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 The particular cinder of luck ♠ Mattéo & Dyson

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Dyson R. Parr
« Cours Dydy, cours ! »

Dyson R. Parr

|  Crédits : Eilyam
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|  Métier : Aventurier, super-héros, en contrat de libraire chez Alexis et vendeur de chocolat chez Aster... et surfeur parfois

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|  Dans le monde des contes, je suis : Dashiell Robert "Dash" Parr

La coalition se forme pour trouver à Aster son véritable amour
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________________________________________ 2018-11-15, 20:18 « Cours Dydy, cours ! »



burning
Everythings is blue, his pills, his hands, his jeans, and now i'm covered in the colors pull apart at the seam, and it's blue, and it's blue. Everything is grey, his hair, his smoke, his dreams, he don't know what it means, and he's blue, and he's blue.
Monsieur Walters !

Dyson était assis à la table du Starbucks du centre commercial, devant la fenêtre qui donnait la grande allée du centre, pleine de monde, ce qui était plutôt ordinaire, non seulement pour l'heure et le jour, mais aussi certainement pour l'approche de noël. Il ne regardait pas vraiment les gens aller de droit à gauche pour leurs achats de fin d'année, il ne partageait plus cette effervescence, lui qui adorait noël pourtant. Ce n'était pas l'affection pour noël qui lui venait en tête à l'heure actuelle... mais la crainte de ne pas pouvoir le fêter avec celui qu'il veut avoir près de lui à noel.

Monsieur Walters ! Rappela-t-on avec plus d'insistance, bien que ce fut Géo qui ramena Dyson à la réalité en posant sa main sur son épaule. Surpris, il tourna la tête vers le toon.

Allô ? Ici la Terre à m'sieur Lucky, nos cafés sont prêts ! Fit-il en le regardant droit dans les yeux, comme pour comprendre où il était passé pour être aussi distrait et ne pas entendre la serveuse.

Excusez-moi, dit-il aimablement à celle-ci en prenant les trois boissons. Il tendit le café au lait à Géo, et garda le cappuccino (pour lui) et le café serré qu'il avait pris pour Alfred resté dans le local.

Dyson fit alors demi-tour pour sortir du Starbucks, espérant que Géo le suive sans interrogations et que le trio reprendrait l'inlassable travail qu'ils faisaient en longueur de journée pour trouver comment atteindre Terre-2 et/ou Terre-3. C'était mal connaitre Géo. Dyson, si tu gardes tout pour toi, ça ne te fera aucun bien... au contraire ! Précisa-t-il en pressant le pas pour marcher à côté de lui. Ne me dis pas que tu penses à Simon, il se passe quelque chose. Chris ? Depuis quelques jours... semaines ? temps, tu ne parles plus de lui. Dyson Amoureux est un Dyson qui passe ses journées à me parler dudit amour pour combler l'ennui des recherches qu'on fait chaque jour.

Dyson soupira. Géo n'était peut-être pas la personne la plus proche de lui dans la famille des toons, mais il lisait en lui comme dans un livre ouvert. Il y avait effectivement quelques personnes qui pouvaient deviner presque tout de lui... et Géo en faisait parti. C'était parfois agaçant, ou plutôt rarement, puisqu'il ne s'en formalisait pas... sauf quand il allait mal.

Je vais bien, t'inquiète pas, d'accord ? osa-t-il quand même, en sachant qu'il savait que ce n'était pas le cas. Il comprit très rapidement que c'était une réponse aussi vaine que stupide lorsqu'il aperçut l'insistant regard blasé et plein de reproches que Géo lui adressait en le regardant droit dans les yeux. Second soupir.

Si quelque chose va mal c'est surement de ma faute, finit-il simplement par dire. Alors vraiment, faut pas que tu te tracasse pour ça.

Géo fronça les sourcils, avant de marcher plus vite pour arriver devant Dyson et s'arrêter aussitôt, forçant ce dernier à faire de même. Prendre la faute pour absolument tout, c'est presque une passion pour toi, mais il faut que tu arrête. Je suis certain que c'est faux et...

Ca l'est pas, interrompit Dyson, tristement. Sur Terre-3, quand on a trouvé le coeur de Galactus, que j'ai avoué mon plan à Chris, et qu'il m'a regardé avec une colère noire que personne ne m'a adressé avant, c'était de ma faute. Si Chris est attiré par Jefferson, c'est moi qu'il faut blamer avant d'aller chercher un autre coupable.

Dyson haussa les sourcils en même temps que Géo. Le premier surpris d'avoir laissé échappé ses pensées qui l'empoisonnaient d'un coup, et Géo qui ne s'attendaient certainement pas à ça. Dyson, ... fit Géo, hésitant. Je suis certain que tu te fais des idées.

Enfin arrivés dans les cuisines du Comics Burger, Dyson ouvrit le passage secret en évitant le regard du technicien. N'en parlons plus, d'accord ?

Géo soupira, mais n'eut pas vraiment le choix. Les deux hommes entrèrent après avoir saluer Clark, le cuistot, avant de refermer la porte cachée derrière eux. Dans le repaire des Avengers, les choses n'avançaient pas beaucoup, mais le bazar s'était accumulé. De nombreux projets et début de constructions vaines avaient été montés avant d'être abandonné, et l'ordre n'était même plus devenu une priorité. Mais ils ne relachaient pas l'affaire, puisqu'ils n'avaient pas le choix.

Dyson tendit le café à Alfred -qui lui aussi avait remarqué que le toon n'était pas dans son assiette, mais qui avait la discretion de ne rien relever. L'homme à tout faire était en train de faire fondre des morceaux de kryptonite récoltés il y a déjà de nombreux mois (lorsque des morceaux de Krypton avaient été ramassés pour créer les costumes de Power Girl et Superman). C'était une tactique en laquelle aucun des trois hommes ne croyaient réellement mais au vue de la situation desespérée, ils n'avaient pas le choix, alors Alfred voulait utiliser la kryptonite comme guide vers son univers d'origine. Ouvrir une brèche dans l'espace (à l'emplacement original de Krypton) était risqué, mais c'était toujours mieux que de ne rien ouvrir du tout.

Dyson faisait de son mieux pour que les enjeux de Terre-3 le maintiennent concentrés. Penser à Chris et Jefferson le rendait triste mais surtout effrayé. De ce que ça voulait dire, de ce qu'il devait faire. Alors il préférait encore se rattacher à l'importance de vaincre Ultraman et le Syndicat du Crime le plus tôt possible.

Ce que les trois hommes n'attendaient pas cependant... c'était de voir des étincelles bleues pendant l'espace d'un moment. Ca ne dura qu'une seconde, mais c'était juste assez pour tous les figer. C'était...

Qu'importe ce que c'était, une énergie venait de se répandre dans la salle pour créer ces étincelles. D'où venait-elle, était-elle le signe positif d'une porte vers l'une des Terres de comics ? En tout cas, elle était assez forte pour couper le courant de... tout le centre commercial. Si le premier reflexe fut de rester et d'examiner ce qu'il se passait, il fut bien évident de reconnaitre que c'était inutile puisqu'ils n'y voyaient absolument rien.

Ils sortirent donc, accompagnant les cuisiniers, les serveurs et les clients, se frayant difficilement un chemin dans le centre commercial puisque tout le monde eut la bonne idée de paniquer pour une simple coupure de courant. Dyson se mordit la lèvre. Se sentant déjà incompétent depuis longtemps, voilà qu'il faisait disjoncter le centre commercial pour affoler une centaine -probablement plus encore- de gens.

Tout le mouvement s'arrêta cependant d'un coup en entendant crier derrière. Tout le monde tourna la tête vers le bruit, qui se suivit rapidement de l'alarme incendie. Merde, ça vient de...

Il n'eut pas besoin de savoir, Dyson vit rapidement la faible lumière qui sortait du Comics Burger. Quelque chose avait surement disjoncté et démarré un incendie dans les cuisines. Le sang de l'ancien lapin ne fit qu'un tour. Il était hors de question de laisser son restaurant bruler. Brainiac avait déjà détruit le repaire une première fois, il ne voulait pas que ça se produise une seconde fois.

Dyson, qu'est-ce que tu fais ?!

Lorsque Dyson s'était élancé à contre courant pour éteindre les flammes, il ne fit pas attention à Géo qui essayait (très justement) de l'arrêter. Son état actuel le rendait un peu confus, il était un peu triste et tout autant effrayé cconcernant sa relation avec Chris, alors devoir se battre contre un incendie pour ne pas perdre son restaurant ne lui semblait pas... fou.

Le problème ? Il comptait le faire en utilisant sa magie, l'encre enchantée dans son sang qu'il savait utiliser depuis plus d'un an et demi pouvait bien évidemment éteindre quelque chose d'aussi rudimentaire que le feu. En revanche... depuis la chasse au sorcière du début de l'année, il avait demandé à Harry de protéger certains endroits clés dans lesquels les toons avaient l'habitude de vivre, comme le Comics Burger.

Lorsque Dyson tomba, les bras en premier, dans les flammes, il s'en souvint bien rapidement, que la magie ne fonctionnait donc pas. S'il se releva rapidement, il serra très fortement des dents en sentant sa peau bruler. Il pouvait se soigner, mais pas ici, et s'il ne sortait pas rapidement, ses blessures finiraient par s'aggraver.

Mais, têtu comme il était, il ne comptait même pas dormir avant d'éteindre les flammes. Alors, comme si une force supérieure divine avait entendu la stupidité passagère dont il faisait preuve, un jet puissant vint éteindre les flammes autour de lui, heureusement peu répandues pour s'éteindre rapidement.

Il se retourna alors... et percuta Matteo Solano, (qui était pompier, et non une force supérieure divine), venu pour être bien plus efficace qu'il ne l'avait été.

Merci, souffla-t-il en cachant ses bras meurtris dans l'espoir qu'il ne les ait pas vu.
Dyson FT. Mattéo || The particular cinder of luck





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________________________________________ 2018-11-16, 15:16

The particular cinder of luck
☾ ☾ ☾ Dyson Walters & Matteo Solano


« Ne me regarde pas comme ça Milo, je n'y suis pour rien si elle est têtue comme ça ! »

Matteo leva ses mains en l'air en signe d'innocence tandis que son fils de seulement cinq mois afficha un petit sourire avant de rire à plein poumons. A chaque fois qu'il parlait à son fils, il souriait. C'était bon signe et d'ailleurs il était content d'avoir ce genre de relation avec lui. Matt se laissa alors tomber sur son lit sur lequel Matteo était assis avec une tonne de jouet. Il devait normalement faire le sac de son fils pour l'emmener chez sa mère mais il n'avait pas envie. Le brun voulait profiter de son fils encore un peu, il ne le voyait pas assez à cause de son boulot et de la situation qu'il vivait avec Nina, sa femme. Elle était si manipulatrice et si horrible. Il claqua sa langue contre son palais avant de sentir la petite main de Milo se poser sur le bout de son nez. Il afficha un petit sourire avant de venir embrasser tendrement le ventre de son enfant tout en affichant une petite moue. Il se demandait comment sera la vie de son fils plus tard, un vrai bordel. Entre sa mère qui était fille d'un dealer russe et son père qui était le fils d'un dealer italien. Sa mère qui sortait avec un autre homme et son père qui aimait les hommes. Un soupir sortit de sa bouche tandis qu'il fixait longuement son fils qui était en train de mâchouiller sa peluche de flamant rose.

« Tu vas chez maman aujourd'hui mon grand. »
finit-il par dire tristement.

Il se leva difficilement de son lit avant de finir rapidement le sac de Milo pour ne pas être en retard. Nina lui avait donné une heure pour passer chez elle. Leurs parents ne le savaient pas mais ils vivaient séparément. Matteo était dans un appartement dans le centre ville et elle dans une maison plus loin avec son petit ami. Et dans cette histoire tordu, c'était lui qui finissait toujours seul. Sa relation avec Cyan était brouillon. Il venait le voir et repartait en suivant sans vraiment donner de nouvelles. Il n'avait que Milo dans sa vie, ce petit bout qui n'arrêtait pas de sourire à chaque fois qu'il voyait son visage. Matteo prit son fils contre lui avant de l'installer correctement dans la voiture pour finalement le conduire jusqu'à chez sa mère. Nina ouvrit la porte en compagnie de Erik, son petit ami. Le pompier donna le bébé à contre cœur à Nina et il vit Erik le prendre en suivant pour jouer avec. A ce moment là Matteo sentit comme un poids dans sa poitrine, il allait se faire remplacer, il le sentait. Le brun fit rapidement demi tour avant de remonter dans sa voiture, il attendit que Nina ferme la porte d'entrée pour taper violemment contre son volant.

« Fais chier.. »


Il respira un bon coup essayant de garder son calme, il devait se reprendre. Matteo regarda son reflet dans le rétroviseur avant de se diriger vers la caserne pour entamer sa journée de travail. Il salua ses collègues avant d'enfiler sa tenue et après ça il se dirigea vers le véhicule pour faire des révisions avec sa partenaire et d'ailleurs quand Matteo se rapprocha d'elle, elle sortit de dessous le camion avant de hausser les sourcils.

« Wow, tu as une sale gueule ! »

« Merci Sarah, c'est gentil de ta part.. »

« Ah mais de rien, les amis c'est fait pour ça ! Alors tu m'aides ou tu te touches en me regardant faire ? »

Matt lâcha un petit rire en voyant l'optimisme de sa partenaire. Sarah était toujours de bonne humeur alors qu'elle venait de divorcer avec son mari après sept ans de mariage. Bon, après le brun savait que depuis, elle couchait à droite et à gauche mais il n'était pas ici pour la juger. Matteo s'apprêtait à se baisser pour l'aider mais l'alarme retentit dans toute la station. Le chef demanda deux équipes pour le déplacement, la sienne était dedans bien sûr. Sarah et Matteo enfilèrent leur casque avant de monter dans le camion de pompier pour se diriger vers le Comics Burger apparemment.

« On doit sauver ce resto, j'y mange souvent ! » lâcha Sarah déterminé.

« Oui et puis aussi pour éviter le maximum de dégâts pour le patron de cette endroit. Concentre toi, Murray ! »


Elle hocha vivement la tête tandis qu'il activa la sirène pour passer rapidement. Une fois sur les lieux, tout le monde était rassemblé devant le bâtiment paniqués. Leurs yeux étaient rivés sur les quelques flammes qui sortaient du bâtiment. Il savait que le feu hypnotisé mais quand même. Matteo fit signe aux civils de se reculer pour qu'ils puissent faire leur boulot mais il entendit plusieurs parler du gérant de Comics Burger qui avait foncé tête baissé dans le feu. Monsieur Walters ? Le pompier fronça les sourcils tout en fixant le bâtiment en feu avant de courir rapidement à l'intérieur. Il entendit Sarah lui interdire de faire ça mais il le devait. Parce que le feu ne lui faisait rien, parce qu'un innocent allait sûrement se faire consumer les flammes. Il chercha Walters un peu partout mais la fumée était trop épaisse. Tant pis, il allait se servir de ses pouvoirs. Ses yeux devinrent bleus et après ça, il vit correctement. Il vit le gérant un peu plus loin entouré de flamme et rapidement il prit l'extincteur des lieux et éteignis le feu autour de Walters qui semblait surpris. Les yeux de Matteo redevinrent normaux tandis qu'il hocha légèrement la tête quand il entendit les remerciements du gérant.

Ce ne fût pas difficile de sentir l'odeur de la chair brûlait en tout cas. Il resserra doucement sa mâchoire espérant que Monsieur Walters ne soit pas trop blessé. Il attrapa alors délicatement le tissu du haut du gérant avant de le tirer rapidement hors des flammes. Et une fois sortie de bâtiment, Sarah fit signe aux autres pompiers d'arroser complètement le bâtiment. Matteo lui emmena rapidement Dyson à l'arrière de l'ambulance avant de voir l'état de ses bras. Il afficha une petite grimace.

« Vous allez bien Monsieur ? Vous pouvez répondre à mes question ? Déjà j'aimerai savoir votre nom. »


Il le connaissait, tout le monde le connaissait dans cet ville : Dyson Walters. Mais il voulait s'assurer qu'il ne soit pas sonné à cause des événements ou encore en état de choc. Après ça, il fouilla dans les trousses de secours pour lui trouver des bandes grasses à mettre sur ses brûles. Matteo ne connaissait pas les pouvoirs de Monsieur Walters alors il voulait limiter les dégâts et soulager les blessures de celui qu'il avait sauvé. Matteo se mit alors à genoux devant Dyson avant d'enrouler délicatement et proprement des bandes grasses autour des bras du gérant. Le plus inquiétant dans cette histoire c'est qu'il avait entendu les autres dire que Dyson s'était jeté dans le feu sans réfléchir. Il ne connaissait pas vraiment le gérant du Comics Burger mais tout le monde savait que ce dernier n'était pas une tête brûlée alors .. était-il déprimé ? Matteo fixa un moment le visage perdu de ce dernier avant de se racler doucement la gorge.

« Vous êtes sur que ça va ?.. Vous avez l'air complètement dépri.. »

Il allait dire déprimer et même lui conseiller un psychologue, les bases du métier quoi mais Sarah arriva en trombe et à bout de souffle. Elle afficha un petit sourire avant de serrer brusquement la main de Dyson qui se mit à grimacer sûrement à cause de ses brûlures.

« Ravis de vous rencontrer Monsieur le gérant du Comics Burger ! Je suis fan de ce restaurant ! »

« Sarah, c'est Dyson Walters et non Monsieur le gérant. Et un peu de sérieux ! Il est blessé. »

La jeune femme afficha une petite moue avant de s'excuser auprès de Dyson. Après ça, elle repartit avec le reste du groupe préférant laisser la victime respirer. Matteo lui avait mit toute sa concentration sur le bandage pour le finir et une fois fait, il releva son visage vers Dyson en affichant un petit sourire.

« Il n'y aura pas de marques sur votre peau, vous êtes chanceux ! Mais.. Pourquoi avoir foncez dans ce feu tête baissé ? Vous semblez plus futé que ça pourtant. »



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________________________________________ 2018-11-21, 20:37 « Cours Dydy, cours ! »



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Lorsque Dyson finit, quelques secondes plus tard, par se rendre compte que ce n'était pas juste "traditionnellement" que Mattéo Solano avait éteint un feu, mais plutôt grâce à l'usage d'une certaine forme de magie, il se demanda s'il n'avait pas réfléchit trop vite quand il s'était dit que ce n'était pas une force supérieure divine qui l'avait sauvé. Cet endroit empêchait de se servir des magies liées à l'encre des toons mais également la magie noire, mais après tout, rien n'était stipulé concernant la magie divine, blanche, ou de toute autre nature. Il se surprit à se demander si ce n'était même pas une quelconque forme de providence qui avait envoyé ce pompier précisémment, aux capacités particulières, pour tomber sur l'un des rares de cette ville à pouvoir faire don de capacités dans le restaurant, qui en plus étaient parfaites pour cette situation précise. Ca faisait assez de coincidences pour faire croire à une forme de destin, et le héros haussa les sourcils, partagé entre la surprise et peut-être une forme de méfiance -qui n'était que minime et qui ne dura pas longtemps.

Il crispa les dents quand Solano remarqua tout de même ses bras brulés, qu'il ne pouvait pas soigner tant que sa magie n'était pas rechargée, ce qu'elle commencera à faire une fois dehors. Il fallait dire qu'il n'avait pas usé de beaucoup d'efforts pour les cacher, s'étant contenté de les mettre dans son dos dans un geste des plus suspects qu'on puisse faire. S'il n'aimait pas qu'on s'occupe de lui, ce n'était pas par rejet des autres ou à cause d'un comportement agréable, mais il considérait qu'il ne méritait pas qu'on vienne s'atarder sur son bien être, considérant qu'il y avait surement des milliers d'autres personnes qui méritaient bien plus que lui d'être aidée. Se considérer non-digne de tout mérite était un de ses sentiments les plus forts, qui venaient de nulle part (ou au contraire, de bien trop de petites souffrances) et qui était un parasite mental qui avait décidé de bien s'installer pour ne plus partir.

Il ne put s'empêcher de détailler Mattéo, son regard fixé sur son visage lorsque, lui assis dans l'ambulance, le pompier s'attela à bander ses bras. Il n'avait pas l'habitude que quelqu'un vienne le soigner. Personne n'avait jamais eu à le faire alors personne ne l'avait fait et c'était étrange d'avoir cette attention de la part d'un autre. Si intrigué par le geste qu'il en oubliait de préciser qu'il n'avait pas besoin, qu'il pouvait bien supporter quelques heures de douleur le temps que ses capacités régénératrices ne reviennent. Sur Terre-2, dans une ville nazie, il avait été décapité, alors il considérait bien quelques morceaux de peaux fondues comme un dégat minuscule -il fallait croire que Dyson était le professionnel pour les erreurs de jugements de sa propre personne-.

La question du pompier le ramena à la réalité, lui qui était plongé dans des reflexions intenses et... remarquant qu'il venait de regarder ce visage pendant beaucoup trop longtemps pour que ça soit normal. Rougissant, il répondit comme pour paraitre assez naturel pour que ce qui ne l'était pas ne soit pas remarqué. Euh oui, je vais bien, c'est rien vous savez, j'ai la capacité de me soigner... enfin, quand ça reviendra dans une ou deux heures. Je suis Dyson Walters, dit-il en remarquant finalement que cette question n'était pas pour le pompier mais pour lui même, comprenant que, comme la plupart de la ville depuis sa municipalité, il le connaissait. Voulait-il s'assurer que Dyson était encore conscient et avait toute sa tête ? Le restaurateur haussa les sourcils à cette constatation, n'ayant jamais fait face à ce genre de préoccupations à son sujet. Le considérait-il fou pour avoir fait ça ?

Pour avoir fait quoi, d'ailleurs ? Dyson venait finalement à se poser la question de la folie. Avait-il mal à ce point avec Chris pour le forcer à courir aveuglément vers le moindre risque de perdre autre chose ? Dyson serra les dents en sentant... une envie de pleurer. Peut-être bien que oui... Il ne voulait pas perdre son petit ami mais se rendait de plus en plus face à une évidence qui lui déchirait le coeur, alors perdre quelque chose, superficiel ou non, de plus, il n'avait pas voulu l'accepter. En fonçant dans ses flammes pour sauver stupidement son restaurant, c'était comme s'il avait, par procuration, sauter pour rattraper la relation qu'il avait avec le policier.

C'était stupide, oui, il en prenait conscience, mais perdre la seule personne qui ait voulu lui accorder son amour était une idée qui lui semblait bien trop douloureuse pour y faire face.

Perdu dans ses tristes reflexions qui le forçaient à se retenir de pleurer, il ne vit même pas que le regard triste qu'il avait posé sur Mattéo lui était rendu : lui aussi le fixait pendant quelques secondes. Dyson fut alors saisi par sa question, redoutant le dernier mot qu'il allait prononcer... puis soulagé qu'il ne puisse pas finir sa phrase. Oh non, il ne pouvait pas discuter d'une peine de coeur avec... le premier homme qui l'avait sauvé d'un incendie.

De plus, pour avoir passé de longues minutes maintenant à avoir regardé les traits fins de son visage, Dyson avait finit par remarquer que le pompier aussi semblait triste.

Le toon sourit à ladite Sarah, amusé par son engouement et sa joie, et tout autant que par la reprise de Mattéo qui insista sur les bonnes manières et le sérieux. D'un signe symathique du regard, Dyson fit comprendre à Sarah que ce n'était rien de grave quand elle s'excusa avant de s'éloigner, remarquant ensuite un sourire sur le visage de Mattéo qui avait finit ses bandages malgré ce qu'il avait dit sur ses capacités de soin qui finiront par se réveiller dans la journée. Un sourire qui, même si aucune pensée ambigue ne traversait son esprit, ne quittait plus sa mémoire.

Je ne garde pas les cicatrices de toutes façons, puisque je peux me... Il arrêta sa phrase, se rendant compte qu'il faisait preuve d'égocentrisme. Je veux dire, merci, se corrigea-t-il sincèrement.

Il se demandait ce qu'il devait répondre à sa question ensuite. La vérité ? Qu'il perdait l'amour de sa vie et ne pouvait rien supporter de plus ? Bien sûr que non. De toutes évidences, cet homme avait ses propres soucis. Je suis en train de perdre bien assez de choses pour me permettre de perdre ce restaurant en plus, se surprit-il tout de même à répondre.

Il tourna la tête vers le restaurant à l'intérieur. Je peux ? Je veux voir si les dégats sont importants. Il savait qu'il ne pourrait certainement pas, surtout après avoir été vu foncer tête baissée dans le feu. Je ferai attention, promis ! Vous pouvez venir avec moi, si vous tenez à me protéger d'un nouveau départ de flamme.

A force d'insister, il finit par obtenir gain de cause et se diriger vers l'intérieur. Il constata qu'il y avait du nettoyage et du remplacement de matérielà faire dans les cuisines mais que les dégats avaient été moindres, n'ayant même pas attaqué la salle et le bar. Dyson se tourna vers le pompier qui ressemblait à un garde du corps temporaire, le regardant, intrigué. Vous êtes magique, n'est-ce pas ? Les flammes qui ont été étouffées autour de moi après mes blessures, elles n'ont pas disparu normalement, vous avez des capacités assez remarquable pour même être éligible aux seules magies acceptables selon les sortilèges qui protègent cet endroit.

Il lui adressa un sourire. Vous avez pas à me répondre, si c'est personnel. Vous avez juste besoin de savoir que je vous en suis reconnaissant.

Dyson fit alors quelques pas vers son bar, ouvrant un casier pour sortir deux tickets, qu'il tendit à Mattéo. Si vous montrez ce papier la prochaine fois que vous viendrez ici, votre addition sera divisée par deux. Et si c'est moi qui vous sert, je pourrai même offrir votre commande. Vous pouvez donner le deuxième à votre collègue, elle a l'air d'adorer l'endroit.

Il lui donna alors les tickets, avant de se retourner pour prendre un verre propre et le poser sur le bar. Je peux déjà vous offrir quelque chose, c'est la moindre des choses. N'importe quoi, avec ou sans alcool. Sans alcool j'imagine, durant le service ? Je ne dirai rien si vous en prenez quand même cela dit, précisa-t-il avec un sourire complice.

Et puis, j'ai peut être l'air de ne pas être dans mon assiette, mais vos yeux sont très expressifs aussi. Vous n'avez pas l'air de l'être non plus.
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________________________________________ 2018-12-15, 22:29

The particular cinder of luck
☾ ☾ ☾ Dyson Walters & Matteo Solano


Matteo ne dit rien et se contenta de suivre Dyson dans son restaurant. Il devait le suivre et ne pas le laisser seul, pourquoi ? Et bien c'était son boulot de s'assurer que les citoyens de cette ville étaient en bonne santé et puis ce Dyson avait l'air si triste alors qu'ils étaient au mois de décembre. Sa mère lui avait toujours appris que ce mois était magique, beaucoup d'espoir grandissait dans le cœur des gens. Les musiques chassaient la triste dans le cœur des hommes et les lumières rappelaient les rêves de ceux qui avaient grandis beaucoup trop vite. Matteo faisait partit de ses personnes qui avaient sûrement gagné en maturité rapidement. Il n'avait juste pas oublié ce que sa mère lui avait dit. Le mois de décembre était un mois de pur magie, remplis d'espoir et d'amour. Pourtant il voyait cette tristesse dans les yeux de Dyson, la même tristesse qu'il ressentait également. Le pompier ne pût s'empêcher de regarder vers le haut se demandant si sa mère ne lui avait pas mentis. Il fallait connaître l'amour pour aimer le mois de décembre et pour aimer Noël. Lui n'avait pas le droit à l'amour et Milo lui avait été enlevé pour Noël .. Il n'allait pas le revoir avant un petit moment et rien que de savoir ça, il avait mal au cœur. Et maintenant il voyait ce visage triste devant lui comment pouvait-il garder espoir pendant le mois de décembre si tout était triste autour de lui ?

Il leva ses yeux vers Dyson quand ce dernier reprit la parole à l'intérieur du restaurant. Ce dernier demandait si Matteo n'était pas magique. Bien sûr que si mais il n'avait pas le droit de le dire. Son père lui avait formellement interdit de parler de sa vie et de ses capacités à des inconnus. Dyson n'était pas vraiment un inconnu, tout le monde le connaissait dans cette ville. Parce qu'il avait été assistant du maire, parce qu'il était riche, parce qu'il tenait un succulent restaurant et parce qu'il avait le cœur sur la main. Il ressemblait à l'homme parfait mais est ce que l'homme parfait pensait à son bien être ? Matteo n'en était pas si sûr que cela. L'italien avait beau le regarder plusieurs fois, il ne trouvait pas une once de bonheur dans Dyson. Il aimerait bien lui faire comprendre que les nuages ne duraient jamais et que le soleil avait toujours le dessus. Un proverbe un peu niais qu'il avait trouvé dans un de ses chocolats de Noël que Sarah lui avait offert. Mais Matteo se contenta juste de baisser son visage avant de hausser les épaules.

« Je suis un pompier, c'est mon métier d'éteindre les flammes vous savez. Je n'ai rien de magique, juste des années de pratique. »

Mensonge, sa vie n'était qu'un mensonge. Il resserra doucement sa mâchoire se retenant fortement de lui poser des questions sur sa vie privée. Dyson allait finir par croire qu'il était un hystériquement sinon et ce n'était pas son but d'effrayer les autres. Il n'était pas son père et il ne le sera jamais. Matt haussa les sourcils quand il vit le gérant lui tendre des tickets, il fronça les sourcils avant de les prendre légèrement perdu. Néanmoins, il ne mit pas longtemps à sourire à Dyson quand il comprit que ce dernier lui offrait des bon de réduction pour son restaurant à lui et à Sarah.

« Je vous remercie, cela me touche. »


Matteo colla un moment les tickets contre sa poitrine, geste qui montrait qu'il était vraiment touché par ce geste avant de ranger les morceaux de papier dans la poche de sa combinaison de pompier. Tout sourire sur son visage disparût quand Dyson lui avoua qu'il n'avait pas l'air d'aller bien lui non plus. Le pompier se redressa avant de se racler nerveusement la gorge avant de se gratter la nuque ne sachant pas vraiment quoi répondre. Il n'allait pas se confier à un inconnu. Alors Matteo haussa doucement ses épaules comme à son habitude.

« Je vais bien, merci. Occupons-nous de vous et de votre restaurant plutôt, d'accord ? Il faudrait quand même vous emmener à l'hôpital. Même si vous guérissez.»

Matteo afficha un petit sourire prêt à passer un appel à son supérieur pour signaler qu'il devait emmener un blessé mais son téléphone personnel sonna. Il savait que ce n'était jamais bon signe quand quelqu'un l'appelait. Cela devait être son père ou sa femme. Le brun leva sa main vers Dyson pour s'excuser de son impolitesse avant de décrocher son téléphone en voyant le prénom de Nina marqué dessus. Il ne dit rien se contentant de laissé parler sa femme. Le pompier haussa les sourcils avant de se tourner vers Dyson.

« Milo a de la fièvre ? Et tu es de spectacle ce soir ?! Alors pourquoi tu voulais que je te l'emmène si tu peux pas le garder... Je te jure, tu me fais vraiment.. »

Il se retint de dire un gros mot quand son regard croisa celui de Dyson. Matteo finit alors par raccrocher. Il venait à peine de commencer sa journée de boulot et il devait déjà trouver une excuse à son chef. Milo était malade et il ne voulait pas le laisser seul. Qu'allait-il faire de Dyson pendant que les pompiers s'occupaient de nettoyer un peu l'endroit ? Matteo poussa un petit soupir, sa mère lui avait dit. La règle numéro une du mois de décembre était de ne jamais rester seul et en l'occurrence ce Dyson semblait souffrir de solitude alors sur un coup de tête. Matteo prit le bras du gérant du restaurant et le tira rapidement vers l'extérieur du bâtiment. Il envoya rapidement un message à son supérieur avant de se diriger rapidement vers son camion de pompier. Sarah rentrera avec les autres, tant pis. Il n'avait pas une seconde à perdre. Le brun fit signe à Dyson de monter dans le véhicule avant de conduire rapidement jusqu'à la caserne pour garer le camion et récupérer son sac d'affaires dans les vestiaires. Une fois le sac sur son dos il marcha rapidement vers sa voiture faisant signe à Dyson de le suivre.

« Vous venez ? Je refuse de vous laisser seul alors qu'on est à dix jours de Noël. Dépêchez vous ! »


Dyson semblait surpris mais cela ne l'empêcha pas de suivre Matteo. Le phénix avait un comportement étrange mais il était bien trop timide pour avouer qu'il voulait enlever cet air triste sur le visage, qu'il voulait lui changer les idées. Matt était bien trop timide mais il espérait que Dyson se rendre compte qu'il faisait ça pour lui redonner le sourire. Une fois dans la voiture, il conduit rapidement vers chez sa femme. Il se gara devant chez elle et fit signe à Dyson de sortir du véhicule. Une fois devant la porte, il toqua à la porte il ne fallut pas longtemps pour que Nina ouvre la porte. Elle haussa un sourcil en voyant Dyson.

« Tu es plus avec l'écossais ? »


« Il est pas écossais et ou est Milo ? Nicolas pouvait pas le garder ? »


« Non, il vient me voir chanter à l'opéra. »


Matteo leva les yeux au ciel avant de soupirer longuement. Nicolas arriva alors avec le bébé dans ses mains et le petit sac qui contenait ses couches, son lait en poudre et tout le reste. Matteo afficha un grand sourire en voyant son fils et il l'arracha rapidement le bébé des bras de Nicolas avant de le prendre contre lui tout en le berçant doucement.

« Je l'emmène chez le médecin demain matin, je te donne des nouvelles. »


« Ramène le en fin de journée demain s'il te plait, Matteo. Merci. »

Elle referma violemment la porte d'entré au visage des deux hommes et le pompier se tourna vers Dyson avec un air désolé sur son visage. Il montra alors le visage de son fils au gérant du Comics Burger avant de se mettre à marcher doucement vers sa voiture. Il sentit soudainement quelque chose d'humide se coller à son visage. Il redressa son visage et remarqua rapidement que la neige était en train de tomber à Storybrooke. Matteo afficha un petit sourire en coin avant de baisser son visage vers son fils.

« Milo regarde. Ta première chute de neige. Ton premier Noël d'ailleurs. »

Il passa délicatement sa main dans les cheveux clair de son fils avant de se tourner vers Dyson tout en respirant un bon coup.

« Désolé de vous avoir emmener ici mais je me disais. Cela vous dit de venir au marché de Noël avec mon fils et moi ? On ira boire un bon chocolat chaud et cela vous changera les idées un petit peu. Et puis Milo ne connaît pas grand monde. On m'a toujours dit que rester seul le mois de Décembre était mauvais pour le moral. » Il marqua un petit temps de pause se surprenant de trop parler pour une fois. «Après je peux vous ramener chez vous si vous le souhaitez Monsieur Walters. »


Dyson R. Parr
« Cours Dydy, cours ! »

Dyson R. Parr

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La coalition se forme pour trouver à Aster son véritable amour
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The particular cinder of luck ♠ Mattéo & Dyson _



________________________________________ 2018-12-29, 19:19 « Cours Dydy, cours ! »



burning
Everythings is blue, his pills, his hands, his jeans, and now i'm covered in the colors pull apart at the seam, and it's blue, and it's blue. Everything is grey, his hair, his smoke, his dreams, he don't know what it means, and he's blue, and he's blue.
Le regard de Dyson se fit intrigué, lorsque Mattéo lui répondit simplement qu'il était pompier, dénué de toutes capacités, si ce n'était la pratique du métier. Les yeux du barman se plissaient, voyant qu'il cachait quelque chose. Entre sa propre nature, celle de son créateur, des sorciers noirs, des différents mondes qu'il a exploré et en particulier l'incroyable construction de Terre-2 et Terre-3... Dyson avait assez d'expérience pour soupçonner de la magie. Mais il ne releva rien. Mattéo l'avait aidé, et même s'il aurait soutenu qu'il n'en avait pas eu besoin, la vérité était toute autre, alors s'il n'avait pas envie de se confier à un inconnu, c'était tout à fait ordinaire, et il respectait ça.

Et bien, je suis certain que le monde se porterait bien mieux avec plus de pompiers comme vous, répondit-il simplement, sous-entendant bien l'efficacité de ses capacités sans insister davantage.

En guise de remerciement, Dyson lui donna le strict minimum de ce qu'il pouvait, dans l'immédiat, offrir. C'était peut être son métier, mais le sien aussi, c'était d'être un héros, et on ne pouvait pas dire qu'il était très utile. Alors récompenser Mattéo lui semblait tout à fait approprié, même si ce n'était pas grand chose. Il haussa les sourcils, avec un sourire attendri sur le visage, en voyant à quel point le pompier appréciait le geste. Il leva une main à sa nuque, avant de lui répondre dans un petit rire nerveux. Je vous en prie, c'est vraiment rien ! Les affaires fonctionnent très bien, je peux bien me permettre de.... Il s'arrêta en pleine phrase, se rendant compte qu'il faisait ce à quoi il excellait : se rabaisser pour baisser la valeur de ses actes. Je veux dire, y a pas de quoi, ça me fait plaisir, se rattrapa-t-il alors dans ce même sourire étrange.

Dyson ne put cependant remarquer la vitesse à laquelle le pompier avait esquivé la discussion lorsqu'elle s'était centré sur lui. Bien sûr, c'était compréhensible, puisqu'ils ne se connaissaient que depuis quelques minutes, et qu'il était censé être rien de plus que son... patient ? Si toutefois un tel nom est approprié pour ce milieu. Mais après tout, Mattéo semblait être un homme bien plus préoccupé par l'état de son dit patient que le ferait un autre pompier. Si ça touchait Dyson, aussi se disait-t-il qu'il avait le droit de rendre la pareille. A croire que l'on est tous plus confortable pour réconforter les autres plutôt que de se laisser réconforter.

Il haussa les sourcils cependant, pas du tout à l'aise avec la suite de sa phrase. L'hôpital ? Je vais vraiment bien, c'est absolument rien, j'ai pas besoin d'aller jusqu'à un hôpital, je vous assure que leur personnel a mieux à faire, j'en suis certain. Il n'avoua cependant pas, qu'entre l'état de son frère qu'il visitait chaque jour, et aussi son propre coma de quelques mois il y a peu, Dyson passait assez de temps à l'hôpital ces derniers temps pour trouver une nouvelle excuse pour y aller encore plus.

Mais il avait tout de même retenu le sourire qu'il lui avait fait, déterminé jusque dans les expressions de son visage à s'occuper de lui jusqu'au bout. Étrange sensation d'une étrange image qui, sans qu'il en ait encore conscience, n'était pas prête de quitter sa mémoire.

Sauvé par le gong d'un appel que le pompier reçut, Dyson ne s'en soulagea pas pour autant, en entendant les quelques mots du pompier. La lueur inquiète de ses yeux, le ton de sa voix, la colère retenue... l'homme araignée n'eut pas de mal à reconnaître les préoccupations d'un père. Un père inquiet, mais aussi un père qui avait l'air de mener une vie difficile. C'était donc ça, le manque d'étincelle que Dyson avait remarqué dans ses yeux bruns ? Il se surprit à remarquer qu'il le préférait lorsqu'il lui avait sourit il y a quelques instants, plutôt qu'avec la peine qui traversait ses expressions à présent. Dans tous les cas, quelque soit l'explication précise de cette peine... Dyson la comprenait, et la partageait à sa manière.

Euh, osa-t-il intervenir avant qu'il ne parte. Merci encore, et courage pour...

Il fut coupé dans sa phrase, de nouveau surpris, comme il semblait l'être de plus en plus en la compagnie du pompier, qui n'était définitivement pas un homme ordinaire. Vous voulez que... je vous accompagne ?

Je refuse de vous laisser seul alors qu'on est à dix jours de Noël. Si le barman était définitivement étonné, et c'était peu de le dire, c'est un sourire, de nouveau attendri, qui s'était installé sur son visage. Il n'avait pas à le faire, et aurait certainement du refuser pour ne pas gâcher ses affaires de famille pour ses instants avec son fils, mais après ces quelques mots, et surtout poussé par l'insistance de Mattéo qui ne semblait de toutes évidences pas prêt à lâcher l'affaire, oui, il était monté avec lui.

Je crois que vous êtes magique, avait-il avoué dans la voiture, revenant alors sur le sujet. Il faut certainement une bonne dose de magie pour être aussi spécial que vous. Pas besoin de le cacher, c'est... agréable. Il haussa les épaules. Vous avez pas besoin de me répondre ou d'avouer quoique ce soit. Mais je commence à être certain que vous êtes un homme magique, monsieur Solano. Je confirme donc ce que je vous ai dit. Le monde serait bien mieux avec plus de pompier de votre trempe.

Profitant qu'il conduisait, Dyson avait tourné la tête vers lui, espérant être discret. C'est sûr qu'il n'avait rien d'ordinaire. L'attitude de Dyson non plus n'était pas ordinaire, mais Mattéo avait surement raison. Oui il allait certainement moins bien que ce qu'il voulait l'admettre, et la solitude dans laquelle il s'était plongé en sentant que sa relation avec Chris s’abîmer était presque soignée par ce pompier si spécial qui insistait pour ne pas le laisser seul.

Arrivé à destination, Dyson était resté en retrait, certainement gêné par la tension des tristes histoires familiales du coup certainement divorcé (détail qu'il avait conclu lorsque la mère s'était surprise de voir Mattéo avec un autre homme). S'il se garda de juger la situation qui ne le concernait pas, Dyson comprenait largement la colère de Mattéo, et fut grandement attristé pour le petit Mattéo qui ne semblait avoir qu'un seul parent qui se préoccupait de lui convenablement. D'accord, peut être qu'il avait jugé la situation, mais c'était bien des idées naturelles pour un protecteur de l'espoir et de l'enfance.

Ce n'est rien, répondit-il à l'air désolé de Mattéo lorsque la scène se termina.

Après tout, il oubliait bien vite ce qu'il venait de se passer en voyant l'adorable visage du fils de Mattéo, qui dessina automatiquement un grand sourire sur le visage du toon. Bonjour Milo ! Chuchota-t-il émerveillé en passant une main délicate sur son léger cuir chevelu. Passant son index sur sa petite joue, il lui fit une grimace pour le faire rire. C'était naturel chez Dyson, qui ne pouvait pas s'empêcher devant un enfant, certainement un enfant aussi adorable que Milo. La joie du barman grandit encore plus lorsque la neige tomba, caressant pour la toute première fois le petit corps de Milo.

Désolé de m'avoir emmené ? Regardez, grâce à ça, vous vivez la première neige de votre fils. Les premières fois des enfants sont toujours magiques, je suis content que vous puissiez vivre ça avec lui. S'il s'était retenu de le dire, il fallait avouer qu'il était aussi content d'avoir été là. Lui qui avait toujours eu envie d'une famille, d'un fils, et qui avait autant de mal pour en avoir une, il saisissait chaque instant aussi magique comme celui là. Pendant un instant, la culpabilité le rongeait, de le sentir avec quelqu'un d'autre Chris. Bien sûr, il s'était beaucoup attaché à James aussi, et rien ne changerait ça. Mais l'éloignement lui faisait du mal.

Voilà pourquoi il ne put s'empêcher de rougir, touché par ce que Mattéo lui proposait. Passant son regard du père au fils, admirant au passage le sourire de ce premier, se surprenant lui même de le faire. Finalement, Dyson aussi lui avait sourit. Vous n'êtes vraiment pas un homme ordinaire, Monsieur Solano. Il marqua une pause, avant de reprendre. J'en serai très content. Mais vous pouvez m'appeler Dyson.

Et, toujours avec ce sourire, content d'être là plutôt qu'ailleurs, voyant sa journée devenir déjà meilleure qu'elle avait commencé, Dyson accompagna Mattéo et son fils au marché de noël. D'ordinaire, il y allait si souvent, mais cette année il n'y avait même pas pensé. Y serait-il allé sans Mattéo ? Il préférait répondre que oui, avec Chris, mais il n'arrivait pas à se défaire de cette peur que leur histoire ne se termine.

Ca vous est donc déjà arrivé d'aller au marché de noel avec quelqu'un que vous sauvez des flammes ? Il tourna la tête vers Milo. Non pas que ça me dérange. Loin de là. Mais, ça reste curieux, c'est certain.

Le marché de noël de Storybrooke valait largement le détour. La ville étant le mélange de tant de mondes différents, toutes les façons de fêter noël se retrouvaient dans le marché dans une explosion de couleurs et de lumières bien plus enchantées qu'ailleurs. Bien que ce ne fut pas l'idée voulue, il était certain que le lieu avait une telle beauté qu'elle rendait l'endroit romantique. Qu'il était singulier de voir deux hommes égarés dans l'existence s'aventurer ici avec le fils de l'un d'entre eux.

Dyson sourit devant la peluche d'un petit Oswald, noyé dans une multitude d'autres peluches de tous les univers connus de ce monde pour enfant. La plupart était coiffé d'un chapeau de noël, l'Oswald en faisait parti. On dit que ce personnage est chanceux. Il est heureux et arrive toujours à s'amuser en étant proche de sa famille. Ça ne pouvait pas être aussi loin de la réalité, remarqua-t-il sans pour autant préciser que c'était bien lui, Oswald. Mais ce qui est réel, c'est qu'Oswald a toujours agit pour rendre les enfants heureux.

Il sortit son porte-feuille pour tendre un billet au commerçant, lui faisant signe de garder la monnaie sur le billet bien plus généreux que le prix initial. Prenant la peluche, il la confia aux petits bras fascinés de Milo. Aujourd'hui il promet à un petit garçon du nom de Milo de toujours le garder heureux.

Dyson observa l'enfant avec ce même sourire attendri qu'il avait depuis un long moment déjà, avant d'adresser ses paroles suivantes à son père. Et pour continuer le devoir d'Oswald, je dois m'assurer que vous sachiez que vous serez toujours le père de ce garçon. Je n'avais pas envie de me mêler d'une histoire qui n'était pas la mienne, mais après ce que je vu chez la mère de Milo, il n'est pas très dur de croire que vous craignez de ne plus être à ses yeux le père que vous voulez être. C'est faux. Qu'importe les personnes que ce petit aimera, vous serez toujours son père. Il avait dit ces derniers mots en le regardant dans ses yeux, pour y déceler la tristesse qu'il voulait y enlever... sans voir que sa propre tristesse passait dans les siens, triste de ne avoir la même chance que lui, triste de se dire qu'il ne pourrait pas être proche d'un fils puisqu'il continue sans cesse de faire souffrir ce qui lui sont chers.

J'en veux beaucoup à mon père. Principalement pour m'avoir crée. Mais qu'importe ma colère, c'est mon père. Alors si avec ma colère, il reste le même dans mon coeur, vous le serez encore davantage dans le coeur de Milo avec tout cet amour.

Il s'était presque arrêté sous la surprise de ses propres mots. Il avait vraiment avoué ça, sur son père ? Alors que c'était une réalité qu'il se cachait lui-même. Etre en colère sur sa propre naissance n'était pas vraiment une idée qu'il voulait s'avouer, et l'une des raisons était certainement l’égoïsme que cela relevait. Il était né pour aider les autres, au sacrifice de sa propre vie, ne pas le vouloir n'était pas honnête.

Pardon... Vous pouvez oublier ça, c'est vraiment pas important. L'erreur d'avoir dit une telle chose avait fermé Dyson qui, croisant les bras, détournait son regard du pompier, parcourant le marché pendant qu'ils l'exploraient. Pour changer de sujet, il reprit aussitôt. Cette vie m'a donné beaucoup d'argent mais je m'en sers jamais. Je peux, et je veux vous payer ce que vous voulez pour votre noël. Je dois bien ça au chevalier qui m'a sauvé des flammes, après tout.

Dyson FT. Mattéo || The particular cinder of luck





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It seems like we lost touch
so hold me
as the record skips
Maybe you're just too good
Maybe I'll run away
Maybe I shouldn't stay
Maybe I talk too much
But baby I'll be there
It's been a little hard
But maybe all along I'm afraid


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The particular cinder of luck ♠ Mattéo & Dyson _



________________________________________ 2019-01-30, 19:20

The particular cinder of luck
☾ ☾ ☾ Dyson Walters & Matteo Solano


Matteo aimait beaucoup les marchés de Noël le soir, on voyait bien mieux les décorations. Les lumières brillaient de partout et c'était un peu comme si le temps avait arrêté d'avancer. Lui qui n'aimait pas voir le temps lui filer entre les doigts, c'était une bonne chose. Parce que si les secondes défilés, si les jours s'écoulaient, Milo finirait par grandir. Et une fois grand, son fils commencera à comprendre la relation compliqué qu'il avait avec Nina. Il comprendre aussi que Matteo n'aimait que les hommes. Milo aura honte de lui et il choisira sa mère et son copain comme père alors oui, il profitait un moment. Parce qu'un jour il savait qu'il n'aurait plus le droit à s'approcher de Milo mais en attendant son regard s'était posé sur la peluche Oswald que Dyson venait d'acheter pour son fils. Avec tout ce que Monsieur Walters venait de dire il comprit rapidement la nature de ce dernier. C'est vrai que généralement, personne ne savait qui était qui. Enfin Matt lui ne prenait pas la peine de poser la question. Il ne s'en fichait pas au contraire mais il estimait que si la personne ne lui en parlait pas, elle ne voulait pas le dire tout simplement. L'italien aimerait révéler sa nature parfois, souvent même. Mais son père n'arrêtait pas de lui dire que ce n'était pas une bonne idée. Que beaucoup voulait exploiter les phénix. Matteo savait se défendre pourtant mais son père le faisait tout le temps passer pour un incapable. Dyson avait fait l'effort de dévoiler qui il était alors pourquoi pas lui ? En tout cas Milo frottait déjà son visage contre le lapin en peluche faisant comprendre à son père que maintenant c'était son nouveau doudou.

Le brun ne pût s'empêcher de sourire devant cette scène. C'était si rare de voir Milo sourire à des inconnus, si rare de voir Matteo parlait aussi facilement à quelqu'un qui connaissait à peine. Mais c'était un toons après tout. Il aurait put le remercier en faisant un beau dialogue comme Dyson venait de le faire mais c'était sûrement inutile de vous rappeler que notre cher Solona était quelqu'un de très timide. Avant de parler, il essayait de réfléchir pour savoir ce qu'il devait dire et ce qu'il ne devait surtout pas mentionner. Matteo pensait beaucoup trop, il réfléchissait trop alors que parfois laissé parler son cœur était important. Comme maintenant, il aurait très bien pût prendre la parole pour remercier Dyson mais ce fût trop tard. Celui qu'il avait sauvé des flammes était en train d'ouvrir son cœur.. Il parlait de son père.. Du fait qu'il lui en voulait de l'avoir créer. Matteo ne s'était donc pas trompé. Avec son métier il arrivait facilement à reconnaître quelqu'un qui était au bout de sa vie. Une personne qui hésitait encore entre se battre pour survivre ou simplement s'effacer. Ce genre de personne qui n'était pas loin de commettre l'irréparable. Le boulot de pompier n'était pas simplement que d'éteindre les incendies mais aussi de s'occuper des personnes en difficultés. D'être vigilent. Matteo afficha une petite moue avant de redresser doucement Milo qui jouait avec la peluche.

« Pas important ? Monsieur Wal.. Enfin Dyson, pardon. Vous êtes important Dyson. Tout le monde est important dans cette ville, tout le monde sert à quelque chose. » il marqua un petit temps de pause. « Je pense savoir ce que vous avez. »

Matteo fixa un court instant le regard de Dyson avant de lui tendre gentiment Milo pour qu'il puisse le prendre dans ses bras. Une fois fait, le pompier lui fit comprendre qu'il revenait très vite. Après ça, Matt partit en courant vers le stand des peluches cherchant celle dont il avait besoin. Une fois trouvé, il plongea sa main dans le tas de le peluche pour la sortir avant de donner l'argent qu'il fallait. Une fois fait, Matteo revint rapidement vers Dyson, il prit le temps de récupérer son fils avant de tendre gentiment la petite peluche qui représentait un phénix. Il afficha un petit sourire ne sachant pour ou regarder à ce moment là. Dyson devait sûrement être le seul à connaître sa vrai nature, c'était une première pour lui. Il se racla nerveusement la gorge.

« Je pense que vous ne vous aimez pas assez. Et que vous essayez d'effacer votre douleur en vous occupent du soucis des autres. Mais je préfère vous dire que ça ne vous aide pas du tout. Vous avez l'air.. épuisé, triste et perdu. »

Un lourd silence s'installa entre les deux. Peut être que Matteo avait visé juste, peut être que Dyson n'avait pas apprécié ce qu'il venait de dire. Il aimerait juste l'aider un peu parce que.. Dyson lui ressemblait au fond. Il s'occupait du bonheur des autres avant le siens et ça le tuait à petit feu. Matt ouvrit la bouche pour dire quelque chose mais rien ne sortit. La neige se mit à tomber une nouvelle fois mais cette fois ci les flocons étaient plus nombreux et plus gros. Un immense sourire naquit sur le visage du phénix tandis que son fils se mit à gazouiller. Il baissa son regard vers Milo qui levait sa petite main en l'air essayant d'attraper un flocon. Matteo n'arrivait pas à parler franchement à Dyson tout en le regardant dans les yeux alors il trouva une alternative.

« Qu'est ce que tu dis Milo ? Tu veux monter dans la grande roue avec moi et Dyson ? Pourquoi ? » Il se pencha légèrement vers son fils. « Oh pour lui montrer toutes les décorations de la ville avec la neige et essayé de lui redonner espoir ? Ça me va Monsieur Milo Solano. »

Après ces mots, son fils se mit à rire avant de tendre gentiment la peluche de Oswald à Dyson. Cet enfant était intelligent, il ressentait les émotions des adultes qui se trouvaient autour de lui. Il l'avait plusieurs fois prouvé à Matteo quand il n'allait pas bien. Le pompier accepterai l'aide de Walters si ce dernier acceptait d'être aidé en retour. Il n'aimait pas profiter des autres après tout. Il tira alors doucement sur le manteau noir du lapin lui faisant signe de le suivre. Et comme promis Matteo se dirigea vers la grande roue et paya donc deux billets vu que Milo était trop jeune pour compter pour une place. Les trois montèrent dans leur cabine et s'assirent. La roue se mit finalement à tourner. Matteo fixa longuement le sapin qui se trouvait en face de lui.

« Je n'ai pas besoin d'argent vous savez. Je suis plutôt riche aussi et puis l'argent ne fait pas vraiment le bonheur. Non ce que j'aimerai de votre part.. Mh.. » Il fit mine de réfléchir quelques secondes. « Je veux vous revoir sourire. Je veux connaître vos histoires et vos peurs. J'aimerai que vous et moi on puisse se parler sans penser aux conséquences de nos mots. »

Hormis Pilib, June, Cyan et Sarah il n'avait personne dans sa vie. Et tous étaient .. occupés ou aux abonnés absent. Matteo était trop gentil, il le savait. Il avait laissé Pilib vivre sa vie sans lui faire savoir que c'était à cause de lui qu'il avait su qu'il était gay. Il n'en voulait jamais à Cyan de disparaître du jour au lendemain mais au final il souffrait vraiment de cette solitude. Matteo détestait vraiment ces journées sans son fils et sans personne à qui parler. Il était fatigué des secrets, des mises à l'écart et des bonnes figures. Il voulait un ami qui pouvait le comprendre, entendre tout ce qu'il avait à dire et bien sûr Matteo lui rendrait la pareille. Un long soupir sortit alors de sa bouche.

« Tu es le premier à savoir que je suis un phénix. Je n'ai pas le droit de le dire normalement. Mon père le refuse. Il ne voulait pas que je devienne pompier aussi mais.. C'est plutôt pratique tu ne trouves pas ? Sans mes dons je pense que les flammes t'auraient piégés. »

Il afficha un petit sourire en coin avant de voir les mains rougis de Dyson. Il rapprocha alors doucement les siennes et une lueur orange se dégagea de ses mains réchauffant celles de celui qu'il avait sauvé un peu plus tôt. Et pour la première fois de la soirée, Matteo ne pût s'empêcher de chercher le regard de Dyson pour plonger ses yeux dedans. Le phénix pensa une seule et unique chose : Je ne quitterais pas cette personne tant qu'elle n'ira pas mieux. Il n'avait jamais fuis quand sa mère souffrait de dépression. Son père, lui avait choisis la fuite mais pas Matt. Sa mère lui disait souvent qu'aimer était une souffrance. Il allait sûrement apprendre le sens de cette phrase avec ce fameux Dyson Walters. Le tour de manège s'arrêta et Matteo arrêta ses pouvoirs pour prendre son fils dans ses bras et descendre de la cabine. Il attendit sagement son partenaire avant de se remettre à marcher dans la rue, direction sa maison. Il était tard après tout et Milo était malade donc il devait se reposer. Ils marchèrent dans un premier temps dans le silence.

« Ma mère m'a toujours appris que la vie se résumait en trois mot. L'amour, le temps et la mort. Ce sont trois choses qu'on ne peut pas choisir ou manipuler. L'amour nous tombe dessus, le temps file ou paraît long et la faucheuse peut nous prendre à tout moment. Elle m'a toujours appris que si on acceptait pas ces trois choses de la vie, on vivrait malheureux. »

Matteo ne savait pas vraiment pourquoi il venait de dire ça et pourtant, il l'avait dit. Lui qui n'aimait pas parler de sa mère, lui qui voulait évité le sujet de l'amour, du temps et de la mort. Il n'acceptait aucuns des trois après tout. Il baissa son regard vers Milo qui venait de s'endormir contre lui et il eut soudainement une idée. Ce qu'il venait de dire à Dyson avait peut être un sens après tout.

« Cela va vous paraître débile mais j'aimerai qu'on se revoit. J'aimerai vous apprendre à vous aimer. L'amour ne concerne pas que la vie de couple mais l'amour que l'on a pour sois-même également. Juste laissez moi vous aider. C'est mon travail et je ne peux pas vous laisser seul dans votre noirceur. En plus Milo vous aime bien. Qu'en dites vous ? Laissez moi jusqu'au 25 décembre au moins et après je vous laisse tranquille. On le 15, ça ne fait que dix jours à me supporter. »


Dyson R. Parr
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La coalition se forme pour trouver à Aster son véritable amour
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________________________________________ 2019-02-12, 10:18 « Cours Dydy, cours ! »



burning
Everythings is blue, his pills, his hands, his jeans, and now i'm covered in the colors pull apart at the seam, and it's blue, and it's blue. Everything is grey, his hair, his smoke, his dreams, he don't know what it means, and he's blue, and he's blue.
Lorsque Mattéo lui tendit son fils, c'est avec surprise mais beaucoup d'affection que Dyson le porta. Il le regarda d'abord courir plus loin dans le marché de noël, sans réellement comprendre ce que le pompier avait derrière la tête. Mais... ça ne le dérangeait pas. Cette journée n'avait pas la même saveur empoisonnée que toutes les dernières, depuis que ce pompier s'était intéressé à lui d'une façon peu commune. Il sourit à cette pensée, et baissa le regard vers le petit Milo qui s'agitait doucement dans ses bras, serrant la peluche que Dyson lui avait offerte.

Je vois bien de qui tu tiens ce visage aussi adorable, Milo, lui dit-il doucement en caressant délicatement sa tête avec sa main libre. Ton père est un homme surprenant, tu le sais ça ? Tu dois être le fils le plus chanceux du monde, mon grand.

Les enfants avaient toujours cet effet aussi attendrissant sur Dyson. C'est avec un regard songeur qu'il observer les grands yeux curieux du garçon, avant que son père ne revienne quelques minutes plus tard, lui offrant, après avoir repris Milo, une peluche d'un oiseau rouge. Un phénix. Le restaurateur haussa les sourcils, fasciné. Il avait donc eu raison. Mattéo n'était définitivement pas un homme ordinaire.

Mais dans son cas, ça ne se limitait pas simplement à sa nature mystique.

Un frisson le parcouru quand Mattéo reprit la parole, pour décrire comment Dyson se sentait. En peine qu'il essayait d'étouffer... "épuisé, triste et perdu". La voix de Mattéo ressemblait à l'écho de sa conscience qu'il avait pourtant essayé d'ignorer pendant des jours et des jours. Il avait mal, oui, mais quelle importance ça avait ? C'était quand il avait mal, que d'autres ne souffraient pas à cause de lui. Et pourtant, soudainement, c'était devenu important pour quelqu'un.

Dyson serra la peluche du phœnix dans ses doigts, en baissant des yeux tristes et honteux sur le sol. Je... Mais il ne savait pas quoi dire. D'abord, il avait eu envie de se défendre. Non c'est faux, non, on s'en fichait de ce que je peux ressentir de douloureux ou pas... mais il avait aussi cette furieuse envie d'éclater cette bulle qu'il retenait autour de ses larmes et des douloureuses brûlures qui attaquaient son cœur. Confus, il ne parvient pas à rajouter quoique soit, mais il savait que son silence confirmait à Mattéo qu'il avait raison.

A la place, c'est une neige plus insistante et plus belle encore qui tombait, à la plus grande fascination du petit, et des rêves des plus grands. Lorsque le pompier fit mine de discuter avec Milo, faisant part de sa volonté de l'emmener dans une grande roue, Dyson aurait pu rire de cette adorable mise en scène qu'il ne méritait même pas. Mattéo Solano, vous êtes un grand fou, dit-il dans un murmure.

Mais il ne lui laissait même pas la possibilité de refuser. Milo tendit la peluche que Dyson lui avait offerte à ce dernier, comme pour appuyer les exigences de son papa, lui-même qui tira sur son manteau pour le faire venir. Un petit sourire arqua le coin de ses lèvres. Et bien, si Milo insiste tant, je ne sais pas comment faire pour refuser, accepta-t-il enfin avant de caresser les petits cheveux de l'enfant et de les suivre tous les deux.

Cet instant dans cette cabine de la grande roue semblait hors du temps. Hors de l'espace. Séparé de tout ce qui faisait de ce monde un endroit dans lequel il n'arrivait même plus à avoir sa place. Comme si cette cabine, aux côtés de ce pompier si spécial, avait toujours été sa vraie et unique place dans le monde. Un moment éphémère mais si doux, qui aurait presque pu être appuyé par quelques touches de piano songeuses en fond sonore, qui étoufferaient tous les autres bruits de l'univers. Juste eux, et la voix de Mattéo.

Et plus cette voix s'adressait à lui, plus Dyson était touché.

Vous me connaissez à peine et voulez déjà savoir mon histoire, sans avoir peur de ne pas l'aimer. Ou de ne pas m'aimer. Vous aussi, la vie semble vous avoir été douloureuse, et pourtant, vous mettez beaucoup de rêves dans le comportement que vous avez avec moi. Je veux bien accepter. Mais dans ce cas, moi aussi je veux connaître votre histoire, et pouvoir bander les blessures que vous avez en vous, comme vous l'avez fait pour la brûlure sur mon bras. Vous parler est différent qu'avec quelqu'un d'autre... c'est agréable. Très agréable.

Il avait dit vouloir lui parler sans penser aux conséquences de leurs mots. Sans filtre, une totale ouverture du cœur. Dyson voulait permettre ça à Mattéo. Il ne le connaissait à peine oui, mais il voulait lui permettre de faire s'échapper toutes les douleurs dans son cœur. Et... en retour, faire la même chose auprès de lui semblait tentant.

Et alors, lorsque Mattéo revint sur sa nature de phœnix, celui-ci posait sa main sur la sienne, irradiant dans une lumière douce une chaleur exquise qui semblait se propager dans tout son corps. Dyson leva des yeux vers Mattéo, lui-même scrutant déjà les siens. Le contact de sa peau, la magie bienveillante qu'il lui transmettait, et ce regard plongé dans ses yeux, firent rougir Dyson, et venaient d'allumer dans son cœur une flamme qu'il avait cru éteinte définitivement depuis longtemps. Voilà. Un moment hors du temps. Ce sentiment d'être là où il aurait toujours du être. Lorsque Mattéo arrêta sa magie à la fin du tour de la grande roue, la chaleur ne le quitta pas pour autant, grandissant dans une boule agréable qu'il ressentait dans son ventre. Devoir sortir de ce manège semblait être une torture, comme si on l'arrachait à une bulle d'air pur dans un océan de poison, forcé à retourner dans l’immensité si désagréable ce dernier.

Votre mère était une femme intelligente, c'est certain. Mais... quand j'ai voulu accepter les trois choses ensemble, ça ne s'est jamais bien passé pour personne. Je ne suis pas ce genre de personne qu'on voudrait aimer. Au contraire...

Il ne l'avait pas dit en regardant Mattéo dans les yeux, observant Milo tomber petit à petit dans les bras de Morphée sur l'épaule de son père. Mais lorsque Mattéo reprit la parole, ses mots allaient directement toucher le cœur de Dyson, incitant celui-ci à lever de nouveaux les yeux vers lui, rougissant encore une fois... avec presque les larmes aux yeux. Mattéo lui offrait une attention si particulière qu'il n'avait jamais eu de personne avant... il n'était pas obligé de le faire, mais il le faisait.

Mais... vous ne savez pas ce que c'est que d'accepter ma compagnie, jamais personne ne se sent bien avec moi. Vous voulez m'apprendre à m'aimer, mais et si j'avais les bonnes raisons de ne pas m'aimer ? Mais pourtant... la voix de Mattéo était comme une pommade agréable. Il voulait le revoir. Passer du temps avec lui. Finalement, c'est un sourire qu'il ne se rendit même pas compte de faire qui illumina son visage. D'accord. Dix jours pour vous "supporter". Je veux bien accepter. Moi aussi j'aime bien Milo. Et... vous aussi. Au revoir, monsieur Solano. A très vite, je suppose.

*
***
*

5 jours plus tard, 22 décembre

Dyson se réveillait avec une joie qui irradiait son visage, comme les derniers matins avant celui-ci. Après la promesse de se revoir, Mattéo et Dyson s'était en effet revus. Très vite devenus amis, Dyson était soudainement heureux depuis qu'il connaissait Mattéo, bien plus qu'il ne l'était avec quelqu'un qu'il appréciait simplement comme un ami. Mais il n'était pas là dans sa vie. Après Chris, il ne voulait pas demander à quelqu'un d'autre de lui donner une chance en amour, et malgré les sentiments très très soudains qu'il avait eu pour le phœnix, ils ne se connaissaient que depuis quelques jours pour que Dyson ne les écoute.

Il était juste content d'être avec lui, et c'était tout ce qui comptait.

Dyson n'avait pas donc rechigné pour sortir du lit, plutôt pressé d'en sortir. Il s'était préparé sur de la musique entraînante, ce qui amusait d'ailleurs Pirate qui lui tournait autour, son chien et la seule compagnie qu'il avait dans cet appartement. D'ailleurs, Pirate avait de quoi être content lui aussi, parce qu'aujourd'hui, il était inclus dans les projets de la journée ! Il avait dit à Mattéo qu'il aimerait bien venir avec lui, la veille, alors puisqu'il n'avait pas eu d'objection, c'était avec le chien très excité que Dyson avait retrouvé le pompier ce samedi.

Bonjour, Messieurs les Solano, les avait-il salué avec un sourire ravi de les voir. Ses yeux descendirent vers le chien qui, intrigué de cette nouvelle personne qu'il ne connaissait pas, s'était approché pour renifler les pieds et les jambes de Mattéo.

Dyson rigola. Là, il essaye de faire ta connaissance... Et finalement, le chien s'assit juste devant lui, levant la tête pour le regarder dans les yeux. Et là il veut juger de ta façon de le caresser pour déterminer s'il t'aimera bien ou non, ajouta-t-il dans ses précisions, toujours en riant.

Je ne me fais pas de soucis, je ne vois pas comment quelqu'un ne pourrait ne pas t'aimer.

Et il avait raison : quelques instants plus tard, voilà Pirate qui lui sautait tout autour, ayant déjà adopté le pompier comme son nouvel ami. A certains moments, il sautait aussi pour poser ses pattes avant sur le ventre de Mattéo afin de pouvoir observer son fils qu'il tenait dans ses bras, très intrigué de sentir une mini-version du pompier, mais qu'il semblait apprécier tout autant.

En marchant dans la ville, Dyson sortit de sa veste deux tickets, tendant le premier à son ami. J'ai payé nos entrées. J'ai peuuut-être oublié de te dire qu'on pouvait payer en avance, parce que je savais que sinon je ne pourrais pas t'inviter. Et j'y tenais. Et pour être sûr de ne pas avoir de désaccord, il insista en plongeant son regard dans le sien. Tu m'as invité à la grande roue. Et c'était probablement le moment le plus beau que j'ai connu depuis... depuis trop longtemps. C'est à mon tour maintenant.

Dyson avait parfaitement conscience que leur relation si spéciale n'était vieille que de quelques jours, d'une semaine exactement, mais ce n'était pas un détail qui importait selon lui. Tout ce qui importait, c'était qui était Mattéo. Et Dyson adorait qui il était.

Nous sommes le 22. C'est peut être bizarre... mais j'ai compté les jours. On s'était dit 10 jours, jusqu'à noel. Aujourd'hui c'est le septième, il en reste trois. Je ne sais pas si tu es satisfait. Moi... je sais juste que je suis content que je me lève et de savoir que je viens te trouver. Tout ce que je veux dire là c'est que... quand noël sera finit, je ne veux pas que tout ça... cesse. Enfin, je veux pas t'ennuyer avec ma compagnie, je suis pas la meilleure personne avec qui passer son temps et je ne veux pas te le faire perdre. Je t'en voudrai pas de refuser, ce serait normal. Mais je me devais de demander.

Pirate aboya sur une femme qui passait à côté d'eux, le chien ayant jugé que la pauvre innocente s'était surement approchée trop près du petit Milo dont il s'était déjà chargé de la protection. Dyson s'excusa rapidement d'un geste de la main à la passante, avant de reporter son attention sur Mattéo.

Quoique ça veuille dire, ou que ça signifie, je suis juste certain que je t'aime beaucoup. Et que je te suis reconnaissant. Et puis... moi aussi je veux m'assurer que tu ne sois pas triste comme tu sembles l'être parfois. C'est le minimum de ce que je te dois. Je n'ai peut être pas la capacité de t'apaiser par magie quand je te tiens la main, comme toi tu l'as fait dans la grande roue, mais je peux au moins essayer. Si tu veux, bien sûr.

Dyson termina le visage entièrement rouge, les yeux baissés sur le sol, très gêné. Il n'avait rien sous-entendu dans ses mots, lui demandant juste que leur amitié ne se perde pas aux termes du délais qu'ils s'étaient donnés au marché de noël. Mais c'était bien la seule amitié pour laquelle il rougissait quand il en parlait.

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It seems like we lost touch
so hold me
as the record skips
Maybe you're just too good
Maybe I'll run away
Maybe I shouldn't stay
Maybe I talk too much
But baby I'll be there
It's been a little hard
But maybe all along I'm afraid


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________________________________________ 2019-03-28, 15:31

LE◬D ME B◬CK TO YOU


Il n'avait plus besoin de réveil depuis que Milo faisait partie de sa vie. Matteo était debout depuis six heures du matin, il était épuisé parce que dormir était devenu une option chez lui. Avec son boulot et le bébé il n'avait pas vraiment le temps de penser à lui et il le remarqua rapidement quand il vit son reflet dans le miroir. Il n'allait pas se montrer avec ce visage devant Dyson, ce serait mal polie de sa part. Un soupir sortit de la bouche de l'italien avant qu'il ne prenne le temps de se faire la toilette et de rendre les dégâts de son visage, minime. Une fois prêt, Matteo sortit de la salle de bain pour venir chercher son fils qui était encore dans son lit. Il se baissa vers lui et afficha un immense sourire, montrant à son fils qu'il était heureux de le voir. Il sera Milo contre lui avant de commencer à chantonner une petite musique pour calmer la petite crise de larmes que son fils avait le matin. Il changea dans un premier temps sa couche avant de l'habiller chaudement. Il faisait beau mais le vent était froid, il ne voulait pas que son fils soit encore malade. Une fois que Milo fût prêt, il descendit prêt à partir rejoindre Dyson. Mais avant il entendit sonner. Matteo poussa un long soupir, se doutant que la sorcière venait lui rendre visite encore une fois. L'italien ouvrit et sans surprise il vit sa femme... Nina. Mais elle n'était pas seule, elle était accompagné de.. Adrien Agreste. Le père de Adrien était ami avec son père et celui de Nina. Matteo connaissait bien ce jeune garçon et malgré qu'il soit plus jeune que lui et Nina, il l'aimait bien.

Nina fronça les sourcils quand elle vit le visage de Matteo. Elle analysa rapidement la maison du pompier avant de finalement hausser les épaules et de s'affaler sur le canapé sans demander son autorisation. Adrien afficha une petite moue se sentant presque de trop, ce que Matteo pouvait entièrement comprendre. D'ailleurs il se demandait pourquoi ce dernier était ici avec la démone en personne. Adrien devrait arrêter de traîner avec elle.

« Adrien a une annonce à nous faire, après tu pourras aller à ton rendez-vous. »

« Mais, je n'ai pas de rendez-vous, lâche moi un peu. »

Un sourire en coin se dessina sur le visage la jeune femme qui secoua négativement la tête, montrant qu'elle ne croyait pas un seul mot de ce qu'il venait de dire.

« Tu es plus beau que lors de notre mariage, ça cache quelque chose l'emplumé. »

« En même temps, on parle du jour ou je me suis marié avec toi la sorcière ! »


« Euh.. Matteo, Nina.. S'il vous plaît ? »
le ''couple'' se tourna brusquement vers Adrien qui essayait d'avoir leurs attentions. « Juste pour vous dire que le père de Matteo tient à ce que vous fassiez une séance photo ensemble pour le magazine de mon père. »

Matteo afficha une petite grimace avant de tourner directement sa tête vers Nina gardant sa grimace de dégoût dessiné sur son visage. La jeune femme en face de lui fit exactement la même chose, montrant qu'elle n'était pas aussi partante que lui. Malheureusement ils n'avaient pas le choix. Ils devaient jouer le cinéma. Un soupir sortit alors de la bouche de Matteo qui se contenta de hocher la tête avant de leurs faire signe de partir de chez lui tout en serrant son visage contre son torse. Nina s'apprêtait à dire quelque chose mais Matteo la poussa hors de sa maison.

« Lâche moi et barre toi, merde. »

Heureusement pour lui, une bonne journée s'annonçait derrière cette triste nouvelle. Matteo respira un bon coup avant de poser son regard sur Milo pour lui embrasser tendrement le front. Après ça, il décida enfin de se diriger vers le lieu de rendez vous. Et sans surprise, Matteo se sentit mieux quand il vit Dyson parler de son chien. Il était adorable et Milo aimait déjà cet animal. Après cette rencontre, il laissa le restaurateur parler de son ressentit, ce qui fit sourire Matteo d'ailleurs. Il était content de savoir que Dyson allait un peu mieux depuis la dernière fois et qu'il.. qu'il aimait bien le pompier. C'était un sentiment étrange de savoir que normalement il devait sauver Dyson mais qu'il avait l'impression que c'était le contraire qui était en train de se passer. Une fois que le restaurateur avait fini son magnifique discours, Matt posa son regard sur le visage adorable de son bébé qui était en train de gazouiller auprès du chien. Milo venait de se faire un nouvel ami.. Le phoenix afficha finalement un petit sourire avant de tendre délicatement sa main en direction de l'homme qui se tenait en face de lui.

« Je n'ai pas le pouvoir d'apaiser les gens malheureusement. Je sais juste que un peu de chaleur, ça fait beaucoup de bien aux êtres humains comme nous. Enfin avec modération quand même. »

Il fit mine de réfléchir un peu avant de finalement sentir la main de Dyson sur la sienne. Matteo sursauta légèrement, surpris que Dyson se décide aussi vite. Mais l'italien regagna rapidement son sourire avant de finalement dégager une nouvelle de la chaleur dans la paume de sa main. Après tout, il faisait froid et son partenaire avait la main gelée. Matteo finit alors par entrelacer ses doigts autour de ceux de Dyson avant de finalement se mettre à marcher vers le parc, en attendant que le spectacle du cirque commence. Une balade dans le parc semblait être une bonne idée pour tous. Matteo attendit que Dyson s'assit sur le banc pour lui déposer délicatement son fils sur ses jambes tout en souriant. Pirate, sans attendre, prit appuis sur le banc pour renifler avec prudence Milo qui semblait amusé de la situation. L'italien, lui, resta debout en face du petit groupe.

« Mon père ne veut pas que j'utilise mes pouvoirs devant n'importe qui.. Parce que.. Les phoenix sont rares et très convoités. » il marqua un petit temps de pose avant de poser délicatement son doigt sur le nez de son fils. « Mais Milo adore quand je lui fais des tours de magie. Il faut juste faire attention que ton chien ne court pas partout quand j'utilise mes pouvoirs.. »

Dyson hocha la tête avant de tapoter le banc à côté de lui, Pirate comprit directement sa demande et il vient s'asseoir sur le banc sans discuter les ordres de son maigre. Le pompier afficha un petit sourire avant de regarder autour de lui s'assurant que personne ne soit là. La voix était libre, après tout il était encore tôt. Matteo ferma alors doucement ses yeux et se concentra. Sans difficulté, il fit apparaître une flamme dans la paume de sa main et immédiatement après que cette dernière soit apparût, il entendit le rire de son fils montrant qu'il s'amusait déjà beaucoup. Matteo rouvrit doucement ses yeux et il afficha un petit sourire se rapprochant de son fils qui était toujours sur les jambes de Dyson. Il s'accroupit et changea la forme de la flamme qui ressemblait maintenant à un feu follet. Son fils tendit sa main pour le toucher mais le feu follet s'envola et tourna autour de Matteo tandis que ce dernier secoua son index de gauche à droite.

« Je t'ai déjà dit qu'on ne touche pas le feu, vilain bébé. »

Milo afficha une petite moue et Matteo comprit qu'il devait se dépêcher de changer la forme de sa flamme. Il se recula alors un peu et lança un peu plus de feu sur le feu follet qui prit directement la forme de Matteo. Le pompier venait de créer son jumeau de feu ce qui impressionna Milo et sûrement Dyson au passage. Sauf que Matteo entendit des personnes parler non-loin d'eux alors il décida de faire disparaître son jumeau de feu avant d'afficher un petit sourire à Dyson pour finalement s'asseoir sur le banc, entre lui et Pirate.

« Comme je disais, je n'ai pas le pouvoir d'apaiser. Je guéris, je ne crains pas le feu, je suis fort, rapide et je peux faire ce que je veux avec le feu mais je n'apaise pas. Je pense juste que c'est parce qu'on s'aime beaucoup toi et moi. Rien de plus ! »
Il afficha un petit sourire tout en levant la tête vers le ciel, légèrement pensif. « On devrait y aller pour le cirque, tu ne penses pas ? »


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________________________________________ 2019-04-22, 15:11 « Cours Dydy, cours ! »



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La tempête qui agitait mon coeur en regardant les enchantements incandescants de Mattéo qui amusait tant l'adorable Milo était indescriptible. A certains instants, en la compagnie de cet homme, il me semblait rêver. Puis je clignais des yeux et, lorsqu'il était avec moi, rien ne changeait : ce qu'il m'offrait été réel. Il arrachait tout ce qui allait si mal autour de moi, par une magie que je ne saurais décrire. Je n'arrivais pas à mettre des mots sur le flot des sentiments qui dansaient en moi, et à vrai dire, je ne me concentrais pas sur eux. Juste sur lui, et l'incroyable tour de flamme qu'il faisait avec ses mains. J'avais passé des siècles à être le témoin de milliers d'enchantements, des magies différentes, d'horribles sorts mais aussi de magnifiques bénédictions. Et pourtant... le sourire qui se dessinait sur mon visage alors que Mattéo dansait avec son feu, était d'un unique émerveillement. Je ne pouvais pas l'expliquer. Tout ce que je savais c'est que... dans l'état actuel de mon existence, les rêves que m'offrait cet homme d'une manière et pour une raison inconnues... venaient chez moi comme la réponse d'un besoin incroyablement important.

Lorsqu'il dut s'arrêter, et qu'il prit place à côté de moi, Pirate, qui avait déjà adopté Mattéo, s'était levé pour s'allonger sur les jambes du pompier et poser la tête sur celle de Milo assis sur moi. Un sourire amusé se dessinait sur mes lèvres, alors que j'écoutais les paroles pensives du phœnix qui parlait à côté de moi.

Parce qu'on s'aime beaucoup... avais-je répété tout doucement comme pour lui dire oui, tout en le regardant un long instant dans les yeux. J'avais très peu de personnes avec qui passer du temps, et Mattéo était assis là, avec moi, affirmant qu'il n'avait aucune magie pour me consoler. Juste qu'il m'aimait beaucoup. J'avais rougis une fois de plus, je crois.

Alors comme prévu, nous nous étions rendu au cirque qui se tenait à Storybrooke. Assis à une place confortable parfaitement exposée à la scène, la magie des spectacles enchantaient l'assemblée, et Milo le premier qui riait aux éclats devant les milliers de lumières époustouflantes et la grâce des danses incroyables que l'on faisait autour d'elles. Pirate l'accompagnait dans sa joie avec des aboiements, parfois, comme simple façon de dire qu'il était content, lui aussi. Ce cirque était plutôt impressionnant, il fallait dire. Il n'y avait pas d'animaux, ce qui était parfait, pour ne pas maltraiter quelconque être vivant au dressage, mais leur absence ne manquait pas à un spectacle incroyablement beau.

Ce que vous regardez n'est pas incroyablement magnifique, mesdames et messieurs ? Hurlait la voix du présentateur fou d’enthousiasme.
Incroyablement magnifique... acquiesçai-je dans un murmure. Mais ce n'était pas le spectacle, que je regardais, à ce moment là.

Timidement, j'avais doucement rapproché ma main de celle de Mattéo, pour y entrelacer mes doigts dans les siens une fois de plus. Je n'étais pas bien sûr de ce que signifiaient les nombreux non-dits qu'il y avait entre nous mais... c'était beau ainsi. Et c'est ma main serrée dans la sienne, mon corps près du sien, que nous avions regardé l'époustouflant cirque d'hiver de Storybrooke.

24 décembre 2018

Mais aussi importante la place de Mattéo dans mes pensées était, je ne pouvais pas passer ma vie à ses côtés, à l'importuner de mes quelques malheurs au détriment des siens pour encombrer sa vie de davantage de problèmes à régler. Passer du temps avec lui était certainement... ce qui m'a rendu le plus heureux, en l'espace de quelques jours, contrairement aux siècles de malheur que j'ai vécu avant ça. Mais je n'allais pas non plus passer ma vie entière à ses côtés... je n'étais personne pour prétendre à ça.

Et pourtant, si c'était ce que je ressassais dans mes pensées encore et encore, c'est parce que c'était tout ce que j'avais en tête. Si je n'avais pas Mattéo... j'avais l'impression de n'avoir personne.

J'essayais d'oublier ça. C'était noel. J'espérais sincèrement qu'il passait noel avec des gens qu'il aimait. J'espérais que tout ceux que je ne pouvais pas vraiment revoir passaient un bon noel. C'était pour ça que j'étais né, n'est-ce pas ? M'assurer que le monde soit heureux, qu'importe ce qu'il se passait pour moi. Je reverrai surement Mattéo, après tout. J'imagine. Juste... pas ce soir... Je devais prendre sur moi. Et étouffer ces larmes incroyablement ridicules qui menaçaient de venir.

C'est juste que cette année, j'avais vraiment espéré pouvoir passer enfin un noel comme j'en rêvais depuis longtemps. Un véritable bon noel comme tout le monde, pour la première fois pour moi. Entre Chris, Simon... tout était parti si vite. Je n'avais que la mémoire agréablement réchauffée des quelques magnifiques instants passés avec le phoenix. Ces souvenirs seraient tous ce à quoi je me raccrocherai, ce soir.

Je soupirai sans m'en rendre compte, dans le froid nocturne de la ville. Les élections municipales avaient eu lieu. Le mois prochain, je serai maire adjoint, et Michel Ange et moi avions déjà commencé à construire cette mairie qui promettrait à la ville des jours meilleurs. En attendant, je m'étais engagé à éclairer le centre-ville, le soir de noël. Je n'avais pas demandé d'aide, il n'y avait que moi, après tout, qui n'avait rien d'autre de prévu. Je n'y arrivais pas vraiment, par contre. Les lumières ne voulaient pas s'allumer, alors qu'elles semblaient pourtant bien branchées au générateur juste à côté. Le sapin était triste, comme ça, sans sa parure de lumière. Ironique, on aurait dit qu'il était parfait pour moi. M'acharnant pour rien, je m'étais arrêté quelques temps, pour m'asseoir sur le trottoir froid, à regarder plus loin les fenêtres des foyers allumés. En levant mes yeux vers l'horloge de la Grande Place, je vis qu'il était déjà 23h45. Noel dans 15 minutes, pour une ville qui n'aurait pas ses lumières, à cause de moi. Un nouveau soupir.

Et pourtant, en entendant la personne qui s'approchait de moi, une lueur si grande se ralluma en moi, un sourire incontrôlé qui rayonnait de nouveau, alors que je me relevais face à... Mattéo. Les légendes du miracle de noel étaient surtout là pour ravir les plus rêveurs de ce monde. Mais il était arrivé là alors que j'en avais tellement eu envie... les miracles existaient peut-être bien, après tout.

Je... Mattéo... tu n'es pas avec ta famille ? J'avais bafouillé en parlant, hésitant, ne sachant pas trop quoi dire de correct ou d'approprié. J'étais vraiment surpris cela dit, qu'il soit là. Mais agréablement surpris.

Je suis vraiment content de te voir... Je baissais la tête un peu honteux, rougissant légèrement. Enfin pardon je devrais pas dire ça, je suis désolé que tu ne sois pas avec tes proches.

Mais je ne pouvais pas m'empêcher de relever la tête vers lui, en lui souriant. Bien sûr que j'étais heureux de le voir. J'étais toujours heureux quand il était avec moi, comme si une aura si réconfortante l'accompagnait et me recouvrait tout entier quand il s'approchait de moi. Comme si le froid de cet hiver ne pouvait plus me déranger, maintenant qu'il était proche.

Euhm... Je devais m'occuper des lumières de la ville, mais elles refusent de s'allumer. Je n'arrive même pas à comprendre d'où vient le problème...

J'ouvrais le boitier du générateur devant lui, lui demandant un peu d'aide. J'avais l'habitude des formes les plus poussées de technologies avec la Magic League, et en fait, celles plus anciennes de la ville crée il y a bien longtemps me posaient une colle. J'étais bien ridicule, je ne devais pas paraître bien malin pour le pompier, à cet instant. Surtout qu'une fois qu'il était avec moi, c'est au bout de quelques instants laborieux seulement que tout le centre-ville s'illumina tout entier. Les guirlandes, les ornements et le grand sapin qui brillait de milles feux, alors que les regards émerveillés des familles venaient par les fenêtres de leurs maisons pour observer le spectacle.

Moi aussi, j'étais émerveillé, les yeux brillants de toutes ces lumières. C'était comme si toute la morosité de cette soirée venait de s'évanouir d'un seul coup. Décidément, tu es envoyé pour me sauver encore et encore. Vous êtes vraiment mon héros, monsieur Solano.

Et alors que je terminais ma phrase, le clocher de la ville sonna, et le ciel s'illumina à son tour de nombreux feux d'artifice qui se succédaient en cœur. Au loin, on entendait les familles se souhaiter un joyeux noël. Il était minuit. Et ma tête s'était tourné face à Mattéo, avant de me figer dans un frisson. Nos deux visages étaient si près, envoûtés par un sentiment commun, nos regards se perdant l'un dans l'autre et nos lèvres frémissantes si proches l'une de l'autre.

Joyeux noel, Mattéo...

Tout près de lui, alors que ma main plongeait naturellement dans la sienne, je comprenais enfin les sentiments maladroits mais si puissants qui se bousculaient en moi. Jamais, avant, je n'étais tombé amoureux aussi fort d'un homme.

Dyson FT. Mattéo || The particular cinder of luck





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Mono Littlewood
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It seems like we lost touch
so hold me
as the record skips
Maybe you're just too good
Maybe I'll run away
Maybe I shouldn't stay
Maybe I talk too much
But baby I'll be there
It's been a little hard
But maybe all along I'm afraid


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________________________________________ 2019-04-29, 17:38

LE◬D ME B◬CK TO YOU


Passer du temps avec Dyson lui avait permis d’oublier de nombreuses choses dans sa vie, des choses qui n’arrêtaient pas de le blesser, des choses qu’il préférait pourtant oublier. Sa mère lui avait toujours appris que la famille était la chose la plus importante dans la vie et pourtant. Matteo avait été forcé de fonder la sienne sous ordres de son père et de celui de Nina. Nina n’était pas une méchante femme, elle était spéciale c’est sûr mais elle n’avait rien de méchant. Comme Matteo, elle était en colère d’être mariée à un homme qu’elle n’aimait pas. Puis le pompier était 100% gay en plus de cela et pourtant il avait été forcé de passer à l’acte pour concevoir le petit Milo. Il ne regrettait pas son fils et Nina non plus d’ailleurs, Milo était adorable, c’était un magnifique bébé. Les deux regrettait juste l’acte en soit. Mais c’était ça de vivre dans une famille de dealer et de mafieux. Oui, sa mère lui avait toujours dit que la famille était la chose qu’il fallait chérir le plus et ne jamais lâcher mais quand il voyait la famille dans laquelle il vivait, Matteo perdait clairement espoir. Il s’inquiétait pour le futur de son pauvre bébé aussi. Enfin, tout ça pour dire que ce soir c’était des Noel et cela faisait des années et des années que sa mère ne faisait plus partie de ce monde. Heureusement sa belle-mère, Barbara, était une femme douce et gentille.

Ce soir Matteo était forcé de passer les fêtes avec sa famille. Nina, Milo et lui devaient venir dîner dans le manoir de son père. Tout le monde était là, le père de Nina, la belle-mère de Matteo et son beau-frère, Luka. L’italien ne se sentait pas prêt de passer tout une soirée à faire semblant de sourire et à faire semblant de jouer à papa et maman avec leur fils. Non, il n’était pas prêt de le faire alors qu’il aurait clairement aimé passer les fêtes avec Dyson. Ce dernier devait être seul en train de déprimer dans son coin, il le connaissait assez bien pour savoir ça. Il trouverait une solution pour passer plus de temps avec lui, d’une façon ou d’une autre mais en attendant, il devait se concentrer à faire bonne figure devant son père. Le brun respira un bon coup devant la porte du manoir de son père tandis que Nina se trouvait à côté de lui avec Milo dans les bras. La rousse haussa un sourcil avant de se tourner vers Matteo.

« Qu’est ce qui se passe, Matt ? C’est un dîner, rien de plus alors cesses de te stresser. Puis c’est le réveillon de Noel et on a déguisé Milo en petit lutin, tout ira bien. Nos parents vont adorés ça. »

Il se demandait toujours comment elle arrivait à garder son sang-froid dans des moments pareils. Surtout que lui n’avait pas oublié un détail sur le Noel dernier qu’il avait passé en famille. Le brun se tourna alors vers son fils, affichant un petit sourire alors qu’il caressa délicatement la joue de ce dernier.

« Dois-je te rappeler que c’est il y a exactement 1 an que nos parents nous ont demandés de faire un bébé. Si on dîne avec ton père et le miens, tu peux être sûr qu’ils vont nous faire une demande dans ce genre. C’est tellement prévisible. »


« Cesses de te paniquer, imbécile. Tout se passera bien, il n’y a pas de raison. »

Nina semblait si sûr et pourtant… Matteo avait cette sensation que quelque chose de mal allait se passer. Ils rentrèrent les deux dans le manoir et saluèrent tout le monde avant de s’asseoir autour de la table. Ils parlaient de tout et de rien. De boulot, de l’argent, de Milo et des spectacles de chant de Nina. Des discussions basiques qui soulageait un peu notre pompier et qui semblait se détendre petit à petit. Mais le sujet qui redoutait le plus arriva rapidement sur le tapis. Le brun vit déjà l’échange de regard entre son père et cela de Nina puis l’air désolé de sa belle-mère tandis que Luka, lui, se tourna rapidement vers Milo pour jouer avec Milo et sûrement éviter ce sujet qui ne semblait pas le mettre à l’aise. Matteo ne pouvait que le comprendre sur ce coup-là.

« Mon fils, ma belle-fille. Nous aimerions vous faires une demande assez simple. On aimerait que Milo ait un petit-frère ou une petite sœur. Même si un petit garçon serait mieux pour nos affaires. » Annonça le père de Matteo tout en lâchant un petit rire.

Le pompier entrouvrit sa bouche à cause du choque mais rien ne sortit de cette dernière. Il se tourna vers Nina pour lui faire comprendre qu’il avait eu raison de ce méfié de ce repas. Mais le pire était peut-être le fait que la rousse ne semblait pas vouloir réagir. Nina n’avait peur de rien, enfin de presque rien. Tenir tête à son père lui était impossible vu qu’elle avait une peur bleu de ce dernier. Elle avait déjà essayé de lui désobéir un jour et elle en avait payé le prix, son père était du genre violent. Matteo lui par contre, n’arriva pas à se taire. Il se leva brusquement de sa chaise.

« Vous croyez qu’on peut choisir le sexe de l’enfant ? Puis c’est carrément sexiste comme propose ! Ensuite, c’est à nous de choisir quand on sera prêt pour un deuxième bébé, pas vous ! » Il jeta un regard noir à son père et ce dernier faisait exactement la même chose. « Je m’en vais. Ce repas était un prétexte je le savais, la famille ça n’a jamais été important pour toi, père. »

Et il quitta la maison sur cette phrase, ce qui expliqua pourquoi il errait aussi tard dans les rues et pourquoi il s’était maintenant retrouvé en face de Dyson qui semblait à bout, tout comme Matteo. Le pompier ne répondit pas à la question du lapin. Il ne voulait pas lui dire que son père le forçait à faire un autre bébé. Il ne voulait pas faire fuir ce dernier. Heureusement pour lui, Dyson eut un souci avec l’éclairage de la ville et rapidement le pompier décida de passer à l’action et lui donner un coup de pouce. En quelques secondes toute la ville se mit à briller de mille feux. Le brun avait l’impression d’être soudainement éblouie tellement les guirlandes scintillaient. C’était magnifique. Matteo afficha un petit sourire avant de se tourner vers Dyson, se collant doucement contre lui. Il n’avait pas pris la parole depuis son arrivé mais ce n’était pas contre le gérant du restaurant. Il avait besoin de réfléchir, sur sa situation mais aussi sur ses sentiments pour lui. Quand l’horloge de la ville se mit à sonner les douze coups de minuit, il se tourna vers Dyson.

« Joyeux Noel, Dyson. »

Un petit sourire se dessina sur le visage du pompier tandis qu’il serrait doucement la main de son partenaire avant de se tourner vers le sapin qui clignotait devant eux. Les néons rouges et jaunes brillaient comme un phare, guidant ses deux âmes en peine dans ce sombre paradis qu’était la vie. A cet instant, l’italien savait qu’il ne voulait pas lâcher Dyson. Qu’il avait besoin de lui. Une petite moue se dessina sur son visage tandis qu’il colla son bras contre celui de Dyson.

« Je sais pas pourquoi mais je me doutais que tu allais être seul, ce soir. Heureusement, je me suis disputé avec mon père, encore. Du coup je suis là. Je suis content de regarder ce spectacle avec toi. »

Matteo mentait rarement, parce qu’il ne savait pas mentir pour commencer et parce que sa mère l’avait élevé de la sorte. Son père n’aimait pas ce principe de ne pas s’avoir mentir d’ailleurs. Il voulait vraiment que le pompier reprenne son métier mais Matteo ne voulait rien de tout ça. Il voulait d’une vie simple, d’une famille stable, de joie et d’amour. Rien d’autre. Le brun tira doucement sur le bras de Dyson pour lui faire comprendre qu’il voulait marcher un petit peu dans la ville et le gérant du restaurant le comprit rapidement vu qu’il se mit à marcher. Matteo garda la main de Dyson dans la sienne mais cela ne l’empêcha pas de les mettre dans sa poche de manteau pour les protéger du froid avant de regarder la longue ruelle décorée qui se tenait devant eux.

« Tu as fait du bon boulot, comme toujours. C’est magnifique… »

Un autre sourire se dessina sur le visage du brun tandis que les deux marchaient silencieusement dans la rue profitant de ce moment. Parfois, il ne fallait pas grand-chose pour être heureux. La preuve, Matteo l’était actuellement. Seulement, son regard se posa rapidement sur une ruelle ou plusieurs SDF essayaient de se réchauffer comme ils le pouvaient. Ils n’avaient plus de feu, plus rien. Tu parles de la magie de Noel… Matteo afficha une petite moue avant de faire signe à Dyson de le suivre. Il rentra dans la ruelle avant de saluer les sans-abris. Ces derniers se mirent à sourire en voyant le pompier.

« Regardez les gars, c’est Matteo ! »


Tous les sans-abris se rapprochèrent de lui tout en le tripotant sans qu’ils ne soient gênants. Matt lâcha à contrecœur la main de Dyson avant de saluer tous les SDF tout en se rapprochant du bidon vide. Le bidon qui devait normalement contenir du feu mais vu qu’ils ne trouvaient plus de matériaux, ils ne pouvaient plus rien brûler.

« Fais-nous un tour de magie encore ! On meurt de froid… »

« Ne vous en faites pas, c’est ce que je comptais faire. Vous voulez voir quoi ce soir ? » Demanda Matteo.

« Le dragon qui crache du feu ! »

Sans se faire attendre, le pompier claqua simplement des doigts et soudainement, un immense dragon de feu se forma dans la ruelle, prenant pratiquement toute la place mais ne brûlant personne. Le dragon fit plusieurs allers-retours dans cette ruelle avant de cracher du feu dans tous les bidons qui se trouvaient dans cette zone. Tous les sans-abris se mirent à applaudir quand le dragon disparût devant leurs yeux laissant place à une pluie d’étincelles qui ne brûlait pas. Ils se tournèrent tous vers Matteo tout en continuant d’applaudir.

« Toujours aussi beau ! Au fait, c’est qui ton ami à côté ? »


« C’est pas l’adjoint ? Et celui qui tient le Comics Burger ? Si c’est lui ! Il m’avait offert un repas, merci Monsieur ! »


« Oui, c’est Dyson Walters. Quelqu’un de très spécial pour moi et tout aussi cool que moi alors vous pouvez l’applaudir ! » Lâcha Matteo tout en riant.

Les sans-abris ne se firent pas prier, ils se mirent à applaudir Dyson. Tout le monde dans cette ville savait que ce petit lapin était quelqu’un de très attachant et de très gentil. C’était un toon, un toon qui faisait toujours son travail malgré la malédiction. Il prenait soin des autres avant de prendre soin de lui. Ce n’était pas une mauvaise chose mais Matteo aimerait que les autres soient plus reconnaissants envers lui, voilà pourquoi il avait demandé ça. Le pompier se baissa pour se rapprocher doucement de l’oreille de son partenaire pour chuchoter dedans.

« Tu veux qu’on reste un peu dehors et qu’après on rentre chez moi ? Ou tu veux faire autre chose ? »

Oui, Noel était une fête à passer avec des personnes que l’on appréciait et c’était ce que Matteo allait faire.
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