Pourquoi ?

Olaf & Regina

Axel était en train de regarder sa petite feuille griffonné. Puis, il relevait les yeux pour regarder les lieux… pour le reporter à nouveau sur la petite feuille. Il faudra qu’il fasse des cours de dessin de plan à certaines personnes … Cela semblait … Important… Il venait de faire trois fois le tour de la rue, revenant sur ses pas la plupart du temps… Tournant en rond. Il avait bien essayé de demander de l’aide au bon coeur qui se trouvait dans la rue … mais il semblerait que tout le monde se soit levé du pied droit aujourd’hui … ou était ce du pied gauche ? Ce n’était pas vraiment important pour Axel. Lui ne remarquait jamais de quel pied il se lève, et cela n’avait jamais modifier sa journée. Cependant, il aurait bien voulu que les gens autour de lui ne le regarde pas comme si c’était lui qui était bizarre. Il demandait juste ou était Roni’s, le lieu de travail de Dame Régina. Il a eu … un peu toutes les réactions… La plupart qu’il ne compris pas. Un bar le matin ? On lui fit un sourire entendu. Entendu de quoi ? Il ne le savait pas, comme dit plus haut, lui n’avait rien compris. Regina ? Il pu observer de la colère et même de la haine dans certains yeux de personnes observés … Ce qui était totalement incompréhensible pour Olaf … Comment pouvait on haïr quelqu’un juste en entendant son nom ? Oh il savait ce qu’était la haine … Hans était la personne la plus détestable du monde … mais Axel savait qu’on ne devenait pas un être vil parce qu’un jour on s’est « levé du mauvais pied ». C’est un manque constant de câlin et d’amour qui amène le monde a être vilain… Axel en voulait à Hans d’avoir essayer de laisser mourir son Anna adoré …mais il voulait aussi l’aider. C’était pour cela qu’il venait voir Dame Regina… après des années… Il fallait qu’il lui parler ainsi.

Hier, par maladresse, il avait fait pleurer une personne. Il l’avait fait pleuré et cela avait considérablement blessé notre petit bonhomme de neige. Il ne pourrait même pas expliquer ce qu’il s’était passé. L’enfant pensait apparement qu’Axel était amoureux de sa mère. Même si sa mère était une personne tout à fait extraordinaire, comme la plupart des gens dans le monde, Axel n’en était pas amoureux. Que cela soit avant, pendant, ou après la « malédiction », Axel avait un besoin d’amour très simple. Il voulait aimer tout le monde, il voulait croire en tout le monde, il voulait protéger tout le monde. Il n’y avait rien qui le rendait plus heureux qu’un sourire. Alors avoir fait pleurer cette enfant … lui a fait réaliser qu’il n’était plus un bonhomme de neige… et que même s’il n’avait pas encore trouver l’amour avec un grand A dont on lui parle parfois … il devait faire attention. Il ronchonna un peu. Il pouvait pas faire des câlins à tout le monde, apparemment c’était bizarre, et en plus il devait faire attention à comment il aimait les gens… Le monde serait plus simple s’il était un bonhomme de neige.

Et c’était cette réflexion qui l’avait amené à rechercher Dame Regina. C’était cette simple pensée qui pourtant l’avait tenu réveillé toute la nuit. Pourquoi était il devenu un être humain ? Il savait ce que tout le monde savait, et cela depuis cinq ans. Regina, apparement méchante reine, a envoyé une malédiction. Mais pourquoi ? Pourquoi avait elle fait cela ? Pourquoi l’avoir transformé en humain ? Etait elle plus heureuse maintenant ? C’était la question qu’Axel se posait aussi … Est ce que la jeune femme était heureuse ? Pour que ses prises de conscience et sa difficulté à s’accepter vaillent quelque chose … Il fallait qu’il sache si ses soucis, ses problèmes, avaient apportés au moins un peu de bonheur à quelqu’un d’autres. Il était un être fait par amour, d’amour et pour l’amour. Il trouva enfin le Roni’s. C’était le matin. Un écriteau avec écrit « fermé » se trouvait sur la porte … pour travailler chez un vendeur de glace, Axel savait que souvent, c’était écrit fermé mais qu’il y avait quelqu’un à l’intérieur. Il rentra en toquant le plus fort possible, mais sans cassé la vitre.

- Bonjour !

Il s’approcha du bar et continua à parler très fort pour que les personnes qui se trouvent ici puissent l’entendre. Encore une fois, il avait une vague idée de qui pouvait être Regina Mills. Il savait qu’elle était l’ancienne mairesse de la ville … mais Axel n’avait jamais pris par aux élections, ni même à la politique … et il n’a jamais eu de problème avec qui que ce soit … Donc… Il l’avait peut être déjà vu, mais pour le moment, son visage ne lui revenait pas … Il s’attendait en réalité à voir une personne qui ressemble à Hans avec des cheveux plus long. Oh, il sait la différence entre une femme et un homme. Il est peut être naïf mais pas totalement débile non plus. Juste la personnification de la personne mauvaise qui a manqué de câlin c’était Hans… donc il faisait ce qu’il pouvait avec les informations qu’il avait.

- Je cherche Dame Régina. Quelqu’un sait ou je peux la trouver ?

Oh … et il avait apporté un bouquet de fleur. Parce qu’il était lui… et qu’il savait que la discussion qu’il voulait aborder avec la jeune femme ne serait pas des plus … joyeuse … alors il voulait la faire sourire… Et Axel eu une petite pensée pour un Dieu totalement inconnu des hommes, le Dieu de l’Eté, qu’il ne la fasse pas pleurer !

Pourquoi ?

Olaf & Regina

Axel observait les bouteilles en verre misent les unes à côtés des autres … il avait conscience de l’existence de la moitié d’entres elles … l’autre moitié était un mystère sans nom… Il pouvait lire les noms sur les étiquettes … mais comprendre ce que les mots signifiés … C’était un peu plus compliqué … Axel se souvient d’un moment où on l’avait envoyé chercher un « mousseux » pour une fête … Un « mousseux » … Qu’est ce que c’était cela ? A l’époque il avait espéré que c’était écrit justement sur la bouteille … Avant de comprendre que ce n’était pas le cas…. Il avait passé plus d’une heure avant de trouver quelqu’un pour lui dire quoi prendre …

Il fallait l’avouer, il n’avait pas chercher plus longtemps … on lui avait dit que c’était cette bouteille et il l’avait pris. Le prix sur le moment n’avait que peu d’importance… Il ne savait d’ailleurs pas du tout si le prix était exorbitant ou non… C’était de l’alcool … et il n’avait jamais été attirer par l’alcool … comme la cigarette ou autres choses. C’était pas le genre de chose qui l’avait attiré … plutôt le contraire. Il trouvait tellement de personne triste de fumer, ou d’avoir fait quelque chose après avoir bu … que l’alcool le répugnait …

Cependant, il comprenait qu’on avait besoin de boire, ou il pensait comprendre. Alors il ne jugeait en aucun cas les personnes qui pouvaient venir dans le bar de Regina, ou même Regina de faire un bar comme celui ci. Olaf reconnu la jeune femme qui arrivait. Du temps de son « insouciance humaine ». C’était la maire … Il regarda de haut en bas et lâcha, sans le vouloir un :

- Vous ne ressemblez pas du tout à Hans.

Hans était roux, idiot et avec une tête de méchant qui manque de câlin. La jeune femme était brune, grande, avec de l’élégance et … Bon elle avait aussi une tête de quelqu’un qui manquait de câlin … mais il n’était pas sur que cette impression ne vienne pas de la luminosité plus que d’elle… Il faudrait qu’il la regarde à la lumière naturelle pour se décider. Cependant il lui tendit les fleurs doucement.

- J’ai deux questions, mais avant cela, est ce que je peux vous faire un câlin ?

Il lui sourit avec un grand sourire. Il avait ce regard chaleureux d’un enfant qui donnait un cadeau à une personne qu’il appréciait. Il avait le sourire d’un bien heureux. Il avait l’envie de lui faire un câlin à cette femme. Il avait passé les dernières heures à voir que de l’animosité envers elle, de la haine, de la colère. Elle était celle qui l’avait rendu humain. Et dans les yeux d’Olaf cette femme ne méritait pas qu’on soit en colère contre elle. Il reprit doucement alors qu’il releva la tête vers elle.

- Je voudrais vous prendre dans mes bras, pour vous faire un câlin, parce que j’en ai envie, et que je me suis dis que j’étais jamais venu vous voir, et peut être aviez vous besoin d’un ami après que la malédiction fut levé ? Et je n’ai pas pensé à venir parce que j’avais un petit soucis de recherche d’identité … même si je pense toujours l’avoir … mais c’est une autre histoire. J’ai une question mais j’aimerais d’abord entendre votre coeur en vous câlinant. Est ce que c’est bizarre ? C’est peut être bizarre mais … s’il vous plait ?

Il finissait par dire cela… en se disant qu’il devait vraiment se taire … une bonne fois pour toute … Il s’enfonçait dans ce qu’il voulait dire. C’était peut être rien pour les autres … mais chaque câlin qu’Olaf faisait … depuis qu’il était humain et qu’il savait la vérité, avec ce bruit étrange qu’il ne connaissait pas, dans le monde des contes, ou qu’il ne remarquait pas, à Storybrook. Le battement d’un coeur pendant un câlin c’était le seul son qui méritait qu’il se taise pour lui. Parce que lorsqu’il faisait un câlin et que le coeur battait, c’était que la personne était humaine et vivante, comme lui… et le bonheur d’Olaf ne faisait que se multipliait à mesure du temps. Et ce bonheur qu’il cumulait, il le redistribuait comme il le pouvait à chaque respiration …

Pourquoi ?

Olaf & Regina

Olaf ne dit rien sur Hans. Qu’il soit roux, blond ou violet dans tous les cas, il avait manqué de câlin petit pour avoir tenter de laisser mourir son Anna… Mais bon c’était le passé, et il n’avait pas revu sa tête de méchant depuis … Que ferait il s’il devait se retrouvait en face de lui ? Bah l’avenir lui dira … pour le moment, il y avait une autre personne qui méritait toute son attention.

Axel fit un sourire quand la jeune femme accepta ses fleurs, même plus elle lui sourit. Et son sourire eu le don de faire écarter les lèvres d’Olaf dans un sourire encore plus heureux -oui c’était possible- il n’y avait pas de limite au bonheur … alors il comptait bien profiter de chaque petit moment qui mis bout à bout faisait un bonheur énorme que chaque être mérite.

D’ailleurs, parlons de bonheur qui augmente…. La jeune femme en face de notre bonhomme de neige a certainement pu le ressentir, parce qu’il était tout de même un humain très expressif … Mais quand elle avait ouvert les bras … Olaf n’avait même pas attendu une demi seconde avant de s’y lover.

Bien sur, il n’était pas une brute, et il avait fait en sorte de finir dans les bras de la jeune femme avec la délicatesse d’une plume… Il était un peu plus grand qu'elle, alors il n’avait aucun mal à l’enlacer dans ses bras. Sa propre tête reposant contre la tête de la jeune femme. C’était un câlin que l’on faisait à une enfant, à un ami de longue date. C’était un câlin intime -sans avoir d’arrière pensé quelconque- C’était un câlin doux. Il n’avait aucune honte à la serrer contre lui comme la pierre précieuse la plus pur, mais aussi la plus fragile.

Olaf était trop heureux pour le décrire avec des mots. Certes ce n’était qu’un câlin, mais pour lui aucun câlin n’était qu’un câlin. Quand une personne -comme lui- donne un câlin s’était pour transmettre le bonheur, la joie … mais quand une personne ouvrait ses bras pour qu’il puisse lui faire un câlin, c’était d’autant plus rare et beau. Il était tellement heureux qu’il ne savait même plus comment sourire plus. Il n’y avait pas de limite au bonheur, mais il y avait une limite à son extension de sourire …

Il était tellement heureux dans les bras de la jeune femme, et elle dans les siennes qu’il n’avait plus du tout envie de la lâcher … il savait qu’il le devait. Il sourit encore alors qu’il essayait de la prévenir… Si elle ne voulait pas rester dans ses bras jusqu’à la fin du monde, il fallait qu’elle mette fin au câlin, parce que lui pourrait très bien rester comme ça à vie. Même dans son ton, dans ses paroles, dans la manière qu’il avait de respirer, on pouvait sentir juste un bonheur brute s’échappait d’Olaf.

S’il fallait peu pour être heureux, imaginez le bonheur quand on venait de recevoir beaucoup. Olaf ne considérait aucune personne comme acquise. Il ne considérait pas que les gens, parce qu’ils avaient accepté une fois un de ses câlins, le referaient spontanément. C’était sa mission dans ce monde de rendre heureux.

Il espérait que la jeune femme ressente juste ce bonheur et qu’elle puisse le faire sien. C’était le but d’un calin. C’était le but d’Olaf. Il écoutait son coeur battre. Il finit par la prévenir au bout de quelques secondes.

- Je peux rester comme ça des années, alors c’est vous qui décidez quand vous ne voulez plus de câlin. Moi je suis très bien comme ça. Merci Dame Régina.

Il la remerciait pour le câlin. Il savait que c’était dur pour les humains d’offrir des câlins. C’était encore plus dur pour les humains qui avaient vécus des choses … mauvaises. Il savait que c’était encore plus plus dure pour des humains qui n’en avait pas l’habitude et qui avait vécu des choses mauvaises… et il savait que c’était encore plus plus plus dur (oui trois fois) pour les personnes qui avaient vécus des choses mauvaises, qui n’en avait pas l’habitude, et qui était toujours considérer comme une menace par la plupart des gens.

Sauf qu’Olaf lui, il n’était pas une menace. Il était une boule de glace. Olaf voulait que tout le monde s’habitue à ses câlins, parce qu’il ne comptait pas arrêter. Olaf comptait bien soigner toutes les blessures du passé de chaque personne respirant sur Terre… et quand cela sera terminé, alors il pourra considérer que sa mission ici est terminé…

Pourquoi ?

Olaf & Regina

Axel ne savait pas que la jeune femme l’avait créé complètement… même s’il s’en doutait parce qu’on ne pouvait pas passer de l’état de bonhomme de neige à celui de l’humain sans un petit peu d’aide. Mais c’était pour cela qu’il était là non ? Pour comprendre… Il ne voyait pas l’intérêt de ne pas lui en parler … Mais il pensait cependant qu’elle ignorait qui il était … Ils étaient si nombreux ici, ce n’était pas possible de connaître tout le monde … si ?

Alors que la jeune femme sourit à la fin de leur calin, Olaf eu quelques secondes de moue triste. Il ne savait pas bouder, mais les enfants clients qu’il avait lui avait appris que « la mine de chien battu » cela fonctionné parfaitement sur la plupart de leurs parents… Même si Olaf trouvait l’expression un peu barbare… on ne battait pas les chiens ! Mais il avait compris le principe un jour qu’un enfant lui avait ordonné de regarder un film dans lequel un chat fait des yeux tout mignon….

Il avait eu donc ses yeux là pendant quelques secondes … mais son naturel sourire reprit bien vite le dessus. Il finit par ne plus y avoir aucune trace de tristesse sur son visage, que de la joie et du bonheur a partagé.

Il savait aussi que pour donner un câlin, il fallait donner un peu de son coeur, et la jeune femme ne se doutait peut être pas, mais elle venait de donner un magnifique cadeau aux yeux d’Olaf. Quand elle lui proposa à boire, il pencha la tête sur le côté.

- Vous auriez du jus de carotte ?

Le jus de carotte était son péché mignon depuis qu’il peut boire. Il observa un instant les étagères d’alcool. Il trouvait que l’alcool pu mais il ne voyait pas autre chose que la jeune femme pourrait lui donner à boire. Il se reprit alors.

- Ou du jus d’orange… C’est bien aussi le jus d’orange. Je ne vais pas faire le difficile alors que vous me proposez de boire quelque chose. C’est d’ailleurs très gentil, si un jour vous voulez une glace

Il bomba le torse en écartant les bras pour « se montrer lui ».

- Votre ami Axel sera la pour vous en offrir autant que vous voulez … on est bien amis hein ?

Les amis pour Olaf étaient toutes les personnes qui voulait bien l’être. Et pour tous il ferait ce qu’il peut pour les rendre heureux… Mais il fallait d’abord que cette appellation soit accepté…

Pourquoi ?

Olaf & Regina

Axel était inconscient de ce qu’il pouvait se passer dans la tête des autres. Il y avait déjà trop de chose qu’il se passait dans sa propre tête pour s’inquiéter de ce qu’il pouvait se passer dans la tête des autres… Olaf écarquilla un peu les yeux quand la jeune femme lui dit qu’en effet elle avait du jus de carotte … Il fit d’abord une mine surprise, puis, il finit par faire un visage content. Il fit un tour sur le petit tabouret de bar en lançant ses pieds dans le vide.

- Ouiiii, du jus de carotte. Il paraît que cela rends aimable … mais je n’ai jamais vu d’effet sur moi … Peut être qu’il faut que j’en boive plus encore ? Je me le demande… qui a dit que la carotte rendait aimable … et pourquoi d’ailleurs ? Je me le demande …

Il mit sa main sur son menton. Les carottes rendent aimables …. Il ne réalisait pas vraiment que cela avait un effet, mais il essayait pour voir … puis, il aimait le goût … alors il liait expérimentation sur lui-même et plaisir, c’était parfait. Axel avait déjà le verre à ses lèvres quand la jeune femme lui demanda sa question.

- Ce n’est pas celle sur les carottes … Mais d’abord …

Il fit un grand sourire en faisant le signe du triomphe avec ses mains.

- J’ai une nouvelle amie, vous ne le regretterez pas … quoi que peut être si vous aimez le silence quand vous allez pas bien, parce que si vous n’allez pas bien, moi je ne sais que parler, ce qui ne plait pas à tout le monde … mais c’est trop tard vous avez dit oui ! Et pour la question … Hum …

Il réfléchit deux secondes à commencer poser la question sans qu’elle ne paraisse étrange. La question dont il voulait avoir la réponse par curiosité était « pourquoi »… Mais l’autre question devenait plus important pour lui au fur et à mesure qu’il pouvait apprendre à connaître la jeune femme.

- Est-ce que vous êtes heureuse ? On m’a dit que vous aviez fait cette malédiction parce que vous étiez malheureuse, je ne comprends pas pourquoi, c’est ma deuxième question, mais je veux savoir si maintenant vous l’êtes. Est-ce que ma vie vous a apporté du bonheur ? Est-ce que j’ai fait ce pourquoi je suis en vie ? Ou est ce que j’ai échoué et que je dois tout recommencer ? Je ne dis pas ça méchamment, jamais jamais… mais je veux savoir si ma vie ici, mon existence de … Axel … est ce qu’elle vous a rendu heureuse ?

Il posait son regard sur son torse… peut être qu’il ne s’y ferait jamais à cette apparence d’humain…Cela faisait 5 ans qu’il n’y arrivait pas à s’y faire… Bonhomme de neige ou humain, il n’arrivait pas à choisir …. Il posa à nouveau les yeux sur la jeune femme et bu une gorgé de son jus de carotte, puis il regarda au fond de son verre en fermant un œil.

- Il est trop bon ce jus de carotte !