre, mais je ne vois pas le mien. C’est mieux comme ça. » « Pas faux, mais j’ai l’impression d’être épiée avec ce truc dans le dos, comme une cible mouvante et j’avoue que c’est une sensation assez dérangeante. »
Deborah se met à rire alors que je fronce les sourcils. Elle a ce rire de ceux qu’on les gens quand ils entendent un truc qui leur paraît une réponse super évidente.
« Qu’est-ce-qui vous fait rire ? » « Parce que vous pensez que dans la vie de tous les jours, vous êtes pas épiée ? Que personne ne vous juge jamais ? N’essaye d’analyser vos émotions pour potentiellement s’en servir ? Dites : « l’enfer c’est les autres », ça vous parle ou pas ? »
Je pousse un soupir.
« Mise à part que je suis la cible préférée de mon taré de frangin, je sais pertinemment qu’on est sans cesse jugé et non, je ne dirais pas l’enfer, c’est les autres mais plutôt…non laissez tomber. » l’enfer c’est Erwin Dorian dans toute sa splendeur. Avouez, vous vous y attendiez non ? « Plutôt pas ici. » conclus Deborah. Ouais on va dire ça, ouais « Pourquoi vous iriez pas vous faire plaisir quelque part ? » Mon regard se pose rapidement sur un un gars qui passe devant nous en tenue de sport, black, très…très bien goalé torse nu qui nous salue « Est-ce-que l’une de vous a envie de faire un peu d’exercice ? » PAS COMME CA BANDES DE PERVERS ! Un grand sourire né sur mon visage « Faut pas me le demander deux fois ! » « Je passe mon tour, j’ai de la bronzette à rattraper. »
Je me lève et pars en compagnie du beau gosse direction la salle de sport. Dans ma valise, tout était prévu. Vous pensez vraiment que je vais m’amuser à faire du sport en tailleur ? O.o « Ma fiancée Kezzia, c’est pas trop son kiff le sport, sauf si c’est de la Zumba mais moi je préfère que ce soit plus physique. T’as l’air un peu comme ça. Au fait, moi c’est Ralph. » « Enchantée Ralph, moi c’est Lena. Et effectivement, en dehors de mon boulot, j’aime passer du temps au sport. J’adore le physique mais dans la limite du raisonnable bien sûr, j’écoute mon corps et mes muscles avant tout. » « On devrait être heureux ensemble alors. Enfin, tu vois c’que je veux dire. » Un léger sourire éclaire mon visage alors qu’on arrive à la salle de sport. Entrant à l’intérieur, je regarde pendant plusieurs minutes l’endroit. Toutes les machines pour une séance de rêve ! Elliptique, stepper, rameur, vélo, tapis de course, machine à adducteurs et abducteurs, presse à cuisse, banc de développé-couché, pec deck, smith machine, poulie haute, banc à abdominaux, chaise romaine, banc à lombaires et encore tant d’autres choses qui allaient me permettre de lâcher prise et oublier la présence de cet suceur de dollars. Mais le mieux dans tout cet attirail ? C’est sans nul doute le punching ball à l’effigie de cet imbécile ! Le summum du bonheur pour le coup ! Je m'étais donc changé et j'avais commencé l'entrainement.
Après un entrainement intense mais qui m’avait fait le plus grand bien et une bonne demi-heure à taper sur la tête (enfin dans l’idée) d’Erwin Dorian, je me saisis d’une bouteille d’eau et en bois un peu avant de me diriger vers Ralph « dis, comme je peux pas voir mon badge dans le dos, tu peux me dire ce qu’il dit ? » « Ça dit que tu es épanouie. Apparemment, ça te rend vraiment heureuse de frapper des punching-ball. Mais je pense qu’on sera plus heureux encore après une bonne douche. » « Totalement d’accord. » énonçais-je avec un sourire avant de reprendre « C’est sûr que ça m’a fait du bien de frapper dans le punching ball, surtout celui-là en particulier. » Nous nous dirigeâmes vers les douches.
En arrivant aux douches, je souris en voyant que j’avais vraiment le droit à tout ce que j’aimais. Une musique d’ambiance comme je les aimaient, une douche à l’italienne assez grande pour ne pas sentir à l’étroit, du savon à la fleur de cerisier, le shampoing présent aussi. Tout était fait pour être apprécié mais ça en devenait quand même un peu suspect. Je veux pas dire mais ILS SAVENT quand même exactement ce qu’on aime. C’EST UN PEU CHELOU. Après avoir pris ma douche, je remarque rapidement la présence d’un peignoir que j’enfile rapidement. Douillet et tout ce qu’il faut. Je soupçonnais un des petits robots d’être venu déposer ça là. Y’avais tout. Une de mes tenues que j’avais mise dans ma valise, une paire de chaussures et même tout ce qu’il me fallait pour me maquiller et me coiffer.
Après une bonne demi-heure, je sors des vestiaires avant de rejoindre Ralph qui lui aussi était fin prêt « On retourne se dorer la pilule près du soleil ? Parait que les cocktails sont délicieux et si on a de la chance, y’aura une animation. » « Avec plaisir. » répondis-je avec un sourire alors que je remontais mes lunettes de soleil sur le nez.
everything is awesome Dewenty dans Les vacances presque parfaite
petit soirée au manoir Maanteekor seulement si vous voulez lire =D:
Petite aparté de ce qu’il avait bien pu se passer la veille au manoir Maanteekor quand la charmante et parfaite Dewenty n’avait pas été rejoindre son lion dans sa voiture sur un parking à la dérive de ses émotions et pour seul consolation une photo. La manticore était bien trop énervé contre lui et de toute évidence elle avait encore des choses à faire comme organiser un festin de roi pour elle et son meilleur amie Kot ! Bah quoi ? Quand...la souris est pas la les félins dance ? ce n’est pas ça l’expression ? Bon c’est pas grave on fait avec. Et elle avait prévu quoi pour cette soirée ? Fish Party pardi ! des sushis en veux tu en voilà, des coraya, du tarama tout pour faire une soirée parfaite entre meilleur amis. Dew avait donc fait soigneusement le lit de Kot et le siens. gros plateaux en prime il fallait bien qu’elle se détende un peu et Kot était le meilleur remède à tout ça.
- Choubidouuuuuu dit-elle tout en voyant Kot la regarder. - tu as enfin quitter ton mec ? Et tu vas te noyer dans la nourriture pour me laisser aller le manger ? -Nan pas vraiment… Je ne suis pas du genre à me noyer dans la nourriture..., mais non enfin, tout ca c’est pour nous et promis le jour ou le mange… je te ferais signe pour qu’on fasse un festin de roi toi et moi. -Oh ! se frottant les pattes.meme si je suis sur qu'il sera dégueulasse. Cet homme ne sent pas bon. Je sais pas ce que tu lui trouves. Il a même moins de poils qu un homme ordinaire... tu crois qu il s'epile ? -Je suis ravi que cette idée te plaise.. l’humain en général est une chair plutôt tendre… pas bon tu dis ? j’admet qu’il utilise pas mal de parfum mais ça doit être pour plaire...ce que je lui trouve ? parfois je me pose la question…tout à l’heure j’ai eu envie de lui exploser la tête contre le mur et de le bouffer, heureusement je suis sorti…a dire vrai… sinon j’aurais surement refait ma tapisserie niveau pilosité… j’avoue qu’il y a presque rien… et c’est fort probable qu’il s’épile à moins que peut être il est imberbe ?
Dew en y repensant encore, savait qu’il y avait quelques truc qui lui plaisait chez son petit ami, sinon elle ne se serait pas mit avec. Bien qu’ils soient totalement différent l'un de l’autre, l’un était la nuit et l’autre le jour. Dewenty était bien plus proche des méchants que des gentils. Disont que son côté brillant lui plaisir parfois même quand il faisait son gamin ça avait l’art de l'insupporte mais c’était pour détendre l’atmosphère. Elle le menait par le bout du nez, Elle ne s’était pas réellement poser de question sur ce qui faisait qu’elle en était amoureuse. Elle aimait le voir dominer, ça elle en était conquis. Elle passait son temps à le dominer le plus clair du temps et lui filait comme le charmant toutou qu’il était et pourtant, elle l’aimait vraiment. Il était SON Leo pour cette raison peut-être qu’elle avait limite faire une crise de jalousie. Mais pour le moment Dewenty était beaucoup trop en colère contre lui pour aller le voir donc quoi de mieux que d'extérioriser tout ça en parlant avec Kot. Lâcher tous les mots qu’ils fallaient pour redevenir calme et sereine. Dew se retenait de rire en voyant Kot qui eut un frisson de dégoût de la griffe a la moustache.
- il s'épile ? Cet homme n est pas normal. Il est toqué ! Tu aurais dû refaire la déco. -Je lui demanderais à l’occasion pour avoir le fin mot de l’histoire, toqué ? Je dois admettre qu’il doit l’être sévère même. J’y penserais ne t’en fais pas… mais avant… On va déguster tout ça, fait Ahhh
Elle prend un sushi pour le tendre à Kot, qui attaqua avec ses griffes dehors pour le manger sans qu'elle puisse enlever sa main. Sauf que cela ne lui fit pas trop d’effet étant peu douillette.
- d ailleurs vous attendez combien de temps pour engraisser le chien. J ai hate de le manger ! -Tu veux manger Sparkle ? elle est pas un peu trop petite pour toi ?. On voit bien qu’elle a pas dit non à tout ca, juste que Sparkle était encore trop petite pour être mangé, bien qu’elle devait avoir une chair plutôt tendre mais pas bien engraisser encore. Cela dit c’est un cadeau que je lui ait fait… Elle t'embête encore a vouloir jouer avec toi ?. - Tu as cru que je m'approchais de ça ! Et bien sur que je veux la manger. Ne l'as tu pas offert pour ça ? -Non bien sur que non… Je suis pas sur que Leo laisserais le chien se faire manger mais, je dois avouer en rôti elle doit être pas mal… avec une petite sauce…
Tombant sur le dos en mimant un décès.
- je sais pas ce que tu lui trouves je te comprends pas. Regarde j'en meurs. Dewenty ne pu retenir son rire à cette fameuse scène si pleine de grâce. -Oh non n’en meurs pas sans toi ça serait beaucoup moins divertissant pour ce pauvre Leo, Il a un certain charme caché qui me séduit, j’ai trouver le moyen de te ramener à la vie petit chat. dit-elle en lui donnant un coraya sous le nez. Mange tu vas reprendre des force.
Kot se relève d’un coup sec, les coraya faisait des miracle par moment surtout avec le chat noir.
- qu'est ce que je ferais pas pour du coraya ! -Je m’en serais douté maintenant tu as toute la soirée pour en manger régale toi.
Kot était parti dans un rire sadique tout en marmonnant tout bas “Je ferais caca sur les affaires de Leo” Dewenty rit à son tour. Cette Dewenty n’était pas toute à fait gentille fallait pas croire. Ils avaient terminé la soirée à manger des sushi, des coraya et pleins de bonne choses. Après la suite vous la connaissez…
Suite à sa conversation avec Leo sur les mini robot horrible, à cause de leur sourire beaucoup trop parfait à son goût. Par ailleurs, Ses petits robots en question leurs avaient déposer un badges étrange avec un smiley ! D’ailleurs ça avait été quelques choses parce que Dew n’avait pas vraiment voulu être touché par les mini-bot. L’un deux d’ailleurs au visage rempli de bonne volonté, c’était presque à vomir au passage, il s’est donc approcher de la manticore, heureusement qu’elle n’avait pas de tronçonneuse sinon elle l’aurait dégommé. mais, pas de violence c’est les vacances. Donc Nono le petit robot lui donne la main, pour que la manticore puisse voir que cela était inoffensif. Rien n’était indiqué sur la pastille jaune. D’ailleurs horrible couleur au passage. Donc Dewenty avait pu noter que rien ne devait lui arriver. La pastille était simplement jaune, lui laissant donc sa main en otage le temps de quelques seconde. Se calmant peu à peu, se sentant un peu plus en confiance la pastille changea lentement de couleur pour devenir rouge poui, elle s’est donc déplacé, un peu comme un aimant, mais s’était aussi léger que la caresse d’une plume. Et elle avait donc fini sa course dans le dos de la jeune femme. Au moins ca ne faisait pas mal. Cependant, quelques choses était réellement étrange, le fait que ce badge se soit glissé dans son dos pourquoi ? Aucune idée… quelqu’un allait sûrement répondre à la question plus tard. Tout le monde avaient eu donc droit à la pastille, de ce qu’elle avait entendu, on pouvait donc lire ce qui avait l’air d’être son humeur. Hmm... Elle avait une dents contre ses robots ou plutôt toute sa dentition. C’était leur visage tout content qui ne lui plaisait pas réellement. Après avoir siroter leurs cocktail. Dew allait devoir aller dans la salle de bain… Pourquoi ? pour la pause pipi, oui c’est très distinguées dis comme ça hein ? Nan elle y va simplement pour une retouche maquillage.
Donc elle s’était diriger vers les toilettes, elle marche gaiement vers son champs de bataille ! rentrant dans les toilettes, on ne parlera pas de la déco parce que… finalement on s’en moque un peu c’est pas ce qui nous intéresse le plus. Dewenty avait donc vu juste, il y avait belle et bien un miroir super… donc elle s’était tourner de façon à pouvoir voir son dos, ainsi que la pastille rouge… mais, rien n'était écrit dessus. Tout ça pour ça… “Et merde juste une pastille rouge…” Et c’est à ce moment là qu’une personne à décider de faire son entrée attention les yeux ! Debbie entra aux toilettes pour elle aussi une retouche maquillage ? S’approchant donc elle aussi du miroir avec son sac à main. Elle se mit de la crème solaire. Dewenty ne prêtait guère attention à cela, préférant porter son attention sur son dos. Regardant avec plus d’attention la pastille vert clair et un petit message disant qu’elle était “heureuse”.
- Tiens...c’est étrange...Pourquoi sur toi, je peux voir que tu es heureuse et moi quand je me regarde dans le miroir, je ne vois absolument rien d'écrit et pourquoi diable à t-elle glissé dans notre dos ? - Bah... T'as pas deviné toute seule ? C'est évident : voir sa propre humeur affecterait sa propre humeur. C'est comme si tu connaissais ton avenir, fatalement, tu le changerais. Tu ne peux pas voir avec certitudes tes émotions, sinon tu triches avec, au lieu de les vivre. - Hmmm... oui vu comme ça ça se tient... mais qui n'a jamais rêver justement de pouvoir changer le cours des choses ? et qu'est-ce qu'il y a de mal à tricher avec ses émotions ? dit-elle de façon plutôt curieuse. Après tout elle même avait jouer mainte fois avec les émotions des personnes non ? - Crois-moi ça finit jamais bien. dit Debbie en lui faisant un clin d’oeil qui signifiait “Je sais vraiment de quoi je cause.” -Ohh... tu en sais quelques choses alors... du coup, par curiosité, tu peux me dire ce qu'il y a d'écrit sur cette pastille rouge ? - Que, ce que je viens de te dire, te rend curieuse. Perso, j'aurais même pas eu besoin de le lire vu ta question. Allez viens. C'est pas qu'ils soient pas cool ces toilettes mais j'ai pas prévu de passer ma vie ici. -moi non plus... et c'est pas réellement l'endroit pour passer sa vie... mais du coup j'ai une autre question, qu'est ce qui nous dis pas que c'est justement à cause de cette pastille que je deviens curieuse ? Tu crois qu'on devrait s'en méfier ? -Non, elle indique seulement comment tu te sens. Ca doit aider les smiley-bots à faire leur taf. - Je vois... alors faut ressentir un type d'émotion précise pour eux parce que je doute fort que le fait que je sois curieuse doivent les aider pour la suite. Mais si ca les aides a faire leur travail pourquoi pas du moment qu'ils n'essaient pas de m'assassiner..
Sur ses dernières paroles les deux femmes sortirent des toilettes sans que Debbie ne répondent à sa dernière interrogation. En sortant donc des toilettes Dewenty ete Debbie croisèrent ce bon vieux Graham vous savez celui qui a gagné six tickets pour toute sa famille ? Et aussi le charmant voisin de Debbie qu’elle veinarde elle le croise de nouveaux. Ce dernier avait donc l’air très con...tent =D d’ailleurs la pastille jaune dans son dos l’indiquait. Il est donc en compagnie de sa femme Graham se tourne donc vers elles. Elles sort à peine des toilettes qu’on commence déjà à lui adresser la parole… Pour qui cet humain se prenait-il…
-Belle journée, n'est-ce pas ? Je sais pas quel est votre programme mais je prévois d'aller d'abord m'asseoir sur ce transat là pendant deux heures, ensuite j'irai nager, boire un cocktail, puis j'essaierai cet autre transat et ensuite sans doute un petit massage. A plus !
Oui si tu veux… qu’est-ce qu’elle vous disait.. ses humains sont réellement bizarre, mais attendez c’est pas terminé ! La femme de Graham la femme pas trop vieille qui était plutôt pas mal conservés leva les yeux au ciel.
-Lui quand il est content, il est content. dit-elle s'adressant en particulier à Dewenty à qui elle n'a pas encore réellement eu l'occasion de parler et lui tend la main pour se présenter : Je suis Grace, à propos.
Décidément… C’était la journée des personnes qui venaient lui taper la conversation, heureusement pour elle Dewenty était d’une grande bonté pour ses humains.. elle n’allait donc pas lui arracher la main et partir avec en guise de trophée. Prenant finalement la main tendu.
-Oui.. j'ai cru remarquer... je suis..enchantée aussi... moi c'est Dewenty... je vais aps vous retenir plus longtemps votre mari à l'air impatient.. - Oh trop de soleil c'est pas très bon pour moi, mais ne vous en faites pas, il y a plein d'autres choses à faire pour être heureux. Tapotant la main tout disant cela. Vous allez-y, la vie vous tend les bras !
Puis, Grâce mit les voile dans une autre direction, puis un smiley-bot apparut pour offrir les roses préférés de la jeune femme. des rose noir de Halfeti, des roses particulièrement unique qui sont rouge mais qui fonce à un moment précis. Portant donc son regard sur le smiley bot fronçant légèrement les sourcils prenant le bouquet dans ses bras.
- Oh.. j'ignorais que les bot était capable d'une telle attention.. dit-elle faisant une courte pause avant de reprendre. Comment a t-il pu savoir que c’est les fleurs que je préfère ? Coïncidence ?
Un étrange pressentiment lui parcourt l'échine quand une voix retentit dans son dos.
- Collection de données
Dewenty se retourna rapidement vers la voix de femme.
-Bonjour...collection de données ? Je ne me souviens pas les avoir données… Comment ça fonctionne au juste ? grâce au pastille ? -Désolée si je me suis mal exprimée, je répondais juste à votre question. Les pastilles dans notre dos collectent des données. C'est logique sinon comment le smiley-bot aurait su quelles fleurs vous apporter et quel type de [ur=https://media3.chapellerie-traclet.com/59607-large/chapeau-paille-femme.jpg]chapeau de paille[/url] je préférais ?
Elle passa sa main sur son menton… hmm.. oui ce n’était pas bête finalement… mais jusqu’à quel point ses badges pouvaient fournir des informations…
- J'en oublie les politesses : Je m'appelle Gloria. Vous avez croisé ma mère juste avant. Je suis data analyst. - Oh je vois un peu mieux.. donc cette pastille nous indique l'émotion et ce qui fait qu'il s peuvent savoir ce qui nous fait le plus plaisir... merci d'avoir répondu a ma question Gloria... moi c'est Dewenty enchantée. - Moi c'est Deborah et je vais aller faire comme Graham, j'aime bien son programme.
Dewenty hocha légèrement la tête, comme un commun accord, elle espérait qu’elle allait s’amusant autant qu’elle. Debbie avait donc quitté Dewenty.
- Ca vous dit un bain d'algues ? C'est là que je comptais aller avant d'entendre votre conversation. -Hmmm pourquoi pas, mon corps en aurait tellement besoin... j'ai du temps à tuer de toute manière, je vous accompagne volontier alors.
C’est donc en bonne compagnie que la manticore déambula avec la fille de Grace, sur le chemin, Dewenty aperçut une licorne ? Buguent quelques instant maintenant il servait le plat à domicile ? Se frottant les yeux.
- Une licorne ? dit-elle, cela dit elle était bien en chair se rapprochant doucement, plutôt bel animal… avec de belle couleur. Viens approche …
L’animal fabuleux s’en approcha doucement, tout en se laissant faire une fois que Dewenty posa la main sur elle, l’animal était plutôt froid et non fait de chair… mais c’était un robot.
- Je m’en serais doutée… dommage pas de quatre heure pour moi, cela dit… ils sont plutôt doués pour faire cela… on s’y tromperait presque.
Un smiley-bot, apparaît enfin, ils sont de partout… lui expliquant donc.
- Nous savons que les humains aiment les licornes, mais comme elles n'existent pas nous, en avons conçu une pour votre bonheur. -Hmmm… je les aurait toutes mangé ? mince alors. Mettant une main devant sa bouche… Je savais que je n’aurais pas dû jouer avec la nourriture...
Reprenant donc leur chemin pour le soin, c’était vraiment divin, Dewenty, s'avança dans une salle plutôt banal avec de table pour elle et Gloria Gaynor. La manticore d’était donc installer sur la table pour qu’on puisse lui appliquer le soin au algue. Le massage était parfait. Le bien fait des algues était exquis sur sa peau dénudés. La nudités ne lui avait pas poser plus de problème que cela de toute façon sa poitrine était caché bien qu’on puisse voir les nombreux cicatrices qui parsemaient son corps. Fermant doucement les yeux, cette attention lui faisait grandement du bien.
- Ce soin est exquis et les massages sont des plus agréables - Tout est exquis, répondit Gloria. Je comprends que la collecte de données via nos pastilles puissent faire peur mais avouez que c'est pour notre bien. Littéralement. - Je dois avouer que pour le coup c'est parfait... j'aime bien avoir du personnel, le bonheur n'est qu'à portée de main il faut juste le saisir…
Sur ses bonnes paroles un smiley bot arriva pour proposer de quoi se rafraîchir, elle opta pour un cocktail à base de noix de coco comme pour prendre au mot ce qu’elle avait pu dire.. prenant en main son cocktail pour boire à la paille, il ne manquerait plus que le monde à ses pieds et tout pouvait être parfait
Elle ne croise que des visages qu’elle ne connait pas et s’installe dans la navette dans un coin un peu à l’écart. Non pas qu’elle n’aime pas le reste de l’humanité (dans le fond elle a rien contre eux, hein) mais elle préfère les voyages dans le calme. Dans l’idée, elle voulait lire mais elle ne voit pas le trajet s’écouler finalement. On lui sert un cocktail sans prendre la peine de lui demander son âge -ce qu’elle apprécie- et quelques petits trucs à gringotter. Quelques minutes après avoir terminé son verre et avoir pioché dans les délices à manger, elle tombe de sommeil et ne se réveille qu’une fois arrivée « au bon endroit ».
Comme beaucoup dans la busosine, elle s’étire avant de se lever de son siège. Comme toute personne qui se respecte avec une bonne sieste, elle baille et à juste envie de retourner se coucher. Elle est désespérée d’avance à l’idée de devoir aller ramener ses bagages à sa chambre avant de pouvoir entreprendre quoi que ce soit. C’est donc avec une joie non dissimulée qu’elle remarque de petits robots souriants récupérer les valises pour aller les affairer directement -sans doute- à leurs chambres respectives. Avec les autres elle regarda le spot de présentation de l’endroit, tranquillement installée dans un transat si confortable qu’il était difficile de songer à le quitter. Le spot était tout juste comme elle l’aimait : simple, rapide, concis, et avec des loutres en fin de spot. Sérieusement, qui ici n’aime pas les loutres ?
Se redressant tous chacun semble vouloir aller chacun de son côté pour profiter de l’endroit, Eva la première, mais les petits robots souriants c’étaient approchés du groupe avec un petit badge jaune à la main. « N'ayez pas peur, ceci est un acte de bonté. » « Tu m’en diras tant… » Murmure l’étoile alors que le badge est posé sur elle avant de se glisser automatiquement dans son dos -comme pour tout un chacun. Place donc maintenant aux véritablement vacances. Elle se fait guider jusqu’à sa chambre, où ses affaires l’attendent déjà. Elle reste bluffée devant la beauté et le luxe de sa chambre. L’endroit est parfait, et c’est peu dire. Le lit est énorme, la déco est fabuleuse, une peluche griffon a même été délicatement posée sur le lit. « Je vais devoir envoyer une photo de ce truc à Adriel ! » Se dit-elle avant de fouiller dans sa valise. Mais elle ne cherche même pas son téléphone, non, elle a tout le temps du monde pour le faire rager. Elle sort de sa valise son bikini et va dans la salle de bain pour se changer (pas qu’il y ai quelqu’un pour la reluquer au milieu de sa chambre, mais c’est un réflexe, la jugez pas ok ?). L’endroit lui coupe le souffle. La baignoire lui semble trois fois trop grande pour elle et l’endroit est juste parfait -comme tout ce qu’elle croise ici jusque-là. En se changeant, elle tente de voir la pastille qui a glissé dans son dis dans le miroir. Elle n’y voit qu’une pastille de couleur, grimace, puis se dit que finalement elle s’en tape. Elle enfile son bikini Attrape une des serviettes mise à disposition dans la salle de bain, mets des sandales également placée là au cas où, choppe son livre dans sa valise, et direction la piscine !
A elle le calme, les transats et le soleil ! Elle s’installe après avoir mis de la crème solaire sur son corps et se lance dans son livre, sans exclure l’idée d’aller un peu se baigner dans la piscine qui est sans doute la plus grande qu’elle n’ait jamais rencontrée de sa vie. C’est agréable de pouvoir bronzer alors que le temps est si pourri à Storybrooke en ce moment. Elle pourra faire la fière avec son beau teint bronzé quand elle sera rentrée, et ça, ça vaut de l’or. Rentrer quand, d’ailleurs ? Il n’est pas précisé jusque quand ces vacances de rêve sont censées durer et il faudra bien qu’elle retourne en cours à la fin des vacances…Mais ça, c’est un problème qui se présentera lorsqu’il se présentera. « Il est bien ? Le livre, je veux dire. » Evangeline lève la tête de sa lecture et offre un large sourire à la femme devant elle qui vient de lui poser la question. « Plutôt bien quand on aime les romances, oui. Vous voulez lire la quatrième de couverture ? » Elle referme le livre en ayant en tête la page exacte à laquelle elle s’est arrêtée et le tend à la femme qui lui fait face. « Pourquoi pas, j'adore la littérature ! » Elle laisse donc entre ses mains l’exemplaire de son livre Entre chiens et loups. « J’aime l’inversion de la normalité dans ce livre, si ça pouvait permettre à certaines personnes de comprendre qu’une couleur ne peau n’est rien de plus…Qu’une couleur de peau. » Vraiment, elle ne comprendrait jamais les fondements du racisme…un homme est un homme, point final. « A qui le dites-vous ? Vous aimez beaucoup la littérature ? » Evangeline lui adresse un sourire. « Énormément ! Vous voulez profitez un peu du soleil avec moi ? » Elle désigne le transat libre à côté du sien. « Si vous voulez me suivre j'ai une meilleure suggestion qui devrait vous enchanter. » La femme lui tend sa main pour l’aider à se relever du transat et Eva la prend vient volontiers, se redressant à côté d’elle. « Volontiers ! Quelles est cette suggestion ? » « Surprise ! »
Elle suit sa nouvelle rencontre un long moment le long des piscines, sous une brise chaude et agréable, jusqu’à arriver dans un bâtiment un peu plus calme, à l’écart et peu fréquenté. La température dans la pièce est parfaite, un peu plus fraiche qu’au dehors où l’étoile était en train de cuire (bronzage oblige). Flotte dans l’air une odeur mélangeant chocolat chaud et livres neufs. Elles passent une porte et là Eva s’arrête net alors que des étoiles commencent à briller dans le fond de ses yeux. La bibliothèque qui se présente face à elle est juste folle Les étagères en bois massif se suivent sur plusieurs étages et montent jusqu’à une hauteur de plafond incroyable. Les fauteuils, bien loin de ceux de la bibliothèque où elle se rend d’habitude, sont moelleux et confortables…En toute honnêteté, Eva pourrait simplement décider de vivre ici, de ne plus jamais sortir de cette pièce. « Je ne savais pas qu'ils avaient une si belle bibliothèque ! » « Maintenant tu le sais ! C'est la première chose que j'ai repérée sur le plan du ressort. On s'assoit ? » Elle était tellement émerveillée qu’elle n’avait pas pensé à regarder le plan. Quelle idiote ! Elle hoche la tête et s’installe avec cette femme dont elle ne connait toujours pas le nom. « Au fait, je m’appelle Evangeline ! » « Quel charmant prénom ! Ca veut dire "bonne nouvelle en grec". Moi je suis Grace. Ça veut dire... ce que ça veut dire. » Eva rit avec Grace. « C’est un très beau prénom aussi ! »
Le bloc sur le cotée du fauteuil s’ouvre pour offrir à Eva un chocolat chaud tandis qu’il offre un thé à Grace. Ses billent d’autant plus d’admiration alors qu’elle attrape la tasse et la porte à ses lèvres. « Délicieux, n'est-ce pas ? C'est la littérature qui nous a réunis, Graham et moi, mais pas avec des boissons aussi bonnes ! » Délicieux, c’était peu dire ! « On peut vraiment dire que tout est parfait ici…C’est incroyable ! Grahman est votre mari ? » Il lui semblait bien l’avoir vu au milieu d’une famille nombreuse dans la navette pour venir ici. « La littérature est une passion, mais c’est encore mieux avec une bonne boisson ! En fait, tout est toujours beaucoup mieux avec une bonne boisson ! » « C'est bien vrai. Graham et moi nous sommes mariés il y a trois ans. Il n'est pas le père de mes deux filles, Gloria et Kezzia, ni le grand-père de Ryan, le fils de Gloria. Mais ce sont des détails. J'insiste pour qu'ils l'appellent "papa" ou "grand-père". C'est l'homme de ma vie, j'ai simplement mis plus de temps à le trouver que d'autres et eu de merveilleux enfants avec un merveilleux homme. Mon premier mari n'aimait pas la littérature. Il lisait simplement le journal. Ça ne m'a pas empêchée de l'aimer profondément - chacun ses défauts. Mais Graham... C'est littéralement "The Notebook" qui nous a rapprochés. » Eva écoutait attentivement les détails de sa vie mais n’était pas sure pour autant qu’elle arriverait à retenir les noms de tout le monde, ni les liens de qui était le père ou le grand père de qui…Mais elle ferait un effort. « On n'a pas toujours besoin de partager de grande passion pour s'aimer. Je suis contente que vous ayez trouvé l'homme de votre vie, même si c'était plus tard que pour d'autres. L'important est de l'avoir trouvé, non ? » Evangeline avait beau avoir vécu bien plus longtemps que n’importe quel humain sur cette terre, elle n’avait jamais rencontré personne qui pourrait avoir cette importance pour elle. Elle n’était pas sûre de le faire un jour. Mais ce n’était pas grave. Elle se contentait des romans qu’elle pouvait lire. Cela lui suffisait amplement. « Et de l'avoir trouvé à temps ! Je crois que nous nous sommes sauvés tous les deux. Je devrais peut-être en faire un roman, c'est le genre d'histoire qui plairait. » Elle sourit. « N'hésitez pas ! Chaque belle histoire mérite d'être lue, selon moi ! » « Vous voulez l'entendre avant de reprendre votre lecture ? » L’étoile hoche la tête. « Avec plaisir. »
Lorsque le récit commence elle sirote son chocolat chaud, qu’elle laisse finalement sur l’emplacement dédiée à sa boisson à côté de l’accoudoir tant l’histoire que Grace lui raconte la touche. « Avant j'étais infirmière et puis un jour l'heure de la retraite est arrivée. J'ai trouvé qu'elle arrivait un peu tôt et que j'avais encore en moi l'énergie d'aider les autres alors je me suis portée volontaire pour un programme de mon ancien lieu de travail qui s'appelle "Un chapitre à la fois". Ce sont des volontaires qui viennent faire la lecture ou jouer à des jeux de société avec les patients. C'est comme ça que j'ai connu Graham, il y a un 5 ans. A l'époque on le soignait pour un cancer de l'œsophage et comme il n'avait pas de famille, il recevait peu de visites. La plupart du temps le traitement le fatiguait trop pour qu'il lise lui-même alors je suis venue lui faire la lecture tous les jours. D'abord pour une heure, comme on le fait normalement et puis de fil en aiguille, sa personnalité m'a charmée et je restais plus longtemps, tandis que l'état de Graham s'améliorait. Un an plus tard, quand on lui a annoncé sa rémission, il a demandé ma main et l'année suivante nous étions mariés. » Elle se rend compte uniquement à la fin du récit qu’elle a les larmes aux yeux, sincèrement touchée par cette belle histoire. Elle pose sa main sur celle de Grace et lui offre un demi-sourire. « C'est vraiment une très belle histoire. Vous devriez vraiment l'écrire. Et je serais la première à acheter et lire ce livre. » Grace lui sourit. « Je vais vous laisser lire ce que vous lisez pour le moment, j'ai tout le temps d'écrire cette histoire. » Elle hoche la tête, répond à son sourire et se replonge dans son livre. Toutes deux sont ensembles, mais elles lisent en silence, chacune dans leur monde. Cette journée était vraiment parfaite en tout point. En dehors du complexe qui semble être capable de lui offrir tout ce qu’elle aime, elle apprécie également faire des rencontres avec des personnes tel que Grace.
Elle perd le fil du temps et ne sort la tête de son livre que lorsqu’un petit robot entre dans la bibliothèque. « Le spectacle 'Everything is Awesome" aura lieu dans 5 minutes à la piscine principale. » Il repart comme il est venu et, curieuse, Eva a bien envie de regarder ce spectacle, toutes les surprises ont été si bonnes jusque-là après tout ! Elle se redresse et tourne la tête vers Grace. « On y va ? » Elle répond à son sourire mais décline sa proposition. « Vas-y, je le rejoindrai plus tard. J'ai envie de m'allonger un peu au calme. A mon âge, c'est l'heure de la sieste. Si je loupe tout, tu pourras me raconter ! » « D'accord, je te raconterai si ça arrive ! » Et la brune tourne les talons, livre sous le bras, pour se rendre à la piscine principale.
Deborah Gust
« Sarcasm: punching people with words. »
| Avatar : Catherine Tate
- Youhou Deborah, regarde ce que je sais faire !
- C'est bon, je démissionne, j'en ai marre des débiles.
| Conte : Inside Out | Dans le monde des contes, je suis : : Disgust
C'était pas tellement que Graham était collant, juste qu'il avait choisi le transat à côté du mien. Soit. Il n'était pas tellement agaçant, à vrai dire. Un peu trop joyeux pour moi, mais je sais que j'ai un référentiel différent de celui des personnes normales. Si je n'avais pas été moi, ou si j'avais été Joie, j'aurais sans doute admiré sa capacité de s'émerveiller de tout, de tout prendre comme un cadeau. Mais comme j'ai la chance d'être moi, je me disais juste que le mettre en contact avec Amelia Peters et Honey Lemon ne serait sans doute pas une mauvaise idée. Je dois quand même avouer qu'autant de contentement chez une personne a priori humaine, qui n'incarne pas l'émotion qu'on nous vend ici à tour de bras, m'intriguai un peu, c'est pourquoi, pour une fois, je lançai la conversation. A ma façon, certes, mais tout de même : - Alors je sais c'est que c'est un peu le délire le "Everything is Awesome" et blablabla mais je dois dire que chez VOUS le contentement, ça a presque l'air génétique. C'est pas une critique, hein. J'observe, c'est tout. Y a quoi dans votre vie de si génial ? Je veux dire : vous avez déjà fait la moitié du chemin. Comme ce n'était pas MacVieillesse, j'étais restée soft sur la façon d'aborder son demi pied dans la tombe. Graham rit, visiblement pas vexé pour un sou. - Et j'aurais pu m'arrêter avant. Mais la vie et surtout la médecine en ont décidé autrement. Cancer, précisa-t-il, d'un ton assez factuel, comme si le mot ne l'effrayait plus. Et toutes les joyeusetés qui vont avec : la chimio, les rayons, la fatigue… Je suis en rémission depuis quatre ans. Je continue de faire mes tests et ils sont tous négatifs - ce qui est extrêmement positif. Les gens disent souvent qu'on ne vit qu'une fois mais ils ont tort : on vit tous les jours et on ne meurt qu'une fois. J'opinai en sirotant mon mojito à la framboise, méditant ses paroles. Elles m'auraient probablement aidée, il y a quelques années, mais je n'admettrai jamais un truc pareil à haute voix. Et de toute façon, l'heure des confidences venait de prendre fin : apparemment, les smiley-bots avaient préparé une petite animation près de la piscine (dans cinq minutes d'après ce qu'ils avaient dit) et ceux qui s'en étaient éloignés comme la jolie brune qui aimait les livres étaient revenus prendre place, se demandant, un peu comme moi, ce que ces petits bouts de métal nous réservaient. Quant à celle qui avait l'air de détester Erwin, elle était déjà là depuis un moment donc elle n'avait pas eu besoin de revenir. En fait, elle bronzait à quelques transats de Graham et moi. Aussi, je demandais à la cantonade : - A votre avis, c'est quoi le prochain truc "awesome" qui nous attend ? Ce fut notre voisine d'un peu plus loin qui répondit : - Un truc aussi lourd que le spot de présentation je présume... Je hochai la tête, trouvant la supposition pas si mauvaise que ça. Pour la vanne et d'un air narquois, je demandais : - Avec des loutres qui sortent de la piscine en se tenant la main ou pas ? - Il faut croire que, répondit Lena en mimant des guillemets, "tout est possible au bon endroit". C'était sans doute vrai ; je n'avais pas partagé l'information que nous avions apprise en sortant des toilettes et qui, en plus, pour moi, paraissait logique, à savoir que les pastilles à humeur collectaient aussi des données pour nous rendre heureux, mais en partant de là, si une donnée indiquait que le bonheur absolu d'un de nous était qu'une loutre sorte de l'eau en tenant la main d'une autre loutre, déjà, ça serait mignon, même moi je devrais l'admettre, mais en plus les smiley-bots trouveraient le moyen de le faire. Pour en revenant à Lena, elle haussa les épaules et poursuivit : - Si vraiment ça se produit et que des loutres sortent de là, je jure de croire au Père Noël mais Erwin Dorian existe et vu que c’est pas un cadeau... je doute de l’exactitude du bonheur que pourrait nous apporter cette fameuse animation. Enfin je dis ça, je dis rien. Je retins un ricanement. Je le trouvais plutôt intéressant, cet Erwin. Il était un peu comme moi, après tout. Mais j'étais encore plus intéressée par l'animosité partagée entre lui et Lena : ça, ça allait sans aucun doute me procurer une quantité massive de bonheur. - Je pense qu'on va pas tarder à savoir, répondis-je simplement en m'installant confortablement. Des fois je me dis que j'ai raison de m'attendre au pire - même quand tout est awesome car je ne suis pas certaine que les gens et moi ayons la même définition du terme. Je suis awesome, par exemple. Aspirateur Walters pense probablement l'être dans une certaine mesure mais il ne l'est pas. Quant au premier numéro de chant et de danse offert par la compagnie, il dépassait toutes mes espérances. La seule joie que je trouvais positive à tout cela c'était que nous allions tous avoir la chanson dans la tête pendant au moins toute la journée. J'aime bien partager, surtout quand ce sont les choses agaçantes de ce genre. Une fois leur prestation terminée, les smiley-bots nous gratifièrent d'une révérence un peu… robotique (logique) et laissèrent place à... - Sans. Déconner. Une licorne. Robotique, si j'en crois mon excellente vision. Elle va faire quoi celle-là ? des claquettes ? Ce moment particulier était en train de me rappeler ma cohabitation avec Joie, ce moment où trop de joie d'un coup vous donne des envies de meurtre. Je choisis cependant de rester zen, partant du principe que cet endroit ne pouvait que m'apporter du divertissement et que n'étant pas encore officiellement ouvert, il était en phase de rodage. Ensuite la licorne robotique se mità chanter à quel point elle n'était pas méchante (ndlr : quand vous écoutez la chanson écoutez la en faisant abstraction des commentaires parlés car ça vient d'un film et je n'ai pas de version du morceau sans les commentaires - mais ça peut inspirer vos perso). Venant d'une licorne, c'était assez cohérent. C'aurait été un centaure ou un griffon, je me serais méfiée. Maintenant, s'il faut juger la chanson, elle n'avait clairement pas été écrite par Elton John, mais ça s'écoutait plutôt bien. C'était entrainant. Certaines personnes dansaient. Graham avait l'air heureux même si je ne voyais pas trace de sa femme à l'horizon. Il y avait bien le reste de la famille, content d'être là, appréciant sans doute plus que moi le spectacle. Deux chansons, pourtant, c'est court comme spectacle mais suffisant. Apercevant un smiley-bot, je lui souris et assurai (faussement, mais c'était un robot, il doit pas comprendre le sarcasme et se focaliser seulement sur le sourire) : - Y a pas à dire, avec tout ça, on va être heureux au moins pour les cent prochaines années. Ses yeux se changèrent en smileys étoiles et il répliqua : - Au Bon Endroit nous voulons que le bonheur soit éternel et au vu de votre espérance de vie, notre mission est réussie. Qu'est-ce que j'avais dit. Aucune notion du sarcasme. J'allais me remettre à mes vacances (sans musique si ce n'est celle de ma propre voix) quand dans le haut-parleur on annonça pour ceux qui le désiraient une excursion paradisiaque, ce qui intrigua fortement Graham, son beau-fils et le petit fils. Puis le premier du lot réalisa quelque chose : - Au fait, où est Grace ? Peut-être que ça l'intéresserait. Ce fut Miss Bikibook (contraction de bikini et book, pour ceux qui ont vraiment aucun neurone à connecter) qui lui répondit : - On vient juste de se quitter à la bibliothèque, elle est partie se reposer un peu au calme. Graham opina, visiblement rassurée. Elle n'aurait sans doute pas envie d'aller en balade mais, comme il le déclara, ils n'avaient pas besoin de tout faire toujours ensemble et décida de suivre l'excursion avec les deux autres hommes de la famille. Celle qui physiquement avait l'air d'être l'ainée des filles de Grace (et s'appelait Gloria) prit alors la parole : - Je vais rester, des fois que maman ait besoin de quelque chose et s'inquiète. Je lui dirai où vous êtes, assura-t-elle comme ces femmes très organisées qui aiment prendre les choses en main. - Je reste aussi, y a un cours de Zumba dans une demi-heure, répondit l'autre femme de la famille avant d'embrasser son compagnon. - Et bien écoutez, faites votre vie, moi je compte faire la mienne, conclus-je en m'éloignant de la famille. Le groupe de VIPs partit en excursion peu après cet échange dans lequel je m'étais retrouvée un peu par hasard.
Erwin Dorian
« If the crown should fit, then how can I refuse? »
| Avatar : Rufus Sewell
- Pour ma victoire? C'est adorable, trésor... Même si en toute modestie, je dois admettre, qu'au-delà de cela, je suis un prestigieux modèle pour mes concitoyens"
(Alexis pense-t-elle qu'il est parti trop loin? Sûrement! On approuve)
| Conte : Coeur de Princesse/Le Prince et le Pauvre | Dans le monde des contes, je suis : : Preminger
Après le mirifique couronnement que l’on lui avait réservé, Erwin avait encore l’impression de flotter sur des nuages composés de son orgueil personnel. Il avait du passer un temps indéterminé à s’observer dans le grand miroir qui composait sa chambre, souriant à son reflet, adoptant toutes les poses possibles qui confirmaient toutes ce qu’il avait toujours pensé. Il était né pour porter la Couronne. Il avait été tiré de sa rêverie narcissique par l’émetteur qui diffusait à perdre haleine la promesse du spectacle de la compagnie. A vrai dire, il avait eu envie de décliner l’invitation, le spectacle de son reflet était une bien plus plaisante initiative… Mais étant donné qu’on avait pris la peine de le traiter à la déférence que méritait son rang, il prendrait la peine de se joindre à ses simulacres de bals. Il délaissa néanmoins avec peine sa couronne, non sans l’avoir enfermée à double tour dans le coffre de sa suite. Il aurait été bien déplorable que par excès de jalousie on tente de la lui substituer, les pauvres étaient si hargneux. Il enfila, sur son maillot de bain, un costume élégant, d’un violet pastel, qui rappelait la couleur lilas qu’affectionnait tant son épouse, une chemise blanche qu’il n’orna pas d’une cravate et arrangea les boucles de ses cheveux savamment. Non s’en s’être aspergé d’une dose de parfum supplémentaire et avoir admiré la trace pailletée qu’avait laissé sur sa peau satinée l’eau du spa, il avait quitté sa suite pour rejoindre le bord de la piscine. Deborah s’y était visiblement déjà installée, à proximité de Lena qui visiblement avait décidé de faire le deuil de sa blancheur de peau cadavérique. Pitoyable. Il aurait pu se repaître de sa décrépitude, tel un vautour de sa proie, mais… Non. Inutile de se hâter à la confrontation. Rien ne pressait, encore. A la place, il préféra le transat situé de l’autre côté de Deborah, et s’y prélassa à envie, sans se soucier outre mesure de la proximité de personnes indésirables. Il ôta même l’étrange pastille qu’on lui avait imposé dans son dos, notant que sa couleur avait changée. Loin de l’agressif jaune du début, elle avait adopté le violet vif, sa couleur favorite. Il s’en étonnait encore lorsqu’elle glissa le long de son doigt pour venir se replacer dans son dos. Au moins, pouvait-il l’enlever à tout moment. Étrangement, ça le rassurait. Il sirotait un excellent champagne lorsque le complexe lança ses festivités. Le spectacle « Everything is awesome » aurait pu donner des frissons à un réfractaire à la « Joie ». Néanmoins, et même dans ses plus mauvais jours, Erwin n’était pas un homme froid. Avoir vécu dans le monde de la courtisanerie avait eu tendance à développer chez lui des excès d’extravagance. Il détestait la médiocrité et le minimalisme et voyait les choses en grand lorsqu’il pensait aux festivités. Cependant, il ne savait où figer sa pensée devant l’éclatante cérémonie qui leur avait été réservée. Effectivement, elle ne manquait guère d’originalité… Mais il ne pouvait manquer de pouffer moqueusement à la vue de la licorne mécanique et de son numéro musical… En quoi, une licorne devait-elle se justifier de ne pas être mauvaise, après tout ? Le spectacle terminé et la musique encore rythmant ses oreilles, il tourna vers sa voisine, un sourire charmant :
- « La démesure associée à du guimauve à quelque chose de passablement écœurant...mais fascinant tout de même dans l’idée »
S’il se contentait d’admirer les moyens, il en avait eu pour son argent… (qu’il n’avait pas dépensé). S’il jugeait le fond… C’était d’une médiocrité affligeante. Aussi sirupeux que cette Lena.
- La licorne, c'était peut-être un peu trop, oui, confirma Deborah.
Visiblement sa voisine avait décidé que sa séance de bronzage touchait à sa fin et passa sur ses paroles, par dessus son maillot, une robe d'été jusque là soigneusement pliée. Les deux femmes avec lesquelles elle venait d’échanger s’éloignaient également. Erwin n’avait prêté une oreille moyennement attentive à leurs projets, mais les suivit du regard, machinalement, l’oeil attiré par l’immense paréo orange que l’un déploya devant lui, pour bientôt le nouer à sa taille. En voilà une qui ne craignait pas d’être comparée à une citrouille… Et sa sœur à un épouvantail avec cet horrible chapeau de paille démodé… Le regard narquois, il les observa se séparer après une discussion au détour d’un chemin, l’un empruntant la droite et l’autre la direction opposée.
- On dirait que tous les non Storybrookiens se sont cassés. Pas que ça m'ennuie. En fait je me dis qu'il est peut-être temps d'explorer un peu cet endroit, genre expédition de groupe ? On dirait que le resort est à nous en plus.
- Pourquoi pas ! L’occasion idéale de vérifier si le Bon Endroit mérite son nom et ses éloges
Et il semblait subitement que le complexe ne prêtait plus attention à eux… Comme si l’appel au voyage paradisiaque avait suffit à clôturer les attentes. Il termina son verre et emboîta le pas à Debbie en tête de promenade, s’en prêter attention particulière aux autres voyageurs. Lena suivait, et il se doutait que ça l’enragerait de marcher dans ses pas, ce qui suffisait à l’amuser mesquinement. Bientôt, les paysages défilèrent sous ses yeux, le complexe était visiblement très grand. Plus grand qu’il ne l’aurait imaginé… Et visiblement parfaitement adapté à toutes les envies possibles, au point où cela frisait l’indécence. Devant les yeux s’étalait de toute sa hauteur une grande roue rouge permettant sûrement aux voyageurs de pouvoir admirer tout le complexe… Diverses pancartes ajoutaient différentes destinations possibles, toutes différentes et adaptées à différentes clientèles. Le pannonceau « bowling » rejoignait la direction d’un laser game, plus loin on préconisait une thalasso et un sentier arboré desservait un cours de tennis.
- Ouais, le bowling, la grande roue, le court de tennis, j'dis pas, je trouve ça cool : mais y a aucun de vous qui a remarqué ce qu'il y avait à remarquer ? Finit par objecter à voix haute sa rousse compagne de route.
La jeune femme qu’il avait bousculé la veille, avait visiblement entendu leur discussion et déclara :
- Oui... Il n'y a pas de château ... Et le tapis rouge ?" Elle se mis à sourire puis ajouta ..."que tout ce qu'il y a c'est exactement ce que la pastille à collecter ?"
Erwin lui retourna un sourire amusé, visiblement il n’était pas le seul en ses lieux à savoir ce qu’était le vrai luxe :
- Le château est un manque déplorable, effectivement…
Retournant son regard vers Deborah, il haussa les épaules avec dédain :
- Plus sérieusement, Il y a beaucoup de choses curieuses à noter... Entre le fait de trouver ici exactement ce que chacun aime alors que nous ne sommes issus que d'un tirage au sort et de n'être entourés que de robots...Sans compter que personnellement, je n'ai pas vu la localisation de l’endroit où nous nous trouvons…
Comme pris d’une idée, il sortit son téléphone de sa poche. Ce dernier affichait plusieurs messages en absence, notamment quelques sms de son épouse. Le premier en date avant une foule d’interrogations inquiètes et inutiles, était l’envoi du photographie la montrant tout sourire avec Honey Lemon, vêtues de peignoirs blancs, des serviette de douche enroulée autour de leurs cheveux respectifs.
« Je suis bien arrivé, je constate que tu t’amuses bien » tapa-t-il avec hâte. Le message s’envoya et pianotant sur son téléphone, il obtint l’information qu’il souhaitait…
- Il semblerait concernant le dernier point, que nous soyons en Floride, par d’ailleurs, énonça-t-il avant de ranger son téléphone.
Tandis qu’il pivotait vers le petit groupe, sa vision s’arrêta soudainement vers un visage auquel il n’avait pas prêté une attention spécifique auparavant… Roux, basané, un sourire éternellement goguenard sur les lèvres. C’était lui, il n’y avait aucun doute.. Qui tenait la main de cette jeune femme toute de rouge vêtue qu’il avait bousculée. Lui qu’il avait rencontré quelques mois plutôt à Halloween. Il crispa sa main autour de son téléphone. Se força à le lâcher.. Là n’était pas encore le bon endroit les vieilles querelles mais tout venait à point à qui sait attendre. Il se détourna fièrement de l’individu, se replaçant dans la discussion.
- J'avoue j'aurais pas dit non au château, commentait Deborah indifférente à la stupeur qui avait saisit son interlocuteur, Gloria m'a dit que les pastilles collectaient des données pour nous faire plaisir donc pour moi ce point est clos. On a ce qu'on demande... dans la mesure du raisonnable, sinon Leonardo DiCaprio serait déjà en train de vouloir m'épouser. Mais vous passez presque à côté du point. Les robots, oui. Ca demande quand même du monde - humain ou robotique - d'entretenir tout ça alors pourquoi il n'y a littéralement que nous ?
Erwin ricana spontanément à la mention de l’acteur… Léonardo DiCaprio? Cet acteur au visage de poupon bouffi? Cela lui rappelait un autre moment et une autre situation..et l’occasion était trop belle pour la rater :
- Il faut simplement en déduire que Léonardo DiCaprio n'est pas suffisamment awesome pour être ici, énonça-t-il diaboliquement de sa voix la plus haute, tout en replaçant soigneusement une mèche de ses cheveux avec arrogance, « Même s’il y a eu des erreurs de casting… » compléta-t-il également mentalement. Au moins deux...
Cela ne suffisait pas à lui faire perdre de vue l’essentiel : en effet, il n’avait pas croisé un seul smiley-bot depuis leur départ de la piscine centrale. Cela lui manquait presque l’empressement qu’avaient ces petites babioles à tenter de le satisfaire. On s’y faisait si vite… Il n’appréciait pas les robots, mais il ne refusait jamais un cadeau. Comment refuser ?
- Cependant, Curieux en effet.... Pour ainsi dire, on pourrait presque croire l'endroit désaffecté...
Deborah, comme la femme de goût qu’elle était avait sourit à sa plaisanterie. Innocente.
- Ca m'étonnerait. Le truc qui est bien avec les machines c'est que ça travaille h24 sept jours sur sept et qu'on a même pas besoin de les payer. Pour que le séjour soit aussi awesome je m'attendrais à ce qu'il y en ait à chaque coin de... awesomeness. Non ?
Erwin tourna la tête, au coin du sentier. Effectivement, il s’était tellement habitué à leur présence qu’à présent, il semblait prêt à les voir surgir de n’importe où. Sans succès néanmoins. Il tâcha de se remémorer le dernier endroit et le dernier moment où il en avait aperçu un.
- Je vous rejoins sur ce point... A croire qu'elles ont été rappelées vers un point de ravitaillement... Sauf erreur de ma part, la dernière fois que j'en ai aperçu une...c'était au moment de la publicité pour cette fameuse excursion...ce voyage "paradisiaque"... En avez-vous une, depuis?
Deborah esquissa un geste d’ignorance. Peut-être n’avait-elle pas fait attention ? Il la soupçonnait d’être, comme lui, suffisamment préoccupée avec elle-même pour avoir le temps de se préoccuper d’autrui.
- Peut-être qu'ils ne viennent que quand il y en a un besoin ? Quelqu'un a besoin de quelque chose ? Une glace ? Un brownie ? Des brocolis ?
Se préparant à objecter qu'il aurait été des plus curieux de solliciter des brocolis, qui plus est à 11h00 du matin, il en fut empêché par l'intervention d'une voix féminine.
- Une tarte aux citrons meringués, répliqua la jeune femme toute de rouge vêtue attirant une nouvelle fois l'attention du notaire sur sa personne.
Il tourna vers la jeune femme, un regard intéressé. Visiblement, et en deux petites minutes, elle avait démontré être une femme de goût. Ils partageaient au moins deux points communs dans leur amour pour cette pâtisserie et les châteaux, ce qui étaient deux points communs que cette imbécile heureuse de Lena ne comprendrait jamais. Elle s’entêtait dans son silence ridicule et son regard assassin, quoique peut-être fallait-il savourer ce silence.. C’était toujours ça de gagner contre sa bêtise. Plus encore, l’inconnue bénéficiait d’un avantage complémentaire, elle semblait être la dernière sur le tableau de chasse de ce gigolo de bas étage… Voilà qui était amusant. Dissimulant un sourire sarcastique, il tourna un visage cordial vers son interlocutrice :
- Vous avez visiblement de la distinction, ma chère. Pourquoi pas un diamant? répondra Erwin, lls se gaussent bien de nous satisfaire après tout..
- Bien évidemment, mais je vous en remercie de le constater. Un diamant... Quelle brillante idée, un de plus à ma collection.."
- Il est fort utile d’être éveillé à ses propres qualités, effectivement. Tant que l’on ne s’aveugle pas de ce que l’on ne possède pas, pouffa-t-il. Enchanté en tout cas...
Tout le monde ici ne le comprenait pas. Mais saurait parfaitement se reconnaître. Pour sa part, il possédait suffisamment de diamants pour qu’il n’ait nul besoin d’en faire l’acquisition d’un nouvel, mais il ne demandait jamais par besoin quelque chose, quel intérêt ? Juste par simple désir. Son esprit avait toujours fonctionné ainsi, il voguait de désirs en désirs, qu’il obtenait un jour d’une façon ou d’une autre, avec une échéance plus ou moins lointaine. Tout sauf le trône. Il chassa cette idée.
-De même, nous n'avons pas été réellement présenter, je suis Dewenty Maanteekor et vous êtes ?
Son nom sonnait quelque peu oriental. Perse même ce qui semblait correspondre avec les traits de sa physionomie. Il ne l’avait jamais rencontrée à Storybrooke.
- Maître Erwin Dorian. C'est un plaisir de faire votre connaissance, très chère... Votre prénom est peu usité, d'ailleurs… Il souriait excessivement, surjouant un peu la joie, tout amusé que d'autres n'en perdraient pas une miette.
-Maître ? Vous êtes avocat, notaire ? mon prénom... effectivement c'est une touche exotique d'origine indienne.
- Dans ce monde, je suis effectivement notaire... commenta-t-il du ton qui laissait sous-entendre qu’il était bien plus avant, Je me disais bien au regard des sonorités… je misais sur du perse, pour être tout à fait franc
-Je vois interessant... Je vous rassure vous n'etes pas tout à fait loin.. je suis une créature Perse
Une « Créature » ? Il allait l’interroger à ce sujet, lorsqu’un tapotement frôla le dos de la jeune femme. Lorsqu’elle se retourna, un smiley-bot la dévisageait, une tarte au citron meringuée tendue dans ses petites mains mécaniques. Le temps avait néanmoins été long...nota Erwin songeusement, au moins deux bonnes minutes… Le même smiley s’avança vers lui, ouvrant sa main pour lui donner… un diamant en toc… Mais d’allure très réaliste. Le notaire le fixa avec saisissement. Que fallait-il en penser ? Il cligna des yeux d’un air interdit. Le pensait-on suffisamment stupide pour ne pas reconnaître un vrai diamant ? Ou...
- Oh, je plaçais tant d'espoirs en vous.. commenta-t-il d’une voix chantante, Je suppose que je n'en n'ai que faire à présent... Cela dit, ça peut toujours servir
Il répugnait à ce que l’objet soit offert à quelqu’un d’autre. Comment refuser n’est-ce pas ? Peut-être que Georgia y croirait ? S’il parvenait à lui offrir pour la Saint Valentin, il économiserait un cadeau et pourrait au moins s’offrir un vrai diamant supplémentaire. Le Smiey-bot l’observait d’un air perplexe :
- Vous êtes heureux ? Nous venons d'intégrer à la base de données le besoin de pouvoir fournir de véritables pierres précieuses lors de votre prochain séjour. Cela vous convient-il ?
- « Merveilleuse initiative ! Plaisante! » S’extasia Erwin en frappant dans ses mains d’un air enthousiaste.
Incroyable après tout… S’il parvenait à configurer tous ces robots pour qu’ils répondent à l’ensemble de ses désirs, il deviendrait facilement l’homme le plus riche de la Terre sans le moindre effort qui plus est… Cela dit, l’enthousiasme n’altérait pas son sens des réalités… Il doutait que le codage des robots puisse rendre cela réaliste :
- Cela signifie un coût non négligeable pour votre propriétaire
A cela aussi, le robot avait la réponse parfaite pour un Roi :
- Le bonheur n'a pas de prix.
Et sur ces belles paroles, remplie de sagesses, le robot repartit… Preminger eut néanmoins tout le loisir de noter cependant sa démarche, anormalement très lente.
Loke Lionstar
« Tous les hommes sont des imbéciles »
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| Conte : Manga Fairy Tail | Dans le monde des contes, je suis : : Loki ★ (Leo du Lion , L esprit céleste )
« Ne mettez jamais la clé de votre bonheur dans la poche du temps , ni dans la poche de ses ex . »
Episode précédent : Discothèque
Toujours dans le même état que je vous ai laissé. Toujours a l'intérieur de la discothèque, sans musique. Ce robot interrompu ce moment ou je tentais de m'eclipser loin de la réalité , a travers la musique. Mais celui-ci , me ramenait les pieds sur terre. Debout avec un paquet cadeau offert par le robot que je surnommerais Zosma , encore le prénom d'une étoile de la constellation du lion , au moment du remerciement. Physiquement, le présent était de forme rectangulaire, moyennement lourd , et emballé dans un papier sourire de couleur rose. Contrairement a l'épisode de l'invitation , je ne paniquais pas et je me faisais pas de scénario d'amour , car je commencais a capter le concept de ces vacances au bon endroit. Le but était de me procurer du bonheur, en me faisant plaisir avec des attentions particulières pour me rendre heureux. Defi haut niveau, car mon bonheur ne dépendait pas seulement de moi ,mais de quelques personnes qui partagent ma vie d'ou le pourquoi mes émotions se comparaissaient a des montagnes russes. Et pour être franc avec moi-même, aussi avec vous certains événements du passé me bloque vers le chemin de s'épanouissement. Mais on ne va pas entrer dans les détails, car il faut aller a l'essentiel qui était ce paquet qui renfermait un cadeau. Vu le poids de la boite , je m'installais sur le plancher de la piste danse pour déchiqueter l'emballage, dévoilant l'un mes bonheurs que je chérissais : Le fruit de mon union avec Bébé Monstre. Dans la boite, il avait un bebe..
Un faux. Mais tellement réaliste. (Pour plus de détails vous pouvez faire une recherche sur les : reborn baby ) Ce bébé dont Dewenty n'avait pas porter durant sa gestation, et qu'elle n avait pas enfantée ..ni meme pondue..car les manticores étaient connus pour pondre un oeuf mais vu qu'elle était une hybride , le bébé allait sortir sous quelle forme ? J en avais aucune idée pour le moment. C était pour cela que découvrir cette poupée était un demi bonheur, car je n'avais pas vecu ce qu'un créateur doit vivre .. La conception de son oeuvre , le processus de fabrication et la naissance de celle-ci. Mais ce présent me consolait un peu.. Surtout qu'il était a notre image.. A l'image de notre futur...Un futur que je devais présenter a Dewenty.
Episode précédent : La Piscine , duo avec Dewenty sur le cadeau
Quittant la discothèque et Kezzia . Bebe dans les bras, je partais a la quête de Bébé Monstre. Que je trouvais a la piscine.. A mon arrivée, j'étais témoin d'un spectacle robotique. Je n'étais pas plus excité que cela, j'avais eu ma dose de musiques et de danse. Je voulais que retrouver ma copine pour qu on aille dans notre chambre, profiter de la couette devant la television et que je lui montre a quoi ressemblerait notre fils... Oui la poupée c'était un petit garcon. Et avec un peu de chance cette poupée pourrait devenir une réalité dans cette chambre. C'est beau rêver Leo !
Un instant plus tard , Dewenty et moi on était de nouveau réunis pour le meilleur et le pire. Parce que j'avais quelques ressentis silencieux a son égard. Comme celui de l'abandon. Portant plus d'attention au bébé qu'au spectacle . Cela interpellait Bébé Monstre : Cette chose étrange on l'a ramène pas à la maison.. Cette remarque fissurait mon coeur. Parce que cette chose était notre bonheur. Vexé. ''Comment ca on ne le ramene pas a la maison ? Moi je veux le garder ! Il m'apporte du bonheur, et regarde le , il nous ressemble. Il semble si reel. J'étais fasciné par cette poupée mais cet instant plus tard , L' instinct de ma manticore faisait surface.. Elle reniflait le bébé et elle grognait. Rituel de lions. Moi je n'avais pas ce instinct parce que je n'étais pas un lion. Juste une représentation étoilé. Non.. je n'ai pas donner naissance à ça.. il n'est pas vi..vant. Prenant légérement mes distances d'elle vu son comportement. C'est vrai , tu n as pas donnée naissance a ce petit etre. C'est ce qui est triste dans cette histoire, parce que je voudrais vivre ce moment avec toi, mais je crois que les robots ont compris et cerner mon besoin que j'ai besoin de t offrir un petit pour etre heureux. Lui donner un enfant était mon devoir, et je prenais mes devoirs a coeur. Au sérieux..
Et boom querelle amoureuse. Elle serrait le poing et me regardait assez froidement "Toi tu veux cet etre j'en ai conscience mais tu crois que moi j'en pense quoi ? ceci est un robot.. pas un être vivant.. tu crois que c'est facile pour moi ? tu pense ce que je peux ressentir ? Paroles violentes , percutantes. Elle avait le don de me faire sentir mal dans ma peau. De me donner envie de sangloter. Mais je refoulais ma peine ,et la plupart de mes sentiments pour garder tout en dedans, surtout en public. Mais mon mal paraissait physiquement, une envie de vomir , un mal de ventre et des crampes dans la poitrine se faisait ressentir dans mon etre . Bebe d'un bras. Main sur mon coeur de l'autre, sentant des palpitations rapides (tous ses symptomes sont dut a sa ''maladie'' ) Cette volonté de creer , était un stress nuisible, meme poison , dégradant mon état de santé. Une santé deja fragile a l heure actuelle... Mais je ne voulais pas l'inquiéter. Donc prenant mes dernières forces pour pouvoir la confronter, etre a l'écoute de ses besoins. Mais surtout rester debout . Je voudrais bien le savoir ce que tu penses et ce que tu ressens, mais je crois que ce n'est pas le bon moment, ni le bon endroit. pour en parler.
Dewenty serrait des dents sans doute pour se retenir de me sauter dessus, prenant sur elle. Mon dieu qu'elle était agressive ! Encore une fois son attitude me faisait penser a Karen. "Crois moi... on va en parler et a mon avis... ça va pas te plaire mais... il est hors de question que ce robot met un pied dans ma maison...Au mot maison, je m'écrasais sur le transat derrière moi. M'assoyait pour essayer de passer le malaise que j'étais en train de vivre. Et la petite crise de Dewenty faisait que rajouter une couche .. Ne m'aidait pas.
Je n'ai pas envie de me disputer avec toi , bébé monstre. Surtout maintenant. Je ne crois pas qu'on va pas en parler ! Ne t'inquiete pas il n aura aucune trace de ce bebe CHEZ toi. Si tu ne veux pas de ce petit être. De ce futur avec moi. débarrasse toi en.. '' A contre coeur je lui tendais la poupée , mais c'était pour lui faire réaliser qu' une fois que j'ai décidé quelque chose, il était simplement impossible de me convaincre de changer d’avis. Extrêmement entêté pouvant me mettre en colère seulement parce que les choses n'allaient pas dans mon sens que je souhaitais. Je pouvais filer melodrame. '' Maintenant tu as mon bonheur entre tes mains, trouve le moyen de me rendre heureux, parce que sans lui , seule toi le peut.. Ce bébé je le voulais ! Vous trouvez que c'est de l'imposage ? L'homme lion est comme ça .. Vous ne pourrez pas me changer.
Dewenty ne considérait pas la poupée comme son bébé , a cause ce rituel bestial. Elle s'en fichait completement , elle le posait meme plus loin. Cruauté fatale ! Je devais faire mon deuil. Ensuite elle s'avancait vers moi prenant ma main moite "c'est pas un robot qui fera ton bonheur...Leo..." Puis elle se rapprochait encore plus pour me murmurer "on l'aura un jour ce véritable petit être... Il faut juste être patient...
Mettant ma tete contre son epaule. Continuant la discussion : -Alors tu ne me dis pas non pour en avoir un ? La patience est mon ennemie, parce que demain..dans trois mois peut-etre qu'il sera trop tard pour faire des projets d'avenir. Parce que tu disparaîtras peut-etre comme elle.. Et je n'aurais pu la chance de te dire je t aime..ni d avoir d avenir avec toi
Pourquoi je pensais a Karen ? Parce que ce qui bloquait mon bonheur était le temps. Et dans ce monde..comme dans l'autre. Karen était disparue, sans que je puisse lui diire que je l'aimais toujours . Le temps était venue la chercher. Et le temps m'avait dérobé un être précieux a mon coeur. Donc quand Dewenty me parlait de temps. Je n avais pas confiance en le temps.. Le temps dérobe le bonheur. Le temps tue l'avenir.. Le temps t'enleve ce que tu possèdes de plus précieux, l'amour. Je voulais que ce bébé devienne un projet concret , car demain on pouvait tout perdre . Je n'ai pas dis non pour en avoir un... C'est tout ce que je peux te dire.. la patience... Tu n'auras pas bien le choix avec moi... Et je ne compte pas mourir... Ni disparaître..disait Dewenty. Rassuré ? Pas du tout. Mon bonheur lui ? Ce n'est pas au bon endroit que j'allais le trouver car je devais etre parjure a mon bonheur, par la faute du temps.
Quelques instants plus tard , main dans la main avec bébé monstre. On prenait une marche, qui me tentait pas du tout. Mais pensant que ca pourrait me changer les idées. Mais aussi me faire du bien. Non. Epuisé Je rêvais du moment, ou je pourrais enfin voir ma chambre , relaxer et dormir pour que le temps passe plus vite. Mais Dewenty avait décidé de suivre nos compagnons de la navette. Enfin pas tous ! Ceux qui venaient de Storybrooke
Moment présent : La Ballade . échange de Dewenty avec Erwin
Au début de la ballade , tout se passait pour le mieux, jusqu'à ce que cet insupportable personnage ouvre la bouche . Je pouvais supporter et presque ignorer sa discussion avec l'ainée du groupe. Jusqu'à ce qu'il partage des passions matérialistes qui apportaient le bonheur avec ma petite copine. Là il aurait mérité que je donne une claque sur l'assiette du dessert de ma manticore, pour qu' il recoit la part de gateau derrière la tête" Pourquoi ? Par jalousie , mais aussi parce qu'il n'avait pas apporter sa femme Georgia . Le bonheur se conçoit, se partage avec l'être aimé.
Lui qui reflete l' homme de pouvoir, qui possède une parole manipulatrice, il pourrait pu se négocier un billet pour sa femme. Mais non ! Mais il avait de la chance , parce que j'allais me retenir de déclencher une bagarre pour un partage de passions et pour une notion du bonheur qui ne comprenait pas. Parce qu'il avait pire comme drame ! Et j'étais fatigué ..De toute manière, je ne voulais pas me faire gronder par Dewenty, pour l'avoir privé de son dessert favoris. Parce que me disputer avec elle, me tordait le coeur a chaque fois. Et je craignais toujours de faire un malaise vu ma condition maladive , car le savez vous le coeur est le point le plus sensible de l'horoscope du lion ?
Pendant que Mister Dorian avait les yeux pétillants de bonheur en regardant son diamant. Que l'ainé du groupe continuait a faire sa Sherlock holmes en inspectant l'endroit. Que les deux autres demoiselles continuaient de marcher.. Moi j'étais resté piégé sur la notion du bonheur, a cause d'Erwin et Dewenty.
Moi le bonheur ce n'était pas des petits plaisirs superficiels comme une tarte a leur saveur commune préférée, un bon livre , une scéance de sport, un spectacle musical ou meme des loutres . Moi, je voulais le vrai bonheur , celui de l' homme qui avait montrer des photos de familles dans la navette, car le bonheur pour moi est spirituel. Mon bonheur devait être comblé par l'amour d'autrui. Pour moi, vous l'avez compris mon bonheur était entre les mains de Bébé Monstre .. Mais va-telle réussir sa mission que même un robot programmé pour ce devoir , est incapable d'accomplir ? Sans doute pas j'étais un cas désespéré.
Oui danser était amusant.Mais je n' avais pas fait cette activité avec ma petite copine ,mais avec une autre. Oui boire des petits cocktails c'étaient plaisant. Mais rien d'exceptionnel, parce que l'alcool de tout genre, faisait partie de ma vie au quotidien étant barmaid dans mon cabaret. Faire des activités comme un bowling, la grande roue . C'était un bonheur d'amoureux , d'amitié pas de couple. Même être en présence de belles demoiselles, comme la jolie brune (evangeline) ne suffisait plus a mon bonheur. Dans le jeu de la vie j'avais franchi un autre niveau , car ambitieux je voulais le top du top en bonheur.. Dans les contes de fées.. et non dans les mangas on surnomme ce bonheur : Fin heureuse. Mais je commençais a grave déprimer...
L'enquete de Debbie continue...
Reportant mon attention sur le groupe, car il était difficile de se préoccupper sur les autres. Surtout que j'étais une personne très centrée sur mon évolution donc sur mon bonheur. (ce n'est pas moi qui l'est décidé , ca fait parti de son caractère horoscopique) L'ainée continuait a nous faire part de ses observations : Pour le moment on est pas nombreux mais comme je ne vois pas non plus de staff humain je pense qu'il faut une armée de robot pour faire tourner tout le complexe, non ? Essayant de me changer les idées .. car la situation avec Dewenty était compliquée. Ca affectait mon moral et mon humeur . Mon bonheur ruinait mes vacances . Mes faiblesses caractérielles m'envahissaient.. Je me mêlais donc a la discussion : Je le pense aussi .
La dame enchaînait son questionnement : Je me demande combien de gens cet endroit peut contenir. Des gens humains, je veux dire. Quelqu'un a lu une info là-dessus quelque part ? Une idée ? J'aime bien savoir si les gens avec qui je voyage ont un cerveau et l"'utilisent ou s'ils font semblant d'en avoir un. On est jamais sûr tant qu'on est pas dedans pour vérifier
Elle avait des bonnes questions. Mais cette enquête était t-elle nécessaire ? On était là pour le bonheur .. Moi j'étais là pour le trouver, car heureux , je n'étais pas. Et n'avait pas envie que ca se sache, car j'avais honte d etre si faible. Alors pourquoi se questionner , creuser ou même s'inquiéter pour des conneries . Mais aider , être un soutien pour mon entourage , était mon rôle. Le rôle que je prenais toujours dans un groupe, surtout quand ce groupe était composé en majorité de femmes. C'était plus difficile de faire preuve de leadership, quand tu es un homme ! Même si je n'appréciais guère son commentaire sur le cerveau. Je trouvais cette remarque déplacée. Même insultante ! Je lui proposais des idées, elle avait qu'a choisir , mais en réalité je n'avais pas envie de passer mes premières vacances de couple sur la récolte de données. On peut toujours aller voir a l'accueil pour demander de rencontrer le responsable haut placé pour en savoir plus sur l'endroit . Sinon trouvons un intercom, pour faire un gros rassemblement quelque part pour réunir tous les humains. Soupirant.
Ouais on pourrait mais déjà t'as vu un accueil ? Parce que moi pas. T'as vu un humain qui n'est pas un vacancier ? Parce que pas moi. Moi ce que je veux ce sont vos avis. Si quelqu'un est capable d'en avoir un... Un avis j'étais capable d'en avoir un mais peut-etre pas sur ce sujet car je trouvais inutile de faire des statistiques . Mon opinion sur le sujet c'était que meme si on était dans un endroit comme la matrix . Je n avais pas envie de le savoir, car je n'ai toujours rien compris a ce film. La complexité était une faiblesse . Est-ce qu'on peut revenir a un sujet tout simple comme l'amour , meme si ce n etait pas si simple . Vous avez raison c est etrange Toujours donner raison aux femmes, de cette manière, vous garder la situation simple. Vous etes très observatrice, mais est-ce que c'est si important que ca ? Mais vu que c est un peu désert , il n'a pas d accueil selon vos observations , de bureau avec un gros point interrogation , Cet endroit ou tu peux faire connaissance a une guide touristique ou t'informer avec des feuillets informatifs . Vous suggérer quoi ? Qu on questionne un robot ? Surtout que selon les observations de madame il a que des vacanciers et des robots..
Non, on s'en fout qu'il y ait pas d'humains, je l'ai dit avant : les robots c'est plus pratique et ça coute moins cher. Et si on leur parle je parie qu'on aura juste un laius sur pourquoi le bonheur c'est awesome et perso, j'ai ma dose. Ce que je suggère c'est que vous, les 5 humains qui sont là, vous réfléchissiez. On est actuellement 6 Storybrookiens plus trois autres femmes et y a potentiellement une ARMEE de robots. Y a personne qui a fait des maths au lycée ou quoi ? Cette conversation devenait épuisante. Trop sérieuse et critiquable pour moi , j'avais qu'une envie m'éclipser ailleurs... Ailleurs avec Dewenty. A quand la chambre a couché deja ? Patience Leo Heureusement , cette demoiselle était ma sauveuse..(Lena)
Elle prenait part a la discussion. Scientifiquement parlant, nous sommes accessoirement en minorité numérique vis à vis des robots et vu l'intelligence de certains d'entre nous .Elle visait une personne en particulier. Je ne savais pas qui vu que je n'étais pas au courant de leur liaison. Et heureusement.. J'aurais pu m'en servir contre lui. Il serait sans doute plus judicieux de trouver un moyen de les remettre aux paramètres d'usines. Derrière toute technologie, il y a un humain. Les robots se créent pas tous seuls. Youpi ! Enfin une phrase que je comprenais avec tout ce jargon féminin. J'étais tout a fait d'accord les robots s'étaient comme les bébés.. ou les esprits stellaires . cela ne se cree pas tout seul. Petite pensée pour le Roi Céleste . Vous avez raison pour les robots, ils se creent pas tous seuls, comme tous être de ce monde. J'avais donner mon opinion et l’aînée faisait une facepalm. Mais la , on faisait que placoter.. On peut passer a l'action ? On a un plan pour récolter ses données que je puisse retourner a ma vie . Mais vous voulez qu on fasse quoi ?
La vieille dame s'exclamait : Lena, vous êtes pour le moment mon cerveau préféré mais c'est pas encore tout à fait ça. Oui, y a bien un humain derrière tout ça puisqu'on l'a vu dans le spot publicitaire. Mais nous n'avons pas la PREUVE que nous sommes en sous nombre. Nous sommes les bêta-testeurs. Si on était des beta testeurs. On pouvait retourner a notre role de testeur de bonheur. Moi j'ai envie de le trouver. Il se peut que le promoteur ait prévu un smiley-bot par personne, auquel cas ils sont peut-être qu'une douzaine et se téléportent en fonction.
On a pas vu 582 robots faire le spectacle d'ailleurs disait Erwin. Puis la madame qui semblait avoir reponse a tout disait : Alors avant de rebooter des petits machins pas trop laids qui exaucent nos souhaits est-ce qu'on aurait pas une idée intelligente pour vérifier combien ils sont ? Jusqu"à présent personne n'a eu à se plaindre de son séjour, non ? Se plaindre ..Oui et non je n'étais pas encore a cent pourcent satisfait . Parce que tout ce que je désirais était remis en question par le temps, et des conneries sur le fonctionnement du bon endroit. Éventuellement de ses camarades de séjour mais ça c'est une autre chose... A cette replique , j'avais une pensée pour cette dame et le mari de Georgia.
Suffirait d'énoncer le fait que ce qui nous rendrait heureux c'est de savoir combien ils sont non ? parce qu'après tout, ils sont là pour notre bonheur à tous, je me trompe ? Disant la connaisseuse de robots. Celle qui se prenait pour une animatrice de jeu tele (debbie) : Ca c'est une idée ! Elle pointait la brune du doigt comme si elle avait donner la bonne réponse à un jeu télé. Vas-y, tente me pointant du doigt, toujours dans son ambiance de jeu.
Enfin du divertissement. Enfin une tache ou je me sentirais utile . Petit robot, je t'invoque d'apparaitre .. Oui les petits robots étaient des esprits stellaires technologiques. On pouvait les invoquer eux aussi. Pas avec une clé.. Seulement avec la voix. Et comme les Djinns il devait exaucer nos souhaits. Dit moi vous etes combien en nombre ?un smiley-bot souriant se téléportait devant moi. Nous sommes suffisamment nombreux pour vous rendre le plus heureux possible. Ne vous en faites pas, le bonheur est entre de bonnes mains. Ce n'était pas la reponse que j'attendais.. Réfléchissant. Tourna,t cette information robotique dans ma tête. Je jetais un coup d oeil rapide a Dewenty. Muse elle venait de m'inspirer une idée pour avoir la donnée qu'on voulait.. Pour mon bonheur, j'ai envie de me marier, j'ai envie d inviter tous tes amis robots, combien serez vous au mariage ? Surprise la future fiancée se manifestait :Mariage ? Leo.. on a meme pas de bagues. Détail !
Le petit robot me disait : Nous serons autant qu'il faudra pour votre bonheur. Dewenty devait sans doute penser zero a ce moment là. Elle ne voudrait sans doute pas de robots a son mariage. Piégé entre mon devoir que l'ainée m avait désigné et mon devoir de dévouement envers ma petite copine. Je devais demander a celle-ci la grande question.. BebeVoudrais tu marier ? La toute suite ?
Dewenty se reculait étonnée par ma demande spontané prise au dépourvu "un jour surement.. la je .. n'en sais rien, c'est peut-être trop rapide ? Elle allait encore me sortir son excuse de patience. Je vous jure le temps.. va finir par m'assassiner. On n'est pas obligé de se marier, se fiancer moi j en aurais envie Bebe. Se fiancer était un début. C'était une promesse d engagement. Surtout que moi je n'étais plus a l'étape ''amourette''. Contrairement a elle , des amourettes j'en avais eu des tonnes. Et elle ses amourettes s'étaient mal terminées donc j'en souffrais ,j'en payais le prix avec mon bonheur, car des imbéciles n avait pas pris soin d entretenir leur amour. Sauf si ta envie d'un mariage delire, juste pour le plaisir sans officialiser. Je proposais au cas ou.. ca aurait pu être amusant de gouter le bonheur du mariage pour un séjour et être reelement en lune de miel comme ce fameux type. Mais encore une fois, ...Nous ne sommes pas à Vegas pour faire un mariage délire... mais, tu ne devrais pas faire une chose spéciale au lieu de parler ainsi ? Les humains font pas comme ca.. Disait Dewenty.
On n'était pas a Vegas.. Mais au bon endroit . C etait encore mieux non ? On était obligé de faire comme les humains.. ? Apparement oui , elle voulait que je me mette a genoux. Si les humains font une chose spéciale. Si tu veux que je le fasse..je le ferais Bebe. Pour elle, je ferais n'importe quoi .. Même etre malheureux.. Mais est-ce que c'était ca qu'elle voulait ? Je ne crois pas, mais le temps tuait a feu de paille mon bonheur. C'est pas à moi de te dire quoi faire. Cette phrase me troublait, car ma part humaine était libre, mais mon coté esprit avait toujours fait ce qu'on n'attendait de moi..
Au meme moment de la reponse du robot et ma conversation avec Dewenty. Impatiente derrière moi la brunette commencait a s'impatienter : Ils commencent à me taper sur le système. Précision elle parlait du robot, pas de nous. Meme si ca aurait pu aller dans les deux sens. Celui-ci lui repondait : Nous ne frappons pas les personnes, cela ne les rend pas heureuses. Sur cette replique, je sourirais bêtement, car j'avais une pensée intime ou Bébé Monstre et moi on faisait preuve de brutalité personnelle, donc oui la férocité attitude pouvait rendre heureux ..Le petit robot avait tords.
Pendant ce temps...
. Lena se contentait d'hausser les sourcils "là tout de suite, vous frapper me rendrait heureuse, c'est dingue mais je vais me retenir." Et elle faisait bien de se retenir, car si elle devait taper sur un être , Erwin était là, Mais on ne tape pas les mignons robots , car je deviendrais leur protecteur..car eux et moi on avait des similitudes. Revenons a l'essentiel : Petit robot. Pour mon bonheur, je voudrais que tu invites 10 000 robots est ce que vous etes assez nombreux ? Celui-ci me confiait : D'après ma base de données 10 000 smiley-bots pour un seul mariage est un chiffre trop important et pourrait nuire au bonheur de la fête. Nous tenons à rester discrets. IL n'y a jamais trop de bonheur, mais il faut laisser de l'espace pour l'apprécier. Avez-vous suffisamment d'espace pour être heureux ? Envoyez-nous la liste précise des invités dudit mariage si vous souhaitez l'organiser au Bon Endroit et nous établirons le plan d'action adéquat.
Continuait a organiser un faux mariage car ma petite copine voulait que se fiancer : Oui j'ai suffisamment de place pour etre heureux, mais combien de personnes je dois mettre sur ma liste de mariage, pour avoir une fete parfaite au bon endroit ? Et le petit robot repondait : Pour votre mariage vous devez décider avec votre fiancée du nombre d'invités qui vous convient. La fête parfaite pour vous n'est pas la fête parfaite pour vos amis . Il désignait les autres gens du groupe. Et c'était vrai. En matière de mariage, nous avions sans doute pas les même gouts..
Soudainement l'ainée du groupe en profitait pour intervenir parce qu'elle était soulée. On était deux, elle m avait soûlée avec ses statistiques. Et moi je l'agacais avec mon bonheur inaccessible. Elle disait : Ca, c'est sûr. Déjà perso je sais qui d'ici j'inviterai pas. Bon, petit robot, pour moi la perfection ça serait que tu emmènes ces deux-là . Elle désignait, Dewenty et moi Dans un endroit romantique vu qu'apparemment ils ont des choses plus importantes à régler. Tu peux faire ça ?
Bye bye les amis nous on est ailleurs maintenant ...
Le smiley-bot exauçait son voeu, mais aussi le mien : C'est comme si c'était fait. Il prenait ma main , que je lui offrais volontiers et prenait celle de Dewenty . Il nous emmenait d'un pas lent vers quelque part sansVOUS. Il nous apportait volontairement, dans le jardin d'Eden. Oups . En réalité c'était une sublime serre , ou j'aurais pu lui offrir mon fruit interdit a Bebe Monstre, mais patience mon pauvre Leo.. en attendant , je pouvais cueillir les fleurs préférées de mon Bébé Monstre, pour lui faire un bouquet . Mais aussi nous concevoir des alliances de ronces pour que je puisse mettre mon genou a terre pour lui chanter mon seul espoir car notre histoire sera une promenade inoubliable. Et peut-etre des fiançailles, pas de mariage ..Il a une différence! Mais le bon endroit portera peut-etre fruit finalement..
Lena Davis
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : katie mcgrath
Je te jure, je me sens tellement mal de t'avoir amenée inconsciemment dans cette histoire.
Je veux pas dire mais clairement Le Bon Endroit, ça commençait clairement à devenir chiant et croyez moi, je pèse mes mots. Ouais c’est ça ouais. Oh mais ta gueule toi. Je vous passe tout le passage précédent parce que si vous êtes malins et que vous vous appeler pas Erwin Dorian, vous savez lire et donc la logique veut que vous ayez lu le post précédent et donc vous savez où nous en sommes. Je regarde donc Leo et Dewenty s’éloigner de nous avant de tourner le regard sur Deborah qui reprend la parole.
« Clairement, plus loin ce type est de moins, plus je suis heureuse. Mais même s'il connecte pas très bien ses neurones, il a quand même obtenu des infos intéressantes. Pas suffisantes, donc hors de question qu'on se sépare : on les suit ! Les humains, je le sais par expérience, s'en sortent jamais avec les émotions. »
Je pose mon regard sur l’autre débile et ouvre la marche. Plus vite, on aura régler tout ça, plus vite je pourrais retrouver ma tranquillité. Après tu peux toujours étouffer Erwin avec de la terre ou tu peux aussi essayer avec ses tartes au citron, il a l’air de vraiment les aimer. Arrête, tu vas me donner des idées après même si ce serait pas déplaisant. On arrive rapidement dans la serre et les deux tourtereaux semble ne pas faire attention à nous. Tant mieux dans un sens non ?
« A priori, hormis m'aveugler de bonheur » commence Deborah avec sarcasme avant de reprendre « ils risquent rien. J'propose qu'on reste juste dans les parages et qu'on regarde. Là-bas je vois des légumes, je suppose que c'est d'ici que vient une partie des produits qu'on a mangés - transformés ou non. Y a peut-être des smiley-bots jardiniers ? » « Un petit monde de smiley-bot? J’en doute... Le Bon Endroit doit se faire livrer sa matière première non ? » « Peut-être mais là-bas si j'suis pas aveugle et aux dernières nouvelles, je le suis pas, je vois un plan de tomates. » « On n’a qu’à aller voir pour être sûrs. » « J’aime les gens qui prennent des initiatives. » « Voguons y donc puisqu’un village de robots est passionnante activité. »
Retenez moi, je vais l’étriper. « Essayerez vous d’être ironique Dorian ? Parce que vous êtes à peine crédible. » énonçais-je avec un sourire faux. « Oh mais qu’entends-je? Parviendriez-vous enfin à atteindre la notion du second degré, Lena? » et il fait un sourire sarcastique qui plus est « je dois rire là ? » énonçais-je finalement avec un sourire narquois « votre médiocrité se lit si bien sur votre visage Erwin. » Finalement, ça fait bien parti d’une petite parcelle de mon bonheur. Mais il est exaspérant malgré tout « au fait, je vous ai pas dit, les boules à facettes, c’est démodé sans vouloir vous offenser ceci dit. » MAIS OUAIS FAUT ARRÊTEZ LE FOND DE TEINT ! Voyez l’ironie dans mes répliques, c’est plutôt dingue, mais que voulez-vous, cet imbécile m’inspire, ça en serait presque malheureux, je dis bien PRESQUE. « Vous ne pouvez pas m’offenser ma chère, il faut avoir un peu de valeur pour atteindre la perfection, et comme personne ne peut m’atteindre. » j’éclate de rire « vous êtes d’un ridicule… » énonçais-je en le regardant droit dans les yeux, toujours avec ce petit sourire mauvais.
Je me rendais compte que c’était vraiment plaisant. Plus il cherchait à m’atteindre, plus je trouvais quoi lui dire et c’est ça qui demeurait amusant finalement. Il essayait d’avoir le dernier mot mais ne tente même pas de jouer au plus malin avec moi, je suis la meilleure pour mettre un suceur de dollars échec et mat.
« Ma chère, le ridicule vous sourit à chaque fois que vous vous regardez dans une glace. » qu’il est amusant , notez tout de même le petit levage d’yeux de ma joueuse et de moi-même devant la médiocrité de ses propos « Oh pardon, vous me parliez ? Désolée, j’étais trop occupée à essayer de m’habituer à votre allure si peu assurée et élégante. » t’as pas oublié un mot là ? Genre PAS élégant. Oh mais tais-toi et laisse moi tranquille enfin. Je m’approche d’Erwin et tourne autour de lui avec un sourire sarcastique « Oh mon dieu, serait-ce une ride là ? Bientôt, il va falloir vous acheter des couches anti-fuites mon pauvre vieux. » sourire victorieux et regard de défi « soyez en sûr Erwin, vous ne m’arrivez pas à la cheville. Il n’y a pas meilleure manipulatrice que moi, j’ai eu les meilleurs enseignants en la matière. » Pour une fois que j’ai une quelconque fierté de porter le nom de Davis.
« Ecoutez-vous ! Mon allure est-elle peu assurée ou élégante ? » tu vois je te disais que t’avais oublié un mot ! Oh mais ta gueule toi ! L’autre suceur de dollars éclate de rire « Au moins, je n’ai pas la peau et le cerveau aussi décrépis qu’un cadavre…je ne pense pas vous avoir enseigné Lena. » « C’est petit venant de vous, je m’attendais tellement à du grandiose, franchement, vous me décevez. Et, vous n’êtes pas le centre du monde Erwin. » continuais-je en haussant les sourcils avec un soupir « Les Davis sont bien meilleurs dans la matière que vous ne le serez jamais. » « Grandiose ? Est-ce là un compliment ? » « C’est beau de rêver. » « Oh a moins que vous parliez de votre grand frère ? » Qu’il ne tente même pas de me parler de Lex ou je vous jure que je l’étrangle pour de vrai. « Pas de doute, c’est un bonheur de vous avoir tous les deux au même endroit au même moment. On peut continuer notre aventure maintenant ? » et c’est au moment où Deborah nous coupe que je me rend compte qu’on était arrivés depuis un moment déjà. Pour le coup, j’aurais rougi si vraiment je m’étais sentie gênée mais ce n’est pas le cas. Nous nous trouvions toujours sous la serre mais près des plans de tomates entre autre. Mon regard devia sur les arbres fruitiers, donc les citronniers. Etait également disposé du matériel de jardinage assez standard. Et au milieu, un smiley-bot en train d’arroser les légumes avec sa happy face bien flippante.
Il ne fait pas attention à nous. Je m’approche du robot. Il tourne la tête vers moi, me sourit et se remet au travail, comme si j’existais pas en fait. C’est un peu gênant pour le coup. Mon regard se pose rapidement sur Debbie qui s’est avancée vers le fond, plus précisément vers une grosse machine blanche avec ENGRAIS écrit dessus. Clairement, ça faisait un peu tache dans le décor. Elle nous fait un signe muet de la main pour venir près d’elle, d’un air un peu impatient. Je me dirige vers elle, suivi par l’imbécile mal léché qui s’avance tranquillement de sa démarche royale. Exaspérante personne qu’il est. « Plutôt gros et moche pour un conteneur d’engrais, non ? » « Exactement comme vous. » énonçais-je en tournant le regard vers Erwin avec un large sourire avant de reprendre mon sérieux « c’est étrange par contre que ce soit là ça. » « Pourquoi vous dites ça ? Si on veut exaucer les souhaits alimentaires de tout le monde qui pourra un jour venir, vaut mieux avoir de quoi accélérer les choses, non ? » « J’avoue ne m’être jamais pris d’une passion pour les collecteurs d’engrais. » répond ce dernier à Deborah avant qu’il ne me réponde à mon tour « Pour une scientifique, excusez là, le bien commun est une chose qu’elle ne conçoit pas. » Ta gueule bouffon. Tu sais qu’il t’entend pas rassure moi ? Ouais mais il me lit donc c’est pareil ! « Pour un endroit où tout est censé être parfait et apporter le bonheur à tout le monde, ça fait plutôt tache dans le décor non ? » « A mon avis, les touristes sont pas censés venir ici. » « S’il n’y avait que ça comme tache dans le décor, Lena… » « Ah oui, j’oubliais que vous aimiez vous regarder dans le miroir. » sourire radieux et sarcastique « Moi je voulais juste dire que c’est moche mais puisqu’on est devant et que vous vous détestez, je propose un pari. A votre avis, ils utilisent quoi comme engrais ? » mon regard se pose sur un bouton qui semble faire « couler » de l’engrais. T’as une soudaine envie de lui faire manger de l’engrais à Erwin non ? C’est fou, tu lis dans mes pensées.
« Ça ne peut être que des engrais composés. Azote, phosphore et potasse. Mais je me demande s’il n’y a vraiment que ça… » « Erwin, à vous. » « Je doute que cela soit un composite si commun, nécessairement, il y a eu une modification. » T’as fait sciences à la fac p’t’être ? Non alors chut ! « Tout dépends de l’acidité des sols, il ne faut pas l’oublier. Mais je suis d’accord pour le coup, il y a dû avoir modification. » Oui notez le dans le calendrier, vous verrez ça une seule fois dans votre vie. « Eh bien, vérifions. Si l’un de vous a raison, je lui offre…le droit d’utiliser l’autre à son bon bonheur tout le reste du séjour. » « Les composants chimiques diffèrent toujours selon les engrais utilisés, donc…on verra bien. Je tiens le pari qu’il s’agit d’engrais ordinaires avec une légère modification suite à l’acidité des sols. » Debbie sort une pièce de son sac à main et se tourne vers moi « Honneur aux dames, pile ou face ? » « face » elle la lance et rattrape sur sa main « C’est pile. Erwin, à vous l’honneur d’appuyer sur le bouton. » Ah il est content, il appuie sur un bouton et il me fait un sourire moqueur en plus, laissez moi rire. Je le regarde en levant les yeux au ciel, les bras croisés sous la poitrine.
De l’engrais normal sort de la machine dans le bac prévu à cet effet. Et puis ensuite, deux crânes, un chapeau de paille, un paréo orange.
« Bon bah personne a gagné. »
Je me recule sous le choc pendant une seconde avant de faire un petit sourire en m’approchant d’Erwin « Oh voilà la citrouille ?! » je regarde quelques instant le bac et lève le regard vers Erwin « oh bah merde Erwin, vous êtes tellement moche qu’elle est morte de peur en vous voyant. »
Ouais, c’est bien pour conclure ton post ça. Et voilà, t’as tout cassé putain !
everything is awesome Dewenty dans Les vacances presque parfaite
Bon comment ça c’est passé entre Leo et Dewenty ? Plutôt bien non ? Le faux bébé devait être encore dans la piscine sur son transat à cramer correctement au soleil ne l’oublions pas ce serait tellement pas gentil de la part de cette charmante Dewenty… à moins qu’il n'ait rouler et qu’il n’ait glisser malencontreusement dans la piscine Plouf ! Comme une pierre au fond de l’eau chloré… Mais non enfin ! un bébé ça nage aussi bien qu’un chien. Trop de scénario pouvait être jouer sur ce fameux bébé, mais très peu de temps pour le mettre en place et surtout parce qu'il faut dire la vérité.. on s’en fiche c’est un robot. Du moins la manticore s’en fiche. Donc une dispute de couple à éclaté ? Mais non, enfin la manticore expliquait simplement les choses à sa façon. Elle était pas énervé juste.. exaspéré, mais, bon comme elle est bonne, elle a essayé d’expliquer les choses à Leo c’est pas mignon tout ça ? Si limite on pourrait vomir des confettis en forme de coeur. Donc on en était rendu au fait que Debbie la dame qui adore les loutres et qui déteste les brocoli à demander à un nono le robot de les emmener dans un lieu romantique ! Loin d’eux surtout. Donc le charmant petit robot que Dew meurt d’envie d’arrache sa petite tête pour faire un contre un en foot. Une serre plutôt sympathique… elle aimait bien la décoration, ça poussait plutôt bien par ici, comme dans son jardin On ne dit pas que Dewenty à la main verte parce que c’est tout le contraire, mais cela dit elle a un engrais spécial et tout pousse correctement et non… ce n’est pas dû gamme vert. Bref, on est pas la pour parler pelouse. Dans cette serre s’était pas mal parce que la température était plutôt correct, bien qu’on pouvait sentir des odeurs assez familière mais, pour le moment elle était focaliser sur le lion qui était en face d’elle. Heureusement qu’elle l’aimait profondément sinon ça ferait longtemps qu’il sucerait les pissenlit par la racine du moins son squelette parce qu’elle l’aurait surement manger avec des pepperoni. Mais non enfin elle va pas manger l’homme qu’elle aime. Vous pensez que ce serait un crime passionnelle à ce rythme là ? Dewenty avait laissé quelques instant à Leo pour cueillir des pâquerettes. Se demandant ce qu’il pouvait bien trafiquer à prendre des fleurs un peu partout, puis elle comprenait qu’il était en train de faire une couronne. C’est mignon tout plein, bien qu’elle avait des véritable couronne mais ça restait une charmante petite attention de la part de son petit copain. Puis il était en train de tresser un anneau de bois de rosier. Entre temps, la manticore c’était assise au sol, dans l’herbe. Leo avait envie de se poser tranquille pour se relaxer. Enfin, bon ils étaient tout deux, l’un en face de l’autre à se regarder dans le blanc des yeux. Ah c’est du romantique ça hein ? Leo tendis la couronne de fleurs à Dewentyn qu’elle prit pour la mettre sur sa tête.
- Bebe monstre je t'aime d'un amour agape, je m'excuse si je suis parfois insupportable, et je comprend que l'amour pour toi c'est nouveau, que moi je suis une vieille âme de cupidon. Je sais que tu n'es peut-etre pas prete pour certaines choses .. que tu me vois comme un impatient. -Je sais... et je ne t'en tiens pas rigueur sauf peut-être le fait que tu te montre impatient... comprend moi...j'apprend à être un humain, je suis censé être une créature chimérique et je me retrouve dans le coeur d'une femme certe plutôt pas mal. Merci pour le cadeau, n'oublie pas que je t'aime aussi même si parfois je veux t'étrangler, mais comme disent les humains qui aime bien châtie bien.
Ah pour le dire, c’est que cet homme brûlait pas mal d’étapes mais, il est était adorable sur ses belles paroles, Leo s’approcha pour embrasser sa belle, cette dernière répondu. Il glissa lentement l’anneau à son doigt.
-Soit ma femme
Elle répondit d’un baiser tendre et passionné, on pouvait prendre cette réponse pour un oui, mais on espérait réellement que Leo allait investir dans une bague parce que le bois de rose c’et bien mais c’est pas chouette, ou alors une bague personnalisé. regarde sur wish y en a des pas cher au pire ou aliexpress ! (ceci est un jeu de mot aussi..)
Par curiosité Dew avait regardé la pastille verte de Leo ou il y avait indiqué une smiley avec des yeux coeur c’était vraiment trop mignon vous voyez… Le bonhomme était même devenu rose. C’était vraiment A D O R A B L E. Et c’est à ce moment là que Debbie intervient coupant court à tout romantisme. Dew se doutait de tout manière qu’ils allaient pas rester longtemps tout seul.
-Bon, c'est pas que vous me manquiez spécialement, mais on vient de faire une découverte et je pense que ça serait bien que vous veniez voir par vous-mêmes. -Ohh quelle découverte ? quelques choses d'intéressant j’espère ? -Oh je ne vais pas te spoiler.
Mais quelle charmante attention voyons ! No spoiler c’est pas souvent qu’on entend ça. Qu’elle découverte palpitante le gang Awesome avaient fait ? Debbie leur fit signe de les suivres avec sa main, Leo lui avait pas tout à fait emballer de devoir retourner avec le Gang Awesome… pour le rassurer Dew lui prit la main, l’entrainant donc dans son sillage. Ils ont du donc parcourir une centaine de mètre à tout cassé. La manticore voit donc un gros conteneur à engrais, tiens… ça rappelle quelques choses à Dew ça. Tout le monde était réunis pour célébrer quoi la venu du printemps ? Elle s’était attendu à une découverte digne d’un archéologue.. un nouveau trésor englouti sous le tas de fumier ?
-Ouai de l’engrais et ?. Dit elle en regardant plus attentivement des crânes visiblement humain… Halloween avant l’heure ? Oh… merde des crânes. Se grattant au passage le menton. réfléchissant légèrement et tout naturellement elle dit. Cela dit c’est un excellent engrais pour avoir de belle plante.
Comment elle le savait ? C’est simple, elle aussi faisait quelques plantation… comme la chanson “on le plante avec un pied à la mode à la mode…” Ahh oui on le prenait au pied… de la lettre ! Comment Dew a eu un si beau jardin ? Elle mettait corps et âme dans son jardin.. bien sur pas son corps à elle hein ? En regardant plus attentivement…
-C’est le chapeau de Gloria ! -C'est celui de Kezzia. dit Leo en parlant du paréo Orange
Un mystère résolu, l’autre elle ne pouvait rien en dire car elle n’avait visiblement pas fait attention à Kessia. Bon du coup ça fait deux.
- Ouais le chapeau de machine et le paréo de l'autre. debbie prend le crâne. Je vous apprends rien mais c'est tout récent et pourtant il reste plus un centimètre de peau et pas d'organes visuels. Une rigueur de pro, une rigor mortis.
Dewenty était en train de regarder le crâne que portait Debbie, ça ne tenait qu’à elle même le crâne n’aurait pas fini dans cette machine surement réduit en poudre pour quelques poison...
-Hmm effectivement ça a l'air propre... travail de pro...pro...mais pas assez cela dit.. moi je n'aurais pas laissé de crâne... quand j'en mangeai... je laissais rien personnellement..
Ahh oui… effectivement sortir ça au milieu de tous, ça pouvait les laisser de mort, bon pas autant que les deux crane cela dit.. la fallait faire fort. Cela dit en voyant les crâne ça lui faisait pas plus de sensation que cela… elle avait vu pas mal d’humain mourir après tout… et elle en avait mangé aussi. des milliers, enfin, approximative, parce qu’elle ne les avait pas compter… y aurait pas eu assez de chiffres sûrement. Cependant, elle avait une part de curiosité qui avait pu les vider entièrement de leur chair et sans rien laisser seulement les crânes. C’était presque fascinant. Bien que Gloria était une connaissance qu’elle appréciait, elles ont partager un soin au algues quand même ! En ce qui concerne Leo… il avait l’air inquiet et tourmenté mais, Dew reporta son attention sur Debbie qui était en train de passer dans son dos avant de dire
-T'es quoi en fait ? Cannibale ou pas humaine ? Ta pastille indique que de la curiosité. -Non je ne suis pas cannibale... et effectivement je suis pas humaine je suis une manticore... donc voir des humains mort disons que j'ai l'habitude…
On ne divulgue pas de secret. Elle en a mangé à la pelle des humains.
- Bon à savoir. Voyons ce que ça donne chez ton futur mari.
A cette mention, on pouvait voir un Leo bomber le torse, cela dit pour ça c’est pas trop le moment on a deux cranes sous la main, plus un paréo un chapeau de paille.
-Inquiétude. Bon bah on sait qui porte la culotte dans le couple.
Dew n’en avait jamais douté la dessus. La fierté de Leo en prit un coup VLAN dans les dents. Debbie s’approcha ensuite de Lena pour regarder dans son dos.
-Tu oscilles entre la joie et la peur. C'est... même moi qui connais bien les émotions je suis étonnée, mais c'est bien, ça doit vouloir dire que t'essayes de positiver. Change rien.
Au tour de Evangeline.
-Toi t'as l'air surprise et j'avoue qu'il y a de quoi. Un poil soucieuse. T'en fais pas princesse, je suis là.
Puis, Erwin, le monsieur qui apprécie le même dessert que la manticore.
-Et vous êtes dégouté donc vous êtes fatalement mon préféré sur ce coup. Félicitations. tapotant l'épaule de ce dernier. Dewenty intervient une nouvelle fois.
-Et toi Debbie ? Y a ecrit quoi ? -Bah je te laisse me le dire.
c'est un smiley blasé, hmm pas étonnant finalement
-Oh mais faut pas être blasé enfin… dit-elle en prenant le crane des main de Debbie, pour nous faire un remix d’Hamlet et fini par bouger la mâchoire. Etre ou ne pas être… telle est la question…
Pour un peu détendre l’atmosphère mais bon… ça restait glauque, Leo avait l’air pâle d’un coup on aurait dit qu’il voulait vomir… mais quelques chose en lui disait qu’il trouvait ça presque fascinant… c’est une juste un spectacle de marionnette hein ?
-Cela dit y a même pas la moindre parcelle de chair rien à manger, ça a été un sacré nettoyage... Bon du coup... ça fait deux personnes en moins. Ils nous faut donc retrouver les autres ? -Bon c'est pas trop mon rôle d'habitude de dire ça mais c'est quand même un peu triste un truc pareil au Bon Endroit. Mais ouais... on devrait… Debbie tourna la tête et Dewenty suivit son regard vers Nono le jardinier. On l’avait presque oublié lui. Du moins la joueuse attendait avec impatience de le voir en action. le smiley bot qui arrosait et s’était arrêté.
Il s’approcha d’eux. Il n’est plus du tout smiley mais c est du "sadly" (tristesse) il est positionné entre eux et la sortie… Dewenty était en train de le regarder avec une certaines méfiance.
-Et c'est à ce moment là... qui se met devant la sortir et qu'il nous dit vous ne passerez pas ?
Debbie coule un regard à l’attention de Dew l’air de dire n’en dit pas plus, puis elle se mit devant le robot et dans un grand sourire dit.
-Charmant jardin ! On est super fans ! Ca sent bon, c'est bien entretenu. Ca-non. Pas vrai ma petite manticore préférée ? dit-elle en demandant à la manticore de jouer le jeu avec elle. Chose qu’elle fit naturellement. -Mais oui c'est super jolie tu as bien tout entretenue j'adore tellement, je crois que c'est le plus beau jardin que j'ai jamais vu... et surtout pour une cérémonie de fiancaille, tu voudrais être invité petit robot ? -On t'enverra une invitation, maintenant, on va s'en aller trouver encore plus de bonheur ailleurs.
Sur ces paroles, Debbie avança tout en commençant à contourner voyant que le robot ne bougeait pas, le reste de la troupe suivie, se dirigeant donc vers la sortie, sur ce, la manticore pris la main de son petit ami.
-Non vraiment j'adore cette serre, ce robot fait un travail remarquable. -C est vrai cette serre est magnifique, on aurait pu s'installer un chapiteau la, des chaises la.. on a une belle vue sur le ciel , sur les étoiles.. on aurait pleins de fleurs pas pas cher dit Leo tout en indiquant chaque place pour les objets, au moins ça le distrayait un peu…
Une fois en dehors de la serre…
-C'est bon, il est assez loin maintenant. Mais on a du pain sur la planche. Vous êtes prêts à connecter vos neurones, le gang ? -Bien évidemment...que je suis prête... au besoin... j'ai quelques atout en poches
DISCLAIMER :Ce post, bien que posté par le compte Deborah Gust n'est pas écrit de son point de vue. Le personnage n'a pas connaissance de ces informations qui sont gracieusement livrées aux lecteurs et lectrices pour leur mettre l'eau à la bouche.
Bonne lecture. J'espère.
Kezzia et Ralph s'étaient bien trouvés : insouciants, toujours prêts à s'amuser, moins à travailler et vraiment peu enclins à fonder une famille. Gloria, la sœur ainée de la première, trouvait que c'était mieux ainsi. Il y a des gens qui ne sont pas faits pour s'occuper d'autres gens que d'eux-mêmes et Kezzia avait toujours été de ceux-là. Tout le contraire de sa sœur, Gloria, la studieuse et sérieuse data analyst, dont peu de gens comprenaient le sens du métier (un peu comme tous les fans de Friends et les personnages de ladite série avec le métier de Chandler), qui avait toujours pris soin de sa cadette, qu'elle aimait malgré leurs flagrantes différences, de son fils Ryan, qu'elle avait élevé seule, et qui avait commencé à s'occuper davantage de leur mère depuis que celle-ci avait passé le cap, non négligeable, des soixante ans. Non pas que Grace soit devenue impotente. Au contraire, elle faisait partie de ceux qu'on appelle actuellement les "seniors actifs" et c'était tant mieux. Si elle était restée enfermée chez elle, jamais elle n'aurait retrouvé le bonheur auquel elle goûtait depuis ces dernières années. Grace avait enterré son mari et le père de ses deux filles, sept ans plus tôt. Encore un cancer, et pas celui de l'horoscope. Il était mort relativement jeune après deux décennies de mariage, emporté par l'une des cinq choses qu'il aimait le plus : la cigarette. Certains avaient dit qu'il l'avait un peu cherché, Grace avait laissé dire. Elle n'avait jamais fait partie de ces personnes qui prennent plaisir aux mesquineries et à la médisance et les propos sur son premier mari étaient passés bien au-dessus d'elle sans l'effleurer. Ca ne faisait pas de Grace un être plus pur ou plus exceptionnel que les autres. Comme Honey Lemon vous l'aurait dit si c'était son post : l'Homme est ainsi fait qu'il possède autant de qualités que de défauts. Grace avait toujours eu ceux de ne pas se ménager et de s'entêter - ce qui n'était pas plus mal pour tenir tête à certains patients difficiles qu'elle avait pu connaitre. Très jeune, elle avait décidé de consacrer sa vie aux autres dans le besoin, d'où ses études d'infirmières et avait passé la plupart des années de sa carrière aux soins palliatifs ou en oncologie. Grace y avait connu une certaine popularité, parce qu'elle savait se montrer ferme et bornée, autant que ses malades pouvaient l'être, mais aussi douce et compatissante. Elle lisait beaucoup ce qui lui avait toujours donné la possibilité de trouver les bons mots, sur le vif, et pas six heures plus tard comme ça nous arrive parfois dans la vraie vie. Mais Grace avait aussi besoin qu'on s'occupe un peu d'elle - qu'elle l'admette ou pas. Graham avait été le candidat parfait et il avait été accueilli comme tel par le reste de la famille. Leur mariage n'avait surpris personne et leur bonheur les inspirait tous. Du moins, c'était ce que sa fille ainée aimait croire. Pendant que la plus jeune sœur allait faire de la zumba, Gloria s'aventura dans les méandres de couloirs qui abritaient les chambres du complexe géant qu'était le Bon Endroit. Mais comme le lieu portait bien son nom, la chambre de Grace était au bon endroit, celui le plus susceptible de lui convenir. Et il convenait, il convenait vraiment. Grace y avait trouvé tout ce dont elle avait besoin pour dormir tranquillement. Un oreiller bien rembourré. Une parure de lit de sa couleur préférée. Une table à chevet sur laquelle elle avait pu déposer la photo de famille avec laquelle elle voyageait toujours, mais aussi la tasse vide de camomille qu'elle avait bue et le livre qu'elle avait fini avant de fermer les yeux, satisfaite. D'être dans cet endroit. Avec ceux qu'elle aimait. D'avoir rencontré une jeune fille avec qui elle partageait une passion commune. Que le ciel soit bleu. Que le dernier bilan de Graham ait apporté de bonnes nouvelles : le cancer ne revenait pas. Que Ryan ait trouvé sa voix. Kezzia une personne qui lui corresponde. Que Gloria ait accompli et continue d'accomplir ses deux rôles, celui de mère et celui de data analyst avec brio même si la vie ne l'avait pas épargnée non plus. Grace n'avait jamais voulu être célèbre, mais utile. Elle voulait être riche, mais pas d'argent, riche d'une famille, d'une passion, riche en amour et en amitié, en livres et en espoir. Ce qu'elle trouvait merveilleux avec l'espoir, c'était que sa flamme était la plus difficile à éteindre. Et elle avait tout cela. Grace était, vraiment heureuse et c'est la dernière pensée qu'elle eut avant de s'endormir.
***
Gloria ouvrit la porte de la chambre de sa mère et la trouva paisiblement allongée sur son lit. Elle songea à ne pas s'attarder avant de finalement faire demi-tour et s'asseoir sur le lit de sa mère un instant, juste pour observer son visage si serein, presser affectueusement sa main. Froide. Et inerte. - Oh… Je dois prévenir Kezzia, murmura Gloria en tâchant de garder son calme bien que sa tension ait sévèrement augmenté. - Me prévenir de quoi ? La voix que Gloria entendit était bien celle de Kezzia mais Kezzia n'était pas dans la pièce. - Puis d'abord qu'est-ce que Miss MIT 1998 fait au cours de zum… Attends, mais, t'es pas là ? Pourquoi je t'entends alors ? Gloria répondit qu'elle se posait la même question et indiqua à sa cadette qu'elle venait la rejoindre sans en dire davantage. Son esprit échafaudait déjà quelques théories sur comment elles étaient en mesure de subitement communiquer par la pensée mais elle y reviendrait plus tard. Quand elle lui aurait dit. Sur son chemin, Gloria croisa un robot et comprit, à l'air triste de ce dernier, qu'elle-même ne devait pas être très joyeux. Elle commença alors aussi à réfléchir à ce point et sourit au robot pour le rassurer. Il retourna son expression habituelle et Gloria continua sa route, préparant mentalement son discours en continuant ses analyses. Les analyses, elle avait toujours adoré ça. Les deux sœurs se retrouvèrent et à ce moment-là Gloria avait déjà compris ce qu'il y avait à comprendre, c'est pourquoi elle s'approcha avec un grand sourire de sa petite sœur et la prit par les épaules, s'assurant que son regard lui fasse comprendre qu'elle n'allait pas du tout plaisanter. Kezzia parut déstabilisée mais comme elle avait toujours trouvé sa sœur bizarre elle ne s'alarma pas davantage. - OK, maintenant tu me fais un grand sourire. Prépare toi, j'ai une nouvelle, continua Gloria avec son sourire plus long que nécessaire. Maman est morte. - Hein ? fut la seulement réponse, déstabilisée aussi, pour le coup, de Kezzia. Sa pastille d'humeur indiquait de l'incompréhension mais ça, sa sœur ne pouvait pas le voir. Elle continua de parler de cet air outrageusement forcé : - Continue de sourire, surtout continue de sourire, ne t'arrête pas de sourire. - Mais quoi, tu me fais une blague pas drôle, c'est ça ? demanda Kezzia dont la pastille indiquait à présent de l'inquiétude. - Non c'est pas une blague, maman est vraiment morte, poursuivit Gloria en continuant de sourire à s'en arracher les muscles du visage, guettant l'arrivée éventuels de smiley-bots plus si smileys. Kezzia, qui n'y comprenait rien, se dégagea des bras de sa sœur, inquiète et à présent triste, comme put cette fois le lire sa sœur qui courut pour la rattraper. - J'aurais pas dû te le dire. Désolée. Maintenant souris, s'il te plait. Essaie de sourire. Le laïus de Gloria n'avait cependant aucun effet sur Kezzia donc la pastille indiquait de plus en plus de tristesse. Un smiley-bot s'approcha d'elle et l'enserra de ses bras. Kezzia ne comprit pas non plus pourquoi. - Pourquoi il m'attrape ? demanda-t-elle à Gloria, pas certaine que le robot aille répondre. L'intéressée, cette fois, ne s'adressa pas à sa sœur mais au robot : - S'il te plait, accorde lui deux minutes, elle va redevenir heureuse, c'est promis. Le smiley-bot décida que non. Kezzia n'était plus suffisamment heureuse et ne convenait plus au Bon Endroit. En quelques secondes, elle fut désintégrée, sous le regard décomposé et plein de larmes de Gloria qui, malgré sa tristesse, continuait de sourire pour convaincre le robot de son bonheur. - Je souris, je souris, je souris… Furent ses derniers mots.
Evangeline Dreamword
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| Avatar : Willa Holland
"Okay, this is a bird."
"...Why I am even talking to you ?"
"..."
| Conte : La princesse et la grenouille, Les 5 légendes | Dans le monde des contes, je suis : : Evangeline, l'Etoile des voeux
C’est bien mignon de vouloir mettre de l’humour dans les situations un peu dramatiques, mais là cela ne s’y porte vraiment pas. Levant ses yeux au ciel, Evangeline grimace alors qu’ils viennent de découvrir deux crânes perdus au milieu de l’engrais. Outre la surprise -qui s’attendait à ça ?- elle est un peu inquiète, davantage pour les autres que pour elle-même qui sait à peu près se défendre. C’est déjà un poil rassurant de voir le couple revenir de leur petite promenade avec Deborah, même s’il reste encore ici quelques personnes dont elle ne sait pas s’ils vont bien ou non -Grace entre autres. Faisant le tour des différentes personnes présentes, elle indique leurs états d’esprit du moment. « Toi t'as l'air surprise et j'avoue qu'il y a de quoi. Un poil soucieuse. T'en fais pas princesse, je suis là. » Dit-elle quand elle arrive à Eva. L’étoile lui adresse un sourire. « C’est rassurant. » Murmure-t-elle. (Oui elle le pense vraiment, non ce n’est pas ironique). Le groupe porte son attention sur le petit robot qui jardinais. Etrangement, il s’est arrêté et se tient maintenant entre eux et la sortie. Elle entre dans le jeu des deux femmes et fait comme si elle était ravie, comme si tout allait bien pour contourner le robot et s’éloigner de la serre avec le petit groupe.
« C'est bon, il est assez loin maintenant. Mais on a du pain sur la planche. Vous êtes prêts à connecter vos neurones, le gang ? » Evangeline hoche simplement la tête en jetant un petit coup d’œil vers la serre pour s’assurer que le robot ne leur porte plus aucune attention. Elle doit mal cacher son inquiétude, car Dewenty s’approche d’elle pour la rassurer. « Ne t'en fais pas il n'est pas la... Et si c'est le cas je peux te protéger » Evangeline sourire. Ca la rassure de voir qu’ils sont là les uns pour les autres pour se serrer les coudes…Mais ils ne sont pas tous là. « Merci...Mais je m'inquiète aussi pour les autres. Est-ce qu'on ne devrait pas essayer de les retrouver avant de faire quoi que ce soit ? » Ils rejoignent tous le complexe dans lequel il fait bien plus frais. La chaleur au dehors en devenait étouffante. « De rien une équipe c'est fait pour ça, retrouver les autres me semble être une bonne idée...en espérant qu'il ne soit pas trop tard... » Hochant la tête, Eva serre quelques secondes la main de Dewenty dans la sienne, à la fois pour la remercier silencieusement et pour lui indiquer qu’elle aussi, elle est là. Arrivant dans le couloir où se trouvent les chambres, elles frappent à une porte, et entrent sans avoir de réponse. La pièce est vide. Prête à essayer les autres chambres, elle s’arrête dans son élan lorsque Deborah prend la parole. « Y a personne que ça a surpris de voir que Mister Robot ne nous suivait pas ? Personne à trouver ça trop facile ? » Eva fait oui de la tête. Elle était persuadée que le robot de la serre allait les suivre. « Oui tu as raison...J'ai été surprise qu'il ne nous suive pas à l’extérieur de la serre » « Moi je trouve ça particulièrement étrange vous pensez qu'ils communiquent comme les velosiraptor ? Genre à distance ? » « Moi je pense que s'ils ne se pressent pas c'est qu'ils n'en ont pas besoin. »
Le groupe, qui était alors dans la chambre vide, fait demi-tour pour continuer sa petite inspection, mais deux robots se trouvent dans le couloir et leur barre la route. « C'est moi où ils ne veulent vraiment pas qu'on aille par-là ? » Demande Eva d’un ton un peu sceptique. « Nan ils n'ont pas en envie qu'on aille là ou alors ils essaient de nous bloquer » Armant son visage d’un grand sourire bien joyeux, elle s’approche des robots et se penche légèrement vers l’un d’eux. « Est-ce que je peux aller par-là ? » Les robots ne bougent pas d’un pouce. Elle se redresse et se retourne. De l’autre côté deux autres robots leurs bloquent le passage également. « Merveilleux… » Elle tente d’ouvrir la porte d’une autre chambre, et fait face à un nouveau robot. Sérieusement ? Elle fait quelques pas à reculons pour rejoindre le groupe. « Je crois qu'ils ont envie d'un câlin... » Fait remarquer Dew. « Tient ça me rappelle un mec bizarre que j'ai croisé au centre commercial y'a quelques temps...Mais lui il donnait envie qu'on lui fasse, ce câlin ! » L’étoile grimace. Elle aurait préféré avoir 5 Axels face à elle plutôt que ces satanés robots. « Dommage. Bon allez, tout le monde me fait son plus beau sourire, faut que je vérifie quelque chose. » A la demande de Deborah, le groupe s’exécute. Eva force un large sourire de toutes ses dents. Pub colgate de groupe ! « Ça a l'air de marcher. Ton humeur augmente. » Constate Deb en passant derrière elle. Les robots ont cessé d’avancer, ce qui confirme la théorie. « Bien, c'est le moment scientifique : un sourire ce n'est pas juste un sourire. Le fait de sourire fait penser au cerveau qu'on est peu plus heureux qu'on l'est réellement et là ça va nous aider parce que le type de la pub a construit ces robots pour nous rendre heureux mais, comme vous l'avez peut-être vu, quelque chose a déconné. » « Même beaucoup déconner... » Et c’était peu dire…Qu’est-ce qui lui avait pris à Eva, déjà, de venir ici ? « Non tu dis "même beaucoup déconner" et ensuite tu fais un sourire. » « Donc il faut qu'ils pensent qu'on est heureux sinon...bug système ? » Son sourire ne quitte plus son visage. Et vu le bug elle avait pas tellement envie de se retrouver en face. « Ouais c'est l'idée. Allez, on avance et on arrête surtout pas de sourire. A aucun moment. Même quand on parle. »
Debbie prend la tête du groupe pour passer au travers des robots qui leurs bloquent le passage. « Mais quelle merveilleuse hospitalité vous nous offrez, le top du top, du top ! Et je suis qu'avec mes super amis, qui s'aiment tous comme des cœurs. » Entrant dans le jeu de Deb, Eva attrape le bras de Dewy comme si elle était devenue sa BFF. « Quel bonheur d'être ici ! Tout est tellement par-fait ! » Elle joue le jeu avec elle. « Je dirais même plus parfaitement parfait, j'adore et ses petits robots sont tellement au petit soin avec nous grâce à eux j'ai rencontré ma bff » A la volée, Eva adresse rapidement son sourire à Dew alors qu’elles avancent. « On reviendra, c'est sûr ! » « Bien sûr j'ai hâte de revenir » Ajoute Dew. Eva surenchérie, toujours en mode BFF de la mort qui tue. « C'est un endroit tellement parfait pour ton mariage Dewy chérie !!! » « Et on fera la lune de miel à... Aberdeen ! » On sent que Deb a donné une destination au hasard et l’étoile ne connait même pas cette ville en réalité. C’est pas grave, son visage reste illuminé de bonheur pour Dewenty. « Je suis tellement heureuse de te voir si heureuse ! » Et elle l’aurait vraiment été si on était vraiment en train de planifier son mariage et si c’était pas juste pour s’éviter des emmerdes monumentales. « Oh mais qu'elle idée géniale, je n'ai jamais été a Aber mais, on me dit que c'est extra pas autant qu'ici mais... c'est tellement fantastique, je suis tellement heureuse que vous soyez tout aussi heureuse » Ils sont obligés de se coller au mur pour passer les robots qui bloquent le passage. Une fois qu’ils sont tous passés, ils se mettent à courir. Si Eva lâche le bras de Dew pour qu’elles soient plus à l’aise dans leur course, les deux jeunes femmes se tiennent quand même la main. Ils parviennent à courir une centaine de mètres lorsqu’un des smiley-bot coupe Evangeline dans son élan en attrapant son bras, elle lâche la main de Dewenty. « SOURIS » lui crie Deb. Et elle s’exécute mais le robot ne lâche pas sa prise pour autant. Elle a beau essayer de tirer son bras, il la tient fermement.
Sa BFF revient près d’elle. « Tu peux la lâcher on a un mariage à organiser pour la joie et le bonheur » Evangeline tire un peu pour récupérer son bras mais il ne la lâche pas. « Bien dans ce cas je vais te la faire lâcher... pour mon bonheur... le prend pas mal surtout » Elle arrache la tête du robot, qui lâche enfin le bras d’Evenageline et elles reprennent leur course. « Votre forfait à expirée... c'est jouissif ça fait un bien fou ! depuis le temps que je voulais les massacré... ça va toi ? » Elle sourit à Dewenty, un sourire sincère et pas forcé juste pour tromper les robots cette fois. « Ca va oui...Merci Dewy » Mais reste à savoir comment le groupe va se tirer de ce foutoir…