« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Je voudrais un bonhomme de neige, oui s'il te plaît un bonhomme de neige
Avoir un ami avec qui parlait, ça faisait du bien. Je n’avais pas eu de contacte avec François, depuis l’enterrement. Même si, les peluches déposé devant la porte d’entrée venaient vraisemblablement de lui. Matthew, avait d’ailleurs estimé que la première lui revenait. Quant à Elsa, je ne voulais pas la déranger avec ça, alors j’agissais comme si tout allait bien. Mais tout n’allait pas bien justement, j’avais perdu celui que j’aimais, et j’étais malheureuse comme les pierres. Si je me levais chaque matin, c’était pour Matthew uniquement. Il était mon point d’encrage dans la réalité. Je n’avais pas le droit de me laisser aller, j’avais un petit garçon d’un an et demi à charge, alors je me devais d’être là pour ce même petit garçon.
- Merci Olaf, je garderais tout ça en tête lui assurais-je
Je supposais que ses angoisses par rapport à Elsa pouvaient être légitime. Mais, ma sœur ne lui en voudrait pas du tout. Peut-être lui ferait-elle éventuellement la morale, s’il lui disait qu’il n’avait pas osé nous approcher avant mais ce serait tout. Personnellement, je soupçonnais ma sœur, d’adorer faire la morale aux autres mais ce n’était que de simples suspicions. Je ne m’amuserais certainement pas à le lui demander sur le ton de la conversation, j’étais à peu près certaine que sa tête vaudrait celle qu’elle avait tiré le jour où elle avait appris que je maniais l’épée. Aujourd’hui encore, je regrettais de ne pas avoir eu d’appareil photo sur moi à ce moment là.
- Bien sur que non, elle ne t’en veux pas. J’suis certaine qu’elle te tiendras exactement le même genre de que moi. Bon à la manière Elsa quoi, tu vois de quoi je parles…
De toute façon, ma sœur faisait partie des gens qui estimaient que même à Storybrooke ils avaient toujours un « rang » à tenir. Des fois, j’avais envie de lui faire remarquer qu’être une tête couronné ici c’était le truc le plus banal du monde, mais j’étais pas sûr qu’elle m’écoute donc je la laissais faire. C’était encore la meilleure solution dans son cas et il s’agissait là d’une technique que je peaufinais depuis un certain temps. En fait, ça consistait majoritairement à laisser Elsa parler et à ne pas l’écouter, efficacité garantie.
Mais mes pensées déviaient déjà vers un autre sujet, Olaf avait mentionné qu’il n’aurait probablement pas beaucoup de temps à lui cet été. Enfin, ce n’était pas la formulation exacte mais en substance c’était ce que ça voulait dire, et immédiatement mes sourcils se froncèrent. Jack, n’allait pas l’aider ? Il délaissait sa boutique et laissait donc Olaf faire tout le travail ? Immédiatement, je fût envahis par une bouffée d’indignation. Non seulement, d’être un meilleur ami en carton, il était également un patron en carton ? J’veux dire, quel genre de patron laisse son employé se débrouiller tout seul pendant qu’il se tournait les pouces ? Pas le mien, ça c’était sur.
- Attends ? Jack te laisse faire tout le boulot ?
Définitivement, quand j’allais le retrouver lui, il allait m’entendre. Ah clairement il cumulait depuis quelques temps, on lui décernerait pas le prix de l’ami ni du patron de l’année :
- Tu veux que je le cogne ? Non parce que je peux le faire hein !
Bon, j’étais pas certaine que l’idée soit adoptée par Olaf, mais au moins j’aurais essayé. Et puis au fond, il était pas obligé de savoir que j’avais la ferme intention de faire la tête au carré à l’esprit de l’hiver dès que j’aurais réussit à lui mettre la main dessus. C’était pas mentir d’abord, c’était juste...Omettre des détails. Et puis, Olaf était mon ami de toute façon, donc quelque part c’était aussi venger l’honneur de mon ami : CQFD quoi. De toute façon, Jack mériterait qu’on lui remette les pendules à l’heure une bonne fois pour toute et je serais plus que ravis de m’y employer.
- En tout cas, c’est promis pour Elsa. Je ne dirais rien, je te laisserais faire. Mais si jamais tu as envie que je sois là le jour j surtout hésite pas !
Je savais parfaitement gérer ma sœur, alors s’il y avait besoin j’étais totalement pour donner un coup de main. D’ailleurs, peut-être fallait-il que je le mette au courant sur le statu social d’Elsa quoi que...Moi-même j’étais perdu en fait. A la longue, je ne savais plus très bien s’ils étaient mariés ou bien divorcés avec François. La seule chose de sur, c’est qu’ils déclenchaient la troisième guerre mondiale dès qu’ils se retrouvaient l’un en présence de l’autre… D’un côté, j’estimais qu’ils faisaient tous les deux preuve d’une certaine mauvaise foi, il n’y en avait pas un pour rattraper l’autre malheureusement. Et au fond de moi, je savais que ce serait dans ce genre de moment qu’Aaron me manquerait le plus. Généralement, on se retrouvait tous les deux prit au milieu de leurs disputes à tenter de calmer le jeu ou bien de les laisser, tout en jetant de rapides coups d’oeils afin d’être sur qu’ils n’étaient pas en train de s’entre-tuer
- Tu feras peut-être la connaissance du grand-père de Matthew un jour. Pour le moment, c’est difficile pour lui aussi, mais il est plus ou moins marié/divorcé avec Elsa. En fait, je sais pas très bien où ça en est cette histoire. Et ça ne sert à rien de leur poser la question, chacun a une version différente. C’était le père d’Aaron et à la longue, moi aussi j’ai finit par le considérer comme mon père. Il fait partit de la famille, comme toi.
C’était important je pense, de souligner que je considérais Olaf comme un membre à part entière de ma famille. Surtout pour lui, pour le rassurer lui montrer qu’il comptait toujours autant.
- En tout cas, si jamais tu as le temps et l’envie de passer à la boutique, tu seras le bienvenue !
Est-ce que je passais totalement du coq à l’âne ? Absolument oui. C’était malheureusement, une de mes grandes spécialité. Ça, et m’embrouiller pendant que je parlais si bien, que les personnes avaient un mal fou à me suivre et à comprendre où exactement je voulais en venir.
- Et comme on parle de travail, fait quand même attention à ne pas en faire trop d’accord ? Je sais que tu veux être gentil et bien faire, mais si Jack abuse dit lui « stop. » Et tu peux même ajouter un message personnel de ma part, à savoir que s’il le fait pas, je le retrouverais et je lui ferais avaler son bâton.
Il me connaissait suffisamment pour savoir que j’étais sérieuse. Et puis, c’était également un bon moyen de faire comprendre à cet espèce de congélo débile que j’avais bien l’intention de lui faire payer tout ce temps à m’éviter, il savait que j’avais la ferme intention de lui mettre la main dessus et que rien ne m’arrêterait.
Axel Oswald
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Olaf devait l’avouer … il était resté assez loin des histoires des deux soeurs … loin de ne pas les aimer, il n’avait pas voulu risquer d’empiété sur leur bonheur en apparaissant dans leur vie… Sa vie à lui n’avait pas été vraiment intéressante … et l’idée d’embêter les deux seuls repères qu’il connaissait l’avait fait se sentir idiot… pourtant, il avait essayé, et à plusieurs reprises … mais cela n’avait jamais fonctionné … Il n’avait jamais réussi à trouver le courage … Voir qu’Anna voulait le retrouver aussi, ou en tout cas ne l’avait pas oublier … cela lui faisait chaud au coeur … et cela lui donnait un peu d’espoir pour qu’Elsa aussi désire le revoir…
Alors même qu’Elsa l’avait repousser une première fois dans le monde des contes … Il avait un peu plus peur de son rejet que de celui d’Anna, quoi que les deux lui auraient été fatals… Anna sous estimait alors le temps qu’il allait mettre pour se décider à parler à Elsa … La peur lui tordait les entrailles … Alors, quand son Anna lui dit qu’elle le remerciait … ce n’était qu’un sourire sur le visage de notre glacier qui pouvait se dessiner… Il était content de lui parler, et même si le début avait été mouvementé dans les larmes… Il avait l’impression que maintenant c’était un tout petit plus naturel entre eux.
- Elsa me manque, et tu m’as manqué …
Parce que c’était la vérité … Il n’avait pas grand monde de son ancien monde sauf les soeurs… Oh bien sur on pouvait parler de Sven et de Kristoff … mais les deux étaient … comme dire … pas Anna et Elsa … c’est tout … Anna et Elsa étaient les seuls repères, c’était le mot…. Il était leur bonhomme de neige, et ne plus l’être avait déchiré son coeur de glace en plein de petits flocons… Pouvait il redevenir un bonhomme de neige ? Si seulement. Son corps d’humain était pratique pour les câlins, mais son visage et le nouveau regard des gens sur lui le mettaient mal à l’aise la plupart du temps … Axel finit par sourire.
- Jack gère la partie administrative mieux que personne, alors c’est normal que je sois le vendeur. Ne lui en veut pas, il fait ce qu’il peut, même si j’ignore pourquoi il t’évite, ou pourquoi il fait ce qu’il fait d’ailleurs … Mais je lui laisse des post it avec des idées collés sur le frigo et quand une idée lui plait il mets un « Ok » avec un smiley ! Ou alors est ce que c’est moi qui le mets ? Je ne sais pas. Mais ne lui en veut pas.
La proposition de la jeune femme le fit sourire. Il y penserait mais … Il était sur qu’il n’arriverait pas à la voir autre que sur un coup de tête … cela ne sera pas prévu … comme là, il n’avait pas prévu de dire la vérité à Anna, il y pensait juste … Peut être qu’un peu plus de préparation était important … C’était trop compliqué la vie d’humain, c’était dans ses moment là qu’il avait envie de suivre un papillon dans l’innocence la plus totale pour oublier tout le reste. Alors qu’il l’écoutait pour l’histoire avec François, il se dit qu’il aimerait bien le rencontrer un jour, et aller faire la proposition à la jeune femme avant qu’elle ne le coupe dans son élan sans le vouloir. « Comme toi »…
Olaf n’avait pas de famille ici. Pas de souvenirs d’être avec une papa et une maman. Il avait bien un petit qu’il considérait comme son petit frère, mais ce petit le détestait pour quelque chose qu’il ignorait. Il avait bien des amis, de longues dates, de très longues dates ou tout frais … mais il n’avait pas de famille … parce qu’il avait toujours pensé que la seule famille qu’il avait s’était Anna et Elsa … et là … la jeune femme venait de le confirmer. Sans lui demander il se cala dans ses bras, et lui fit un câlin alors qu’il voulu pleurer mais se retient de justesse.
- Il faudra que tu me passe l’adresse et je passerais avec plaisir !
Autant dire qu’il essayerait entre toutes les missions et autres soucis qui allaient lui tomber dessus … d’ailleurs … Il allait éviter un peu Anna après, tout en lui étant tout à fait adorable, pour ne pas qu’elle remarque son état …
- Ne t’en fais pas, Jack n’abuse pas… ll n’abuse jamais, il est le seul qui m’accepte pour un travail aussi long alors ne t’inquiète pas …
Lui, à l’approche de Noel, commence à faire plein de boulot partout pour faire des cadeaux… Sachant qu’il commençait tôt à tout préparer, parce qu’il avait beaucoup d’amis à contenter … Il sourit à la jeune femme. Jack était le seul à avoir pris un bisounours sans diplome et sans famille comme lui … la chance qu’il lui avait apporté était telle qu’il lui vouait un respect total et complet .. sans lui, après la malédiction … Il n’aurait jamais su quoi faire …
Il se déplaça un chouia, mais garda la main d'Anna dans la sienne comme un enfant tenant la main de sa maman. Si François était comme son père ... comme quoi était Olaf ? Il se demandait un instant comment il devait voir les deux soeurs alors que dans sa tête c'était juste SON Anna et SON Elsa ...
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Anna D'Arendelle
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Je voudrais un bonhomme de neige, oui s'il te plaît un bonhomme de neige
J’affichais une moue sceptique concernant toute la partie avec Jack, mais choisi de ne pas faire plus de commentaires que ça sur le sujet. Au fond, ça me regardait pas vraiment je devais l’admettre. Olaf ne bossait pas pour moi, mais pour mon ex meilleur ami. Oui ex. Je ne savais pas vraiment, où on en serait le jour où il aurait décidé de se repointer ni même s’il y aurait encore des meubles à sauver. Je savais juste, que le dicton « l’espoir fait vivre mais l’attente fait mourir » était en train de prendre tout son sens. Parce que j’avais pendant très longtemps espéré que Jack, ne revienne et que tout remarche. Qu’on soit de nouveau amis et tout et tout. Mais plus le temps passait, et plus je me rendais compte qu’en fait, moi j’évoluais et un jour j’en aurais peut-être assez d’attendre que celui que j’avais considéré comme étant un frère ne décide de reprendre le contacte avec moi.
Choisissant de faire partir ces pensées parasite, je décidais d’attraper un autre bout de serviette et d’y inscrire l’adresse de la boutique, ce n’était pas aujourd’hui que je mettrais ma nouvelle adresse, mais une fois dans un nouvel appartement je ne manquerais pas d’en informer Olaf. J’envisageais de déménager, principalement parce que l’endroit où je vivais était remplit de souvenirs. J’avais quitté ma colocation avec Jack, pour emménager directement avec Aaron étant donné qu’on allait devenir parents. Mais Aaron n’était plus là, il ne restait plus que Matthew et moi. Et si je voulais avancer, et finir mon deuil il fallait en passer par là.
- Tiens ! Dis-je en lui donnant le bout de serviette. T’as tout ce qu’il te faut là-dessus oh et j’ai aussi ajouté l’adresse d’Elsa, au cas où.
S’il tenait à la voire, ce serait quand même mieux qu’il sache où la trouver. Et en fait maintenant que j’y pensais. Je devrais peut-être lui donner en plus de adresse, le numéro de là où je travaillais. Et peut-être aussi l’adresse de S-life, comme des fois j’y allais pour voir François. J’aurais bien filé l’adresse de l’espèce de club de tête couronné que tenait Elsa mais je m’y intéressais pas vraiment. La prochaine fois je lui demanderais, comme ça je pourrais le communiquer à Olaf.
- Heu attends, dis-je finalement en reprenant vivement le bout de tissus, et en me mettant à griffonner dessus à la va-vite
Au final, quand je le lui rendit ça ressemblait plus à grand-chose je devais bien l’admettre. J’esquissais une moue songeuse devant le machin bariolé. Il y avait des adresses, et des numéros de téléphone écrit totalement en vrac dessus. Niveau organisation on avait vu mieux… D’un côté j’étais pas spécialement un as dans ce domaine. Disons que j’avais un sens de l’organisation propre à moi même que personne d’autres ne pouvait comprendre. Et non, ce n’était pas ce que me disais pour me convaincre que j’étais juste nulle dans ce domaine rien à voir.
Et puis de toute façon, l’important c’était qu’Olaf possède tout ce dont il avait besoin pour nous joindre, le reste c’était plutôt superficiel du moins à mes yeux. Et puis, que ce soit bien organisé ou pas de toute façon on s’en fichait. J’assumais parfaitement mon côté « brouillon », et si quelqu’un trouvait quelque chose à y redire eh bien tant pis.
- Le mieux ce serait que tu recopie tout ça au propre et que tu le place genre à côté de ton téléphone ou un truc du genre, la serviette elle pourrait se perdre et puis ce sera mieux pour que tu t’y retrouve.
Heureusement que j’avais pas encore de babysitter pour Matthew, je lui avait au moins épargné ça. Peut-être que j’en faisais trop, je n’étais pas non plus vraiment connu pour être dans la mesure. Ça, c’était beaucoup plus Elsa. Enfin...Disons que ça dépendait également de ce côté là. Pour essayer de me recaser elle était pas spécialement dans la mesure mais c’était un autre sujet j’en convenais. Un sujet qui ne méritait d’ailleurs pas qu’on s’y attarde plus que ça.
- En post-it sur le frigo aussi ce serait pas mal. Enfin c’est toi qui vois hein
Bon, j’allais peut-être pas passer trois ans à parler de l’endroit le mieux pour mettre le genre d’infos qui se trouvaient sur la serviette. Si ça continuait j’étais partie pour un exposé en trois parties sur le sujet, hors j’voulais pas dire mais il y avait quand même mieux comme sujet de conversation. Sans parler du fait que ça faisait un peu monomaniaque, ou ça laissait penser que je faisais une fixette sur ces machins là. Ce qui n’était évidemment pas le cas. J’avais des fixations sur certains trucs, mais pas sur les emplacements d’adresse ou je ne sais quoi.
Il était probablement temps de dériver la conversation sur autre chose, comme Olaf par exemple. C’est vrai jusqu’ici j’avais l’impression qu’on avait fait que parler de moi. Pourtant lui aussi devait avoir des choses à raconter. On avait séparé pendant des années, et j’avais vraiment envie d’en savoir plus sur la vie d’Olaf en générale. S’il y tenait vraiment, on pourrait reparler de ma vie plus tard, ou peut-être pourrais-je à nouveau faire dériver le sujet sur quelqu’un d’autres genre Elsa. C’est vrai peut-être que ça pourrait le rassurer si je parlais de ma sœur, lui qui avait l’air méga inquiet à l’idée de l’approcher
- Et toi alors, parle moi de toi. Est-ce que je suis la première personne d’Arendelle que tu retrouve ou bien tu as déjà revu quelqu’un d’autres ?
Le nom de Kristoff, avait du mal à franchir mes lèvres mais c’était pourtant à lui que je pensais. Excepté ma sœur, il avait été la première personne que j’avais revu. Malheureusement, les choses ne s’étaient pas vraiment déroulé comme je l’aurais espéré. En effet, j’avais du lui dire que les sentiments qu’il éprouvait pour moi, n’était pas les même que ceux que j’éprouvais pour lui. Ça devait bien remonter à cinq/six ans et pourtant, je culpabilisais encore. Pourtant, c’était quelqu’un qui comptait pour moi, juste pas de la manière dont il l’aurait voulu. Je secouais une fois de plus la tête, non je n’allais pas penser à ça maintenant. J’allais passer le restant de mon après midi avec Olaf et ce jusqu’à ce que ce soit l’heure de rentrer.
Axel Oswald
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Jack était un homme qu’Axel connaissait peu…. Il ne savait pas exactement ce qu’il y avait eu comme histoire entre Anna et Jack … mais il se doutait que ça pourrait être assez compliqué en réalité …. Trop pour le dire aussi simplement. Il se demandait s’il pourrait aider … ne savant pas réellement comment faire … mais il essaierait. Il prit la serviette et la regarda un instant …. Observant les mots écrit, il avait envie de pleurer devant tant de douceur rien qu’avec des lettres écrites à la volée… Il reposa ses yeux embrumés sur Anna.
- Merci.
Merci de tout, et de rien. Merci pour être encore avec lui malgré tout, Olaf avait tant à vouloir remercier, tant à vouloir dire à son amie de toujours, et aussi un peu sa sœur non ? Peut être ? Il ne savait pas réellement comment définir Anna et Elsa dans ce monde qui n’était pas le leur, mais il essayait toujours un peu …. Reprenant le papier, il le plia correctement contre son cœur ….
- je le ferais promis.
Mais il allait aussi garder le papier dans un coin sans soucis. Pour être sur de vraiiiiiment pas le perdre, ou qu’il perde tout, on ne sait jamais. A la question suivante, il baissa le regard pour observer ses pieds … Il fallait être honnête avec elle … Alors il allait lui dire … mais la vérité était tout de même triste à entendre et à décrire…. Tristement, il se mit à parler, en connaissant déjà les charges qui pesaient sur ses épaules…
- Je sais où est Kristoff et Elsa …. Et toi aussi ….
Il n’avait pas idée d’où pouvait être Sven et Marshmallow cependant …. Mais trois personnes c’était déjà pas mal pour avouer être un petit flippé qui n’osait pas s’approcher à nouveau de ses amis de peur qu’on le rejette … C’était très bonhomme de neige cette réaction… Il sourit.
- Et toi ? Je veux dire tu as retrouvé du monde ?
Et oui, il revenait sur elle, parce qu’il préférait parler d’elle lui … et qu’il ne savait pas quoi dire d’autres… il avait parlé, assez souvent, à Kristoff… mais seulement en tant qu’Axel … pas en tant qu’Olaf …. Il n’y arrivait tout simplement pas … et tant que l’homme ne lui demanderait pas en face s’il est Olaf … alors il n’aura pas menti … n’est ce pas ?
HRP – à ce moment là du rp il n’a pas encore rencontré FT donc … je te propose que tu réponds et que la réponse à moi suivante je cloture (ou si tu veux le faire) et on revient en 2020 x’D
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Anna D'Arendelle
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Je voudrais un bonhomme de neige, oui s'il te plaît un bonhomme de neige
Quand une personne se mettait à pleurer devant vous et ce que vous la connaissiez ou non, il y avait deux sortes de réactions : la réaction « logique » qui était celle consistant à identifier la raison pour laquelle ladite personne pleurait, et il y avait celle complètement pas logique qui consistait à totalement paniquer. Est-ce que j’avais rationnellement, demandé à Olaf pourquoi il pleurait ? Nooooon bien sur, à la place je m’étais mise à totalement paniquer comme d’habitude. Faut me comprendre aussi, j’métais pas vraiment attendu à ça, et objectivement, j’aurais peut-être pu réfléchir 30 secondes après tout, connecter ses neurones et pas passer pour la cruche de service avec ses réaction impulsive. Sauf que héhé J’ETAIS la cruche de service avec des réactions impulsives.
- Aaaah mais non, pleure pas. Attends prend ma ser…
Je m’interrompit subitement, réalisant qu’avec tous les gribouillis à la con que j’avais fait plus tôt au lieu de filer directement des trucs précis, bah je n’avais logiquement plus de serviette. Sauf que encore une fois la logique et moi on semblait définitivement pas copine. On était limite divorcée avant même d’être mariées -ouais j’avais pas d’autres métaphore alors je faisais comme j’pouvais- et c’était probablement pour ça, que j’étais limite en train paniquer à la recherche d’une foutu serviette. Quel boulet j’vous jure, finalement je me rappelais que j’avais des mouchoirs dans mon sac, et en tendit un à Olaf avant de me tourner vers Matthew qui en avait profité pour se mettre de la glace plein le visage. Sans lui laisser le temps de protester, j’attrapais un nouveau mouchoir, et lui essuyait la figure :
« Mamaaaann. » Se plaignit-il tout de même pour la forme.
- Ah, ah, ah. Pas de protestation, tu sais ce qu’on a dit au sujet des petits garçons qui ne s’essuyaient pas la bouche.
Matthew, décida de ne pas répondre, se contentant de faire la moue alors que je secouais la tête amusée. Qu’est que ça allait être quand il serait plus grand ? Je retint en revanche une grimace lorsqu’Olaf mentionna le nom de Kristoff, alors j’avais rien de personnel contre lui mais c’était juste...Compliqué quoi. Et je ne savais pas vraiment à qui me confier sur le sujet, Elsa quelque chose me disait que ce n’était pas vraiment l’idée du siècle. J’adorais ma sœur, mais à ce niveau là je crois qu’elle pouvait pas franchement m’éclairer ou me donner de « bons » conseils. Il y avait qu’a voir sa relation avec François. J’étais jamais vraiment sûr de s’ils étaient ensemble ou s’ils l’étaient pas, c’était en partie pour ça que je ne préférais ne rien dire, ou alors juste quand ça dégénérait entre eux.
- J’ai revu Kristoff mais...Ça remonte, ça doit bien faire quoi ? Cinq ans, quasi six. C’est...Compliqué.
Voilà, il y avait pas besoin d’aller vraiment plus loin en fait. Généralement les gens quand on leur disait que c’était compliqué évitaient de vouloir a tout prix en savoir en plus. Il avait simplement mit les pieds dans la chocolatier où je bossais dans l’espoir de m’avouer ses sentiments, et il s’était malheureusement avéré que je ne les partageais pas. C’était pas quelque chose qu’on pouvait forcer. J’avais beaucoup d’affection pour Kristoff, juste...Pas comme ça, pas comme il le voudrait. Et j’avais essayé d’avoir le plus de tact possible, de ne pas juste l’envoyer boulé comme ça, néanmoins je comprenais qu’il soit comment dire...Un peu rancunier. Enfin, j’en savais rien pour être honnête. Comme je l’avais dit, ça faisait genre cinq/six ans que je ne l’avais pas revu. Peut-être que si Raiponce, avait-été là j’aurais pu lui en parler. Elle avait une approche différente des choses, et puis si ce n’était pas Elsa, ça restait la famille. On s’était tout de suite bien entendue lorsqu’elle était venue au couronnement. Disons, qu’elle était la seule personne de mon entourage à qui je me voyais discuter de ça en fait. Ma sœur comme je l’avais déjà dit c’était hors de question, j’avais un meilleur ami imaginaire, et une meilleure amie qui était je sais pas trop où en fait. Et en plus, je me voyais pas discuter de ce genre de truc avec Mélo non plus.
- Mais bref, de toute façon on s’en fiche de mes histoires.
Voilà : Clair, net et précis. Et puis, j’étais pas venue ici pour étaler ma vie c’est vrai quoi, Olaf devait avoir des choses plus intéressante à faire que de m’écouter raconter mes pseudos problème qui dataient de Mathusalem. Sans parler du fait que c’était même pas vraiment des problèmes quand on y repensait. C’était juste moi qui me montait le bourrichon pour pas grand-chose comme d’hab quoi. Ça faisait partie de mes grandes spécialités de toute façon et personne n’arriverait à me faire changer, je crois que c’était mort de mort sur le coup.
- Et pour Marshmallow et Sven, j’avoue que je peux pas trop dire. Faudrait demander à Elsa pour l’espèce de grosse guimauve et à bah...Kristoff pour son renne.
Ouaiiis, Anna la reine des douées. Merci captain obvious, il s’en serait pas douté tout seul de ce que tu viens de dire. Enfin, j’pouvais toujours aller voir ma sœur et lui demander si elle savait pas ce qui était advenu du «petit frère » d’Olaf. Ça serait sympa comme visite : « Coucouuu Elsa, dit-moi j’me posais une question, l’espèce de gros monstre glacé que t’as crée il est devenu quoi au juste ? » J’imaginais déjà la tronche que ma frangine allait tirer. Enfin, qui ne tente rien n’a rien après tout et ça me coûtait pas grand-chose d’essayer : au pire elle en savait rien, au pire elle pouvait m’éclairer un peu.
- J’pourrais toujours lui demander à l’occasion.
De toute façon il y avait pas 36 moyens de le savoir, alors soit c’était ça, soit c’était rien. Enfin, il y avait toujours l’option poser des affiches maintenant que j’y pensais. C’est pas comme si je l’avais pas déjà fait en plus, j’avais passé mon temps à mettre des affichette au noms de mes proches. Du genre « Avez-vous cette femme ? » Pour Elsa. Et oui, j’étais un peu désespéré mais c’était pas ma faute, on faisait avec les moyens du bord.
HJ : Bon pour moi
Axel Oswald
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Olaf avait prit le mouchoir doucement alors qu’il s’essuyait les yeux de ses larmes … il ne se sentait pas forcément bien là tout de suite … mais il essayait pour ne pas paraître … trop idiot ? enfantin ? stupide ? être tout ça aux yeux des autres, il s’en fou… mais pas aux yeux de la jeune femme il ne voulait pas … il sourit à Matthew … Il comprenait son désarroi mais il était adorable …
- Oh ….
C’était triste qu’Anna ne voit pas plus Kristoff … mais bon lui ne voyait pas non plus les deux sœurs, alors dans un coin de son esprit un « c’est normal en faite » prit la place. Il comprenait que l’on voulait rester loin des personnes que l’on aime … Même si c’était triste à en mourir….
- Cela m’intéresse mais si tu ne veux pas en parler je comprends, ne t’en fais pas.
Il pouvait comprendre le silence et le refus de parler … parce que c’était le genre de chose qui se faisait souventn dans ce monde … mais qui n’était pas nouveau .. dans l’autre monde aussi il y avait toujours le silence … même si … Olaf avait dû mal à voir Kristoff sans Anna et inversement … Mais il n’avait pas d’opinion à donner …
- Oui, si tu peux lui demander, mais sans dire que c’est pour moi, j’irais la voir moi-même je ne veux pas qu’elle l’apprenne de quelqu’un d’autre …
Il regarda l’heure et se mit à observer dehors … Oups il n’avait pas vu l’heure et il avait rendez vous … il ne voulait pas quitter Anna mais il n’avait pas le choix. Il se remit dans ses bras pour la câliner et s’excusa mais il avait besoin de partir pour un rendez-vous. Il devait écrire un papier pour la police, pour une fois où quelqu’un avait essayé de le braquer. Il sourit à la jeune femme en sortant avec elle… avec quelques câlins en plus avant de courir dans un sens … pour s’arrêter et aller courir dans l’autre. Il avait bien pris tous les papiers … et il ne comptait plus la quitter …