« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Meredith est Mary Poppins. La nurse magique, celle qui a un parapluie qui parle et un sac en tapisserie avec un fond qui n'existe pas. Elle a gardé un secret depuis de nombreuses années. Elle a eu une fille avec Bert mais personne mise à part son oncle n'était au courant, voulant la cacher de la sorcière noire. Cette dernière les retrouve et utilise la faiblesse de Mary Poppins pour lui faire croire à la mort de sa fille. A la rupture du Sort Noir, elle retrouve la totalité de ses souvenirs et se met à chercher sa fille parce qu'elle sait qu'elle n'est pas morte. Un jour, une peinture étrange, représentant un chateau arrive au musée de Storybrooke, c'est Meredith qui s'en occupe. Elle comprend rapidement que ce tableau est un portail vers le monde de la Sorcière Noire et elle s'y fait emporter avant d'avoir pu dire "ouf", laissant derrière elle son sac et son parapluie. Prisonnière de la sorcière noire au sein d'un de ses cachots, elle utilise le peu de magie et d'énergie qu'il lui reste pour envoyer un appel à l'aide.
Meredith P. Newton Mary Poppins
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Angelika Beresford aka miss Bianca petite souris de la SOS société est une femme courageuse toujours prête à se battre pour des causes qu’elle estime être justes ! Les enfants étant son domaine de prédilection, c'est à l'orphelinat qu'elle a fait la connaissance de Meredith !
Angelika B. Beresford Miss Bianca
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Super héroïne de Terre 2, depuis son retour à Storybrooke après un passage à New York, Violette n'a pas chômé. Elle est née pour aider et sauver les autres et accessoirement le monde et c'est ce qu'elle fait le mieux. Dernier monde sauvé : Neverland. Mais attention à ne pas la contrarier. Ni à l'approcher si vous êtes un garçon, vous risquez de ne pas vous en sortir vivant.
Violette Parr Miss Indestructible
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Ben est un homme très simple. Tu le gonfle, il te cogne, et il dormira sur ses deux oreilles sans soucis... Il peut aussi éviter de cogner, quand il pense que les personnes le mérite. Il a deux enfants, et malgré son caractère de cochon, il reste très paternel, et un peu rapidement. Il est très terre à terre. N'aime pas le second degré. S'il trouve que quelque chose est injuste, il fera tout pour. Il est peu tactile, peu bavard, mais on peut lui faire confiance. On lui fait vite confiance, et il mérite cette confiance malgré sa froideur.
Ben Ranger Blade Ranger
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Jude c'est Happy. Mais il n'a plus rien d'happy même avec le retour des souvenirs. Il a retrouvé la Guilde il y a peu et il cherche encore sa place. Il parle peu et se fout de tout et tout le monde. Il a gardé la capacité d'invoquer ses ailes mais il les utilise rarement. Il n'aime pas les gens en général et encore moins le contact physique.
Jude Happer Happy
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Leo est Loke, la constellation du Lion. Il fait partie de la Guilde de Fairytail. Considéré comme un mage, il n'a jamais eu de parents, étant né ou plutôt créer par un "dieu" ou quelque chose comme ça. Leo connaît Meredith depuis leur périple dans son monde à lui. Elle l'apprécie peu et lui également. Homme à femme, il demeure très dragueur mais sait se montrer combattif quand c'est nécessaire.
Léo Lionstar Loke
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Rien, comme ce mot est utile n'est-ce-pas ? Il peut désigner absolument n'importe quoi.
Les Guest-Stars
Rowena...Quelle histoire. C'est elle qui est à l'origine de tout. Sorcière Noire, dévoreuse d'âme d'enfants hybrides, elle conserve ses pouvoirs en volant ceux des enfants. Ennemie suprême de la mère de Mary Poppins, elle réussit à obtenir ses pouvoirs contre l'impossibilité de s'en prendre à Mary Poppins, alors encore enfant, étant née hybride par un père mortel et une mère fée. Gardant un oeil sur elle, elle apprend sa grossesse et décide d'enlever son bébé. Mary réussit pendant un temps à se cacher des radars de Rowena mais cette dernière finit par les retrouver. Mary Poppins usant de trop d'énergie pour protéger Nina, elle ne peut lutter contre le sort de mémoire de Rowena. Cette dernière enlève Nina et l'a fait croire morte à sa mère avant de fuir pour retourner dans son royaume pictural. Un royaume où le temps est différent. Faisant régner la terreur et la crainte, elle tiens prisonnière Nina pendant vingt ans avant que la peinture n'arrive dans le musée de Storybrooke et que Mary Poppins en personne mette son nez dedans. A présent, elle l'a tient prisonnière et sait exactement à qui s'en prendre pour qu'elle accepte de lui donner ce qu'elle attends depuis toujours, ses pouvoirs. Elle a simplement oublié que Mary est futée et que Nina la première va la sauver.
Rowena Darkcastillo La Sorcière Noire
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Nina ? C'est la fille de Mary Poppins et Bert. Fruit d'un amour défendu, personne à part l'oncle de Mary Poppins n'est au courant de l'existence de Nina. Enlevée par Rowena à sa mère alors qu'elle n'était qu'un nourrisson, elle grandie enfermée dans un chateau semé de pièges, dans une chambre de laquelle elle ne sort que rarement. Lors de sa vingtième année, elle essaie d'entrer en contact avec sa mère, ce qui va ammener à toutes les péripéties qui suivront. Avec l'aide de son chat Noukia à qui elle a réussit à donner le don de paroles, elle réussit à fuir le chateau et à se cacher, espérant trouver de l'aide pour libérer sa mère de l'emprise de Rowena. Nina est une mi-fée, mi-humaine, n'étant pas aussi puissante que sa mère, elle n'a que très peu de pouvoirs mais assez pour se maintenir en sécurité, jusqu'à ce qu'elle soit prête.
Nina Finley-Newton La mi-fée, mi-humaine
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Balthazar...Balthazar demeurera éternellement le petit Benjamin, cet enfant qui a fait chaviré le coeur de notre nurse magique. Elle considère ce jeune homme comme son fils, elle l'aime, elle le sait. Elle sera toujours là pour lui, à veiller, qu'il le veuille ou non. Pourquoi il se retrouve prisonnier des cachots de Rowena ? Il est une pièce maîtresse de l'échiquier, un moyen facile de faire craquer Meredith mais elle ne sait pas à quel point elle se trompe. Muni de son rasoir, il fait des miracles et ce n'est pas qu'une façon de parler !
Balthazar Graves Le Barbier
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Daemon est le conservateur du musée. C'est également un puissant démon, plus puissant que Meredith et très certainement plus encore que Rowena elle-même. Il s'est retrouvé dans le tableau à son insu, ses pouvoirs étant réduits dans le chateau, il n'a que peu de moyens de se défendre. Il se trouve présentement dans la cellule voisine de Balthazar.
B. Daemon Crypto Bill Crypto
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| Conte : mary poppins | Dans le monde des contes, je suis : : mary poppins
Extrait du livre à secrets de Meredith : il y a longtemps dans une ferme perdue entre deux royaumes.
« Décevante. » dit-elle en me repoussant alors que je retombais au sol, épuisée. Pour le coup, toute ma puissance, je l’avais mis pour elle, je voulais la protéger, la sauver de ce destin mais je n’en étais capable, pour la première fois, je me sentais faible, anéantie. Mon regard se relève, je la vois approcher son visage de ma fille « Non ! » hurlais-je alors que j’utilisais la télékinésie pour la propulser plus loin mais j’étais fatiguée et j’avais l’impression qu’elle se nourrissait de moi aussi, tout autour de nous perdit soudainement ses couleurs, comme si tout n’était que cendre et malheur alors qu’elle pose sa main sur mon front, elle s’est nourrie de mon énergie, je le sais, je n’arrive pas à protéger ma mémoire, je ne peux pas protéger ma vie et la sienne, de nouvelles images se créent dans ma mémoire alors qu’elle murmure à mon oreille « Ta douce Nina est morte brûlée par les flammes, d’elle, il ne reste que les cendres, tu as failli, la vie t’as repris ton enfant, tu ne méritais pas d’être mère. Ta fille est morte par ta faute, la bougie est tombée sur le sol et a tout enflammé. Elle est morte alors que tu voulais la protéger. » Je n’arrive pas à sortir ces images de ma tête, je sais que c’est faux mais je n’arrive plus à les sortir de mon esprit, ma mémoire se brouille. Je me sens soudainement soulevée de terre avant que tout ne devienne noir autour de moi. Lorsque je me réveille, je suis dans le couloir, devant une chambre en cendres. Le berceau fume encore. Cette image me brise, ma fille, cet ange qui faisait de ma vie un beau rêve était morte par ma faute.
Musée de Storybrooke. 01h35 du matin.
J’entre dans la réserve, pose mon parapluie et mon sac sur le bureau avant de m’approcher de la nouvelle peinture qui était arrivée depuis peu. Je l’avais mise sous un drap blanc parce que j’avais l’impression que quelque chose d’étrange se produisait lorsque je m’approchais d’un peu trop près. M’installant devant, je respire longuement et retire le drap blanc avant de me rendre compte que tout semblait normale. Mais comme je le dis si bien, il faut se méfier des apparences. J’avais travaillé dessus toute la journée et une bonne partie de la soirée et me voilà à présent, essayant encore de comprendre pourquoi lorsque j’approchais ma main, j’avais l’impression de me brûler au second degrés.
« Etrange… »
Me levant, je m’empare d’une loupe avant de la poser sur la peinture et remarque rapidement un visage à travers la fenêtre principale du château. Sursautant lorsque le dit visage se tourne vers moi, je me lève, faisant tomber le tabouret sur lequel j’étais assise. C’était pas normal. Elle ne pouvait pas être là. Ce n’était pas possible. Comment Rowena pouvait-elle être dans ce tableau. Posant la loupe sur le bureau, je quitte la réserve, laissant tout allumer et la peinture sans son drap avant de me rendre jusqu’à la pièce principale où j’étais sûre de trouver Daemon.
« J’ai besoin d’aide. »
L’instant d’après, Daemon nous téléporte tous les deux ainsi que le tableau pour qu’on se retrouve dans l’aile du musée exposant les grands artistes. Le tableau est présenté devant des auto-portraits de grands peintres, Vincent Van Gogh, Leonard de Vinci, Gustave Courbet. On pouvait observer également d’autres images et des statues de pleins d’artistes d ‘époques différentes.
« Van Gogh, De Vinci, Courbet, allez-y, étudiez moi cette peinture. Elle ne m’appartient pas et est pourtant chez moi. Qu’en pensez-vous ? Maintenant. »
Voilà que les trois artistes y vont de leurs commentaires. De Vinci souligne le soin des détails, Courbet le réalisme de l’ouvrage et Van Gogh s’attarde sur quelque chose de plus profond.
« Réalisme… Je n’en suis pas convaincu. Le mystère qui entoure ce tableau est d’une exquise frustration. Il est à lui tout un seul un dialogue théâtral d’une pièce étrangère qu’on ne pourrait traduire. Il lâche quelques murmures d’un message inconnu. Une invitation, une menace, une peur ou un poème… Qui en est l’auteur ? »
Daemon se tourne vers moi.
« C’est justement cela qui est étrange, ce tableau est arrivé là comme…par magie je dirais. Mais le plus fou, c’est que je crois qu’il y a quelqu’un dans le tableau. Daemon, vous avez vu ce qu’il s’est passé la dernière fois quand j’ai utilisé mes pouvoirs pour voyager dans les peintures n’est-ce-pas ?… On avait tout un monde qui nous attendait. » « Monsieur Van Gogh a raison. Mais ses compères également. Le message que murmure cette oeuvre, je le connais. Ou du moins, j’en comprends une bonne partie. »
Il se recule, je fais de même. Il allume une boule de feu bleue à comme à son habitude dans sa main, qu’il lance sur le tableau, faisant reculer les trois peintres dans leurs autoportraits sous la surprise. La boule de feu ne fait rien au tableau.
« Son message est une invitation. Son sentiment est celui de la plus classique et vieille des haines. »
Il se tourne vers moi.
« Je suis né dans une dimension des cauchemars avec des milliers de portes autour de moi, à la recherche, pendant des trillions d’années, de la bonne. Vos pouvoirs sur ce tableau ne donneront pas la même chose que lors de notre voyage dans celui de la seconde guerre. Parce que ce tableau est une porte construite d’une magie noire que je peux ressentir et entendre. Aucune magie ne m’échappe désormais, et je peux vous assurer que vous n’avez pas envie de faire confiance en celle-ci. »
Je me mords la lèvre inférieure, passant machinalement une mèche derrière mon oreille.
« Daemon, je ne sais pas si vous le savez mais je suis ce qu’on peut appeler une enfant hybride, cette magie noire qui entoure le tableau, je la connais… une seule personne est capable de lutter contre mes pouvoirs. Rowena Darkcastillo, la sorcière noire. Dévoreuse d’âme des enfants hybrides. Effectivement, il ne faut pas lui faire confiance. »
Je montre à Daemon, la fenêtre du château qu’on distingue difficilement sans une loupe.
« Quand j’ai regardé la peinture, j’ai vu son visage. » « Je connais votre nature. Je connais également la faim de certains envers votre nature. La question est donc, voulez-vous sauter dans son piège, une stratégie militaire, vieille comme le monde, ou enfermer ce tableau dans le sanctuaire sans porte dans lequel j’y envoie les artefact les plus dangereux sans espoir de sortie ? » « Ce n’est pas tout. »
J’ouvre mon sac et fouille à l’intérieur avant d’en ressortir, un bout de parchemin, aussi vieux que l’époque de la peinture et le tend à Daemon, il se trouvait sous le tableau et il y était écrit d’une écriture fluide et féminine « Maman…Sauve moi… », je respire longuement et reprends finalement la parole.
« Je sais que ça ne vient pas de Rowena…je crois…je crois que c’est un appel à l’aide de ma fille. »
La seconde d’après, une lueur apparaît au sein du château. Une lueur bleue. Une musique que je ne connais que trop bien se fait entendre alors que la lueur s’intensifie. Mon regard plonge soudainement dans le tableau.
« Ce n’est pas normal… »
Je m’approche du tableau pour me rendre compte qu’elle avait trouvé le moyen d’ouvrir le portail de son côté. Rowena avait tout manigancé. Je me tourne vers Daemon
« SORTEZ ! Vite ! C’est elle ! Rowena a ouvert le portail ! »
Si on se retrouvait dans la peinture, nos moyens de sorties seraient minimes.
« Je vais vous apprendre quelque chose, Mary Poppins. Celui qui tend un piège à son adversaire est le plus faible des ennemis. Elle veut que vous entriez dans ce château et vous piéger en capturant votre fille ? Cela veut dire que dans son petit monde idéal aveuglé par la colère et l’excitation de la victoire, elle vous aura dans 30 minutes et fera tout ce qu’elle veut. Je suis un démon qui ait détruit une ville innocente par deux fois, et j’ai réussi la deuxième fois, sans avoir ce que je voulais pour autant. Ce genre d’attitude absolument peu stratège de grand méchant d’histoire pour enfant, il n’y a pas besoin d’être rattaché à l’Arbre Monde et sa racine de la magie pour la comprendre. Alors vous n’allez pas sortir d’ici non. Rentrez là-dedans et faites vous piéger. »
C’était sans doute le seul moyen de l’avoir à son propre jeu.
« Très bien. »
Je m’approche du tableau alors que la musique s’intensifie et que la lueur devient de plus en plus puissante. Elle finit par m’entourer entièrement et je ferme les yeux avant d’être emmenée dans le tableau, ignorant que Rowena ne me voulait pas seule et que l’instant d’après, la lueur bleue entoura Daemon. Laissant la pièce silencieuse et obscure.
Early each day to the steps of Saint Paul's, The little old bird woman comes. In her own special way to the people. She calls, "Come, buy my bags full of crumbs"
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| Conte : mary poppins | Dans le monde des contes, je suis : : mary poppins
Je n’aurais jamais cru dire cela un jour mais…bon sang de flute. Me voilà dans de beaux draps. Excusez-moi cet élan de vulgarité. Quand Daemon m’a fait comprendre que je devais affronter Rowena de l’intérieur, je n’ai pas hésité. Je pensais sans doute que tout fonctionnerais facilement, qu’on arriverait à l’avoir à son propre jeu mais je n’ai aucunement pensé à l’impact sur mes pouvoirs. En passant le portail, j’ai rapidement chuté sur le sol froid du château, devant Rowena Darkcastillo, l’origine de tout ce problème, la dévoreuse d’âmes hybrides, celle que je devais attaquer de front mais pas pour l’instant. Levant le regard, je me rendis rapidement compte que comme tout voyage dans le monde pictural, les tenues en sont infectées et pour concorder avec les lieux, me voilà vêtue d’une robe médiévale. Elle s’accroupit devant moi, je ne suis même pas capable de me relever quand elle lève mon visage avec son index. Elle approche son visage du mien.
« Pitoyable! » et elle me lâche, se relevant alors qu’une lueur blanche m’entoure. Mon énergie magique se dissipe, comme si elle se nourrissait de moi. Je devais lutter, je devais y arriver. Mary Poppins ne pouvait pas se laisser abattre « Non ! » hurlais-je alors que je levais la main et l’envoyer valser plus loin dans la pièce. J’avais envie de vomir, j’avais besoin de respirer. Je manquais d’air. J’avais comme une impression de compression, comme si toutes les belles choses de ma vie s’en allait, comme si l’obscurité des lieux remplissaient mes pensées. C’était son énergie maléfique qui affectait mes émotions et mes pensées. Elle se relève et me frappe au visage, furieuse avant de bouger la main et que je ne sois entourée d’un nuage de fumée noir avant de me retrouver enfermée dans une de ses cellules, les mains liées par des menottes. Mes pouvoirs ne répondaient plus. Je n’avais pas mon parapluie, mon sac non plus et j’ignorais si j’allais sortir d’ici vivante. Elle me regarde droit dans les yeux « Tu es venue la sauver n’est-ce-pas ? » Je lève les yeux vers elle, épuisée, incapable de lutter, alors qu’elle me regarde à travers les barreaux de ma cellule « Pourquoi l’avoir gardée prisonnière pendant toutes ces années ? » elle ris d’un rire mauvais et effrayant « parce que je savais qu’un jour viendrait où la malédiction serait brisée et où tu viendrais la chercher. Après tout, tu es sa « maman » chérie. »
Je me lève, furieuse, luttant contre les liens qui me tiennent attachés « Tes pouvoirs sont inefficaces contre moi, tu ne l’as pas compris la dernière fois ? Ta mère m’a manipulée mais j’aurais la source même de ton pouvoir. Même si pour cela, je dois tuer tous ceux que tu aimes. Ma faim sera rassasiée quand j’aurais aspiré l’énergie magique de la célèbre Mary Poppins ! » je me rassois, ma tête qui tourne me fait manquer de peu le banc sur lequel je m’assieds. Levant un regard sombre vers elle « Pourquoi moi ? Pourquoi ma famille ?! » Ses deux mains entourent les barreaux, si ses yeux pouvaient tuer, je serais morte à l’heure qu’il est « parce que tu détiens ce que je veux ! La magie de tes ancêtres sombre idiote ! Et je mettrais la main dessus, que tu le veuilles ou non ! » « JAMAIS ! » elle se recule « Seule, tu n’es rien Mary Poppins, tu ne seras jamais rien d’autre qu’une hybride qui ne mérite pas d’être aimée. J’ai du temps mais à la fin, c’est moi qui vais gagner et enfin je pourrais concquérir ce nouveau monde. » Elle se trompait, je n’étais pas seule et je ne le serais jamais. Alors qu’elle partait, je vins à fermer les yeux et à puiser au fond de moi. Une boule de lumière blanche se créa entre mes mains alors que je chantonnais la fameuse chanson que j’avais entendue quelques instants plus tôt.
La boule de lumière se rompit en plusieurs éclats lumineux avant de disparaître. C’était un appel à l’aide. J’espérais qu’ils l’entendraient, je savais pertinemment qui la boule choisirait. Mon esprit se perdit à espérer…que de l’aide serait apportée à celle qui la mérite.
Ce n'était qu'une question de temps...
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Ben Ranger
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Personnage abandonné
| Conte : Planes 2 | Dans le monde des contes, je suis : : Blade Ranger
- La réponse est non. - S’il te plaiiiiiiiiiiiiiiiiiiit - Non. - Allez dit oui, s’il te plait Ben, juste une nuit encore. - Sally …
Il regarda la petite fille qui refusait de passer l’embrasure de sa chambre. Elle était en train de lui faire les yeux doux, baissant la tête pour faire un visage digne du chat botté… Oui, depuis que Sally était rentré dans sa vie, Blade avait regardé énormément de film pour enfants … Mais c’était une autre histoire … Sally regardait Ben avec ses grands yeux plein d’espoir. Ben, de toute sa hauteur, observait la jeune fille. Puis, il soupira pour se mettre à sa hauteur.
- Sally, tu as 10 ans. Tu ne peux pas dormir avec moi toute ta vie. - et pourquoi pas, je suis ta fille !
Si Ben ne connaîtrait pas sa gamine, il en aurait été déstabilisé … Ce qui ne fut pas le cas. Il déposa sa grand main de travailleur sur sa tête et fit un large sourire. Les sourires qu’il possédait n’étaient destinés qu’à elle et son frère.
- Sally, fait moi plaisir. Je suis dans la chambre pas loin, mais tu dois apprendre à dormir toute seule.
Elle fit la moue et repoussa la main de Ben pour entrer dans sa chambre et claquer la porte. Lâchant un commentaire acerbe, et pourtant poli, sur le fait que Ben n’était qu’un idiot. Ben soupira. Il savait que la jeune enfant n’était pas méchante… En réalité, la seule dispute qu’ils avaient, et cela depuis quelques mois déjà, était sur ce sujet. Après le bombardement de son village, Sally avait eu beaucoup de mal à dormir… elle avait perdu le goût de tout … Et Maru l’avait bien compris, c’était pour cela qu’il l’avait ramené à Blade…. Et la petite avait fini par dormir avec lui … trop souvent. Se glissant dans la nuit sans un bruit pour ne pas le rêver, mais toujours avoir Blade à ses côtés…
En soi, Blade ça ne le déranger pas, mais il savait que ce n’était pas bon pour la petite, alors il devait jouer le méchant et la laissait dormir seul dans sa chambre. Il toqua doucement à la porte et passa la tête.
- Bonne nuit petite teigne, je laisse la porte ouverte et la lumière du couloir allumé.
Il lui envoya un petit bisou et il parti dans sa chambre. Qui pourrait croire que cet homme était comme ça en réalité ? Maru, Dusty, Graham, Illyana et elle. Les personnes le connaissant doux et attentionné se compte sur les doigts d’une main. Et encore, deux sur cinq étaient morts … Bref. Il parti se coucher. Et il s’endormit presque immédiatement. Le déménagement et l’adaptation à cette nouvelle vie dans cette ville de malades mentaux l’épuisant plus que ce qu’il ne l’avait cru.
A trois heures du matin cependant, une lumière fit son apparition dans sa chambre. Le réveillant d’un sommeil réparateur dont il avait besoin. Il prit d’abord son oreiller pour le jeter dessus, mais la musique et la lumière ne le laissèrent pas en paix. Il ouvrit alors les yeux pour voir la petite boule de lumière flottait dans sa chambre et déversant une tranquille clarté dans cette petite pièce … Cela permit de remarquer le petit bout d’humain couché à ses côtés dans le lit.
- Sally ….
Il soupira en écoutant la chanson. Il pensait la reconnaître, une chanson d’un film qu’il avait vu avec Sally certainement, mais il était incapable de se rappeler lequel … Il avait après tout vu tous les Disney en marathon une fois parce que Sally le désirer… il ne pouvait pas se rappeler de tous. Il observa Sally pour dégager son visage de ses cheveux en bataille.
- Sally, si ton père décide d’ignorer un appel à l’aide, qu’est ce que tu ferais ?
La petite bailla et se retourna dans le lit, non sans lâcher un :
- Je lui parlerais plus jamais, mais heureusement toi tu n’es pas comme ça.
Et Pouf. Morphée était revenu la couver…. Il eu un tic nerveux … Partir à trois heures du matin suivre une lumière était l’idée la plus stupide de la Terre … Vraiment … Imaginons un seul instant qu’il ne revienne pas avant le matin… laisser sa fille de 10 ans seule risquerait de lui mettre les services sociaux au cul … et la petite boule de lumière ne vaudrait jamais sa fille …
Sauf que Sally avait raison. Il n’était pas comme ça… C’est pour ça qu’il était déjà en train de mettre un pantalon et de sortir une arme -qu’il n’avait pas très légalement- d’un coffre fort. Sally ne connaissait pas le code et c’était une très bonne option. La petite lumière avait fait plusieurs fois le tour de lui, pour sauter par la fenêtre. Blade la regarda quelques secondes en comprenant qu’elle allait l’attendre…
Il sortit de sa chambre. Dans la mezzanine, qui servait autant de cuisine que de salon, il prit le porte feuille et chercha la phrase adéquate. Il ne fallait jamais être pas assez prudent. La petite boule blanche revient vers lui et lui tourner autour … encore et encore … et encore. Il avait un nouveau tic nerveux. Si elle ne lui laissait pas le temps de faire ce qu’il avait à faire il retournerait se coucher !
Blade ne savait pas écrire, à la main… et il n’avait pas toujours un ordinateur. Alors Sally avait préparé pleins de petites cartes, qu’elle avait rangé par ordre alphabétique. Dessus, il y avait des indications comme « parti faire les courses », ou encore « Chez intel ». Blade prit la carte du « parti faire un tour », la carte du « je reviens vite » ainsi que la carte du « Va chez les MacKenzie » et enfin la dernière disant « Je t’aime », et les posa sur la table. Puis, il reprit son arme et suivit la boule de lumière. Sa fille savait lire et écrire, elle savait utiliser un ordinateur … elle était certainement plus maligne que lui dans bien des domaines…
Alors Blade se disait que si la boule de lumière était une menace pour elle, il mettrait tout en oeuvre pour la terrasser. Il la suivit en râlant.
- Je te suis, l’emmerdeuse. Montre moi ce que tu veux me monter.
La boule de lumière le conduisit jusqu’au musée de Storybrooke… Autant dire que Ben n’y avait jamais mis les pieds. L’art c’était la chose la moins compréhensive de l’univers pour lui. La musique ne s’était pas arrêtée… au contraire… pour le plus grand malheur de Blade, elle continuait inlassablement …. Elle s’accentue … de plus en plus … et cela plus il s’approchait de la pièce où se trouvait la peinture. La boule s’engouffra sous la porte de l’entrée des employés, qui était encore ouverte. Son arme à la main, il la suivit à nouveau. Il détestait cette ville ….
Il rentra à l’intérieur… La fameuse musique était dans une pièce non loin, lui permettant de définir la direction à prendre … La boule de lumière montait et descendait…L’intimant de la suivre … Il la suivait depuis tout à l’heure non ? Il la suivit pour arriver dans une pièce ou se trouvait des tableaux de peintre. De ce qu’en savait Ben… Cela non plus il n’avait jamais compris l’intérêt mais bon.
La boule de lumière lui tournait autour comme Sally quand elle voulait un chocolat de pâques en avance. Et vire volte… La boule arrêta son tournis pour lui montrer le tableau. Ben fronça les sourcils, elle voulait quoi ? Qui lui donne son avis ? Il vit à côté un sac de tapisserie et sur le sol, un parapluie, inerte… Il les reconnu tout de suite … Mary Poppins … ou un autre nom, il n’était plus très sur… La femme qui avait le pouvoir de tout sortir de son sac, mais préféré s’occuper de quelques enfants au lieu de nourrir tous les enfants du tiers monde …
C’était méchant… Mais depuis la bombe qui avait tué tout un village, Ben se demandait de plus en plus pourquoi les gens avec des pouvoirs, en 5 ans, n’avaient rien fait pour le reste du monde. Ils ne venaient certes pas du même monde, mais maintenant c’était le leur … ils auraient pu au moins y penser. Bref. La boule de lumière s’engouffra dans le tableau… et l’instant d’après une lueur bleue entoura Ben avant qu’il ne soit embarqué dans la peinture à son tour.
Il récupéra le parapluie dans un geste rapide et expert. Il avait reconnu les affaires de Mary, et il se disait que le parapluie lui permettrait d’avoir une preuve… d’où il venait en tout cas. Il se retrouva propulsé dans la peinture … Roulant sur le sol pour revenir sur ses jambes. Il était un militaire après tout. Il était à l’extérieur d’un grand château… Il détestait Storybrooke … Ses vêtements aussi n’étaient plus les mêmes. Il grogna… au moins avait il un t-shirt maintenant. Dans la second qui suivit, il sentit une personne la tirer en arrière, dans les buissons…. Alors qu’il aperçu un énorme corbeau passer au dessus de sa tête.
Il releva la tête vers une jeune femme qui lui souriait. Elle était habillée aussi étrangement que lui … ce qui agaçait Ben encore un peu plus. Elle lui sourit. Sourire qui ne trouva pas écho sur les lèvres de Blade.
- Je m’appelle Nina et je viens de vous sauver les fesses.
Il vit le chat sur son épaule … qui le regardait fixement…. Blade eu encore un nouveau tic nerveux. Le chat parlait en plus.
- Il n'est pas d'ici celui-là
Blade se demandait si la viande de chat était bonne … Il pourrait essayer avec le minou en face de lui… Il allait essayer. « Celui-là » était un brin en colère de la situation … surtout parce que la situation lui échapper et qu’il n’avait pas le droit à une explication… Nina posa le regard sur le parapluie.
- Où avez-vous trouvé ça ?
Et puis quoi encore ? Elle voulait qui lui donne son numéro de carte bancaire. Il observa le chat, puis la jeune femme… les deux ne semblaient pas malveillant, quoi que lui tapant déjà sur le système … Il aurait du rester dans son lit.
- Oh là, non ma petite dame. Je commence les questions. Où est ce que nous sommes ? De quoi tu m’as sauvé ? Et, est ce que c’était toi la lumière blanche ? Ensuite, je répondrais à tes questions.
Il ferma son poing plus fort autour du parapluie. Gentil n’a qu’un œil et la jeune femme pouvait ne pas être aussi … douce que ce qu’elle voulait bien le dire. Nina le regard en arquant un sourcil avant de reprendre la parole.
- D’accord .. eh bah, on est dans le royaime de Castlerocks, je vous ai sauvé du sbire de Rowena et non, la lumière blanche ne venait pas de moi mais je crois savoir qui vous l’a envoyée.
Il va arquer un sourcil aussi… pourquoi ne lui disait elle pas qui l’avait envoyé ? Les mystéres, il n’aimait pas ça … C’était pour ça qu’il préféré les résoudre. Un mystère ne pouvait pas rester mystérieux très longtemps avec lui … parce que sinon ça l’agaçait. Et Blade était certe patient, mais il avait une limite … et il fallait l’art et la manière pour lui donner envie d’être patient.
- Ok. On va dire que ça me suffit pour le moment, même si j'ai encore des questions. Le parapluie je l'ai trouvé sur le sol, de là où je viens. La lumière blanche m'a amené ici pour ... une raison que j'ignore....
Nina eu un petit rire. Blade la regarda. Comment lui dire qu’ils ne partageaient pas le même humour …. Fallait que quelqu’un la prévienne non ?
- Alors Rowena est assez naïve pour croire que ce royaume pourrait avoir un impact sur l'entièreté des pouvoirs de ma mère...
OK. Rowena, c’était la cible à abattre. Ben sous-pesa son arme. Il aurait du prendre des munitions. Tuer, ce n’était pas quelque chose qui le répugner forcément. Dans l’armée, on faisait plus souvent des choses que l’on préférait oublier que l’inverse. Comme tirer une balle dans la tête d’une femme enceinte, parce qu’elle porte une ceinture d’explosif… Ce qui se passe en Iran, reste en Iran. Nina leva son regard bleu, similaire à celui de sa mère, vers Ben et elle reprit…
- vous êtes le premier élu lumineux, c'est ma mère, Mary Poppins qui vous a envoyé le message. Elle est prisonnière dans l'un des plus haut donjon. Elle est affaiblie et si on ne la sauve pas rapidement, elle risque de ne plus jamais sortir d'ici. A la prochaine pleine lune de ce royaume, le portail de sortie sera clos pour plusieurs décennies. Donc espérons que les autres élus ne tardent pas à arriver.
Déjà, lumineux toi-même … Sauver une femme, OK. C’était dans ses cordes. Mais son histoire de plusieurs décennies là …. Si les autres ne se bougeaient pas le cul de venir, Blade allait tous leur mettre la tête dans un moteur… Et un pic de haine apparu dans le cœur de Ben. Mary Poppins savait tout non ? Alors elle s’était dit que c’était NORMAL et intelligent … de prendre un père célibataire dans la nuit, pour lui faire courir un risque de MORT ou de SEQUESTRATION à vie ? Alors qu’il avait sa fille… Ce qui l’emmerder le plus dans cette histoire ? C’était que Mary Poppins avait raison, sans le savoir peut être. Personne ne sera plus motivé que Blade pour revenir dans leur monde…. Personne. La jeune femme reprit encore.
- J'étais la prisonnière de Rowena... - mais grâce à mon intelligence et notre lien, on a pu sortir du chateau.
Rajouta le chat … Nina ajouta alors simplement un simple :
- Au fait, voici mon chat Noukia. Il me tient compagnie, c'est mon meilleur ami. C'est grâce à lui que j'ai pu fuir...
Blade avait à peine hoché la tête pour dire bonjour. Il ne s’était même pas présenter. Son cœur voulant haïr Mary pour risquer sa vie ainsi… son cerveau comprenant peut être un peu. Il lui demandera pourquoi elle la choisit… et si elle lui dit parce que … Magicienne puissante ou non, il va lui dire la fin de l’histoire …
Blade suivit le regard de la jeune femme qui regardait vers le château… avant de voir le corbeau. Si elle lui demandait, il était bon sniper … Il pouvait l’abattre d’ici … si seulement c’était possible dans un monde de peinture …
- C'est moi qu'elle veut. Elle est dangereuse, elle a tué plusieurs villageois déjà. Il faut la vaincre mais pour cela, on a besoin que ma mère ait l'entièreté de ses pouvoirs et on a également besoin du maximum d'alliés !
Beaucoup d’alliés ? Pourquoi était-il SEUL alors ? A peine sa pensée fit elle finit, qu’ils entendirent quelqu’un chuter sur le sol non loin d’eux. Il pinça les lèvres en soupira. Si Sally versait une seule larme à cause de lui, il allait faire un véritable carnage ! Mais c'était une autre histoire ...
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Angelika B. Beresford
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"Donc on est bloquée dans un monde que tu ne maîtrise pas ? On va bien se marrer."
"Tu sais bien que les plus beaux chapitres de ta légende tu ne les as jamais écrit seul, n'est-ce pas Sherlock Holmes ?"
| Conte : Bernard & Bianca | Dans le monde des contes, je suis : : Miss Bianca
Il n’y avait rien que j’appréciais plus que de passer du temps à l’orphelinat de Storybrooke. Dès que je sortais de mes heures de consultations à l’hôpital, je m’attardais toujours quelques heures à l’orphelinat avant de rentrer dans mon nouveau chez moi ! Le plaisir n’en était que plus grand depuis une semaine. Mon voyage sur l’île lointaine de Neverland, ma rencontre avec les enfants perdus et tout particulièrement avec l’adorable petit Plume ou l’intrépide et charmeur Ringo avait rallumé une flamme maternelle qui brillait à présent de mille feux. Cependant le rêve avait fini par s’achever et j’étais retournée à ma vie de tous les jours avec un mélange de bonheur et de mélancolie dans le cœur !
Je ne m’attendais cependant pas à voir un autre enfant chambouler à nouveau ma vie. Ce petit garçon, si semblable à un autre dont j’avais tant rêvé, occupait actuellement la plupart de mes pensées. Je m’étais si rapidement attachée à sa petite bouille portant de magnifiques cheveux dorés et arborant des yeux vert océan où j’aimais tant lire la malice qui les éclairait parfois. Il avait emporté avec lui pour seul bagage une belle poupée de porcelaine à la longue chevelure dorée qu'il s'amusait à coiffer, inventant les modes les plus folles grâces à elle. Il l'avait prénommée Bianca et elle avait été sa seule amie fidèle durant toutes ces années ou il été passée de foyers en foyers.
Le petit Timothy, surnommé affectueusement Timmy par tous, avait su conquérir mon cœur de Maman. Même si le petit garçon était un enfant espiègle et turbulent, il n’en demeurait pas moins gentil et généreux avec tous son entourage. Hélas, ce petit cœur était tombé malade une semaine après son admission. Une maladie si virulente que je craignais qu’elle ne finisse par l’emporter !
Je passais donc la plupart de mes nuits à ses côtés, guettant la moindre évolution de sa maladie qu’elle lui soit favorable ou non. Tout en lui prodiguant les soins nécessaires à sa toux et à sa fièvre, je lui racontais des histoires, lui parlais de toutes mes aventures et je lui chantais même des chansons ! Mes collègues étaient parfois bien surpris de m’entendre chanter puisque jusqu’à présent, je m’étais toujours refusée à le faire. Ce nouveau hobby je le devais notamment à ma collègue Meredith Newton pour laquelle j’avais beaucoup d’admiration. Il m’arrivait donc fréquemment de chantonner des chansons sorties tout droit de l’univers du film Mary Poppins des studios Disney en son honneur. Tout cela me semblait naturel, cependant je ne doutais pas que cette soirée ne ressemblerait à nulle autre !
Occupée à chantonner le fameux et magnifique « Feed the birds », je ne me rendis pas immédiatement compte que ma chanson serait accompagnée par la musique d’une boule de lumière. Il me fallut attendre que mes yeux soient attirés par ladite lumière pour que je consente enfin à considérer sa présence à mes côtés. Fronçant légèrement les sourcils, je regardais l’étrange sphère interloquée.
"Qu'est-ce que c'est que ça ?"
Poussée par une grande curiosité, je me relevais de la chaise où j’étais assise et tentait de toucher l’étrange feu follet afin de m’assurer que je n’étais pas en train de rêver. Or plus j’approchais mes doigts de cette dernière, plus je pouvais sentir une chaleur douce et agréable se glisser entre mes doigts. Ce phénomène me fit d’ailleurs sourire comme une enfant ! "Mais d'où sors-tu jolie lumière ?", demandais-je en riant légèrement.
La boule tourna autour de moi plusieurs fois, semblant effectuer une étrange danse. Elle finit par m’indiquer la sortie de la chambre.
« Quoi tu veux… tu veux que je te suive c’est ça ? »
Cependant, pour moi, il était hors de question que je quitte cette pièce s’en mettre tout d’abord assurée qu’une personne responsable pourrait veiller sur le sommeil de Timmy. Croisant les bras sur mes hanches, je la toisais un peu méchamment du regard.
« Mais attends une minute, je n’ai pas le temps de jouer moi, j’ai des responsabilités ! Il est très malade et je ne me pas le laisser tout seul ! », lui dis-je en indiquant Timmy d’un mouvement de tête.
Je vis alors la boule se rapprocher du petit garçon et ce que je crus percevoir en elle me figea sur place. L’espace d’un instant, je perçus ma collègue Meredith dans un bien piteux état, plongée dans ce qui semblait être un cachot lugubre. Cette boule inoffensive n’était donc pas là pour m’amuser, c’était une bouteille à la mer ?
« Mé… Mérédith, c’est pas vrai ! Attends-moi une seconde ! », déclarais-je en me précipitant à l’extérieur de la pièce.
J’en revins quelques minutes accompagnées de Laura Wilder qui travaillait à mes côtés comme assistante médicale. Je lui expliquais brièvement ce qui s’était produit dans cette pièce. La petite boule se tenait alors au côté de Timmy, veillant sur son sommeil. Bien sûr, Laura était tout aussi étonnée que moi en la voyant mais elle était toute prête à reconnaître l’urgence de la situation.
"Ne t'inquiète pas Angelika, si Maredith a des problèmes je veillerais sur lui !"
« Je te remercie Laura ! Surtout prends bien soin de lui… conduit-moi où tu voulais me mener ! », dis-je en m’adressant à mon guide lumineux.
J’avais le cœur lourd à l’idée de laisser derrière moi ce petit garçon que j’aimais tant. Cependant, en cet instant il me fallait parer au plus presser et sauver la nurse ! Regardant la boule tourner en tous sens, je finis par la suivre d’un pas pressé non sans avoir agripper mon sac à main qui contenait le poignard qu’Hayden m’avait légué, un pistolet à six coups ainsi qu’une petite trousse à pharmacie.
Bientôt, nous finissions par arriver au musée où elle travaillait. La boule de lumière me mena jusqu’à une salle où se trouvait une série de tableaux. Ne voyant pas vraiment là où elle voulait en venir, je haussais légèrement les épaules.
« Tout cela est bien beau mais ça ne me dit toujours pas… »
Puis, je finis par jeter un œil plus précis sur les différentes peintures. Parmi certains d’autoportraits de très grands artistes se dissimulait un tableau orné d’un château. Je repensais soudainement au décor de la pièce de ma vision.
"Quoi tu veux dire qu'elle est enfermée là-dedans c'est ça ?", dis-je avant de secouer la tête "Non arrête Angelika, tout ça n'a vraiment pas de sens !"
Décidemment, mon séjour à Neverland avait définitivement eu raison de ma raison cartésienne ! Je devais certainement devenir folle. A moins que… je me rendis finalement compte que le sac si précieux de Meredith reposait au pied même de se grand tableau. Le doute n’était donc plus permis et comme pour appuyer mes allégations, la boule de lumière me poussa dans la direction du tableau. Nous finissions tous deux par être aspirés par le tableau… fort heureusement, j’eus la présence d’esprit d’emporter le sac en tapisserie avant d’entrer dans ce nouveau monde.
Une fois n’étant pas coutume, je finissais par m’écraser sur le sol pierreux de ce monde. Cette chute faisant étrangement écho à celle que j’avais vécue lorsque j’avais chuté de l’arbre à Neverland. Dans un soupir, je me relevais époussetant les habits dont ce nouveau monde m’avait parée.
« Décidemment, il faudrait vraiment que j’apprenne à atterrir sur mes pattes ! »
Cependant, je n’étais pas un chat mais une souris, avoir ce genre de réflexe allait à l’encontre de tous les instincts dont la nature m’avait dotée. C’est alors que j’aperçu devant moi un prédateur inquiétant à la fourrure rouge. Par reflexe, je me reculais d’un pas.
Bien évidemment quand on parle du chat…
"Oh et toi ne te moque pas de moi, hein ! C'est pas de ma faute si le Destin m'a fait naître du mauvais côté de la chaîne alimentaire !", lançais-je en le toisant d’un air méchant.
Il me regarda quelques secondes avant de se tourner vers une jolie jeune femme aux cheveux d’or et un homme que je n’avais encore jamais vu de ma vie.
"Elle c'est la seconde élue. Elle est bizarre elle aussi", lança alors le chat
Il finit par grimper sur l’épaule de sa maîtresse. Cette dernière finit par s’approche de moi.
"Je m'appelle Nina et vous êtes la seconde élue de la lumière. Vous avez répondu à l'appel de ma mère."
Je demeurais alors figée devant elle, incapable de prononcer ne serait-ce qu’un seul mot. Ce n’était pas le fait d’être une élue de la lumière qui m’interpelait le plus, non c’était autre chose, reliée directement à ma collègue.
"Vo... votre mère vous dites ? Vous voulez dire que Meredith...", balbutiais-je avec des yeux grands ouverts.
Je passais alors une main sur mon front, je ne pouvais pas me permettre de m’interroger à ce propos. Cela me semblait terriblement mal poli ! Je choisis donc de me confondre en excuse.
"Je suis navrée. J'ignorais que Meredith avait un enfant ! Elle ne m'en a jamais parlé"
"Oh c'est le nom qu'elle porte à Storybrooke ? Ça lui va bien mais moi, je l'a connais comme étant Mary Poppins.".
"Oui bien sûr excusez-moi ! C'est que c'est sous pseudonyme que je l'ai connue. Je l'appellerais donc sous son véritable nom ! Mais cela n’efface rien à ma terrible maladresse."
"Oh, vous ne pouviez pas savoir parce qu'elle même a cru pendant plus de 28 ans que j'étais morte. Rowena m'a enlevée quand je n'étais qu'un nourrisson et à ensorceler ma mère qui était trop faible pour se défendre. ; mais avec la levée de la malédiction, tous ses souvenirs sont revenus, y compris mon existence. Puis je lui ai envoyé un message et vous voilà ici."
Si ses premiers propos m’avaient déjà surpris, les suivants éveillèrent en moi une terrible blessure passée. Les épreuves terribles que Meredith avait traversées, je les connaissais ! Moi-même j’avais subi le courroux d’un des plus grands sorciers du monde des contes qui par un marché injuste avait tenté de m’enlever mon enfant. Cette réflexion me fit instinctivement porter ma main sur mon ventre ou demeurait la cicatrice récemment réouverte du plus grand traumatisme de ma vie. Puis, je serais les poings en pesant chacun de ses mots, songeant à la tristesse que Meredith avait dû ressentir durant toutes ces années !
"Je suis vraiment navrée pour vous, Nina ! Cette histoire est horrible... il n'y a rien de plus insupportable pour une mère de se voir dérober son propre enfant !"
Il y avait cependant plus urgent à penser. Après tout, Meredith était à présent enfermée par le monstre qui lui avait volé sa petite fille.
"Et comme si cela ne suffisait pas, elle vient maintenant l'enlever elle-même ? Mais pourquoi Rowena a-t-elle fait cela ? Dans quel but ?"
"Je crois que ma mère possède quelque chose qu'elle voulait la dernière fois...quelque chose de dangereux si elle met la main dessus. C'est pour ça qu'il faut l'arrêter avant, Rowena est très dangereuse, son sbire..." montra-elle le corbeau du doigt "l'est encore plus et si on attend trop, ma mère risque de ne pas s'en sortir et le portail se refermera si on ne sort pas du tableau avant la prochaine pleine lune de ce royaume. Au fait, bienvenue à Castlerocks. Un monde pictural gouverné par une sorcière avide de pouvoirs et dévoreuses d'âmes d'enfants hybrides."
Je ne pris alors pas le temps de l’interroger sur cette fameuse chose dangereuse dont Rowena souhaitait s’emparer. Après tout, si elle en connaissait la nature, elle nous en aurait forcément parlé ! Je me contentais dès lors de rassurer la jeune femme sur le devenir de sa mère.
"Ne vous inquiétez pas Nina, nous ferons tout notre possible pour sauver votre mère, je vous le promets ! Et vous réunir enfin toutes les deux..."
Après tout, si mon petit Anthony avait eu la chance de survivre, j’aurais voulu que quelqu’un puisse me ramener auprès de mon petit garçon. Qui était mieux placé que moi pour le faire ? Je songeais alors que mon bébé ne serait pas mort en vain.
"Avez-vous donc passé toute votre vie dans ce royaume désolé ? A Castelrocks ?"
Ce n’était pas faire preuve de cruauté de ma part. La seule chose que j’espérais c’est savoir si nous pouvions compter sur elle pour mener les opérations de sauvetage. Elle n’aurait eu aucun mal à le faire si elle connaissait cet endroit par cœur. Sauf que…
« Oui, j’ai passé toute ma vie dans ce royaume. En fait, je n’ai jamais vu l’extérieur du château avant peu de temps. J’ai pu m’échapper du donjon dans lequel j’étais enfermée grâce à Noukia. Rowena m’a gardée prisonnière durant toute ma vie. Et elle veut me retrouver, c’est pour ça qu’il faut se méfier du corbeau. »
"Décidemment, votre chat est plein de ressources !", dis-je d’une manière légèrement hautaine
Moralité lorsque l’on compte sur un animal pour s’échapper d’une prison, il vaut mieux compter sur un chat que sur une souris, n’est-ce pas ?
Je connaissais une personne qui n’aurait pas réfuté ces arguments ! Je me passais alors rapidement une main sur mon visage. Etais-je réellement obligée de penser à cela maintenant ? J’imaginais que c’était inévitable… Un traumatisme réveillant subitement un autre, il était logique qu’après avoir pensé à mon fils, son père s’invite également dans mon esprit !
« Dans ce cas, si vous êtes déjà parvenue à vous échapper une fois, vous parviendrez sans doute à le refaire ! C’est plutôt une bonne nouvelle… considérant la situation. Votre expérience sera notre plus grande force ! »
Nina ne me répondit alors pas tout de suite, toute occupée qu’elle était à caresser son chat sour la tête de l’animal.
« Il adore les caresses, ce n'est pas un méchant ça et une ancienne souris ne devrait pas en avoir peur."
"Mais co... comment avez-vous fait pour le savoir ?", déclarais-je légèrement pâlichonne.
"Une hybride mi-fée, mi-humaine n'a pas obligatoirement de pouvoirs mais il faut croire que même si je ne suis pas aussi puissante que ma mère, ma détention m'a permis d'acquérir certaines facultés familiales."
"C'est donc pour cette raison que Rowena avait besoin de vous ? Parce que vous étiez une enfant hybride ?", réalisais-je à l’instant.
"je crois que...", déclara-t-elle en saisissant sa boule de poil entre les mains et en la caressant. "je n'étais qu'un pion dans son échiquier. Elle se nourrit des âmes des enfants hybrides. Mais moi, elle ne m'a pas touché, je ne sais pas pourquoi. Peut-être que ma mère le sait, ce que je sais par contre, c'est que ma grand-mère pour sauver la vie de ma mère a sacrifié les pouvoirs qu'elle possédait pour la protéger. Rowena m'a dit que mes origines humaines ont pris plus d'impact que mes origines magiques. Je crois que je ne suis qu'un moyen de pression sur ma mère mais ce que je sais, c'est qu'elle veut me retrouver et que..."
Soudainement, une importante source de lumière surgit du donjon.
"Maman !", lança subitement Nina.
Je demeurais là impassible, tenant toujours aussi fermement dans mes mains le sac de Meredith. Mais que s’était-il passé ?
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Jude Happer
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Le générique de fin aurait dû me donner une raison de me réjouir. Cette journée prenait fin, j'allais pouvoir rentrer chez moi. Étrangement, je n'avais pas envie de me retrouver seul dans l'obscurité. Elle me faisait peur, elle aussi à présent. Tout m'effrayait. Les gens. L'eau. La solitude. Le noir. Et surtout lui. Sa silhouette. Il était revenu me hanter dans mes rêves. Mes cauchemars étaient revenus et j'avais rien pu faire pour les empêcher. Alors je m'attardais dans le cinéma, faisant le ménage plus que de raison. J'étais épuisé mais c'était pas important, il fallait bien que d'une façon ou d'une autre, j'éloigne les rêves. Que je le sorte de ma vie une bonne fois pour toute. Je regagnais donc ma chambre sans aucune joie et sans la moindre parcelle de soulagement.
J'allumais la télé sur un programme quelconque et la laissais tourner plus pour me donner une compagnie que pour regarder. Je sortis mon sachet de pilules, l'observant un moment en me disant que j'avais vraiment abusé ces derniers jours. Mais sans ça, j'aurais pas tenu mes journées de boulot. C'était un peu comme un coup de fouet, ils appelaient ça des stimulants. De la drogue. Du poison. Pour moi, c'était juste une façon de tenir. Ça me donnait les idées plus claires après. J'étais plus réveillé, plus actif, plus productif et mon cerveau pensait à toute allure, ça me rendait plus intelligent. Mais là... c'était pas de ça dont j'avais besoin tout de suite. Fallait juste que je me détende un peu pour trouver le sommeil plus rapidement et pour faire des jolis rêves. Ou hallucinations. Qu'ils appellent ça comme ils voulaient. Ils y connaissaient rien de toute manière.
Il devait être dans les trois heures du matin, j'en étais à mon deuxième joint et j'avais toujours pas sommeil. Je fixais l'écran de la télé comme une sorte de zombi, je comprenais que dalle à ce que je regardais mais ça avait pas vraiment d'importance. Je portais ma roulée à mes lèvres lorsqu'une espèce de boule lumineuse apparut devant moi et une musique trop bizarre s'éleva dans ma chambre. Woh ! Trop chelou ! C'était quoi ça ? Une hallu ? C'était la première fois que je voyais ça, d'habitude, j'arrivais jamais à ce stade c'était grave. Je tournais le joint vers moi en fronçant les sourcils.
"Oh putain ! Je l'ai chargé celui là..."
Comme quoi... je pensais avoir l'habitude et en fait non. Je l'éteignis et m'allongeais en me disant que ça allait passer. Si c'était dans ma tête ça allait forcément s'arrêter à un moment donné. Y avait qu'à attendre... Sauf que... ça passait pas. C'était quoi ce truc encore ? C'était genre vraiment là alors ?
"Chelou."
Je me redressais et m'approchais de la boule lumineuse, on savait jamais. Si je la touchais peut-être qu'un truc allait se passer et je voulais savoir si c'était chaud ou froid. Histoire que ça crame pas la Guilde. River allait gueuler sinon. Déjà qu'il m'aimait pas beaucoup, fallait pas que je lui rajoute une raison de me démonter la tronche. Sauf que je réussis pas à toucher la boule, elle commença à me tourner autour à toute vitesse et moi comme un con ben je la suivis des yeux jusqu'à ce qu'elle s'arrête devant la porte. Ok... Je comprenais vraiment que dalle... Et elle continuait de tourner en plus...
"Arrête de tourner comme ça, je vais gerber là... L'angoisse s'te plaît, j'ai la tête qui tourne maintenant. C'est pas malin."
Elle tourna encore plus vite si c'était possible... Elle se foutait de moi ou quoi ?
"Woh ! Doucement j't'ai dit !"
C'était pas possible ça ! Elle s'arrêta devant mes yeux et alla vers la porte puis vers le dehors. Comme si elle essayait de me faire comprendre un truc. Je l'observais toujours hyper suspicieux avant que mon cerveau ne fasse tilt.
"Haaaaaaaaaaaaan ! Tu veux que je sorte c'est ça ? Bah fallait le dire plus tôt !"
Franchement trop nulle cette boule de lumière. Je levais les yeux au ciel avant de m'assurer que j'avais bien mes clés dans une de mes poches et ma boîte de beuh dans l'autre. J'eus pas le temps de prendre autre chose de toute façon parce que la boule fit des hauts et des bas devant moi avant de me pousser dehors. C'est qu'elle était autoritaire...
"Ok... je me fais virer de chez moi par une boule qui brille... normal !"
Je poussais un soupir alors que la porte de ma chambre se claquait derrière moi. Heureusement que j'avais mes clés sinon je me serais retrouvé coincé dehors...
"Bon on va où ? C'est totalement délirant tu le sais ?"
Ouai... pas plus que moi qui parlait à une boule lumineuse mais bon... Et le pire, c'était que je la suivais sans me demander une seule seconde si ce que je faisais était franchement bien raisonnable. Nan mais c'est vrai quoi ! Vous vous auriez suivi une boule lumineuse à trois heure du mat après deux joints bien chargé ? C'est pas super conseillé. Après là, j'étais bien. Pas trop. Encore assez maître de mes mouvements ou quoi. Assez en tout cas pour me rendre compte que j'entrais dans le musée par une porte cheloue que je connaissais pas. En même temps... j'avais pas remis les pieds au musée depuis l'orphelinat. Et j'avais genre quitté l'orphelinat y avait trois ans. Alors le musée... ça faisait peut-être cinq ans que j'y avais pas mis les pieds. Ou alors c'était Ray qui m'y avait emmené la dernière fois ? Un frisson me parcourut à sa pensée à lui. Depuis quand je disais son nom tout haut dans mon esprit moi ? J'étais fou ou quoi ? Fin bref. La musique devint de plus en plus forte alors que je déambulais au milieu des tableaux et la boule s'arrêta devant un, un peu moche. Bon ok... Hyper moche. C'était quoi le délire avec les châteaux forts ? Le moyen-âge très peu pour moi. Elle me poussa vers le tableau et je pus pas faire autre chose que d'avancer plus près. Je fixais le tableau et la boule et puis encore le tableau et à nouveau la boule. Qu'est-ce qu'elle voulait sérieux ?
"Ouai... ok... il est cool ton truc. Très joli tableau ! Bon par contre si tu pouvais arrêter la musique. Ça me tape sur le système là. Tu veux quoi ? Que je l'vole ?"
Je poussais un soupir et m'approchais pour le saisir par les bords de son cadre, prêt à le décrocher.
"Elle est pas nette cette boule franchement... cleptomane."
Ouai... bon la suite, j'ai pas bien tout saisi ce qui s'était passé. La boule entra à l'intérieur du tableau et l'instant d'après, je me retrouvais embarqué dans une lueur bleue à l'intérieur du tableau. Genre en mode popage quoi. Je me retrouvais sur le sol, devant un château qui ressemblait vachement à celui du tableau. Il était pas aussi que moche que ça vu près mais bon quand même c'était pas cool. Et le pire... C'était que mes fringues venaient de disparaître, remplacés par une espèce de chemise longue en lin rouge moche et un pantalon ample en lin aussi et noir. Une ceinture en cuir entourait ma taille et j'avais une grosse bourse en cuir d'accrochée dessus. Et sur le dos qui me faisait littéralement crever de chaud une espèce de grosse cape en peau de bêtes. Je voulais pas savoir c'était en quoi, j'allais m'en passer. Je regardais tout autour de moi alors qu'un groupe de gens mené par une fille et un chat s'approchait de moi. Mais j'étais bien trop préoccupé par ma chemise pour être poli en vrai.
"Hééééééé maiiiiis ! C'est quoi ce truc tout moche là ? Il est passé où mon sweat à capuche ? Bon ok, il avait des trous mais quand même ! Et elle est passée où la boule ? ET JE SUIS OU ? C'est quoi ce bordel là ? Fuck à la fin."
Je voulais des réponses quoi ! Merde. Fais chier. J'veux rentrer chez moi. Et la blonde s'avança de moi et me dit un truc vraiment trop chelou. Ils avaient fumé quoi dans ce pays sérieux ? Et j'étais où ?
"Le troisième...vous en avez mis du temps."
Le troisième de quoi ? Je pigeais rien, c'était nawak tout ça.
"Hein ? Du temps à quoi ?"
Je la fixais perplexe. Clairement, elle était folle. Je pensais que j'étais perché mais alors elle... Elle était pire. Le chat s'approcha de moi et s'assit sur ses pattes arrières avant de se nettoyer derrière l'oreille avec sa patte avant.
"Vous êtes un élu de la lumière, vous avez répondu à l'appel de Mary Poppins et là tout de suite, il faut se bouger l'arrière train parce que quelque chose de pas net s'est produit."
Geeeeeeeeeeeeeenre. Ok. Mary Poppins comme le film là ? Avec la nounou zarbie et son parapluie qui parle ? Je devais avoir vu le truc à l'orphelinat quand j'étais petit mais ça m'avait franchement pas marqué. Et puis le chat qui parle, obligé, c'était un congénère. Ça faisait longtemps ! J'étais trop content en vrai, j'allais pouvoir parler de notre monde d'avant et tout. C'était cool. Histoire d'oublier un peu ma nouvelle vie de merde et de me souvenir de l'ancienne qui était trop bien.
"Oh un chat qui parle ! Toi aussi t'es un Exceed ? T'as pas subi la malédiction alors ? Et quel appel ? J'ai rien reçu d'autre qu'une boule lumineuse. Et c'est quoi pas net ? Va falloir être plus précis !"
La fille me regarda bizarrement en soulevant un sourcil. Ben quoi ?
"Je me demande si c'est vraiment lui que voulais maman."
Elle m'aida à me relever et je la fixais. Ça voulait dire quoi ça d'abord ? C'était pas sympa nanmého ! Bon après, j'étais pas le meilleur pour aider les gens.
"Je m'appelle Nina, lui c'est Noukia et eux c'est les premiers élus. C'est ma mère qui vous a contacté parce qu'elle est en danger. En gros, une sorcière moche et dangereuse veut sa magie et la tuer et régner sur Storybrooke alors, je pense que ça suffit comme pas net non... l'éclat lumineux signifie qu'elle use de ses pouvoirs sur ma mère."
Elle me prenait vraiment pour un demeuré en fait ? Mais je comprenais pas grand-chose à son histoire de magie et de sorcière et de maman. Qu'est-ce que je venais foutre dans tout ça moi ? Et puis c'était et histoire d'élu ? J'avais déjà du mal à être l'élu de mes propres chaussettes c'était pas pour être celui d'un pays random perdu au milieu du moyen-âge. Mais bon... j'allais pas la contredire hein...
"Ah... cool. Moi c'est Jude... Et du coup... Pourquoi moi ? Non parce que je sais pas si vous avez conscience que niveau vieille sorcière moche je suis pas hyper calé. Et niveau pouvoir magique non plus."
Je voulais vraiment pas casser son délire hein. J'esquissais donc un grand sourire tout en haussant les épaules.
"Votre chat il vole en plus de parler ou pas ?"
C'était important de savoir... Nina leva les yeux au ciel comme si ma question l'agaçait. Quoi encore ?
"Si la boule de lumière est venue à vous, c'est que vous possédez quelque chose qui pourra nous aider. Alors...bah...enchantée Jude. Et non, Noukia ne vole pas mais la porte est ouverte alors on peut entrer."
Bon c'était pas un Exceed donc...
"Ah... dommage."
Je jetais un coup d’œil en direction de la porte... ça m'avait pas l'air hyper engageant. Surtout vu le bruit hyper flippant qui se fit entendre derrière la porte. Je fixais la porte en secouant la tête avant de faire un pas en arrière.
"Hum... Nope ! C'est mort... Moi je rentre pas là-dedans"
Nan et puis quoi encore ? J'allais pas risquer ma vie pour une meuf que je connaissais même pas. Oh ! J'étais pas fou ou pas assez défoncé pour ça. Et c'est à ce moment là qu'une silhouette féminine arriva en courant vers moi. Elle venait de sortir par la porte arrière du château... Et c'était hyper chelou comme truc... Franchement, j'espérais vraiment que tout ça c'était juste une grosse hallucination et qu'en fait j'allais redescendre bien gentiment dans ma chambre. En tout cas, le bad trip s'annonçait corsé...
*Violette Parr
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*Quelle belle bouche. STOP ! ARRETE DE PENSER*
| Conte : Les Indestructibles | Dans le monde des contes, je suis : : Violette Parr
Être policière n’était pas de tout repos. Encore moins lorsqu’on était seulement une apprentie. Il fallait constamment prouver aux autres qu’on méritait d’être là, qu’elle pouvait devenir policière à part entière. Elle avait passé sa journée au boulot. Elle avait suivi un de ses collègues dans une enquête avant d’avoir un entraînement intensif au combat rapproché et au tir. Bref, une journée bien remplie qui avait épuisé Violette. A cela il fallait ajouter qu’elle avait pas mal donné ces derniers temps sur les sauvetages, tantôt avec la Magic League, tantôt avec une équipe d’inconnu. A chaque fois cela avait été un franc succès. Mais cela avait fatigué la jeune femme. Alors son sommeil se faisait très lourd et ses réveils très difficile…sauf lorsque qu’une musique étrange se jouait dans ses oreilles. Pas besoin de chercher. Violette savait pertinemment que son frère l’embêtait. Depuis qu’il était revenu de New-York, il n’arrêtait pas de l’embêter. Il ne pouvait pas rester loin d’elle ?
« Lâche moi Dash avec ta musique et laisse-moi dormir ! »
Néanmoins, en plus de la musique, son imbécile de frère s’amusait à lui mettre de la lumière en pleine tête. La seule chose qu’elle avait envie de faire c’était d’ouvrir les yeux, de tendre la paume de main et de faire valser son frère. D’ailleurs, elle fit les deux premières actions. Mais en ouvrant difficilement les yeux, Violette remarqua que son frère n’était pas du tout présent dans la pièce. Elle était seule…avec une boule lumineuse au-dessus d’elle. Violette était à la fois surprise et peu heureuse de cette situation très étrange.
« Qu’est-ce que c’est encore ça ?? » grogna Violette.
Elle pouvait pas avoir 15 jours sans se faire déranger ? C’était trop demandé ? Malgré tout, Violette se mit sur ses coudes, restant allongé dans son lit. Car pour l’instant elle ne comprenait pas grand-chose. Et elle n’appréciait pas particulièrement la musique. Malheureusement pour elle, la boule de lumière devint de plus en plus forte, aveuglant Violette au passage. La musique se fit plus forte aussi…Puis tout s’affaiblit. Jusqu’à repartir de plus belle.
« STOP ! OK ! J’ai compris. Tu me lâcheras pas tant que je t’écouterais pas c’est ça ?? »
Ce petit yoyo très énervant dura plusieurs minutes avant que la boule ne se mette à tourner autour de Violette. La brunette leva sa paume de main, prête à détruire cette horrible boule qui ne semblait que vouloir embêter la jeune héroïne. 3…2…1…Il lui fallait attendre que la boule soit dans le bon axe, bien en face d’elle. Néanmoins, Violette coupa son élan lorsqu’elle entendit une voix sortir de la boule.
« Sauve moi… » supplia la petite boule avec une voix familière.
Cette voix lui disait quelque chose. Elle l’avait déjà entendu. Elle avait même déjà discuté avec cette personne. Mais il fallait avouer qu’à 3H du matin, il était bien impossible pour Violette de recoller les morceaux du puzzle. Aussi, la brunette secoua la tête mais laisse tomber. Tant pis pour les réponses. Elle les aurait plus tard. Car quoi qu’il en soit, ce message était clairement un appel à l’aide. Et en tant qu’Indestructible et membre de la Magic League, elle se devait d’aller sauver les personnes en détresse et les mondes. Là, il semblait que ce soit la première option. Baillant un grand coup, elle sauta de son lit et suivit la boule sans poser plus de question.
Et c’est en pyjama que Violette se baladait dans les rues de Storybrooke. Heureusement qu’à cette heure-là les personnes normales dormaient et qu’ils ne restaient plus que les cinglés. Car là, Violette ressemblait à une folle sortie de l’asile. Une fille en pyjama et en chaussette qui marchait voire parfois courrait derrière une boule lumineuse. Rapidement, Violette se retrouva devant le musée. Mais plutôt que d’entendre par l’entrée principale, la boule la conduisit jusqu’à l’entrée des employés. Ok. Enfreindre les lois comme ça, rentrer par effraction c’était pas bon. Et encore moins pour une policière. Mais si c’était pour sauver quelqu’un. Violette soupira, peu fière de ce qu’elle était en train de faire et continua à suivre la boule de lumière. Celle-ci la guida jusqu’à la salle des tableaux. La boule s’arrêta précisément devant un tableau. Violette remarqua qu’aux côtés de ce tableau il y avait un sac et un parapluie. Sans doute quelqu’un avait-il oublié ses affaires ? Ou est-ce qu’il s’agissait d’indice en rapport avec un kidnapping et cet appel à l’aide ?
« Euuuuuh. Ok. Je suis pas sûre d’avoir le droit d’être ici. Même pour ramener des objets perdus aux affaires retrouvés. » réfléchit-t-elle en observant les affaires, le tableau puis la boule lumineuse.
D’ailleurs cette dernière commença à tourner autour d’elle avant de la pousser vers le tableau. Puis tout se passa avec une extrême vitesse. La boule entra dans le tableau puis la seconde d’après ce fut Violette qui se fit littéralement aspirée. La seconde d’après elle se retrouva dans une autre salle. Au revoir la salle au tableau et bonjour la salle du…miroir ? En effet, même si Violette avait chuté sur le sol, en relevant la tête elle avait pu apercevoir un immense miroir. Et en se relevant elle avait pu constater qu’il y avait également une porte et une fenêtre dans cette mystérieuse pièce. Etait-elle prisonnière ? Avant de répondre elle-même à cette question, Violette tourna les têtes dans tous les sens afin de trouver la boule de lumière et lui faire quelques remontrances. Malheureusement elle était seule.
« Fichue boule de lumière. Me pousser comme ça et me faire atterrir ici. » soupira-t-elle
Les soupirs furent de courtes durées puisque Violette entendit une voix à l’extérieur de la salle, de l’autre côté de la porte. Soit il y avait une autre salle, soit il y avait un couloir. Mais dans les deux cas, il fallait savoir si Violette pouvait sortir de là sans problème. Néanmoins, la voix que Violette entendait n’avait pas l’air très amicale. Il fallait mieux rester sur ses gardes. Alors la brunette essaya de se rendre invisible. Elle ouvrit la porte et put alors voir la personne qui s’y trouvait. C’était une femme, habillée en tenue d’époque. Elle était en train de feuilleter un livre ancien.
« Rien, rien ce livre ne sert à rien, tous mes sortilèges sont inefficaces sur cette imbécile de fée ! » rouspeta-t-elle
Violette arqua un sourcil. A première vue, cette femme n’était pas du tout celle qu’il fallait sauver. De toute façon, elle n’avait pas la même voix que la boule.
« Réfléchis Rowena, Mary Poppins est diminuée au sein du donjon, elle ne peut pas lutter indéfiniment. Mettre la main sur son pouvoir c’est ce que tu veux. Réfléchis. »
C’était tout de même étrange de se parler toute seule comme ça. Réciter son plan comme s’il s’agissait d’une recette. Il devait lui manquer une case à celle-là. En tout cas, Violette ne mit pas longtemps à comprendre qu’elle devait être en face d’une vilaine. Ce qu’elle mit plus longtemps à comprendre, par contre, c’est que son pouvoir n’avait pas du tout fonctionné ! En effet, le corbeau qui accompagner Rowena était en train de la fixer depuis plusieurs minutes. Violette essaya de garder son calme, bien qu’elle s’insulter intérieurement. Puis elle fit quelques pas en arrière en déglutinant lentement. Revenue dans la salle, elle ferma la porte.
« Il faut que je sorte d’ici ! »
Violette examina la pièce. Il y avait ce miroir, cette porte et … la fenêtre ! Immédiatement Violette se dirigea vers elle. Elle pouvait sauter…s’il n’y avait pas autant de hauteur. Cela dit, Violette pouvait même tenter de s’enfermer dans une bulle de champ de force et se laisser léviter pour retomber en douceur. Néanmoins elle se ravisa bien vite lorsqu’elle se souvenu que ses dons ne fonctionnaient absolument pas ici. Elle était piégée et Rowena – si elle avait bien retenu son prénom – semblait approcher. En effet, Violette pouvait l’entendre juste derrière la porte. « Que se passe-t-il ? » demanda la sorcière à son corbeau qui semblait lui murmurer des paroles car Violette n’entendait plus rien. « Oh je vois… »
La porte s’ouvrit alors brusquement. Mais personne ne s’y trouvait derrière. Seulement un peu de fumée noire, comme si Rowena avait disparu dans un nuage de fumée. Clairement c’était le bon moment pour fuir !! Alors ni une ni deux, Violette fonça vers la sortie. Mais elle fut rapidement stoppée lorsqu’elle tomba nez à nez avec la sorcière. Elle manqua même de tomber à la renverse mais par chance elle arriva à garder un certain équilibre.
« Mais qu’avons-nous là ?... » demanda-t-elle dans un grand sourire. « Quelqu’un qui s’est perdue ? Si vous voulez bien m’indiquer la sortie, après je peux me débrouiller hein ! » expliqua Violette en essayant de se rendre la plus convaincante possible. « Tu sens l’humaine à plein nez. Et tu n’es pas de ce monde. La petite garce a réussie ! » « Ok Je n’ai pas eu le temps de prendre de douche mais je sens pas mauvais hein ! » se vexa Violette. « Et bravo, bonne déduction, je viens pas de ce monde et j’ai autre chose à faire que rester planter là. Donc si vous avez terminé, vous pouvez me laisser partir. » « Oh tu n’iras pas loin. » commença-t-elle en créant une boule de feu noire dans sa main tout en fixant Violette. « Rhéa, Era, Marouk ! »
Trois créatures firent leur apparition. Le plus grand des trois adressa un grand sourire mauvais à Violette.
« On se charge d’elle Rowena ! » « Mary Poppins va me parler cette fois ! »
Et la sorcière disparut, laissant Violette seule avec ces trois créatures. Génial. Ca s’annonçait très mal avec des dons qui ne fonctionnaient pas.
« 3 contre 1 ? 3 « gars » contre une fille ? Bravo ! Belle mentalité ! »
Se battre à main nue face à ces créatures était un peu risqué. Quoi que, cela pouvait se faire contre la loutre, elle avait quand même ses chances. C’était plus face au loup qu’elle avait peur. Les deux plus petites créatures se faufilèrent alors dans les jambes de Violette. Et le dernier regarda Violette dans les yeux.
« Je suis gentil, je te donne dix secondes d’avance et après ça, je te dévore. » « Il faut courir mademoiselle » ré-enchérit la loutre « Trop aimable de ta part » remercia Violette avant de se mettre à courir pour fuir.
De toute façon Violette ne pouvait pas faire grand-chose. Aucune arme à disposition, aucun don qui fonctionnait. La fuite était la meilleure option. Mais ce que Violette n’avait pas pris en compte c’est qu’elle était dans une tenue différente que celle qu’elle portait à Storybrooke ! « OU EST MON PYJAMA !!! »
Courir dans cette tenue était difficile. Clairement, Violette était ralentie. C’est là qu’elle regrettait que son frère ne soit pas à ses côtés. Quoi que, non. Les dons ne fonctionnaient pas ici. Il n’aurait pas été d’une grande aide. Violette essaya alors de courir le plus vite possible malgré tout. Elle essaya également de lancer quelques champs de force, en vain. Rien n’émanait d’elle. Son sang se glaça lorsqu’elle entendit le loup hurler de rage. Il était proche d’elle, Violette le sentait. Et là, elle venait d’arriver devant deux escaliers. L’un montait et l’autre descendait. Sans réfléchir plus longtemps Violette prit l’escalier qui descendait. Pour elle, il était plus logique que ce choix lui permettrait de sortir. Elle dû accélérer la cadence en entendant le loup et ses acolytes se rapprocher de plus en plus. Violette entendit une nouvelle fois le hurlement effrayant du loup. Il avait clairement envie de manger une Violette. Et pourtant il avait tort car elle contenait peu de viande grasse !
Après une folle course dans les escaliers, Violette se retrouva face à une porte en bois. Issue ou pas, elle n’avait pas le choix alors elle l’ouvrit…ET par chance elle se retrouva à l’extérieur ! Violette continua à courir dans la direction la plus simple et la plus rapide. Mais elle fut éblouie par une forte lueur blanche. Et l’instant d’après elle se retrouva à terre, parce qu’elle venait de percuter quelqu’un.
« Aie ! Merde ! Désolée ! »
Une personne se rapprocha de Violette et lui tendit une main. La brunette la prit et se releva. C’était une jeune femme blonde qui venait de l’aider. Et la personne qu’elle avait percutée était Jude. Même si le revoir, lui, ne la remplissait pas de joie mais plutôt de gêne et de doute, Violette était quand même contente de voir un visage qu’elle connaissait.
« Merci » dit-elle en s’adressant à la blondinette avant de se retourner vers le garçon qu’elle connaissait un petit peu. « Oh ! Jude ! Ravie de voir une tête connue ici ! » « Vous étiez dans le château ? » demanda la blondinette en lui souriant. « Oui, je crois ! » répondit Violette en se retournant pour regarder derrière elle. « Oui, j’étais bien là-dedans. L’horreur. C’est l’asile des fous à l’intérieur ! » « Ma mère y est piégée » commença la jeune femme avant de reprendre. « Au fait, je m’appelle Nina et je crois que vous êtes l’une des dernières élues. Ah moins que vous soyez là depuis plus longtemps… » « Dernière élue ? » demanda Violette d’un ton interrogateur avant de réfléchir par elle-même. « Oh ! Par rapport à l’appel au secours venant de la boule blanche ? » Violette se stoppa quelques instants afin de regarder autour d’elle. « Euuuuh, à vrai dire je ne sais pas depuis combien de temps je suis ici. Mais j’ai eu le temps de faire connaissance avec Rowena et de me faire attaquer par ses créatures. Mais je n’ai pas vu ta mère…Désolée… » termina-t-elle en faisant une petite moue. « Rowena ? Tu l’as vu ? Tu es chanceuse d’être toujours en vie, elle est dangereuse….mais je t’expliquerais. Il faut qu’on aille sauver ma mère avant qu’il ne soit trop tard. Si on n’a pas détruit le sortilège de Rowena avant la prochaine pleine lune, on sera piégé ici pendant plusieurs décennies. »
Violette ne put s’empêcher de faire les yeux ronds face à Nina. Cette mission était un suicide ! Du moins, tout dépendait quand était la prochaine pleine lune. Violette voulu lui demander afin d’avoir la réponse mais Nina fut plus rapide qu’elle pour reprendre la parole et les explications.
« Il va falloir retrouver là-dedans. » expliqua-t-elle en montrant le château. « Tu as vu Rhéa, Marouk et la bande ? Ils sont atroces mais complètement idiots. Rhéa est une loutre un peu trop bavarde. » continua-t-elle avant de montrer son chat. « Voici Noukia mon chat. Il a réussi à la faire plus parler qu’elle ne devrait. »
Il fallait dire qu’il n’y avait pas que Rhéa qui était bavarde. Nina l’était toute autant et Violette était bien trop fatiguée et limite en état de choc après tout ce qu’elle avait vécu en si peu de temps qu’elle avait du mal à la suivre et à en placer une. Le petit groupe, que Violette n’avait pas du tout pris le temps d’examiner, se dirigea vers la porte arrière. Nina l’ouvrit avant de se tourner vers tout le monde.
« J’y vais la première, Noukia ouvre le chemin et après on va s’occuper de récupérer ma mère et les prisonniers. »
Violette hocha simplement la tête, jusqu’au moment où son cerveau se réveilla enfin. Son hochement positif se transforma en secouement négatif. Entrer là-dedans sans véritable plan était tout simplement un suicide collectif. Violette voulu expliquer pourquoi elle changeait d’avis mais une fois de plus elle n’en n’eut pas vraiment le temps. En effet, une large lueur au loin fit son apparition. Le village à côté venait d’en pris dans de grandes flammes.
« Oh non pas ça ! Elle n’a pas le droit ! » ragea Nina
Est-ce que c’était Rowena qui était à l’origine de ce feu ? Si c’était le cas, elle était réellement puissante. Et la mission s’annonçait plus que compliqué sans aucuns dons.
« Je crois qu’on a un village à sauver avant de sauver ma mère. » « Et de toute façon, là-dedans on a aucune chance ! Nos pouvoirs ne fonctionnent pas ! On peut pas foncer à l’aveuglette… »
Noukia, le chat de Nina sauta de son épaule et se changeant en un chat beaucoup plus gros. Il ressemblait désormais à un tigre. Violette fut agréablement surprise de voir ce changement. Avoir un tigre de leur côté, dressé, ça ne pouvait qu’être positif !
« Noukia est un ancien métamorphe, aujourd’hui animal. Il se change en tigre du bengale quand il sent le danger afin de me protéger, et donc accessoirement de nous protéger. » expliqua Nina avant de continuer. « Il est piégé sous cette forme à cause de Rowena, si on arrive à la battre, peut être qu’il pourra être libéré de ce sortilège. »
Une fois de plus, beaucoup d’explication. Mais au moins, cela expliquait la faculté que le chat/tigre savait parler. D’ailleurs ce dernier se rapprocha de Violette. La brunette ne put s’empêcher de lui donner une petite caresse. Caresser un tigre n’était pas commun !
« Je sens que tu nous seras d’une grande aide toi. » annonça Noukia « C’est toujours bien d’avoir des alliés en plus. » commença Violette en donnant une deuxième caresse à Noukia avant de lui adresser un petit sourire désolée. « Hum…J’aimerais être d’accord avec toi, mais sans mes dons, je ne vaux pas grand-chose… »
Au même moment, les flammes du village disparurent. C’était comme si elles n’avaient jamais exister. Le village était intact. Et une deuxième chose avait disparu : le château de Rowena !
« Sortilège d’illusion » murmura Nina avant de grimper sur Noukia et de regarder le reste du groupe. « Rowena sait que vous êtes tous là, elle joue avec nous. Le château est là, il faut juste le…repeindre. » termina-t-elle dans un grand sourire. « Le repeindre ?? Tu nous expliques ? » « D’accord mais alors allons jusqu’au village, on y trouvera des vivres et un endroit où passer la nuit. Il vaut mieux s’atteler à la tâche le matin. »
Nina montra un énorme corbeau de la tête, suivit par un plus petits. Les deux corbeaux venaient de sortir de nulle part, sans doute pour chasser.
« Rowena est partie. Elle part souvent toute la nuit. » expliqua Nina qui s’était mise en marche vers le village, à dos de son tigre. « Mon père était peintre, je me demande d’ailleurs ce qu’il est désormais mais il dessinait à la craie grasse sur le sol et créé des endroits comme celui-ci. Il lui suffisait d’avoir de l’imagination et de la bonne volonté et il arrivait à dessiner de très belles choses. Alors je pense qu’on peut réussir à faire à nouveau apparaître le château. Il est là, caché derrière ce sortilège. Il faut juste le briser » « Oh ! J’ai l’impression d’avoir entendu ce discours…Peter….Neverland. Mais t’inquiète pas Nina. On t’aidera. J’ai eu un entraînement sur l’imagination et tout ça. »
Lorsque Nina lui parlait d’imagination, Violette ne pouvait s’empêcher de penser à Neverland et surtout à Peter. Etrangement, il lui manquait. C’était la première fois depuis longtemps qu’un garçon manquait à Violette. Elle n’avait plus l’habitude. Et penser à lui la rendait nostalgique et quelque peu triste. Le reverrait-elle un jour ? Violette secoua la tête pour chasser toutes ses pensées et se reconcentrer sur la mission du moment. Et tandis qu’ils marchaient, le petit groupe pu voir arriver un éléphant de toutes les couleurs.
« Ok. Faut arrêter de fumer là… »
Clairement, elle avait l’impression de faire un bad trip. Elle n’en avait pas fait souvent dans sa vie, mais elle se souvenait très bien de celui qu’elle avait fait la première fois qu’elle avait touché à la drogue, pour tester. Et l’éléphant multicolore arrivait au même niveau. En tout cas Nina semblait le connaître puisqu’elle avait un sourire aux lèvres et s’était arrêté.
« Oh ! Bonjour Elmer. » « Nina, tu nous apportes de nouveaux amis ? Ils sont là pour ta maman ? Ils ont l’air choisis pour leur vaillance et leur envie d’aider. Ils sentent la lumière. » « Oui, c’est l’appel lumineux de ma mère qui les a amené jusqu’ici, ils vont nous aider. Mais on a besoin de nous reposer avant. On sera mieux demain matin. » « Eh bien ravie de vous rencontrer élus de la lumière. » commença l’éléphant en se tournant vers tout le groupe. « Je suis Elmer, l’éléphant couleur. C’est moi qui maintient l’équilibre des couleurs dans ce royaume. » expliqua-t-il avant d’ajouter : « Et je me ferais un plaisir de vous porter sur mon dos pour vous emmener jusqu’au village. » « Enchantée Elmer ! » répondit Violette avant de se retourner vers Nina. « En effet, si on peut finir notre nuit, ça serait sympa ! Puis on sera plus vif pour notre mission ! » « J’ai une amie qui pourra nous offrir le logis, je pense. » « Euuuuh ! Elmer peut porter une personne de plus sur son dos ? Je crois que nous avons un dernier élu de la lumière. » annonça Violette en pointant son doigt vers un arbre dans lequel venait de chuter – de nulle part une fois de plus – un homme. « Là-haut, regardez ! C’est Léo ! »
Apparemment il n’était pas tant attendu que ça puisque Nina allait partir au village sans lui. Est-ce que désormais l’équipe était au complet ? D’ailleurs, Violette n’avait toujours pas pris le temps de s’intéresser à la constitution de l’équipe…Il fallait avouer qu’elle n’avait pas chômé depuis son arrivée ici. Mais il était évident que Violette s’y intéresserait dans les heures qui suivent. Demain matin au réveil par exemple. Car connaître l’équipe était un atout essentiel pour réussir correctement une mission.
☾ ANESIDORA
Loke Lionstar
« Tous les hommes sont des imbéciles »
| Avatar : Rob Raco
| Conte : Manga Fairy Tail | Dans le monde des contes, je suis : : Loki ★ (Leo du Lion , L esprit céleste )
Loki ∞ Chapitre: Pour elle , je deviendrais un minou castré
Practically Imperfect
Q ue fait une étoile la nuit ? Elle brille ! Cette nuit j'allais étinceler d'amour. Il était tard, mais pas trop tard. Surtout que la concernée était encore catherinette. Coïncidence du destin, peut-être. Peut-etre que les étoiles avaient façonner celui-ci . Attendant, que je comprenne que mes aventures ne me mèneront a rien de concluant, sauf a mettre une femme enceinte, par accident. C'était le moment pour moi de nager dans son monde spirituel,car depuis la révélation du couple élémentaire ,mon éloignement pour l'oiseau ensorceleur et quelques péripéties de couche. Je pouvais songer a l'avenir. Et parler d'amour. Mais ayant du mal a exprimer correctement mes émotions, sans me fourvoyer semant le doute a la concernée. Parce que sa présence, me faisait perdre mes moyens. J'avais parfois des réactions intenses et incompréhensibles. Comme la fuir. Parfois je revenais a la charge avec une provocation douteuse pour flirter. Parfois je me glissais dans la peau d'un idiot , je lui parlais comme si on était en couple . Et quelques fois, je statufiais totalement sur place dans un silence absolu. Dans certaines situations, j'étais le parfait meilleur ami, indifférent , mais toujours là pour ses beaux yeux. Cette femme me rendait fou d'amour.
Et elle, croyait simplement qu'il s'agissait d'un comportement normal pour sa constellation.Parce que nous avions tous un comportement disjoncté. Et tous lui démontraient un amour passionnel. Mais comment je pouvais lui témoigner que cet amour était agapé. Je n'ai jamais eu beaucoup de foi dans l'amour ou les miracles depuis la mort de Karen. Parce que mes fréquentations féminines étaient que des relations sexe entre amis. Et quand c'était des inconnues c'étaient que des histoires de fesses. Mais avec elle c'était différent. Jamais je n'aurais voulu remettre mon coeur en danger après cette histoire entre Emaline et moi. Obscurité elle était. Pour elle j'étais prêt a sacrifier ma lumière. Tandis qu' avec elle, je me sentais renaître a chaque moment qu'on partageait. Chaque instant avec elle , était la représentation de faire l'amour fusionnellement. Elle était a ma moitié. Elle était mon Regulus, ma lionne enflammée. Ma force vitale. Tout ce que j'ai besoin c est elle. Avec elle, je me sentais exclu du ciel. C'était mon sacrifice pour être avec elle. Jamais je voudrais y retourner si elle me donnait ma chance. Mais je devais lui révéler mes feux d'artifices d'amour.
J'aurais eu besoin de quelques conseils . Étonnant non ? Le loveur invertébré voulait l'opinion de ses amis pour séduire une femme. Enfin déclarer sa lumière. Mais ce n'était pas n'importe quelle demoiselle. Ce n'était pas une femme, donc tu déposais ton morceau de papier sur l'oreiller avec une excuse et un numero telephone. Ce n etait pas une visite courtoisie. C'était seule qu'il méritait réelement mon coeur. Mais qui m'aurait porter secours convenablement ? Ali mon ami intime, qui me disait qu'il pourrait organiser un bal en blanc dans son Palais pour que je lui fasse une demande mariage. On se calme le Sultan qui a trois mariages ratés a son actif ! Trop précipité. Plue lui il pensait déjà qu'elle était mienne , a cause de la facon que je lui décrivais. Ma protégée , elle n'était pas la plus discrète en amour. Elle aurait posée des pancartes partout dans le village. Et sur ses écriteaux, ça aurait été : '' Lucy , Leo veut t'épouser. '' ou elle m aurait appris a espionner Lucy. Portable a la main, je défilais les noms de mon réseau social, leurs trouvant une excuse qui me faisait reculer dans ma quête, car le bouquet de fleurs de l'ile de Guluna n'avait pas eu l'impact désiré. Elle l'avait adorée. Elle m'avait fait un calin. Mais elle ne réalisait pas qu'entre elle et moi, nous serions toujours plus d'un couple de meilleurs amis , mais des âmes soeurs. Dans n'importe quel fiction de mon coeur. Je renonçais donc a mon idée d'avoir une âme comme journal intime. Déposant ainsi mon téléphone sur ma table de chevet.
En calecon, allongé sur le dos dans le jade de mes draps. Dans ma main droite , je tenais un artefact. Une baguette de bois. Un objet que je gardais précieusement depuis de nombreuses années. D'habitude , il était rangé dans ma boite a souvenirs, de mon premier amour. Mais cette nuit , il avait pris un ampleur important dans mon coeur. J'attendais une bénédiction de sa part. Un signe. Cet baton avait survécu a la malédiction. Il m'avait suivit jusqu'ici pour que je n'oublie jamais. Et ce n'était pas ma seule possession d'elle. De Karen. Fixant celui-ci. Effleurant avec délicatesse chaque détail. M'attardant sur l'extrémité qui avait une forme de coeur. Nostalgique, je patentais ma libération. Attendant que celui-ci se manifeste pour m'offrir sa permission, d'aimer une autre qu'elle. Après tout j'avais transférée mon amour pour Karen envers Lucy. Au début pour me consoler, mais ensuite j'appris a l'aimer. Je n avais peut-etre plus de lien de clé avec ma défunte petite amie. Mais j'avais toujours accès a la serrure de nos mémoires. Mais je ne voulais pas la trahir si j'entamais une vie future avec une autre constellationniste. Mais elle me faisait languir, comme Natsu , car je craignais sa réaction. J'avais essayé de lui réveler mais il allait falloir qu'on discute autour d'un lait aromatisé aux raisins, car je n'avais pas envie ce refrain avec l'histoire d'Emaline, soit identique avec celui de Natsu. Après tout, elle était sa dulcinée dans notre version manga. Je ne voulais pas piqué le coup de coeur d"un ami. Parce que involontairement, je m'étais déjà epris qu'une femme mariée. Et celle-ci était en train de divorcer par ma faute.. Sans le vouloir j'étais l'esprit de la discorde, Loki.
Mais a quoi sert une bénédiction ? Si je ne connaissais pas les poèmes de ses ressentis a mon égard. J'essais de trouver Vingt mille raisons de ne pas le dire .Mais décidé , nous vivons qu'une fois alors je trouvais Vingt mille façons de dire je t'aime, jusqu'a que tu le comprennes. Déposant un doux baiser sur l'artefact , avant de le glisser sous mon oreiller. Je détournais mon attention de l'objet, vers le cadran de ma table de chevet. Celui-ci indiquait les premieres heures du matin. Il n'était pas trop tard pour aller squatter la chambre de ma maitresse : Lucy. Enveloppé d'un manteau lumineux , une lueur étoilé ,aveuglante et brillante. Je devenais ombragé. Fantomatique. Je disparaissais.. On pouvait résumer cet phénomène en un mot : Invocation. J'étais comme le pokémon Pikachu. Sans ma clé . Et j'étais le seul pouvant le faire. Je n'avais pas besoin de ma pokéball pour me retrouver près d'une version féminine de Sasha: Lucy.
Mais comme vous venez de lire, j'étais seulement vêtu d'un cabut. Vous allez vous dire que j'étais sûr de ma sexualité. Trop rapide. Elle aurait pu me pincer les oreilles ,les tirant vers une direction précise vers la porte, me trainant de force et me claquer celle -ci au nez. Mais ne vous inquiètez pas. Possédant le don du mannequinat. Je pouvais m'habiller de plusieurs versions évolutives de moi-même. Je pouvais porter mes habits d'esprit stellaire. Je pouvais me vetir de mes tenues de mages..et même.. Vous le serez un peu tard dans l'histoire.
Je me retrouvais donc dans sa chambre. Portant fièrement. Soigneusement vêtu avec style. Ma tenue était un pantalon blanc moulant ornés de rayures brunes claires. Accompagné d'une ceinture noire. Parce que quand on possède une taille féline comme la mienne. Il faut ajusté le pantalon. Mais ça aurait pu être aussi , parce que c'est tellement brûlant quand une femme t agrippe par la ceinture, ou prend tout son temps pour la défaire. Pour ensuite s'attarder a l'unique bouton, qui transforme l'ambiance. A cette étape, je sais que ça devient intime. Je portais mes chaussures propres et cirés. Parce que si elle me demandait d'enlever mes souliers c'était l'étape qui symbolisait : reste avec moi pour la nuit. Mon haut était une chemise blanche ,orange clair et aux rayures brunes. Si on avait de l'imagination, on pouvait associer ses couleurs, au félin sauvage. Ce débardeur était décoré d’accessoires, des cordages qui pourraient réveiller des fantasmes cachés, une cravate mouchoir écarlate avec un diamant comme détail. Pour la touche de luxe. Cette camisole, avait un collet, qui pouvait exprimer ma facette réservée. Je ne lui révélerais pas mon corps , sauf si elle le désire. Pour compléter l'ensemble, je portais des gants et mon accessoire qui me quittait rarement une paire de lunettes. Mais la touche finale, était mes oreilles de lion. Important, car par celle-ci , elle pouvait comprendre le langage de mon coeur. Celles ci était mon radar a émotions. Chaque remuage d oreillons avait sa signification.
L'appartement de Lucy , était inspiré de son ancienne chambre dans notre monde des contes. Comme la mienne d'ailleurs. Dans la pièce noire, le silence régnait. On voyait qu'une tête blonde dépassée de sous la couette. M'approchant vers le lit sur la point des pieds. Radio a la main et micro dans l'autre. Je fonçais dans une table, le coin du meuble m'écrasait une testicule. Sous le choc, je criais: Miaouuu. Ca veut dire ''aie'' en langage de célestin.-en vrai ce n'est pas vrai, mais lui il y croit- Spontanément je m'illuminais. Mon corps était couvert d'une lumière vif. Ce n"était pas l'idée la plus brillante de mettre une table en plein milieu du chemin. Si on avait l'imagination fertile, on aurait pu croire qu'il s'agissait d'un piège contre les squatteurs de chambres. N est-ce que pas Natsu ? Heureusement, mon mal se régénérait comme Wolverine. Et disparut a quelques secondes. Je n etais un coin de table qui avait me castrer. Par contre , l'envie de démolir les meubles dangereux était là. Après tout Karen.. était morte a cause d"un coin. Mais je me retenais de balancer un poings Regulus dans celle-ci. Déposant le radio contre une patte de la table. Et montant sur la table, me servait de celle-ci comme une scène.
A cause du bruit, la belle s'était réveillée. Non a cause d'un baiser. Mais a cause du bruit. Se réveillant en sursaut. Ayant toujours ses clés prêt d'elle. Elle me pointait avec une d'entre elle. Espérant que ce n'était pas Aquarius. Première constellation de la magicienne. Puissante, possédant un caractère amer. Mais soulagé , sachant qu'elle ne pouvait pas l'invoquer. Ouvre la porte , de la sirène du monde céleste. Survivant, a la malédiction, j'étais la seule constellation qu'elle pouvait invoquer dans ce monde . Étant la seule étoile filante avec Plue. Olaf mais on ne sait pas encore. Mais la clé de celui ci était égarée. Pouvant juste utilisé sa robe étoilée concernant Aquarius. Elle pourrait provoquer un ouragan et dévaster toute la guide pour ma simple présence. Je savais que notre amour était puissant mais pas a ce point. Au point de s entretuer , comme Romeo et Juliette. D'une voix somnolente, elle se frottait les yeux. Elle disait : Loki ?
La lumière qui m'entourait disparaissait. Elle pouvait conclure qu'il s'agissait bien de moi. Et pour le confirmer, je lui disais : - Lucy ! C'est moi. Connaissant ma voix depuis longtemps. Cette voix qui était le drapeau. Je venais en paix. Je venais seulement pour parler d'amour et d'avenir. Baissant son arme.
Elle était assise dans son lit, les jambes couvertes par la couverture. Mais je pouvais voir sa chemise rose de nuit. Apercevoir ses magnifiques rondeurs de ses seins. Aucun homme ne pouvait résister a ceux-ci . C'était trop imposant! Mais ne vous inquiétez vous pas , je sais la regarder dans les yeux . Mais je trouvais qu'elle avait mauvais goût pour les tenues de nuits. Son pyjama était démodé. J'aurais préféré qu'elle emprunte un chandail ou même une chemise m'appartenant. Donc si un jour, nous avions notre chance. Ma garde de robe serait sienne. Sa chevelure longue était emmêlée. Mais malgré son manque d’élégance, parce qu'elle n'était pas la fille qui se maquillait et se peignait avant de dormir, ou avant que son homme se réveille. Elle était la femme que j'aimais voir en jogging , avec un débardeur et un chignon dépeigné. Même dans un état lamentable, je l'aimerais.
Confuse par ma présence. Elle était déstabilisée , silence et paralysée. Comment je devais le prendre ? Tant de questions se bousculaient dans mon esprit. Elle qui était une personne démonstrative. En ce moment, elle ne l'était pas. Qu'est-ce que ca signifiait ? Est-ce que c'était des ressentis secrets a mon égard. Ma tenue me rendait ridicule. Entre nous s'étaient le néant . L'incompréhension qui nous envahissait. Mais ce silence était lourd ! Je décidais donc de l'alléger d'une chanson. J'aurais pu te choisir une chanson mieux que celle-ci. Mon répertoire de chansons d'amour était remplit. Mais je voulais te démontrer que je n'étais pas seulement un butineur de fleurs. Mais un prince charmeur.. Donc je lui avais choisis une chanson a l'eau de rose. Une chanson légendaire que tout le monde qui connait et qui aussi était kékaine que son pyjama .
Lancant un rayon sur la touche du radio pour que la mélodie se mette a jouer. Micro a la bouche. Jambes écartés. Main en bas du ventre qui suivait le déhanchant de mon bassin. Mes fesses se dandinait . Mon bras libre bougeait dans tous les sens. A chaque mot , toi je pointais Lucy. A chaque mot flirt, elle avait le droit a un clin d'oeil sous ma paire de lunettes. Sans mot , était la princesse stellaire. Mais elle savait que je n avais pas consommé aucune herbes a chats. Avoir un comportement farfelue était une habitude chez les constellations. Descendant de ma scène, je me glissais dans son lit au moment de la chanson, ou je parlais de folies..
Soudainement, elle réagissait mal agitant les bras dans les airs. Bougeant le haut de son corps dans tous les sens. Elle faisait une crise.. de je ne sais pas.. Folie ? Excitation ? Elle venait de réaliser que l'homme de ses rêves étaient dans ses draps.. Je me sentais a cet instant, comme un homme incompris. Je lui disais : Pourquoi tu s agites comme Plue ? la chanson ne te plait pas si tu veux je peux t en chanter une autre j en est pleins dans mon répertoire. En mode raleuse "Si tu veux chanter à 2h du matin fais le ailleurs que dans ma chambre et laisse moi dormir ! Et elle me donnait une poussée . Perdant l'équilibre vu que j'étais sur le rebord de son lit simple. je tombais sur le fessier. Visage inexpressif, parce que je vivais ma déception a l'intérieur. Mon premier réflexe était de : Désolé Lucy, je ne voulais pas te brusquer.Je voulais juste qu'on parle d'amour. Je n arrive pas a dormir, C'était parce que j'étais une etoile mais aussi ..parce que je pense trop a toi. Je devrais peut-être.. Je me taisais et je me refermais comme une huître, ne donnant plus accès a ma perle. A mon coeur. Elle soupirait, mais elle était plus en mode soupire de fatigue qu'autre chose et elle voulait que je finisse sa phrase "quoi ?" J'avais envie qu'on s'endorme l'un contre l'autre. Habiller bien sur. je voulais veiller sur son sommeil. Bloqué par son attitude. Je lui disais : Rien bonne nuit Lucy Dans une fumée étoilée je disparaissais de sa vue. Comme si elle avait fermée ma porte. Mais j'avais fermé de mon plein gré. Et malgré ma dévouation, même si elle regrettait son geste. Je ne répondrais pas a son appel, mais elle pourrait me ressentir a travers ma clé. Vivre a travers moi, vivre mon aventure.. Parce que cette clé était la lien fusionnel entre nos deux coeurs.
M'invoquant dans ma chambre quelques secondes. Je prenais l'artefact de Karen sous mon oreiller. Laissant le reste en arrière, comme un fugueur. Et je me téléportais ..
Devant la porte, je pouvais voir qu'elle était déverrouillée. Quelqu'un était sorti. Main sur la poignée de la porte. Tenant fortement celle-ci hésitant. Crispé, ma main prenait une teinte rougeâtre, tellement que je serrais. Bloquer. Je ne l'ouvrais pas, paralysé. Même après nombreuses années, je ne lui faisais pas confiance. Connaissant chaque détail de cette porte, comme si elle était ma meilleure amie. J'avais essayé de me familiariser avec celle-ci, mais sans succès. Je ne savais pas ce qui m'attendait en arrière de celle-ci. De mon autre main, je tenais fermement la baguette disant: C'est ta faute , tu m’empêches de l'aimer pour que je n'aime que toi. Aller manifeste toi. Donne moi un signe. En ce moment, on aurait pu croire que j'étais en transe. Lier par l'arme de mon crime et un souvenir. Musicien dans l'âme je me mettais a chanter, la chanson qui me faisait penser a elle.
chanson:
Ma vie est sur un nuage J'ai tout ce dont rêve les garcons de mon âge Pourtant mes envies sont loin Quand tout va bien Je ne ressens rien Pardonne moi Mais mon bonheur c'était toi Aide moi Donne moi moins d'attention Fais moi mal sans raison Trompe toi de prénom Mon ange soit mon démon Ne m'aime pas pour toujours Mon ange joue moi un tour Sois ma belle déception Oublie l'ange deviens mon démon Je me suis perdu à trop chercher le bonheur Je ne suis pas faites pour toi...
A la fin de ma dernière note vocale. Une lumière apparaissait devant moi. Un sphère. Je m'attendais a un fantome du passé. Mais j'avais le droit a une manifestation céleste. Celle-ci tournait autour de moi. Pour que je lui accorde mon attention. Elle jouait une mélodie..Que j'essayais de décrypter. - Karen c'est toi ? Approchant de ma main de cette énergie fantomatique. - Je t en pris pardonne moi , mais donne moi ma benediction. Tu sais je ne t oublierais jamais. Si tu m'as aimée qu'une seconde accorde moi, ma libération.
Mais la lumière, ne me parlait pas. Elle se foncait dans la porte a plusieurs reprises, comme si elle voulait sortir. - Tu veux qu'on aille au cimetière c'est ça ? J'y allais justement, j'avais besoin de te parler et passer du temps avec toi. Mais mon traumatisme prenait le controle de moi. Quand j'avais besoin de me réfugier. J'allais dans la bas. Après son décès de malédiction, on m'avait permis de lui accorder une pierre tombale. Et quand j'étais sorti de prison, c'était le premier endroit je m'étais réfugier après la maison vide de ma famille imaginaire qui avait disparue par illusion. Et c'était a cet endroit que Lucy et moi on s'était retrouvés pour s'unir. C'était en ce lieu, que je lui avais confier ma clé qui était en ma possession. Parce que durant a la malédiction, je la portais en breloque a un pendentif. Karen était le noeud de notre relation. Mais ce fantome, avait un comportement impulsif. elle me poussait dans le dos pour me presser a sortir. Je serrais les poings. Je n'aimais pas qu'on me presse et surtout qu'on me touche dans ma zone sensible. - KAREN ARRETE !! Cette attitude, me faisait me mémoriser des souvenirs cauchemardesques. Je sentais encore chaque coup qu'elle me donnait pour me punir. Pour me faire craquer de fermer ma porte. - Si tu crois que je vais fermée ma porte, tant que tu me romperas pas notre contrat. Et que tu me donneras pas ce que je veux. Je ne renoncerais pas. Ce reste du passé, entaillait mes pensées. Je respirais fortement, prenant de grandes respirations de courage pour tenir tête a Karen. Celle-ci se calmait car ... la sonnette retentissait. Qui sonnait a cette heure ? Je n'attendais personne.. Mais c'était peut-être pour les autres. Par réflexe, je lâchais la poignée. Reculant de plusieurs pas. Ce n'était pas a moi de l'ouvrir. Mais a l'autre personne derrière. - Entrer
La poignée se tournait et la porte s'ouvrait pour me dévoilée une femme. Qu'est-ce qu'elle faisait là , surtout a cette heure . C'était une demoiselle que je connaissais personnellement. Et je n'étais pas la seule a la connaître dans cette guilde. Elle avait quelques connaissances. Dont Grey qui n'avait traumatiser en tuant un pauvre Happy devant ses yeux. Sérieux, le mage de glace avait un sérieux problème avec les chats. La preuve, il a quelques temps il voulait me castrer tout ça a cause d'une intolérance toxique aux plantes et un dragon. Le pire dans l'histoire, c'est qu'il n avait pas de pitié pour ma personne. Voulant d'euthanasier mes testicules, il ne me laissait pas même pas le temps de me reproduire. Surtout qu un mini Loki c'était très mignon et qu une femme dans ce monde en méritait un ou toute une portée. A cause de mon frère , je refusais de flirter avec des médecins et des gynécologues. Pour ne pas prendre le risque .
La demoiselle etait devant moi, encore sur le seuil de la porte. - Salut ma jolie, qu'est-ce que tu fais là ? Si tu cherches ton génie, il n est pas avec moi. Il est peut-etre avec le Viking ou en train de vivre le reve bleu sur son tapis avec Jasmine. Vous avez comprit, il s'agissait d'une autre maitresse d'artefact magique. Pour être plus précis, une lampe. Comme Lucy, elle aussi elle possédait un homme pour la servir et l'aimer. Et tout le blabla qu'on devait accomplir de nos contrats. Son prénom : Aisha.
Susceptible, mon ami m'avait déjà parlée d'elle. En me disant qu'elle était farouche. Je la voyais qu'elle serrait les poings en regardant ou elle se trouvait. Soulagé, ce n'était pas moi qui lui faisait cet effet là, mais l'endroit. Mmh... Non... Je ramenais juste le chat, en vérité... Je ne pensais pas qu’il appartenait à la guilde. disait-elle. Elle me tendait un chat roux, a bout de bras. Style le Roi Lion. Mais ce chat n'était pas Simba. C'était Pilou. L'animal domestique de Lucy et moi. Mais qu'est-ce qu'il faisait avec Aisha ? Approchant ma main vers sa tête. Il reniflait mon odeur, avant de frotter sa tête sur ma main a plusieurs reprises. Je lui faisais des grattouilles derrière les oreilles. Puis s attardait mon attention sur mon chat. Quoi ? C'est possible délaisser son attention pour une femme ? Bien sûr que non. Mais dans mon codex Donjuanisme et d'esprit céleste . On ne drague pas les maîtresses de ses amis.
Me penchant vers mon chat : - Mais tu étais ou mon coquin ? Il faut que tu m'avertisses quand tu vas voir des copines, pas que je m'inquiète. Surtout que tu as des bébés a assumer. Oui j'étais en train de faire la morale a mon félin. Tel chat, tel maitre. Il n'était pas indifférent aux chattes du coin. Pilou s'était reproduit et avait concu sa petite guilde a lui. C'était la raison, pourquoi les chatons portaient les prenoms de la famille Fairy Tail. Sa progéniture se trouvait dans la chambre de Lucy, dans une petite boîte. Qui était la maman ? Une féline inconnue. Parce que quelqu'un était venu déposé ce carton, devant la porte de notre demeure, avec un petit mot écrit Leo. Au début, j'avais cru que c'était les miens. Mais pourquoi mes enfants auraient cette forme ? Si un jour, j'avais des petits minous. Ils héritons seulement de mes oreilles..Et peut-etre mon gêne de rouquin. Et selon mes souvenirs ne n'avait pas forniqué avec catwoman. Donc la seule logique, était pilou. Le chat miaulait sous mon avertissement..
Continuant de caresser l'animal qui se trouvait toujours dans les bras d'Aisha. Mon attention se posait de nouveau sur la fée. On entamait la discussion. S' il appartient a ma guilde, c est mon chat. Merci de l avoir rapporté. C'était gentil de sa part de me venir le porter a son maitre mais pourquoi en pleine nuit ? Elle aurait pu le donner a Ali pour qui me le redonne. Sa visite m'intriguait. Derrière celle-ci avait-il des intentions cachées ? Peut-etre qu'elle me trouvait a son gôut, mais elle n'osait pas me le dire. Et c est connu les femmes sont contradictoires dans leur langage. Souvent le non, veut dire oui. Parce qu 'elle n assume pas d'avoir un crush. Elles se faisaient indifférentes, pour nous titiller et qu'on continue de jouer. Avec elles , il fallait toujours lire entre les lignes. Il faut avoir un talent pour les devinettes. Malheureusement, je n'avais pas le temps pour jouer. Parce que Karen n'était pas patiente. Donc je devais mettre un terme a notre partage verbal. Je suis désolé ma chérie , mais tu arrives au mauvais moment, c est pas que je ne t aime pas ou que je ne te trouve pas a mon gout.Et meme si ca serait le cas, Toute facon je ne pourrais pas t es la propriété d'Ali. Mais je dois t abandonner. Je dois suivre mon créateur . Excuse je n'allais quand meme pas lui avouer que j'étais en train de me taper une discussion avec mon ex petite copine. Lui pointant de mon index, la boule lumineuse. Puis d'une provocation, parce que c'était difficile de résister, de ne pas butiner toutes les fleurs de Storybrooke - Mais je suis gentleman, vu que je ne peux pas te reconduire chez toi, fait comme chez toi , ma chambre est en haut. Fait juste pas attention aux photos tapisser sur le mur. Et t inquiete les draps sont propres.. Si ta envie de dormir. Non ce n'était pas une invitation pour une couchette. Parce que mon coeur était épris d une autre femme. Mais plus , une proposition de protections car les rues de Storybrooke ne sont pas , les plus prudentes. On peut facilement croiser une personne pas net. N'est-ce que pas Aisha ta des psychopathes qui suivent ...Et quand on decryptait les lignes, on y voyait seulement une demande de déposer Pilou dans mon appartement. Parce que le chat était légérement volage.. Elle me disait : « Merci... Mais je suis assez grande pour rentrer chez moi seule. »
Quand je discutais avec mon chat , Aisha dévisageait la lumière. Elle se posait sans doute des questions sur ce phénomène magique. S'inquietait elle pour moi ?Ce n'était pas nécessaire c'était mon démon intérieur. Durant ma conversation, avec mon chat, elle souriait vaguement et elle écoutait en en silence les bras croisés. Elle devait me trouver mon attitude mignonne, parce qu'aucune femme résiste a mon charme animalier. Aucune dame, je ne pouvais pas se sentir interpeller par un homme avec un chat , un chiot ou meme un bébé. Les femmes aiment les choses qui font dans la mignonnerie. Mais quand je parlais de son Jinn. Elle se mettait a grimacer, le mot propriété froissait son orgueil. Pourtant je ne voyais pas mal d'appartenir corps et ame a quelqu'un. D'être dévoué. Notre génération de femmes d'aujourd'hui voulait trop de liberté. La femme voulait le pouvoir et l'homme devenait le larbin.
« La quoi ?! C’est lui qui t’a dit ça ? » Elle posait une main désespérée de son front. Je ne préférais pas répondre, j avais eu mon lot de femmes qui dramatisaient, tous les moindres gestes des hommes. Vexé, mais je n'étais pas de sa faute. Aisha était encore la victime collatérale des états d'âmes des autres. Je lui disais sèchement : pourquoi tu ne pourrais pas lui appartenir ? Lui il t'appartient. Tu es sa moitié.Nous on est dévoué a vous, et vous non . Soupirant . Elle en rajoutait une couche : Arrêtez de tout extrapoler ! J’ai juste sa lampe magique, il ne faut pas abuser sur les termes. Il est libre de faire ce qu’il veut, moi de même . ne préférant pas rajouter un mot . Mais dans ma tête, je transformais la phrase envers moi : Elle a juste ma clé il ne faut pas abuser. Elle est libre de faire ce qu'elle veut et nous aussi. Mensonge ! Nous sommes pas des êtres libres, on possede un attachement a vous. On finit toujours par tomber amoureux de sa maîtresse. Ne ne montrant pas mon émotion intérieur. Je pointais la lueur de lumière, pour faire dévier son regard sur elle, au lieu de moi '' C est mon créateur , il m'a creer d'un doigt et une lumière écarlate'' Ma création était encore nébuleuse, parce que vu j'appréciais faire des expériences humaines vu que j'étais encore en apprentissage. Et mon doigt n'avait jamais réussi a faire un bebe constellation. Ca devait etre un don unique du Roi alors ! Le regard d'Aisha était susceptible. J'avais l'impression d'être un menteur, mais j'étais différent de son Jinn. Nous étions le Yin et Yang. Mensonge et Vérité. Mais cette fois-ci je devais agir comme lui pour cacher la vérité amer. La sphère lumineuse s'agitait en tournant autour de moi. J'essayais de l'ignorer. Vous comprenez rien aux hommes objets vous... Vous êtes pareilles toutes les deux. En ce moment , je rugissais ma frustration . Elle soupirait « amuse-toi bien avec ça » en parlant de la balle lumineuse. '' Oui, toi trouve toi Lucy, et donne lui Pilou . N oublie pas de laisser la porte ouverte en sortant. Je laissais en plan la fée. Mais je laissais surtout la portail ouvert, cette phrase avait plusieurs sens. Et je m'éloignais de la Guilde, ne jetant aucun regard en arrière, en suivant Karen. Espérant qu' elle me trouve une ruine pour me réfugier, ou je pourrais bouder Lucy pendant trois mois. Comme je l'avais fait pour elle.. Mais aller au cimetière s'était trop prévisible.
Passant par le meme chemin que Happy sans le savoir. Karen me guidait vers la porte des employés du musée , qui était ouverte.. Heureusement pour elle , parce que je ne voulais pas entrer par effraction. Mais là , elle était ouverte.. Le musée était une bonne idée, d'endroit pour se réfugier pour cette nuit. Et après j'irais me prendre une chambre a l'Hotel Mystery, le temps de ma disparition. Et que je lui manque... Parce que pour elle je veux tout tenter pour qu'elle comprenne mes intentions. Karen me guidait jusqu'à une salle des tableaux.. Plus qu'elle s'approchait d'un tableau en particulier. Elle chantait plus fort.. De mon plein gré, je la comprenais. Devant l'oeuvre..
- Tu veux que je m'invoque dans ce tableau ? Tu veux que ca soit ma cachette ? Tu veux que j'ouvre une porte .. Mais ce n'est pas le monde céleste.
Du coup, Karen disparaissait dans le tableau. Encore une fois elle m'abandonnait dans ce monde sans me donner ce que je désirais , etre un esprit libre pour m'offrir a Lucy. Et au moment ou j'allais retrousser chemin et repliquer. Une lueur différente de la mienne , m'enveloppait dans son manteau pour m'absorder ..
Sur le dos, allongé sur une branche. Je parlais au ciel : - Karen j' espère que c'est pas pour me garder pour toi toute seule que tu fais ca . Tu sais que j'aime Lucy.. À cet instant que j'entendais une voix familière. J'ouvrais mes paupières azuriens. Frottant mes yeux, ma paire de lunettes était disparue. Cette voix qui titillait mon sens de l'ouie, était celle de mon amie Violette. Percé dans un arbre, tel un lion. L'héroine était sous lui, me pointant disant mon prénom. D'une cascade aérienne, je tombais accroupit sur le sol sur les pieds. Je me redressais de facon hautaine. Je symbolisais la prestance. Mon apparence était différente, Karen avait exaucée mon souhait. Elle avait fait de moi un esprit libéré. Portant une représentation de mon armure eclipse. J'étais sous ma forme évolutive.. Mon apparence était celle d'un Loki que j'aurais pu être... Mais ne vous inquiétez pas j'ai seulement hériter de l'apparence, car je n'étais pas victime d'une malédiction. Regardant chaque visage. Chaque minois me semblait familier. D'autres plus que d'autres.. Mais leurs tenues étaient étranges.. - Qu'est-ce que vous faites la ? Vous etes aller a une fete costumé, et je n'ai pas été invité ? Même si avec certains n'étaient pas la joie pour diverses raisons du passé. Dont je préférais éviter le sujet. Fetard, il était important d'invité Leo Lionstar.. Surtout que c'était bientot son anniversaire. Et oublier celui ci était de mettre a dos a moi.
Mais je ne connaissais pas le felin tigré et l'elephant. Ni meme cette fille sur le carnivore. Le félin me dévisageait « alors la...je sais pas si la boule s’est pas trompée. Il est bizarre. » Quoi il me cherche ? Il voulait que je lui prouve que j'étais le Roi de la savane . Trouvez nous un ring. Il avait trop de félins dans le coin. En faites trop de monde dans ma cachette. La blondinette caressait entre les oreilles, le tigre arrogant « tais toi enfin. » Oui écoute ta maitresse. Et respect matou ! Mais il avait raison, tripotant le bas de mes cheveux. Je remarquais que j'étais roux..enfin rouge petite sirène. Et mes cheveux avaient poussés. Je tirais dessus, pour savoir si c'était des rallonges. Non c'était des vrais.. A part les cheveux , je me trouvais pas bizarre du tout contrairement aux autres tenues.
La femme posait son regard sur moi. Comme toutes celles que je croisais. « je m’appelle Nina. Et apparemment, vous êtes le dernier élu de la lumière. Vous avez répondu à l’appel de ma mère. » Répondu a l'appel de sa mère. Pourquoi elle me parlait de sa mère ? Est-ce que j'avais eu une aventure avec sa mère ? Je ne retenais pas tous les prénoms de mes fréquentations. Heureusement j'avais un petit carnet alphabétique. Je me souvenais seulement celles que je voulais me souvenir. Pourquoi elle disait que j'étais le dernier elu de la lumière ? Peu importe ! Je bombais le buste fièrement. Mais je le savais que j'étais le dernier survivant de la lumière, ou élu. Et je suis un seul esprit céleste a avoir ce don. Mais merci de le souligner devant tout le monde. Je m'approchais de cette nina. Prenant sa main dans la mienne avant de la porter a ma bouche. - Enchanté gente-dame. Vous portez magnifiquement bien votre prenom, elle incarne votre beauté. Stop Loki ! Pense a Lucy. Subitement je lachais sa main. Puis je rajoutais : Je ne veux pas apparaitre impoli mais vous avez dit que j'étais le dernier elu de la lumière. Mais eux.. Je pointais chacun d'entre vous . Je crois que vous êtes trompée dans votre bestiaire de mages. Je suis bien un etre lumineux, mais eux ils ne font pas de lumière, je suis sur. J'avais une autre question : Et rassurez-moi je n'ai pas coucher avec votre mère, qui est celle-ci ? Toujours en train de me fixer. Elle devait faire une fixette sur mon apparence royale. Puis elle regardait les autres, puis Elmer et Noukia avant de reprendre la parole. "Mary Poppins. Ma mère c'est Mary Poppins. nous sommes dans le royaume de Castlerocks. Rowena, la méchante sorcière est une dévoreuse d'âme d'enfant hybrides et elle veut quelque chose que ma mère possédait par le passé. Surpris que Mary Poppins est pondue une magnifique fille. J'avais perdu le fil de son histoire quand elle m'avait révelée le nom de sa mère. Ta mère c'est Marypoppins, ah oui je me souviens d'elle. Un rictus fendant se dessinait sur mes lèvres. Un sourire qui venait tout dire. Le royaume de Castlerocks, c est ta mere qui envoyé le roi celeste me chercher. Trop orgueilleux, pour dire devant le chat bleu , l'héroine et le policier...Surtout le policier que j' étais fou et hantée encore une fois par mon ex copine. Donc pour oublier Karen je m'attardais sur ma maman cougar. Je savais que je lui manquais. Qu'elle ne résisterait pas longtemps a mes charmes'. Et pour ta sorcière mangeuse d'âmes. Rien d'etonnant c est typique d'un méchant.Et si elle a envie de me dévorer.. Je lui monterais je goute bon. Disant ses paroles calmement. Et aucunement impressionner, ce n'était pas la première mage qu'on allait vaincre. Trop sur ? Peut-etre ! Mais je n avais pas envie de me compliquer la vie avec tous pleins d'histoires. J'avais déjà ma fugue a gérée.
La boule lumineuse était un appel à l'aide de ma mère, pas un roi céleste ou je ne sais quoi. et je tiens juste à signaler que ma mère est déjà avec mon père et que..." Oui et je n'avais aucunement dit que je voulais etre en couple , ni meme l'épouser a la place de son père. le tigre ajoutait " t'as pas vraiment l'allure d'un élu de la lumière toi." Il voulait dire quoi lui par la ? Que j étais une demie version éclipse . Mi soleil, mi lune. Non il me cherche , prochaine replique dans ce genre. Je vais lui montrer il est capable de quoi l'élu de la lumière. Je vais lui envoyer un Regulus Impact en pleine tronche. Et je n .etais pas ses crocs qui ne font me faire peur. J'ai combattu des démons. Donc le chaton, il va calmer ses ardeurs. Sinon il aura le droit a un combat final style Roi Lion. Nina ajoutait "donc redescends un petit peu de ta planète et accompagne nous au village. il fait nuit, on a besoin de sommeil. Tel mère , telle fille. Elle jouait les dominatrices. Malgré son physique attirant, non elle et moi ca allait faire des étincelles lumineuses. Pas question, qu elle me mene par le bout du parapluie. Meme si elle me faisait des grattouilles entre les oreilles. Je n etais pas un minou docile. Cette nuit j'avais eu ma dose de femmes arrogantes. Donc prenez une pause ! Et l'histoire de planète était de trop : - Je ne viens pas d'une planète, je suis un Soleil . Je suis un astre Cette conversation était trop lourde, j'allais peter une crise soudaine. Elle se tournait la tête vers le groupe "voici Violette, Jude, Ben et Angelika et l'éléphant couleur, c'est mon ami Elmer et mon tigre s'appelle Noukia. Est-ce que c'était nécessaire pas vraiment. Pas besoin de présentation, je les connais deja la plupart. Je vous pointais l'un après l'autre. Elle c'est mon amie. Lui c'est Happy.Lui c'est le policier qui m'a mit en tole. Oui je n'avais pas honte de le dire. Parce que s'assumait ma faute.. Assumait mon crime, mais je culpabilisais toujours par contre. Et elle , mon ami Ali est son patron, j'ai déjà vu sa tête parmi les enfants. Je ne m'attardais pas sur le tigre. Je n'avais pas besoin de faire ami-ami avec lui. Mais l'éléphant était sympathique.. parce qu'il me proposait une sur son dos. Une balade en éléphant allait peut-etre calmer ma testostérone volcanique. Nina disait "allons jusqu'au centre du village." Je me demandais encore pourquoi j'avais accepté de m'embarquer dans une chasse de sorcière. Alors que le tigre ne s'était pas gener de salir mon image. Et ça c'était un delit pour l'horoscope du lion.
A destination dans un village, celui était désert , il n'y avait personne, ni meme dans un chat a part le tigre dont il ne fallait pas la peine que je retienne son prénom. Happy et moi, dans les rues vu qu'il faisait nuit. Tout le monde dormait.. On s'arrêtait a une taverne. J'allais pouvoir me prendre un verre pour relaxer. Youpi ! Le tigre revenait un chaton. Nina entamait le pas la première, suivit de nous pour entrer dans la taverne. Je fermais la marche comme a mon habitude. La demoiselle s'approchait du comptoir avant de taper sur la petite cloche et un chien irlandais arrivait derrière le comptoir "Oh bonjour Nina." "Ravie de vous revoir Shaemus, pouvons-nous avoir le gite pour cette nuit ?" "Bien-sûr !" il se retournait et donnait une clé à chacun pour la nuit "vous êtes mes invités !" il sortait de derrière le comptoir et nous faire monter à l'étage pour nous montrer les chambres.
D'habitude j'étais sociable j'aurais pu bavarder avec mes copains, mais j'avais eu ma dose de social pour cette nuit, avec Aisha , Lucy qui comprenait rien a mes avances , Karen la lueur fantome, et l'incarnation de Sher kan. En plus j'étais tombé sur le fameux policier de mon passé. Et sur mon frère dont il avait un froid a cause de ce fameux oiseau . J'étais donc le premier a franchir ma chambre. J'enlevais mes bottes, je me mettais une de mes chaussettes sur ma poignée de porte. Ca voulait signifier que je ne voulais pas etre dérangé en aucun cas. Je verrouillais ma porte avec la clé.
Et je m'allongeais dans le lit, attendant les premières lueurs du jour pour m'endormir. Mais je devais trouvée une occupation, pour la nuit, en attendant celles-ci. Il n etait pas question que je me touche parce qu'il avait rien a faire a part dormir dans cette chambre. Et Une etoile ne dort jamais la nuit. Et en plus j'avais dans l'idée de me promettre de devenir chaste pour Lucy.
Donc toute la nuit je résistais, accroupit dans le lit , a compter les éléphants. Espérant que le sommeil, me gagne, car changer un lion. N'était pas chose facile. L'une des citations du lion était: il ne changera jamais, accepter le comme il est. Mais Lucy méritait tous les efforts possible. Si elle me voyait plus draguer des femmes. Peut-etre qu'elle réalisera que mes avances étaient sincères. Et qu'il n avait qu'elle dans mon coeur. Et que la chanson..n'était pas qu'un numéro de flirte, destiné a toutes. Mais la dernière elu.. L'unique lumière de mon amour. Parce que pour un flirt avec elle, je ferais n'importe quoi. Je ferais des folies pour un flirt avec elle. Car rien n'est impossible, meme pas l'impossible.
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Nina Finley-Newton
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
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| Conte : Mary Poppins | Dans le monde des contes, je suis : : Nina, l'hybride mi-fée, mi-humaine. Fille de Mary Poppins et de Bert. Censée ne pas posséder de pouvoirs mais qui se révèle avoir acquis des capacités familiales.
Discussion avec un chien et un pingouin... pas de toutes, on est vraiment dans le monde des contes !
Nous étions tous arrivés à la taverne où nos chambres nous attendaient. Certains rejoignirent rapidement leur chambre mais moi je choisis de rester à la taverne. Après tout, après avoir passé la journée à l’hôpital et au chevet du pauvre petit Timmi je n’avais guère eu le temps de prendre un repas bien équilibré. Il faut dire aussi que les effluves qui s’échappaient encore faiblement du restaurant me mettait l’eau à la bouche.
Je m’assis donc au bar, face au chien si agréable qui nous avait accueilli tantôt ! Ce dernier était occupé à ranger la salle après son service, après tout il se faisait déjà tard !
"Excusez-moi tavernier ! Serait-il encore possible de boire ou de manger quelque chose ? J'ai été bien occupée et je n'ai pas encore eu le temps d'avaler quoique se soit aujourd'hui !"
"Bien sûr mademoiselle, que souhaitez-vous ?", répondit-il avec le sourire.
En voilà une question bien épineuse ! Ne sachant quoi lui répondre, je me contentais alors d’hausser les épaules.
"Je... je vous avoue que je ne sais pas ! Votre monde est après tout si différent du nôtre !"
La gastronomie était pour moi quelque chose de terriblement important. Convaincue qu’on ne pouvait réellement connaître un nouveau peuple sans en connaître la culture culinaire, je goûtais à tous les plats des pays que je traversais. Je me laisserais donc guidé par notre tavernier.
"Mais Je suis très gourmande et j'aime la nouveauté ! Je suis certaine que votre fin palais de gentleman saura me faire la meilleure des surprises ! Je suis très gourmande !"
"Hum, eh bien..."
Réfléchissant quelques instants, il finit par revenir vers moi un verre d’eau à la main. Était-ce là la seule boisson véritablement typique qu’il pouvait me servir ? Voilà qui était bien dommage. Etant une femme bien élevée, je pris tout de même la peine de goûte au breuvage qu’il m’avait servis. Je découvris alors que cette boisson n’avait rien à voir avec ce que j’imaginais, elle avait au contraire un goût de Lambrusco si appréciable après toutes les émotions que nous avions déjà eues !
"Ce breuvage est tout bonnement exquis ! Vous êtes un vrai magicien !"
J’eus même droit en prime à une succulente tourte au fromage avec de la salade mêlée… le repas idéal pour une ancienne petite souris !
"J'espère que vous aimerez."
"Oh mais je n'en doute pas une seule seconde, merci beaucoup !"
Je me mis alors à déguster avec délice quelques bouchées de cet excellent gâteau. Puis, pensant que le moment était peut-être bien choisis pour m’intéresser au monde que nous devions affronter, je décidais de me renseigner directement auprès de Shamus.
"Dites-moi Shamus, nous venons tout juste d'arriver ici et je voudrais savoir... à quoi ressemble la vie à Castelrocks ? Etes-vous heureux ici ?"
La réponse était bien évidemment négative mais j’avais appris durant ma carrière d’enquêtrice que jouer les idiotes permettait parfois d’obtenir de bien meilleurs résultats que lorsque l’on faisait mine de tout savoir. Le tavernier canin prit alors ses aises sur un petit tabouret situé derrière le bar en face de moi. Fier travailleur, il poursuivait sa besogne et essuyait quelques verres tout en me parlant.
"Oh...la vie était bien plus belle avant, quand la véritable reine était sur le trone. J'étais heureux de vivre ici, je tenais la taverne avec mon épouse qui m'a malheureusement quittée il y a quelques temps par la faute de Rowena. La taverne fonctionnait beaucoup mieux à l'époque, aujourd'hui, nous avons quelques clients mais ce sont toujours les mêmes. Avant Rowena, la vie à Castlerocks était magique, la musique régner au sein de ce royaume, il y faisait bon vivre. Oui, il est vrai...je regrette cette période. Les gens étaient heureux, aujourd'hui, nous craignons Rowena et sa horde de sbires alors on a perdu toute joie de vivre et on se contente juste de survivre."
Tout son discours me brisait littéralement le cœur. Je me rendais alors compte que le problème ne touchait pas uniquement la vie de famille de la pauvre Meredith mais également celle de tous les habitants de ce royaume. Touchée par ses propos qu’il avait tenu à propos de son épouse, je posais quelques instant ma main sur sa patte.
"Je suis vraiment navré pour votre épouse... j'imagine à peine la douleur que vous avez dû ressentir en la perdant !"
Puis, retirant ma main, je m’attardais sur les autres points de son discours.
"Je ne me doutais pas que les habitants de cette ville avaient pu autant souffrir"
Détournant un instant mon regard, je me concentrais à nouveau sur des choses plus concrètes. Bien que sentimentale, je réalisais l’importance de se montrer plus dure en certaines circonstances. Si l’année que j’avais passée à Baker Street m’avait appris une chose c’était bien celle-ci !
"Pourquoi n'avez-vous pas essayé de vous rebellez, de reprendre votre ville ? J'imagine qu'elle doit être puissante mais vous êtes bien plus nombreux !"
"Nous avons essayé de nous rebeller, Nina a été notre leader, on a pu atteindre le château mais une fois là-bas, ça a été le chaos, beaucoup des nôtres y ont perdu la vie, d'autres sont traumatisés et d'autres encore préfèrent se terrer que reprendre le dessus. Rowena est trop dangereuse. Nina en a conscience et elle s'en veut de vous mêler à cette histoire mais le temps est compté. Notre monde a besoin des élus de la lumière, votre seule armée peut réussir à la battre, nous avons essayé et nous avons échoué alors aujourd'hui, on continue à espérer que le jour du retour de la reine légitime de Castlerocks sur son trône. Personne ne sait où elle se trouve."
Mais nous n’allions certainement pas reculer face à cela. Aucun de ses propos ne devaient me freiner dans ma détermination et je m’attendais à ce qu’il en aille tout autant pour les autres. Il fallait que je le rassure sur nos attentions et notre détermination. Il était peut-être bien maladroit de ma part de parler au nom de toute notre équipe, mais en cet instant je prenais le risque de m’improviser ambassadrice de notre groupe ! Après tout… tant qu’il y a de la lumière, il y a de l’espoir ! Et l’espoir c’était tout ce dont ils avaient besoin en ce moment.
"Nous ferons notre possible Shamus et si c'est possible nous ramènerons votre reine dans ce royaume !"
"Vous êtes vaillante !", dit-il dans un sourire.
Puis laissant à ces quelques paroles le temps d’infuser, je bus quelques gorgée d’alcool avant
"Dites-moi, quels sont les plus grands dangers que nous aurons à affronter ? Je souhaiterais savoir ce que nous attend !"
"Je pense que vous devez surtout tenter de rompre le charme du château. Rowena a utilisé toute l'obscurité de son cœur pour piéger le château, aucune magie ne peut l'atteindre au sein de l’édifice, aucune magie ne fonctionne derrière ses portes. Briser le cœur même de son bouclier obscur, trouvez-le et vous permettrez à vos alliés magiques de pouvoir être aptes à se battre."
Profitant d’un instant de silence où il se servit un verre de jus, je pris le temps de peser chacun des mots qu’il m’avait adressés. Je le laissais ensuite reprendre la parole.
"Méfiez aussi de son corbeau, ce sont ses yeux hors du château. Il est son sbire le plus fidèle et méfier vous également de tous ses sbires, ils sont diaboliques, ils sont tous le reflet de son âme. Certains d'entre eux cependant étaient des nôtres avant mais elle a usé de sa magie sur eux. Ne foncez pas dans le danger tête baissée, je vous en conjure, soyez vaillants mais ne vous mettez pas inutilement en danger."
Je souris de plus belle au tavernier, lui qui part ses simples paroles prouvait toute la sympathie qu’il éprouvait à notre égard. Il m’offrit alors un sifflet que je saisis dans ma main et rangeais dans mon sac.
« Gardez-le avec vous, et si vous avez besoin, sifflez, je saurais rapidement où vous trouvez, comptez sur moi."
"Je vous remercie pour tous vos conseils avisés, Shamus ! Je ne manquerais pas de les mettre en pratique... et votre courage n'a rien à en vouloir au nôtre !"
Terminant les dernières bouchées de mon repas, je finis par adresser un regard curieux à l’adresse du chien.
"Dites-moi combien vous dois-je pour ce repas exquis ? Je ne suis pas certaine que ma monnaie vaut quoique se soit dans ce monde... mais je me sentirais coupable de repartir sans rien vous avoir donné !"
"Votre gentillesse et votre bonne humeur me suffit amplement."
Mais cela ne me suffisait pas à moi ! J’avais horreur d’avoir l’impression d’avoir une dette envers quelqu’un. Je sortis donc de mon sac un petit boitier blanc, possédant en son sein une puce de géolocalisation.
"Ce drôle de petit appareil s'appelle un biper ! S'il vous arrive quoique se soit, appuyez sur ce bouton ! je saurais que vous avez besoin d'aide.", dis-je en me relevant de ma chaise "Dormez bien et ne vous faites pas de soucis... bientôt la musique reviendra dans vos vies, je vous le promets !"
Je regagnais mes appartements alors que je tavernier finissait tranquillement sa besogne. Mais le fait d’être dans ma chambre n’y changeait absolument rien ! Je n’arrivais pas à dormir… comment aurais-je pu y parvenir alors que je savais que Mérédith était emprisonnée et affaiblie dans une tour où elle ne bénéficiait pas d’aussi bons traitements que nous ?
Le lendemain matin donc, j’entendis très tôt notre jeune Nina frapper à la porte.
"Angelika, vous êtes réveillée ?"
Je ne lui répondis pas tout de suite. Prenant le soin de me diriger vers le sac de Mérédith que je tenais toujours fermement à mes côtés, j’en sortis un poudrier dont je me tartinais lourdement le visage. Cela n’est pas de bon ton pour une femme bien née de laisser paraître sa fatigue ou ses trop fortes émotions, me répétait inlassablement ma mère depuis que j’étais toute petite ! Et bien qu’ayant fait l’impasse sur mes sentiments, je respectais scrupuleusement le fait de masquer un quelconque signe de faiblesse ! Je sortis donc de la chambre après quelques minutes tout sourire.
"Bonjour Nina ! Comment vas-tu ce matin ? Tu te sens prête pour l’épreuve qui nous attends ?"
"Toujours prête !", me répondit-elle courageusement. "Shamus nous a préparé des croissants et de quoi boire avant qu'on ne reparte. On a un peu de chemin à faire avant de pouvoir repeindre le château."
Je sortis alors de la chambre, toujours aussi fermement accrochée au sac de Mérédith. Je finis par déclarée avec un peu trop d’enthousiasme.
"Aaah ce brave Shamus toujours aussi intentionné !"
"C'est pour ça que tout le monde l'adore !", dit-elle avec un sourire.
« Et bien dans ce cas ne perdons pas une minute et allons-y !"
"Je vous retrouve en bas, je vais voir si les autres sont réveillés. Noukia est en bas et puis d'autres amis à moi sont venus pour le petit déjeuner."
"Très bien ! Je te réserverais le meilleur croissant avant que tous ces gourmands n'aient tout dévorés !", lançais en lui adressant un clin d’oeil "J'ai vraiment hâte de rencontrer vos amis !"
Quelques instants plus tard, je me retrouvais avec tous les autres compagnons de notre armée dans la salle du restaurant. Après avoir saisis un croissant dans une grande corbeille, je me servis une grande tasse de café. Bien que je n’en boive pas d’ordinaire, j’en avais le plus grand besoin étant donné la journée qui s’annonçait ! C’est alors qu’un étrange pingouin s’approcha de moi tout en se dandinant.
"Bonjour, je peux m'asseoir ?"
Je connaissais cet étrange personnage. Il était très souvent présent dans les dessins animés que regardaient les enfants depuis leurs lits d’hôpital. Bien sûr, je ne suis en fis pas immédiatement la remarque, ça aurait pu sembler terriblement impertinent de ma part ! C’est pourquoi je me contentais alors d’un hochement de tête.
Mais bien évidemment, vous êtes le bienvenu. Est-ce que je vous sers un peu de thé ?"
"Oui je veux bien merci !"
La théière à la main, je lui versais sa boisson comme toute bonne hôtesse que j’étais dans l’autre monde.
"Je vous en prie ! Buvez-le pendant que c'est chaud !"
J’en fis alors de même, tout en réfléchissant au moyen d’aborder la conversation.
"Vous faites donc vous aussi partie des amis de Nina ? Décidemment, cette jeune femme a vraiment des amis surprenant !"
"Oui, je faisais partie de l'armée qui a tenté d'arrêter Rowena. Je travaille avec Shamus ici de temps en temps mais sinon, mes parents tiennent la poissonnerie du village."
"Voilà qui ne me surprends guerre », dis-je amusée en songeant au Pingu de notre monde. « Vous savez, vous êtes très connus dans le monde d'où nous venons !"
N’étant cependant pas à Castelrocks pour les vacances, je rajoutais alors.
"Selon vous, quelle capacité faut-il selon vous pour faire un bon soldat ?"
"Il faut la foi."
"Cela dit la foi ne suffira certainement pas à la vaincre !", lançais-je avec un rictus au coin des lèvres"Pensez-vous que votre reine se trouve toujours dans ce royaume ? Serait-il possible qu'elle soit également enfermée dans ce chateau ?"
Je ne pouvais pas oublier ce que Shamus m’avait raconté la veille sur la souveraine légitime de ce royaume. Je me demandais toujours si nous parviendrons à la retrouver.
"Je ne sais pas... mais papa dit que Rowena n'est pas assez intelligente pour l'avoir envoyée loin, je pense qu'elle a aspiré ses pouvoirs."
"Et comme elle n'aurait certainement pas pris le risque de la perdre de vue, il se pourrait qu'elle aussi soit enfermée dans ce maudit château... tout comme Méreédith !", murmurais-je avant de reprendre d’une vois plus affirmée "Lorsque nous aurons prit d'assaut le château ! Nous devrons donc nous rendre dans leurs geôles pour les libérer !"
Puis, fixant mon regard dans le sien je lui posais enfin cette question qui trottait dans ma tête depuis le début de notre conversation.
"Est-ce que vous participerez à l'assaut à nos côtés ?"
"Si j'en ai la possibilité, je vous accompagnerais au moment venu !"
Nina se présenta alors à nouveau, n’ayant en aucun cas perdu l’énergie que je lui avais connue.
"Oh bonjour Pingu, pardon de vous embêter mais il est temps qu'on y aille Angelika, on a du chemin à faire jusqu'au village voisin pour trouver le pinceau jumeau de celui qui a créé ce monde."
Cependant, je ne pouvais oublier que la jeune femme n’avait pas manger une bouchée avant maintenant. Etant donné sa situation, je ne la comprenais que trop bien. Cependant, je ne pouvais faire taire mes instincts « maternels » qui me lançais des signaux d’alerte.
"Et tu n'as même pas pris le temps de prendre ton petit-déjeuner ! Et voilà le croissant que je t'avais promis, Nina !"
Je lui tandis alors le croissant que je lui avais réservé et finis par le lever, offrant à Nina la seule chose qu’elle désirait en cet instant !
"J'espère que nous pourrons compter sur vous ! Nous aurons besoin de toutes les bonnes volontés pour la vaincre !"
Je me tournais alors vers Nina
"Mettons-nous en marche !"
"Le pinceau original est celui de mon père, il a été brisé par Rowena. Ma mère l'avait conservé quand elle a vécu sa grossesse seule. Rowena sachant la puissance de cet artefact rempli de la magie de l'imagination de mon père l'a détruit, croyant briser la magie de l'imagination de mon père mais un pinceau similaire existe dans ce monde Donc il faut trouver son jumeau."
"Très bien, mettons-nous donc en quête de ce pinceau alors !"