« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver.
Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)


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 Un problème? Appelez Saul Goodman ! [Eulafifimichakikadou]

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Fallen.

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________________________________________ 2018-05-25, 14:50

“Un maison en chocolat ! ”






« C’est le meilleur appartement de tout Storybrooke ! Vous verrez ! Vous vous y sentirez comme chez vous ! »


Observant l’ agent immobilier qui lui semblait un peu véreux sur les bords, Michel-Ange croisa les bras au milieu de l’appartement. Il était vide, mais pour deux, ça ferait parfaitement l’affaire. Cela faisait maintenant quelques temps qu’ils avaient réfléchis. Figue voulait changer d’air, et lui, Michel-Ange en avait complètement marre de ses frères. Il voulait un lieu pour lui. Alors quoi de mieux qu’une superbe colocation avec Figue ? Ils s’étaient lancé dans ce projet, et après quelques disputes, ils s’étaient mis d’accord pour visiter plusieurs appartements. Et celui là semblait parfait ! Bien plus parfait que l’homme qui le regardait avec son dossier sous le bras.

« Alors, il vous plaît ? »


Observant les pièces en détails, ce loft était plutôt grand. Il disposait de 3 chambres, plus un petit bureau, avec une immense pièce à vivre. C’était très lumineux, et agréable. Les tortues, ça avait besoin de lumière. Hochant la tête et souriant comme un débile, comme à son habitude, il déclara :

« Ouais ! Il m’plaît ! Mais faut attendre encore un p’tit peu que ma future coloc vienne ! Elle est en retard. Elle me saoule. Elle saoule tout l’monde en fait. Mais faut pas lui dire. »


L’homme haussa un peu les sourcils et finit par lui dire :

« Ouais, les nanas sont comme ça ! Vous êtes un malade Monsieur Turtles ! Vivre si jeune avec votre p’tite amie alors que la vie est si longue ! Vous vous mettez la corde au cou ! Foi de Sull Goodman ! »


Puis, il le montra avec son index comme si il était dans une publicité. Qui avait pris ce guignol ? Figue ? Lui ? Non c’était Figue, ça pouvait que Figue. Quand les mauvaises décisions étaient prises, c’était toujours Figue. Observant l’homme d’un air surpris, il passa sa main derrière sa nuque un peu gêné.

« C’est pas ma copine, c’est juste ma coloc en fait. »


Sull Goodman l’observa un long moment puis se mit à éclater de rire.

« Bien sûr ! Et si y’a quelques suppléments, ça vous f’ra pas d’mal ! »


Michel-Ange se mit à réfléchir. Oui ca lui avait passé à l’esprit. Après tout, il était magnifique, et Figue aussi. Forcément, ils allaient devoir coucher ensemble. C’était quasiment une obligation. C’était même pas de la logique, c’était de l’instinct de survie. Pour faire des enfants parfaits, fallait bien un parfait et une femme parfaite ! Ca se passerait forcément comme ça. Par contre, Michel-Ange remarqua que cet homme était quand même un gros beauf. On était pas obligé de coucher avec ses colocs ! N’importe quoi ! Il voulut lui faire la remarque, que la porte s’ouvrit à la volée et que deux filles supers complices et surtout supers canons rentrèrent dans la pièce. Elles semblaient ricaner d’un truc qu’elles avaient dit plus tôt, et gloussèrent en l’observant. C’était qui l’autre ? Non parce que l’une, il l’a reconnaissait, mais l’autre ? Ah ! Oui ! Eulalie. Il l’avait rencontré deux fois, et la dernière fois, elle lui avait cassé la gueule. Qu’est ce qu’elle faisait là ? Il n’était pas Sherlock Holmes, mais il l’a vit commencer à regarder les pièces et à se projeter ! Oh ! C’était quoi l’embrouille là ! C’était la coloc de FIGUE et MICHMICH ici ! Pas celle d’Eulalie ! Sans prévenir, il prit Figue par le bras et l’entraîna dans une pièce adjacente.

« Hé ! T’es malade ! On peut pas la prendre avec nous ! Elle est trop bien gaulé ! J’vais saigner du nez tout le temps si elle se balade en sous-vêtements ! T’y as pensé à ça ? Mais non ! Comme d’habitude, MADAME FIGUE A ROW NE PENSE QU’A SES MOUSTACHES ! MADAME EST EN RETARD, GLOUSSE SUR CE BRAVE MICHMICH ET L’IGNORE COMME SI C’ETAIT LA NOUVELLE SA MEILLEUR AMIE ET PLUS LE SUPER GENTIL MICHMICH ! »


Dans l’autre pièce, Sull Goodman leva les sourcils, puis adressa son sourcil le plus charmeur à Eulalie avant de lui dire en tendant la main :

« Et bien ces deux là sont fait pour s’entendre. Si vous cherchez un logement, j’ai un lit à partager… Je plaisante haha ! Sull Goodman, pour vous servir. »





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"Qu'est-ce qu'elle me veut encore celle-là..."
"Coucou TortueMan, je t'ai manqué ?"


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"Je sais que j'ai une mauvaise réputation
mais de là à garder une distance de sécurité..
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________________________________________ 2018-05-30, 15:08


Pourquoi elle s'énerve la tortue ?
La colocation la plus géniale de tous les temps.


Vivre avec Figue était une expérience aussi enrichissante que déroutante. Ses habitudes étaient à l'opposé de ce à quoi j'avais été habituée. Non pas qu'une telle constatation me dérangeait, mais j'avais du mal à m'adapter, parfois. Le quotidien en sa compagnie était rythmé par des séances obligatoires de dégustation de chocolat ou de toutes autres pâtisseries – choses que j'appréciais même si je lui en laissais la plus grande partie. Souvent, je la couvrais aussi auprès de nos collègues lorsqu'elle ne désirait pas terminer ses heures de travail. Ça me semblait être naturel de lui rendre ce service puisqu'elle acceptait bien de m'accueillir. Et aujourd'hui, une simple sortie avait prit une tournure inattendue. Je n'avais pas encore eu le temps de me faire à cette vie que déjà, elle subissait un changement radical.

« Votre blague n'était pas drôle. »

Abandonnée dans le salon vide, j'avais suivi du regard Michel-Ange lorsqu'il avait attrapé Figue en oubliant toutes règles de politesse. Je me retournais en direction de ce Monsieur Goodman, serrant sa main un peu trop brusquement dans la mienne.

« Eulalie. Et je n'ai pas besoin qu'on me rende de services, merci beaucoup. »

Je le lâchais, m'animant soudainement pour visiter le reste de la propriété. L'appartement était spacieux, agréable. Je l'aimais bien. Il aurait été encore plus plaisant d'en ouvrir toutes les portes afin d'examiner chaque pièce sans les cris remontant à mes oreilles. Il n'était pas très gentil avec Figue, de ce que je percevais. Pourquoi est-ce qu'il parlait si fort ? Elle n'avait aucun problème d'audition à ma connaissance.

J'étais entrée dans la pièce dénuée de meubles où ils s'étaient dissimulés, adressant un regard interrogateur au jeune homme.

« Bonjour. »

Voilà, c'était comme ça qu'il était supposé me saluer, pas en m'ignorant totalement.

« Tu ne devrais pas lui parler comme ça. »

Ce n'était ni un ordre ni une demande, plutôt une constatation. Elle était adorable, il n'avait aucune raison de l'agresser.

« On habite déjà toutes les deux. Je n'ai plus de maison, j'ai été... mise à la porte. » précisais-je avec une moue embêtée, avant de secouer la tête.

Il n'avait pas besoin de savoir tous les détails. Il y avait bien Olympe, mais c'était trop vaste. Trop désert. Je ne voulais pas me retrouver seule. Le fait de me rajouter un autre colocataire ne me dérangeait donc absolument pas. Je le connaissais déjà, en plus de cela, et je l'appréciais. J'espérais juste qu'il éviterait de regarder plus bas que mes yeux de manière trop intense et trop régulière.

« Je ne me baladerais pas en sous-vêtements si cela risque de te causer des dommages cérébraux. Et je prends cette chambre. »

Je jetais un regard global à la pièce, affichant un sourire satisfait. C'était sans doute la plus petite. Je n'avais même pas besoin d'y mettre un lit, en théorie. Je le ferais quand même. C'était sa proximité avec la cuisine qui me paraissait être idéal. Et je ne risquais pas de les réveiller quand je me retrouverais réveillée alors qu'ils dormiraient.

« Est-ce que je suis vraiment ta meilleure amie ? »

Je m'étais retournée subitement vers Figue, intriguée par la réponse qu'elle pourrait apporter. Après tout, je ne m'étais jamais posée la question, j'avais du mal à comprendre les implications de cette notion. J'imaginais que je pouvais la considérer ainsi. C'était celle dont j'étais la plus proche, actuellement.

« J'aime bien cette idée. »

« Alors mesdemoiselles, qu'est-ce que vous en pensez ? »

« Vous prenez les paiements en liquide ? »

Pivotant totalement pour faire face à ce monsieur - comment il s'appelait, déjà ? - j'affichais un air quelque peu perdu. Je ne savais pas comment fonctionnait ces choses-là. Je devais lui donner de l'argent, d'ailleurs ? Je n'avais que des billets. Jules m'avait montré comment me servir d'une carte, mais je n'avais aucun compte bancaire à mon nom.

« Ou en nature ahah ! »

Je fronçais les sourcils, perplexe. Je n'allais pas lui donner des fleurs quand même.

« C'est... encore une plaisanterie. » jugea-t-il utile de rajouter.

« Vous devriez arrêter d'essayer d'être amusant. »

J'avais beau avoir un sourire compatissant, je doutais que ma réplique ait été très bien reçue en vue de son expression.

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________________________________________ 2018-05-31, 21:14








Une coloc mortelle !


« Bienvenue dans la coloc de l'extrême Un problème? Appelez Saul Goodman ! [Eulafifimichakikadou] 3771730908 »


Mon plan était absolument PAR-FAIT. Je ne pouvais pas habité avec Eulalie dans mon château en bonbon et en chocolat. C’était un peu trop tentant, et j’allais finir folle avec autant de sucreries autour de moi. Et même si mon lit à guimauve était extrêmement confortable, il collait un peu à mes cheveux. Alors, quoi de mieux que d’habiter avec les deux personnes ayant le PLUS DE CHANCE au monde de m’avoir auprès d’eux !

MichMich, parce que c’est MichMich et qu’en cas de besoin, je dois TOUJOURS l’avoir sous la main. Et puis, il était marrant, on pouvait faire plein de bêtises ensemble. Et, une personne digne de raison... Eulalie ! Bah oui, faut bien une maman, dans le lot et je pense qu’elle peut en faire office. Mais genre la maman IN trop cool tu vois. Ou la grande sœur responsable. Et en plus... POINT ESSENTIEL, je pouvais aller dormir avec elle pendant qu’elle me faisait des papouilles sur la tête et ça.. CA c’est important.

Je l’avais donc traîné avec moi pour visiter l’appartement. Elle n’avait pas été dure à convaincre, forcément, on ne refusait pas de vivre avec la magnifique, la splendide et la géniale Fifi. En plus, l’appartement était grand, c’était parfait ! Mais voilà.. VOILA THE PROBLEME. Tout le monde veut Fifi trop fort. Je comprends, je peux pas en vouloir à MichMich.

- COMMENT CA ELLE EST TROP BIEN GAULÉE ?!! EH TU LA REGARDES PAS ELLE EST A MOI !! ET TOI T’ES A MOI !! TU LA TOUCHES PAS !!

Et voilà ce à quoi je n’avais pas réfléchis. Il fallait limiter les interactions entre eux ! Ils étaient tout les deux à moi, ils n’avaient pas le droit de me remplacer par l’autre ! C’était pas juste, ils seraient pas assez méchant pour ça, si.. ?

- MAIS SI T’ES TOUJOURS MON SUPER MÉGA TROP COOL COPAIN ! Mais regarde, comme ça, je serais pas obligé de venir dormir avec toi ! J’aime pas dormir toute seule et quand j’essaye de venir dormir avec toi, tu mets du sang partout dans mes cheveux ! Et t’as les mains baladeuses ET PAS QUE SUR MA TETE ! Alors comme ça, la nuit, tu seras pas obligé de me papouiller, ce sera Eulalie qui le fera ! Tu vois, c’est un plan PAR-FAIT ! Parce que je suis trop maligne, eh ouais !

Quelques instants plus tard, Eulalie entra dans la pièce pour nous rejoindre. Et comme une super méga copine, elle prit ma défense. Aaah, je savais que j’avais bien fait de la prendre, elle était de mon côté et je l’aimais comme elle m’aimait. Donc elle est à moi. Compris ?! Personne s’approche d’elle, à par moi.

- Ouiiii, en plus elle prendra toujours ma défense pendant les disputes ! Hein c’est vrai Lalalie que tu prendras toujours ma défense ?!

Je sautillais jusqu’à ses bras, avant de me tourner vers MichMich qui faisait une drôle de tête. On dirait qu’il attendait que son nez saigne, mais que rien ne sortait. Zut, si ça bouche dans le pif, son cerveau va exploser. Mais.. Comme il a pas trop de cerveau, ça ira pour lui non ? Ou il était peut être jaloux. Rooooh.

Pour équilibrer la balance, je sautillais de nouveau vers lui avant de me pendre à son cou à son tour. Comme ça, tout le monde aura eu le super câlin de la super Fifi. Une fois les pieds de nouveau par terre, je me retournais vers Lalalie suite à sa question.

- Bah oui ! Vous êtes tous les deux mes meilleurs amis.. PAR CONTRE !! Si vous voulez pas connaître la FURIE TORNADE FIFI.. Vous êtes mes meilleurs amis A MOI ! A personne d’autre. C’est qu’à moi de moi, d’accord ? Vous allez pas être amis avec d’autre, y’a que moi ! Et vous êtes proches pas trop aussi hein ! C’est moi que vous préférez TOUT LE TEMPS ! Sinon je boude. Et je pleure. Et je fais la grève de la faim. Et je sors plus jamais de son ma couverture.

Appuyais-je en secouant la tête positivement, de grands yeux ouvert au bord des larmes. Je regardais MichMich puis Eulalie, avant de tendre mon petit doigt. Personne brisait ce genre de promesse, s’ils la brisaient, bah ce seraient plus mes meilleurs amis, et ils me briseront le cœur. Et ça.. Et ça.. ET CA C’EST PAS GENTIL.

- Jurez avec votre petit doigt ! Si vous mentez, vous... Mourrez ! Enfin peut être moins radical.. Si vous mentez ou que vous trahissez la promesse, vous... Ne pourrez plus manger de chocolat DE VOTRE VIE !

Là, j’étais sûre qu’ils ne trahiraient pas cette promesse. C’était trop horrible de plus manger de chocolat de sa vie, moi je préfèrerais mourir. Donc, j’attendis que chacun mette son petit doigt. Un... Deux... Trois.. Q.. Quatre ?! Je levais les yeux vers l’homme qui venait de s’incruster dans notre petite discussion. Je le fusillais du regard, avant de me planter en face de lui.

- C’EST PAS POLI D’ECOUTER LES DISCUSSIONS DES AUTRES !! AVEC CA, VOUS ALLEZ NOUS FAIRE AU MOINS UNE REDUC !!

En fait, j’m’en fichais, parce que c’était pas moi qui payait. Comment ça c’était pas prévu de base ? Bah quoi, moi j’ai juste assez d’argent pour survivre, je vais pas en plus payer des endroits où vivre ! Les gens ont déjà la chance de me côtoyer, c’est déjà pas mal ! Mais l’instant d’après, je croisais le regard de MichMich. Il avait suffit d’une seconde pour que la plus grande course poursuite s’engage. Je fusais vers les deux chambres qu’il restait, visant la plus grande avec salle de bain. Poussant MichMich sur le côté, je piquais un sprint vers la victoire.

- DEGAGE ELLE EST POUR MOI !!!

Ouvrant la porte en trombe, je sautais sur le lit, en position étoile de mer. C’était pour moi, c’était la mienne personne ne me la prendrait et certainement pas MichMich. Il serait pas aussi méchant pour me voler ma chambre ? Parce que j’étais sur le lit la première. Et de toute manière, s’il essayait de me la piquer, je viendrais dormir ICI en porte jartelle JUSTE POUR L’EMBÊTER !

- Bon, on s’installe quand ?!



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________________________________________ 2018-06-04, 17:02

“OH MON DIEU J'AI TUE EULALIE ! ”







Michel-Ange regarda Figue s’étaler sur le lit et demander quand est-ce qu’on emménageait ? Puis, ses yeux se portèrent sur Eulalie. Dans son regard, on pouvait y lire une profonde réflexion. Puis, finalement, au bout d’une réflexion assez courte, il lui tendit la main avec un sourire jusqu’aux oreilles.

« Personne n’a le droit d’être mis à la porte, surtout maintenant qu’on s’connaît. Ca n’arrivera plus, c’est une promesse ! Bienvenue ma super coloc ! »


*** Le lendemain. ***

« YEEEEEEEEEEEUUUUUUUUUUUUCCCCCCCCCCCHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH »


Hissant un énorme carton dans les escaliers en courant, Michel-Ange le plaça sur la balance improvisée qu’ils s’étaient fait au milieu du salon. Le carton indiquait clairement 170 kg. Ben quoi, merci le mutagène non ? Posant le carton et levant les bras au ciel en signe de triomphe il déclara :

« Et paf ! Remonte ton slibard Eulaloche ! Michmich 1, l’Amazone 0 ! »


Puis, il plissa les yeux pour fixer le tableau à craie. Sur ce dernier, on pouvait y lire le concours de « Celui/Celle Qui Portera le Plus Lourd. » On y lisait clairement :
- Figue : 250g (de chocolaaaaat)
- Michmich 170kg
- Eulalie 648kg

« Quoiiii ? Mais comment on peut soulever 648kg ? »


Tournant la tête, il remarqua qu’elle avait monté son piano. Ah, effectivement. Se grattant la nuque, il effaça les résultats. Elle avait gagné, autant jouer à un autre jeu. Tournant la tête vers ses deux colocs, il remarqua que tous les cartons avaient été montés. Plaçant ses mains sur ses hanches, il remarqua que Figue était encore dans le canapé. Elle avait insisté pour qu’on le monte en premier… Il avait compris pourquoi. Ca ne le dérangeait pas le moins du monde, bien au contraire. Eulalie et lui était assez costaud pour déménager une caserne. Mais c’était par principe. Voyant qu’elle ne bougeait pas, il lui donna un petit coup de pied chamailleur sur les genoux.

« Bouge ton cul, faut vider les cartons ! »


Se dirigeant vers ses cartons, il ouvrit le premier, puis le referma d’un geste sec. C’était sa collection de DVD et de magasine porno vintage. Prenant le carton avec soin, il le hissa sur son épaule et se dirigea vers sa propre chambre, celle située juste en face de celle de Figue. Revenant au pas de course, il en ouvrit un deuxième. Oh ! Ses nunchakus ! Cela faisait tellement longtemps ! Les faisant tournoyer, il monta sur le canapé en beuglant :

« YATTTTTAAAAAA »


Voyant que toutes les deux étaient occupées, il les jeta sur la moquette. Il les rangerait plus tard. Se mettant accroupi, Michel-Ange observa un petit moment le carton où l’on pouvait lire « ATTENTION PROPRIETE EXCLUSIVE DE FIFI NE PAS TOUCHEY ». Roulant des yeux, il l’ouvrit sans ménagement et…

« WAOUWHHHH ! »


Se tournant vers les filles, l’ancienne tortue pointa l’arme de service de Figue sur Eulalie en ricanant.

« Haut les mains, canaille ! »


PAN. La détonation retentit dans tout l’immeuble et la balle partit droit vers l’Amazone. Lachant l’arme, ses mains attrapèrent ses cheveux et il commença alors à pleurer à chaude larme, au bord de la crise de panique :

« J’AI TUE EULALIE ! MON DIEU J’L’AI TUE FIGUE PARDONNE MOI J’VOULAIS PAS ! »





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________________________________________ 2018-06-07, 21:30


I'm a survivor !
I'm gonna make it, I will survive.


J'avais très mal, d'un coup. Ça ne pouvait pas être dû aux nombreux cartons portés ou même au piano – il était encombrant et difficile à passer dans les couloirs, mais son poids n'était pas un problème. Je ne ressentais jamais la moindre courbature. J'étais habituée à pire comme exercice physique. Alors pourquoi... pourquoi est-ce que j'avais très mal ?

« Je ne suis pas morte. »

C'était un fait. Il ne m'avait pas tué. Il ne le pouvait pas, aussi fort puisse-t-il être. Parler me fit néanmoins grimacer alors que, par automatisme, ma main se portait à mon ventre. C'était poisseux. Je connaissais ça. L'odeur, aussi. Et je comprenais un tout petit mieux d'où venait la douleur, faisant le lien avec la détonation et l'arme à même le sol. Mes yeux se baissèrent pour voir le sang s'accrocher à ma main à travers le tissu. Ce n'était pas agréable. Je fronçais les sourcils, déliant mes doigts.

« Tu as fais un trou dans ma robe. »

J'ignorais ce qui me poussait à faire cette constatation. Ma respiration s'accélérait et j'avais chaud, d'un coup. Mais je n'aimais pas ça. Ce n'était pas profond, je le sentais, ça n'avait rien touché. Mon rein y avait échappé de peu. Je tenais encore sur mes jambes. Même si elles tremblaient. C'était la première fois qu'on me tirait dessus. La première fois qu'on me touchait, surtout. La première fois que je saignais autant. Je m'en sentais à la fois étrangement enthousiaste et dérangée.

Figue s'était précipitamment levée pour retirer la main que je tenais contre la plaie, y mettant ses doigts sans réfléchir plus longtemps. Est-ce qu'elle avait une formation d'infirmière que j'ignorais ? Ou est-ce que c'était juste un drôle de fantasme qu'elle réalisait ? Elle s'acharnait, la gêne que ça me procurait ne m'aidant pas à rester indifférente à ce qui se passait.

« MAIS VOUS AVEZ CRU QUE VOUS ALLIEZ ME BERNER AUSSI FACILEMENT ? »

Son cri m'arracha un sourire. Elle prenait la situation pour une farce, ce qui était le cas, sans doute, d'une certaine façon. Pourtant, ni Michel-Ange qui continuait de pleurer, ni moi, ne prirent la peine de lui annoncer joyeusement que tout était faux. Parce que ça ne l'était pas. Son visage se décomposa. Elle était bien trop pâle, d'un coup. Elle ne bougeait plus. Qu'est-ce qui lui arrivait ? Je la regardais avec plus d'inquiétude que je n'étais concernée par mon propre état alors qu'elle tombait au sol sans dire un mot de plus. Elle venait de faire un malaise ?

« Je... »

C'est que ça faisait vraiment mal.

« Elle n'est pas morte. Elle est tombée dans les pommes. Michel, s'il te plaît, arrête de paniquer. »

Pourtant, la situation était bien trop déroutante pour qu'il puisse avoir une autre réaction que celle-ci.

« Appelle une ambulance au moins ! Pour Figue ! »

Le fait de la voir ainsi m'angoissait. Je ne voulais pas qu'elle aille mal. Surtout pas juste parce que j'avais... une grosse égratignure. J'avais voulu me baisser pour me mettre à ses côtés mais ma peau se déchirait au moindre mouvement. Le mieux était de rester stoïque. Je lâchais peut-être quelques larmes, mais c'était à cause de Michel-Ange qui n'arrêtait pas à côté de moi et qui arrivait à me faire ressentir son stress d'une façon remarquable.

« Qu'est-ce que c'est que ce bordel ? »

Sauvée par le garde. Si au départ, j'avais préféré éviter de le convier, même si son pouvoir de téléportation aurait été des plus pratiques pour déménager, j'avais supposé que l'appeler était la meilleure des choses à faire.

« Qu'est-ce que t'as fait ? »

Moi ? Rien du tout ! Il ne le voyait pas à mon air désemparé que je n'étais pas le moins du monde responsable de ce qui se passait dans cette pièce ? Il avait l'air aussi perturbé que nous. J'aurais dû faire appel à Apollon. Ou bien à Athéna, elle était beaucoup plus mature. Et elle savait gérer les blessures avec efficacité. Elle n'avait jamais été jusqu'à m'enfoncer son épée dans le ventre, mais elle aurait peut-être dû pour me montrer ce que ça faisait.

« Enlève la balle. »

Je grinçais des dents, m'appuyant de ma main libre sur le bras du canapé. Je ne pourrais pas cicatriser tant qu'elle serait à l'intérieur, pas de façon efficace, et j'avais essayé de l'attraper sans y parvenir. C'était déjà assez difficile comme ça, si il était là, autant qu'il se montre utile.

« Quelle balle ? Où ça ? »

Si Basile était adorable en temps normal, j'avais parfois très envie de le secouer dans tous les sens. Il avait été capable de m'empêcher de perforer le corps de Balthazar à coups de flèches, mais il se montrait très lent à comprendre ce qui se passait, là, tout de suite. Ma main pleine de sang alla agripper la sienne, la plaçant pile à l'endroit où je commençais doucement à souffrir le martyr.

« Oh putain, je vais faire un malaise moi aussi ! J'ai pas fais médecine ! »

Il fermait les yeux en mettant la tête en arrière, ne regardant même pas ce qu'il était en train de faire. Parfait. J'avais appelé le pire des soigneurs possibles. Basile savait garder des secrets, il n'avait rien dit pour ma crise de la dernière fois, tout comme il ne raconterait à personne ce qui se passait ici. Il était plus prudent que les dieux, tout comme Hypérion, ignore qu'un humain avait tiré sur ma personne – pire, qu'il m'avait touché. Je n'avais pas pensé à l'éviter. Je n'imaginais pas qu'une telle scène puisse se produire, en réalité. Je n'en avais pas honte, c'était au contraire une expérience qui m'apprendrait à être plus prudente, à l'avenir. Tout comme elle me permettait de savoir ce que ça faisait, de recevoir une balle. Mais... Il était mieux qu'ils ne le sachent pas quand même.

« Faut que tu choisisses mieux tes fréquentations tu sais. »

Je lui adressais un regard noir qui le fit se taire immédiatement. Il s'appliquait du mieux qu'il le pouvait, je n'allais pas aller jusqu'à le gifler, mais il n'avait pas le droit de critiquer les personnes avec qui j'habitais maintenant. Ni celles avec qui j'avais pu habiter avant.

Je sentais clairement qu'il finissait par parvenir à faire ce que je lui avais demandé, me mordant l'intérieur des joues alors que la balle sortait. C'était aussi désagréable que se faire lécher la main par Grand Sourire. Peut-être moins, cela dit. Ce n'était pas aussi écoeurant.

« Bingo ! Je gagne quoi ? »

« Tais-toi. »

Ma main s'accrochait à lui un peu trop fortement, le faisant grimacer lui aussi. Quel spectacle nous devions être en train de donner. Je respirais plus profondément, libérée par l'absence de ce corps étranger dans mon organisme.

« Est-ce que je dois désinfecter avant de mettre... quelque chose ? »

C'était sans doute une question stupide. J'étais tellement habituée à m'occuper des blessures des humains que ça me paraissait logique, mais je ne risquais pas de tomber malade ou de devoir me faire amputer. Je finissais par déchirer un bout de ma robe, plaquant de manière un peu trop brusque le tissu contre le trou que j'avais à présent dans le ventre. Même si le plus gros était fait, ça ne s'arrêtait pas de saigner.

« Je vais bien. Tout va bien. »

Je n'étais pas certaine que ça suffise à rassurer mon nouveau colocataire mais je ne voyais pas quoi dire d'autre. Sentant que mes jambes avaient envie de se reposer, je me laissais simplement glisser par terre, m'adossant maladroitement contre le canapé. Le sol était relativement confortable. Je m'en contenterais pour l'instant.

« Basile, Michel-Ange. Michel-Ange, Basile. C'est... un ami, déménageur, taxi, garde d'Olympe. »

Voilà, ça, ça aiderait à détendre l'atmosphère. Les présentations rendaient toujours plus légères les conversations.

« J'aime pas trop quand tu me présentes comme ça. »

Je l'ignorais, lui indiquant Figue d'un geste de la tête. Et même si il n'aimait pas ça, il était foncièrement serviable et gentil. C'était ce que j'appréciais chez lui. Avec sa franchise parfois déplacée. Il ne tarda pas à la porter pour la remettre sur le canapé alors que je n'osais toujours pas bouger. J'étais très bien ici, à attendre. C'était moins douloureux.

« Elle va bien ? »

Il afficha une moue, haussa les épaules, sans doute incertain.

« D'accord... Un verre de lait. Une tablette de chocolat. Un plaid. »

« T'es sérieusement en train de me faire ta liste de courses ? »

« Peut-être. »

Je souriais du mieux que je pouvais en le regardant alors qu'il secouait la tête. Il disparu un instant, mais je savais qu'il allait revenir rapidement.

« Je crois que tu ne devrais plus t'amuser avec ces choses-là. C'est dangereux. Tu aurais pu te faire mal. Ou lui faire mal, à elle. »

Je ne lui en voulais pas. Ce n'était pas... c'était de sa faute, si, mais ce n'était pas grave. Il avait dû davantage se faire peur à lui-même. J'avais de la chance, d'être résistante, plus encore d'être une créature titanesque, mais les choses auraient pu déraper de manière bien plus violente. On devrait interdire les armes à feu dans cette maison, en fait. C'était plus prudent.

« Figue réclamera sûrement un nombre incalculable de câlins quand elle se réveillera. Elle va être traumatisée. J'espère que tu es prêt. »

Elle était l'une des premières que j'avais rencontré dans cette ville, ou plutôt l'une des premières avec qui j'avais tissé un lien assez fort et, sans vouloir me vanter, je ne pensais pas me tromper. Elle allait sans doute enchaîner les crises de larme entre plusieurs cris de panique et probablement refaire un malaise peu après le premier.

« Merci beaucoup. »

Basile était revenu, nous observant tour à tour avec une sorte d'incompréhension et de jugement dans le regard. Il avait recouvert le corps de Figue du plaid, avec toute la douceur qui le caractérisait. C'était presque... mignon. Le verre de lait avait été posé non loin et il n'avait pas ramené une, mais deux tablettes de chocolat. Il avait même apporté des bandes qu'il me tendit avec une moue gênée.

« Tu veux que... ? »

« Non. Je me débrouille. Merci. »

C'était vraiment le meilleur des gardes.

« Tu tires encore une fois sur elle et tu finiras en prison tout là-haut. »

C'était une menace plutôt justifiée, je suppose ? Comme si Michel-Ange n'était pas déjà assez en panique...

« Je reste à la porte. Je vous surveille. »

Il ne mentait pas. Il s'était vraiment mis à l'entrée de l'appartement, sortant son portable de son armure – elles avaient des poches ou il le cachait à des endroits bizarres ? Je n'étais pas sûre d'avoir envie de le savoir.

« Le chocolat, ça devrait l'aider à se réveiller. »

Elle réagissait toujours en présence de nourriture. Et si ça ne suffisait pas, il était toujours temps d'appeler une ambulance, ou de faire appel à Taxi Basile.
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________________________________________ 2018-08-02, 11:31

“Basalte, sale type! ”






Dans un premier temps, Michel-Ange était resté totalement paralysé. La peur d’avoir tuer Eulalie l’avait renvoyé directement dos au mur, au sens propre comme au figuré. Il regarda avec effroi Figue tomber dans les vapes, puis Basile extraire la balle. OUF plus de peur que de mal. Restant bizarrement silencieux, il les observa. Ce n’était pas trop son genre, d’observer et de rester silencieux. D’habitude, il parlait et agissait beaucoup. Mais là, il avait failli tuer sa meilleure amie. Et ce con de Basoule, ou Basule, donnait des leçons d’Eulalie sur l’amitié. Serrant les poings, Michel-Ange ne répondit pas. D’abord, elle fit les présentation. Mais cette attitude, et cette menace de l’enfermer… Tout le début de sa vie, il l’avait passé dans une cage, à subir les traitements des scientifiques. Et la menace d’y retourner lui fit faire un tour dans son sang. D’habitude, il n’était jamais conflictuel. Mais le « choisis tes fréquentations » le rendit fou de rage. Personne, et je dis bien PERSONNE ne JUGEAIT leur relation amicale. Avant qu’il ne passe le pas de la porte, Michel-Ange plaça son bras en barrage devant Basile si violemment, que si il n’avait pas été de Là-Haut, il aurait très certainement traversé la pièce.

« Hé Basalte, tu t’présentes pas ? T’es qui pour m’juger ? J’ai une simple question… Tu sais ton amazone que tu sembles tant protéger… T’étais où quand elle était au fond du sceau à cause de son amoureux stupide ? T’étais là pour la consoler et voir ses premières larmes de tristesses ? J’crois pas non. Alors si tu veux qu’on parte sur de bonnes bases, considère qu’on veut la même chose toi et moi ! Son bonheur et sa protection même si elle en a pas besoin. Tu piges mieux Basalte ? Et essaie encore une fois de me menacer de me mettre derrière les barreaux, et je déchaîne sur toi toute une tribu de Tortue génétiquement modifiée… Crois moi man, t’as pas trop envie de tomber nez à nez avec mes frères. Divin ou pas divin, j’men tamponne la carapace. Mais sache que quand on veut péter plus haut que son cul, on finit toujours par sentir le caca ! »


ET TOC REMONTE TON SLIBARD LOTHARD ! Fier comme un paon, il fonça aussitôt vers Eulalie, toujours assise et affaiblie par la blessure dont il était responsable. S’accroupissant auprès d’elle, il se sentit en sécurité, pour elle comme pour lui. Au moins, elle le protégerait de Basoulte si jamais il voulait se venger de ses propos. Il en était persuadé. Et maintenant qu’il était là, accroupi auprès d’elle pour s’en occuper, elle aussi devait se sentir en sécurité. Au moins affective. Après tout, il servait à ça non ?

« Ca va ? J’t’ai pas trop fait mal ? Je suis désolé, en plus je déteste les armes à feu, je sais pas s’qui m’a pris… »


Observant la blessure, il remarqua qu’elle était déjà en train de bien guérir. Tant mieux. Toujours de dos à Basile, il fit pleinement confiance à Eulalie pour le protéger si jamais le danger venait du Gardien dans son dos. S’asseyant à côté d’elle, le dos au mur dans la même position, il remarqua que le Gardien était sorti. Tant mieux, il le détestait.

« Pourquoi tu traînes avec ce mec ? J’veux dire, y’a plein de gens super sympa et lui, il me snobe comme si j’étais un animal de compagnie ? »


Fronçant les sourcils, il estima que ce n’était pas la meilleure solution que de parler uniquement de ses problèmes. Profitant du fait qu’il ne soit que tous les deux, et que Figue semblait dormir en paix, Michel-Ange se confia :

« Tu sais, quand tu es rentré dans l’appartement pour la première fois, tu t’en souviens ? J’me suis toujours dit que c’était la pire idée qu’on est eu de t’accepter… Mais je me rends compte en réalité qu’aujourd’hui, j’pourrai pas vivre sans toi. Et tu sais pourquoi ? Pas parce que t’es super forte et que tout le monde vois en toi le futur Messie qui nous sauvera de l’Apocalypse ! Nan pas du tout, moi j’vois autre chose. J’ai appris à t’connaître, et crois-moi, t’es une super amie. La meilleure que j’ai eu, et pourtant je suis plus vieux que toi d’environ 19ans… Ca prouve bien un truc, t’es pas exceptionnelle que pour casser des gueules… T’as aussi un coeur super ! »


Lui faisant un petit câlin pour se faire pardonner (Un problème? Appelez Saul Goodman ! [Eulafifimichakikadou] 3109594688) il se redressa subitement.

« Tu veux une bière ? »


Puis, n’étant pas rancunier, il beugla vers la porte.

« BASALTE TU VEUX UNE BIERE ? »



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________________________________________ 2018-08-04, 00:10


Un ami, deux amis, trois amis...
T'es jaloux Basile ? Un petit peu ?


« C'est BASILE ! BASILE comme... comme... Et ben je sais pas mais c'est comme ça ! »

Il était resté à la porte pour répondre à Michel-Ange, croisant ses bras en me fixant d'un air étrange. Quoi ? Qu'est-ce qui se passait que je n'avais pas compris ? J'imaginais que ce n'était pas très agréable de se faire appeler par le mauvais prénom. Je n'avais pas suivi l'entièreté de leur altercation, ne comprenant pas ce qui s'était produit en si peu de temps pour que les choses tournent ainsi. Mon colocataire était désolé, le gardien était agacé, et des menaces avaient été prononcées.

« Tu peux partir. »

La phrase était sortie d'elle-même, d'un ton doux et amical à l'adresse de Basile qui ouvrit de grands yeux, avant de rabaisser ses bras dans un geste dépité.

« Ah ouais ? Je peux partir ? T'as plus besoin de moi c'est bon ? »

Je ressentais un peu d'animosité. Ou de rancoeur. Je définissais difficilement les sentiments de ce type chez les autres. Est-ce qu'il m'en voulait ?

« Ce n'est pas ce que je... »

« J'étais peut-être pas là pour te faire des câlins, parce que tu m'as pas appelé ! Par contre je t'ai empêché de tuer quelqu'un je te signale ! Et des soirées séries il en fait avec toi peut-être ? Il t'a apprit à passer le balai parce que tu savais pas comment faire ? Non je crois pas ! Alors c'est pas une tortue qui va me faire croire que je suis moins cool que lui, d'accord ? Et puis... Et puis je croyais qu'on était amis aussi tous les deux ! »

Je restais bouche bée devant un tel débit de paroles inhabituel. Peut-être que j'avais été trop loin cette fois. Encore légèrement perturbée par la blessure que je sentais cicatriser à une vitesse d'une lenteur extrême, je me redressais à mon tour sans trop savoir pourquoi.

« Mais je n'ai pas dis qu'on ne l'était pas. »

Il boudait. C'était l'air qu'adoptait Apollon, que j'adoptais aussi, quand nous étions frustrés ou blessés d'une manière ou d'une autre. Au lieu de proférer toutes ses paroles à l'encontre de Michel-Ange, il avait préféré le faire sur moi. Il avait peur de s'emporter sur un humain (bien qu'il ne soit pas totalement) et de faire n'importe quoi ? C'était une possibilité. Ça ne me dérangeait pas. Il avait raison de le faire, même.

« Tu as vraiment besoin de vacances. » fis-je remarquer avec un sourire, dans l'espoir de le détendre.

« Je sais, j'arrête pas de le dire ! »

Il s'était immédiatement relâché, soupirant bruyamment avant de secouer la tête. Il pénétra dans la pièce, grimaçant malgré tout en regardant Figue sur le canapé et observant l'endroit avec plus d'attention que précédemment.

« Je ne bois pas pendant le service. » répondit-il simplement en adressant un regard peu avenant en direction de Michel-Ange.

C'était idiot comme réflexion. Il ne pouvait pas être saoul, peu importe la quantité qu'il avalerait. Il alla s'asseoir dans un coin, ressortant son téléphone en gardant un œil sur la pauvre assommée. Elle était probablement déjà en train de faire sa nuit. Et lui comptait rester ici, finalement ? Il pourrait toujours m'aider pour défaire mes cartons, après tout. Dans un haussement d'épaules, je décidais de l'abandonner le temps qu'il se calme, rejoignant Michel-Ange près de la cuisine.

« J'en veux bien une. Une bière. J'aime bien. »

J'avais toujours du mal à sourire correctement, la douleur n'ayant pas cessé d'agiter parfois mon ventre que je tenais encore.

« Basile est gentil. Très gentil. Il ne te connaît pas, c'est tout, mais tu verra qu'il est super sympa lui aussi. »

Je l'affirmais en hochant la tête, d'un ton assuré, préférant rester debout pour ne pas plier ma plaie dont le sang venait tout juste d'arrêter de couler.

« Et non, je ne suis pas un Messie, je n'ai pas été envoyée par Dieu mais par un Titan. C'est plus puissant encore. »

Cela pouvait peut-être passé pour une certaine vantardise, tandis qu'il ne s'agissait que d'une observation comme une autre.

« C'est vrai que je suis ta meilleure amie ? »

Je préférais poser la question. Je n'étais pas certaine d'avoir comprit l'intégralité de son discours. J'étais restée concentrée pourtant, je ne lui en voulais pas pour ce qu'il avait fait. Ce n'était pas de sa faute si il n'arrivait pas à manier les armes avec autant d'adresse que moi.

« Et que j'ai un cœur super ? »

Je penchais la tête sur le côté, incertaine quant à cette formulation. Je baissais les yeux un instant sur ma poitrine – réalisant que cet acte pouvait paraître des plus étranges, finalement.

« Comment on reconnaît un cœur meilleur que les autres ? »

Je devais arrêter de poser des questions qui ressemblaient à des thèses philosophiques. Ou me mettre à lire des bouquins sur le sujet, pour éviter d'embêter mes proches avec ces interrogations. Ce ne serait pas une mauvaise chose de leur épargner mes divagations.

« Non. Ça se ressent, c'est ça ? »

Je relevais mes yeux vers lui, presque fière d'être arrivée moi-même à cette conclusion. Mon sourire était soudainement redevenu bien trop large et mon expression n'affichait plus rien de la souffrance pourtant persistante de ma blessure.

« Le tien aussi, il est super. » appuyais-je d'un ton trop enjoué. « Et je pense que tu es aussi mon meilleur ami. En plus d'être mon colocataire. Donc tu es... mon meilleur colocataire ? »

Est-ce que ça avait la moindre importance, la manière dont je pouvais le décrire ? Je décidais de ne pas m'y attarder. Figue avait peut-être l'ouïe fine en plus de cela, et ses crises de jalousie étaient des événements que je préférais éviter.

« Tu es le meilleur livreur, aussi. Et la meilleure tortue. Je dis ça parce que je n'en ai pas rencontré d'autres, mon avis changera peut-être plus tard. »

Autant faire preuve d'honnêteté. Il avait évoqué ses frères et je n'en avais jamais vu un seul. Qui me disait que les autres n'étaient pas aussi sympathiques ou aussi gentils ? J'étais encore quelque peu perturbée par tous les compliments qu'il venait de me faire et qui me revenaient soudainement. C'était... plutôt agréable.

« On pourra manger des pizzas ce soir ? »

Je le demandais le plus innocemment du monde. Me faire tirer dessus éveillait étrangement mon appétit et, après tout, il ne lui serait pas difficile de s'en procurer.

« Et regarder Desperate Housewives ? J'ai pris du retard. Je suis à la saison 2 seulement. »

« Tu regardes pas Westworld et Game of Thrones avec lui, ça fait partie de mon apprentissage avec toi ça ! »

Je levais les yeux au ciel, peu étonnée que Basile ait continué à suivre la conversation d'où il était.

« On peut aussi aller au cinéma, sinon. J'aime beaucoup le cinéma. »

Et j'entendais encore le garde grommeler, se sentant certainement délaissé. Est-ce qu'il l'était ? Je devrais peut-être lui apporter un peu plus d'attention, il me faisait de la peine.
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________________________________________ 2018-08-04, 17:17

“Basalte, sale type! ”






Michel-Ange avait écouté parler Basile et l’avait entendu déversé un flot de paroles qui venaient du coeur sur Eulalie. En temps normal, il l’aurait certainement frappé. Mais au final, ce mec lui ressemblait plus qu’il ne l’imaginait lui même. Les bras croisés, Michel-Ange leva les sourcils et finit par tendre la main vers Basile qui avait été congédié par Eulalie mais qui rentrait quand même dans l’appartement.

« Bienvenue à la coloc mon pote. Ouais mon pote. T’es un mec super en fait. Je suis trop possessif c’est tout. Surtout avec Eulalie, elle est aussi fragile mentalement qu’elle est solide physiquement. Bref. On veut que le bien de cette nana, et les amis de mes amis sont mes amis. Alors j’sais qu’on est parti du mauvais pieds, mais j’mexcuse. »


Toujours le bras tendu, il le rabaissa. Jugeant le physique de Basile maintenant que l’orage était passé. Il était plutôt beau gosse. Pas autant que lui, mais il se défendait. Ce mec devait savoir y faire avec les filles s’était certain ça. Oubliant leur dispute, car très peu rancunier, Michel-Ange se tourna vers Eulalie et la pointa du doigt comme il le faisait quand il lui apprenait des nouveaux trucs. C’était important de la montrer du doigt, pour bien comprendre qu’on parlait d’elle. Elle n’était pas stupide, mais ça marquait toujours le coup.

« Quand à toi, on ne renvoie jamais quelqu’un qui te défend comme ça ok ? On l’invite à boire une boisson. C’est une règle sociale. T’es pas autiste que je sache ? Non, alors écoute et apprends un peu. »


Avec toute la classe qui lui était dû, il se saisit du matériel d’escalade qui était fixé au mur, et avec une dextérité alarmante, dans un même mouvement, envoya les cordes s’enrouler autour de deux fauteuils. Tirant avec forces, les fauteuils glissèrent pour frapper l’arrière de leurs genoux pour qu’ils se retrouvent assis sur ce dernier. Tirant sur les cordes, il les ramena à lui et les remit à leur place.

« Des années d’entraînement. Cherche pas. »
fit-il à Eulalie.

S’asseyant à son tour sur le canapé, Michel-Ange ouvrit la table basse à l’effigie des Jets de New York, son équipe de football américain favorite, révélant à l’intérieur un minibar. Faisant glissé les canettes vers les deux personnes, il décapsula la sienne dans un bruit de dingue et la but d’une traite. Il allait avoir besoin de force. En prenant une autre, il referma la précieuse glacière cachée.

« T’avais jamais fait gaffe hein ? »
dit-il en souriant.

Reportant son attention sur l’Amazone, il s’élança dans un de ses discours venus du coeur qui était toujours aussi beau.

« Bien sûr que t’as un coeur. Et un super coeur. Avoir du coeur ca veut dire qu’on apprécie les gens et qu’on est prêt à tous pour eux, et c’est ton cas. Visiblement aussi celui de Basalte. Mais comme il est plus timide, il essaie de cacher ça sous un aspect super viril qui ne lui va pas du tout. C’est vrai ça, qui fait des scènes comme une fillette alors que son amie a pris une balle ? »


Buvant une gorgée rapidement, il poursuivit avec entrain et dynamisme comme un bon Michmich le faisait.

« Ouais, t’es ma meilleure amie. Peut être que tu sais pas encore ce que ça veut dire parce que t’en ai à tes débuts dans les relations amicales. Mais un meilleur ami, c’est celui qui te vient à l’esprit en premier quand tu as des soucis. C’est très proche d’un amoureux, sauf que tu couches pas avec et que tu sais que ta relation avec lui est éternel. Tiens prends des notes. Et toi aussi Basalte, je pense que t’en a besoin. »


Sortant de nul part deux carnets de sa marque bière favorite, il leur envoya également deux stylos.

« Donc je reprends, t’as tes amis, ceux avec qui tu aimes passé du temps à regarder des séries, comme Basalte par exemple, et t’as les meilleurs. Ceux là tu leur dis les trucs de ouf. Que tu dirais pas à tes autres amis, ou même à ton amoureux. Tu te rappelles la discussion qu’on a eu sur le Barbier héttéro-curieux ? Ben ça c’est des trucs qu’on se dit entre meilleurs amis tu vois. Basalte, si tu continues à me regarder méchamment comme ça, ça va pas l’faire. Prends des notes sur les supers-conseils de Michmich. Si tu veux devenir notre meilleur ami toi aussi, par contre t’auras des épreuves. On peut pas se permettre d’accepter tout le monde. Bref. »


Se levant et saisissant le tableau blanc qui servait toujours à ses super démonstrations, il commença à dessiné. Une petite fille avec une robe.

« La c’est toi, et là c’est le premier cercle, celui où tu partages des trucs importants. C’est le cercle des meilleurs amis. La ya Figue et là ya moi. Et peut être Hypourion, ou Hyparian, je sais pas comment tu l’appelles. »


Traçant un deuxième cercle, d’une autre couleur, Michel-Ange poursuivit.

« Là t’as les amis, Deborah, Basalte, euh… Sherlock, ouais il est bizarre mais crois moi c’est un ami. Et pleins d’autres. »


Traçant un dernier cercle, il termina son raisonnement.

« Et là t’as les connaissances, ceux que tu aimes ou pas, ceux que tu croises quoi, que tu connais. Le truc c’est que ton petit ami, tu sais le barbier hétéro-curieux tu suis toujours ? Ben lui il gravite de cercle en cercle. C’est fragile tu vois, alors que moi… Je suis là. Et j’en bougerai jamais. C’est ça l’amitié. Boooum je suis prêt à répondre à vos questions. Basalte après Eulalie, ne fait pas cette tête je sais que tu veux être dans le premier cercle. Voyou. »


Et, le sourire aux lèvres comme un benêt, il posa le feutre.

« Oh, et pour la Pizza, Pepperoni, sans anchois, commandé y’a dix minutes. Elle arrive. Et je déteste vos séries. Vous voulez pas plutôt regarder Kung Fu Panda? »



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________________________________________ 2018-08-06, 17:42


Un ami, deux amis, trois amis...
Et une pizza.


La situation avait, pour ne pas changer, prit un tournant que je n'avais pas anticipé. Même Basile en semblait étonné, à dire vrai, ses yeux grands ouverts fixant la tortue en se demandant sans doute s'il ne s'agissait pas d'un coup fourré. Je me pinçais les lèvres et fronçais les sourcils en entendant ses paroles. Fragile mentalement. Je n'étais pas sourde, en tout cas ! Ne pouvait-il pas parler de moi autrement lorsque j'étais là ? Je croisais les bras et détournais la tête dans une posture que m'avait apprise Apollon. Ce n'est pas que je voulais mettre le garde à la porte, je pensais juste qu'il préférerait être ailleurs. Mais je savais très bien inviter des gens ! Je n'étais pas... Non, je ne savais pas, en fait. Je ne l'avais jamais fait.

Ma moue contrariée ne me lâcha pas, même lorsqu'il dévoila sa cachette de boissons dans la table basse. Je m'étais contentée d'attraper la canette, m'enfonçant dans mon fauteuil en ne lui accordant pas un regard. Sauf lorsqu'il commença sa liste de compliments. Il savait que c'était le genre de discours qui me rendait curieuse et attirait de nouveau mon intérêt. C'était presque énervant de voir qu'il commençait à trop bien me cerner.

Basile grommelait légèrement à côté de moi, n'appréciait sans doute pas qu'on ne l'appelle pas par son véritable prénom. Cette constatation me fit sourire. Il est vrai qu'ils étaient aussi gentils l'un que l'autre, lui et Michel-Ange. Je n'avais jamais fait le rapprochement avant aujourd'hui. Je me gardais de lui faire remarquer que si la réaction du gardien avait été excessive, la sienne n'avait pas été bien plus mature. Il fallait mieux que je ne sois pas celle jugeant de leur virilité, je n'avais pas envie de me mettre à compter les points. La rivalité entre Jules et Apollon était suffisante dans mon entourage et je ne voulais pas en gérer une seconde.

Nous attrapions les carnets et les crayons lancés avec une synchronisation parfaite, même si j'étais plus que sceptique à cette idée de prendre des notes. J'avais déjà mon propre cahier où j'écrivais tout ce qui me semblait utile, je devais maintenant faire une sorte de session d'apprentissage en compagnie de Basile ? Je lui lançais un coup d'oeil interrogateur qu'il me renvoya. Michel-Ange pouvait être incompréhensible, parfois.

Je baissais la tête lorsqu'il évoqua Balthazar, trouvant sa manière de le désigner des plus étranges mais ne me permettant aucune remarque. Je ne voulais pas en parler.

« Hyperion. » lâchais-je malgré tout, avec une pointe d'irritation, tandis qu'il ne savait plus comment prononcer le prénom de mon créateur.

Je ne pris pas la peine de mettre son noms, ou tous les autres qu'il avait pu évoquer, sur le papier. Je les connaissais déjà. A la place, je m'amusais à dessiner des arbres. C'était plus distrayant. Je cassais la mine lorsqu'il osa mettre dans le même cercle que Deborah et Basile ce détective qui ne m'inspirait pas confiance. Mon crayon fut lancé à l'autre bout de la pièce et je me redressais d'un coup dans mon siège, fusillant ce colocataire qui se prétendait être mon meilleur ami du regard.

« C'est ton ami. Pas le mien. » répliquais-je presque outrée, croisant mes bras. « Et je n'ai pas de petit ami. »

Je frémis à cette simple idée. Qu'est-ce que ça impliquerait si c'était le cas ? Qu'est-ce que ça voulait dire exactement ? Il était plutôt grand, en plus. Je grimaçais, ne préférant pas m'attarder sur cette interrogation qui en entraînerait encore trop d'autres.

« Attendez moi je suis plus rien, je le mets où Apollon là-dedans ? »

Basile se frotta la tempe à l'aide de son crayon, observant sa propre feuille avec un air d'intense réflexion. Je me penchais vers lui pour remarquer qu'il avait reproduit le schéma pour lui même, dessinant même un bonhomme avec un immense air joyeux pour se représenter. Cette image m'arracha un sourire et fit s'estomper mon agacement.

« C'est moi qui pose les questions en première, Basile. »

Mon ton était de nouveau amusé alors que je tournais de nouveau la tête vers Michel-Ange.

« Tu ne bougera vraiment jamais ? Comment tu peux en être certain ? Et si un jour tu décides de partir ? »

Je lâchais une moue perplexe, peu motivée par ce scénario. Après tout, Storybrooke était une grande ville où tous les gens qu'il connaissait vivaient, il était peu probable qu'il décide un jour de s'en aller.

« Ou si c'est moi qui doit m'en aller ? »

Ce n'était que des cercles qu'il parlait, après tout. J'imaginais que le fait de bouger dans le monde, de manière physique, n'avait aucune incidence sur cette représentation de l'amitié qu'il venait de me faire.

« Faut vraiment que t'apprenne à utiliser un portable, ma petite. »

Le garde sortit le sien comme pour me le lancer et je le rattrapais sans mal, l'étudiant sous tous les angles.

« Comme ça, si t'es loin ou qu'il est loin, tu peux continuer à le contacter. C'est super pratique. Ça sert vachement pour prévenir des départs en missions quand ça te tombe dessus d'un coup. Bon des fois sur Olympe le réseau il déconne, faut pas aller du côté ouest, je sais pas pourquoi c'est pas très stable. »

Il haussa les épaules et je penchais ma tête sur le côté, déverrouillant l'appareil qui n'avait pas le moindre code. Le fond d'écran représentait la déesse Aphrodite, je n'eus aucune difficulté à la reconnaître. Elle était magnifique. Il l'avait trouvé où ? Je restais sceptique avant d'appuyer sur tous les boutons qui attiraient mon attention. Je reconnaissais le logo de l'application qu'il m'avait montré une fois.

« Tu peux rajouter Kida dans mes amis. Elle, elle mérite d'en faire partie. » précisais-je alors sans pour autant relever mes yeux. « Et comment... Pourquoi il y a un cœur à côté du prénom d'Aryana ? »

Basile m'arracha le téléphone des mains et je le voyais s'agiter soudainement, le rangeant de nouveau dans sa poche.

« Bah c'est la déesse de l'Amour, c'est tout. »

Peu convaincante, comme explication.

« Tu vois pour Diane ce serait une lune, Apollon un soleil, pour Ellie un livre et pour Cassandre... et ben... euh... »

Je le fixais avec tant d'insistance qu'il se mettait à se tortiller dans tous les sens. Il devait faire attention à ce qu'il disait, concernant la future femme du Gardien de la Cité.

« Probablement une panthère ? »

Je secouais la tête, ne voulant pas chercher plus loin.

« Il faudra me montrer comment ça fonctionne. » assurais-je, maintenant désireuse d'avoir ce type d'appareil pour me mettre à la page.

Jules et Apollon m'apprenaient beaucoup mais ils n'étaient pas les plus doués dans le domaine de la technologie. Je ne pouvais pas leur en faire le reproche, ils se rattrapaient à bien d'autres niveaux. Je me levais avant même que la sonnerie ait retentie, ayant entendu les bruits de pas se rapprocher. J'ouvrais la porte pour faire face au livreur qui tenait la boîte dans sa main, peu surpris que je sois déjà prête.

« Bonjour. Vous êtes un frère de Michel-Ange ? C'est lui qui va payer, il gère le budget de cet appartement. Merci beaucoup pour la rapidité de livraison. »

Je lui offrais mon plus large sourire, m'emparait de la boîte avec autant de douceur que possible et m'écartait en laissant la porte grande ouverte. J'avais très faim. Et il était vrai que mon 'meilleur ami' avait déjà fait remarquer que je gérais très mal l'argent que je possédais pourtant de façon presque illimitée.

« J'ai déjà vu Kung Fu Panda. Je veux bien regarder le 2 par contre. Ou alors Les Gardiens de la Galaxie. Il me manque ça à mon registre des super-héros. »

« Mon préféré c'est Rocket. »

Il n'était pas supposé retourner travailler, lui, au fait ? Même si ça ne me dérangeait pas qu'il reste. Il pourrait toujours m'utiliser comme excuse en prétendant que je l'avais séquestré.

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________________________________________ 2018-08-09, 13:59

“Basalte, sale type! ”






C’était le chaos. Mais c’était la forme la plus pure de l’amitié, Michel-Ange en était certain. Voyant que les deux étaient en posture de boudage, Michel-Ange posa le feutre, traversa la pièce, manqua de se faire planter par un crayon qu’il esquiva en tournant la tête à une vitesse surhumaine. Arrivant devant Eulalie, il observa les arbres. Bravo. Félicitations !

« Très joli ça. Mais… ON NE DESSINE PAS PENDANT MES COURS MADEMOISELLE ! »


C’était à moitié de l’humour, à moitié de la véritable colère. Il détestait ne pas être écouté et gaspiller de l’énergie pour rien, même si il en avait à revendre, il ne fallait pas déconner. Le cahier heurta le lustre qui se mit à vaciller dangereusement. Le fixant avec suspicion, Michel-Ange reprit sa place de Professeur d’un Jour, puis regarda Basile en jouant avec le feutre.

« Question une, Apollon, tu fais comme tout le monde, tu lui gardes une place réservée dans ton coeur. Si tu ne fais pas ça, déjà, du peu que j’en sais, il le prendra très mal, et ensuite, il ne te regardera même pas. Toujours une place pour Apollon. Toujours. »


Dessinant Apollon, il le plaça dans tous les cercles, juste pour faire plaisir au Dieu des Arts qu’il appréciait tant. Puis, tournant sa tête à la vitesse d’un suricate, il fixa Eulalie d’un regard ô combien foudroyant.

« Et si je pars ? Oui je pourrai partir. Ou même mourir ! MAIS CA VA PAS DE DIRE DES CHOSES PAREILS TU CROIS VRAIMENT QUE J’AI L’INTENTION DE TE BANNIR DE MA VIE ? Tu sais ce que j’étais avant ? Une Tortue mutante plutôt dégueulasse. Tu veux voir des photos ? Tu ne m’aurais même pas approché. Condamné à vivre caché, et de nuit. Ca te dit ? Non pas vraiment, parce que toi, t’es né belle, alors que moi je suis né très laid. Storybrooke nous a donné une chance supplémentaire, à mes frères et moi, et on ne quittera cette ville pour rien au monde. Et quand bien même, maintenant je t’ai toi. Alors j’ai pas envie de partir, fin de la discussion. »


Les joues un peu rosis par cette déclaration, il pointa aussi le feutre vers Basile, comme un Bro en puissance.

« Toi aussi, je t’ai maintenant Basalte. Pour le meilleur et pour le pire. De toute façon, tu ne te débarrasseras pas de moi comme ça ! »


Alors que ses deux élèves commencèrent à se disputer, et à se dissiper cruellement, Michel-Ange en profita pour observer par dessus l’épaule de Basile. Ricanant à pleins poumons, il s’esclaffa :

« C’est vrai ça ! Aphrodite elle a un petit coeur. Et tu mens, les autres ont rien. Tu détournes la conversation Basile. Fais pas cette tête ; bien sûr que je connais ton prénom. Et au fait, si tu m’abandonnes, je te retrouve, et je te tue. Tu n’as pas le droit de faire ça. Quand je rentre dans la vie de quelqu’un, c’est pour toujours. Lève pas les yeux au ciel Basile. C’est aussi valable pour toi désormais. »


Revenant comme une furie au tableau, il rajouta Kida, et Diane. Ca commençait à faire du monde. Fronçant les sourcils sans écouter la dispute naissante entre Basile et Eulalie, il déclara :

« Y’a quand même pas mal de gens qui sont des dieux, des sous-dieux, des grands dieux et des petits dieux. En fait, y’a que moi qui en suit pas un. En psychanalyse ça nous prendrait des heures et... »


Soudain, la sonnette retentit, et une silhouette familière passa sa mouille en le regardant d’un air circonspect. Alors qu’Eulalie était en train de payer, Donatello montra la poitrine d’Eulalie quand elle ne regardait pas et fit un pouce vers le haut. Mais quel crétin… Comment pouvait-il être aussi intelligent et stupide à la fois. Mais Michel-Ange leva quand même le pouce vers le haut, alors qu’Eulalie l’ignora totalement, et repartit dans une grande discussion sur ce qu’ils allaient regardé ce soir. Prenant sa coloc par l’épaule, et sous le regard frillant de Basile, Michel-Ange dit d’un ton un peu agacé.

« Hé, Miss Je-Dessine-En-Cours-De-Michmich. Dans la vie, y’a des règles incontournables… Quand le frère de ton meilleur ami se présente, même si c’est un livreur de Pizza, tu lui proposes de boire quelque chose, tu l’invites avec nous ! C’est une règle de savoir-vivre… Bon sang, je me demande ce que tu ferais sans moi, effectivement, tu as bien fait de l’évoquer tout à l’heure. Je te mets un A+ tiens. Et toi un B- Basile. Ne me regarde pas ainsi. Tu AURAIS DU intervenir. »


Son frère n’attendit pas d’être invité pour entrer et s’installer dans le canapé. Soupirant, il regarda autour de lui d’un air étrangement surpris.

« Salut salut ! Moi c’est Dony ! C’est cool chez toi Micky. C’est un peu rustique… Mais bon... »


Se servant d’une part de pizza, il s’assit juste à côté de son frère. Soudain, une illumination vint dans les yeux de Michel-Ange et il faillit cracher sa part de pizza.

« MAIS OUI ! Dony peut te donner des cours ! C’est un pro en matière de technologie… Pas vrai Dony ! Explique leur... »


Donatello se contenta de tendre les bras vers l’avant, visiblement trop pudique pour avouer ses qualités.

« Allons allons… Je suis pas un expert non plus… Je ne suis pas capable, par exemple… D’INSTALLER UN DRONE SUR LA PIZZA POUR QU’ELLE SE DEPLACE TOUTE SEULE ET VIENNE VOUS SERVIR COMME UN SERVITEUR ! »


Puis, jurant avec le timide qu’il avait été avant, il sauta du canapé et appuya sur une télécommande. La boîte de la pizza s’ouvrit par le bas et des ailes mécaniques en sortirent. Volant dans tout l’appart, la pizza fonça vers Eulalie et s’arrêta à quelques centimètres de son nez. Une voix mécanique enregistré sortit de la boîte et déclara :

« Bonjour – Mademoiselle – Je suis 6-7PO, et je vous présente la fameuse Pepperroni Turtles sans Anchois, valeur sûre depuis 2016. Voulez vous prendre une part tant qu’elle est chaude. »


Aux anges, Michmich se mit à applaudir comme un matin de Noël en gueulant :

« C’EST MON FRERE IL EST TROP FORT ! »



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