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Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)

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Stanford Pines
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________________________________________ 2018-11-06, 21:24





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"Sixer ! J'ai un client pour toi !"

Stanley s'était absenté une heure et trente-sept minutes pour être exact. J'avais parié avec moi-même qu'il passerait plus de deux heures dehors et que je pourrais ainsi utiliser cette absence pour trier les papiers que je gardais dans l'arrière-boutique du Mystery Shake depuis bien trop longtemps. Il était l'heure pour moi de m'approprier une chambre de l'hôtel qui me servirait de bureau, sans quoi je déménageais à mon laboratoire et on ne me revoyait plus avant Noël. Combien de fois avais-je été interrompu par un membre de la famille ou un employé de la boutique ? Pire que cela, un client était même venu jusqu'à moi pour me demander un renseignement sur un objet magique rare qu'il tenait en main ! Parfois, j'avais l'impression que les habitants de cette ville se croyaient tout permis et qu'ils en oubliaient les bonnes manières. Je ne pouvais plus avoir affaire à ces inconnus trop envahissants pour mon travail qui demandait concentration et rigueur. J'avais beau avoir Stanley comme frère jumeau, je le plaçais sans hésitation dans le lot. Il le savait.

"Ton impolitesse est proportionnelle à celle des clients, Stanley.
Soufflais-je. Maintenant, j'étais sûr qu'il le savait. Pour être plus bref : tu me déranges en plein déménagement.

-Wow, wow, wow le petit génie ! Tu vas où avec tout ça ? Ce qui est à toi est à moi et c'est hors-de-question que tu ramènes ces... ça, dans ta cabane de reclus !"

S'approchant vivement avec ses deux mains posées sur ses hanches, je le laissais attraper la feuille d'une des piles que j'avais passé l'heure à ranger dans des cartons. En temps normal, je la lui aurais sûrement reprise pour éviter des moqueries face à mon écriture de "docteur", comme il avait l'habitude de critiquer. Seulement, cette fois-ci, ce n'était pas mon écriture mais celle d'un ami russe très intelligent qui me fournissait ses informations sur nos recherches en communs. Ce fût donc un grand plaisir pour moi de voir Stanley froncer les sourcils en tentant de déchiffrer ce qui lui était à peine prononçable.

"C'est du... japonais ? Essaya-t-il d'un air peu sûr de lui.

-Les lettres japonaises ne sont pas pareilles que les nôtres, Stanley. Soupirais-je en reprenant ce qui m'appartenait. Mais au moins, tu avoueras que ce qui est à moi n'est pas forcément à toi. Je peux autant déménager dans mon laboratoire que dans le bureau que tu m'auras préparé. En attendant, je ne veux plus m'occuper de tes clients insupportables qui ne savent pas toucher avec les yeux. Quoique cette phrase ne veuille strictement rien dire... C'est vrai. Comment peut-on toucher avec les yeux ?"

Je le voyais souffler à son tour, tout aussi désespéré que moi d'avoir acquis un tel frère. Avec le temps, nous nous y faisions assez bien et malgré nos disputes ce n'était pas comme si nous pouvions nous passer l'un de l'autre même si c'est ce que j'avais aisément fait pendant 40 ans ! D'ailleurs, c'était mon actuelle envie mais il ne m'en laissa pas l'occasion. Se plaçant devant mes affaires, deux mains devant lui, il m'esquissa le sourire que je ne connaissais que trop bien ; celui de la trêve.

"Ok, ok. Nous verrons ça plus tard, promis. Pour l'instant, écoute-moi. J'ai rencontré quelqu'un de génial à la vente aux enchères ! Tu ne devineras jamais ! Il marquait une pause qui diminuait tout mon intérêt pour le sujet. Ebenezer Mc. Duck !

-Le banquier millionnaire ?" Répondis-je en replaçant mes lunettes sur mon nez.

Oui, j'en avais vaguement entendu parlé dans le journal de Storybrooke mais également dans les grandes affaires où il était impliqué. Si l'économie ne m'intéressait jamais énormément depuis la levée de la malédiction, j'en savais néanmoins assez pour connaître ce véritable personnage dans ce domaine. Il était également connu pour son avarice et ses quelques aventures dans le passé. Je ne m'étais jamais porté sur le sujet mais je connaissais parfaitement mon frère. Ce n'était pas étonnant qu'il se soit passionné pour cet homme.

"Il est LE millionnaire de la ville, Stanford ! Dans son monde, on le surnommait "le canard le plus riche du monde" ! Tu te rends compte ? Mc. Duck, c'est comme... Coin-coinspecteur riche et célèbre, soit en mille fois mieux !"


Encore ce feuilleton pour enfants. S'il n'existait pas dans notre monde, heureusement pour moi, Stanley avait pu garder les versions comics et ne se lassait jamais d'en reparler à Dipper et Mabel, pile au moment où je ne souhaitais étrangement pas être dans les parages. Je comprenais néanmoins la comparaison car, comme son nom l'indiquait, Ebenezer Mc. Duck était un canard anthropomorphe avant d'être un humain à Storybrooke. S'il avait demandé à Stanley de me parler, c'est que ça devait être assez sérieux car je n'étais pas de ceux qu'on contactait pour regarder un stupide dessin animé ou pour parler argent.

"Pourquoi veut-il me voir ?

-En fait, il veut plutôt que tu viennes le voir à son manoir. Je lui ai dit que tu travaillais dans tout ce qui était bizarre, paranormal et surnaturelle -

-Tu veux dire un scientifique et investigateur porté sur l'anomalie et l'étrangeté ?

-Ouais, c'est à peu près ce que j'ai dit. Enfin, bref ! Il veut te parler de quelque chose d'étrange, justement, et pour lequel il souhaiterait avoir ton avis."

Mon regard s'illumina. Il fallait commencer par là ! Tout ce qui sortait de l'ordinaire n'attendait pas et c'était toujours avec un grand plaisir que je m'aventurais sur ce chemin mystérieux. Depuis des années j'avais fonctionné ainsi et je m'en sortais encore très bien. Tant que je n'atteignais pas mes 92 ans, je ne comptais pas changer le hobby qui donnait un sens à ma vie. En attrapant ma veste pour quitter la boutique, j'entendis mon frère crier derrière-moi alors qu'un client l'attendait depuis plusieurs bonnes minutes :

"Essaie de m'avoir son numéro, ou glisse-lui le mien ! Qu'on reste en contact !"

Je savais déjà dans quel secteur vivait la famille de Mc. Duck. Un grand manoir à la hauteur de sa fortune quoique sûrement plus sobre que le palais d'Aladdin situé dans la forêt. Je n'avais pas demandé plus de précisions à Stanley et je commençais à le regretter durant le trajet car si j'aimais le mystère, j'appréciais également me déplacer pour quelque chose d'intéressant. Et après tout, que signifiait le mot "paranormal" ou "surnaturelle" pour un homme d'affaires ? J'espérais ne pas avoir à traquer un cambrioleur d'or. Je l'avais déjà fait et ça ne s'était pas très bien conclu.

En arrivant devant un grand portail qui donnait tout son charme à l'habitat, je sonnai sur le seul bouton qui me permettait sûrement d'avoir accès à l'entrée principal. Un grésillement se fît entendre à l'autre bout de l'interphone, suivit d'une caméra qui s'activa avec une petite lumière rouge. J'étais filmé.

"Bonjour... Souriais-je vaguement, ne sachant trop où regarder. Je suis Stanford Pines. Je viens à la demande de Ebenezer Mc. Duck. Puis-je le voir ?"

J'entendis un déclic qui coupa nette la conversation - si nous pouvions appeler cela ainsi - avant que le portail ne s'ouvre d'un angle assez grand pour me laisser passer. Une fois fait, il se referma derrière-moi et c'est les mains plongées dans les larges poches de mon manteau que je longeais le chemin jusqu'à la porte d'entrée. Cette dernière s'ouvrit alors que je passai le seuil.




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________________________________________ 2019-03-24, 17:31


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Vous pensez pas qu'il y a comme un couac ?

Depuis des années, mon sommeil était sans cesse interrompu par un monstre surgit de mon passé ! Un zombie qui m’avait poursuivi durant toute ma vie dans le Monde des Contes et qui m’avait laissé quelques douloureux souvenirs ! Le plus douloureux et le plus cruel de ces souvenirs resteraient sans doute son attaque surprise lorsque, soumit aux ordres de mon pire ennemi Archibald Gripsou, il avait blessé mortellement ma petite Zaza chérie. L’enfant avait survécu à ses blessures et avait même fini par se remettre du traumatisme que lui avait causé sa paraplégie temporaire. Mais si les choses semblaient avoir été réglées en apparence, il n’en allait pas de même dans mon vieux cœur de canard ! Ignorant si Bombie était toujours à mes trousses, même dans ce monde de Storybrooke, j’avais coupé les ponts avec mes petits-neveux dans le but de les protéger. C’était sans doute une sage décision mais elle me coûtait également très chère !

Ignorant si je parviendrais un jour à me débarrasser de cette malédiction, je cherchais désespérément une solution. Elle avait fini par se présenter à moi de manière véritablement cocasse. C’est au cours d’une vente aux enchères que je fis la connaissance de Stanley Pines. L’homme d’affaire c’était rapidement présenté à moi et même si de prime abord je regrettais cette discussion. Se présentant comme un fan incontesté de mon travail, il n’avait eu de cesse de me caresser dans le sens de la plume et me noyant sous les compliments. Un comportement que je ne pouvais que haïr… pourquoi étais-je donc si populaire ? Certes j’avais bâti un empire mais ma profession ne se prêtait pas forcément à briller sous les feux des projecteurs ! Je n’étais pas une starlette narcissique en manque de popularité !

Pourtant, je finis par trouver un intérêt certain à cet échange. Très vite, nous parlions de chasses au trésor et de mystères en tout genre. Stanley en avait alors profité pour me parler de son frère très actifs dans les affaires paranormales. D’après ce qu’il me racontait beaucoup de personnes faisaient appel à lui lorsqu’ils désiraient obtenir des informations sur des objets magiques, des évènements surnaturels dont ils étaient victimes etc. N’était-ce donc pas tout ce que je recherchais ? Une personne capable de me sortir enfin de cette impasse ? J’avais alors sauté sur l’occasion et avait invité son frère pour une petite entrevue au manoir de Jefferson. Ne dit-on pas que la fortune sourit aux audacieux ? J’étais alors repartis tout heureux, consentant même à laisser à mon nouvel ami la main mise sur un joyaux rare que je souhaitais acquérir. Après tout, cet espoir qu’il avait su éveiller en moi méritait bien un petit sacrifice personnel, non ?

C’était donc en cette magnifique journée de printemps qu’il avait finit par se présenter à moi. Lorsque la sonnette du manoir avait retenti, j’avais laissé un sourire éclairé mon visage ! J’appréciais la ponctualité ce d’autant plus que mon temps est presque aussi précieux que mon argent. Il vient un âge dans la vie où l’on s’attache à ce genre de détails qui nous semblaient si illusoires dans notre jeunesse ! Posant les articles de la rubrique économique sur la petite table du salon, je me relevais et me glissais au dehors où je trouvais ma très chère gouvernante Mamie Baba en pleine conversation avec mon invité !

« Je vous en prie, rentrez ! Il vous attendait avec impatience. Permettez que je vous débarrasse ! »


En réalité, elle n’attendit pas réellement sa réponse avant de lui prendre, pour ne pas dire arracher, son manteau. Mamie Baba était une personne extrêmement capable mais ses anciennes fonctions d’agent secret avaient tendance à déteindre sur les bonnes manières et la douceur qui sied au personnel de maison.

« Bien le bienvenue, Monsieur Standford ! C’est un véritable plaisir de faire votre connaissance ! »

Avais-je lancé tandis que je me rapprochais de lui, un sourire profondément marqué sur mon visage ! Car il est vrai que la perspective de retrouver enfin le sommeil me comblait de joie. Après une poignée de main rigoureuse, je lui présentais d’un geste du bras mon salon privé.

« Je vous en prie, venez seulement vous installer au salon ! Mamie Baba veuillez avois l’obligeance de nous préparer du thé et des biscuits que vous viendrez nous servir ! »

Les yeux de ma gouvernante sortir alors de leurs orbites. Jamais encore je ne l’avais précédée dans le service de maison. A croire que cette visite miraculeuse me faisait perdre tout sens commun. Un instant elle demeura hésitante, comme si elle hésitait à me demander si elle devait choisir les biscuits rassis et tremper le même sachet de thé que la veille dans une nouvelle eau chaude. Elle finit cependant par se raviser et se dirigea en direction de la cuisine. De mon côté, je pénétrais à mon tour dans le salon, refermant la porte derrière moi.

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________________________________________ 2019-04-08, 20:59





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Soulevant la manche de mon manteau pour observer les aiguilles de ma montre, je ne souriais pas d'être ponctuel mais plutôt d'être arrivé à l'heure exacte que m'avait partagé mon frère. J'avais pour habitude d'être en avance - si ce n'était trop lorsqu'il était question de mission - mais en recherchant une maison dont je n'avais jamais visité le quartier auparavant, et cela en marchant, je comprenais que les minutes se soient vite écoulées. La poignet de l'immense porte qui se dressait devant moi finit par s'abaisser et j'en fis de même avec ma manche tandis que mon bras passait derrière mon dos, comme à son habitude. Une vieille dame en robe violette se présentait à moi d'un grand sourire poli que je lui rendis avec plaisir. Elle m'ouvrit le passage jusqu'au couloir et attrapa l'épais manteau qui me recouvrait.

"Merci, lançais-je tout d'abord avant de sentir le poids passer de mes épaules à sa portée. Je me souvenais alors de ce que je transportais. Attention, il y a d'importantes armes à l'intérieur, je ne pense jamais à les enlever... L'une d'elles tombait justement d'une de mes larges poches dissimulées, je l'attrapai au vol, manquant qu'elle ne tombe par terre, puis la tendait à nouveau à la gouvernante. Il suffirait d'un quelconque choc et le rayon laser s'activerait avec assez de puissance pour traverser le mur. Je devrais songer à une sécurité..."

Le problème des armes qui se vendaient sur des marchés, c'est que leurs sécurités me dérangeaient justement dans les moments où j'avais le besoin d'être réactif et non prudent. Leur seule utilité fût de m'encourager à imaginer et créer mes propres armes, beaucoup plus puissantes, innovantes, pratiques pour mes mains à six doigts et surtout sans les sécurités contraignantes qui ralentissaient mon efficacité. Lorsque j'étais celui qui maniait ces armes, ça ne posait généralement aucun problème, mais il était peut-être préférable de ne pas laisser quelqu'un d'autre les utiliser. Permettant néanmoins à la dame de les ranger avec mon manteau, je replaçais mes mains derrière mon dos quand une voix surgit vivement de derrière. Un homme d'à peu près mon âge qui semblait en aussi bonne forme que je pouvais l'être aujourd'hui s'avança vers moi d'un grand sourire également. D'une première et brève impression, La Maison Mcduck était un endroit chaleureux et je ne doutais pas d'avoir en face de moi le fameux propriétaire : Ebenezer Mcduck, ou Balthazar Picsou dans un autre monde plus personnifié.

"Appelez-moi Stanford. Répondis-je en lui serrant la main qu'il me tendait. Et sachez que le plaisir est partagé, je ne pensais pas que celui qui était connu comme étant le plus riche de son monde aurait pu nécessiter une quelconque aide de ma part mais il semblerait que l'étrangeté sache toujours réunir les personnes."

Théorie à perfectionner mais qui se valait. Je pensais surtout que les intérêts réunissaient les personnes les plus opposées mais pour cela, il fallait qu'elles se trouvent. Pour ma part, je prenais simplement du plaisir à la découverte, à l'exploration, à l'aventure, au mystère... Je m'épanouissais à prendre des risques et pour le moment, le risque devait se trouver au salon où me conduisit Ebenezer Mc. Duck. Alors qu'il commandait à la gouvernante de nous servir de quoi boire et manger, je contemplait la pièce de haut en bas, observant jusqu'aux détails des objets posés sur les meubles. Le thé allait sans doute apaiser mes sens et peut-être n'était-ce pas plus mal avec la courte nuit que j'avais passée. Néanmoins, j'espérais qu'il ne vienne pas les endormir. Je m'abstenais d'en faire un quelconque commentaire car le travail supplémentaire que je me donnais pour terminer des recherches à temps était sous ma propre responsabilité. J'avais déjà moins dormi que cela.

"Je vous écoute, Mr. Mcduck. Vous pouvez absolument tout me dire je serais une tombe concernant n'importe quelle affaire, ce ne serait pas la première. Mon frère ne m'a donné que peu d'informations mais les mots-clés ne trompent pas. Je sortais un stylo et un bloc-note de la poche de mon jean. Tout détail me sera utile pour fouiller dans ce qui peut déjà être de ma connaissance."




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________________________________________ 2019-04-17, 16:52


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Vous pensez pas qu'il y a comme un couac ?

L’échange entre ma gouvernante et Pines m’amusa grandement. Je faisais pourtant de mon mieux pour dissimuler un rictus naissant sur mes lèvres. Cela m’amusait beaucoup de voir cet homme s’inquiéter de la manipulation des armes par la femme qui se trouvait en face de lui. Si seulement il avait pu se douter que derrière ses cheveux gris et ce minois à présent marqué par les rides se dissimulait en réalité une redoutable agent secrète dont l’intelligence et la bravoure avaient tant de fois été mises à l’épreuves, son discours aurait été tout autre ! Mamie Baba ne broncha cependant pas et aucune grimace ne marqua ce visage voué à la clandestinité. Après tout, elle avait une petite-fille dont elle s’occupait à présent et tous moyens étaient bon pour protéger cet enfant à laquelle elle tenait si profondément. Après tout, qui sait ce que ses ennemis pourraient faire d’elle s’ils venaient à la retrouver ? C’est pourquoi avec beaucoup de modestie, je l’entendis prononcer ces quelques mots.

« Je vous remercie de vous en préoccuper pour moi, monsieur ! Je prendrais donc garde à ne pas blesser qui que ce soit ! »

Le spécialiste de l’occulte s’approcha alors de moi et je l’accueilli avec le charme dont je faisais preuve avec tous mes partenaires en affaires. Je me rendis cependant compte que les clichés véhiculés par nos vies passées avaient la peau très dure. Car bien que l’imposant manoir donnait à penser qu’il m’appartenait en réalité il n’en était rien. Le passage entre le monde des Contes et Storbrooke avait été bien cruel avec certaines personnes. Dans mon cas, cette ville m’avait retiré toute ma fortune et mon très cher coffre-fort auquel je tenais comme à la prunelle de mes yeux. Aujourd’hui je reconstruirais ma fortune avec beaucoup d’implication mais il se passerait bien des années avant que je ne puisse accueillir quiconque au manoir McDuck. C’est pourquoi je grinçais légèrement des dents en l’entendant parler de moi en utilisant l’étiquette « Riche ». Je ne pouvais cependant pas lui en tenir rigueur, comment aurait-il bien pu le savoir ? A la place, je préférais donner une explication sur l’étrange rictus qui était né sur mes lèvres.

« Vous pensez réellement que l’argent nous permet de nous rendre intouchables face aux difficultés de la vie ? Si tel était le cas, notre existence serait d’un ennui mortel ! »

Ne tenant pas réellement à lui donner des explications de couloir sur ce qui m’avait poussé à faire appel à ses services, je lui proposais de passer au salon. Après tout, ne dit-on pas que les murs ont des oreilles ? J’avais beau avoir confiance en Sacha et Jefferson, j’avais moi-même de nombreux autres détracteurs dans cette ville. Des ennemis qui ne cracherait pas sur l’argent qu’ils devraient investir pour engager des espions dans l’espoir de me désarçonner. Ce ne fut qu’une fois installés au salon que je consentis enfin à divulguer ces précieuses informations. Réfléchissant quelques minutes aux propos que j’allais lui tenir, je profitais pour rebondir sur ses propos.

« Je vous remercie pour votre engagement et même si je doute que votre frère sache faire preuve d’objectivité à votre égard, je suis persuadé que vous ne me décevrez pas ! Bien alors commençons… comme vous le savez je suis un grand homme d’affaire et je n’ai que rarement eut l’occasion de regretter mes entreprises ! »

Je prétendais que je lui faisais confiance et cela était exact ! Cependant, je me devais de tester son expertise avant de lui en apprendre plus sur ma malédiction personnelle. Ainsi je ne saurais que mieux les histoires dont je pouvais me permettre de lui parler.

« Bien avant de commencer, j’ai une question à vous poser ! Que savez-vous exactement de la religion vaudou et des zombies plus particulièrement ? »
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________________________________________ 2019-06-25, 00:25





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Je laissais mon manteau de toute saison à la gouvernante avec la surprise de voir qu'elle ne fût pas moins étonnée d'y voir un pistolet à l'intérieur. C'est d'un sourire curieux que je lui tournai le dos, songeant que les étrangetés étaient peut-être un quotidien dans cette maison. Je ne devais pas me fier qu'à l'apparence, peut-être que Mr. Mcduck ne m'avait pas simplement appelé sous la panique d'un événement inhabituel - comme j'avais pu en voir certains - mais dans la réflexion sage de demander un coup de main. En m'avançant vers le propriétaire du manoir, je tentais de ne pas trop en faire dans mes propos. J'étais prêt à me laisser surprendre par le fameux personnage dont je ne connaissais que le nom.

"À vrai dire, lançais-je tandis qu'il me guidait jusqu'au salon, je n'ai jamais réellement compris la valeur de l'argent - au contraire de mon frère -. J'aime l'idée de savoir les choses plus difficiles d'accès lorsqu'on en a pas, mais je dois avouer qu'il ouvre beaucoup de portes que je ne passerais sans doute jamais. Si vous avez pu combiner le goût du risque à la sécurité d'un empire, vous avez alors trouvé l'équilibre parfait."

Je ne sais par quelle manie j'avais à toujours observer dans les détails ce qui se trouvait autour de moi mais cette même manie me reprenait pendant que je parlais. J'en revenais finalement au sujet initial car si j'étais ici, ce n'était non pas pour l'argent mais pour le risque, et j'étais bien meilleur pour discuter sur cet autre sujet-ci. Ainsi, je me permis de prendre les devants avant de jeter un froid sur un domaine qui n'est pas le mien, et le laissa m'expliquer en quoi je pouvais aider.

"Je ne doute pas de vos compétences sur ce point-là." Répondis-je sagement en l'écoutant.

J'avais sorti mon cahier et mon stylo - éléments nécessaires lorsque je travaillais pour trier mes idées - et attendais avec patience que Ebenezer Mc. Duck me fasse un descriptif de la situation, seulement il préféra en premier lieu que je soumette mes propres informations concernant la religion vaudou et les zombies. Je pris un temps à reclasser ces deux notions, comme si ma mémoire avait archivée par ordre alphabétique chacune d'elles. Non, par ordre alphabétique serait un concept de tri trop simple. Disons par domaine scientifique eux-même classés par genre... Puis par ordre alphabétique - même si nous pouvons finalement les retrouver à différents endroits car la science relie plusieurs d'entre elles.

"La religion vaudou et les zombies, dites-vous ? Répétais-je pour y songer. Et bien, le vaudou est un sujet bien vaste en général, utilisé pour à peu près n'importe quoi, on finit par en oublier les fondements. Même dans la religion, elle diverge. Le vaudouisme haïtien mélange, par exemple, les origines du vaudouisme d'Afrique avec le folklore religieux chrétien. Sur Terre, la religion vaudou provient d'Afrique et je m'y intéresse beaucoup pour les rituels qui y sont traités puisqu'étant une culture animiste, on retrouve certaines affaires de réanimation d'êtres vivants ou de communication avec les esprits... Ils ont créé pas mal de problèmes, fût un temps, après un rituel mal mené par un groupe de jeunes pratiquants - mais ils ne savaient pas ce qu'ils faisaient et ce n'était pas dans ce monde-ci. Je semblais m'emporter dans des souvenirs lointains. Pourtant, nous étions sur Terre aujourd'hui et la religion fonctionnait différemment. Je ne devais pas l'oublier. La religion vaudou a beau exister ici, elle nécessite une certaine énergie à haute quantité pour fonctionner c'est pourquoi les pays occidentaux s'en détachent. On ne croit que ce qu'on voit, dit-on... Pourtant, ne pas voir ne signifie pas pour autant que ça n'existe pas." Je conclus par un haussement d'épaules.

Je réfléchis ensuite au second terme que le vieil homme avait utilisé en me demandant de l'expliquer.

"Pour ce qui est des zombies, et bien... Je n'aime pas trop le terme employé car en soi, on ne parle que de revenants, mais je comprends où vous voulez en venir. J'ai eu affaire à des zombies à plusieurs reprises, c'était chose plus courante que prévue à Gravity Falls. On parle ici d'une résurrection d'un être humain mais concernant à ce qu'on peut penser ils ne sont pas si teigneux et affamés qu'on peut le penser. Encore une fois, ça dépend d'où exactement ils proviennent et ce qui les a créé. La science a déjà réussi à quelques reprises mais ce n'est jamais pour bien longtemps - on parle de revenants éphémères -. La magie, par contre, a cette mauvaise manie d'être mal employée... Et les rituels religieux peuvent en faire partie quand on contrôle mal l'énergie employée. Dans les autres cas, on parle de malédiction, dont une que mon petit neveu avait utilisé une fois mais heureusement, elle était inoffensive. Les revenants n'avaient pas comme objectif de réduire à néant la population par de vives pulsions destructrices.

Ça m'apprendra à noter toutes les malédictions sans les avoir crypté avant. Heureusement que mon petit neveu, sa sœur et Stanley avaient su être combatifs sur ce plan-là. J'avais cru comprendre que dans d'autres cas bien plus graves, les zombies avaient une tendance beaucoup plus dévoratrice, ce qui lorsqu'on savait de quoi on parlait. Justement, j'attendais de savoir le lien entre ces deux sujets et ayant terminé de répondre aux questions d'Ebenezer Mc Duck, je me permis d'en poser une à mon tour.

"Est-ce donc la situation dans laquelle vous vous trouvez ? Est-ce que par un rituel vaudou vous vous êtes trouvé happé par des êtres revenus à la vie ? Ou bien traite-on d'être revenus à la vie qui ont formé un rituel vaudou ? Le second cas est moins plausible mais je ne retire pas l'hypothèse qu'elle soit déjà arrivée. On ne sait jamais ce qu'on trouve en ville..."





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