« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Huit mois que le parfum de la mort empestait le Palais. Le décès de Laureline avait touché les coeurs , de la cour du Castel. Depuis cette perte, la couleur avait disparue de cette demeure, pour des tons plus sombres. Des teintes qui symbolisaient la dépression.. La chaleur qui ensorcelait le lieu, avait apostillée la demeure. Un souffle glacial était né, a la place. Les feux d'artifices qui étoilaient chaque nuit, ne brillaient plus de milles de feux, au dessus des plafonds a ciel ouvert. Dans les jardins des volatiles , les perroquets étaient muets et leurs jacassements avaient cessés. L'eau turquoises , des fontaines était de sang. Sous ordonnance de l'hôte de cette demeure, les servantes devaient vêtir de longues tuniques qui ne dévoilaient plus aucune parcelle de peau. Voilée d'un tissus de dentelle, elles étaient devenues sans visage. Le divertissement, n'était plus présent. La preuve, les portes du Palais étaient scellées jusqu'a nouvel ordre . Il n'avait plus de spectacles pour les troupes de cirque. Ni de bals privilégiés pôur les bourgeois. La musique qui avait sa place autrefois dans ce lieu, n'était plus que silence. Tout ce qu'on pouvait entendre, était les lamentations de l'unique fils du Seigneur, qui avait fauté par sa naissance. Il pleurait la perte de sa mère, mais aussi l'indifférence de son père.
En plus, personne était témoin de la présence de sa Seigneurie. Enfin presque... quand on le voyait, s'était pour se faire traîner de force par ses meilleurs amis, pour quelques sorties.Mais on voyait que sur son visage, que certaines expressions étaient un déguisement de sa détresse émotionnelle. On s’apercevait qu'il se négligeait . Qu'on le forcait a prendre soin de lui. On voyait que la mort de Laureline, l'avait torturer comme le cancer. Mais ses amis, s'assurait , surtout qui ne laissait pas dépirir pour mourir de son chagrin. Et qu'on ne retrouverait pas pendu a son lit. L'entité qu'il avait ramener à la maison, le lendemain de la perte de sa dame, était sous la protection du Grand-Père. Mais elle avait quelques moments privilégés avec le Prince. Parce qu'elle était devenue de son journal intime.
Les enfants étaient confiés la plupart du temps a des nourrices, sauf la Princesse, qui était toujours en compagnie de la Gouvernante Corail, qui s'avérait être Sadira. La mère de l'enfant sous son déguisement. Celle-ci s'occupait aussi de l'Orphelinat, le temps que son Seigneur soulage son deuil.
Quelques fois, le visage de la nouvelle maîtresse de lampe du Seigneur, pénétrait dans son bureau pour quelques entretiens, dont les murs gardaient les confidences secrètes. Mais la plupart des allées du Prince passait inaperçues. L’invisibilité en était sans doute la cause ...
Laureline avait eu des funérailles royales. Elle reposait , dans le jardin interdit. Seul l'Infant pouvait s'y balader. Eden enchanté ou la pierre et la flore était éternelles. Son corps endormie pour l'infini. Impuissant, son frère nécromancien, désarmé par la puissance de la malédiction. Le Prince suppliant son ainé, de bazarder son âme contre celle de la Plume. Au lieu de s'évader vers le Palais des songes, le monarque avait souhaiter, chambrer le dernier souffle de sa Belle dans une plume de son entité. Mais il avait échoué. Il avait trahi sa promesse..Durant des mois, il conservait le cercueil cristallisée a l'intérieur la couche prévue aux femmes de compagnie, pour satisfaire sa luxure. Jusqu'au jour, ou il immortalisait l'existence de Laureline dans de la pureté de la pierre, ou elle sera ensevelit par la vie immortelle, car chaque fleur sera imprégnée de son essence et sa beauté.
Séquestré par sa propre volonté, jusqu'au jour...dans les catacombes de l'Orphelinat. La, ou les mystères d'Agrabah vivent. Bagnard, Mozenrath lui releve de l'existence de ce que son frère espérant depuis de nombreuses années. L'existence d'un narrateur et auteur qui possède une langue magique. Et qui lui tracerait un nouveau départ. Il avait qu'a faire le voeu d'autrefois.. Fait de moi un Prince. Pourquoi cette parole ? Parce que son viel ami l'avait prévenu, mais il avait fait le sourd. A travers le temps, il serait enchaîné a la Princesse. La Féerie du Cosmos était capricieuse. La sorcellerie avait une devise. Par la loi, il fallait cesser d' être un hors la loi, et enfreindre l'un des commandements d'un Jinn. Être Prince lui coutait une rançon. Celle d' être epris de sa Princesse. Il avait eu accès à son rêve. Il avait eu son raptus a son statut et son trône. Mais il avait prêcher.. dans la luxure. Il était maudit. Et aucun sacrifice. Aucun rituel ne pourrait effacer sa dette. Mais pour remédier a sa poise amoureuse, car depuis la nuit des temps, l'amour est fatal pour un Agrabanais. Il suffit d'être attentif au conteur, du récit.
Mais plusieurs fois, leurs chemins se croisaient , mais la confiance n'était plus. Il était devenu qu'un prétendant . Et il n'était plus lui-même. Pourtant il n'avait qu'a chantonner et l'inviter a voir le monde. Lui tendre la main et lui dire : - Do trust me ? Et repéter une deuxieme fois pour être sur de son coup. Et tenter de se suicider, en sautant du balcon.. Inquiète et intriguée, elle lui tendra la main..
Ta voix la charmera, quand tu lui diras : Dans la poussière d'étoiles ,Naviguons dans le temps,Infiniment, Parce qu'Aladdin et Jasmine se retrouveront milles et une fois, à cause de ce souhait..Ce rêve bleu, est renouveau monde en couleurs. Où personne ne nous dit,C'est interdit, De croire encore au bonheur, car rêver seul est un rêve.. Donc
Assise a mon pupitre. Plume a la main devant une mille et une feuille griphonner de mots. J’interprétais chaque mot de ce scénario a haute à voix. Quand soudainement, je sursautais a sa présence... Il s'approchait de moi, se glissant derrière moi. Se penchant vers mon manuscrit..
- Que fais-tu Meggie ? Il déposait un baiser sur ma joue. Devenue muette. Un sourire aux lèvres, je tournais ma tête vers lui. C'était mon petit copain. - Une vieille dame, a demander mon père, qui lui invente une histoire sur notre héros préféré. Mais il m'a confié la tache. Et j'ai choisis le tien. J'ai choisis Aladdin. Et mon manuscrit commence par.. Depuis la nuit des temps, Les conteurs du monde des hommes ,ceux ci qui ont enchantés leur public avec leurs paroles. Mais certains ont un don plus rare encore . Celui de donner vie a leurs personnages en lisant a haute voix. Et ainsi les apporter dans notre monde. Il était une fois, un garçon du prénom Aladdin
Quelques mois , alors que l'histoire était inachevée, une tempête obscurcit le ciel ,et le manuscrit disparaissait.. sans sa fin heureuse.
Cher colporteur, décidément les conteurs apprécie raconter les nuits d'Arabie du héro du Moyen Orient, car Meggie vous n'etes pas la seule langue magique qu' Aladdin rencontre..Mais vous êtes en train de dévoiler que toute cette histoire était un rêve ? Rêvasser a deux le rêve bleu, c'est vivre une realité. Vous êtes d'accord ? Donc toute histoire était qu'un mirage ? Des feuilles qu'on peut déchirer ? Pas tout a fait, car cette vieille dame a faconner son histoire , car aucun héro ne méritait sa fin heureuse... Même pas celle écrite par une petite fille .. Mais Aujourd'hui..Do trust me ?
De ma plume, je dactylographiais ce que le temps lui avait dérobé. Il entendait cette voix familière qui lui lancinerait infiniment, a travers le sable et les époques. Mais il n'avait personne en sa compagnie. Sous l'Élysée aux nuances d'azur, vetue de sa tunique aux milles et une brillances princières, il grimpait sur le rebord de son balcon.. car confiance en son colporteur. cet ami qui lui bourdonnait des mots pour conquérir la Princesse.. Ce fredonnement l'hypnotisait tel un serpent et lui citait sa conduite a suivre.. Allez vous en , sauter donc du balcon...
D'un pas il franchit la frontière .Mais la carpette magique n'était pas au rendez-vous, car elle devait s'inquiéter..Il devait capter son attention et elle devait lui ouvrir sur son coeur, pour qu'ensuite ils s'envolent ensemble et chantonner leur chant sams fermer les yeux au bonheur..
Une voix d'un collègue résonnait dans les intercoms de l'Hopital. - Madame Nacer est demandée rapidement aux urgences. Pourquoi on te demandait dans ce département , alors que tu étais spécialisée dans celui de la pédiatrie. Est-ce qu'il avait une urgence concernant un enfant qui devait être transféré ? Peut-être dépendant de la perception des gens. Est-ce que la situation était plus inquiétante ? Certainement! S'agissait -il de ton pere ? Apres tout, la vieillesse commencait a se voir. Heureusement, il était encore en pleine santé. Mais si ce n'était pas lui, est-ce que c'était Rajah ? Quelle bétise avait-il encore fait ? Il fallait descendre au rez-au chaussé pour le savoir.Autour de toi, le décor était..bordélique. Une tempête magique était passée par ici..D'un revers d'un main, en train d'épousseter sa chemise de professionnel.. Parce qu'il était couvert de grain de sables.
Un collègue, plus précisément Docteur O'Neil, t'attendait pour quelques explications. Devant le bureau d'inscription, l'homme te tendait la main pour te la serrer. Mais c'était simplement pour un geste de courtoisie pour entamer calmement le sujet du jour. - Docteur Nacer, je me présente Docteur O'Neil, je suis sincèrement désolé de vous déranger durant votre quart de travail, mais nous pensons que vous êtes la plus qualifiée, pour cette situation suivez -moi.
Intriguant non? Ensemble, vous marchez dans les couloirs. En chemin, le medecin disait : - On est sincèrement désolé, on a du le neutraliser avec plusieurs calmants, il nous a donner du fil a retordre. Refusant, que les infirmières lui en vienne en aide. On a voulu aussi le transfèrer en psychiatrie, car il délirait disant que votre voix, la pousser en bas du balcon.Et qu'il avait ce bourdonnement dans les oreilles. Et que le tapis, ne l'a pas rattraper. Sourire confus. Nous n' avons pas alerter la police, car on croit qu'il sait sévèrement cogner la tête en chutant, ou voulant se suicider.. Mais on sait dit que vous serez la meilleure personne pour le prendre en charge..
Devant une porte. Le medecin la poussait légérement, avant te regarder dans les yeux et conclure : - Ne soyez pas surprise, il est un peu amoché, quelques cotes de brisés et une jambe, votre...
Il ouvrait la porte, pour dévoiler la chambre.
-Mari est un vrai cascadeur,il aurait pu se briser la nuque, mais il a refusé qu'on le touche, donc une fois calmé on lui a offert des anti-douleurs..Mais on comptait sur vous pour les premiers soins..
Le médecin s'éloignait. Allongé sur civiere, emmitouflé dans une couverture, tel un nourrisson. Tu ne pouvais pas voir mon visage, couvert par ma touffe de cheveux emmêlée cachait mon minois. Inconscient, en raison des sidatifs, parce qu'on m'avait piqué de force, il y a plusieurs minutes..Dans mes lamentations de douleur, avant de perdre connaissance j'avais suplié ta présence auprès de moi, car ce n'était pas rêve mais la réalité.
Dans les contes de fées, dans les comtes de princesses, il avait toujours une fin heureuse. Mais pour certaines princesses les choses ne s’étaient absolument pas passé comme dans le comte. Jasmine étaient une princesse qui n’avait pas eu une fin heureuse, et pourtant, elle aurait pu l’avoir. Si, son chère et tendre mari n’avait pas simplement décidé de partir le soir de leur nuit de noces. Dans le fond, la jeune femme lui en voulait beaucoup, mais de l’eau avait coulé sous le pont et les choses avaient bien changé depuis. Jasmine n’était plus la jeune femme qui avait besoin d’un prince pour pouvoir voir le monde. Non, dès qu’elle avait envie de sortie, elle le faisait sans grand problème, la plupart du temps, accompagner par son meilleur ami. Meilleur ami qui avait séché tant de larmes sur la joue de la jeune femme. Elle ne serait jamais assez reconnaissante pour lui dire merci. Elle se rendait compte qu’elle avait beaucoup de chance de l’avoir dans sa vie. Et, elle espérait l’avoir encore un moment.
Jasmine savait qu’Aladdin n’avait pas eu une vie facile jusqu’à maintenant. Même s'ils ne se parlaient pas plus que cela. Elle était tout de même au courant de sa vie. Elle aimerait tellement pouvoir retourné au pré de lui, mais, il avait fallu qui se trouve une autre femme, ou encore, qu’il fasse des enfants. Chose qu’elle avait toujours rêvé. Le jour où elle avait rencontré le brun, elle avait su, qu’il serait l’homme de sa vie. Elle se voyait déjà dans un grand palais, entouré d’enfants. Et pourtant, les choses ne s’étaient absolument pas passe comme ça. Maintenant, elle restait sur ses gardes, ne voulant pas tombé de nouveau dans le filet. Elle ne savait pas ce qu’il se passerait de nouveau. Il pourrait prendre peur et la laissée tombée une nouvelle fois. Malgré le faite qu’elle soit mariée avec lui, elle ne lui devait plus rien. Et pourtant, elle ne pouvait pas s’empêcher de s’inquiéter pour lui. Elle savait qu’il venait de perdre une personne importante à ses yeux. Sans doute une femme qui avait bien plus aimé qu’elle. Elle ne pouvait pas s’empêcher d’être jalouse dans le fond. Car cette femme, qui n’était plus de ce monde, avait réussi à avoir tout ce qu’elle voulait.
Assise sur une des chaises de l’accueil qui se trouvaient en pédiatrie, la jeune femme était en train de remplir un dossier quand son nom se fit entendre à travers l’hôpital. Fronçant les sourcils, elle posa le dossier avant de tout simplement se lever et de marché d’un pas rapide vers les urgences. Elle ne comprenait pas, elle espérait juste que cela ne soit pas quelque chose de grave. Ou encore son meilleur ami qui avait eu un accident. Son cœur commença à battre à cent à l’heure, alors qu’elle descendait les marches rapidement.
Enfin arrivée aux urgences, elle sera la main de ce médecin qu’elle ne connaissait pas. Elle ne comprenait absolument pas ce qui se passer, et son cerveau avait du mal à faire son travail. Et son cerveau s’arrêta de fonctionner quand elle vit son mari sur ce lit. Écoutant tout de même ce que le médecin avait à lui apprendre, elle s’approcha d’Aladdin. Bien vite, elle n’entendait plus rien, juste les battements de son cœur qui avait doublé. Elle ne comprenait pas , pourquoi il avait sauté du balcon, ou encore pourquoi il avait entendue sa voix. Son mari, était-il en train de devenir réellement fou ? Passant sa main sur son visage, enlevant ses cheveux qui l’empêchait de voir son si beau visage. Un sourire ce dessina sur ses lèvres, il n’avait pas changé, et son cœur rata un battement. Elle était toujours amoureuse de lui, il n’avait aucun doute la dessus.
Secouant la tête, elle attrapa un ciseau avant de tout simplement découper son jean, au moins, elle pourrait travailler en paye pendant qu’il dormait. Demandant de l’aide, elle ne mit pas longtemps avant que son mari ne se retrouve qu’en sous-vêtement. Au moins, elle pourrait l’examiner sans problème. Et de plus, les infirmières pouvaient faire leurs boulots sans qu’il ne dise quelque chose. La jeune femme se demandait vraiment ce qu’il s’était passé dans la tête du brun. Il avait dû avoir une hallucination, il n’avait pas d’autre explication.
Enlevant tout ce qui pouvait la gênée, elle s’installa sur une des chaises avant de prendre la main d’Aladdin dans sa main. La caressant avec son pouce, elle savait qu’elle avait du travail à faire, mais, elle ne pouvait pas le laisser tout seule. Il en était en hors de question. Surtout pas l’homme qu’elle portait dans son cœur. Il risquerait de passer un mauvais quart d’heure au moment où il allait ouvrir les yeux. Il ne recommencerait pas à faire des bêtises, elle en était sûre. Jasmine pouvait être très gentille, mais il ne fallait pas lui faire de grande peur, ou encore jouer avec elle. Et le brun, n’avait pas été des plus tendres avec elle. Soupirant, elle tourna la tête vers le jeune homme.
“Aladdin...Réveille toi...”
Elle avait parlé d’une voix douce et basse, elle ne voulait pas non plus lui crié dessus tout de suite. Puis, il avait de forte chance pour qu’elle ne fasse rien du tout que de lui poser des questions. Ou encore, prendre soin de lui. C’est ce qu’elle allait faire, il n’y avait aucun doute là-dessus.
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Ali Nacer
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| Conte : Aladdin | Dans le monde des contes, je suis : : Le héros au coeur pur
Néant. Perdu dans l'obscuriété, mes paupières occultaient la lumière de la vie. Ma tête contre le pavé de pierres de mon jardin. De mon balçon, j'avais une vue a coupée le souffle. Inspiration de notre Royaume Désertique. Et sous celui-ci , se trouvait le jardin satané. Le jardin ou l'amour était maudit, mais vivrait éternellement. Cogner. J'avais perdu conscience, a cause du choc de ma chute. Silence. Je n'entendais plus le bourdonnement de ta voix, qui me dictait ma conduite. Mon corps gisait proche de la fontaine. Méconnu. Une personne, inquiète de voir le pendentif au cou, de ma fille, Kenza Alienore, perdait en brillance. Une lueur, était symbolisait notre lien. Mais aussi l'infection de notre coeur.. Elle sans moi.. Et moi sans elle..ça ne pouvait pas exister. En prenant des risques, je l'a condamnais a mon trépas. Mais sa mère me connaissait , elle savait que j'étais un survivant et que mon enfant me donnerait toujours la motivation et la force de persister pour continuer.. Cette vie poisseuse. N'ayant pas connaissance du trajet, ni même de l'identité de mon sauveur. Heureusement, trahison et Punition. Cet étranger, n avait pas eu la permission de franchir la frontière du sanctuaire interdit. Mais je pouvais pardonner..pour la vie de mon bambin.
Contact avec la réalité. Couché sur une civière. Roulant vers l'entrée de cet antre infernale. Je franchissait les portes coulissantes de l'hopital, en me lamentant. Alors que j'aurais pu..Je n'avais pas ma place dans cet endroit. Mais sous la douleur mais surtout a cause la présence de féminité. Craignant et méprisant le sexe opposé , a cause des séquelles que celui-ci m'avait laissé. J'interdisais qu'on s'approche de moi, préférant souffrir. Que de leur confier ma confiance et ma vie. Sous la panique, je déclenchais ma magie cosmique pour me protéger. M'entourant d'une sphère sableuse. Prisonnier de ma bulle. Posant une main sur ma cuisse. Sous la paume de celle-ci , aucune lueur, se manifestait. Pourquoi ? Ça aurait pu régler le souci. J'aurais pu retourner dans ma forteresse. Loin de ce lieu que je haïssais..
Grace a mon don de métamorphose, j'aurais pu m'épargner cette détresse émotionnelle. Mais une énergie plus puissante que la mienne, me neutralisait. Cette sorcellerie était un guilde pour que je suive un chemin.. sans trouver d'échappatoire. Je n'avais pas le droit de fuir. Pas cette fois.. Donc d'un claquement de doigts, je ne pouvais pas m'évaporer. Et d'une pensée, je ne pouvais pas être invisible, pour m'éclipser et ramper vers mon chateau. Mais cette situation n'avait rien de rassurante et m'affolait d'avantage, car jamais ce m'était venu a l'esprit. Que dans les coulisses de mon Destin, Meggie tirait les ficelles. Que j'étais sa marionnette.
Mais perdre le contrôle sur ma personne, me terrifiait. Donc au département de l'urgence, c'était le bordel..étant un cas particulier et magique, je donnais du fil a retordre aux personnels médicaux et a la sécuriété. Jusqu'à que je m'épuise a cause la plume de mon auteur, qui ne voulait pas mettre la vie d'autrui en danger, avec ses mots. Elle voulait juste atteindre son but. Renouer, un lien qui n'aurait dut jamais se fracturer. Elle me dépouillait une nouvelle fois du contact de la réalité. Devenait vulnérable..Et entre mes lèvres un dernier murmure s'échappait, je disais ton prénom...On s'occupait de moi contre ma volonté, mais on avait compris mon voeu, celui d'avoir ta présence a mes cotés.
Dans une pièce, mon enveloppe charnelle était entreposée. Et mon corps se reposait. Mais intérieurement mon âme maudissant cet endroit pour plusieurs raisons. Certaines plus importantes que d'autres. Préférant etre dans mon confort princier. Cotoyait des visages connues. Ne désirant pas etre un phénomène de foire, étant un Jinn. J'étais un patient particulier qui avait des besoins particuliers. Physiquement et mentalement, je possèdais quelques anomalies, qui n'était pas inscrit dans un dossier que tu pouvais lire..Mais découvrir dans les moments, que tu passerais avec moi. Certes, tu connaissais quelques fragments de ma vie. Mais il me restait quelques mystères a te confesser.
Je n'appréciais pas aussi cet emplacement, à cause de toi. Sachant que tu travaillais dans le département pédiatrique. Je culpabilisais. Tu étais toujours en présence de familles , mais surtout d'enfants. Et par ma faute tu devais en souffrir. Regrettant de ne pas t'avoir exaucé, ce projet que nous avions en commun. Notre fin heureuse jusqu'à des temps, qui se résumait a une phrase : Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants. J'avais trahie ta confiance en te promettant un mariage heureux. J'avais échoué ! Et plus précisément le fruit de notre reve bleu. Au fond de moi, je sentais qu'il était trop tard.. J'étais un raté ! Cette crainte, de m'engager, pensant que je ne serais jamais a la hauteur de tes attentes. Des attentes de notre peuple. Cette pression, était que destruction. Nous n'étions plus un couple. Nous étions qu'une femme et un homme lier par une bague et un peuple. Chacun notre tour, on avait accomplie des actes, qui nous éloignait. Mais l'envie d'être avec toi, et de te faire un enfant était toujours présente..Mais il était trop tard ,car deux autres femmes avaient eu ce privilège avant toi. Et tu te nourrissais sans doute de tes ressentis de ce fait et de ta rancoeur pour me hair. Et voler, sans moi vers d'autres horizons. Tu découvrais le monde sans moi...
Mais moi, mon esprit n'est pas tranquille parce que tu as cette magie en toi, qui font que j'ai besoin de cet amour amer. Donc prend ma main et ne la lâche plus..Et qu'on puisse notre rêve devienne une realité.
Le médecin avait quitté la salle, pour t'y laisser la place, Et ne voulant s'attarder non plus, pour remettre les choses en place dans le département de l'urgence après ma crise. Mais quelques infirmières te rejoignaient, pour te porter soutien. Que ca soit émotionnellement ou plus techniques. Pendant que tu étais précipiter vers moi, une garde-malade, avait apportée mon dossier médical. Si tu étais curieuse d'y jeter un oeil. Celui pouvait contenir quelques faits de ma vie passée, car depuis mon statut de Génie, j'évitais l' Hopital. Mais a l'intérieur se trouvait les résultats de mes radiographies avant ton arrivée. Déposant le document, sur une table. Puis elle te disait :
- Madame Nacer, je vous met cela ici..
Enroulé dans une couverture, jusqu'au cou. Il avait seulement, ma tête de non-couverte. Mais pourquoi se emmitonné ainsi ? Cocon rassurant, qui me protégeait de l'environnement effrayant. Mais aussi, pour garder une chaleur corporelle que les Djinn ont besoin, pour leur survie. Leur température doive attendre les 106.7 dégrés.
Coucher sur le coté. Ma chevelure entremelée, et frisottante cachait mon visage. Jusqu'a tes doigts, viennent le dégager tendrement. Pour y découvrir un minois immortalisé dans le temps. Durant la malédiction, on avait été figé. Et ensuite, quand le temps de l'Horloge avait repris son court. Les circonstances de ma vie, avait fait de moi un être immortel. Agé physiquement, de dix huit ans pour le reste de ma vie.
Mais je n'étais pas un souci pour nous, enfin je crois, sauf si..ce que je pensais se produisait. Mais ce n'était pas un détail important pour le moment. Mais le moment venu je renoncerais a ma jeunesse pour t'accompagner dans la vieillesse , si tu désirais de moi pour t'accompagner jusqu'à ton chemin de croix. Yeux clos. Levres pulpeuses entre-ouvertes. Coté du visage sali par mon sang séché. Celui-ci , souillait ma peau a cause de ma plaie au front. Une blessure causé durant l'impact de ma chute. Au moment, ou ma tête s'était fracassée contre le pavé. Sous le contact de ta caresse, sur une mes mèches ébènes de ma crinière. Zone érogène ! Tu me procurais la chair de poule. Des frissons serpentaient sur mon corps entier. Et de ma bouche, je soufflais un gémissement. Mais que tu ne pouvais pas apercevoir, cette sensation que tu me procurais , tout simplement en raison de la couverte. Inconsciemment, je me mordillais ma babine inférieure, pour te signaler que je ressentais ta présence. Même si je n'avais pas besoin, de contact physique pour te savoir près de moi. Juste ton essence parfumée, qui chatouillait mes narines jouait ce rôle.
Hypnotisée par ton sentiment hantise du passé. Ensorcellée par les battements de ton coeur, qui remémorisait notre rêve bleu. Tu prenais plusieurs minutes pour m'admirer, avant de me dépouiller de mon confort, ma chaleur et ma sécuriété. Tu m'enlevais mon armure imaginaire. Pour me dénuder. Grognant sourdement, quelques secondes. Je me déplacais sur le dos difficilement. Mon expression de mon visage, se crispait , parce que je sentais mon corps lourd et qui avait de la difficulté a suivre les directives de ma volonté. Je ne ressentais plus la douleur physique, a cause de tous les sédatifs qu'on m'avait administré, avant ton arrivée. Et heureusement pour moi.. Parce que la souffrance était presque ma meilleure amie.
Profitant de mon repos. Faisant le premier pas vers la redemption de notre relation. En main, tu prenais un ciseau, de la table d'outils présente dans la pièce. Heureusement pour toi, je n'étais pas conscient de ce geste. Dans un scenario spontané , j'aurais paniqué.. Pensant que tu en voudrais a ma peau pour mes bétises. Et parce qu'il fallait toujours se méfier d'une femme, avec un potentiel objet, qui peut paraitre dangereux. Clouer au lit, tout mon corps était a ta disposition. Tu pouvais donc découper le rempart , pour te remémoriser des scenes pas saines de nous, en déshabillant mon intimité. Mais tu me devras un pantalon.Donc, si tu ne voulais plus me revoir. Tu te ferais imposer un moment magasin avec moi, jusqu' à je trouve un pantalon a mon gôut. En caleçon, tu pouvais faire plaisir a tes yeux.Et m'examiner dans le moindre détails. Tu pouvais deja te rassurer, aucun os avait perforer ma chair. Donc aucun bloc opératoire m'attendait. Un platre sera suffisant.
Mais si, tu te souvenais de mes formes masculines. Espérant que oui pour certaines. Tu pouvais t'appercevoir, que ma jambe droite était enflée, contrairement a sa jumelle. Et elle avait une teinte bleutée. C'était ma couleur préférée. Mais je n etais pas une raison suffisante, pour me transformer en Jinn. Sinon mes jambes seraient devenue une queue vaporeuse.La couleur était juste la preuve, encore une fois, que j'étais assez débile pour obéir a une Princesse qui me plaisait..
Si tu ouvrais mon dossier, tu aurais vu qu'elle était fracturée a plusieurs emplacements. Si tu etais observatrice, tu pouvais remarquer en soulevant un peu le tissus de mon cabut. Une longue cicatrice, qui te racontait l'histoire d'un super héros, qui avait secouru la Russie. Mais le prix de cet acte héroique avait été le déchirement d'un muscle de la cuisse a cause d'un morceau de miroir. Il ne faut pas faire confiance aux miroirs. La raison pourquoi dans mon Palais, cet objet maléfique, avait été banni, de mes demeures et ma chambre. Parce que souvient toi, de ce Troll qui avait surgit.. (Vu que c'est un aventure avec l'ancienne je pourrais t'en parler plus en profondeur). C'était donc la jambe malchanceuse. Mais heureusement pour moi , la blessure d'aujourd'hui n'était pas si grave. Mais je devrais sacrifier un moment, mes activités sportives, le combat ,le parcours et le saut aérien. pour me rétablir. Ce qui me faisait un peu mal au coeur, mais si ca me rappprochait de toi, cet accident valait la peine.
Une infirmière qui était restée avec toi te disait: - Vous pouvez être rassuré, il s'en sortira mais , si je peux me permettre, son état psycologique serait a surveiller.Il semble instable émotionnellement. Est-ce que vous savez si quelqu'un pourrait veiller sur lui ? Car il pourra retourner chez lui quand il se réveillera..
L'infirmière avait été là a mon arrivée, elle avait vu mon comportement, et m avait peut-etre coller un étiquette trop rapidement. Elle connaissait peut-etre ma réputation ou elle avait simplement lu mon dossier que j'avais fait quelques tentatives de mettre a fin a mes jours. Mais pourquoi ? Tout simplement parce que l'amour c'est fatal. Enfin presque... Parce que la mort ne semble pas vouloir de moi, ou j'avais peut-etre quelques personnes qui veillaient sur moi dans l'ombre. Mais moi, je n'avais pas envie de rentrer sans toi.
Pendant que tu t'assoyais, et que tu attendais mon réveil. Elle me faisait mon bandage, qui emballait toute ma jambe. Une fois terminée, elle remettait la couverture sur moi. Puis elle te disait: - Je vous laisse toute les deux, je vais chercher un fauteuil et chercher une prescription pour des anti douleurs. Puis elle quittait la pièce en refermant la porte, derrière elle.
Seul avec moi, tu faisais un petit rangement rapide, avant de reprendre ta place sur la chaise. Tu étais a mes cotés, mais pas assez proche de moi. Si tu pouvais lire, les désirs. J'aurais souhaiter, que tu te glisses sous la couverture avec moi. Mais tu gardais une distance. Sans doute , a cause de la méfiance. Tu prenais ma main dans la tienne. Ma main était brûlante. Une preuve que je n'étais pas mort. Mais peut-etre une preuve que je faisais peut-etre de la fièvre. Mais en vrai..tout allait bien, c'était juste la température corporelle de mon corps. A mes doigts, je portais plusieurs bagues, une chevalière particulière, qui révelait mon Palais. Un anneau que tu connaissais, pour en avoir fait l'usage, quand tu étais venue me voir ,une fois. Il t'avait relevé un passage qui menait a mon bureau. A mon annulaire, je portais mon jonc de notre mariage. Et sous celui ci, notre tatouage commun, serpentait toujours mon doigt. Sur ce même doigt, graver dans ma chair, je portais une brulure. Symbole de mon union , avec Ema. Une démone...que je te parlerais. De ton pouce, tu caressais la paume de ma main. Sous ton contact, je serrais doucement et tendrement tes doigts,pour que ceux ci soient prisonnier de ma main. La pression naissante, se faisait plus forte...car il n'était plus question qu'on se quitte. Une faible lumière blanche, encerclait nos mains. Qu'est-ce qu'est-ce que ca signifiait ? La magie du véritable amour se manifestait...
Et si je devais faire semblant.. de jouer les handicapés, je le ferais. Parce que ta présence était l'espoir que j'attendais, pour donner une chance a notre rêve bleu. On avait assez perdu de temps...Trop d'années... Il était temps de passer aux choses sérieuses!
Une nouvelle fois j'entendais ta voix...Enfin cette fois ci, c'était réel ! Ne n'était pas une mise en scène pour déguisée la vérité. Tu voulais que je me réveille.. Mais si j'exaucais ton souhait, je savais que ca allait avoir droit a un interrogatoire. Et je savais que mon état psycologique t'inquiétait.. Comme la plupart de mes proches. Pour un garçon de mon âge , la vie ne me l'avait pas donné facile. J'avais le vécu d'un vieil homme.. Tranquillement, je prenais conscience. Le bruit de la porte que je venais de verrouiller, par la magie, en était la preuve. Je voulais qu'on soit seul.. Pourquoi ? Parce que toi et moi on avait besoin d'intimidité. Mais aussi parce que je devais te convaincre, de venir habiter avec moi. J'aurais pu passer un séjour chez toi, mais je ne voulais pas laisser derrière moi , mes enfants et tout le reste. Et tu ne pouvais pas fuir. Ni sauter par la fenêtre parce que tu n'étais pas aussi suicidaire que moi.
Mes lèvres formaient un cercle, un cul de poule. Pourquoi ? Je n etais pas une Princesse. Mais tu connaissais le principe.. Un baiser magique, peut briser toute les malédictions et peut-être même réparer une jambe cassée. Avec un peu de chance, exaucer notre rêve bleu..Dans un murmure, je te disais, d une voix douce..une voix qu'il n avait pas changé: - Embrasse moi Princesse !
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Tu veux que la pique, tu me fiches le bourdon (Pv Jasmine)